Saison 09/10 - Juin

Supporteur du Paris SG tué : 3 hommes placés en garde à vue - 02/06/2010

Source : Le Parisien

Trois hommes ont été placés en garde à vue hier dans le cadre de l'enquête sur l'agression d'un supporteur battu à mort lors d'une rixe entre supporteurs du Paris SG fin février, a-t-on appris de source judiciaire, confirmant une information du Parisien. Leur garde à vue a été prolongée ce matin et le juge d'instruction chargé de l'enquête devrait décider dans la journée de leur éventuel déferrement.
Par ailleurs, des perquisitions ont été effectuées chez une dizaine de personnes, responsables d'associations de supporteurs du PSG. Quatre hommes avaient déjà été mis en examen en mars pour tentative d'homicide involontaire dans le cadre de cette enquête. L'un d'eux a été placé en détention provisoire. Ils sont soupçonnés d'avoir participé au tabassage mortel avant le match PSG-Marseille de L1 le 28 février d'un supporteur parisien, Yann Lorence.

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Source : France Info

Trois hommes placés en garde à vue après la mort d’un supporter du PSG

Trois personnes ont été placées en garde à vue après le décès d’un supporter du PSG lors d’une rixe fin février. Ils ont été arrêtés hier matin. Quatre personnes ont déjà été mis en examen pour tentative d’homicide involontaire.

La bagarre remonte au 28 février dernier à l’occasion de la rencontre à haut-risque entre le PSG et l’OM. Une rencontre que les supporters marseillais ne sont pas autorisés à suivre. Les fans du PSG décident alors de se battre entre eux. Un homme de 37 ans, Yann Lorence, est violemment frappé. Il tombe dans le coma et décède deux semaines plus tard.

Selon les premiers éléments de l’enquête, ce membre de la tribune Boulogne aurait été frappé à mort par les supporters rivaux d’Auteuil. Une enquête qui a déjà abouti à l’arrestation de quatre supporters. Ils ont été mis en examen pour tentative d’homicide involontaire dans le cadre de cette enquête. L’un d’eux a été placé en détention provisoire.

Hier, trois hommes ont été arrêtés et placés en garde à vue dans le cadre de cette enquête. Leur garde à vue a été prolongée ce matin. Ils pourraient être déférés devant le parquet aujourd’hui.

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Source : Nouvel'Obs

Meurtre d'un supporter du PSG: trois personnes en garde à vue

Trois hommes âgés de 23 à 35 ans ont été interpellés mardi et placés en garde à vue dans le cadre de l'enquête sur le meurtre d'un supporter du PSG roué de coups par plusieurs personnes avant le match contre l'OM au Parc des Princes à Paris le 28 février, a-t-on appris mercredi de source proche de l'enquête.

Selon les enquêteurs du 1er District de police judiciaire (DPJ), ces trois hommes originaires des Hauts-de-Seine et du Val d'Oise appartiendraient à la tribune Auteuil et auraient été présents sur les lieux du drame. Les policiers cherchent à déterminer s'ils sont impliqués dans l'agression fatale de cet homme de 37 ans, supporter de la tribune Boulogne, qui était décédé à l'hôpital le 17 mars après avoir été plongé dans le coma.

Jusqu'à présent, quatre hommes qui appartiendraient notamment à la mouvance des supporters "authentiks" ont déjà été mis en examen pour "tentative d'homicide volontaire". L'un d'entre eux a été écroué.

Par ailleurs, des perquisitions ont été menées récemment au sein d'associations de supporters du PSG devant être dissoutes dans le cadre de cette même enquête.

France : Grièvement blessé un soir de match :« C'est très dur à vivre » - 03/06/2010

Source : Le Progrès

Le 2 avril 2004 à Grenoble, Olivier Baraldini était grièvement blessé par balle. Il assistait hier, à la cour d'assises de l'Isère, au premier jour du procès de ses agresseurs présumés

En ce temps-là, le stade des Alpes n'existait pas et c'est à Lesdiguières que le GF38 - en Ligue 2 à l'époque - recevait, ce 2 avril 2004 à 20 h 30, l'ASSE, qu'étaient venus soutenir quelque 1 200 Stéphanois. Dont une dizaine se sont pourtant retrouvés, peu avant 20 heures, à plus de 600 mètres du terrain, avenue Rhin-et-Danube. Pour « donner des billets à des supporters », ou parce qu'en y passant dans leur car, les « Green angels » avaient déjà échangé des doigts d'honneur et autres gracieusetés avec des jeunes du Mistral, et qu'ils seraient « remontés pour en découdre » ? En tout cas la bagarre a éclaté, « extrêmement violente », jets de cannettes, de pierres, et même d'une poubelle et d'une batterie. « Ils étaient tous enchevêtrés » raconte un témoin à qui la scène a évoqué, rien de moins, « les guerres de religion ».

