Saison 09/10 - Octobre

Le président du PSG en appelle à des "Etats généraux de la sécurité" - 07/10/2009

Source : Le Monde (merci à l'expéditeur)

Les trois supporters de Monaco interdits de stade - 09/10/2009

Source : La Provence

Les trois supporters de l'AS Monaco déférés au parquet de Marseille pour "violences en réunion sur personnes dépositaires de l'autorité publique" ont été finalement remis en liberté.

Ils ont toutefois été placés sous contrôle judiciaire. Ils ont interdiction formelle de se rendre dans tous les stades de France jusqu'à leur jugement. Ils avaient été interpellés dimanche pour avoir jeté divers projectiles depuis le bus sur tout le parcours qui devait les conduire de l'autoroute au stade Vélodrome pour le match contre l'OM.

Deux des auteurs présumés des faits sont âgés de 19 ans, le troisième a 28 ans. Les fonctionnaires de police avaient attendu que les suspects arrivent devant le stade pour les arrêter. Les trois supporters devront comparaître le 10 novembre prochain devant la 5e chambre du tribunal correctionnel de Marseille.

Sanctionner les slogans injurieux dans les stades - 07/10/2009

Source: Agence Belga

La ministre de l’Intérieur Annemie Turtelboom a averti mercredi en Commission de l’Intérieur de la Chambre qu’elle entendait sanctionner, notamment via des amendes, les slogans injurieux scandés dans les stades. L’argent des amendes pourrait être attribué aux projets sociaux des clubs.

La ministre a été interrogée par Ludwig Vandenhove (sp.a) sur ce types d’attitude que l’on constate dans les stades de football.

Dans sa réponse, Mme Turtelboom a souligné que la police et les services de l’Intérieur avaient réussi pendant des années à lutter contre la violence dans les stades. Elle compte s’en prendre avec fermeté aux slogans insultants et attend de la fédération de football et la pro league une approche concertée. A ce propos, elle a indiqué que le président de la pro league avait promis de travailler à un « code » sur la base duquel une Commission pour intervenir.

Violences autour de VA-OM : ce n'est pas fini - 09/10/2009

Source : La Voix du Nord

Le 26 septembre, en marge de la rencontre de football Valenciennes - Marseille...

plusieurs supporteurs de l'OM avaient été plus ou moins bousculés par des Valenciennois. Les faits les plus graves ne s'étaient pas produits aux abords immédiats du stade où d'importantes forces de police étaient présentes mais, comme nous le relations dans nos éditions du 27 et du 30 septembre, dans le centre-ville. Une mère de famille, supportrice de VA, habituée des stades, avait assisté à l'agression sauvage d'un jeune homme venu de Narbonne et qui s'était retrouvé à l'hôpital. Une trentaine de jeunes, tout de noir vêtus, étaient tombés sur ce supporteur marseillais et sur ses amis alors qu'ils étaient attablés à la terrasse d'un café place d'Armes.

Le jeune Narbonnais, de retour chez lui, a porté plainte et l'affaire suit son cours. La vidéo surveillance, dans le centre-ville de Valenciennes, permettra peut-être d'identifier le ou les agresseurs principaux de ce supporteur.

Toujours choquée, la mère de famille qui se trouvait à ses côtés a décidé d'interpeller la secrétaire d'État en charge des sports, Rama Yade. « Je ne voudrais pas que des faits comme cela se reproduise lors du match retour, à Marseille, en février. Et puis il faut que ça s'arrête ici aussi ! », insiste cette maman. Elle réfute toute délation et ne veut pas stigmatiser les supporteurs valenciennois qui dans leur immense majorité sont calmes. Mais cette petite dame veut attirer l'attention de Rama Yade sur les petits noyaux de supporteurs qui, à Valenciennes comme ailleurs, « montent en violence » aux abords des stades de football, avant et après les matchs. « Je pense à mes enfants et je ne voudrais pas qu'il leur arrive quelque chose parce qu'ils aiment le football », conclut-elle tout en souhaitant garder l'anonymat.

PAOK Salonique - Aris Salonique - Coupe de Grèce des moins de 21 ans - 07/10/2009

Source : France Football

Théodoros Zagorakis, le président du PAOK Salonique (1ère division grecque) depuis juin 2007, a annoncé jeudi sa décision de quitter ses fonctions, après les violences survenues mercredi entre des supporteurs de son club et ceux de l'Aris Salonique, lors d'un match de coupe de Grèce des moins de 21 ans.

L'ancien international, capitaine de la Grèce championne d'Europe en 2004, a justifié sa décision en invoquant «des raisons personnelles». Mercredi, de violents affrontements ont eu lieu entre des supporters du club du PAOK qui ont attaqué les joueurs et les représentants de l'Aris Salonique.

