Saison 09/10 - Octobre

Slovénie : Olimpija - Maribor - 17/10/2009

Source: dnevnik.si + green-dragons.com

50 supporters ont été arrêtés après des bagarres d'avant match impliquant 200 supporters des deux équipes.











VIDEO:

http://www.dnevnik.si/novice/kronika/1042307798
http://sport.dnevnik.hr/multimedia/ufc/uzivo/masovni-okrsaj-huligana-u-sloveniji.html

Photos exclusives d'Oliver Knezovic tirant sur les supporters du FC Sarajevo - 18/10/2009

Source: Dnevni list

Dnevni list a publié les photos montrant Oliver Knezovic, soupçonné d'être l'auteur du meurtre de Vedran Puljic. On y voit Oliver Knezovic, arme à la main, puis tirant en direction des supporters du FC Sarajevo et enfin rendre l'arme à un officier de police. Vedran et Knezovic sont entourés d'un cercle rouge sur les photos.

Traduction Underground Fans

Sedan - Tours - (Charleroi Belgique) - 16/10/2009

Source: mail (merci à l'expéditeur)

La semaine passée Sedan jouait contre Charleroi à domicile.. Le noyaux dur de Charleroi n'avait pas jugé nécessaire d'y aller. Une poignée de supporter lambda avaient fait le déplacement. Alors qu'une dizaine de ceux-ci buvaient un verre à une terrasse +- 30 gars armés de coups de poing américains et bouteilles ont attaqués les fans normaux de Charleroi.. 2 d'entre eux seront conduit à l'hôpital. A leur retour au voiture ils ont pu constaté des tags sur leur autos avec la mention "Young boys Sedan".

Les Boys '91 de Charleroi ont très vite appris la nouvelle.. Ce geste ne pouvait pas resté impuni. Une semaine plus tard alors que Sedan joue à domicil contre Tours +- 45 hooligans belge arrivent sur place.. Repérage des lieux, localisation du café.. Les lads de Charleroi garent leur voiture sur un parking localisé un peu plus bas et décident de monter la rue qui mène vers le café. C'est alors que la police surgit de partout, plusieurs combi, voitures banalisée, spotter. Les gars de Charleroi décident tout de même de rester un peu en espérant voir apparaitre les gars de Sedan. Le noyau dur Carolo doit alors si il ne veut pas passer 72 h de garde vue et prendre des coups de flash ball dans la gueule s'en aller.

L'action de Sedan de la semaine passée était minable.. Le fait de ne pas avoir vu le bout de leur nez alors qu'un vrai groupe était là cette fois confirme que les Français n'ont pas grand chose dans le froc.. Petite mentalité, petit groupe.

RCSC BOYS '91 ALWAYS STAND



In Sedan, Part of the mob

RSC Anderlecht - RSC Charleroi - 17/10/2009

Source: mail (merci à l'expéditeur) - Charleroi

Un car (combi bus obligatoire) où se trouvait les Boys a été arrêté sur un parking à Luttre.. La police envahi le car, oblige les mecs à mettre les mains sur les appuie-têtes... Photo de chaque personne avec un numéro, fouille très sérieuse..

10g de cocaïne saisi et un peu d'herbe
Arrivée au stade avec 50 min de retard pour le premier car..
Le second car ne verra même pas la couleur des tribunes

Spartak Moscou — Lokomotiv Moscou - 18/10/2009

Source : agence Interfax + radiomayak.ru + top.rbc.ru

603 supporters ont été arrêtés par la police a indiqué l'agence Interfax. Des supporters ont notamment brulé des sièges dans les tribunes du stade où 75 supporters ont été arrêtés pour ivresse manifeste. 404 supporters ont été interpellés pour troubles à l'ordre public et 124 pour divers délits.



Traduction Underground Fans

Lille OSC - Rennes - 17/10/2009

Source : Nord Eclair.fr

Vingt bougies pour les DVE

Ils font partie de l'histoire du LOSC. Les DVE fêtaient hier leur 20e anniversaire. Deux décennies de bons et mauvais moments.

Ils font partie de l'histoire de leur club. De la descente en Division 2 à la Ligue des Champions, de la chaleur de Grimonprez-Jooris à la morosité du Stadium : les DVE (Dogues Virage Est) ont toujours accompagné le LOSC dans ses bons et mauvais moments. Fondé en octobre 1989, à l'initiative de cinq passionnés, dont Franck Leczieux, décédé depuis, ce groupe de supporters soufflait ses 20 bougies hier avec ses 600 membres.

