Saison 09/10 - Octobre

RSC Anderlecht - Ajax Amsterdam - 01/10/2009

Source: mail (merci à l'expéditeur)

la journée s'est globalement bien passée entre les 2 camps "amis". Quelques petits accrochages entre mecs bourrés mais rien de bien grave. L'amitié a toujours repris le dessus.

Après le match, les gars de Ajax voulaient absolument faire quelque chose. Les 2 groupes (BCS + AJAX) se sont alors dirigés vers les quartiers immigrés d'Anderlecht, avec lesquels nous avons un petit contentieux depuis un certain temps :-)

Malheureusement pour nous, quand on vient les chercher ils se terrent imédiatemment dans leurs tanières.....

Les friterie "KEBAB" en prendront pour leurs vitrines ainsi que les magasin de type "jelaba", les voitures, etc.

Grosse charge de la police dans la rue et hélico au dessus de nous. Dispersion dans les rues où il se passera pleins de truc isolés.

VIDEOS:

Ajax Amsterdam VS immigrés et police, grand place à Bruxelles





reportage d'AT5 sur le barbecue organisé entre Anderlecht et Ajax

http://www.at5.nl/artikelen/24614/bbq-anderlecht-ajax



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Source: 7sur7.be + http://www.ajaxfotoside.nl

Échauffourées entre police et supporters de l'Ajax sur la Grand Place

De nombreux supporters ajacides ont fait le déplacement jusque Bruxelles aujourd'hui pour assister à la rencontre RSC Anderlecht - Ajax d'Amsterdam pour le compte de la phase de poules de l'Europa League.

Parmi ceux-ci, une partie se trouvait Grand Place en fin d'après-midi, visiblement fort éméchés. Les pavés de la plus belle place du monde étaient jonchés de déchets en tous genres et le contact entre policiers bruxellois et supporters amstellodamois ne s'est pas fait sans heurts...

En effet, des échauffourées ont commencé à éclater entre les forces de l'ordre et les supporters néerlandais, et la police tentait d'évacuer les supporters de la Grand Place, où des Ajacides s'étaient retrouvés pour boire quelques verres au Charles Quint.

Il n'y pas eu jusqu'à présent d'incidents graves. Espérons qu'il en reste ainsi toute la soirée.

RC Strasbourg: Interdit de stade pour un an - 01/10/2009

Source: http://www.dna.fr (merci à l'expéditeur)

Interpellé lundi soir lors des incidents qui ont émaillé le match Racing-Caen, un membre des Ultra Boys a été condamné hier à un an d'interdiction de stade.

Tribunal correctionnel

« Je ne lui ai jamais craché dessus. Je ne l'ai jamais frappé. » Le supporter du Racing jugé hier pour violences en réunion commises sur un stadier de la Meinau lundi soir (nos précédentes éditions) a clamé son innocence à la barre du tribunal correctionnel de Strasbourg.
Agé de 19 ans et membre des Ultra Boys, le jeune homme - qui portait encore à l'audience son pull à capuche de l'association - a simplement admis avoir participé à une bousculade survenue à la mi-temps.
Une cinquantaine de personnes ont tenté de pénétrer dans le stade alors qu'aucune entrée n'était plus autorisée. « On était beaucoup, explique-t-il. Dans le mouvement, je me suis heurté à lui. Je l'ai poussé, il m'a poussé. Quand j'ai vu que c'était un stadier, j'ai reculé. »

« Victime collatérale des
mauvais résultats du club »

La victime, qui travaille au Racing depuis treize ans, parle pourtant d'un « lynchage » durant lequel elle a perdu lunettes et portable. « J'ai été roué de coups, raconte le stadier. Et je pèse mes mots. » Toutefois, il reconnaît aussi que dans la confusion, il n'a pas vu tous les visages de ses agresseurs.
Pour le substitut Olivier Glady, qui assistait au match, « il ne s'agit pas d'en faire une affaire d'Etat ». Le prévenu « est le premier à chercher le stadier, mais toutes les blessures ne lui sont pas entièrement imputables ». « L'effet de foule est au coeur de ce dossier », dit-il.
« On est dans un domaine qui déchaîne les passions, appuie Me Grégoire Mehl pour la défense. C'est une personne passionnée, qui peut avoir des réactions passionnées, victime collatérale des mauvais résultats du club. » Surtout, le conseil note que le dossier est basé sur deux versions. Or, « rien ne peut apporter plus de crédit à celle de la victime ».
Le prévenu a été condamné par le tribunal à quatre mois de prison avec sursis et une interdiction de stade d'un an. Les soirs de match, il devra pointer au commissariat.

Politehnica Timisoara - Dinamo Zagreb - 01/10/2009

Source: mails (merci aux expéditeurs) + Pro Sport + L'Equipe

Incidents et blessés à Timisoara

Des affrontements entre supporteurs croates du Dinamo Zagreb et roumains du FC Timisoara ont fait plusieurs blessés jeudi en début de soirée, en marge la rencontre opposant les deux clubs en Roumanie en Ligue Europa, a indiqué la police locale. Trente personnes ont aussi été interpellées après ces incidents. «Quatorze Roumains et seize Croates» exactement, a précise un porte-parole des forces de l'ordre de Timis.









