Saison 09/10 - Septembre

De Graafschap - Fortuna Sittard - 18/09/2009

Source: presse batave

Vendredi soir, la police de Doetcinchem, a contrôlé une groupe d'un cinquantaine de supporters du Fortuna Sittard, sur l'autoroute A18, juste après leur mach à De Graafschap.
La police avait eu vent que ces derniers désiraient en découdre.
Une barre de fer a été trouvé parmi les supporters. Il s'est vu infligé une amende de 100 €.

Le groupe s'est vu escorté.

Traduction Underground Fans (c)

Partizan-Toulouse: 11 Serbes arrêtés - 19/09/2009

Source : L'Equipe + Ouest-France

La police serbe a arrêté onze personnes soupçonnées d'être impliquées dans l'agression menée contre une vingtaine de supporters toulousains, dont l'un a été très grièvement blessé jeudi soir à Belgrade, quelques heures avant Partizan - TFC (2-3, 1re journée). Le gouvernement serbe a aussi annoncé qu'il pensait avoir inclus, dans ce coup de fil, le principal organisateur de ce déchaînement de violence.

Le gouvernement «a ordonné aux organes dont c'est la compétence de poursuivre leurs activités afin de résoudre ce cas jusqu'au bout», précise un communiqué des autorités locales. «Ce cas sera complètement élucidé sous peu, s'est engagé le ministre serbe de l'Intérieur Ivica Dacic, cité par l'agence Beta. L'enquête se poursuit». «Je suis désolé que la Serbie se soit présentée de cette manière (...). Les participants à cette bagarre au cours de laquelle des ressortissants étrangers ont été blessés ont donné une très mauvaise image de nous dans le monde».

Brice T., le supporter le plus sérieusement touché, a été opéré vendredi pendant plus de trois heures et son état continuait samedi d'être «critique». «Presque tous ses organes vitaux» ont été touchés par l'agression, avait indiqué à l'AFP une source médicale. Samedi, le Toulouse FC a publié un communiqué dans lequel il se dit «profondément bouleversé» par l'événement. Le directeur de la sécurité du club Regis Lecomte est resté sur place pour assister l'enquête et les supporters immobilisés, dont le retour était prévu samedi.

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Le supporter lutte toujours

Brice T., le supporter français de Toulouse gravement blessé jeudi soir par d'autres supporters du Partizan Belgrade, est toujours «dans un état critique» et a subi samedi une nouvelle intervention chirurgicale, a rapporté samedi la chaîne de télévision B92. «Un hémorragie cérébrale s'est manifestée et une opération est en cours», a déclaré le neuro-chirurgien Lazar Davidovic, cité par l'agence Beta.

«Il est délicat de donner des pronostics», continuent de dire les professionnels qui se sont occupés de lui. Le médecin a informé les parents du jeune Français, arrivés samedi à Belgrade, de l'état de santé de leur fils et des soins qui ont été appliqués. Le ministre serbe de l'Intérieur Ivica Dacic, qui a supervisé l'arrestation de onze supporters samedi, dont le meneur présumé de l'attaque, s'est rendu au Centre des urgences pour s'informer de l'état de la santé du ressortissant français.

Brice T.avait subi une première opération de trois heures vendredi. «Presque tous ses organes vitaux» ont été attentés par ses agresseurs.

Grenoble - Rennes - 19/09/2009

Source : Maxifoot + Foot01

Le Grenoble Foot 38 accueille le Stade Rennais en ce moment au stade des Alpes, pour la 6e journée de Ligue 1. A la pause, les Rennais mènent au tableau d'affichage (0-3). C'en était trop pour les supporters grenoblois. Des fumigènes et bombes agricoles ont alors été jetés sur la pelouse, forçant l'arbitre à suspendre la rencontre pendant plusieurs minutes.



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Match de nouveau stoppé à Grenoble

Tout comme en première période, le match Grenoble-Rennes a été arrêté à vingt minutes de la fin après de nouveaux jets de pétards et de fumigènes sur la pelouse. Les Isérois sont menés 0-4 et les supporters grenoblois semblent à bout de nerfs. La rencontre pourrait reprendre, même si cette fois tout le monde est rentré aux vestiaires dans l'attente de la décision de l'arbitre.



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Source: Le Dauphiné

Ca gronde au Stade des Alpes

Frustration, déception, colère ou encore incompréhension. Aucun mot n'était assez fort pour exprimer le désarroi des spectateurs hier soir au Stade des Alpes, à la suite de cette nouvelle défaite du GF 38 et des incidents qui ont émaillé toute la fin de match.

Une belle fête était annoncée pour le quinzième anniversaire des Red Kaos, le plus important groupe de supporters grenoblois. C'est finalement une succession de débordements qui a eu lieu : jets de projectiles et de fumigènes, arrachages de sièges et autres demandes de démission des dirigeants...
Un espoir trop vite éteint

Le mécontentement de certains supporters face à la prestation de leur équipe a obligé l'arbitre à interrompre le match à la 69e minute pour protéger les vingt-deux acteurs sur le terrain.