La suite dimanche prochain

Les banderoles ont été exceptionnellement autorisées, trois grands tifos de 35m2, des remerciements en pagaille et des grandes fontaines lumineuses devant la tribune Nord : les DVE, avec l'aide du LOSC, ont mis les petits plats dans les grands, « pour remercier tout le monde », explique Fred Maenza, le président des DVE. « On travaille sur cet anniversaire depuis des mois. Des gens, qui n'ont plus l'habitude de venir au LOSC, reviennent même dans notre tribune juste pour l'occasion. Chacun a un souvenir dans ce groupe de supporters. C'est notre force : on a su se renouveler. Les DVE ont su traverser les générations. Avant 1989, il n'y avait pas beaucoup d'ambiance, pas de chant ni de groupe de supporters. On peut être fier de nous.
On fait partie intégrante de l'histoire du LOSC ».
La soirée était donc très festive et chaleureuse hier soir en tribune Nord. Mais ce n'est pas tout, « car les DVE, c'est au moins une quinzaine de déplacements par saison ». « On passe nos meilleurs moments loin du Stadium, enchaîne Fred Maenza. On donne rendez-vous à tout le monde pour le déplacement à Auxerre dimanche prochain pour une grande journée ». Deux décennies, ça se fête. Rendez-vous dans dix ans avec un trentième anniversaire dans les travées du Grande Stade...

Suisse : La facture salée de l'hooliganisme - 18/10/2009

Source : TSR.ch

Chaque semaine de match en Suisse nécessite l'engagement de 900 policiers en moyenne pour assurer la sécurité et le bon déroulement des rencontres de foot ou de hockey. Si l'on part de l'idée qu'un policier coûte 1000 francs par jour, la facture atteint quelque 25 millions de francs par an.

Le chiffre de 900 policiers a été calculé par le service hooliganisme de l'Office fédéral de la police à la demande de la conseillère d'Etat saint-galloise Karin Keller-Sutter. Il s'agit d'une moyenne qui peut varier selon la saison, la région ou le club, a indiqué à l'ATS la responsable cantonale de justice et police en lien avec des informations parues dimanche dans le "Matin Dimanche" et la "SonntagsZeitung".

Ce calcul a été effectué sur la base du rapport que les corps de police dressent après chaque match. Il ne tient pas compte des matches de Coupe suisse (une centaine de policiers par match en moyenne), a précisé Karin Keller-Sutter, qui préside le groupe de travail de la Conférence des directeurs cantonaux de justice et police (CDCJP) consacré à la violence dans le sport.

Somme "plausible"

D'après les deux journaux, l'engagement de 900 policiers pour éviter les débordements lors des matches entraîne, sur une année, des dépenses pour 25 millions de francs au total. Le montant de 1000 francs par policier et par jour vient de la police cantonale bernoise, selon Karin Keller-Sutter. A ses yeux, cette somme est "plausible" si l'on tient compte de tous les paramètres. S'y ajoutent les conséquences sur le travail de base de la police.

Cette recherche d'informations sur les effectifs policiers engagés lors de matches s'inscrit dans le processus d'élaboration de mesures de lutte contre les hooligans. Le groupe de travail de la CDCJP veut présenter un plan d'action lors de l'assemblée plénière de la mi-novembre. La conseillère d'Etat saint-galloise estime nécessaire que les cantons, compétents en matière de sécurité, prennent les choses en main et fassent des propositions. Les milieux politiques et policiers doivent pouvoir imposer des concepts de sécurité aux clubs, a-t-elle fait valoir.

La priorité, à ses yeux, doit être de responsabiliser les associations et d'améliorer l'organisation, par exemple en renforçant l'encadrement des supporters et en vendant des billets combinés. Ce qui se fait en Belgique est un bon exemple, d'après Karin Keller-Sutter. Un dialogue est en cours avec les fédérations suisses.

Pays-Bas : FC Oss - FC Haarlem - 16/10/2009

Source : omroepbrabant.nl

Une bagarre a éclaté entre supporters après la rencontre. Des supporters du FC Haarlem ont attaqué un café où se trouvait des dizaines de fans locaux avant de prendre la fuite avant l'intervention de la police. Quatre supporters d'Haarlem ont été interpellés un peu plus tard avant d'être relâchés.