Vol de bâche











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Autres photos + vidéos: http://www.uncoltuitatdelume.net/2009/10/batai-in-centrul-timisoarei-la-politehnica-timisoara-dinamo-zagreb-uefa-league-grupe/

France: CSSA : supporters sous haute surveillance - 02/10/2009

Source: http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/360606/ (merci àl'expéditeur)

« La sécurité est une de nos priorités nous faisons ce qu'il faut », assure le nouveau directeur de l'organisation et de la sécurité pour le CSSA, Daniel Garrigues en poste depuis le 1er août. Qu'il s'agisse des supporters en déplacement ou des spectateurs à domicile, le protocole établi est très clair. La clef est « d'encadrer au plus près les supporters ». Et ne pas laisser de place au hasard.
Dans le cadre des déplacements, location des bus, mise à disposition de stadiers, lieux de rendez-vous et horaires précis… Tout est organisé. Lors du dernier match à Strasbourg, sept stadiers et un superviseur accompagnaient les 80 supporters, et les chauffeurs des deux bus avaient pour consigne de ne pas s'arrêter à proximité de la ville afin d'éviter tout contact avec les supporters adverses. Sur place, la police nationale était mobilisée.
À domicile, même souci de sécurité. « Les bus sont immédiatement acheminés dans une enceinte fermée dont les supporters ne peuvent sortir. Le grillage de plus de 4 m de haut rend les jets de projectiles difficiles. Ils sont ensuite canalisés dans les couloirs et fouillés par nos stadiers ou la police nationale si le match est classé à risque. »
De 1 à 3, le niveau de risque dépend des antécédents des équipes : échanges verbaux, coups, problèmes durant les
matchs…
Dans tous les cas, des renseignements permettant l'identification rapide des supporters sont échangés lors d'une rencontre préparatoire, organisée en amont entre responsables locaux (préfet, gendarmerie, mobile, police…) et directeurs de la sécurité des deux équipes. « Nous décidons alors de la stratégie à mettre en place. »
À Sedan, 180 stadiers peuvent être mobilisés (soit un stadier pour cent spectateurs), auxquels s'ajoute tout une hiérarchie : chef d'équipe, coordinateur et superviseur, tous équipés d'une radio afin de communiquer le plus rapidement possible. Et le must est sans doute le système vidéo qui équipe le stade. « Les spectateurs sont sans cesse surveillés. Si ça bouge trop quelque part, les caméras ciblent et prennent des photos pour identifier rapidement les fauteurs de trouble. »
Les dernières échauffourées à Dugauguez remontent à 2007, à cause de supporters venus d'Utrecht pour en découdre avec les Parisiens. Depuis, aucun débordement important n'est à déplorer. « Le président du club reste très vigilant. Nous voulons conserver l'esprit de convivialité et, au niveau sécurité, nous sommes bien en avance. Nous avons tout ce qu'il faut, mais les débordements ça va vite et on est jamais à l'abri de rencontrer des voyous…

France: Supporters violents, la guerre est déclarée - 02/10/2009

Source: http://www.lunion.presse.fr/index.php/cms/13/article/360624/Supporters_violents_la_guerre_est_declaree (merci à l'expéditeur)

Après la mort d'un supporter toulousain agressé en Serbie, Brice Hortefeux a annoncé la création d'une division nationale de lutte contre le hooliganisme pour cibler les meneurs et mieux coordonner les actions de renseignement. En marge de la saison 2008/2009, 623 interpellations ont eu lieu en France et 327 interdictions administratives de stade ont été prononcées. Depuis la reprise des championnats de Ligues 1 et 2, 95 supporteurs ont déjà été interpellés. Peut-on parler de hooliganisme dans la région, dominée par le foot amateur ? Sans doute pas. Reste que les pelouses et les abords des stades de l'Aisne, de la Marne et des Ardennes ne sont pas épargnés par la violence des supporters mais aussi celle des joueurs.


"Fight" à Reims, affrontements à Troyes
La violence dans et aux abords des stades ne concerne pas que les clubs de Ligue 1 et de Ligue 2. En National, le Stade de Reims a du faire face à quelques supporteurs agressifs et violents.
En février, une « fight » (bagarre) oppose violemment une vingtaine de jeunes Messins à une cinquantaine de Rémois dans le parc Léo-Lagrange. « On était venu pour le match mais aussi pour en découdre », confirmera un des supporters de Metz à la barre du tribunal correctionnel. Résultat : 500 euros d'amende et un an d'interdiction de stade.
« Ce ne sont pas des durs de durs »
Nouveau « coup d'éclat » des supporteurs rémois en août. Ce jour-là, des « Ultrems » chargent leurs congénères de Troyes... À Troyes. L'affrontement dure un quart d'heure. Dix-huit supporters du Stade de Reims sont placés en garde à vue. Comme l'y autorise la loi de janvier 2006, le préfet de la Marne demande l'interdiction du stade pendant trois mois pour six d'entre eux.
Le dossier de ces récidivistes est toujours en cours d'instruction. Pour les douze autres, la préfecture « envisage » de lancer la même procédure.
Malgré la répétition de ces incidents, Jacques
Fillols, directeur de l'organisation et de la sécurité du Stade de Reims, refuse de parler de hooliganisme et prie à deux mains de ne pas faire d'amalgame : « Ce ne sont pas des durs de durs mais des jeunes, mineurs pour certains, qui ne reviennent pas au stade une fois que la justice est allée jusqu'au bout. »
À l'écouter, la coopération avec les forces de l'ordre commence à porter ses fruits : « Depuis plusieurs mois déjà, il n'y a plus de pétards, de fumigènes ou de sièges cassés. Petit à petit, le problème est maîtrisé. »
Au niveau régional, on conjure également de ne pas tout mélanger.
Jean-Claude Hazeaux, président de la ligue régionale de foot, assure que tout est fait pour « appréhender les situations les plus graves » mais ajoute que personne « n'est pas à l'abri d'un gars qui disjoncte ».
Pour Frédéric Hamelin, responsable de Foot Citoyen, une association présidée par le journaliste Didier Roustan, la solution définitive à la violence passe par un changement radical des mentalités et un retour aux « vraies valeurs » du sport.
Sinon, prévient-il, le foot paiera un jour ce déficit d'image par une diminution de ses licenciés.