Karim Aouragh, 24 ans, qui a vu la rixe démarrer de loin, s'en est approché pour calmer le jeu. « Vous étiez plutôt connu comme un grand frère », observe le président Dubois. Seulement il a aussitôt pris un coup, il l'a rendu. Et puis « on » lui a donné un fusil, il a tiré en l'air, « pour disperser tout le monde ». Le bruit de la détonation l'a « paniqué » lui-même, dans la cohue il a trébuché, dit-il, « je suis tombé sur le capot d'une voiture, le deuxième coup est parti ». Et a atteint d'une gerbe de plombs un jeune Stéphanois de 21 ans, Olivier Baraldini. Grièvement touché à la tête, le jeune homme a été transporté à l'hôpital dans le coma, et dans un état très critique.

Les témoignages, confus, parlent de deux, trois, voire quatre détonations; rien n'établit pourtant qu'il y en a eu plus de deux. Mais les témoignages font aussi état d'un réarmement du fusil, d'une position de tir à l'horizontale, l'arme à hauteur de la poitrine. « Je n'ai voulu faire de mal à personne » répète Karim Aouragh, « c'était accidentel ». Le directeur d'enquête estime que c'est « possible », l'expert en balistique, qu'on entendra aujourd'hui, semble penser que ça ne l'est pas. En tout cas n'a-t-on pas retrouvé l'arme, qu'il a jetée dans sa fuite. Il s'est « terré, complètement terrorisé » dans une cave, avant de rallier le Midi. Puis le 25 mai, il s'est rendu à la police. Il a fait dix-huit mois de détention provisoire.

Qui lui avait donné le fameux fusil ? Kamel Boulenouane, a-t-il dit, un garçon de son âge et de son quartier qu'il connaissait sans plus, bonjour-bonsoir, mais qui s'est retrouvé à ses côtés dans la bagarre. Ou peut-être, s'est-il rétracté, ne l'a-t-il pensé que parce qu'il était à ses côtés, justement ? Kamel, ou quelqu'un d'autre, lui a-t-il crié : « Fume-le, fume-le », ou encore : « Fais quelque chose », il ne sait plus, c'était il y a six ans. Kamel Boulenouane, qui est poursuivi pour complicité, se défend d'avoir jamais donné ce fusil. Il en avait bien acquis un, d'ailleurs volé, huit jours plus tôt, « un truc de chasse, à l'ancienne » mais il ne marchait pas, et puis il s'en était débarrassé « au passage d'un fourgon de CRS », il ne l'avait pas retrouvé. Mais lui, il a vu « un petit jeune, 15 à 18 ans », tendre une arme à Aouragh…

Olivier Baraldini ne peut pas le contredire, il n'a plus aucun souvenir. Une portion de projectile dans la boîte crânienne, le jeune homme souffre de graves séquelles neurologiques, surtout de troubles amnésiques. Épuisé, fragile, il a seulement dit à la cour que « c'est très dur à vivre ».

France : Sursis et interdiction de stade pour les supporters - 01/06/2010

Source : Midi Libre

RAPPEL : Le 2 avril en Avignon, des échauffourées ont émaillé le match de football opposant Arles-Avignon à Nîmes

On refait le match, mais sans les actions de jeu et seulement sous l'angle judiciaire. C'est par ce prisme que le tribunal correctionnel d'Avignon a analysé l'affaire des violences ayant émaillé la rencontre Arles-Avignon - Nîmes du 2 avril dernier. Durant ce match au Parc des sports, tout est apparemment parti en vrille pour une histoire de banderole située dans la tribune des supporters de Nîmes Olympique. En fait, il était reproché à sept membres ou sympathisants des Gladiators d'avoir participé à des échauffourées avec des CRS intervenus dans la tribune des Nîmois pour y remettre de l'ordre. Bilan : un CRS blessé à la tête par un morceau de ferraille, des policiers copieusement insultés, victimes de violences, de crachats ou de rebellions, et une tribune presque entièrement en pièces après le passage des Nîmois.
L'enquête de la police d'Avignon établissait que sept personnes étaient suspectées de ces faits, dont Laurent T, un leader des supporters. Lui aussi comparaissait hier devant le président Marc Jean-Talon, qui a mené à la barre une minutieuse instruction de ce dossier. Photos extraites de la vidéosurveillance à l'appui, et témoignage accablant de plusieurs policiers.
Lors des débats, les prévenus ont nuancé les violences qui leur étaient reprochées. Face aux juges, tous reconnaissent plus ou moins avoir eu un comportement borderline, mais se refusent à parler de violences sur les forces de l'ordre. « Je n'ai rien contre la police, ma femme est policière à Nîmes et j'ai honte de me trouver ici » , dira ce chef d'entreprise, 28 ans, lequel a toutefois reconnu les outrages à l'égard de fonctionnaires. Les autres prévenus expliquent s'être interposés, mais contestent être impliqués dans des violences sur personne dépositaire de l'autorité publique.
Quant au leader des Gladiators, 32 ans, il rejette l'accusation de provocation directe à la rébellion. La procédure estime qu'avec un mégaphone, il a poussé les supporters à résister à la police. L'intéressé, Laurent T, nie . Quant au lanceur de la ferraille qui a blessé à la tête un CRS, il reconnaît son geste. Mais il réfute toute intention coupable. « Un geste malheureux », plaidera son avocat.
Pour l'accusation, les dénégations ne résistent pas à l'examen des charges du dossier. Elle réclame des peines de deux à six mois ferme, avec des interdictions de stade.
La défense, soutenue par M e s Corral, Bouquet, Floutier, Nougier et Chastel-Ficq, a tenté de ne pas entrer dans le débat du hooliganisme et de limiter le périmètre de l'affaire à un match de Ligue 2 dans un climat de « passionnés de football » .
Après délibéré, tous les prévenus sont condamnés. Cinq écopent de six mois de prison avec sursis et un an d'interdiction de stade. Laurent T, des Gladiators, est sanctionné par deux mois avec sursis et interdiction d'exercer des fonctions de dirigeant associatif pour un an. L'auteur de la blessure sur le CRS écope d'un an avec sursis et 150 jours amende à 5 €, et se trouve interdit de stade pour deux ans.