Traduction Underground Fans

Pays-Bas : Go Ahead Eagles - Cambuur - 16/10/2009

Source : cambuur.nieuwslog.n

Après le match, trois cars transportant des fans de Cambuur ont été attaqués par des fans locaux. Il y a pour 10 000 € de dégâts sur deux cars tandis que le troisième n'a eu qu'une vitre brisée. Deux supporters de GAE ont été interpellés.

Traduction Underground Fans

Blackburn Rovers - Burnley - 18/10/2009

Source : Lancashire Evening Post

Vingt hooligans ont été arrêtés après une bagarre planifiée entre Blackburn Rovers et Burnley. A 18h15, la police est intervenue au pub Station, situé dans Cherry Tree Road à Blackburn où les hooligans des deux clubs s'affrontaient. Il y a eu 20 interpellations.

Traduction Underground Fans

Barrow AFC - Oxford United - 03/10/2009

Source : Oxford Mail

Quatre supporters ont été arrêtés suite à une bagarre qui a eu lieu vers 14h15 au pub Wetherspoon proche du stade d'Holker Street. L'altercation a impliqué 15 à 20 personnes selon la police. Il n'y pas eu d'autre arrestation par la suite.

Traduction Underground Fans

Levski Sofia - Beroe Stara Zagora - 18/10/2009

Source : sport.onet.pl

Après une nouvelle défaite du Levski (le club est neuvième du championnat bulgare), 50 hooligans ont tenté de s'introduire dans le vestiaire de leurs propres joueurs. La police les a arrêté.

Traduction Underground Fans

AGOVV Apeldoorn - FC Eindhoven - 16/10/2009

Source : Omroep Brabant

Une vingtaine de supporters du FC Eindhoven, furieux de la nouvelle défaite de leur équipe (1-4), ont bloqué le car des joueurs à la sortie du stade. La tension est retombée après une petite demie-heure.

Traduction Underground Fans

Sedan - Charleroi - match amical - 09/10/2009

Source : CR reçu par mail

Déplacement de la jeunesse Storm Ultras (8 mecs, 2 filles) à Sedan. Ambiance normale, un petit groupe se faisant remarquer fin de match, côté sedanais. La sortie est retardée une dizaine de minutes. A la sortie, les Storms aperçoivent à proximité directe de leurs voitures un groupe de 5-6 personnes. Arrivée sur place l'autre partie du groupe sort d'un coin pour atteindre les 30-35unités. Regroupement sedanais et charge.
Très net avantage sedanais vu le nombre avec en plus du 3 contre 1, 4 contre 1, 5 contre 1, lynchages faciles... Merci pour l'utilisation de poings américains, les dégradations des voitures (2 ailes + un YB griffé à la clé).

Les Storms perdront quelques plumes...mais sauveront la bâche. Quelques points de suture pour 2 gars. Imprudents, en sous-nombre, un peu naïfs, notre jeunesse a sauvegardé l'essentiel. Pour le reste, "Young Boys" ou pas, il n'y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas.

STORM ULTRAS 2001

AS Nancy - O.Marseille - 17/10/2009

Source : CR côté locaux reçu par mail

Rassemblement des Nancy dans leur bar à 100-120 unité de jeunes, moins jeunes et anciens (sans nos allemands) 100 pour cent Nancy ! Nous savions qu'à 500 mètres se trouvait une 20aine de marseillais dans un bar là où déjà l'année dernière c'était parti ! 18h30, départ vers le bar où déjà 6 fourgon de CRS nous attendaient ... ça cri, ça chante tous les chants anti marseillais, à peine arrivé devant le bar, les Nancy attaquent, ça part de tous les cotés, gros avantage de Nancy au vu de notre nombre et gros gazage des condés pour nous disperser !!! ça a duré 2 mns et tout le monde part vers le stade et l'exception des IDS (5) qui retournent direction notre bar pour rejoindre 5 autres Nancy et là à notre grande surprise et comme par hasard 2 mns après le passage du cortège des Nancy, arrive comme par enchantement une 30-40aine de mecs casuals de marseille. Ils viennent sur l'un des meneurs de Nancy en criant COME ON, lancé de canettes. De l'abus, je vais voir leur meneur en disant qu'ils nous avaient raté de peu nous pensons qu'ils nous on surveillé tout l'après midi et on préféré attaquer les derniers qui squatter le bar ! je leur propose un rdv après le match qui sera accepté. Après match rassemblement de 80-100 unité devant le bar toujours encadré par les condés mais sans un marseillais en face ... à l'année prochaine

