Saison 11/12 - Février

Argentine: Chacarita Juniors - River Plate - 12/02/2012

Source : http://deportes.terra.com.ar

Un supporter de Chacarita a été blessé par balle alors qu'il se dirigeait vers le stade. Le supporter, âgé de 28 ans, a été transféré à l’hôpital mais ses jours ne sont pas en danger.

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France sécurité - 10/02/2012

Source : France Football (merci à l'expéditeur)

Ipswich Town - Middlesbrough - 12/02/2012

Source : The Sun

Furieux de l’annulation de la rencontre, environ 40 fans de Boro ont provoqué des troubles en hurlant "nous voulons être remboursés" tandis qu'une cohorte de stewards les encerclaient pour contenir leurs faits et gestes. La scène a été filmée et une enquête policière a été ouverte pour tenter d'effectuer de futures interpellations.

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OGC Nice - Paris SG - 12/02/2012

Source : Nice-Matin

"Fight" à Antibes: neuf supporters niçois sous contrôle judiciaire

Les SMS échangés ne laissent guère de doute sur leurs intentions : ils venaient « casser du Parisien ». S'offrir un avant-goût musclé du match Nice-PSG programmé le lendemain. Si 13 000 spectateurs ont vécu un dimanche des plus calmes au stade du Ray, il aura fallu une grosse mobilisation policière pour couper court, in extremis, au « fight » (bagarre entre supporters) qui a éclaté samedi soir dans la vieille ville d'Antibes. Les neuf supporters niçois interpellés ont été déférés au TGI de Grasse hier, et remis en liberté sous contrôle judiciaire, en attendant d'être convoqués en avril.

Il est 22 h 30, samedi, quand une quarantaine de supporters niçois descend du centre-ville d'Antibes. Direction les remparts et The Hop Store, un pub boulevard Aiguillon où trinque une vingtaine de Parisiens. Parmi les locaux, certains sont armés de bâtons. Mais sous surveillance. Forts de tuyaux et de l'expérience d'un précédent malheureux à Nice, plus de trente policiers (CDI, BAC, brigade canine) veillent au grain.

Un stadier interpellé

Alors, à l'instant où des Ultras niçois empoignent leurs homologues parisiens et que les tables commencent à voler, les forces de l'ordre interviennent. Non sans résistance. Les policiers sont aspergés de gaz lacrymogène, trois d'entre eux blessés à divers degrés. Mais ils interpellent neuf supporters niçois, et découvrent des poings américains - y compris chez les Parisiens, par ailleurs porteurs de gros pétards et de fumigènes. Une source policière joue les arbitres : « Ils sont aussi c… les uns que les autres. »

Reste que les Parisiens ne seront pas inquiétés. Juste contrôlés. La preuve d'un rendez-vous entre les deux camps via les réseaux sociaux n'a pu être établie. Les téléphones et auditions des Niçois, en revanche, permettent de poursuivre ces derniers pour « participation à un groupement en vue de commettre des dégradations ou des violences ». Une incrimination passible d'un an de prison. Ces supporters ont été entendus respectivement dans les commissariats d'Antibes, Cannes et Nice, à la Sûreté départementale. Âgés de 20 à 30 ans, résidents niçois ou antibois, ils sont pour la plupart membres de l'ex-Brigade sud de Nice, et pour certains connus pour violences autour de stades. Plus forts encore : l'un d'entre eux est stadier au Ray ! En attendant d'être jugés, ils risquent d'être interdits de stade.

Un Ajax-MU "à risques" - 14/02/2012

Source : http://www.eurosport.fr

Les risques de confrontations entre supporters de l'Ajax et de Manchester United, qui se rencontrent jeudi à Amsterdam en match aller des 16es de finale de l'Europa League, sont "élevés", a assuré mardi la ville d'Amsterdam.

"Il y a des risques élevés de confrontations entre des groupes de supporters qui pourraient être en possession d'armes", a indiqué la ville dans un communiqué : "la commune d'Amsterdam va prendre des mesures de sécurité supplémentaires".