Tirs à bout portant : le supporter du PSG écroué - 02/209/2009

Source : Le Télégramme

Dans la nuit de mardi à mercredi, une banale altercation entre deux supporters de football devant un bar du centre-ville de Fouesnant a dégénéré. Alors qu'ils en étaient aux mains, le supporter du PSG a sorti un pistolet à plombs de type Beretta semi-automatique. Il a tiré à huit reprises et à bout portant sur son adversaire, fan de l'OM. Par miracle, ce dernier n'a été que légèrement blessé. Jugé hier à Quimper en comparution immédiate, le supporter du PSG, Concarnois de 21 ans, a écopé de sa 19e condamnation : dix mois de prison ferme.

West Ham United - Valenciennes à huis clos - 02/09/2009

Source : La Voix du Nord

Le match amical entre West Ham et Valenciennes, vendredi prochain, se jouera à huis clos sur la pelouse d'Upton Park.
Le club anglais, qui a connu de gros problèmes avec ses supporteurs récemment, a préféré privilégier cette option afin de permettre aux deux équipes de travailler dans le calme et la sérénité.

Dommage toutefois pour les fans du club nordiste, qui ne pourront pas voir évoluer leur équipe sur une pelouse de Premier League.

Lutte contre le hooliganisme : Saint-Étienne bien rodé - 02/09/2009

Source : Le Progrès



Après la mort d'un supporter toulousain à Belgrade, une nouvelle police a été créée pour lutter contre le phénomène de hooliganisme. Le point à Saint-Etienne

Il faut remonter à un certain 14 septembre 1977 pour évoquer la première manifestation en France de hooliganisme. C'était à l'occasion du match Saint-Etienne-Manchester au cours duquel plusieurs spectateurs avaient été blessés.

Hooliganisme pas mort 32 ans plus tard ?

Après le décès du jeune Toulousain à Belgrade, le ministère de l'Intérieur a décidé de créer une police spéciale pour lutter contre le hooliganisme, après une réunion à laquelle assistaient des préfets ou des représentants des départements concernés par la Ligue 1. Sébastien Lime, directeur de cabinet du préfet de la Loire, y assistait. « Ce nouvel outil renforce le dispositif existant en développant la coordination entre les services départementaux, pour un meilleur échange d'informations et une approche opérationnelle des matches à risques ».

Sans vouloir se pousser du coude, Saint-Étienne a, en la matière, une expérience certaine. Sébastien Lime rappelle que deux policiers, à la direction départementale de la sécurité publique, sont détachés pour le suivi des matches, la sécurité à l'intérieur du stade et les déplacements de supporters à l'extérieur. D'autre part, la culture locale veut qu'un dialogue permanent se soit instauré entre le club et ses stadiers, les forces de police, la justice qui répond souvent en terme de comparution immédiate (ex-flagrant délit) aux jets de fumigènes par exemple. D'autres partenaires jouent également le jeu comme la STAS (avec les liaisons Footbus) ou la SNCF ; « À Saint-Étienne, nous avons atteint un bon équilibre » résume Sébastien Lime, même si de nouvelles formes de violences peuvent apparaître comme celles de supporters contre leur propre club.

Pour le Stéphanois Pierre Eynard, policier à la retraite et qui suit depuis des années le phénomène du hooliganisme, cette nouvelle brigade ne peut être que bénéfique. « Je n'y vois que des avantages parce qu'elle dépendra de la direction centrale de la sécurité publique. On restera ainsi dans la même entité ce qui facilitera les contacts avec les DDSP (direction départementale de la sécurité publique). Il faudra par contre que cette brigade soit composée de spécialistes connaissant bien la problématique de la violence dans le foot, qu'ils aient à la fois des moyens, du temps pour remplir leurs objectifs. Mais, s'il s'agit d'un noyau central, attention à ne pas se mettre à dos les locaux… »

Toulouse FC - FC Bruges - 02/10/2009

Source : Mail

Marche pour Brice Taton dimanche - 02/10/2009

Source : L'Equipe

Les Indians, groupe de supporters du Toulouse FC, et l'équipe de football loisir du Forza Viola FC, organisent dimanche une marche en mémoire de Brice Taton, décédé mardi des suites d'une agression de hooligans à Belgrade, en marge de la rencontre Partizan - TFC, il y a huit jours. Les deux associations, auxquelles appartenait le jeune homme, appellent à «une marche silencieuse et pacifique». Le cortège partira à 14h00 du Capitole en direction du Stadium où le TFC doit accueillir Lorient à 17h00.