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Source: Mails - Marseille

Rassemblement dans un bar idéalement placé non loin du lieu de la rixe de l'an dernier.
Environ 40 Fans Marseillais, (et non 20). La journée passe, les bac-eux font leur rondes, pas une minute sans apercevoir un véhicule de police.
Le groupe des Nancy est au bar, belle mob quantitativement. Puisque rien ne bouge on décide de prendre les choses en mains. Afin d'éviter quelques courtes escarmouches entourés par les forces de l'ordre, il est évident que nous ne pouvons nous permettre de parcourir le demi kilometre nous séparant par le point le plus court. Nous faisons mine de rentrer au stade pour effectuer le grand tour et arriver par l'autre coté devant le bar des locaux peu farouches, loin du dispositif afin de pouvoir en découdre au mieux. Malheuresement c'est pendant ce temps la que nancy décide de bouger (enfin?). << A croire que vos jeunes spotter de 15 ans en Lonsdale avaient utilisé tout leur forfait MTVmobile et ne pouvaient pas se permettre de vous prévenir de notre départ du bar. >>
Leur bar est vide, des sirenes de police, quelques mecs par ci par la revenant de leur "charge" contre notre bar d'acceuil pour un morne samedi. Et un invité surprise en la personne d'un casual nancéen pris dans le cortege policier avec nous bien malgré lui.

On vous a laissé l'opportunité d'effacer votre défaite de l'an dernier sur vos terres, l'an prochain(on doute de vous voir a Marseille) on sera moins cléments.

Brice Taton, une mort politique ? - 21/10/2009

Source: ladepeche.fr

Drame. Un journal croate estime que le supporter du TFC a été tué en représailles des frappes de l'Otan.

Pourquoi Brice Taton a-t-il été tué ? Action isolée de hooligans des IRR (Irreducibili), groupe issu des Grobaris, soutiens du Partizan Belgrade, ou agression d'anciens de milices serbes, en représailles aux frappes de l'Otan sur Belgrade en 1999 ? Le journal croate Novi List, cité récemment par Courrier International, penche pour la seconde hypothèse. « Ce n'est pas le fait de soutenir un club de foot que le jeune Français a payé de sa vie : il a été châtié en tant qu'« ennemi », responsable du bombardement de l'Otan », écrit le journaliste Branko Mijic. Alors que le match retour de Ligue Europa Toulouse-Partizan Belgrade se profile, l'hypothèse d'un règlement de comptes « politique », et la crainte de manifestations violentes, reprennent de l'épaisseur. « J'ai perdu des amis durant les bombardements de l'Otan auxquels a participé la France, en 1999, et ce n'est pas pour cela que je vais attaquer un Français », déclarait pourtant il y a trois semaines dans l'Équipe Magazine Predrag Simic, le président des Grobaris. Pour Simic, ce sont les Toulousains qui n'avaient rien à faire dans le centre ville de la capitale de Serbie : « Les Indians auraient dû se déclarer auprès des responsables du Partizan. La police les aurait alors encadrés ». « Oui, je connais la plupart des individus arrêtés. Je suppose qu'ils ont considéré que les Indians leur lançaient un défi en venant ainsi groupés au centre de Belgrade », ajoute Simic. Pour Alain Taton, le père de Brice, il y a peu de cas à faire d'une telle distinction. « Je ne sais pas si ce sont vraiment des supporters qui ont tué mon fils, ou si ce sont d'anciens miliciens, ou les deux. Il faut que les coupables soient punis, c'est tout. » Même souci pour Paul Cometto, l'un des porte-parole des Indians, le groupe de supporters dont faisait partie Brice Taton, qui pense avant tout à son ami et à sa famille, « qui a reçu des messages de soutien de partout, y compris de Serbie ». Toutefois, les Indians ne sont pas insensibles à d'autres paroles prononcées par Predrag Simic (« Oui, je m'y rendrai avec mes amis [à Toulouse] et l'on verra jusqu'où va la tolérance française »). « Une provocation, pour Paul Cometto. Quand on sait ce que prône ce groupe de supporters, il faudrait être inconscient pour leur accorder des visas et les laisser venir au match ». À six semaines de Toulouse-Partizan, et alors que la mobilisation en souvenir de Brice ne faiblit pas (André-Pierre Gignac lui a dédié la victoire contre le PSG ce dimanche), Alain Taton ne sait toujours pas quand les agresseurs de son fils seront jugés. « Cela peut être dans les six mois qui viennent, ou plus. »