Les autorités communales ont reçu des informations de la part des autorités britanniques faisant état de la possible présence jeudi, en plus des 2500 supporters mancuniens dans les gradins, de 1000 à 2500 supporters anglais n'ayant pas de tickets d'entrée au stade, selon la même source. Il est en outre possible qu'une centaine de "supporters du noyau dur" soient présents jeudi à Amsterdam, a ajouté la commune.

La police locale effectuera des "contrôles sur la possession d'armes" entre mercredi 16h00 (15h00 GMT) et jeudi à minuit (23h00 GMT) dans "une zone à risques pour la sécurité" délimitée autour du stade de l'ArenA, situé au sud de la ville, et sur le trajet entre le centre-ville et le stade.

La rencontre entre les deux clubs, reversés en Europa League après avoir terminé troisièmes de leurs groupes respectifs en Ligue des champions, est une des affiches des 16es de finale de l'Europa League.

"Ces dernières années, il y a eu divers incidents entre supporters de l'Ajax et de clubs visiteurs autour de l'ArenA et dans le centre d'Amsterdam", a en outre rappelé la commune, selon laquelle des armes à feu et des couteaux notamment, avaient été utilisés lors de ces confrontations.

Un supporter néerlandais de 19 ans avait tenté de frapper le gardien de but d'AZ Alkmaar le 21 décembre 2011 lors d'un match contre l'Ajax Amsterdam en Coupe des Pays-Bas. Il avait été condamné à quatre mois de prison ferme.

AC Milan - Arsenal FC - 15/02/2012

Source : L'Equipe + http://www.leggo.it

Incidents à Milan



Des incidents ont éclaté dans le centre de Milan, mercredi, à quelques heures du match entre l'AC Milan et Arsenal en huitièmes de finale de la Ligue des champions. Blessé à la tête, un supporter anglais a été conduit à l'hôpital tandis qu'un autre a été arrêté pour avoir lancé une bouteille vers les forces de l'ordre, a annoncé l'agence italienne Ansa. La place du Duomo a elle été jonchée de centaines de cannettes et bouteilles de bières par quelques deux cents fans londoniens. Tous ont fini par être maîtrisés par la police anti-émeutes.

Fortuna Düsseldorf - Eintracht Frankfurt - 13/02/2012

Source : http://www.express.de

Quelques troubles dans le stade lorsque 50 à 60 hooligans de Düsseldorf ont déboulé dans le bloc 131 à proximité des visiteurs afin de les provoquer.

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Procès des émeutes d'Anderlecht: la défense reprend ses plaidoiries vendredi - 15/02/2012

Source : RTBF

Les plaidoiries de la défense se sont poursuivies mercredi au cours du procès concernant des émeutes survenues dans la commune d'Anderlecht en 2008. Les différents avocats ont réclamé la suspension du prononcé ou des travaux d'intérêt général. Les débats reprendront vendredi. Les affrontements entre des membres du noyau dur des supporters du RSC Anderlecht et des jeunes d'origine allochtone avaient provoqué d'importants dégâts.

Les émeutes avaient éclaté une semaine après le succès du Sporting en finale de la Coupe de Belgique. Des échauffourées avaient déjà eu lieu le soir du match, après qu'une rumeur faisant état de l'agression sexuelle d'une jeune fille dans le parc Astrid s'était propagée.

Des appels à la confrontation avaient été lancés via internet durant la semaine suivante. "Grâce à l'intervention de la police, on a pu éviter un bain de sang entre les deux groupes. Mais dans leur frustration les deux groupes s'en sont pris à la police", a expliqué le procureur. Le parquet estime que tous les participants aux émeutes sont co-auteurs de tous les délits et qu'il ne peut être fait de distinction entre les meneurs et les suiveurs.

Ils ne peuvent pas plus être considérés comme une bande. "Plutôt comme deux meutes de hyènes", a indiqué le procureur. La défense des prévenus reprendra vendredi.