Les supporters, qui avaient mis en vente des t-shirts «Brice» jeudi lors du match d'Europa League contre Bruges, renouvelleront l'opération dimanche. Les bénéfices des ventes de ces t-shirts, destinés à financer les frais de justice supportés par la famille de la victime toulousaine seront versés à l'association Brice Taton, qui a vu le jour jeudi.

PSG Sécurité renforcée contre Nancy - 02/10/2009

Source : L'Equipe

Lors de la rencontre PSG-Nancy (8e journée), prévue samedi à 19h00, la sécurité sera renforcée dès le matin aux abords du Parc des Princes, a annoncé vendredi la préfecture de police dans un communiqué. Une surveillance particulière du métro sera exercée par les effectifs de la sous-direction de la police régionale des transports, appuyés par des unités mobiles de renfort. De plus, le contrôle des accès sera assuré par un contingent renforcé de contrôleurs et de stewards, tandis qu'un dispositif spécifique de filtrage avec des détecteurs de métaux sera mis en place par les services de police. Actuellement, soixante-douze personnes sont interdites d'accès au stade avec obligation de pointage.

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Source : Le Parisien

La tribune Boulogne va se taire pour Brice Taton

Un hommage au supporteur de Toulouse. Boulogne a décidé de s’arrêter de chanter les cinq premières minutes de la seconde période. Cette tribune veut rendre hommage à Brice Taton, le supporteur toulousain décédé mardi après avoir été agressé le 17 septembre à Belgrade. « Nous avons demandé une minute de silence, explique Philippe Pereira, des Gavroches. Mais on nous a dit que Ligue n’avait rien prévu. » Le club a décidé de diffuser, en début de seconde mi-temps, une photo de la victime sur les écrans du Parc.

Incidents à l'aéroport de Bucarest - 02/10/2009

Source : uncoltuitatdelume.net

Des incidents ont éclaté à l'aéroport international de Bucarest, Henri Coanda. Il semble que des fans du Dinamo aient agressé des fans du Steaua en provenance d'Enschede (Pays-Bas). Deux supporters du Steaua ont été hospitalisés et l'un d'eux est dans un état grave. Quatre supporters ont été interpellés par les forces de l'ordre. Les incidents sont fréquents entre les supporters des deux clubs de la capitale.

Traduction Underground Fans

Brice Taton honoré à Saint-Etienne - 03/10/2009

Source : L'Equipe

Une minute de silence a été observée avant le coup d'envoi de la rencontre Saint-Etienne-Bordeaux, en hommage au jeune (28 ans) supporter toulousain Brice Taton, décédé mardi dernier à Belgrade après avoir été sauvagement agressé par des hooligans du Partizan avant la rencontre face au TFC en Ligue Europa le 17 septembre dernier. La demande avait été effectuée par les supporters stéphanois et bordelais, qui entretiennent depuis plusieurs années d'excellentes relations. Des banderoles en hommage à Brice Taton ont également été déployées dans les deux kops stéphanois, ainsi que dans la tribune réservée aux fans girondins. Les supporters du PSG se sont eux aussi recueillis à la mi-temps du match face à Nancy. Des banderoles en souvenir du supporter toulousain ont été déployées au Parc des Princes.

AS Roma - CSKA Sofia - 01/10/2009

Source : Goal.com

Un supporter du CSKA, âgé de 36 ans, qui avait brandi un couteau à la face de supporters romains dans les tribunes a été arrêté par la police à la sortie du stade alors que celui-ci avait été clairement identifié grâce au dispositif vidéo.
Les policier ont également découvert sur lui un poing américain.



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Source : topfoot.com

Okaka victime d'injures racistes

Buteur face au CSKA Sofia, l'attaquant de l'AS Roma Stefano Okaka ne pensait certainement pas être récompensé de la sorte. Alors qu'il est allé fêter le but devant les supporters, il a été refroidit pas des injures racistes.

"J'ai entendu quelques mots racistes provenant de la Curva Sud. Néanmoins je suis très heureux d'avoir marquer", a t-il affirmé.

Interview. Rama Yade: son combat contre les hooligans - 04/10/2009

Source : LaDépêche.fr

Vendredi, elle a tenu une réunion d'urgence sur la violence dans le football. Après la mort de Brice Taton, supporter toulousain décédé ce mardi à la suite d'une agression à Belgrade, en marge du match Belgrade-TFC, la secrétaire d'État chargée des Sports Rama Yade a réagi en annonçant des mesures.

LA DépECHE DU DIMANCHE : Vous venez cet après-midi à Toulouse pour assister au match TFC-Lorient?

RAMA YADE : Oui. Je souhaite participer à l'hommage rendu à Brice Taton. Brice était un supporter ardent et passionné, il pratiquait le football avec son club, les Forza Viola. J'ai été bouleversée par l'agression barbare dont il a été victime. Le jour du décès de Brice Taton, j'ai interrompu mon déplacement au Liban pour être aux côtés de ses parents à Belgrade. Ce sont des gens admirables qui font preuve de beaucoup de courage et d'une très grande dignité. En compagnie d'Olivier Sadran, le président du TFC, j'ai également rencontré les autorités serbes, dont le président Boris Tadic, dont l'émotion face à ce drame était sincère.

