Saison 08/09 - Décembre

Violences: un responsable de supporters du FC Nantes incarcéré au Havre - 01/12/2008

Source : Le Monde

Le tribunal correctionnel du Havre a condamné lundi soir à un an de prison dont neuf mois avec sursis un responsable d'une association de supporters du FC Nantes reconnu coupable de violences envers un policier samedi avant un match Le Havre-Nantes de Ligue 1.

Jugé en comparution immédiate, Anthony M., 25 ans, un des responsables de Brigade Loire, une des associations de supporters de Nantes, a été incarcéré à l'issue de l'audience. L'homme qui a nié les faits et dont le taux d'alcoolémie a été mesuré à deux grammes par litre de sang a par ailleurs été condamné à cinq ans d'interdiction de stades.

Jugé dans les mêmes conditions, un autre supporter du FC Nantes, Simon T., âgé de 20 ans, qui a nié également a été condamné à six mois de prison avec sursis et deux ans d'interdiction de stades.

Les faits se sont produits samedi vers 18H30 juste avant le coup d'envoi du match, dans une rue qui longe le stade Jules Deschaseaux alors que des policiers étaient appelés pour contenir un mouvement de foule. Selon la police, un des policiers s'est retrouvé isolé et a été renversé puis roué de coups par des supporters. Protégé par son équipement, le policier n'a pas été blessé.

A l'audience, un commissaire de police a formellement reconnu parmi les agresseurs Anthony M. avec qui il avait discuté dans l'après-midi pour prévenir tout débordement éventuel.

Leur avocate Me Isabelle Missoty avait estimé que les supporters étaient nombreux sur les lieux et que le rôle de chacun était difficile à évaluer. "Ce n'est pas parce que les policiers sont assermentés qu'ils ne peuvent pas se tromper", avait-elle plaidé.

A l'inverse, la substitute du Procureur de la République Julie Arzuffi a estimé que les deux hommes avaient été "formellement reconnus". Elle a souligné qu'Anthony M. avait déjà été condamné notamment pour ivresse au volant. Elle avait requis six mois de prison dont trois mois avec sursis à l'encontre d'Anthony M. et trois mois à l'encontre de Simon T.

OM-Nice sans supporter niçois ? - 01/12/2008

Source : Le Phocéen

Le "derby du Sud" entre l'OM et Nice samedi soir se jouera-t-il sans supporter niçois ? C'est la question que tout le monde se pose du côté de l'OGCN après la décision ce lundi de la préfecture des Bouches-du-Rhône d'interdire le déplacement en train des 800 supporters niçois attendus.

Selon le journal Nice-Matin, les autorités marseillais ont refusé que la SCNF affrète un train spécial pour les Niçois. "Rien n'empêche les Niçois de se rendre au Vélodrome en bus, mais pour des raisons de sécurité, le préfet de police a donné un avis négatif à l'affrètement d'un train spécial" a ainsi déclaré le commandant Philippe Carlier au quotidien régional.

Un refus qui s'explique par les incidents survenus l'année dernière avant le match. En tout cas, cette décision a le don d'agacer le club azuréen qui se voit désormais pris de court et dans l'obligation de trouver le nombre de bus nécessaires au déplacement de ses nombreux supporters. De quoi remettre en cause la présence de ces derniers samedi au stade Vélodrome...

Santos : Jugement en délibéré - 03/12/2008

Source: OM.net

Le procès de Santos s’est déroulé ce mercredi à Madrid, pendant près de cinq heures. Le supporter a réaffirmé n'avoir jeté aucun siège sur la police. A son issue, le Procureur a maintenu les chefs d'accusation. Le verdict devrait être connu d’ici 48 heures. Récit.

Une quinzaine de caméras et une foule de journalistes se pressaient ce mercredi matin dans le petit tribunal pénal de Madrid. Soutenu par plusieurs membres des Ultras, des supporters du Rayo Vallecano et un de Séville, cités par la défense, Santos a pu étreindre sa sœur et sa compagne, avant que ne débutent les débats, peu après 10h00.

L’audience a été ponctuée de plusieurs visionnages de photos et de vidéos captées lors des incidents survenus à Vicente Calderon, avant le coup d’envoi du match Atlético-OM. Mais aucun élément nouveau n'a été produit.