L'Argentine fait la chasse à ses hooligans pour le Mondial - 03/06/2010

Source : Le Parisien

L'Argentine a annoncé l'envoi d'informations aux autorités sud-africaines concernant 800 hooligans. Une façon de se rattraper après la polémique née en Amérique du sud à la suite du fait que 30 «Barras Bravas» (NDLR : supporters très violents) avaient fait le voyage avec l'équipe entraînée par Diego Maradona.

Les politiques argentins se sont saisis de l'affaire pour freiner toute mauvaise publicité. Anibal Fernandez, le chef du gouvernement argentin, a déclaré à la presse sa volonté d'enrayer le problème des hooligans. «Nous avons fourni à l'Afrique du sud toutes les informations dont nous disposons sur ces personnes liées aux violences dans les stades». Seulement, il est très difficile d'interdire à des supporters de faire le déplacement au Mondial.

Selon le journal sportif «Olé», 235 autres hooligans réunis au seins de l'ONG «Supporters Argentins Unis», sont attendus à Pretoria la semaine prochaine. Le premier ministre argentin semble impuissant face à cette situation. «Nous n'avons aucun intérêt à voir ces gens-là au Mondial mais tout citoyen libre a le droit de se déplacer, nous ne pouvons pas les empêcher de se rendre au Mondial».

Depuis 1924, 241 victimes ont péri en Argentine suite à des violences liées au football. Les autorités Sud-Africaines vont être très attendus dans le domaine de la sécurité.

PSG/supporteur tué: 3 libérations - 03/06/2010

Source : Le Figaro avec AFP

Trois hommes, placés mardi en garde à vue dans l'enquête sur l'agression d'un supporteur battu à mort lors d'une rixe entre supporteurs parisiens fin février, ont été remis en liberté hier soir sans charge retenue à leur encontre, a-t-on appris de sources proches du dossier. Lors de leur interpellation mardi, des perquisitions ont par ailleurs été effectuées chez une dizaine de personnes, responsables d'associations de supporteurs du PSG.

Quatre hommes sont déjà mis en examen pour homicide volontaire dans ce dossier. L'un d'eux est en détention provisoire, les autres sous contrôle judiciaire. Ils sont soupçonnés d'avoir participé au tabassage mortel avant le match PSG-Marseille de Ligue 1 de football le 28 février. Le supporteur, Yann Lorence, âgé de 37 ans, était décédé mi-mars des suites de ses blessures.

BFC Dynamo- BAK 07 - finale de coupe régionale - 02/06/2010

Source : bz-berlin.de

A la fin de la finale, une centaine de fans du BERLIN FC ont envahi la pelouse. La police s'est alors déployée pour éviter le pire. Une quinzaine de supporters ont été arrêtés.
Le club risque une lourde amende.

Traduction Underground Fans

PSG : Kop Of Boulogne communiqué - 06/2010

Source : mail (merci à l'expéditeur)

Nigéria - Corée du Nord - Match amical joué en Afrique du Sud - 06/06/2010

Source: http://www.dhnet.be/sports/mondial-2010/article/313782/mouvement-de-foule-devant-un-stade-en-afrique-du-sud.html

Mouvement de foule devant un stade en Afrique du Sud


Quinze personnes, dont un policier, ont été blessées lors d'un match amical remporté 3 buts à 1 par le Nigéria face à la Corée du Nord

TEMBISA Une bousculade s'est produite dimanche devant un stade près de Johannesburg où s'étaient massés des milliers de supporters désireux d'assister à un match amical entre le Nigeria et la Corée du Nord cinq jours avant le coup d'envoi de la Coupe du monde de football. Quinze personnes, dont un policier, ont été blessées, a précisé le colonel Hangwani Mulaudzi, porte-parole de la police. "C'est un match amical et je pense que les supporters étaient enthousiastes à l'idée de venir et de voir leurs héros qui participeront au Mondial", a-t-il souligné, expliquant que le Nigeria, en tant qu'équipe hôte, était responsable de la sécurité.

Quand les incidents ont eu lieu, la police est selon lui intervenue pour contrôler la situation. Une première bousculade s'est produite lorsque les portes du stade Makhulong se sont ouvertes pour permettre aux supporters d'aller prendre place. Les forces de police ont rapidement fermé les portes, mais à leur réouverture, une deuxième bousculade a eu lieu, entraînant la chute d'autres personnes.