Olympiakos - Standard de Liège - 20/10/2009

Source : 7sur7.be

Les supporters du Standard traités "comme des vaches"

Les supporters des Rouches qui ont fait le déplacement en Grèce pour assister au match de Ligue des Champions contre l'Olympiakos s'en souviendront longtemps. Les fans liégeois, femmes comprises, ont été malmenés par les policiers en tribunes, sans raison.

"Les policiers ont tapé dans le tas"
"Des supporters de l'Olympiakos ont jeté des bouteilles en direction de nos supporters, a raconté Christian Hannon, le responsable de la sécurité du Standard qui a accompagné les 840 supporters rouches à Athènes à la DH. "Comme les policiers nous poussaient de force dans la tribune, certains se sont retrouvés à la balustrade. Les policiers ont estimé que c'était de la provocation: ils ont chargé et ont tapé dans le tas sans distinction. Y compris dans les femmes et les pères de famille... Pas moyen de discuter, ils ne connaissent que la matraque! On a été traité comme des vaches."

"Il n'y avait qu'un WC!"
Les supporters rouches ont passé cinq heures dans la tribune: ils étaient encore dans le stade une heure après le coup de sifflet final! Les policiers ne voulaient pas laisser ressortir les supporters de leur bloc. "Finalement, ils se sont un peu relâchés et nous ont laissé sortir. Mais il n'y avait qu'un WC! Et qu'un stand boissons pour se rafraîchir."

Quand le football prend plus des allures de guerre que de sport populaire...





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Source : Mail


Drapeau volé

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Source : CR reçu par mail (merci à l'expéditeur)

Environ 850 supporters du Standard auront fait le déplacement à Athènes. On squatte une place pas loin de la place Omonia, des chants constants pendant deux jours et nuits, des verres et bouteilles brisées partout sur la place et les rues avoisinantes, mais aucun groupe d'Olympiakos viendra nous attaquer alors qu'il n'y avait pratiquement pas un flic (la seul chose qu'ils ont fait c'est d'attaquer quelques supporters lambdas esseulés pour leur prendre leur drapeaux et autres)... Le jour du match on se rend à la place Omonia pour prendre le métro vers le stade, et là ça part en couilles, les wagons démolis, les vitres pétées etc... On arrive au stade et on charge immédiatement les flics qui ripostent évidemment, les fans d'Olympiakos sont partout autour de nous et les jets de projectiles commencent (verres, bouteilles, pierres, poubelles etc...) Un flic perdra une grenade lacrymogène qui sera lancée par nous au milieu des fans d'Olympiakos. Pendant tout le match ça continuera ainsi d'une tribune à l'autre. Après le match obliger de rester dans le stade pendant assez longtemps, et puis retour à la gare de métro ou là à nouveau il y aura de la fight avec les flics. Arrivés a la place Omonia on cherchera encore des gars de la gate 7 mais a part des toxicomanes un peu partout on ne verra personne de valable de chez eux et ça pendant toute la nuit.




Grenade lacrymogène

Source: mail (merci à l'expéditeur)

VIDEO:

Montpellier : Des supporters dignes de vrais hooligans - 20/10/2009

Source : Midi Libre

RAPPEL : Samedi, une violente rixe a éclaté. Des fans montpelliérains avaient préparé l'expédition punitive. Inquiétant