Les deux policiers qui accusent Santos, pour un de lui avoir porté un coup, et pour l’autre de lui avoir lancé un siège, sont intervenus à la barre dans la matinée. Tous les deux avouant n’avoir pas identifié eux-mêmes Santos comme leur agresseur durant l’intervention policière, et expliquant n’avoir porté plainte qu’après avoir vu des images tv.

Interrogé par son avocat et le Procureur, le supporter marseillais reconnaîtra d’ailleurs, comme il l’avait déjà fait au préalable, avoir bousculé un policier, afin de venir en aide à une supportrice tombée à terre et blessée. Ce qu’elle confirmera en début d’après-midi.

En revanche, Santos, qui portait un sweat-shirt de l’OM, a de nouveau fermement démenti être l’auteur du jet de siège.

Pour sa part Guy Cazadamont (dir. Sécurité et organisation de l’Olympique de Marseille) a rappelé les circonstances des incidents et l’absence de dialogue qui a précédé l’intervention de la police.

Le directeur de la Sécurité et de l’organisation de l’Olympique de Marseille aura également pris la défense de Santos, qu’il « connaît depuis 10 ans, qui est de tous les matches et qui n’a jamais fait l’objet d’un rapport de police par le passé ».

Plusieurs supporters ont également pu témoigner en sa faveur, même si seulement trois membres des Ultras purent finalement s’exprimer. Ce qui provoqua la colère de la défense.
De même que les traductions approximatives de l'interprète qui auront été préjudiciables tout au long du procès. Particulièrement lorsqu’il s’agissait de décrire avec précision les événements, et où se trouvait Santos durant les incidents.

Un stadier, ainsi qu’un policier du Groupe des Violences Urbaines, ont de même, à leur tour, effectué un rappel des faits.

En cas de condamnation, l'avocat a demandé au tribunal de limiter la peine de Santos à un éventail de trois décisions, de 1,5 mois à 13 mois et 12 jours de prison, selon les charges retenues. Avant de préciser que compte tenu des contradictions observées, et dans la mesure où l'acte d'accusation principal était le jet de siège et que la preuve de la culpabilité de Santos n'avait pas été apportée, sa demande première demeurait que Santos soit innocenté.

Dans son réquisitoire, le Procureur a pourtant maintenu les chefs d’accusation ("trouble à l'ordre public" et "violence en réunion envers l'autorité ayant entraîné des blessures"), équivalents aux huit ans de prison maximum requis préalablement par le ministère public.

Avant la fin des débats, la juge a invité une dernière fois Santos à prendre la parole, en espagnol. Celui-ci a clamé avec force son innocence, son amour du club, avant de conclure : « Je suis un ultra, je ne suis pas un hooligan, ni un criminel ».

Le verdict doit être rendu d’ici 48h.

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Source: L'Equipe

Foot - Justice - Le procureur requiert 8 ans

En conclusion du procès du supporter marseillais Santos Mirasierra, mercredi, le procureur du tribunal pénal de Madrid a requis la même peine que le ministère public, à savoir huit ans de réclusion pour troubles à l'ordre public et violences en réunion. Ce réquisitoire a été accueilli avec inquiétude et colère par la famille Mirasierra : «Ce procès, a dit sa soeur Lucile, a été une grosse mascarade.» L'audience avait commencé peu après 10h00 au "Juzgado de lo Penal" situé dans un quartier excentré de la capitale espagnole. Le récit de la journée d'audience.

Les Ultras marseillais ont accueilli Santos Mirasierra dans le hall du tribunal avec des cris d'encouragement. Selon les sites Internet du quotidien marseillais La Provence et du quotidien sportif espagnol AS, l'audience a été filmée par 14 caméras et 62 journalistes avaient pris place dans la salle. L'accusé était au premier rang à côté d'une interprète et de deux policiers. Sa famille était assise quelques rangs derrière lui. Le supporter, incarcéré depuis le 1er octobre, est principalement accusé d'avoir blessé un policier en lui lançant une chaise avant le début de la rencontre de Ligue des champions Atletico-OM le 1er octobre dernier.