Un policier a été blessé dans le mouvement de foule et évacué sur une civière.
A ce moment-là, les joueurs des deux équipes étaient présents sur le terrain pour les hymnes nationaux, ignorant tout de ce qui se passait à l'extérieur du stade.

Peu après, les portes ont été refermées, et la majeure partie de la foule s'est dispersée. Le match a été suspendu pendant une dizaine de minutes peu après le début de la seconde mi-temps, puis a repris, le Nigeria menant 1-0. La sécurité a également été renforcée en cours de rencontre.

Le dispositif de sécurité pour le Mondial n'était pas en vigueur pour cette rencontre à Tembisa car il s'agissait d'un match amical, mais un policier s'en est pris à la Fédération internationale de football (FIFA) à la suite de ces incidents, lui reprochant la gratuité des billets.

France : 5 ans de prison pour l'auteur du coup de feu - 07/06/2010

Source : 20Minutes.fr

A l'issue de trois jours de procès et après trois heures de délibéré, la cour d'assises de l'Isère a condamné vendredi soir le Grenoblois Karim Aouragh, 26 ans, à cinq ans de prison dont deux avec sursis pour « violence avec arme ». Il a été reconnu coupable par le jury d'avoir tiré, en avril 2004, le coup de feu qui a blessé à la tête et rendu lourdement handicapé Olivier Baraldini, supporteur du club de foot de Saint-Etienne, alors âgé de 20 ans. Le drame était intervenu à l'issue d'une rixe opposant, en marge d'un match de Ligue 2 de football au stade Lesdiguières, des Stéphanois à des jeunes du quartier Mistral.
Karim Aouragh, qui a déjà effectué 18 mois de détention préventive, s'est vu accorder une peine largement assortie du sursis car il est aujourd'hui salarié, père de famille et inséré.
Kamel Boulenouane, accusé d'avoir fourni l'arme et donc de complicité, a été relaxé par la cour, faute de preuve. Il écope néanmoins de trois de prison, pour avoir participé à la rixe.

L'Afrique du Sud expulse dix supporters argentins - 07/06/2010

Source : Reuters

La police sud-africaine a expulsé lundi dix supporteurs argentins soupçonnés d'être des hooligans après leur arrestation à l'aéroport de Johannesburg, a annoncé l'ambassade d'Argentine. Les médias argentins rapportent que les dix supporters, connus pour leurs précédents violents, font partie d'un groupe de 80 personnes en provenance d'Amérique du Sud via l'Angola.

"Ils les expulsent. Le gouvernement sud-africain a le droit d'expulser quiconque est considéré dangereux pour le reste de la population", a déclaré Adrian Vernis, attaché de presse à l'ambassade argentine. Une polémique a éclaté ces derniers jours en Argentine, où le gouvernement et la Fédération de football sont accusés d'avoir aidé des centaines de "barras bravas" - le nom donné aux hooligans argentins - à se rendre en Afrique du Sud. Certains ont ainsi voyagé dans le même avion que la délégation argentine du sélectionneur Diego Maradona.

Grèce (basket) : Olympiakos - Panathinaikos - 06/06/2010

Source : Eurosport

Panathinaikos Athènes a remporté le championnat de Grèce à l'issue d'un quatrième match des playoffs contre l'Olympiakos Piraeus stoppé prématurément en raison de violences de la part de supporteurs adverses. Il s'agit du 8e titre d'affilée pour le Panathinaikos, le 31e de son histoire.

Le Panathinaikos menait 76-69 lorsque le match fut arrêté à 63 secondes du coup de sifflet final. La victoire fut ensuite officialisée par 20-0, suffisant pour offrir un avantage de 3 victoires à 1 dans une série disputée au meilleur des cinq matches.

"On voulait rester sur le terrain jusqu'au coup de sifflet final. Mais que pouvez-vous faire lorsqu'ils (supporteurs) commencent à lancer des pièces, des bouteilles, des cailloux et deux couteaux lames ouvertes? C'est un désastre pour le sport", a déclaré Zelimir Obradovic, l'entraîneur du Panathinaikos.

Le match avait débuté avec 40 minutes de retard, la police ayant eu recours à des gaz lacrimogènes pour empêcher les supporteurs de l'Olympiakos d'entrer dans la salle sans billets. La rencontre fut interrompue à plusieurs reprises jusqu'aux jets de bouteilles et autres objets qui ont contraint les officiels à mettre un terme au match.

"Je suis désolé pour le basket grec. Que peut-on dire de plus", a concédé l'entraîneur de l'Olympiakos, Panayiotis Giannakis. Au-delà de la défaite, l'Olympiakos encourt 2 points de déduction pour la saison prochaine et au moins trois matches à domicile à huis clos.

Des supporteurs du PSG visés par des plaintes pour racisme - 08/06/2010

Source: http://www.rtlinfo.be/sport/le_foot/football_etranger/187323/des-supporteurs-du-psg-vises-par-des-plaintes-pour-racisme

A trois jours de l'ouverture du Mondial de football en Afrique du Sud, le pays de la lutte contre l'apartheid, SOS Racisme va déposer trois plaintes contre des supporteurs du PSG soupçonnés d'injures raciales et dénonce la responsabilité de l'Etat dans la montée de ce phénomène.