DDD : Mourir pour le football, en 2009, c'est admissible ?

R. Y. : Ce n'est pas normal, et il ne faut pas s'y habituer ! Il faut tout faire pour que cela ne se reproduise plus. C'est pour cela que j'ai rencontré les ministres serbes en charge de l'enquête dont le ministre de l'Intérieur et la ministre de la Justice ainsi que le procureur. J'ai demandé qu'une peine exemplaire soit infligée aux agresseurs de Brice Taton. Dix suspects ont été arrêtés, mais il en manque deux qui courent dans la nature. À Belgrade, le procureur m'a indiqué que les agresseurs risquent une peine de prison de 40 ans pour cette agression barbare. C'était un massacre. Cela ne s'est pas passé dans un stade, mais en dehors, plusieurs heures avant le match. Rien ne peut justifier cela. Mon homologue serbe va organiser une conférence au niveau européen. J'irai en mémoire de Brice Taton.

DDD : Vendredi, au ministère, vous avez tenu une réunion d'urgence sur la violence dans le sport. Y-a-t-il une résurgence du phénomène ?

R. Y. : La violence a plutôt changé de nature. Elle ne s'exerce plus seulement dans les stades, mais en dehors, dans le centre des villes où se produisent des «fights». Elle s'exprime aussi de plus en plus contre les joueurs et les dirigeants de son propre club. La violence n'épargne pas non plus les clubs amateurs ! Le 13 septembre dernier, au cours du match de CFA Entraigues-Bollène dans le Vaucluse, un joueur a sorti une arme pour tirer sur un autre joueur qui a pris une balle dans l'abdomen. Il faut éradiquer cette violence, et la réponse doit être collective. C'est pour cette raison que vendredi, j'ai réuni Jean-Pierre Escalettes, président de la Fédération française de football, Fernand Duchaussoy, président de la ligue de football amateur, Frédéric Thiriez, président de la Ligue de football, Jean-Pierre Louvel, président de l'Union des clubs professionnels de football, ainsi que des représentants de la Chancellerie et du ministère de l'Intérieur pour que nous travaillions tous main dans la main.

DDD : Brice Hortefeux, le ministre de l'Intérieur, annonce la création d'une division contre le hooliganisme. Qu'en pensez-vous ?

R. Y. : L'agression de Brice Taton suppose une action serbe et une mobilisation européenne, en concertation avec l'UEFA. En France, au-delà des mesures policières qui sont nécessaires, il y a des lois qui prévoient des sanctions contre le hooliganisme, notamment celle de 2004 initiée par Nicolas Sarkozy. Les clubs ne doivent pas hésiter à porter plainte. Les interdictions de stades doivent être mieux appliquées. On ne compte que 45 interdictions administratives de stades en France, 125 interdictions judiciaires sont en cours, alors qu'il y en a 3 000 en Grande-Bretagne. Cela fait plusieurs semaines que j'assiste à des matches de football où l'on voit des fumigènes. Mais c'est interdit ! Il ne faut donc pas les tolérer. Et tous les acteurs doivent coopérer pour davantage d'efficacité. C'est pour cela que j'ai annoncé la création d'une cellule nationale de prévention et de lutte contre la violence. Elle sera l'interlocuteur sportif institutionnel du ministère de l'Intérieur comme du ministère de la Justice.

DDD : Encouragerez-vous la prévention ?

R. Y. : Il y a déjà des villes, des clubs, des ligues ou des districts qui mènent des actions intéressantes. J'ai décidé de confier à un inspecteur général du ministère la mission de recenser ces initiatives. Cela constituera un fichier de bonnes pratiques qui sera porté à la connaissance de tous les clubs, et nous encouragerons la généralisation de ces actions. Nous réviserons notre système de financement des actions contre la violence pour les cibler sur celles qui marchent.

DDD : Le Tour de France, chaque année, réunit des millions de spectateurs dans la bonne humeur. Pourquoi le football cristallise-t-il la violence ?

R. Y. : Le football est un sport qui a toujours été extrêmement populaire. Au travers du football, c'est l'identité culturelle de chaque club, de chaque ville, de chaque pays que l'on défend. Certains disent, et Michel Serres, le philosophe, est de ceux-là, que le football est né pour que les hommes s'affrontent autour d'un ballon plutôt que de se faire la guerre. Le football est maintenant victime de sa popularité. Mais il ne faut pas laisser une minorité se livrer à des actes de violence.

DDD : Vous tendez la main aux supporters…

R. Y. : Bien sûr ! Nous ne sommes pas là pour les stigmatiser, s'en prendre aux racines populaires du football. C'est une minorité qui est concernée, je le répète. D'ici à la fin de l'année, je souhaite que se tienne le premier congrès national des associations de supporters pour aboutir à la création d'une fédération qui deviendra l'interlocuteur des pouvoirs publics. Cela existe dans plusieurs pays européens. À Toulouse, les choses se passent plutôt bien. Olivier Sadran, à la tête du TFC, fait un excellent travail avec les supporters. Toulouse, terre de rugby, ne connaît pas cette violence. Au Stadium, on ne met pas les supporters dans des cages. Nous devons parvenir à pacifier le football moderne.