La fête n'aura d'ailleurs duré que l'espace de vingt secondes hier soir au Stade des Alpes. Et ce premier but rennais aura rapidement brisé l'espoir ambiant qui régnait encore quelques minutes avant le coup d'envoi de la rencontre.

Stéphane, 22 ans, confiait d'ailleurs avant de s'installer en tribune qu'il était persuadé que son équipe allait enfin montrer son vrai visage dans ce match. « Il y a trop de talent pour que l'on n'arrive pas à engranger nos premiers points », jurait-il. Il n'avait pas encore rejoint sa place que son équipe était déjà menée à la marque.

Il y a des soirées comme celle-ci où décidément, rien ne va. Et si les supporters du GF 38 espèrent ne plus revivre une telle défaite, beaucoup espèrent ne plus assister à ce genre de débordements.



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Source: presse (merci à l'expéditeur)

Soirée de cauchemar pour Grenoble

Menés trois à zéro après vingt minutes de jeu, Grenoble, dont deux joueurs souffrent peut-être de la grippe A, a complètement sombré devant Rennes (4-0). La rencontre a été interrompue à deux reprises en raison de jets de fumigènes. Les sanctions devraient être lourdes. Retour sur un samedi catastrophe.

Vingt-deux secondes. C’est le temps durant lequel Mécha Bazdarevic et ses joueurs ont eu le sentiment de jouer au football. Le temps pour Gyan Asamoah, servi par Rod Fanni, de précipiter le Stade des Alpes dans le cauchemar. L’horloge affiche maintenant vingt-deux minutes de jeu, et le tableau d’affichage… trois à zéro en faveur des visiteurs lorsqu’en tribunes, la bêtise s’invite à la folle soirée.

Le Red Kaos, un groupe d’ultras isérois, décide alors de se signaler. Placé derrière le but de Jody Viviani, ces « supporters » se manifestent par des fumigènes et le jet d’une bombe agricole sur la pelouse. Clément Turpin, l’arbitre de la rencontre, n’a pas d’autre choix que d’interrompre durant deux minutes la rencontre. Il le fera également en seconde période, peu de temps après le penalty transformé par Gyan pour une faute de main de Rendulic (60e).

En tribunes, c’est l’ironie qui prime. Entre les sifflets et les appels à démission des dirigeants, des « Joyeux anniversaire » tombent des gradins. Le Red Kaos fête ses quinze ans et se fiche visiblement des déboires de son équipe. Déjà sous la menace d’un match à huis-clos, Grenoble ne devrait pas échapper cette fois aux foudres de la Ligue. Un nuage noir de plus au-dessus de la tête d’une formation dernière de L1. « Je suis triste. A cause de petits voyous, le club va inévitablement se faire sanctionner, confiait à l’issue du match le président délégué grenoblois Pierre Wantiez. Une plainte a été déposée pour ces actes d’une grande bêtise. Mais nous enlever des points ou suspendre le stade des Alpes ne serait pas la bonne réponse. »

Ce ne sera pas le seul chantier sur lequel devront se pencher les dirigeants du GF 38. S’il ne « se sent pas du tout menacé », Mécha Bazdarevic ne cache pas son courroux. Sportivement, c’est le grand vide. « Ce n’est pas normal de porter le maillot grenoblois de cette manière. Il faudra rapidement changer d’état d’esprit et se bagarrer pour s’en sortir. En jouant comme ça, il sera impossible de se maintenir. » Difficile de lui donner tort. Hier soir, son groupe n’a jamais semblé en mesure d’inverser le cours de son destin, à l’image d’un Jody Viviani complètement à côté de son sujet.

Mais Grenoble dispose de circonstances atténuantes. Privés de Bostjan Cesar et de Daisuke Matsui, le club avait dû renoncer le matin de la rencontre à deux autres de ses cadres, Nicolas Dieuze et David Jemmali, pour cause de suspicion de grippe A. Evoqué, le report de la partie aurait été rejeté par le médecin fédéral de la Ligue. Lanterne rouge de L1, Grenoble a enregistré sa sixième défaite en six matches cette saison. Trois fois dans l’histoire du championnat de France, ce cas de figure s’est présenté. Mulhouse (36-37) et le Havre (46-47) étaient descendus. En revanche, Caen (88-89) s’était maintenu. Inutile de préciser quel scénario les Grenoblois souhaiteraient imiter désormais.

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Source : RMC.fr

Des supporters grenoblois identifiés

Selon le président grenoblois, Pierre Wantiez, la vidéo surveillance du stade a permis d’identifier plusieurs personnes coupables d’avoir apporté des fumigènes dans le stade.

Pierre Wantiez (président Grenoble) :

« Certains fumigènes font la taille d’une cigarette, on peut en rentrer très facilement. On ne peut pas déshabiller tous les supporters. Je pense que les vrais supporters n’ont pas ces comportements. Ce sont des gens pour qui le foot est un exutoire, on a déposé plainte pour certains agissements. La vidéo surveillance aurait permis de confondre plusieurs personnes. J’espère qu’on pourra les arrêter et qu’on les verra plus au stade. »



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Huis-clos à Grenoble

Le huis-clos a été décrété à Grenoble pour l’entraînement de dimanche.