L'association antiraciste va déposer trois plaintes "globales" à Paris, Lille et Lyon pour "injures raciales" et "violences à caractère racial", a expliqué son avocate, Me Emilie Perrier, lors d'une conférence de presse où ont été diffusées des images (vidéos et photos) attestant de ces infractions présumées.

Son président, Dominique Sopo, a reconnu profiter de l'actualité de la Coupe du monde de football (11 juin-11 juillet) organisée pour la première fois dans un pays africain et spécialement en Afrique du Sud qui a mis fin au régime de l'apartheid il y a plus de 15 ans.

"C'est un message que l'on veut envoyer aux supporteurs. Nous voulons dire +non à l'apartheid dans nos stades+", a-t-il déclaré en estimant que "le foot est gangrené par le racisme au point que le public est devenu réticent à se rendre dans les stades".

SOS Racisme a pu identifier une vingtaine de supporteurs responsables de ces infractions et membres de groupuscules proches de l'extrême droite : dix à Paris, neuf à Lyon et trois à Lille, a précisé Me Perrier.

Les injures proférées visaient d'autres supporteurs du PSG "en raison de leur appartenance à une nation, à une ethnie ou de leur apparence physique", a souligné l'avocate.

Devant la presse, SOS Racisme a diffusé des images de violences qui lui ont permis d'identifier les auteurs. "La justice peut les identifier et les sanctionner par rapport à la gravité des faits", a plaidé Me Perrier.

Parmi eux, figurent des "hooligans historiques" âgés d'une quarantaine d'années ou de jeunes étudiants proches de l'UNI (Union nationale inter-universitaire) "qui essaient de lancer des mouvements du type Renouveau français", selon l'avocate.

Certaines victimes de ces "hooligans" avaient été contraintes sous la menace de renoncer à porter plainte, a déploré l'avocate. "C'est compliqué d'avoir des témoignages car on est face à des groupes politiques organisés capables de faire preuve de violences", a confirmé Dominique Sopo.

Si la responsabilité du club est avérée, SOS Racisme refuse de "se focaliser" sur le PSG et n'entend pas "dédouaner" l'Etat coupable d'une "absence de fermeté", ni les instances de football "qui n'ont pas de plan d'action global à la hauteur des enjeux".

Après plusieurs incidents ces derniers mois - dont un supporteur du PSG tué dans une rixe entre bandes - le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux avait déclaré souhaiter une loi "à l'automne" interdisant temporairement les déplacements de supporteurs.

Un militant de SOS Racisme, supporteur du PSG, a raconté comment les policiers ont tenté de le dissuader de se rendre au "kop Boulogne", la tribune des ultras, au motif qu'il était noir. "C'est la reconnaissance de l'apartheid dans les tribunes", a commenté M. Sopo.

Annonçant une rencontre prochaine avec le président du PSG Robin Leproux, M. Sopo a jugé que le plan anti-violences récemment annoncé par le club allait "dans le bon sens".

D'ores et déjà, M. Sopo lui demande de mettre fin à la pratique consistant à recruter les stadiers parmi les membres "des groupes racistes". Il souhaite aussi que les tribunes du Parc des Princes portent le nom d'anciens buteurs étrangers du PSG comme l'Algérien Mustapha Dahleb, le Libérien George Weah et le Portugais Pedro Pauleta.

Mondial: 30 blessés au Bangladesh à cause d'une TV - 13/06/2010

Source: http://www.lejdd.fr/International/Asie/Depeches/Mondial-30-blesses-au-Bangladesh-a-cause-d-une-TV-199903/

Au moins 30 personnes ont été blessées lorsque des amateurs de football rendus furieux par une coupure de courant en plein match de Coupe du monde ont attaqué samedi plusieurs centrales électriques au Bangladesh. Frustrés de ne pas pouvoir regarder le match Argentine-Nigeria, les fans ont également vandalisé une vingtaine de véhicules. "Des groupes de jeunes ont attaqué des relais électriques à coups de bâtons et de pierres à chaque coupure de courant", a témoigné un policier.

Algérie - Slovénie - 13/06/2010

Source : Reuters

Avant la rencontre, certains fans de l'Algérie ont envahi la pelouse.





Un supporter algérien agressant un supporter égyptien.

Angleterre - USA - 12/06/2010

Source : Reuters

Troubles à Manchester.

Argentine - Nigeria - 12/06/2010

Source : Reuters + InfoBae

France : SOS racisme va déposer trois plaintes contre des supporteurs du PSG - 08/06/2010

Source : AFP

L'association SOS Racisme a annoncé mardi qu'elle allait déposer trois plaintes "globales" à Paris, Lille et Lyon contre des supporteurs du PSG pour "injures raciales" et "violences à caractère racial", lors d'une conférence de presse.