« J'ai jamais vu de la violence comme ça, que des gens de Montpellier cassent à Montpellier, c'est inacceptable ! » Mohand, le patron du bar Le Petit Ness, place Jean-Jaurès, n'en revient toujours pas. Samedi après-midi, il a été l'un des témoins des affrontements entre supporters en plein centre-ville, à quelques heures de la rencontre opposant Montpellier à Saint- Étienne. « Ils sont arrivés avec des foulards, en ligne comme une armée, avec des battes de base-ball. Ils étaient trente ou quarante, c'était des Montpelliérains et ils ont repéré des Stéphanois qui buvaient des coups en terrasse. Ils ont crié : "Stéphanois !" et ils leur ont foncé dessus. » Le patron et ses employés ont alors secouru deux jeunes venus de l'Ardèche pour soutenir l'ASSE (Association sportive de Saint- Étienne). Ils ont même recueilli des personnes dans le bar alors que les « barbares » ont lancé des feux de Bengale et des pétards agricoles. L'un des Stéphanois a été blessé à la tête, sans gravité, mais le pire a été évité. Notamment grâce à l'intervention des policiers de la Bac (brigade anticriminalité) qui ont quand même tiré une dizaine de coups de flash-ball pour faire fuir les assaillants.
Les jours précédents déjà, les fans des deux clubs s'étaient "allumés" sur internet, multipliant les insultes et les rendez-vous pour se "castagner". Ce n'était pas du bluff. La raison : une haine ancienne pour une banderole volée par les Foréziens, provocation ultime chez les Ultras...
Côté stéphanois, des dizaines de supporters ont débarqué en ville, déjà ivres, et ils ont continué à s'alcooliser dans des proportions importantes. « En vingt-cinq ans, je n'ai presque jamais vu ça. La quasi-totalité des 450 Stéphanois était ivre, c'était une saoulographie de groupe et nous n'avions pas de moyen légal de les empêcher d'aller en ville », témoigne l'avocat Pierre-Marie Grappin, qui s'occupe de la sécurité au MHSC. Dans l'Écusson, certains commerçants ont baissé leur rideau de fer et les stands de la Comédie ont plié boutique sur invitation de la police, en vue de l'arrivée des hordes de supporters.
Les fans des Verts, encadrés par les gendarmes mobiles du centre-ville jusqu'à la gare, ont certes multiplié les chants guerriers et les insultes. Mais leurs homologues montpelliérains inquiètent sérieusement en se transformant en vrais hooligans au point de vue organisation et souci d'en découdre (lire ci-dessous). Qui sont-ils ? Une frange marginale des amoureux du Montpellier-Hérault. Certains témoins présents place Jean-Jaurès évoquent des casquettes du groupe Armata Ultras, même si des membres de ce club démentent toute implication.
« Ce ne sont pas les traditionnels de la Butte. Il y a quelque tordus et les plus excités vont vers les Armata Ultras mais on n'a pas de preuve certaine, poursuit M e Grappin. Ce qui est sûr, c'est que nous ne laisserons rien passer, ce ne sont pas cinquante personnes qui vont nous pourrir la vie. » Du côté de la Butte Paillade, le principal club de supporters, la condamnation des incidents est sans appel : « On ne peut pas cautionner ça, alors qu'on se bat pour ne pas être considéré comme des sauvages. La chasse à l'homme, ça sert à rien, ça contribue à nous enterrer et c'est pas le moment », réagit Bouba, vice-président.

Le meurtrier présumé d'un supporteur bosniaque s'est rendu en Croatie - 21/10/2009

Source : Le monde avec AFP

Le meurtrier présumé d'un supporteur de football lors de violences de hooligans début octobre au sud de la Bosnie s'est finalement rendu mardi à Zagreb, après deux semaines de cavale, a annoncé mercredi la police croate. Oliver Knezovic, un Croate de Bosnie, "s'est rendu à la police, accompagné par son avocat", a déclaré à la télévision nationale un porte-parole de la police croate, Krunoslav Borovec. Le suspect s'est présenté mardi après-midi dans un commissariat de police de Zagreb. Knezovic, 35 ans, est soupçonné du meurtre de Vedran Puljic, 24 ans, tué par balle lors de violences survenues le 4 octobre à Siroki Brijeg, avant un match de championnat national entre l'équipe locale et celle de Sarajevo. Puljic, comme la majorité des supporteurs de Sarajevo, était un Musulman de Bosnie, tandis que la plupart des fans de Siroki sont des Croates de Bosnie. Knezovic s'était rendu à la police bosniaque le jour même, mais il s'était enfui pendant sa garde à vue. "Selon les informations dont nous disposons, il possède la nationalité croate" en plus de son passeport bosniaque, a expliqué M. Borovec. La police bosniaque avait lancé un mandat d'arrêt international contre Knezovic, mais la Constitution croate interdit toute extradition de citoyens croates. Quatorze ans après la guerre de Bosnie (1992-95), les tensions restent vives entre les principales communautés du pays, serbe, musulmane et croate.