AS Monaco - SC Bastia - 13/02/2012

Source : Reuters

Seize interpellations en marge du match

Seize monégasques ont été interpellés lundi soir à Monaco en marge du match de football entre l'équipe de la principauté et Bastia comptant pour la 23e journée du championnat de France de Ligue 2, a-t-on appris auprès des autorités monégasques.
Douze personnes ont été interpellées pour "perturbations", quatre autres pour possession de fumigènes et de bombes agricoles, a précisé le département de l'Intérieur, chargé de la sécurité publique.
Le match, remporté 1-0 par les Corses, était considéré comme à risque, et un important dispositif de sécurité avait été mis en place aux abords du stade Louis-II.

Ajax Amsterdam - Manchester United - 16/02/2012

Source : RTBF + http://www.parool.nl

Heurts entre supporters avant Ajax-Man U



La veille au soir Mercredi 15
http://www.at5.nl/artikelen/76341/politie-pakt-tientallen-voetbalfans-op

La police néerlandaise est entrée en action jeudi sur le coup de midi dans le quartier 'De Wallen' à Amsterdam, où des supporters de football s'étaient rassemblés en marge de la rencontre d'Europa League entre l'Ajax et Manchester United.

Les forces de l'ordre sont intervenues sur la Oudekerksplein après que des supporters des deux camps se sont lancés des projectiles, selon la porte-parole de la police.

Un certain nombre de personnes (pas encore connu) a été arrêté. La police a interdit l'accès à l'Oudezijds Achterburgwal.

La police avait prévu des effectifs supplémentaires par crainte d'affrontements entre supporters de l'Ajax et de Manchester United, deux équipes qui seront opposées ce soir en Europa League de football. On estime entre 1000 et 2500 le nombre de supporters anglais venus à Amsterdam sans droit d'entrée pour le match. 100 membres du noyau dur des supporters de Manchester United auraient également fait le voyage jusqu'aux Pays-Bas.

La police effectuera des fouilles dans la capitale, sur la route vers l'ArenaA et dans les alentours du stade. Mercredi soir, un groupe de 76 supporters de l'Ajax avait été confiné sur la plaine Marie Heineken, par crainte d'affrontements avec des supporters mancuniens. Un peu plus tard, la police décidait de contenir 54 Belges sur la plaine Rembrandt. Ces fans d'Anderlecht avaient l'intention de se joindre aux supporters de l'Ajax. Douze personnes ont ensuite été arrêtées, des Néerlandais comme des Britanniques, pour actes de violence.







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Source : Goal.com

Au total, entre les incidents de la veille et du jour du match, la police a interpellé 142 hooligans, dont 76 de l'Ajax et 54 d'Anderlecht. 12 autres supporters l'ont été préventivement. Ils ont tous été relâchés après la rencontre.

Italie: Raid contre les ultras de Naples - 16/02/2011

Source : http://messaggeroveneto.gelocal.it



La police a effectué une opération d'envergure contre 11 voyous de Naples membres du groupe "Bronx", la crème de la crème selon la police. Ces ultras sont suspectés d'avoir largement participé à toute une série de violents incidents commis à Naples le 9 mai 2010, lors du match contre Atalanta, (13 policiers blessés), à Udinese le 07 Février 2010, à Bucarest le 30 Septembre 2010, lors du match de Ligue des Champions Steaua-Napoli, et ainsi qu' à Naples, le 21 Octobre 2010, lors de la réception des anglais de Liverpool (7 supporters britanniques et 5 policiers blessés).
La longue enquête de la DIGOS, sur requête du Ministère Public, a duré 2 ans. Filatures, planques, écoutes téléphoniques ont été le lot quotidien des policiers en charge de l’enquête débutée le 16 novembre 2010. 57 ultras du club napolitains étaient particulièrement ciblés par les forces de l'ordre.