A trois jours de l'ouverture du Mondial en Afrique du Sud, le pays de la lutte contre l'apartheid, l'association a voulu délivrer un message en se constituant aux côtés de certaines victimes, selon son président Dominique Sopo.

Elle a pu identifier une vingtaine de supporteurs, responsables de ces infractions et membres de groupuscules proches de l'extrême droite: 10 à Paris, 9 à Lyon et 3 à Lille, a précisé son avocate Emilie Perrier.

"Le foot est gangrené par le racisme au point que le public est devenu réticent à se rendre dans les stades", a déploré M. Sopo.

Les injures visées sont appliquées à d'autres supporteurs du PSG "en raison de leur appartenance à une nation, à une ethnie ou de leur apparence physique", a remarqué l'avocate.

Certaines victimes ont été contraintes par la menace de renoncer à leurs plaintes après avoir été identifiées par les supporteurs, a déploré l'avocate, en précisant que les menaces se sont traduites par des tags sur les boîtes aux lettres et aux alentours de la résidence.

Lors de la conférence de presse, SOS Racisme a diffusé des images de violences qui lui ont permis d'identifier leurs auteurs. "La justice peut les identifier et les sanctionner par rapport à la gravité des faits", a souhaité Me Perrier.

Parmi les auteurs des violences identifiés par SOS Racisme figurent des "hooligans historiques" d'une quarantaine d'années ou de jeunes étudiants proches de l'UNI (Union nationale inter-universitaire) "qui essaient de lancer des mouvements du type Renouveau français", selon l'avocate.

France : Heurts entre supporters et policiers à Versailles après la défaite de l'Algérie - 13/06/2010

Source : Ouest-France

Des échauffourées ont éclaté dimanche après-midi dans le quartier Jussieu à Versailles entre des policiers et des jeunes qui regardaient le match de coupe du monde de football opposant l'Algérie et la Slovénie, a-t-on appris auprès de la préfecture des Yvelines.

Des policiers ont voulu contrôler vers 15H30 des jeunes qui s'étaient réunis dans un local associatif pour regarder la rencontre, perdue par l'Algérie 1 à 0, quand le ton est monté.

Les policiers ont dû faire appel à des renforts et tirer à plusieurs reprises à l'aide de flash-ball (arme tirant des balles en caoutchouc) sans faire de blessés.

Les forces de l'ordre ont interpellé plusieurs jeunes qui ont été placés en garde à vue, a ajouté cette source.

Un hooligan anglais présumé refoulé - 12/06/2010

Source : Ouest-France

Les services d'immigration sud-africains ont refoulé un ressortissant britannique âgé de 42 ans arrivé à Johannesburg en provenance de Londres, rapportent samedi les autorités. "Cet individu a un passé d'incitation à la violence raciste pendant les compétitions sportives. Il a donc été décidé qu'il représenterait une menace à l'ordre public et qu'il devait être interdit d'entrée en Afrique du Sud", a déclaré le gouvernement dans un communiqué. Dix Argentins, classés comme hooligans, les fameux "barra bravas", ont été expulsés lundi après avoir été interpellés à l'aéroport de Johannesburg.

Le procès des meurtriers présumés de Brice Taton reprend jeudi - 14/06/2010

Source : 20Minutes.fr

Appelés à la barre, la famille et les amis de Brice Taton vont, pour la première fois, affronter les « inculpés ». Le deuxième acte du procès des meurtriers présumés de Brice Taton s'ouvre jeudi à Belgrade (Serbie). En avril, lors de la première partie du procès, aucun des treize accusés présents n'avait admis sa participation directe à l'attaque barbare du 16 septembre 2009, qui a coûté la vie au Toulousain de 28 ans.

« Besoin de voir leurs visages »
Cette fois, ils devront faire face à des témoins à charge. Car, vendredi, quatre supporters toulousains rescapés de l'agression prendront la parole. Philippe Maury est « prêt à rendre justice » à son ami, prêt aussi à surmonter le traumatisme. Celui qui est également le président de l'association Brice Taton était au même endroit que la victime au moment du drame. Les agresseurs lui ont ouvert le crâne à coups de barres de fer et brûlé le dos avec une torche fumigène. « J'ai besoin de voir leurs visages, de comprendre pourquoi ils ont fait ça, pour me reconstruire et pour continuer à vivre », explique-t-il aujourd'hui. Philippe Maury s'est « pris en main » et n'a pas honte d'avouer qu'il a suivi une thérapie. Car, dit-il, « c'est le genre de chose qui, si on ne l'évacue pas, peut vous exploser à la figure n'importe quand ». Mais il ne retrouvera l'apaisement total que « quand un exemple sera fait, et qu'un verdict sévère sera prononcé ».
Cette deuxième partie du procès doit se terminer le 23 juin par les plaidoiries des avocats. Après les témoignages, les juges serbes écouteront les experts médicaux. Il n'est pas impossible non plus que le tribunal décide d'organiser une reconstitution.

Free fight - 19/06/2010

Source: mails (merci aux expéditeurs) - Charleroi

Freefight opposant 15 youth Charleroi (Belgique) à 15 youth Nancy (France) dans un pays neutre. Premiere charge vraiment violente arrêtée car un K.O côté français..
Seconde charge, leger recul nancy.
Contact très violent mais correct.