Montpellier : « C'était pour défendre les couleurs du club » - 21/10/2009

Source : Midi Libre

« C'était pour défendre les couleurs du club et empêcher les Stéphanois de casser le centre-ville de Montpellier. » Emmanuel G., Montpelliérain de 22 ans, faisait partie de l'expédition punitive de samedi, place Jean-Jaurès. Voilà les explications qu'il a livrées devant le tribunal correctionnel, lundi soir, où il a été le seul supporter à être jugé pour avoir jeté un galet sur la police.
Il a écopé de quatre mois de prison avec sursis, assortis d'une interdiction de stade (à Montpellier seulement) pendant un an, alors que le parquet avait requis huit mois de prison dont quatre avec sursis.
Son profil n'est pas atypique : il n'a pas de casier judiciaire, n'a pas spécialement d'emploi et il vit chez ses parents. Samedi, il a rejoint ses amis "supporters" qui s'étaient donnés rendez-vous sur la Comédie en arrivant en tramway. Ils ont remonté la rue de la Loge à la recherche de Stéphanois qu'ils ont localisés place Jean-Jaurès. Comme ses comparses, Emmanuel G. avait tout prévu : un sac à dos rempli de galets de plage pour la bagarre, des fumigènes, des gants et une cagoule « pour ne pas être repéré par la vidéosurveillance ». Bref, la parfaite panoplie de l'apprenti hooligan. Et il n'a pas contesté le fait qu'il n'aurait pas hésité à se battre. Il n'en a pas eu le temps, puisque les policiers l'ont interpellé.
Abonné au MHSC, il a affirmé n'appartenir à aucun club de supporters. « Il s'est laissé embarquer dans cette histoire, il est influençable et ce n'est pas dans ses habitudes », assure M e Poilpré, qui lui a évité la prison.

De fâcheux...

De fâcheux précédents Ces incidents viennent se greffer à d'autres constatés depuis la remontée du club en Ligue 1. A chaque fois lors de rencontres classées à risque. En août, dès le premier match - contre le PSG -, des bagarres éclatent non loin du stade. Bilan : un supporter parisien perd un oeil et les hooligans de la capitale sèment la pagaille aux stands d'alimentation. Le 29 août, à Nice, des pétards agricoles éclatent. Un Pailladin écope de quatre mois de prison ferme pour avoir jeté ces bombinettes, un autre de six mois de suspension de stade pour avoir introduit des fumigènes. Pour ces faits, le club montpelliérain risque d'ailleurs des sanctions disciplinaires et reste sous le coup d'un match à huis clos avec sursis. L'affaire passe en commission de discipline le 29 octobre, à Paris. Enfin, à Marseille, trois autres supporters ont été interpellés.

Supporters de l'ASSE : table ronde après les incidents de Montpellier - 20/10/2009

Source : Le Progrès

Des affrontements ont eu lieu entre supporters stéphanois lors du match Montpellier-ASSE, Magic fans et Green angels.



Samedi soir, un grand nombre de policiers étaient sur le parking du stade Geoffroy-Guichard, pour attendre les huit cars. Ceux des Green angels ont été retardés, le temps pour les Magic fans d'avoir quitté le parking pour éviter une nouvelle confrontation. Une rencontre a eu lieu hier en fin d'après-midi dans les locaux du commissariat de police à Saint-Étienne entre les policiers référents auprès de la Fédération française de football et les présidents des deux clubs de supporters. Il s'agissait de prévenir de nouveaux débordements, de mettre fin à un éventuel contentieux, mais aussi et surtout de rappeler quelques règles de conduite à respecter avant d'envisager des sanctions.

Agression anti-blancs après Anderlecht-Charleroi - 21/10/2009

Source : La Dernière Heure.be

On apprend que samedi soir, après le match contre Charleroi au Parc Astrid, une agression d’une violence rare s’est déroulée dans le métro bruxellois, plus précisément dans la rame de 23h58 qui quittait la station anderlechtoise St-Guidon vers le centre-ville.

Si elle n’a pu les compter, une des trois victimes déclare avoir reçu de l’ordre de 50 coups de poing et coups de pied des agresseurs, au nombre de 11.