Est-ce que c’est la piètre performance des Grenoblois face à Rennes ou les cas de grippe A dans l’effectif isérois qui sont la cause du huis-clos de dimanche matin à Grenoble ? Certainement les deux. Pour la première fois de l’histoire du GF 38, il y aura un entraînement à huis-clos dimanche matin.




Vidéos Incidents
https://www.youtube.com/watch?v=bCQD0UDZUWU
https://www.youtube.com/watch?v=zIKgZkn_pFg&feature=related
https://www.youtube.com/watch?v=aHs4-az9Py4

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LIGUE 1 GF38 0 - Rennes 4 : Grenoble en perdition

Une défaite historique, un match arrêté à deux reprises, une partie du public qui crie son désamour, le GF 38 a vécu une soirée cauchemardesque.

Il s avaient prévu les fumigènes et les pétards pour faire la fête. À l'occasion de leurs 15 ans, les Red Kaos, section de supporters grenoblois, avaient concocté une soirée qui devait rester dans les mémoires. Elle le restera. Mais certainement pas pour les raisons que l'on attendait. À la 69e minute, alors que le GF 38 était mené 4-0, un cordon de CRS a fait son entrée sur la pelouse pour calmer les ardeurs de supporters excédés. Une dizaine de fusées venait d'être projetée en direction des buts du malheureux Douchez, le portier rennais. Un pétard venait de déchirer l'ambiance électrique qui régnait depuis le début du match. L'arbitre de la rencontre Clément Turpin renvoyait les deux équipes aux vestiaires. Après onze minutes de flottement, la partie reprenait mais le cœur n'y était plus.

De lourdes sanctions à venir

Déjà sous le coup de menaces de sanctions, le Stade des Alpes va être lourdement sanctionné par les instances de la Ligue dans les tout prochains jours. La formation grenobloise, battue pour la sixième fois en six journées, s'enfonce un peu plus au classement et accuse déjà un retard de quatre points sur ses plus proches rivaux. Le maintien en Ligue 1 est bien mal engagé. Et comme un malheur ne vient jamais seul, le GF 38 a constaté une fracture avec ses supporters. Les "Mouillez le maillot ou cassez-vous" à l'attention des joueurs ou encore les "Direction démission" à l'encontre des dirigeants ont démontré à quel point les relations se sont distendues ces dernières heures. Trois buts encaissés au bout de 20 minutes, Paillot qui laisse une défense orpheline en tout début de partie, le match arrêté à deux reprises en raison de débordements dans les tribunes, sans parler de la grippe qui frappe un effectif grenoblois aux abois, rien n'a épargné le GF 38 ces dernières heures.

On croyait avoir tout vu...

On croyait avoir tout vu à Grenoble en matière d'entame ratée. Le but du Marseillais Mamadou Niang au bout de 102 secondes lors de la première journée faisait jusqu'alors référence. Hier soir, il n'a fallu que 20 secondes au Rennais Gyan pour trouver l'ouverture face à Viviani trahi par sa défense centrale. Six minutes plus tard, Bangoura frappait puissamment au but, Viviani repoussait dans les pieds de Marveaux qui doublait la mise (0-2, 7e). Entre-temps, comme si cela ne suffisait pas à la peine des Grenoblois, le GF 38 avait perdu Sandy Paillot sorti sur blessure (5e). La défense centrale était alors composée de Rendulic qui remplaçait au pied levé Jemmali, victime d'un syndrôme grippal, et Vitakic, malade la veille ! Le Serbe avait surmonté un virus qui avait laissé lNicolas Dieuze sur le flanc.

L'entraîneur Mécha Bazdarevic qui regrettait que son équipe encaisse des buts "très tôt et trop facilement "n'était pas au bout de ses peines car sur un coup franc de la droite de Marveaux, Bocanegra plaçait une tête, repoussée par Viviani mais Mangane reprenait et crucifiait pour la troisième fois le portier grenoblois (0-3, 20e). Trois minutes après que Bangoura eut obligé Viviani à une superbe parade (27e), la tribune occupée par les Red Kaos, section de supporters qui fêtait hier soir ses 15 ans, s'enflammait. Sept fumigènes et un pétard plus tard, le match était arrêté pendant deux minutes. La mi-temps n'allait pas calmer les esprits pour autant. Le 4ebut inscrit par Gyan sur penalty à l'heure de jeu après une main Rendulic dans la surface était accueilli par des gestes amusés de quelques supporters grenoblois (61e). Le stade allait s'enflammer quelques minutes plus tard....




http://www.ledauphine.com/file/ftp/unes/2009/09/20/U37_4-1.T-x.0920012752.pdf

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La Ligue tape du poing
www.lfp.fr

Bombes agricoles, fumigènes et projectiles en tout genre, les stades et les pelouses de L1 ne sont pas épargnés en ce début de saison. Samedi soir encore, lors de la 6e journée de championnat, les enceintes de Nice et de Grenoble ont été le théâtre d'incivilités. Une récurrence qui a poussé Frédéric Thiriez, le président de la Ligue, à réagir dans la foulée.