BOYS'91
Charleroi Youth Squad !

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Nancy

15 Charleroi vs 15 nancy (youth)

Premiére charge: Contact violent avec aucun groupe qui prendra franchement l'avantage sur l'autre. Arreté par un KO coté français.
Seconde charge: Toute aussi violente, aprés un bon moment de contact rude, Nancy reculera legerement mais ne courra pas. Trés belle free fight dans l'ensemble avec 2 groupes motivés est trés réglos.

Indep Nancy !

Source: https://www.youtube.com

Angleterre - Algérie - 18/06/2010

Source : Nord-Eclair

Incidents après le match de l'Algérie : douze interpellations, huit voitures brûlées

Les supporters algériens ont manifesté leur joie vendredi soir après le match nul contre l'Angleterre. Des débordements sont à déplorer dans ces scènes de liesse : huit véhicules ont été incendiés et des policiers ont été la cible de projectiles.

C'est une particularité dont la ville se passerait bien. Le centre-ville et les quartiers roubaisiens sont surveillés comme le lait sur le feu après chaque match de l'équipe algérienne. Vendredi soir, une présence policière importante était déployée pour parer à toute éventualité. De 23 h à 1 h du matin, des milliers de supporters se sont retrouvés dans les rues. Dans la grande majorité pour manifester leur joie. Hélas, du mobilier urbain et des véhicules ont également été détériorés. Les pompiers faisaient leurs comptes hier matin : dix voitures avaient été incendiées sur l'ensemble du département dans la nuit. Dont huit sur la seule ville de Roubaix.
Dans le quartier des Trois ponts, la caméra de surveillance a été cassée. Dans le centre ville, des fonctionnaires de police ont été insultés et pris pour cible par des manifestants qui leur ont lancé des projectiles. Aucun blessé à déplorer, mais un climat pour le moins tendu, essentiellement aux abords de l'Eurotéléport et de la place de la Liberté.
On ne pouvait que déplorer la prise de risques de certains supporters : dérapages de voitures, passagers assis aux portières ou sur les véhicules.

« Il n'y a qu'à Roubaix qu'on voit ça », souligne un policier. C'est effectivement la seule ville de la région dans laquelle la fête a pris de telles proportions et a donné lieu à ces débordements. La soirée n'a toutefois pas atteint le degré de violence de novembre dernier lors de la Coupe d'Afrique des Nations avec des vitrines de magasins cassées et une quarantaine de voitures brûlées. Cette fois, aucun commerce n'a été touché.
Suite aux incidents de vendredi soir, douze personnes ont été interpellées.
Le prochain match sensible, Algérie-Etats-Unis, aura lieu mercredi à 16 h. Un important dispositif de sécurité sera déployé. Mais il sera difficile en pleine journée de boucler le centre-ville.

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Source : Lyon Mag

Incidents à Lyon après Algérie-Angleterre

Le match entre l’Algérie et l’Angleterre a laissé des traces à Lyon. Malgré le nul 0-0 entre les deux équipes plusieurs individus ont détruit du matériel urbain de la rue de la République, laissant derrière eux des poubelles arrachées et des détritus sur l'asphalte.

Des affrontements avec les forces de l’ordre ont eu lieu à la Guillotière à hauteur du pont. La place Gabriel Péri a quant à elle été le théâtre de rodéos en voitures. 14 départs de feu sur des voitures ont été signalés dans le 8e arrondissement et à Vénissieux. Aucun blessé n’est à déplorer.

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Source : Le Progrès.fr

Tensions à Lyon après le match Algérie-Angleterre

Malgré un score neutre qui aurait dû à défaut de satisfaire tout le monde signifier un statu quo, l'après-match de la rencontre entre l'Algérie et l'Angleterre a été émaillé d'incidents et de tensions palpables aussi bien dans le centre-ville que dans la périphérie lyonnaise.

Des individus particulièrement énervés se sont rués dans un premier temps, rue de la République arrachant et renversant toutes les poubelles. Vers minuit trente, le calme, grâce à l'intervention des forces de police, était revenu et il ne restait plus qu'une rue jonchée de détritus.

Dans un second temps, des difficultés sont apparues place Gabriel-Péri (septième arrondissement) avec un rassemblement de plus de 300 personnes et des rodéos en voitures dangereux pour la circulation. La rue de la Guillotière a été complètement bloquée, mais c'est sur le pont que des échauffourées se sont produites avec les policiers venus en renfort pour assurer la sécurité en utilisant des gaz lacrymogènes.

En milieu de nuit, on ne déplorait toutefois aucun blessé. En banlieue, les pompiers ont été pour leur part largement mis à contribution avec quatorze départs de feu sur des voitures pour l'essentiel dans le huitième arrondissement et à Vénissieux.

Peu avant une heure, le concert des klaxons continuait de se faire entendre, mais les attroupements étaient en voie de résorption.