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Napoli-Liverpool 2010

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Source: http://www.lequipe.fr (merci à l'expéditeur)

Joueurs cités dans une enquête

Alors que onze tifosi violents de Naples, membres du groupe ultra «Bronx» situé dans le virage A du stade San Paolo, ont été arrêtés jeudi pour association de malfaiteurs, le procureur adjoint de Naples, Giovanni Melillo, a annoncé que des joueurs du Napoli ont été cités durant l'enquête : «Quelques footballeurs de Naples entretiennent des contacts avec des groupes d'ultras, notamment parce qu'ils pensent que ces derniers peuvent influer sur les choix du club au moment du renouvellement des contrats». Toujours selon le procureur, Ezequiel Lavezzi a mentionné dans sa déposition qu'il connaissait Antonio Lo Russo, fils de l'ancien chef mafieux du clan de Miano. Fabio Santacroce, aujourd'hui à Parme, a quant à lui indiqué qu'il connaissait le chef ultra Francesco Fuccia par l'intermédiaire du capitaine du club, Paolo Cannavaro. Les supporters concernés sont accusés de faits de violence autour des matches Naples-Atalanta (9 mai 2010), Udinese-Naples (7 février 2010), Steaua Bucarest-Naples (30 septembre 2010) et Naples-Liverpool (21 octobre 2010).

Hanovre 96 - FC Bruges - 16/02/2012

Source : http://www.neuepresse.de

Dans la mesure du possible, les policiers allemands ont tenu à l'écart les supporters des deux camps. Il y a eu cependant quelques troubles provoqués par des supporters ivres qui ont lancés des bouteilles et dégradés des voitures. Il y a eu quelques accrochages ici et là. Un supporter d'Hanovre a été arrêté. Les belges ont également lancé des pétards et tirés des fusées traçantes dans la vieille ville. 10 fourgons de police encadraient un groupe d'environ 700 visiteurs dont quelques fauteurs de troubles identifiés, rassemblés devant le Dublin Inn puis au Zanzibar.

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Source : http://www.ndr.de + mail

Une heure avant le coup d'envoi, la police d'Hanovre est intervenue pour séparer les hooligans des deux équipes qui se provoquaient depuis quelques minutes a déclaré le porte-parole de la police Stefan Wittke.
Par mesure de précaution, la police avait mis en place deux canons à eau dans le centre-ville. 3.000 fans de Bruges ont effectué le déplacement en Allemagne.


Bruges Elite





Vidéo : http://www.ndr.de/fernsehen/sendungen/niedersachsen_1800/ndsmag9597.html

Steaua Bucarest - FC Twente - 16/02/2012

Source : L'Equipe + http://www.stl.ro

Un supporter blessé à Bucarest



En marge du match comptant pour les 16es de finale de la Ligue Europa, jeudi entre le Steaua Bucarest et le FC Twente (0-1), un supporter néerlandais a été légèrement blessé à la main lors d'échauffourées avec des fans roumains, a indiqué la police de la ville. «Une trentaine de personnes de nationalité néerlandaise, des supporters de l'équipe de Twente sont concernées. Elles étaient dans un bar et d'après ce que j'ai compris, elles ont été attaquées par des supporters du Steaua», a déclaré à l'agence Mediafax le porte-parole de la police de Bucarest, Alexandru Niculae.

Udinese - PAOK Salonique - 16/02/2012

Source : http://www.eurosport.fr

Un steward blessé

Un steward du stade du Frioul à Udine a été blessé à la tête par l'effondrement d'un portail sous la pression des supporters grecs et transporté à l'hôpital avant le match Udinese-PAOK Salonique, 16e de finale aller de l'Europa League, jeudi, a annoncé l'agence italienne Ansa.

Le stadier, victime d'un traumatisme crânien, a été heurté par un portail, entre deux secteurs des tribunes occupés par des supporters du PAOK, qui a cédé sous leur poussée. Resté conscient pendant l'évacuation, son état n'est pas grave, a dit l'Ansa, qui a précisé que selon la police la situation au stade était "tranquille" après cet incident.

Wisla Cracovie - Standard de Liège - 16/02/2012

Source: http://www.dhnet.be

“Les fans du Wisla ne sont pas des hooligans”

En Pologne, on nous assure qu’il n’y aura pas de débordements ce soir.

Lorsque le Wisla Cracovie fut désigné adversaire des Rouches pour les seizièmes de finale, certains fans liégeois ont exprimé leur inquiétude quant au déplacement en Pologne (voir ci-dessous). En effet, depuis plusieurs années, les supporters polonais sont assimilés à des hooligans et ne jouissent pas d’une bonne réputation.