Frédéric Thiriez promet davantage de fermeté envers les fauteurs de troubles dans les stades français. (Reuters)

"Notre football est pris en otage par des groupes violents qui sont ses pires ennemis". Frédéric Thiriez ne cachait pas sa colère, samedi soir, à l'issue d'une 6e journée de L1 qui, une fois de plus, a connu son lot d'incivilités. En difficulté depuis le début de la saison, les clubs de Nice et de Grenoble, hôtes ce week-end de Monaco et de Rennes, ont littéralement touché le fond à cette occasion, grevés outre la défaite par le comportement indigne d'une poignée d'indésirables.

Au stade du Ray, alors que les Aiglons se dirigeaient sûrement vers leur quatrième revers de rang contre l'ASM (1-3), les forces de l'ordre ont ainsi dû intervenir, tandis que des supporters présumés tentaient de prendre d'assaut la tribune présidentielle. Et dans le même temps, sur une pelouse du stade des Alpes d'ordinaire sereine, une déferlante de pétards et de fumigènes contraignait l'arbitre, Clément Turpin, à interrompre la partie à deux reprises, alors que le GF38, toujours en quête de ses premiers points, sombrait devant le Stade Rennais (0-4).

"Pas question de les laisser continuer"

"Des incidents graves", dixit le président de la Ligue de football professionnel (LFP) qui ont une fâcheuse tendance à se répéter ces dernières semaines. Déjà lors de la première levée de championnat, le match entre Grenoble et Marseille avait un temps été suspendu peu après le repos pour les mêmes faits. Des jets d'engins pyrotechniques parfois explosifs qui avaient également provoqué 20 minutes durant l'arrêt de la rencontre Nice-Montpellier le 29 août dernier. Puis, plus récemment, celui de la confrontation entre Monaco et Paris au Stade Louis II.

"Il n'est pas question de les laisser continuer à agir, martelait samedi soir Frédéric Thiriez via un communiqué officiel de la LFP. Je vais me concerter avec les pouvoirs publics dès la semaine prochaine pour mettre au point toutes les mesures permettant de revenir à une situation normale dans nos stades." S'il n'y a pas encore eu d'incidents graves à déplorer cette saison suite à ces gestes répréhensibles, l'on se souvient qu'un jeune pompier avait été grièvement blessé à la main en octobre 2006, lors d'un match opposant Nice à Marseille. A l'époque, déjà, le football avait promis de sévir...

Saturn Ramenskoye - Spartak Moscou - 19/09/2009

Source : YouTube

https://www.youtube.com/watch?v=muVsPLGaqwo

OGC Nice - AS Monaco - 19/09/2009

Source : Le Monde

A Nice, des supporters niçois ont tenté d'approcher le carré VIP du stade où se tenaient dirigeants et actionnaires. Un mouvement de foule qui a nécessité l'intervention des forces de l'ordre.

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Source : RTL

Un derby marqué par des fumigènes lancés sur la pelouse et un président niçois Maurice Cohen sorti sous la protection des policiers.

France : Thiriez dénonce la violence dans les stades - 19/09/2009

Source : Foot01

A peine le coup de sifflet final donné à Grenoble et à Nice, Frédéric Thiriez a fait savoir par le biais d’un communiqué de presse qu’il s’offusquait du climat malsain qui a pesé dans ces stades. A Grenoble, des fumigènes ont été lancés sur le terrain à plusieurs reprises, tandis qu’à Nice, ce sont des supporters qui ont tenté de prendre d’assaut la tribune d’honneur avant d’être repoussés.

« Notre football est pris en otage par des groupes violents qui sont ses pires ennemis. Il n'est pas question de les laisser continuer à agir. Je me concerterai avec les pouvoirs publics dès la semaine prochaine pour mettre au point toutes les mesures permettant de revenir à une situation normale dans nos stades », a promis le président de la LFP.

Bari: pas de supporters visiteurs - 18/09/2009

Source: Ansa

Le secteur du stade San Nicolo, réservé aux supporters visiteurs, restera fermé pour les deux prochains matchs contre l'Atalanta et Cagliari.
Les supporters de ces deux équipes ne pourront suivre leurs favoris suite à une décision prise par le préfet de Bari, qui a décidé de mettre en vente des tickets uniquement pour les résidents de Bari.
Cette décision fait suite au fait que ces matchs soient classés à hauts-risques.