Policiers et Supporters Parisiens face à face devant
l’entrée du Parc des Princes à Paris.

Pologne: Stal Stalowa Wola - Górnik Zabrze - 03/10/2009

Source : ko1foto.fora.pl + galeria.stalowemiasto.pl

Hooliganisme: un fléau le long du Danube - 03/10/2009

Source: http://www.hu-lala.org/?p=2196

Brice Taton, un supporter du Toulouse Football Club, tombé dans un coma profond en Serbie en marge d’un match d’Europa League opposant le Partizan Belgrade à Toulouse a succombé, ce mardi, à de multiples blessures. Le jeune français de 28 ans avait subi, le 17 septembre dernier les assauts d’une horde de hooligans serbes armés de barres de fer et de chaines de vélo.

Le hooliganisme dans le football n’en fini plus de frapper particulièrement à l’Est de l’Europe. Cette affaire, au dénouement tragique, a connu une couverture médiatique importante et a suscité une indignation générale dans l’Europe entière. Sorti de sa torpeur, le monde politique européen a promis le renforcement des mesures de sécurités à l’intérieur et à l’extérieur des stades, ainsi que l’application de peines lourdes pour tout auteur d’acte « hooligan ». Cet été, des événements avant-coureurs, moins médiatisés car ayant connu une fin plus « heureuse », auraient pourtant dû contraindre les responsables politiques à agir plus tôt. Aujourd’hui, les hooligans serbes sont au centre de tous les débats mais les hooligans hongrois auraient pu également se trouver sous les feux des projecteurs après les graves incidents de Ferencvaros et de Ujpest. Fort heureusement, aucun décès n’avait été déploré lors de ces violentes échauffourées.

Suisse: Chaque canton a ses petites recettes contre les hooligans - 03/10/2009

Source: http://www.lematin.ch/actu/suisse/canton-petites-recettes-contre-hooligans-173991

La responsabilité de la sécurité lors des matches appartient aux clubs dans les stades et à la police à l'extérieur. Qui paie? Comment prévenir les débordements? Chaque ville concocte sa propre recette. Le 12 novembre, cantons et Confédération tenteront de mettre un terme à ce chaos lors d'une table ronde.

Philippe Miauton - le 03 octobre 2009, 23h19
Le Matin Dimanche

2 commentaires

Du retard, c'est ce que la Suisse accumule en matière de sécurité aux abords des stades ou des patinoires. Pour preuve, les échauffourées qui ont émaillé la première journée du championnat de hockey à Fribourg et à Bienne, voici deux semaines. Le même jour, des rixes éclataient cette fois en marge d'un match de football à Zurich.

Population et cantons n'en peuvent plus. Faute d'une véritable politique nationale, les autorités peinent à trouver la bonne formule pour venir à bout des hooligans. Du coup, elles multiplient les recettes cantonales. Pas étonnant qu'il existe, aujourd'hui, autant de solutions pour éviter les débordements que de villes, de stades ou de clubs (voir infographie).

Dimanche dernier, les Zurichois ont par exemple accepté que le canton crée une banque de données destinée aux supporters violents avant même qu'ils ne commettent un délit. Un cas unique en Suisse, alors même que tous les parlements cantonaux n'ont pas encore ratifié le «concordat contre la violence lors de manifestations sportives» qui permet à la police d'avoir accès à la base de données Hoogan qui recense les supporters à risque. Ce concordat permet aussi à la police de prononcer des interdictions de périmètre, des obligations de se présenter à la police et ou de procéder à des gardes à vue.

Actuellement, les ligues de football et de hockey émettent des directives précises que les clubs doivent respecter. Mais les équipes doivent également composer avec une multitude d'acteurs: leur commune, la police cantonale, les agences de sécurités et surtout avec les propriétaires des stades - villes ou privés - dont les intérêts diffèrent.

Au centre du problème, où se situe la limite de la sphère d'autorité entre l'Etat et les clubs? Avec à la clef, une question essentielle, comment se répartir les coûts de la sécurité? La Confédération, sous la houlette d'Ueli Maurer, et la Conférence des directeurs cantonaux des départements de justice et police (CCDJP), tente de rattraper le temps perdu et d'offrir des réponses à ces questions. Dans cette optique, la CCDJP a effectué dernièrement des visites à l'étranger pour s'inspirer de modèles qui font leur preuve en Belgique, aux Pays-Bas ou encore en Angleterre.

Les 12 et 13 novembre prochain, lors d'une table ronde réunissant tous les acteurs du sport et de la police du pays, la CCDJP tentera de faire ratifier plusieurs de leurs recommandations.

Des directives précises
Karin Keller-Sutter, conseillère d'Etat saint-galloise en charge des questions de sécurité, relève qu'«il est impossible d'imposer une politique nationale aux cantons, car ils restent souverains en matière de sécurité». La Saint-Galloise estime, en revanche, qu'une certaine pression sur les clubs est envisageable. «S'ils refusent des mesures, ils pourraient être amenés à participer davantage aux coûts engendrés par la sécurité», imagine la politicienne. Une solution que souhaite appliquer dans un avenir proche Esther Maurer, la municipale zurichoise de la police.