En Pologne, pourtant, on nous assure que cette mauvaise image des fans du Wisla est erronée. “Je ne sais pas bien d’où vient cette réputation. Personnellement, je ne me souviens pas d’une bagarre dans les tribunes du stade du Wisla ou encore à l’extérieur” , précise Zych Przemyslaw, journaliste pour Przeglad Sportowy .

En 1998, un scandale avait tout de même éclaté à Cracovie lorsqu’un fan du Wisla avait lancé un couteau vers le joueur de Parme, Dino Baggio, touchant ce dernier, heureusement pas gravement, à la tête. “À cause de cet acte isolé, le Wisla a été banni de toutes compétitions européennes pour une saison. Le club a payé pour ses erreurs. Le supporter a été retrouvé et mis en prison. Mais depuis, il ne se passe plus rien. Si le fait d’être bruyant et de voyager en masse à l’étranger peut vous donner une mauvaise réputation, alors oui, les fans du Wisla en ont une. Évidemment, il y en a toujours qui jouent les trouble-fête, mais je suis certain que vous en avez également en Belgique et au Standard” , poursuit notre confrère polonais.

Tout comme les fans rouches , ceux du Wisla Cracovie sont de véritables fanatiques.

“Ils se déplacent souvent en masse. À Fulham, ils étaient 7.000 dans les tribunes de Craven Cottage. Je n’avais jamais vu ça. La presse anglaise avait même fait l’éloge des supporters polonais pour l’ambiance mise dans le stade ce soir-là. Le club avait juste reçu une amende à payer car un supporter avait craqué un fumigène dans le stade, mais cela arrive un peu partout !”

À Twente, les fans polonais n’ont pas reçu un accueil très sympathique. “Les autorités néerlandaises avaient mis en place des règles de sécurité drastiques à l’encontre des fans du Wisla. Le centre-ville était interdit aux Polonais. Certains supporters ont reçu un traitement indigne de la part de la police locale. Le club a alors envoyé une plainte à l’Uefa.”

Enfin, Zych Przemyslaw rassure les supporters du Standard. “Je peux assurer aux fans liégeois qu’ils tomberont sur des gens civilisés. Les fans du Wisla ne sont pas des hooligans.”



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Source : Presse

Les supporters du Wisla ont lancés des pétards et des boules de neige sur les supporters du Standard et sur les joueurs.
Certains sièges auraient été arrachés par les supporters du Wisla.
Les supporters du Standard ont allumés un fumigène et l'ont lancé sur les fans locaux.

Godoy Cruz (Argentine) - Peñarol‎ (Uruguay) - Copa Libertadores - 16/02/2012

Source : http://www.eltribuno.info

Le car transportant les joueurs de Peñarol a été caillassé après le match. Sebastián Rosano, a été blessé à l’épaule par une pierre. Des supporters uruguens venus en voitures ont connu la même mésaventure selon le chef de la police de Mendoza, Juan Carlos Caleri.

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Belgique: le Beerschot condamné à 2.480€ d’amende dans l’affaire Kawashima - 17/02/2012

Source : http://www.lanouvellegazette.be

Une décision définitive a été rendue ce vendredi dans l’affaire Kawashima. Le Beerschot, initialement condamné par le Comité sportif puis le Comité d’appel de l’Union belge à 16.400€ n’écope finalement que d’une amende de 2.480 € pour le comportement de ses supporters.

La Commission d’appel 2e chambre, qui a traité l’affaire le 3 février, a rendu son verdict: elle estime que le club du Beerschot n’est pas responsable du comportement raciste de ses supporters, mais bien du comportement blessant de ceux-ci, d’où une amende moins importante qu’initialement infligée.

Pour rappel, Eiji Kawashima, gardien du Lierse, avait été la cible de chants racistes rappelant la catastrophe de Fukushima de la part des supporters du Beerschot lors de la rencontre de la 4e journée du championnat de Belgique datant du 19 août entre son club du Lierse et le Beerschot.

Le Comité d’appel du football rémunéré avait confirmé la sanction de 20.000 francs suisses (16.400 euros) d’amende infligée par le Comité sportif. Le Beerschot avait alors décidé de porter l’affaire en évocation, avant qu’elle ne soit renvoyée devant le Comité d’appel 2e chambre de l’Union belge.