La banderole anime les débats
L'audience a débuté par le visionnage des photos et de la vidéo captées lors des incidents de Vicente-Calderon. Les deux policiers qui accusent Mirasierra de leur avoir, pour l'un porté des coups de poing dans le dos, pour l'autre jeté une chaise à la tête, ont reconnu qu'ils n'avaient pas vu eux-mêmes le supporter les agresser, mais ils ont confirmé leurs accusations. «Je n'ai pas vu Santos me pousser dans le dos. J'ai décidé de porter plainte après avoir vu les images à la télé. Par contre, je l'ai vu un siège à la main» a dit l'un d'eux. De son côté, Santos Mirasierra a reconnu qu'il avait poussé un policier pour dégager une jeune femme tombée à terre mais il a à nouveau démenti avoir jeté quelque siège que ce soit. «Je suis innocent» a lâché Santos Mirasierra en espagnol.

Le policier marseillais du Groupe des Violences Urbaines a pour sa part souligné que les décisions prises lors de la réunion la veille du match avec l'UEFA n'avaient pas été respectées: «Quand j'ai été prévenu qu'il y avait un problème avec la banderole, les policiers avaient déjà chargé», a-t-il dit. Pendant l'audition du policier français, la juge Caridad Hernandez a demandé qu'on cesse de parler de la banderole des Ultras, relatent encore La Provence et AS. «Ce n'est pas l'objet du procès, a-t-elle dit, d'autres tribunaux peuvent juger cette affaire.» Me Erlantz Ibarrondo-Merino, le défenseur espagnol de l'accusé, a protesté. Pour les supporters marseillais, comme pour les responsables de l'OM, la banderole marseillaise (une tête de mort qui sourit) est à l'origine de la charge policière et des incidents qui ont suivi.

L'avocat de Mirasierra plaide la relaxe
Guy Cazadamont, le directeur de la sécurité et de l'organisation de l'OM, a regretté lui aussi l'absence d'échanges avec les forces de l'ordre espagnoles. «Quand j'ai été informé du problème de la banderole, les incidents avaient commencé», a-t-il dit. Interrogé par le procureur sur le fait de savoir si les supporters auraient retiré la banderole si il leur avait demandé, le Monsieur sécurité de l'OM a répondu : «Oui, nous sommes en relation permanente avec eux et notre échange permet d'éviter les conflits.» Dans la matinée, Me Ibarrondo-Merino, avait déposé un recours contre la récusation par l'accusation des témoignages des huit Ultras marseillais. La porte-parole des Ultras, Christine Valette, sera finalement appelée à la barre en début d'après-midi. Elle a confirmé que Santos Mirasierra l'avait soulevée de terre et confié à d'autres supporters de l'OM alors qu'elle venait d'être blessée à la tête lors de la charge des policiers.

Le défilé des témoins pris fin peu avant 15h00. La juge a alors demandé aux parties de présenter leurs conclusions. «La banderole était une provocation» a lâché le procureur au nom de l'accusation. L'avocat de Santos Mirasierra lui a répliqué: «Si trouble de l'ordre public il y a eu, il est la conséquence de la charge policière.» Face aux contradictions de l'accusation, il a plaidé la relaxe. Par exemple, le policier qui a affirmé reconnaître le supporteur marseillais avait dit pendant l'instruction que la chaise était de couleur rouge, alors qu'elle était en fait blanche. La décision de justice devrait être notifiée sous quarante-huit heures à Santos-Mirasierra, même si la justice espagnole n'est pas absolument tenue de le respecter.

Belgique: Émeute fixée par SMS - 03/12/2008

Source: http://www.dhnet.be

Des messages circulent depuis quelques jours donnant rendez-vous à St-Guidon le 5 décembre...

ANDERLECHT La police doit-elle se préparer à une vague d'émeutes comme elle en avait connu il y a quelques mois à Anderlecht ? Peut-être. En tout cas, elle est vigilante.

C'est donc avec l'accord de la police que nous pouvons vous révéler que des SMS incitant à l'émeute pour la fin de la semaine circulent pour l'instant. "Il faut en parler", nous explique un policier de la Zone Midi. "Soit c'est de la blague et tant mieux, soit effectivement un rendez-vous est fixé pour une émeute et autant que les personnes intéressées le sachent, nous serons là aussi."