République Tchèque - Pologne - 10/10/2009

Source: Thenews.pl + mail (merci à l'expéditeur) + novinky.cz + sportovninoviny.cz

13 supporters polonais ont été arrêtés avant le match lors de légers incidents contre la police. Des fumigènes ont été lancés sur les forces de l'ordre.
















































Video :
http://www.novinky.cz/krimi/181244-exkluzivni-videozaznam-polskeho-besneni-na-letne.html

http://tn.nova.cz/sport/fotbal/reprezentace/ctyri-tisicovky-polskych-chuliganu-miri-do-prahy-budou-bitky.html

https://www.youtube.com/watch?v=Od_4chL_xuM

https://www.youtube.com/watch?v=I2wIeZ9F2go

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Source : Mail

A noter une fight (40 vs 40) entre hools de Zaglebie Sosnowiec et de Brno. Victoire des polonais.

Slovaquie - Slovénie - 10/10/09

Source: tvnoviny.sk

La police a arrêté 10 supporters slovènes dans un hôtel de Bratislava après que ces derniers aient détruit le hall d'accueil, causant 3 300 euros de dégâts.

Traduction Underground Fans

Ukraine - Angleterre - 10/10/2009

Source : guardian.co.uk

L'Angleterre a fait rapport au près de la FIFA suite aux jets sur la pelouse d'une douzaine de fumigènes et de fusées traçantes tirées par des fans ukrainiens.

Allemagne : SSV Ulm 1846 - 1.FC Heidenheim - Coupe régionale - 10/10/2009

Source : suedwest-aktiv.de

Des incidents ont éclaté jusqu'à tard après le match. Après 21 heures, les hooligans des deux clubs se sont affrontés à la gare de Ulm. Des incidents avaient déjà éclaté dans les tribunes après la défaite de l'équipe locale, 3 à 1. Des fumigènes ont été échangés entre supporters interrompant la partie. D'autres incidents ont éclaté avec les supporters visiteurs entre le stade et la gare.

Traduction Underground Fans

Danemark - Suède - 10/10/2009

Source : multimedia.ekstrabladet.dk + images.bt.dk

Allemagne : Roter Stern Lübeck - VfB Lübeck III - 11/10/2009

Source : ln-online.de

Des incidents ont éclaté avant, pendant et après la rencontre. Selon la police, un accrochage a eu lieu entre 70-80 hools du VFB et 50 de Roter Stern. Pendant la rencontre, 15 à 20 supporters du VFB sont rentrés sur la pelouse pour attaquer le bloc des supporters de Roter Stern. 45 policiers sont intervenus pour empêcher la bagarre. La police est également intervenue après le derby pour séparer les deux camps qui voulaient en découdre.



Traduction Underground Fans

Slavia Prague - Sparta Prague - 05/10/2009

Source : tn.nova.cz + spartaforever.cz

La police a interpellé 14 supporters en marge du derby : cinq pour troubles à l'ordre public, deux pour port de fumigène et sept pour ivresse manifeste. Les forces de l'ordre ont également saisi des pavés.
500 policiers étaient mobilisés pour ce derby avec chiens, chevaux et hélicoptère. Il y a eu plusieurs accrochages entre supporters rivaux dans l'après-midi et de nombreux artifices utilisés.
Vers 20h30, la police est intervenue pour séparer quatre supporters du Sparta qui se battaient avec deux du Slavia suite à une tentative de vol d'écharpes sur ces derniers.
Après le coup de sifflet final, les fans du Sparta ont été priés d'attendre dans leur bloc le temps que le stade se vide. A la sortie, un fan du Sparta n'a pas hésité à sauter à pied joint sur le pare-brise d'un véhicule de police.







Traduction Underground Fans

Brice Taton : un des meurtriers présumés en cavale à l'étranger - 12/10/2009

Source : LaDépêche.fr

Enquête. Deux hommes encore recherchés.

À Belgrade, l'enquête sur la mort de Brice Taton, le supporter du TFC mort le 29 septembre après la sauvage agression des hooligans serbes, se poursuit et mobilise les plus hautes autorités de l'État. Depuis l'interpellation de onze personnes, au lendemain de l'agression du 17 septembre, les policiers serbes recherchent deux autres suspects.

Aujourd'hui, l'étau se resserre autour de l'un d'eux. Les autorités serbes supposaient qu'il se trouvait à l'étranger, aux Pays-Bas précisément selon certaines sources. Le ministre de l'Intérieur, Ivica Dacic, a confirmé ces soupçons hier : « Certains indices nous permettent de penser que ce suspect se trouve dans un pays étranger. Nous allons, bien sûr, demander à ce pays des informations. » Samedi, le ministre avait annoncé que deux mandats d'arrêt avaient été délivrés à l'encontre des fuyards.

Parmi les onze suspects arrêtés, dix ont été écroués. Ils risquent 30 à 40 ans de prison. Le onzième a été laissé libre. Il aurait fourni une aide aux agresseurs présumés. Ces suspects feraient partie d'un groupuscule ultra-violent de la mouvance des hooligans qui gravitent autour du Partizan de Belgrade. Parmi eux, on trouve un lycéen, un étudiant en droit, un fils d'une famille aisée… Des jeunes dont l'âge s'échelonnerait entre 18 et 27 ans.