Angleterre: Bolton Wanderers - Wigan Athletic - 11/02/2012

Source : http://www.dailymail.co.uk

17 supporters, âgés de 15 à 22 ans, ont été arrêtés lors de troubles dans le stade Reebok, avec des jets de fumigènes et des tirs de fusées. Douze supporters ont été interdits de stade à vie.

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Brighton & Hove Albion - Millwall FC - 15/02/2012

Source : http://www.theargus.co.uk

La police a eu recours a du gaz lacrymogène pour calmer les fans de Millwall qui ont provoqués des incidents à la mi-temps. 7 supporters ont été arrêtés.

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Allemagne: 1899 Hoffenheim - Mainz 05 - 18/02/2012

Source : http://www.1899aktuell.de

La police d'Heidelberg est intervenue après la rencontre sur une aire d'autoroute où une centaine de supporters de Mainz, pour la plupart ivres, avaient fait une pause. Certains d'entres eux ont commis des vols (boissons alcoolisées, bonbons, peluches).

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France: Les incidents de Tours-Montpellier décryptés - 19/02/2012

Source : So Foot

Cette saison, Montpellier fait l’actualité sur le terrain, mais aussi dans les tribunes. De violents incidents ont notamment éclaté le 23 janvier dernier entre ultras pailladins et policiers à Tours, lors du 16ème de finale de Coupe de France. Retour sur ces événements, alors que les supporters héraultais vont être dimanche, au Parc, sous les feux de la rampe.

Lundi 23 janvier 2012. La soirée s’annonce a priori tranquille en Indre-et-Loire. Tours, club du milieu de tableau de Ligue 2, accueille Montpellier, indétrônable dauphin du PSG. Eurosport voulant diffuser le match, celui-ci est fixé le lundi soir à 20h00. En dépit de l’horaire et de la distance, une trentaine de supporters montpelliérains, membres de la Butte Paillade et des Armata Ultras, rejoignent les bords de la Loire. Les trente téméraires sont attendus : police nationale, policiers en civils et CRS : entre 70 et 80 membres des forces de l’ordre sont présents, selon plusieurs témoignages concordants. Une dizaine de fourgons de police fait une haie d’honneur aux Pailladins jusqu’au secteur réservé aux supporters visiteurs. Encore une fois, la réputation des ultras montpelliérains les précède (voir notre précédent papier "Le retour de la « horde sauvage »").

Torche clignotante et charge des CRS

Dixième minute de jeu, une torche clignotante scintille dans le parcage montpelliérain. Bien moins dangereux que d’autres engins pyrotechniques, l’objet est néanmoins proscrit par la loi. Cinq minutes plus tard, policiers en civil et stadiers interpellent un supporter, Cyril, président de la Butte Paillade. « Ses comparses sont aussitôt intervenus pour empêcher l’interpellation. Des policiers en tenue sont alors venus en renfort », indique le directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) d’Indre et Loire, Olivier Le Gouestre. « On s’est mis au milieu parce qu’on savait que c’était pas lui qui avait allumé la torche clignotante », rétorque Kevin, un supporter montpelliérain. « A aucun moment, je n’ai pris, allumé ou jeté un fumigène, conteste le principal intéressé. Les collègues sont venus me protéger parce qu’ils savaient que c’était pas moi, puis la police m’a gazé et je n’ai plus rien vu ». Bien qu’extérieur au « délire » ultra, Yves, 59 ans, était en tribune avec les Montpelliérains. Ancien Tourangeau, habitant désormais dans la capitale du Languedoc, il profitait du match pour rendre visite à des amis. Il donne sa version de l’interpellation : « J’étais avec ma femme en haut de la tribune et j’ai vu dix CRS descendre dans la tribune en courant, comme une charge, et se jeter sur quelqu’un. Au départ, je ne me suis pas rendu compte de la violence de l’attaque et puis j’ai vu deux supporters montpelliérains avec le visage en sang et un autre allongé par terre KO». Le commissaire divisionnaire apprécie différemment la scène : « un deuxième supporter a été interpellé pour violence ». Il soutient que l’intervention policière était « nécessaire » et qu’elle a été « réalisée dans un contexte de légitimité et de proportion ». « C’était complétement disproportionné, réplique Yves, la violence de l’attaque m’a révolté ! ».