Traduction Underground Fans (c)

Serbie: La Gay Pride de Belgrade annulée - 19/09/2009

Source: http://www.rfi.fr/actufr/articles/117/article_84835.asp

La Gay Pride de Belgrade était prévue depuis plus d’un an, la date et le lieu du rassemblement avaient été longuement négociés avec les autorités. La Serbie avait en effet un mauvais souvenir en la matière : la première et unique Gay Pride organisée dans la capitale serbe, le 28 juin 2001, s’était transformée en véritable bain de sang, le cortège étant très violemment attaqué par des militants nationalistes d’extrême droite, sous les yeux de forces de l’ordre impuissantes et débordées.

Durant tout l’été, ces mêmes organisations ont fait monter la pression. Les murs de Belgrade ont été couverts de graffitis proclamant « Mort aux pédés ! ». Le jeune dirigeant du mouvement ultra-orthodoxe Obraz, Mladen Obradovic, assurait aux journalistes que « la Gay Pride n’aurait pas lieu ». Il n’avait pas tort, le gouvernement ayant choisi de renoncer à assurer la protection du rassemblement. La décision a été prise vendredi soir et annoncée samedi matin, alors que les plus hauts responsables de l’État, à commencer par le président Boris Tadic, avaient assuré, toute la semaine, que l’État garantirait « le droit à manifester et la sécurité de tous les citoyens ». Selon les sources de la presse serbe, le gouvernement avait prévu de déployer 7 000 policiers pour protéger une manifestation qui, selon ses organisateurs, ne devait rassembler que 300 à 500 personnes.

Si certains commentateurs saluent la « responsabilité » des organisateurs, qui ont choisi de renoncer au rassemblement, d’autres, comme l’Association des juristes pour les droits de la personne, dénoncent la « capitulation de l’État », « incapable de garantir la sécurité des citoyens de la capitale ». Dans l’opposition, le Parti libéral-démocratique (LDP) de Cedomir Jovanovic tonne aussi contre l’impéritie des autorités.

Une stratégie de l’escalade

Une dangereuse escalade de violence avait été constatée ces derniers jours. Des hooligans ont attaqué à plusieurs reprises des autobus, blessant trois personnes, mais l’incident le plus grave s’est produit jeudi après-midi. Un supporter français de l’équipe de football de Toulouse venue disputer un match contre le Partizan de Belgrade a été très gravement blessé dans une attaque apparemment bien organisée et planifiée. Le jeune homme de 28 ans, qui a eu le thorax enfoncé et souffre aussi de graves lésions au cerveau, a été opéré vendredi mais reste plongé dans le coma. Ses jours sont toujours en danger. Quelques jours plus tôt, un jeune touriste britannique avait également été attaqué à la sortie d’une boîte de nuit de Belgrade.

Il est encore difficile d’établir un lien entre la Gay Pride et ces événements tout à fait inédits dans la capitale serbe, traditionnellement accueillante aux visiteurs étrangers, mais il semble bien que certains groupes d’extrême droite, liés aux réseaux de supporteurs de football et de hooligans, aient délibérément choisi une stratégie de l’escalade pour faire peur au gouvernement.

La société serbe demeure profondément homophobe. Selon de récentes enquêtes, 70% des personnes interrogées considèrent l’homosexualité comme une « maladie ». La situation qui prévaut en Serbie est cependant comparable à celle des autres pays de la région. En Croatie, les Gay Prides, qui sont régulièrement organisées depuis quelques années à Zagreb, se déroulent aussi sous étroite protection policière.

La puissante Église orthodoxe serbe avait également condamné le rassemblement, le métropolite Amfilohije, connu pour ses liens étroits avec les criminels de guerre des années 1990, avait même parlé d’une « marche de Sodome et Gomorrhe ».

Le gouvernement serbe est apparu débordé

La reculade du gouvernement face à des réseaux qui demeurent pourtant très fort marginaux, son incapacité à contrôler efficacement des bandes de hooligans pourtant bien connues des services de police, ne vont sans poser question. Au sein même de la coalition gouvernementale, « pro-européenne » mais très hétéroclite, certaines voix s’étaient clairement exprimées contre la tenue de la Gay Pride. Dragan Markovic Palma, chef du petit parti Serbie Unie, membre de cette coalition, avait ainsi suggéré de « repousser la tenue de la Gay Pride… à l’année 2150 » !

L’ambassadeur de Suède en Serbie, Krister Bringeus, dont le pays préside actuellement l’Union européenne, ne s’y est pas trompé. Il a déclaré à la télévision B92 que l’annulation de la Gay Pride était « triste et étrange », ajoutant que les « Marches des fiertés » étaient quelque chose de normal en Europe en 2009.

Au terme d’une semaine où la Gay Pride a été le sujet dominant de la vie politique, il y a donc des gagnants – les réseaux d’extrême droite qui ont atteint leur objectif, empêcher la tenue du rassemblement – et un grand perdant – le gouvernement serbe, qui est apparu débordé, hésitant et incapable d’assurer la sécurité dans sa propre capitale. Quant aux mouvements gays et lesbiens, s’ils n’ont pas réussi à défiler pacifiquement dans les rues de Belgrade, ils ont démontré que la possibilité d’organiser une Gay Pride était un excellent indicateur de la stabilité des institutions démocratiques et de l’État de droit.