Pour les responsables de la sécurité des clubs, le calme viendra quand les interdictions de stades seront plus nombreuses. Une tâche dévolue, selon eux, à la police et dont les coûts ne sauraient leur retomber dessus.

Hommages à Brice

Des hommages sur toutes les pelouses

Samedi, les hommages à Brice Taton se sont succédés sur les différentes pelouses de L1. Une minute de silence a été respectée avant Saint-Etienne-Bordeaux, notamment. A l'initiative de la tribune Boulogne, le Parc des Princes a également salué la mémoire du supporter toulousain, décédé cette semaine à Belgrade. Des applaudissements nourris et plusieurs banderoles ont notamment été déployés. Ce fut également le cas à Lens pour la réception de Lyon.

BORDEAUX




BOULOGNE SUR MER


BRUGES



DIJON


KAISERSLAUTERN


LE HAVRE


LE MANS


LENS


LYON


MARSEILLE



METZ




NICE



PARIS




SAINT-ETIENNE



TOULOUSE




TROYES


VALENCIENNES


VOJVODINA


L'EQUIPE MAG



http://www.brice-taton.com

Pologne: Energetyk Gryfino - Chojniczanka Chojnice - 03/10/2009

Source: http://www.mmszczecin.pl/29005/2009/10/3/niespodzianka-w-gryfinie-energia-wygrywa-z-liderem-zdjecia?category=pics

Rayo Vallecano - Betis Palombie - 04/10/2009

Source: Super Hincha

Des supporters du Betis lanceront des pierres en tribune, en direction des supporters locaux, blessant au passage un jeune garçon de 9 ans qui devra être transporté à l'hôpital.

Traduction Underground Fans (c)

Bosnia: Siroki Brijeg - FC Sarajevo - 04/10/2009

Source: http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-40538583@7-91,0.html

Un mort dans des violences entre supporteurs Croates et Musulmans de Bosnie

Une personne est décédée des suites de ses blessures dimanche dans des échauffourées ayant opposé des supporteurs de football musulmans et croates dans le sud de la Bosnie, a-t-on appris de source policière. "Il semble qu'une personne est décédée", a déclaré à l'AFP un porte-parole de la police Damir Cutura. Les violences se sont déroulées dans la ville de Siroki Brijeg avant le début de la rencontre entre l'équipe locale, Siroki, et la formation de Sarajevo, comptant pour la 9e journée du Championnat national de football. La radio nationale BH Radio 1 a rapporté qu'un supporteur de Sarajevo a succombé à de "blessures graves" dans un centre hospitalier municipal. Les supporteurs de Siroki sont Croates et ceux de Sarajevo, musulmans Bosniaques. Plusieurs personnes ont été blessées dans des échauffourées, alors que des devantures de magasins ont été cassées dans le centre-ville. Trois voitures ont été incendiées, selon la même source. Quatorze ans après la guerre intercommunautaire de Bosnie (1992-95), les tensions restent vives entres les principales communautés du pays, serbe, musulmane et croate. Bien qu'alliés contre les Serbes bosniaques, les Croates et les musulmans de Bosnie se sont aussi fait la guerre pendant onze mois en 1993 et 1994.







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Source : Ouest-France + vecernji.hr

Un supporteur tué par balle en Bosnie

Le football continue de payer un lourd tribut à la bêtise... Un supporter bosnien est mort ce dimanche lors d'affrontements entre supporters des clubs de Sarajevo et de Siroki, à Siroki Brijeg, en Bosnie, selon Ve Futbol. Vedran Puljic, le défunt supporter de l'équipe de Sarajevo, est décédé par balle, mais on ne sait toujours pas si le coup de feu provenait de l'arme d'un hooligan ou d'un policier. Des dizaines d'autres personnes ont été blessées.












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Source : AFP

Un mort dans des violences entre supporteurs Croates et Musulmans de Bosnie

Un jeune homme est décédé des suites de ses blessures et une trentaine de personnes, dont 16 policiers, ont été blessées dimanche dans des échauffourées ayant opposé des supporteurs de football musulmans et croates dans le sud de la Bosnie, a-t-on indiqué de source policière.

Les violences se sont déroulées dans la ville de Siroki Brijeg avant le début de la rencontre entre l'équipe locale, Siroki, et la formation de Sarajevo, comptant pour la 9e journée du Championnat national de football.

Un supporteur de Sarajevo, âgé de 24 ans, a succombé à de "blessures graves" dans un centre hospitalier municipal, a indiqué la police citée par télévision nationale.

Quinze supporteurs et seize policiers ont été blessés dans ces violences, selon la même source. Six supporteurs ont été grièvement blessés.

Des coups de feu ont été tirés lors de ces échauffourées, alors que les devantures de magasins et de cafés ont été cassées et trois voitures incendiées dans le centre Siroki Brijeg.

Les supporteurs de Siroki sont Croates et ceux de Sarajevo, musulmans bosniaques.

Le Haut représentant de la communauté internationale en Bosnie, Valentin Inzko, s'est dit "horrifié" par l'incident.

"Ce décès est une tragédie pour toute la Bosnie-Herzégovine. Les responsables de ces actes doivent être traduits en justice", a-t-il déclaré.