Le 17 septembre, quelques heures avant le match TFC-Belgrade, un petit groupe de supporters toulousains avaient été violemment agressés alors qu'ils étaient installés, paisiblement, à la terrasse d'un café du centre ville. Brice Taton avait été frappé à coups de barres de fer et jeté du haut d'un escalier, dix mètres en contrebas.

Algérie - Rwanda - 11/10/2009

Source : nouvelobs.com

Incidents à Marseille après la victoire de l'Algérie: sept personnes en garde à vue



Sept personnes ont été interpellées dans la nuit de dimanche à lundi et placées en garde en vue (dégradation, outrage, rébellion et coups et blessures sur agents ayant autorité) à Marseille après une série d'incidents qui font suite à la victoire de l'Algérie en match de qualification pour le Mondial 2010, a-t-on appris lundi de source policière.

Plusieurs milliers de supporters algériens ont envahi le centre de la cité phocéenne à l'issue du match, vers 22h30, et dégradé des devantures de magasins et des abribus, notamment dans le quartier du Vieux-Port. Six policiers ont été blessés. Près de 150 fonctionnaires de police avaient été mobilisés. Les incidents se sont terminés vers 00h30.

L'Algérie a battu dimanche le Rwanda par 3 buts à 1 et a désormais de sérieuses chances de qualification.

Actuellement au Canada, où il a répondu à une invitation du maire de Quebec pour disputer un match amical, Zinedine Zidane continue de suivre de très près l'actualité du ballon rond, et en particulier les qualifications pour la Coupe du Monde. L'ancien Ballon d'Or ne s'est pas exprimé concernant les chances françaises pour la qualification, mais a préféré évoquer la situation de son pays d'origine, en l'occurrence l'Algérie. Ravi de voir les Verts faire la course en tête dans le groupe préliminaire, Zizou a confié aux journalistes qu'il est de tout cœur avec les hommes de Saâdane, et qu'en cas de leur qualification pour le tournoi planétaire, il viendra en Afrique du Sud, avec le drapeau algérien dans les mains.

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Source : Le Dauphiné Libéré

Grenoble: Scènes de liesse et incendies de voitures après la victoire de l'Algérie

Pour célébrer cette importante victoire, des centaines de supporters algériens sont descendues hier soir dans les rues de Grenoble pour manifester leur joie : concert de klaxons, pétarades de cyclomoteurs, crissements de pneus, tirs de feux d'artifice et de pétards...

Le carrefour des cours Berriat et Jean-Jaurès a d'ailleurs rapidement dû être neutralisé par la police tant il y avait de monde à cet endroit. Majoritairement constitué d'un public qui ne cherchait qu'à manifester sa joie, ce rassemblement a hélas été terni par plusieurs incidents. Vers 23 h 15, une 205 Peugeot a été détruite en partie par un incendie sur le cours Jean-Jaurès. Un autre véhicule a subi le même sort vers 23 h 45 rue Genissieu. Un feu de poubelle a été allumé vers minuit à l'intersection Berriat/Jaurès et une troisième voiture a été incendiée au niveau du 52 cours Jean-Jaurès à 0 h 15. Ce n'est que vers 0 h 30 que le quartier a retrouvé son calme.



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Source : Nord Eclair.fr

Roubaix: Des débordements dans le centre après le match Algérie-Rwanda

Dimanche soir après le match, une trentaine de casseurs se sont mêlés aux 300 supporters dans le centre-ville. Bilan : un institut de beauté vidé de ses produits et 80 policiers pour rétablir l'ordre.

Dimanche, la soirée a bien commencé mais s'est mal terminée. Après le match de football et la victoire de l'Algérie sur le Rwanda, 300 supporters ont offert un défilé de klaxons dans le centre-ville. Jusque-là, c'est toléré. Mais la situation a commencé à dégénérer peu après minuit. Les véhicules roulant à vive allure ont contraint les forces de police à bloquer certaines rues, histoire d'éviter que le centre-ville ne devienne un circuit de formule 1. La tension a ensuite grimpé d'un cran quand des groupes ont approché à pied.
Devant l'agressivité envers les agents de police du commissariat de Roubaix, les CRS ont chargé pour disperser la foule qui tentait de démonter des éléments du Magic Mirror, la salle de concert ambulante installée sur la Grand-Place... Un institut de beauté du centre a eu moins de chance. Après avoir forcé le rideau métallique, des casseurs encagoulés ont brisé la vitrine à coups d'extincteurs. Les produits de beauté stockés dans le magasin ont servi de projectiles contre les forces de l'ordre avant d'être éparpillés au sol. « Il était environ minuit quand on m'a appelée. Quand je suis arrivée sur place, il y avait de la crème partout, regrette la gérante, montrant son comptoir détruit lui aussi. Je n'ai plus de caisse enregistreuse et je n'ai plus d'ordinateur. Même le téléphone a valsé dans les airs. C'est la désolation. »

Le ras-le-bol des riverains

Dans le centre-ville à Roubaix, les riverains sont excédés par ce qui vient de se passer. « C'est de pire en pire, s'insurge Marie, commerçante sur la Grand-Place depuis 1995. Quand c'est pas le football, ce sont les mariages. On n'a rien contre les klaxons, mais faut pas qu'il y ait de la casse. » Avec ses collègues, le principal sujet de conversation en ce début de semaine tourne autour des événements de dimanche soir. « Ils roulaient comme des fous, même dans les sens interdits. Il est temps que ça bouge à Roubaix, sinon, un jour il va y avoir un drame. » Bilan : il aura fallu l'intervention de 80 policiers et deux heures pour rétablir le calme. Aucun blessé n'a été signalé. Cinq personnes ont été interpellées. Huit voitures ont aussi été brûlées peu après la fin du match à Roubaix et dans les alentours. Dans la métropole lilloise, Roubaix est la seule ville qui ait connu une troisième mi-temps de la sorte.



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Source : LaDépêche.fr

Castres: Les policiers caillassés à Laden

Il était 22h30 environ lorsque la patrouille de nuit de la police nationale était appelée sur le quartier en raison de tapage nocturne, suite au mouvement de liesse provoqué par la victoire de l'équipe de football d'Algérie qui jouait (et a gagné) hier soir face au Rwanda.

Les policiers étaient donc présents sur place pour effectuer un tour de ronde et demander à ce que le calme soit respecté.

Une fois sur place, la patrouille s'est retrouvée face à un groupe de supporters bruyants formé d'une trentaine de jeunes gens qui ne se sont pas gênés pour manifester leur mécontentement de voir la police débarquer. L'accrochage verbal a vite tourné au caillassage de la voiture de police sur laquelle on a pu, par la suite, relever trois impacts sur la carrosserie.

Comme d'habitude en pareille situation, les policiers n'ont pas cherché le contact direct et se sont retirés en attendant l'arrivée de renforts.

Un peu plus tard donc dans la même soirée, une deuxième patrouille a été réalisée dans le quartier formée d'un effectif plus nombreux accompagné du commissaire le Soleu de Castres et de l'officier de permanence. Le groupe de jeunes gens s'était alors dispersé. Une enquête est toujours en cours sur les violences urbaines relevées dimanche soir.

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Saint-Etienne: les supporteurs de l'Algérie (encore) trop bruyants

Dimanche soir, l'équipe de football d'Algérie a remporté son match contre la Zambie (3-1). Elle est presque qualifiée pour la Coupe du monde, et ses supporteurs ont fêté la victoire. ca a notamment été le cas à Saint-Etienne, où une dizaine de véhicules ont sillonné les rues du centre-ville, tous klaxons dehors, jusqu'à minuit.

Des riverains de la place de l'Hôtel-de-ville se sont plaints du bruit à la police, qui est intervenue boulevard Jules-Janin. Un automobiliste d'origine algérienne a été placé en garde à vue pour conduite dangereuse. Jugé en comparution immédiate hier après-midi, il a écopé de 70 heures de travaux d'intérêt général.

Ce n'est pas la première fois que les habitants du centre-ville se plaignent de ces débordements de joie ; le mois dernier déjà, lors du précédent match de l'équipe d'Algérie, la police avait procédé à des interpellations.



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Source : Emirates Business 24/7

L'agence de presse APS a indiqué que 71 personnes avaient été blessées dont trois policiers suite à la victoire de l'Algérie sur le Rwanda. De nombreuses personnes ont reçu des coups de couteau lors d'affrontements entre jeunes et policiers.

Shrewsbury Town - Port Vale - 10/10/2009

Source : Stoke & Staffordshire

Quatre supporters ont été interpellés. 100 policiers avaient été mobilisés pour éviter que les incidents de la saison dernière ne se reproduisent. Deux fans de Vale et deux de Shrews pnt été arrêtés suite à un accrochage à l'extérieur du stade a indiqué l'inspecteur de la police du West Mercia, Steve Fitzpatrick. Dans l'ensemble l'opération policière autour de cette rencontre a été un succès.

Traduction Underground Fans

Roumanie : Becali déclare la guerre aux supporters du Steaua - 12/10/2009

Source : lepetitjournal.com / Bucarest

En privant les supporters les plus "excités" d’accéder au stade, le patron du Steaua choisit la manière forte pour régler le malaise qui règne dans les tribunes. Alors que l’équipe la plus titrée de Roumanie enchaîne désormais les matchs à huis clos sur son propre terrain.

George Becali l’a annoncé vendredi, sans détour, au moment où la Ligue professionnelle de football venait de sanctionner une nouvelle fois le Steaua pour le mauvais comportement de ses supporters. Encore vexé par les banderoles et les slogans injurieux à son égard qui ont été scandés dans les gradins lors du match contre Bistrita, le 4 octobre dernier, le financeur du Steaua a déclaré que "les billets et les abonnements des virages sont nuls. Leur remboursement commencera demain (…) Ceux des tribunes 1 et 2 n’ont pas à s’inquiéter, ils peuvent continuer à venir avec leur abonnement". Désormais les supporters les plus extrémistes, qui ont fait du départ de Becali l’une de leurs priorités, ne sont donc plus les bienvenus dans les tribunes de Ghencea, le stade bucarestois du Steaua. Et Gigi Becali a pris toutes les précautions pour qu’aucun d’entre eux ne puisse contourner cette nouvelle décision : "Pendant un mois, nous les avons filmés. Nous avons leur photo. Nous les avons identifiés et ils sont dans notre base de données." Pour remplir le trou laissé par ces fans incontrôlables, Becali a décidé de vendre les billets restants au prix symbolique d'un euro.

"Becali a confisqué les espérances de millions de personnes"
Pour le président du club, Valeriu Argaseala, il s’agit d’une décision légale. Cité par le quotidien Gazeta Sporturilor, celui-ci estime qu’un "match de football est considéré comme une manifestation publique", par conséquent "les injures ou les contre-manifestations y sont interdites". Dans le monde du sport, cet épisode pose beaucoup de questions. "Peut-être que l’annulation des abonnements est légale, mais moralement elle pose problème. Becali estime que Ghencea est sa propre maison et qu’il peut décider de qui y est invité. Mais ce stade et ce club ont existé avant lui et existeront après son passage", estime Radu Naum, journaliste à GSP TV. Radu Banciu, de Pro Sport, écrit sur son blog que Becali a réussi "à confisquer les espérances de millions de personnes", ajoutant que dans quelques générations, on se souviendra de son nom comme d’une "épine" dans l’histoire du football roumain.

"C’est une guerre ancienne"
Loin d’en être à leur première crise, les relations entre le financeur du Steaua et les fans de l’équipe se sont déjà envenimées à maintes reprises. Dimanche 20 septembre, environ 200 supporters de l’équipe bucarestoise s’étaient rassemblés devant le stade Ghencea pour scander des slogans contre Gigi Becali. "Si tu ne pars pas de Ghencea, on te terrorisera et tu n’en réchapperas pas !", "En prison, Becali, en prison !", "Fais tes bagages, tes moutons t’attendent !", pouvait-on entendre à l’extérieur de l’enceinte du stade. Pour Radu Naum, la guerre entre les supporters et la direction du club est même bien plus ancienne. "Quand Gigi Becali a amené des entraîneurs comme Hagi ou Lacatus, qui signifiaient beaucoup pour le club, de véritables idoles, et qu’il les a traités comme des moins que rien, alors les supporters ont commencé à accumuler de la frustration", explique le journaliste. La situation n’a fait que se détériorer depuis. "Ce ne sont pas des supporters vraiment méchants, conclut Radu Naum, mais Hagi me disait récemment qu’il avait peur que la violence ne fasse que s’amplifier."

Belgique - Turquie - 10/10/2009

Source: mail (merci à l'expéditeur)

Apres le 1-0 les supporters turcs ont commencé à lancer des fumigènes sur les stewards et les pompiers

voila la video :


Apres le 2-0 les supporters de la Turquie essayent de franchir la barriere mais les stewards les empechent; ils retournent tous a leur place et commencent à lancer les sieges sur la piste d'atlethisme

voila la video :

Une enquête de la police contre des supporters de Chelsea antisémites - 13/10/2009

Source : Coupfranc.fr

L’affaire fait grand bruit en Angleterre depuis la semaine dernière, lorsque une vidéo postée sur Youtube a montré au grand public ce que la télévision anglaise cherche à cacher avec des effets sonores. Le club de Chelsea, son voisin Tottenham, et la police anglaise sont sur l’affaire qui prouve que non, contrairement à ce qu’on veut nous faire croire, tout n’est pas réglé au pays de Sa Majesté.

Cette vidéo montre des supporters de Chelsea dans les travées du Britannia Stadium de Stoke City, à l’occasion du match entre les deux équipes mi-septembre. Ce jour là, Chelsea s’était imposé 1-2 et c’était la seule chose qui avait été notée. Sauf qu’un mois plus tard, grâce à la vidéo, les anglais ont redécouvert les chants antisémites de certains supporters de Chelsea.

Ceux-ci ont entamé un chant visant les Spurs de Tottenham, dont une grande partie des supporters fait partie de la communauté juive. Le chant est le suivant « Les Spurs vont à Auschwitz, Hitler va les gazer à nouveau. » Une cinquantaine de supporters ont repris ce chant en y ajoutant pour quelques-uns le salut faciste.

Tottenham a déposé une plainte auprès de la Fédération Anglaise et Chelsea a annoncé avoir envoyé des vidéos à la police pour que les coupables soient authentifiés. Le club annonce, qu’outre les éventuelles sanctions de la justice, ces personnes seront bannies du stade et assure son voisin que tout sera fait pour que de tels propos ne se reproduisent plus à l’avenir.