Mickaël, jeune père de famille résidant à Tours, était en tribune latérale, à côté du parcage. Un peu à distance, il avait néanmoins une vue d’ensemble sur les événements : « Une torche a bien été allumée puis posée au sol. Mais, ensuite, l’intervention de la police a été excessive. Des coups de tonfas ont été donnés et un supporter est resté au sol. Les secours ont mis 30 minutes à arriver et tout ça s’est passé dans l’indifférence la plus totale du reste du stade », déplore-t-il. Le supporter montpelliérain resté au sol, raconte : « Je me suis réveillé dix minutes environ après être tombé, j’étais comme paralysé, je ne pouvais plus bouger. Les pompiers sont arrivés et m’ont transporté sur civière jusqu’à l’hôpital où j’ai passé la nuit en observation. Heureusement, il n’y a pas eu de séquelles, mais j’ai un trou noir sur ce qui s’est passé ». « On a fait venir cette personne au commissariat le lendemain, et il nous a dit qu’il était tombé de lui-même », indique le commissaire de la DDSP. « J’ai dit que je ne me rappelais plus ce qui s’était passé, corrige ce membre de la Butte Paillade. Quand, ensuite, j’en ai parlé avec d’autres supporters présents, ils m’ont dit que j’avais pris un coup derrière la tête lors de la charge des policiers…».

Le procureur requiert un mois de prison avec mandat de dépôt

Suite à ces incidents, deux supporters montpelliérains sont emmenés en garde à vue par les forces de police. Ils y apprennent qu’ils passeront en comparution immédiate le lendemain. L’un, Cyril, pour utilisation d’engin pyrotechnique. L’autre, le supporter interpellé pour s’être interposé, pour violence. La décision est prise par le magistrat de permanence du Parquet de Tours, en l’absence du procureur Philippe Varin. De leur côté, les membres de la Butte Paillade et de l’Armata Ultras, révoltés par le traitement dont ils estiment faire l’objet, enlèvent leurs banderoles et veulent quitter la tribune à la mi-temps. « Au départ, la police les a empêchés de partir », se souvient Yves. Finalement, ils sortent quand même du stade de la Vallée du Cher avant la fin du match et passent la nuit et une bonne partie de la journée suivante à attendre l’audience de leurs amis.

Le lendemain matin, le magistrat de permanence, représentant le procureur, requiert 150 heures de travaux d’intérêt général concernant le supporter poursuivi pour violence et un mois d’emprisonnement avec mandat de dépôt, deux ans d’interdiction de stade et 2000 euros d’amende à l’encontre du président de la Butte Paillade, accusé d’utilisation d’un engin pyrotechnique et de rébellion. « On cherchait à leur faire supporter l’intégralité de ce qui s’était passé », explique maître Gerdet, avocate des supporters, qui a plaidé la relaxe. Selon elle, l’identification de Cyril ne repose que sur la description de ses vêtements : or, la plupart des supporters portait les mêmes vestes et bonnets… Contacté à plusieurs reprises par So Foot, le magistrat de permanence n’a pas souhaité s’expliquer sur ses réquisitions. Quant au président de la Butte Paillade, s’il était effectivement « connu », selon les mots du directeur de la DDSP, c’était pour ses responsabilités associatives et non pour des comportements violents ou des refus d’obtempérer, comme en attestent des sources policières montpelliéraines.

« Je vais faire ce qu’a dit Hessel dans son livre "Indignez-vous" »

Finalement, le juge écarte la prison et ramène l’interdiction de stade à 18 mois ainsi que l’amende à 1500 euros pour Cyril, qui a décidé de faire appel de cette décision. De son côté, maître Guibert avocat des forces de l’ordre s’est félicité de « ces poursuites tout à fait normales compte tenu de la gravité des faits » et de la fermeté de la justice à l’encontre de ces « attitudes débordantes et déviantes».