L’agression a atteint un sommet de cruauté quand les auteurs, le maintenant par la nuque, lui ont arraché 20 cm2 de cheveux par plaque entière à l’avant du crâne, tandis qu’un autre filmait la scène, à l’aide d’un GSM.

Un nombre d’usagers pourtant supérieur à celui des agresseurs était présent dans la rame.

À la vue des onze et devinant ce qui allait se passer, ceux-là ont réussi à rejoindre l’arrière du wagon et ont assisté groupés à l’agression qui a duré deux arrêts, sans intervenir d’aucune sorte, pas même actionner l’alarme.

Isolées au milieu du compartiment, leurs victimes, trois hommes de 19, 45 et 53 ans, les seuls à porter l’écharpe mauve, ont aussi subi crachats de glaire et insultes, y compris racistes.

Enfin, à la station Comte de Flandre où ils quittent la rame, les auteurs sont filmés par les caméras qu’ils narguent, “triomphants, faisant la fête, agitant les bras et y ajoutant des doigts d’honneur” .

Quant aux victimes, elles sont descendues à la station suivante, de Brouckère, où là seulement ceux qui avaient assisté à tout sans intervenir les ont rejointes pour offrir aide et soutien, leur dire que “c’était scandaleux” et les encourager à déposer plainte.

Commissariat le plus proche ? Celui du Marché au Charbon, le plus important du pays : pourtant, selon la victime, Christophe B., interrogée hier par la DH , la police de Bruxelles “a refusé d’acter la plainte […] À l’accueil, la policière, d’origine allochtone, m’a répondu qu’on ne pouvait rien faire pour moi”, sinon appeler une ambulance.

La victime du métro de 23h58 a dû revenir. Sa plainte a finalement été actée le lendemain dimanche par la police du métro. Ce P-V est-il traité comme une urgence ? Hier en tout cas, soit trois jours après les faits, il n’a toujours pas été transmis au parquet de Bruxelles.

Quand nous le rencontrons hier matin, c’est la première fois depuis le week-end que Christophe B., 45 ans, employé de mutuelle, se risque à sortir seul de chez lui. Un stress post-traumatique l’accable; il rencontre un psychiatre ce mercredi matin à la clinique Saint-Michel.

À de Brouckère, sa priorité fut de faire bloquer les cartes bancaires qui se trouvaient dans son portefeuille également volé. “Stop Card m’a dit que j’étais le cinquième en 20 minutes sur cette ligne de métro.”

Christophe revient sur la douleur des cheveux arrachés par poignées : “J’ai hurlé.” Les insultes proférées : “Sales Belges, vous êtes tous des racistes. Vous êtes tous des Flamands. On nique Anderlecht. On va vous enculer. On va vous saigner.” Pour donner le temps aux complices de frapper encore pendant quelques secondes supplémentaires alors que la rame à l’arrêt à Comte de Flandre allait redémarrer, un des onze a bloqué les portières avec ses pieds et crié à ceux qui continuaient encore de frapper : “Putain, tu l’achèves ou non. Mais achève-le, putain.”

Les auteurs étaient grimpés à Aumale et Étangs Noirs.

Gladbach-Köln : sécurité - 20/10/2009

Source : bild.de

Pas moins de 1600 policiers seront mobilisés samedi 24 octobre pour assurer la sécurité autour de ce derby jugé à très hauts risques. Les forces de l'ordre ne veulent plus voir les scènes d'émeutes des précédentes années.

Enquête policière suite aux incidents lors de Waldhof Mannheim-1. FC Kaiserslautern II - 20/10/2009

Source : swr.de

Suite aux très violents incidents du 02 septembre dernier entre Mannheim et Kaiserslautern (match interrompu 20 minutes, 8 policiers blessés et 36 arrestations) l'enquête policière suit son cours et a débouché à ce jours à l'interdiction de stade d'une durée de 2 à 3 ans pour 32 hooligans dont 17 de Kaiserslautern.
La police continue ses recherches d'identifications des fauteurs de troubles.



Traduction Underground Fans

Olimpija - Maribor - Coupe de Slovénie - 21/10/2009

Source : green-dragons.com

Deuxième rencontre en une semaine entre les deux clubs, cette fois-ci en coupe.

Green Dragons Olimpija