Chelsea a expliqué que des sanctions avaient déjà été prises pour ce même type d’incident. Lors de la réception de Tottenham, une mention spéciale avait été ajoutée au programme d’avant-match distribué à tous les supporters « les chants antisémites sont inacceptables et sont une honte pour le club et pour tous les vrais supporters de Chelsea. » La lutte contre l’antisémitisme est prise très au sérieux par le club de Roman Abramovich, juif lui-même…

Dernier recours rejeté pour Santos - 13/10/2009

Source : RMC.fr

Le supporter de l’OM a vu sa peine de prison ferme définitivement confirmée par un tribunal espagnol.
Ça va mal pour Santos Mirasierra. Selon une information publiée par la Provence, le plus célèbre supporter de l’OM a vu son dernier recours rejeté par le tribunal constitutionnel de Madrid. Cette décision confirme la peine de trois ans et demi de prison ferme qu’il encourt pour des violences commises en marge du match de Ligue des champions Atlético de Madrid-Marseille, la saison dernière. Toujours selon la Provence, Santos Mirasierra « selon toute vraisemblance, demandera dans les prochaines heures le rapatriement de son dossier en France pour y purger sa peine ou intenter les démarches à l'aménagement de celle-ci ».

Le supporter de l'OM Santos Mirasierra veut demander une grâce présidentielle - 14/10/2009

Source: Le Monde

C'est par un appel téléphonique de son avocat espagnol que Santos Mirasierra, 37 ans, a appris mardi 13 octobre que sa condamnation à 3 ans et de demi de prison ferme par la justice espagnole devenait définitive. Le troisième recours déposé par Me Erlantz Ibarrondo-Merino a été rejeté par le tribunal correctionnel de Madrid après plusieurs semaines d'étude. Une décision qui épuise les procédures possibles en Espagne pour le supporter marseillais. Et rend du même coup la peine applicable sur le territoire français. "Depuis le début, la justice espagnole suit une seule logique : Santos est coupable !, soufflait l'ultra de l'OM, joint peu après la nouvelle… J'avais un petit espoir mais, au fond de moi, je ne m'attendais pas à ce qu'elle change de cap ". "Je n'irai pas à Madrid pour me livrer, poursuivait-il, ferme sur ses intentions, car je me considère comme innocent et je n'entérinerai pas une décision qui fait de moi un coupable. Je laisse mes avocats, ici, en France, me conseiller sur la marche à suivre".

En décembre 2008, Santos Mirasierra avait été lourdement condamné après les incidents du match Atletico Madrid-Olympique de Marseille, pour un délit de "coaction". La juge avait estimé que sa présence au milieu des autres supporters phocéens au moment de l'agression d'un membre des forces de l'ordre espagnoles, frappé en pleine tête par un siège arraché aux tribunes, suffisait à le sanctionner de 3 ans et demi de prison. Cinq jours seulement après le jugement, sous la pression diplomatique de la France et grâce à une mobilisation sans précédent pour un supporter de football, Santos était finalement libéré sous caution, la veille du match retour entre l'OM et l'Atletico.

Depuis, ce cariste de 37 ans avait repris sa vie et son travail à Miramas, petite ville à 50 kilomètres de Marseille, et sa place de leader vocal au sein des Ultras, son groupe de supporters. En avril dernier, son interpellation suite à une bagarre avant la rencontre Lille-OM avait choqué l'opinion publique. Reconnaissant avoir frappé un supporter lillois, Santos Mirasierra avait été condamné à trois mois de prison avec sursis, sans interdiction de stade. Il avait plaidé "l'accès de paranoïa devant une provocation" et la difficulté pour lui de vivre sa médiatisation.

SARKOZY EN SAUVEUR ?

En validant la peine, l'Espagne a fait franchir à l'affaire Santos une nouvelle étape. Mais la procédure peut encore être longue. "L'émission d'un mandat d'arrêt européen peut prendre plusieurs semaines, voire des mois, note Me Alain Baduel, l'un des avocats français de Santos Mirasierra. Et son étude par la chambre d'instruction d'Aix-en-Provence, où il doit parvenir, encore un autre délai. La France peut alors décider de ne pas extrader Santos et de lui faire purger la peine dans son pays".

Mais Me Baduel a une autre idée en tête. Il compte d'abord demander le maintien en liberté de son client durant la période d'instruction du mandat. Puis utiliser cette période pour en appeler au Président de la République et lui demander de prononcer une grâce "partielle ou totale". "C'est la seule possibilité que nous avons encore d'éviter un retour en prison, note-t-il. L'opinion publique s'est retournée contre Santos après l'épisode de Lille. Elle s'est sentie trahie… Mais c'est oublier qu'il a subi une condamnation totalement injustifiée en Espagne et que sans cette première condamnation qui a bouleversé sa vie, il n'y aurait sûrement pas eu cet épisode dans le Nord." Il faudra en tout cas beaucoup de persuasion pour convaincre Nicolas Sarkozy d'intervenir dans ce dossier alors que le gouvernement vient de lancer un vaste plan de lutte contre la violence dans les stades.