Argentine: San Martin de Tucuman - Gimnasia de Jujuy - 19/09/2009

Source: http://www.infobae.com/contenidos/473119-101096-0-Una-persona-herida-incidentes-luego-un-partido-la-B-Nacional

Un supporter du Gimnasia de Jujuy a été blessé après avoir reçu une pierre à la tête. L'homme a du être hospitalisé.
L'agression a été commise par des supporters de son propre club, lors de luttes internes.

Le jeune homme a été aidé par d'autres personnes et a été transporté rapidement vers l'hôpital Pablo Soria, où il a été maintenu en observation.

L'incident est survenu à la sortie du stade du 23 Août quand des supporters se sont provoqués et ensuite échangés des pierres, à précisé la police.
Cette même police qui a du intervenir car des dégâts étaient commis à des habitations.

Cet incident fait suite aux luttes internes du groupe "Lobo Norte".

Traduction Underground Fans (c)

KRC Genk - RSC Charleroi - 18/09/2009

Source: mail (merci à l'expéditeur)

Il y a deux ans les deux groupes avaient convenu un 20v20, les Genkies étaient alors venus avec le double armés de ceintures, pavés, bouteilles.

Pour ce match les Boys ’91 annoncent leur venue (only youth !) avec +- 25 lads.
Arrivée en ville vers 20h00.Une 15aine de gars restent dans un café durant le match pendant que d’autres vont au stade. Fin du match, coup de téléphone des Genkies qui demandent notre position, nous nous éloignons alors du stade avec les voitures (+-5km) et patientons dans un petit parking.. 30minutes d’attente.. RAS. Les Boys décident alors de se mettre à chercher. Quand un gars (Genk ? inconnu ?) les prévient de la présence d’une 20aine de Genkies un peu plus haut..
Les boys se dirigent alors jusque là.. Grosse charge des Boys et les Genkies prennent la fuite directement, 2-3 gars courageux restent au contact et prennent énormément de coups. Un mec de Genk court jusque sa voiture et essaye en démarrant de foncer sur les Carolos, voiture qui s’arrêtera un peu plus loin, le conducteur ayant pris plusieurs coup a travers son carreau..
Charleroi décide alors que la vengeance est assurée. Plus aucun Genkies à l’horizon, retour bagnole pour prendre les flics de court.

Agresseurs le samedi, à Monaco le dimanche ? - 18/09/2009

Source: http://www.foot01.com/equipe/paris/agresseurs-le-samedi-a-monaco-le-dimanche,36564

L'attaque à Paris d'un bus de supporters de l'Olympique de Marseille, qui se rendait au Mans samedi dernier, fait l'objet d'une enquête très poussée de la police, qui souhaite mettre rapidement la main sur les auteurs de cette agression. Et selon le Parisien, les premières éléments recueillis par les policiers en charge de ce dossier tendraient à prouver que ce serait un petit groupe de supporters du PSG qui a pris d'assaut le bus et qu'il pourrait être le même que celui qui a provoqué des incidents dimanche soir à Monaco, en jetant fumigènes et pétards sur le terrain.

Reste maintenant à identifier les fauteurs de trouble et tenter de déterminer si cette piste est effectivement la bonne. Monaco, bien dôté en matière de vidéo-surveillance, pourra probablement aider la police dans cette affaire.

Bayern Munich - 1FC Nurnberg - 19/09/2009

Source: http://www.merkur-online.de/sport/fc-bayern/derby-schlaegerei-u-bahn-471930.html + http://www.polizei.bayern.de/muenchen/news/presse/aktuell/index.html/101789

En marge de ce derby opposant le Bayern au 1FC Nurnberg, une 50aine de supporters ont été interpellés.

Comme la police l'a communiqué dimanche, une 50aine de supporters sont sortis du train les transportant, immobilisant le transport ferrovière pendant une 20aine de minutes.

Seize personnes ont été arrêtés de façon provisoire.
Mais d'autres l'ont également été au stade, avec au total 59 personnes interpellées, principalement pour des provocations.

Les dégâts occasionnés se monteraient à plusieurs milliers d'euros.

Par ailleurs, avant la rencontre, un employé d'un café avait été également frappé.

Traduction Underground Fans (c)

Borussia Monchengladbach - Hoffenheim - 19/09/2009

Source: forum

Pendant la rencontre, des ultras locaux se sont dirigés vers le bloc réservé aux supporters d'Hoffenheim.
Quelques douzaines de locaux ont alors secoué les grilles de séparation, réussissant, un court instant, à ouvrir une de ces grilles.
La police dû rapidement intervenir entre les deux clans, faisant usage de sprays lacrymogènes contre les Gladbacher

Traduction Underground Fans (c)

FC Baden - BSC Young Boys - Coupe de Suisse - 19/09/2009

Source : Romandie News

A Baden, la police a fait usage de balles en caoutchouc et de sprays au poivre pour mettre un terme aux heurts survenus après un match de football entre le FC Baden et Young Boys. Des fans bernois ont par ailleurs causé des dégats pour un montant indéterminé au train spécial mis en place pour leur retour vers la capitale.

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Source : tsr.ch

Massimo Busacca... montré du doigt

Auteur d'un doigt d'honneur en direction des supporters bernois - des images le prouvent -, l'arbitre tessinois Massimo Busacca, qui a sifflé la finale de la Ligue des champions 2009, s'expose à des conséquences fâcheuses.

Massimo Busacca se retrouve dans la tourmente. Le meilleur arbitre suisse a adressé un doigt d'honneur aux supporters des Young Boys durant le match de Coupe de Suisse gagné par les Bernois à Baden (3-1). La photo publiée dans le "SonntagsBlick" ne laisse pas planer le moindre doute.

Cet incident pourrait avoir des conséquences fâcheuses pour l'homme en noir, qui a notamment arbitré la dernière finale de Ligue des Champions entre Barcelone et Manchester United (2-0). Le Tessinois a répondu aux provocations des fans bernois qui l'insultaient en italien.
Busacca s'excuse

Massimo Busacca a présenté officiellement ses excuses après son geste antisportif pendant le match Baden - Young Boys dans le cadre du premier tour de la Coupe Suisse de samedi. "Je me suis laissé provoquer par des injures verbales infondées de spectateurs et j'ai perdu mon sang froid par un geste antisportif. Cela n'aurait pas dû se produire", explique l'arbitre suisse dans un communiqué et ajoute: "Ma réaction aurait dû être une performance sans erreur et non une mise à niveau avec certains spectateurs."

Peter Gilliéron, président central de l'Association suisse de football (ASF), a également condamné l'antisportivité de Busacca mais ne juge toutefois pas l'incident davantage. "Ceci ne concerne pas le Comité central mais la Commission des arbitres. Celle-ci traitera et jugera le cas."

Son président, Urs Meier, a confirmé ces dires: "Nous allons mener des entretiens et dans la mesure du possible prendre en considération tous les facteurs et aspects. Cela prendra un certain temps, aucune décision hâtive ne sera prise de notre côté. Ainsi il est encore ouvert, si, et le cas échéant, quelles conséquences cet incident aura pour Massimo Busacca", conclut Meier.

Suisse (hockey) : Rapperswil-Jona - EV Zoug - 19/09/2009

Source : Romandie News

A Rapperswil-Jona, des altercations ont éclaté entre supporters de l'équipe de hockey locale des "Lakers" et de l'équipe de Zoug. Des balles en caoutchouc et des sprays au poivre ont là aussi été nécessaires pour séparer les deux bandes.

La Combe - Neuchâtel Xamax - Coupe de Suisse - 19/09/2009

Source : RTN

Policier valaisan blessé par un supporter neuchâtelois

Des incidents entre supporters sont survenus samedi à Martigny au terme du match de Coupe de Suisse entre La Combe et Neuchâtel Xamax. Une quarantaine de membres du groupe des Fanati’x en sont venus aux mains avec des supporters du club local qui ont suivi la rencontre.

La Police cantonale valaisanne et la Police municipale de Martigny - appelée en renfort - sont parvenues à séparer les deux camps après un quart d’heure d’échauffourées.

Un policier a été légèrement blessé ,après avoir reçu un coup de poing d’un supporter neuchâtelois. Une personne a également été interpellée.

Selon le directeur administratif de Neuchâtel Xamax, Philippe Salvi, le directoire du club va rapidement se réunir pour tenter d’éliminer définitivement ces incivilités.

AS Monaco : Frédric Nimani victime d’insultes racistes à Nice ? - 20/09/2009

Source : EspoirsduFootball.com

Le jeune attaquant de l’AS Monaco Frédéric Nimani a déclaré à la fin du match opposant l’OGC Nice à l’AS Monaco qu’il avait été victime d’insultes racistes.

Frédéric Nimani, qui n’est pas entré en jeu lors de ce derby de la Côté d’Azur, était en train de s’échauffer quand il a eu un échange violent avec les supporters niçois.

“J’ai été victimes d’insultes racistes, alors je me suis énervé. Ce n’est pas acceptable” a déclaré l’attaquant monégasque qui a du être maîtrisé par des stadiers.”

VfB Stuttgart - 1. FC Köln - 20/09/2009

Source : stuttgart-journal.de

Des incidents ont éclaté en marge de la première défaite de la saison de Stuttgart. Pendant la rencontre, la police est intervenue dans un bar situé à proximité du stade, où se trouvait une cinquantaine de supporters du VFB. Ceux-ci ont lancé des verres et des poubelles sur les forces de l'ordre. Un policier a été blessé et cinq supporters ont été provisoirement interpellés.
Les policiers sont à nouveau intervenus vers 22h30, alors qu'éclatait une bagarre impliquant une trentaine de supporters devant un restaurant se trouvant sur la route de la gare. Fait à souligner, les supporters ont alors fait cause commune contre les quatre policiers qui ont été pris à partie à coups de canettes de bières et de chaises. Des renforts se sont rendus sur place et un supporter de 22 ans, formellement identifié après avoir lancé des projectiles contre les policiers, a été arrêté.



Traduction Underground Fans

Norwich City - Charlton Athletic - 19/09/2009

Source : Norwich Evening News + Daily Mail

Des incidents ont éclaté lors de la rencontre entre Norwich et Charlton hier à Carrow Road.

Marseille - Montpellier - 19/09/2009

Source : La Provence

Trois supporters de Montpellier arrêtés au Vélodrome

Alors que le 29 août dernier, le match Nice-Montpellier avait été arrêté pendant 22 minutes à cause des jets de bombes agricoles par des supporters héraultais, trois supporters de Montpellier ont été interpellés samedi soir au stade Vélodrome pour utilisation de fumigènes.

Aucun incident notable n'est toutefois venu perturber la rencontre, contrairement à ce qui s'est produit à Grenoble (fumigènes) et à Nice (tentative d'envahissement de la tribune présidentielle par des supporters niçois), une semaine après d'autres débordements des supporters parisiens à Monaco.

Partizan Belgrade - Vojvodina - 20/09/2009

Source : LaDépêche.fr

À Belgrade, un autre monde…

Des pétards et des fumigènes qui entraînent l'arrêt d'un match de Ligue 1 comme samedi soir à Grenoble, le règlement du championnat de football professionnel français le prévoit. Une compétition de plus en plus surveillée avec son lot d'interdit de stade ce qui met les « ultras » en colère. Seulement ces règles ne s'appliquent pas toujours en dehors des frontières de l'Hexagone. À Belgrade jeudi soir, dans le stade du Partizan, les virages avaient de forts airs de non-droit. « Avec seulement le quart de ce que j'ai pu observer dans les tribunes à Belgrade, en France, la rencontre serait arrêtée et le terrain vraisemblablement suspendu », explique un officier de la police toulousaine qui suit de très près les fans toulousains, que ce soit au Stadium ou à l'extérieur.

Banderole homophobe réclamant l'interdiction de la Gay pride, salut nazi et autres chants de guerre ont rythmé la rencontre dans le virage où se rassemblent les plus chauds fans du Partizan, proches des milieux nationalistes d'extrême droite. Parmi eux ces ultras, peut-être les agresseurs des Toulousains quelques heures plus tôt. Certes en Serbie, tout le monde a condamné l'agression et personne ne veut parler de supporteurs à propos des voyous violents dont une dizaine a déjà été interpellée. Seulement en Serbie comme parfois en France, les idéaux politiques extrêmes se mélangent, parfois, avec l'amour d'un maillot…

Pologne : MKS Pogon Szczecin - GKS Górnik Leczna - 19/09/2009

Source : mmszczecin.pl

Port Vale - Bury FC - 19/09/2009

Source : mail (merci à l'expéditeur)

CSKA Sofia - Levski Sofia - 20/09/2009

Source : L'Equipe

Incidents lors du derby à Sofia

En marge du derby bulgare à Sofia entre le CSKA et le Levski (2-0), six supporters ont été blessés et deux d'entre eux hospitalisés avec des blessures à la tête, rapporte le ministère de l'Intérieur ce lundi. De plus, l'agence Focus annonce que cinq véhicules de transports en commun - deux trolleys, deux autobus et un tramway - ont été endommagés lors de ces affrontements, conduisant à l'interpellation d'une trentaine d'individus.

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Source : novinite.com

Selon la police de Sofia, 150 fans ont été arrêtés après des violences en marge du derby.
Une gigantesque bagarre a éclaté à proximité du stade entre les supporters de deux équipes peu avant le coup d'envoi.
Lors d'un autre incident en ville, un supporter n'a pas hésité à lancer un couteau vers un policier.

Manchester United - Manchester City - 20/09/2009

Source : Sport365.fr

Bellamy sanctionné ?

Craig Bellamy, l'attaquant de Manchester City, fait l'objet d'une enquête de la police après une altercation avec un supporter de Manchester United à la fin du match.

Selon la BBC, à la fin du derby entre United et City, un supporters des Red Devils a été interpellé par la police après avoir pénétré sur la pelouse. Lors de cette interpellation, une altercation entre le supporter en question et Craig Bellamy a eu lieu. Si pour le moment, aucune plainte n'a été déposée, la police poursuit son enquête. Le Gallois risque une sanction en cas de faits avérés.



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Source : news.sky.com

Le jeune supporter âgé de 21 ans qui a pénétré sur la pelouse après le but de Michael Owen passera au tribunal le 30 septembre prochain.

La police va également se pencher sur le cas du joueur de City, Craig Bellamy, qui a "courageusement" frappé au visage le supporter alors ceinturé par des stewards.

Douze supporters ont été arrêtés dans les gradins et une dizaine en ville en marge de la rencontre.

Au total, 51 supporters ont été sortis des tribunes d'Old Traford par la police durant le derby de Manchester.



Traduction Underground Fans