Belgrade : "La mort de Brice : un crime impardonnable" - 18/06/2010

Source : LaDépêche.fr

Pour la première fois, hier, au tribunal de Belgrade, les parents de Brice Taton ont enfin pu mettre un visage sur les supporters accusés du meurtre de leur fils, mortellement agressé le 17 septembre dernier en Serbie.

En sueur et les mains tremblantes, Suzanne Taton, s'avance à la barre du tribunal. Derrière elle, douze des quatorze accusés du meurtre de son fils Brice, 28 ans, frappé à mort le 17 septembre à Belgrade avant le match de football opposant le TFC au club du Partizan, détournent le regard. Hier, les parents de Brice ont mis pour la première fois un visage sur ces supporters jugés depuis le mois d'avril, dans la capitale serbe, pour l'agression sauvage qui a coûté la vie à leur fils. Assis sur leur banc, les mains libérées des menottes et surveillés par treize policiers serbes dans la salle d'audience comble où la chaleur est étouffante, les accusés ont l'air de gamins perdus. Ils sont étudiants, plus suiveurs que leaders et écoutent presque par politesse le récit d'une mère anéantie. « Lorsque je suis arrivée à l'hôpital de Belgrade, deux jours après l'agression de mon fils, il m'a fallu du temps avant de reconnaître son visage horriblement tuméfié. Je voyais un corps meurtri, sans signe de vie. Cela a duré dix jours. Je n'ai jamais pu lui parler. On était venu pour le ramener à Toulouse en vie. Je n'ai jamais pu le revoir bouger. Il ne méritait pas ça. Brice aimait la vie.
La défense hurle au procès monté de toutes pièces

Aujourd'hui, cela fait neuf mois qu'il est mort. » Un silence étouffant, comme un cri de rage sourd ponctue le témoignage de la mère de Brice devant le tribunal supérieur, l'équivalent de notre cour d'assises. Dans une chaleur suffocante, Alain Taton, costume sombre, enchaîne : « L'ambassade nous a pris en charge très vite et nous avons eu ensuite un rendez-vous avec une délégation du gouvernement serbe. » La défense hurle, car pour elle ce procès est monté de toutes pièces en véritable « affaire d'état. » « Le gouvernement serbe sort de ses prérogatives en entrant en contact avec la famille Taton en lui rendant compte des éléments du procès, des condamnations à venir et des peines encourues. Les juges serbes doivent rester indépendants », martèle, pour la défense, Jugoslav Tintor. Autre polémique, le témoignage attendu aujourd'hui de cinq supporters du TFC, présents le jour de l'agression le 17 septembre à Belgrade. Parmi eux, deux témoins n'avaient pas été entendus par la police. La défense dit ne pas être informée de leur arrivée. Sortis de la manche de la partie civile, ces deux garçons auraient vu « un homme bizarre, le crâne rasé », traîner aux abords du bar où se trouvaient Brice et ses copains, le 17 septembre vers 17 h 30. Soit, cinq minutes avant l'attaque de hooligans serbes. Des témoignages qui pourraient éclairer avec précision le rôle des 14 accusés. Reste que pour Alain Taton qui a demandé officiellement « réparations » à la justice serbe, « cette agression est un crime impardonnable ».

Brésil - Côte d'Ivoire - 20/06/2010

Source : rtlinfo.be

La tension est montée dimanche dans un bar bruxellois à l’occasion d’un match du Brésil. Une télévision placée en vitrine d’un café à crée la pagaille à Ixelles.

L’ambiance était à son comble devant un café brésilien de la chaussée de Boendael. Pour cause, il y avait près de 200 supporters brésiliens dans la rue. Un attroupement qui a contraint la police à intervenir et surtout à…éteindre la télévision.

Une décision jugée comme "injuste" et même "raciste" par les supporters cariocas. "C’est la Coupe du Monde, c’est le football, nous voulons juste faire la fête !", s’est étonné une supportrice de la Selecao.

Malgré la pagaille ambiante, la foule a pu été dispersée dans le calme. Les supporters se sont pressés dans les cafés environnants afin d’assister à la qualification de leur équipe aux dépens de la Côte d’Ivoire.

Heurts en 2009 à Bâle: internet pour identifier les hooligans - 17/06/2010

Source : Romandie News

Le Ministère public de Bâle-Ville va publier les photos de hooligans présumés sur internet si ceux-ci ne se dénoncent pas avant le 30 juin pour leur participation à des heurts en novembre 2009 à Bâle. Berne, St-Gall et Lucerne ont déjà eu recours à cette méthode.

Plusieurs dizaines de hooligans ont provoqué des heurts violents lors du match de huitième de finale de Coupe de Suisse opposant le FC Bâle (FCB) au FC Zurich (FCZ) le 20 novembre 2009. Une douzaine ont été identifiés.

Une procédure pénale a été ouverte contre eux pour émeute, violences et menaces contre des fonctionnaires, lésions corporelles et dommages à la propriété. Les autres ont jusqu'au 30 juin pour se dénoncer, sinon leur portrait sera publié sur internet.

Ce n'est pas une menace, mais une chance pour les personnes concernées, a indiqué un porte-parole du Ministère public. C'est la première fois que les autorités judiciaires bâloises ont recours à internet pour identifier des supporters violents.