Turquie: Bursaspor - Diyarbakirspor - 10/10/2009

Source: http://www.armenews.com/rubrique.php3?id_rubrique=81&date=2009-10-7&age=7&age2=6

Dés la 26ème minute du jeu, les supporters de Bursaspor ont commencé à casser les sièges en plastique et les jeter sur les supporters de Diyarbakirspor. Quelques supporters de Bursaspor ont même essayé de sauter les barrières pour attaquer des supporters de l’équipe visiteuse.

La bagarre ne s’est pas arrêtée avant que les policiers ne se soient placés entre les partisans des deux équipes, mais dix supporters de Diyarbakspor dont une femme, avaient déjà été blessés. Une agence de presse a annoncé que cinq personnes ont été arrêtées.

Les hooligans dans les Balkans : les lieux des revendications politico-identitaires - 11/10/2009

Source: http://www.paperblog.fr/2392328/les-hooligans-dans-les-balkans-les-lieux-des-revendications-politico-identitaires/

Les récentes violences lors de rencontres sportives en Bosnie-Herzégovine (voir sur le blog de l'anthropologue Alain Bertho ses articles sur les violences du 9 septembre 2009 à Mostar en Bosnie-Herzégovine, du 17 septembre 2009 à Belgrade en Serbie et du 4 octobre 2009 à Siroki Brijeg en Bosnie-Herzégovine) ont déjà été l'objet d'un billet sur ce blog : "Sport, violence, politique et processus de paix dans les Balkans". L'actualité permet de questionner un autre point autour de l'utilisation politique du sport dans les revendications communautaires et la construction identitaire en rejet de "l'Autre" : la question des lieux où s'expriment de telles manifestations de violences à des fins politiques.
Le football est, en Europe comme dans beaucoup de régions du monde, un sport emblématique, notamment du fait de sa forte médiatisation et de sa mondialisation (voir l'article, très agréablement illustré, de Jean-Pierre Augustin, 1996, "Les variations territoriales de la mondialisation du sport", Mappemonde, n°4/1996, pp. 16-20). "Le football s'est imposé comme l'un des sports les plus achevés de la modernité" (Gilles Fumey, "Comment le monde se shoote au football...", Les Cafés géographiques, rubrique Brèves de comptoir, 4 juin 2006). Si par les aménagements et les constructions d'infrastructures qu'il suscite, le sport peut être un moyen de réactiver un territoire en crise (voir notamment les travaux des géographes Jean-Pierre Augustin et Loïc Ravenel), les lieux du sport peuvent également être utilisés pour la mise en spectacle de tensions politiques et/ou identitaires.
Le stade de football devient dès lors une scène de théâtre politique, un haut-lieu du symbolique mis en spectacle. D'une part, le stade de football est une mise en scène des dynamiques agrégatives et ségrégatives des sociétés actuelles, ne serait-ce que par le prix des places qui met en place des logiques de distanciation et de différenciation sociospatiales. "Le stade, et pas seulement un soir de march, devient en modèle réduit l'illustration de l'adéquation de l'organisation d'un espace aux valeurs d'une société" (Claude Mangin, 2001, "Les lieux du stade, modèles et médias géographiques", Mappemonde, n°64, n°2001/4, p. 36). Claude Mangin analyse ainsi, avec pertinence, le stade de football comme "une transposition du mode d'urbanité "carcérale"" (voir notamment son schéma montrant les logiques ségrégatives qui s'établissent au sein du stade de football, en fonction de l'appartenance sociale, op. cit., p. 37. On retrouvera également des schémas du même ordre dans l'analyse de la répartition sociospatiale des spectateurs dans le stade de Marseille, proposée par Christian Bromberger, 1989, "Le stade de football : une carte de la ville en réduction", Mappemonde, n°1989/2, pp. 37-40), qui met en scène les tendances de différenciation sociospatiale que l'on observe dans toutes les villes à travers des logiques d'enclavement subi/choisi (comme l'exemple de la multiplication des gated communities non seulement dans les villes dites "occidentales", mais également en Amérique du Sud d'où ce modèle est originaire, en Asie et, plus récemment, en Afrique).
Le stade est aussi le haut-lieu de la mise en spectacle de la différenciation identitaire, notamment au travers de l'utilisation de la couleur. Bien évidemment, porter le maillot de l'équipe encouragée est faire preuve de soutien. Mais cette mise en visibilité peut devenir plus problématique dans des contextes politico-sociaux sous tension, comme le montre le cas des Balkans (mais aussi la multiplication d'événements violents lors de rencontres sportives dans d'autres régions du monde). Afficher son soutien à une équipe peut être, au-delà des enjeux sportifs, une forme de reconnaissance et d'identification communautaires, qu'elles soient locales, régionales ou nationales. L'échec de l'équipe soutenue n'est, dans ce cas, plus interprété seulement au regard du résultat sportif, mais en fonction de l'inacceptable défaite, dans la mesure où elle signifie la victoire de "l'Autre".
Claude Mangin analyse, ainsi, le stade de football non seulement comme une transposition des différenciations sociales existant dans la société, mais également comme un haut-lieu politique permettant la mise en visibilité de l'appartenance identitaire. Il existe ainsi, en plus de la ségrégation sociospatiale, une territorialisation des identités à l'intérieur du stade : se placer est déjà une forme d'affirmation communautaire. Analysant le cas du stade de Nancy, il montre bien que "des tribunes aux tribus, il n'y a qu'un pas, vite franchi par les groupes de supporters placés derrière les buts. Groupés en clans aux noms éventuellement anglo-saxons et guerriers - à Nancy ils sont Snipers, Red Sharks, Diables Rouges ou Collectif -, ils ont spontanément colonisé des territoires précis et balisés, les moins chers et les plus proches du niveau du sol, les plus visibles des tribunes principales aussi. Identifiés par des banderoles, ils ont leurs couleurs, leur uniforme, leur équipement, leurs chants ("Aux armes", "Nous sommes les Nancéiens", etc.), bref leur culture, et leurs agitateurs qui organisent l'ambiance" (op. cit., p. 39). Il existe ainsi une mise en visibilité de luttes identitaires et territoriales, selon l'emplacement des spectateurs, qui se traduit par la différenciation et la mise à distance entre supporters de l'équipe locale (celle qui joue sur SON terrain, symbolisant ainsi la défense du territoire) et supporters de l'équipe visiteuse.
Lorsque de tels enjeux symboliques se matérialisent dans le contexte de l'immédiat après-guerre, comme en Bosnie-Herzégovine ou en Serbie, surtout lorsque la lutte identitaire reste profondément ancrée dans la vie politique tout comme dans les territoires du quotidien, les lieux du stade de football prennent une importance démesurée, comme ce soit dans le cas de l'affichage ostentatoire des tensions par le biais des maillots, des drapeaux, des couleurs à l'intérieur du stade, ou par le biais de violences à l'extérieur du stade. Les "espaces intermédiaires", ceux qui ne sont plus tout à fait le stade, mais pas encore les territoires du quotidien, sont particulièrement emblématiques de cette mise en visibilité du rejet de "l'Autre", puisqu'ils permettent de toucher les médias présents pour la rencontre, mais échappent au contrôle territorial qui se déploie dans un stade à travers les services de sécurité.
Du fait des "débordements" qui se multiplient de plus en plus à l'intérieur des stades, ces lieux sont devenus également des hauts-lieux du déploiement de la souveraineté locale, régionale ou étatique : contrôler le stade de football devient un enjeu politique fortement symbolique, qui permet également, par le biais des média, la mise en spectacle du contrôle territorial acquis (ou supposé l'être) dans l'ensemble de la ville, de la région et/ou de l'Etat. D'où le déplacement des violences à la sortie des stades, témoignant des limites du contrôle territorial urbain (et de la mise en scène de telles limites, entre territoires (sur)contrôlés et "zones grises").
=> Le stade de football peut donc bien être interprété comme un haut-lieu du spectacle : bien au-delà du seul spectacle sportif, le stade de football devient le lieu de la mise en visibilité des haines communautaires, des différenciations sociales, des tensions politiques.