Yves décide de ne pas en rester là. En découvrant le papier paru dans la Nouvelle République le lendemain des faits, « qui ne parlait que des forces de l’ordre et de l’état du policier alors qu’un supporter montpelliérain avait été transporté aux urgences, je me suis dit, je vais faire ce qu’a dit Hessel dans son livre "Indignez-vous" ». De retour à Montpellier, il envoie par courrier signé et daté sa version des événements à la Nouvelle République, au Midi Libre, à la Gazette de Montpellier au club de Montpellier ainsi qu’à So Foot. Sans grand succès. C’est que les supporters font couler plus d’encre quand ils sont suspectés d’être coupables de violences que quand des doutes existent sur la pertinence de l’intervention policière.

Allemagne: VfL Osnabrück - Preußen Münster - 18/02/2012

Source : http://www.rp-online.de

L'exhibition par les supporters d'Osnabrück d'une bâche appartenant aux ultras de Münster a provoqué une violente réaction des visiteurs. 29 personnes, dont cinq policiers, ont été blessées, certaines grièvement. Un policier blessé à l'abdomen reste hospitalisé. La bâche incriminée, avait été semble t il oubliée l'année dernière dans un train par les ultras de Münster en déplacement et récupérée par ceux de VFL.

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Argentine: Gimnasia La Plata - Rosario Central - 18/02/2012

Source : http://www.eldia.com.ar

En fin de rencontre et devant la défaite qui se dessinait avec un arbitrage douteux (1 penalty et 4 joueurs expulsés), les 3.000 fans de Rosario ont commencé a déclenché des incidents, tout d'abord en essayant de forcer les grilles, puis en attaquant la police qui tentait de les contenir. Les supporters les ont bombardé avec toutes sortes de projectiles.

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Mexique: Santos Laguna - Rayados de Monterrey - 18/02/2012

Source : http://www.adiccionrayada.com.mx

Des incidents entre supporters visiteurs et policiers ont débouché sur l'expulsion des supporters à vingt minutes du coup de sifflet final. La police a eu recours à leurs matraques et à du gaz lacrymogène. Cinq policiers ont été blessés et dix supporters arrêtés.

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Affaire Taton: les parents réclament des dommages et intérêts à l'Etat serbe - 19/02/2012

Source : Nouvel'Obs

Les parents de Brice Taton, le supporteur toulousain tué à Belgrade en 2009 en marge d'un match de football, "vont lancer une procédure en dommages et intérêts contre l'Etat serbe", indique dimanche l'association Brice, créée en hommage au jeune homme, sur son site internet.

"Notre ultime recours maintenant va être de lancer une procédure en dommages et intérêts contre l'Etat serbe pour manquement grave aux règles de sécurité et d'encadrement à l'occasion d'une rencontre sportive", souligne le texte du communiqué des parents qui insistent sur "le comportement violent de certains supporters serbes (...) parfaitement connu des autorités."

Selon le texte, les parents qui ont accueilli les réductions de peine en appel des accusés en janvier dernier avec une "profonde tristesse", ont indiqué que leur avocat en Serbie "va engager une procédure en ce sens".

Fin janvier, la Cour d'appel de Belgrade a considérablement réduit les peines de prison prononcées contre 14 personnes condamnées pour la mort de Brice Taton. Les peines de première instance en janvier 2011, qui allaient de quatre à 35 ans de prison, avaient été réduites en appel de quatre à 15 ans de prison.

Brice Taton avait été sauvagement battu le 17 septembre 2009 à Belgrade, où il était venu assister à un match de l'équipe de Toulouse, dont il était supporteur, contre le Partizan Belgrade en Europa League.

Quelques heures avant la rencontre, Brice Taton et ses compagnons avaient été attaqués avec une violence extrême par des supporteurs serbes dans le centre de Belgrade.

Grièvement blessé à la tête et au thorax, Brice Taton est mort le 29 septembre dans un hôpital de Belgrade. Il avait 28 ans.

Ce drame avait suscité une émotion considérable en France, mais aussi en Serbie, attirant de nouveau l'attention sur la violence des supporteurs serbes, dont s'était inquiété le président de Serbie Boris Tadic lui-même.