Le sélectionneur de l'équipe bosniaque de football, Miroslav Blazevic, s'est dit, pour sa part, "choqué, triste et inquiet".

Quatorze ans après la guerre intercommunautaire de Bosnie (1992-95), les tensions restent vives entres les principales communautés du pays, serbe, musulmane et croate.

Bien qu'alliés contre les Serbes bosniaques, les Croates et les musulmans de Bosnie se sont aussi fait la guerre pendant onze mois en 1993 et 1994.








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Source : Courrier des Balkans

Bosnie-Herzégovine : très violents affrontements entre supporteurs bosniaques et croates

De très violents affrontements ont éclaté dimanche après-midi à Široki Brijeg, dans un canton croate d’Herzégovine, avant un match de football qui devait opposer le club local au FK Sarajevo. Bilan : au moins 31 blessés et un mort, un supporteur de Sarajevo de 24 ans, probablement tué d’une balle en pleine tête par la police cantonale. Des manifestations ont été organisées dimanche soir et lundi midi à Sarajevo.

Les affrontements ont commencé une heure et demie avant la rencontre entre le club de Široki Brijeg et le FC Sarajevo, en face du stade de Široki Brijeg, en Herzégovine. Le match a été annulé, alors que les affrontements se sont poursuivis dans les rues de la ville. Des affrontements ont également éclaté entre les supporteurs et les policiers essayant d’intervenir pour arrêter les combats.

Selon un journal local, un second supporteur serait mort. L’information n’a pas encore été confirmée par le personnel soignant, ni par la police.

Les supporteurs du FC Sarajevo sont majoritairement des Bosniaques, tandis que ceux de Široki Brijeg sont majoritairement des Croates de Bosnie.

Les autorités locales et les supporteurs sarajéviens donnent des versions très différentes de l’origine des affrontements. Selon la police du canton, ces derniers seraient responsables des affrontements. Ils auraient commencé à démolir des bâtiments autour du stade et à attaquer les voitures de police.

Selon Zoran Galić, porte-parole de la police cantonale, « les affrontements ont été soigneusement planifiés par un certain nombre de supporteurs sarajévins, qui sont arrivé avec le but de provoquer ces incidents ». Il a ajouté qu’alors que seulement 150 supporteurs avaient été annoncés, environ 500 auraient fait le déplacement.

Selon les Bosniaques, les incidents ont débuté avec l’attaque des bus et des voitures personnelles des supporteurs sarajéviens par des habitants de Široki Brijeg, qui ont balancé des pierres, des bouteilles et même des cendriers de leurs balcons et fenêtres.

Alors qu’ils essayaient de se protéger et de réagir, ils auraient été attaqués par des membres de la police locale. Ainsi, des policiers et des habitants de Široki Brijeg auraient tirés sur les Sarajéviens avec des pistolets et des fusils automatiques.

Selon le personnel hospitalier de Široki Brijeg et de Mostar, plusieurs personnes ont en effet été admises avec des blessures par balles. Selon des témoins, Vedran Puljić a été tué d’une balle dans la tête par la police locale.

Les policiers ont rétorqué qu’ils n’avaient pas utilisé leurs armes, affirmant que Vedran Puljić serait mort après avoir été frappé à la tête par un objet tranchant.

De retour à Sarajevo, les supporteurs rescapés ont manifesté dans le centre-ville de Sarajevo durant la nuit de dimanche, puis à nouveau lundi à midi, demandant des mesures fermes et que l’enquête sur les incidents soit menée par les autorités de la Fédération de Bosnie-Herzégovine et non par la police cantonale.

La première ligue bosnienne de football est composée de seize équipes. Plusieurs incidents ont eu lieu ces dernières années lors de rencontres entre supporteurs d’équipes venant de différents régions de la Bosnie.










VIDEO:

Argentine: Talleres de Cordoba - Central Cordoba - 03/10/2009

Source: http://mundod.lavoz.com.ar/?q=content/seis-hinchas-de-central-cordoba-sigue-detenidos-1

Six supporters du Central Cordoba ont été arrêtés lors de troubles survenus dans le stade.

Argentine: Dock Sud - UAI Urquiza - 03/10/2009

Source: http://www.soloascenso.com.ar/Noticias.php?Nota=22787

Avant la rencontre, une bagarre éclatera suite à une confrontation entre un supporter local et un policier.
Au final, 5 personnes seront blessées donc deux par balles en caoutchouc (tirées par la police).

Traduction Underground Fans (c)

Újpest Budapest - Ferencváros - 03/10/2009

Source : boon.hu + nb1.hu

Un accrochage a eu lieu avant la rencontre entre supporters des deux clubs mais la police est intervenue rapidement. Des dizaines de fans se trouvaient alors en ville. Il y a eu deux blessés. Dans l'ensemble le derby a été calme pour les forces de l'ordre qui ont très fortement encadrées les deux groupes de supporters à l'aide de chiens et de chevaux, avant et après la rencontre. Un policier a été transporté à l'hôpital après avoir été touché par un pétard. Trois supporters ont été interpellés pour vandalisme, port de fumigènes et agression d'un fonctionnaire de police. La police a également saisi un grand nombre de fumigènes.

Traduction Underground Fans




















VIDEO: