Saison 20/21 - Juin

Pologne: Gryf Słupsk - Pogoń Lębork - 03/06/2021

Source : https://gp24.pl/

A la fin de la rencontre, la police est intervenue après avoir été la cible de projectiles. Il y a eu plusieurs arrestations de fans.

Pologne: Hetman Zamość - Wisłoka Dębica - 02/06/2021

Source : https://stadionowioprawcy.net/

Italie - 05/06/2021

Source : Mail

Curva Sud Milano & Curva Nord Brescia

Angleterre - Roumanie - 06/06/2021

Source : https://news-24.fr/

« Les gens paient de l’argent pour regarder le football, pas pour signaler la vertu »: les fans anglais défendent les huées alors que les railleries retentissent à nouveau à Riverside

Une partie des supporters anglais a défié l’appel au silence de Southgate lors de la manifestation d’avant-match avant le match amical international de dimanche avec la Roumanie, avec des huées audibles dans plusieurs sections du stade du nord-est de l’Angleterre.

Les footballeurs en Angleterre se sont mis à genoux dans presque tous les matchs cette saison dans le cadre d’une vague de manifestations « Black Lives Matter » qui ont été popularisées après le meurtre de George Floyd aux États-Unis l’année dernière.

Cependant, depuis l’ouverture récente des stades, cette pratique suscite une inquiétude croissante, qui semble avoir atteint un point d’ébullition dans le football anglais cette semaine.

Les joueurs anglais, qui avaient déclaré cette semaine qu’ils étaient entièrement unis dans leur désir de s’agenouiller avant les matchs tout au long des Championnats d’Europe, semblaient même s’agenouiller plus longtemps que par le passé – apparemment dans un acte de défi contre leurs propres partisans.

Southgate a également indiqué qu’il soutenait pleinement la décision des joueurs de se mettre à genoux, et a souligné au cours de la semaine que son équipe était « collectivement déçu » lors de la réception qu’ils ont reçue au Riverside avant le match de mercredi contre l’Autriche.

"Nous ne pouvons pas contrôler la réponse mais nous sommes très clairs sur notre position, nous sommes totalement avec les joueurs", a déclaré Southgate. « Nous sommes unis avec le staff et le groupe de joueurs. Nous espérons unir les gens à travers cela. »

Des informations avant le coup d’envoi indiquaient également que la Roumanie avait également accepté de mettre un genou avant le match pour la première fois. Le moment venu, deux de leurs joueurs sont restés debout.

L’ancien attaquant anglais Ian Wright, qui a été victime d’abus raciaux en ligne, a félicité Southgate et ses joueurs pour avoir refusé de bouger dans leur position et a déclaré que les excuses utilisées par ceux qui choisissent de huer étaient "fourbe".

"Gareth et l’équipe – vous devez exprimer leurs valeurs. Je suis très fier de Gareth« , a déclaré Wright lors d’une couverture télévisée avant le match.

"Ils se mettent à genoux pour souligner l’injustice. C’est un geste symbolique. Les excuses qu’ils [booing fans] utilisent pour expliquer pourquoi ils huent sont fallacieux."

C’était un sentiment auquel un autre ancien attaquant anglais, Gary Lineker, souscrit également.

"Si vous huez les joueurs anglais pour avoir pris le genou, vous faites partie de la raison pour laquelle ils prennent le genou", a-t-il écrit sur Twitter.

La déclaration de Lineker a reçu un recul important.

"Non ils ne sont pas", a répondu un fan. « Il suffit de revenir d’où vient le genou et c’est pourquoi. Les gens paient de l’argent pour regarder le football, pas la vertu signalée par des gens comme vous. »

"Des ordures totales", a ajouté un autre. « Je suis contre se mettre à genoux comme je suis contre #BlackLivesMatter disant qu’ils veulent financer la police, abolir le capitalisme et attaquer la famille nucléaire. De plus, ils ont tenté de s’enregistrer en tant que parti politique. Pas de place pour la politique dans le sport. »

Free-fight - 12/06/2021

Source : Mail

Lille (France) vs RSCL Youth (Standard Liège - Belgique)
14vs14
1 min.
Victoire Lille

Turquie - Italie - 11/06/2021

Source : Mail



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Source : https://www.sudinfo.be/

Match Italie-Turquie: sept arrestations administratives durant la soirée à Charleroi

Une concentration importante de supporters a été observée aux ronds-points de la Taverne du Luxembourg et du Boulevard Tirou, comme le rapporte notre correspondant Jean-Claude Hérin, cela donnant lieu à certaines confrontations entre fans de l’Italie et policiers…

« Les services d’opérations ont mené quatre arrestations administratives, peu après la victoire de l’Italie. Trois pour ivresse et une pour trouble à l’ordre public », détaille David Quinaux. « Plus tard, dans la nuit, certains fêtards plus nocturnes se sont manifestés. Cela a débouché sur trois arrestations administratives par les services d’intervention pour ivresse sur la voie publique. »

Belgique - Russie - 12/06/2021

Source : https://www.lalibre.be/

Les supporters russes huent les Diables qui mettent un genou à terre

Les Diables disputent à Saint-Pétersbourg, leur premier match de l'Euro 2020, face à la Russie.
Juste avant le coup d'envoi, comme depuis un certain temps maintenant, les joueurs mettent un genoux à terre pour soutenir le mouvement Black Lives Matter. Les Russes eux, comme les Croates lors du match amical au Stade Roi Baudouin, ont décidé de ne pas mettre un genou un terre, une décision qui leur appartient.

De son côté, le public russe n'a rien trouvé de mieux à faire que de siffler le geste des Diables. Sûrement pas leur meilleure idée.

Allemagne : 84 hooligans du Dynamo Dresde identifiés - 10/06/2021

Source : https://www.bild.de/

Suite aux émeutes qui ont suivies la promotion du Dynamo Dresde en 2onde division, le 16 mai dernier, 84 hooligans ont été identifiés par la police. Pour mémoire, 185 agents avaient été blessés.

Depuis lors, une cellule anti-hooligans composée de 45 policiers traquent les émeutiers. 90 ont été identifiés dont 2 femmes ! 49 viennent de Dresde et 35 des environs.

Dans l'immédiat, et dans l'attente de poursuites judiciaires, la police préconise une interdiction de stade pour 58 d'entre eux.

Pologne : JKS Jarota Jarocin - MKS Nielba Wągrowiec - 06/06/2021

Source : https://stadionowioprawcy.net/

Pendant le match, un drapeau des fans de Nielba - volé en 2020 à l'occasion de leur déplacement à Koszalin - a été brulé.

Pologne : GKS Katowice - ZKS Stal Rzeszów - 07/06/2021

Source : Mail

Katowice & Baník Ostrava

Angleterre - Croatie - 13/06/2021

Source : https://www.lesoir.be/

Euro 2020: les joueurs anglais encore hués par leurs supporters pour avoir posé le genou à terre

Les joueurs de l’Angleterre ont encore été hués par une partie de leurs supporters au moment de poser un genou à terre pour protester contre le racisme avant leur premier match de l’Euro contre la Croatie dimanche à Londres.

La majorité des supporters ont cependant répondu à ces sifflets par des applaudissements dans un Wembley rempli à 25% de sa capacité.

En préparation pour l’Euro, les joueurs anglais avaient également été hués après avoir posé le genou à terre avant les matches contre l’Autriche et la Roumanie.



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Source : https://www.foot-national.com/

Un supporter gravement blessé après une chute d'une tribune

C'est encore une terrible nouvelle qui survient du côté de l'Euro 2020. Comme le dévoile le média anglais The Evening Standard, un supporter de l'Angleterre serait tombé d'une tribune lors du match entre les Anglais et les Croates à Wembley ce dimanche après-midi. Il aurait été transporté à l'hôpital dans un état grave, à la suite de sa chute d'une tribune qui serait survenue lors du coup d'envoi du match. Un fan anglais aurait déclaré : « Nous avons vu ses jambes franchir la barrière, puis il est tombé et a heurté le sol et n'a pas bougé." Un porte-parole du stade de Wembley a confirmé que le supporter avait été transporté à l'hôpital dans un état grave.Il faudra attendre des nouvelles de ce supporter anglais et savoir dans quel état il se trouve après cette grave chute.

France - 13/06/2021

Source : Mail

Rennes & Tours

Pays-Bas - Ukraine - 13/06/2021

Source : Mail

Quelques légers heurts ont éclaté après la victoire de la Hollande. A la Haye, des supporters ont déclenché des incendies sur du mobilier urbain et des vélos, puis lancé des projectiles en direction des forces de l'ordre.
La police anti-émeute a dû intervenir brièvement. Le calme est revenu vers 1 heure du matin.

Hongrie - Portugal - 15/06/2021

Source : Mail

Ferencváros avant le match


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Source : https://hang.hu/ + mail





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Source : mail

Euro 2021 : « Orbán a colonisé le foot », en Hongrie, le ballon au service du pouvoir - 17/06/2021

Source : https://www.ouest-france.fr/

Des stades pleins, une ambiance brûlante et des visages découverts. Bienvenue à Budapest, où l’Euro 2021 se vit comme dans le monde d’avant. Derrière l’image de carte postale, il y a l’emprise du nationaliste Viktor Orbán, le Premier ministre fan de football, qui en a fait un instrument de son pouvoir. Reportage.

C’est un village sans âme, traversé par une longue ligne droite et bordée des jardins d’habitations discrètes. On y trouve même la maison d’enfance du Premier ministre Viktor Orbán, mais l’essentiel se trouve de l’autre côté de la route, à l’entrée de Felcsút. Cette commune de 1 800 habitants seulement, perdue dans la campagne hongroise et située à 40 minutes de route de Budapest, abrite la Puskás Akademia, du nom de Ferenc Puskas, figure du « onze d’or » magyar des années 1950 et ancien joueur du Real Madrid.

Avec sa dizaine de terrains d’entraînement et ses internats, le site n’a rien à envier de nombreux centres de formation français. Mieux, depuis 2014, il dispose d’un stade rutilant de 4 500 sièges, traversé par une charpente en bois et couvert d’un toit en ardoise. Impossible de rater ses arcs aux allures de cathédrale, sa forme ondulante comme un château de Disneyland. C’est un caprice, à l’image d’un personnage enfantin​, résume Jenö, retraité de l’enseignement et porteur d’une exaspération croissante en Hongrie. On a bénéficié de beaucoup d’argent de l’Europe, mais on n’a pas transformé notre système de santé ou d’éducation. Ici, tout reste en surface. Et ces stades sont les monuments du gaspillage.

Budapest, seule capitale à investir dans un nouveau stade

En Hongrie, Viktor Orbán n’a pas seulement offert un cadeau au village de son enfance. Ce fan de ballon de 58 ans, ancien attaquant de deuxième division, a imposé une empreinte très forte sur le football magyar, dont les enceintes sportives constituent la trace la plus visible. Depuis son retour au pouvoir en 2010, le leader populiste d’extrême droite a favorisé un important plan de modernisation des équipements. Les clubs professionnels ont quasiment tous profité de cette frénésie, marquée par la construction d’une vingtaine de stades. La vitrine s’étale à Budapest, sur les ruines du Népstadion, l’ancien stade du peuple. Parmi les onze villes hôtes de l’Euro, seule la capitale hongroise s’est d’ailleurs lancée dans un chantier aussi ambitieux que coûteux.

Mardi soir, contre le Portugal, ce temple ovale, un vaisseau monumental étendu sur 364 mètres, a été pris d’assaut par près de 55 000 spectateurs à l’occasion d’Hongrie-Portugal, première des quatre rencontres de la compétition. Il fallait le remplir, ​confie le chauffeur de taxi, en mimant une forte poussée comme dans une mêlée. On a payé pour ça. ​Pour vibrer et, aussi, conforter le pouvoir de Viktor Orbán, déterminé à rendre au football hongrois sa grandeur ». « Le football est devenu un outil politique, un instrument de communication », ​déplore Jenö.

Le sport favori a fait l’objet d’investissements massifs, encouragés par des exonérations accordées aux entreprises en échange des dons anonymes consacrés au sport. C’est un système opaque », ​résume l’universitaire français Paul Gradvohl, spécialiste de l’Europe centrale. Dans une longue enquête à paraître, « La victoire compulsive », le journaliste Pál Rényi estime à plus de deux milliards d’euros les fonds injectés dans le ballon rond. À elle seule, le complexe de Budapest en a englouti près de 30 % (600 millions d’euros), le triple de la facture prévisionnelle. Le maire de Felcsút, un ancien plombier, est aujourd’hui à la tête du plus grand patrimoine du pays, ​poursuit Paul Gradvohl.Il a fait fortune dans la construction… En Hongrie, c’est le fait du prince.

Lőrinc Mészáros, c’est son nom, copain d’école du premier ministre, conserve un œil attentif sur la Puskas Akadémia, deuxième du dernier championnat et qualifiée pour le deuxième tour préliminaire de la Ligue Europa. Il incarne la mainmise de Viktor Orbán sur le football hongrois, dans le lequel il a tissé une véritable toile d’araignée. Cette saison, onze des douze équipes de première division étaient dans les mains des amis du régime. Le secrétaire général du Fidesz, le parti nationaliste au pouvoir, règne sur les champions du Ferencváros. Miklos Sezták, ancien ministre, préside le Kisvárda FC. L’eurodéputé Tamás Deutsc, co-fondateur du parti, possède le MTK Budapest. Et la liste est longue. Le Fidesz a entièrement colonisé le football hongrois, un peu comme il l’a fait dans d’autres domaines culturels, comme les médias, que le gouvernement contrôle pour moitié via des holdings », ​écrit le site 444, la voix des opposants au régime autoritaire, auquel collabore Pál Rényi.

Des tribunes politisées

Avec le football, Viktor Orbán tient les milieux économiques, mais il a aussi élargi son influence dans la région, où il s’efforce de soutenir les minorités hongroises. Lőrinc Mészáros, encore lui, a acquis des participations dans le club croate du NK Osijek. Le Premier ministre, lui-même, a soutenu la création d’une académie de football en Roumanie. Ce rêve de retrouver la Transylvanie, où réside 6 % de la population hongroise, est aussi chanté dans les stades du pays. C’est un chant revanchard, qui exalte le sang et les frères de l’étranger,​décrypte Jenö. Il a participé à changer l’atmosphère des stades.​En 2006, de violentes manifestations avaient ébranlé le pouvoir socialiste et mis le feu à Budapest. En tête de cortège, on retrouvait les gros bras et crânes rasés du Fidesz, adeptes des tribunes. Si les hooligans ont depuis été éconduits des stades, ils restent très actifs dans le soutien à l’équipe nationale, pas concernée par la mise en place de cartes d’identification

Ce samedi, lors du match contre le pays hôte, les supporters des Bleus feront ainsi connaissance de ces corps bodybuildés et tatoués, drapés dans un t-shirt noir. C’est la Brigade des Carpates, assimilée au néo-nazisme. Mardi soir, avant le match contre le Portugal, elle a réuni plusieurs milliers de personnes dans une marche entre la place des Héros et la Puskas Arena, avant de prendre possession de son virage nord. Orbán utilise le foot pour parler aux hommes blancs, hongrois et chrétiens, ​analyse Jenö. Ils se retrouvent dans la lutte contre une capitale décadente et le globalisme libéral.

À un an des prochaines élections, qui voient monter la contestation à travers une coalition d’opposants, Viktor Orbán mise sur l’Euro pour conforter son assise électorale, enracinée dans les campagnes. Alors que le pays a maintenu ses frontières fermées, le ballon rond constitue un passeport pour s’y rendre et plonger les étrangers dans ces atmosphères festives, rappelant la vie d’avant. À l’extérieur, il ne peut espérer engranger que des succès diplomatiques, ​tempère Paul Gradvoh. En revanche, il en espère des votes. Un échec le rendrait fou.

Sportivement, la sélection Magyare peine à exister, écrasée dès le match d’ouverture par le Portugal (3-0). Preuve que les investissements conséquents de ces dernières années n’ont pas eu le résultat escompté.Contrairement aux années 50 et à l’âge d’or du football hongrois, ils n’ont pas irrigué le système mais ont servi à enrichir les proches du pouvoir », ​accuse Pauld Gradvohl. Le football n’est pas le seul terrain de jeu de Viktor Orbán. À côté de la Puskas Arena se déroulent actuellement les Mondiaux de judo. Et la Hongrie rêve d’accueillir les JO. Une obsession,​se désole Jenö, en citant l’exemple de la Grèce. Il veut accueillir le monde coûte que coûte. ​Une ambition qui passe moins bien avec la pandémie, démontrant l’absence d’un État protecteur. À Budapest, les affiches de l’Euro se disputent les murs avec un autre événement, la venue du pape François à l’automne. Un autre match en perspective, plus délicat pour Viktor Orbán. À ce jour, le Saint-Père n’a pas prévu de rencontrer le Premier ministre.

Arka Gdynia - ŁKS Łódź - 16/06/2021

Source : Mail

Łódź hooligans


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Source : https://gol24.pl/

Angleterre - Ecosse - 18/06/2021

Source : Mail







Hartlepool


Barnsley, Sheffield Utd, Hull, Doncaster, Leeds, Newcastle & Chelsea


Mansfield & Forest


Millwall, Darlington & Brentford


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Source : https://www.scotsman.com/

30 personnes arrêtées alors que des fans faisaient la fête toute la nuit après le choc des Euros entre l’Angleterre et l’Écosse



Des dizaines de personnes ont été arrêtées dans les rues de Londres la nuit dernière à la suite de l’affrontement très attendu entre l’Angleterre et l’Écosse.

La police métropolitaine a déclaré que 30 personnes avaient été arrêtées pour des infractions présumées allant de l’ivresse et du désordre à l’agression de policiers.

Quelque 25 des arrestations ont été effectuées dans le centre de Londres tandis que cinq se trouvaient dans les environs de Wembley.

Scotland Yard a déclaré dans un tweet: “13 arrestations concernaient des infractions à l’ordre public, 6 pour ivresse et désordre, 4 pour voies de fait contre la police, 3 pour voies de fait, 2 liées à des drogues de classe A et une chacune pour violation d’un ordre de dispersion et violation d’une interdiction ordre.’




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Source : https://metro.co.uk/

Pays-Bas - Autriche - 17/06/2021

Source : https://www.destentor.nl/

Tout comme contre l'Ukraine, quelques incidents ont eu lieu à La Haye après le match des Pays-Bas contre l'Autriche. Cinq personnes ont été arrêtées.

Hongrie - France - 19/06/2021

Source : https://www.sofoot.com/

On avait pu les repérer au cours de l'été 2016, en France, et les voilà de retour. Une partie des supporters de la sélection hongroise fait de nouveau parler d'elle : hyperactive dans les travées d'une Puskás Aréna bondée pour la réception du Portugal le 15 juin dernier (0-3), elle est réunie autour d'un groupe unique, la Carpathian Brigade, à la réputation peu flatteuse. Mais qui sont vraiment ces gens qui vont mettre la pression sur les Bleus, ce samedi après-midi à Budapest ?



Une masse compacte dont les membres, tout de noir vêtus, ont chanté pendant 90 minutes, sans s'arrêter un seul instant : voilà l'image qui a marqué la vie des tribunes, le 15 juin dernier, à l'occasion de la rencontre entre la Hongrie et le Portugal (0-3). Ce groupe, discipliné et coordonné, n'est pas nouveau : à l'Euro 2016 déjà, en France, il avait pu être remarqué, dans le même uniforme, avec la même attitude. Ce groupe, c'est la Carpathian Brigade, qui agrège pour chaque fenêtre de matchs internationaux les supporters de la sélection nationale. Problème : une réputation peu flatteuse la précède. Entre démonstrations de force ultra violentes et convictions politiques sulfureuses, la Brigade des Carpates reste un peu mystérieuse.

Extrême droite et Grande Hongrie

Pourtant, le phénomène ne date pas d’hier. Il est d’abord le fruit d’un particularisme des pays de l’ancien bloc de l'Est. « À la chute du Mur de Berlin, la Hongrie est le premier pays de l'ancien Pacte de Varsovie à reprendre le mouvement ultras, explique Sébastien Louis, historien, spécialiste du supporterisme ultra et auteur du livre Ultras, les autres protagonistes du football. Jusqu'alors, le supporterisme radical s'organisait peu, sur un mode à l'anglaise, avec des bandes de hooligans et de skinheads neonazis. En Hongrie, les deux tendances vont coexister dans les tribunes. Une division des rôles plutôt stricte, mais qui, à la fin, produit une synthèse qui suit l'équipe nationale. » L’organisation est simple : chaque club du pays, notamment Ferencváros et Újpest, dispose d’un groupe, d’une firme, qui suit la sélection. Pour canaliser les rivalités interclubs, souvent extrêmes, une union sacrée a été déclarée. « Pour éviter les incidents, un traité a été conclu, de sorte à faire primer l’équipe nationale, continue-t-il. C’est quelque chose d’assez rare, mais qui fonctionne dans les pays de l’Est, notamment en Pologne, en Roumanie ou en Croatie. » Du côté magyar, il y a plus d'organisation qu'ailleurs : depuis 2009, des dizaines de membres de groupes de chaque club se rassemblent sous une bâche commune, celle de la Carpathian Brigade.

Sauf que la Brigade des Carpates n’est pas forcément un groupe de joyeux lurons, qui suit son équipe d'Andorre-la-Vieille à Bakou, rien que pour les beaux yeux d'Ádám Szalai. « La plupart se retrouvent sur des positions d'extrême droite, certains sont même proches des thèses néonazies, prolonge Sébastien Louis. Ce sont des groupes qui rejettent le communisme (rappelons toutefois que la Hongrie a subi une dictature communiste de 1949 à 1989, NDLR) et l’homosexualité, et exhibent le drapeau de la Régence de Miklós Horthy, un amiral qui, après le traité de Trianon, a établi une dictature nationaliste et pourchassé les juifs, les tziganes et les communistes. » Son nom, qui sent bon le trail ou le trekking, cache également une réalité plus tendancieuse et provocatrice. « Il faut comprendre que l’imaginaire national est marqué par une date clé, celle du traité de Trianon, le 4 juin 1920, qui voit la Hongrie perdre les deux tiers de ses territoires, précise Sébastien Louis. Ce concept de Grande Hongrie, que Viktor Orbán agite régulièrement, est donc omniprésent, notamment dans le supporterisme. La Brigade des Carpates cherche à unir les fans de la Hongrie derrière cette notion, pour signifier que les frontières réelles du pays ne sont pas les frontières actuelles. »

Acte fondateur et démonstrations de force

Car pour les connaisseurs, le territoire hongrois est à peine traversé par la principale chaîne de montagnes d'Europe centrale et orientale (4% de son territoire seulement). La Carpathian Brigade est donc une bravade infligée aux voisins-ennemis, Roumains notamment. Bucarest, justement, demeure la première démonstration massive des Popeye aux tricots noirs hors de leurs frontières. En 2013, le contingent hétéroclite, mené par la firme des Green Monsters de Ferencváros, débarque à plusieurs milliers pour un bouillant Roumanie-Hongrie, en éliminatoires du Mondial 2014. Si le Nemzeti Tizenegy repart la queue entre les jambes (0-3), la Carpathian Brigade laisse la trace souhaitée dans la vieille ville : chants xénophobes et insultants ( « Nous broyons tous les bébés roumains » ), mais aussi irrédentistes et expansionnistes, combats de coqs avec les forces de l'ordre et terrasses réduites en pièces. Cristian, ancien membre des groupes ultras roumains Uniți Sub Tricolor, et Honor et Patria, confie : « Ils ont réalisé le rêve de tous les Hongrois : mettre sens dessus dessous notre vieille ville. »

Reste que la grosse baston de Bucarest est un acte fondateur : par la suite, le groupe attire de plus en plus de fidèles. « Aujourd’hui, ils sont capables de mobiliser des milliers de personnes, jusqu’à 30 000 lors de l’Euro 2016 en France, détaille Sébastien Louis. Bien évidemment, toutes ne font pas partie du noyau dur, très actif : la plupart sont des suiveurs ou des Hongrois issus de la diaspora. » Quoi qu'il en soit, la Brigade des Carpates est tout à fait capable de répéter les démonstrations de force, jusqu'à l'automatisme. Et si les insignes politiques sont prohibés, car le groupe a bien compris qu’il pourrait être dans le viseur des instances s'il devenait trop ostentatoire, le reste est très encadré : vêtus de T-shirts sobres, les supporters radicaux de la sélection se déplacent toujours en noir, couleur symbolique du dress code des tribunes, qui favorise l'anonymat au sein de la foule. Contre le Portugal, le 15 juin, la Carpathian Brigade était en tout cas bien présente : et si la sélection n'a pas été étincelante sur le terrain (0-3), ses supporters ont assuré le spectacle en tribunes. Et face à la France ce samedi, ils seront, à coup sûr, encore au rendez-vous.



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Source : https://www.kisalfold.hu/ + https://www.szeretlekmagyarorszag.hu/

Un important dispositif policier a été déployé pour éviter des débordements. Un premier cortège hongrois vient de partir avec 10 000 fans. Un deuxième doit en réunir 2 000 derrière des nationalistes. Objectif des policiers : des départs échelonnés pour ne pas qu’ils se croisent. Des policiers français sont également présents pour assurer la coordination avec la police hongroise et retransmettre les infos aux supporters français​, informe notre envoyé spécial.

France: Free fight - 19/06/2021

Source : mail

Nice vs Tours
13 vs 13
Victoire Nice

Free fight - 19/06/2021

Source : mail

Charleroi (CYS) vs Reims (MesOs)
U23
8 vs 8, 1min

Charleroi vainqueur

Info: 6 u23 + 2 plus de 26 de chaque côté

Un fan d’Ecosse, 27 ans, arrêté et tasé après avoir plongé de la fenêtre du 4e étage et blessé 2 policiers après le match de l’Euro - 19/06/2021

Source : https://news-24.fr/

Un fan d’Ecosse a été arrêté et a subi un Taser après avoir plongé de la fenêtre du 4e étage d’un hôtel de Londres après le choc de l’Euro avec l’Angleterre la nuit dernière.

Le membre de l’armée tartan a été arrêté par des officiers après avoir apparemment jeté des objets par la fenêtre de l’hôtel.

Les agents se sont rendus sur les lieux et ont arrêté l’homme après qu’il soit tombé d’une fenêtre à l’hôtel Corus sur Lancaster Gate à Hyde Park.

Il a été transporté d’urgence dans une unité de traumatologie majeure de l’hôpital St Mary’s de l’ouest de Londres – mais son état n’a pas été jugé mortel.

La police a confirmé aujourd’hui que l’homme avait été arrêté pour suspicion de rixe et que deux policiers avaient été blessés alors qu’ils tentaient de l’arrêter.

Il n’est pas été grièvement blessé et sortira bientôt de l’hôpital pour être placé en garde à vue, a indiqué la police.

Espagne - Pologne - 19/06/2021

Source : mail

Espagnols







Biris Norte Sevilla


Slask Wroclaw & Motor Lublin

Suède: Free fight - 19/06/2021

Source : mail

Orebro vs Norkopping
7 vs 7
Victoire Orebro

Des cris de singe entendus dans la Puskas Arena lors de Hongrie-France - 19/06/2021

Source : https://www.lequipe.fr/

Plusieurs personnes ont entendu des cris de singe en provenance des tribunes et plus précisément du virage des ultras hongrois, samedi.

Samedi, lors de Hongrie-France (1-1), des cris de singe venus du virage des ultras hongrois ont été entendus par les photographes présents dans la Puskas Arena. L'incident s'est répété à plusieurs reprises, en première période, quand N'Golo Kanté et Paul Pogba, notamment, touchaient le ballon.

Des cris imperceptibles pour bon nombre des spectateurs, compte tenu du bruit assourdissement des 56 000 fans présents. Mais plusieurs personnes, dont des photographes, ont fait état de ces cris.