River Plate - Independiente - 12/10/2009

Source: http://www.perfil.com/contenidos/2009/10/12/noticia_0023.html

Un peu moins de 150 supporters d'Independiente (ndr: 153 au final) ont été arrêtés par la police fédérale, alors qu'ils tentaient d'entrer avec violence dans le stade Monumental, où leur équipe affrontait River Plate dans le tournoi d'ouverture de la première division argentine.

Ces barras bravas ont été transférés dans les commissariats 31, 33 et 51.
Plusieurs de ces personnes étaient couvertes de légères blessures.

Traduction Underground Fans (c)

VIDEO:

http://www.clarin.com/diario/2009/10/13/um/m-02018136.htm

Autre source:

http://www.continental.com.ar/nota.aspx?id=893596

Argentine: Juventud Universitario de San Luis - Talleres de Cordoba - 11/10/2009

Source: http://espanol.sports.yahoo.com/noticias/deportes-hinchas-talleres-causaron-suspension-partido-11102009-82.html

Cette rencontre sera interrompue pendant 2 minutes suite à des troubles causés par des supporters du Talleres, qui a perdu 2-1.

Argentine: Chacarita Juniors - San Lorenzo - 09/10/2009

Source: http://www.canchallena.com/1184558-jugadores-e-hinchas-se-tomaron-a-las-trompadas-en-la-platea-de-chacarita

Un petit groupe de supporters de Chacarita s'en prendra à deux de ces propres joueurs.
Cet incident nécessita l'intervention de la police.