Pas question pour notre journal donc d'inciter les candidats à la bagarre à se rendre place St-Guidon, à Anderlecht. "Les services d'ordre seront présents en nombre suffisant pour faire face au moindre débordement. Autant que cela se sache !"

Le message est largement diffusé par SMS. Il est destiné à des élèves de certaines écoles. Il est assez explicite et propose un rendez-vous le 5/12 à St-Guidon "pour se retrouver comme les fois passées". Cette phrase peut être interprétée de différentes manières. Blague ou menace ? Pour la police, pas question de prendre cela à la légère. Les incidents qui avaient enflammé Anderlecht au mois de mai dernier ont marqué les esprits. Tout avait commencé suite à une bagarre le 18 mai autour du stade d'Anderlecht après la Coupe de Belgique entre des supporters du club d'Anderlecht et de jeunes allochtones.

Des appels à la violence avaient été lancés sur des blogs et par SMS. Entre 400 à 500 jeunes des quartiers s'étaient rassemblés dans la nuit du 23 au 24 mai, ce qui avait mené à l'arrestation de plus de 200 jeunes.

Italie: sécurité - 03/12/2008

Source: Rai

CAGLIARI-PALERME : programmé le 7 décembre, se jouera sans la présence de tifosi visiteurs. Ainsi en a décidé le Casm qui a adopté la même disposition pour Venise-Vérone ; Paganese-Sorrente ; Cosenza-Catanzaro et Cremonese-Padoue.

Demande de sécurité renforcée pour l'Atletico avant le match à Marseille - 03/12/2008

Source: RTLInfo.be


La région de Madrid a demandé une sécurité renforcée pour la délégation de l'Atletico Madrid qui doit jouer le 9 décembre à Marseille en Ligue des champions, après des menaces reçues par le club par courrier électronique. Le conseiller aux Sports du gouvernement régional madrilène, Alberto Lopez Viejo, a demandé au ministère espagnol de l'Intérieur de prendre "toutes les mesures nécessaires pour assurer la sécurité de la délégation madrilène, aussi bien pour les joueurs, l'encadrement technique et les dirigeants, que pour les supporters qui se décideraient finalement à suivre l'équipe". Le président de l'Atletico, Enrique Cerezo, a demandé aux supporters de ne pas aller à Marseille, la qualification du club pour les 8e de finale de la Ligue des champions étant assurée.

Argentine : enquête sur une possible incitation à la violence de Riquelme - 03/12/2008

Source: RTLInfo.be

La justice argentine a lancé une enquête concernant un cas supposé d'incitation à la violence de la part de l'attaquant Juan Roman Riquelme, vedette du club de Boca Juniors et de la sélection nationale. Riquelme, 30 ans, avait désigné du doigt un adolescent qui l'insultait depuis une loge du stade de la Bombonera, après avoir inscrit le second but de son équipe contre le Racing Club (2-1) dimanche, lors du Championnat d'Argentine. "Je n'ai rien fait de mal. Je n'ai fait que célébrer le second but de mon équipe", a affirmé le joueur. Le procureur du quartier de La Boca, Luis Cevasco, a expliqué qu'il pouvait s'agir d'un "cas d'incitation à la violence" car, après le geste de l'attaquant, d'autres supporters ont entouré l'adolescent et ont commencé à se battre avec lui.

Standard Liège - Sampdoria Genes - 03/12/2008

Source: mail (merci à l'expéditeur)

Avant la rencontre, contact entre une 30aine d'ultras (armés de bâtons et de parapluies) de la Sampdoria et un nombre équivalent de locaux. A l'avantage de ces derniers qui chargeront encore les Doriani.



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Source: mails (merci aux expéditeurs)

avant match: dans un café et dans la rue autour du stade ( standard fans (HS81-UI96-PHK) vs ultras sampdoria) +- 30 contre 30 , supériorité pour les standardmen...

après match : RAS

Udinese - Dinamo Zagreb - 03/12/2008

Source: https://www.youtube.com

http://pl.youtube.com/watch?v=I4Z9JhYCHtw




Source: AFP

Udinese-Dinamo Zagreb: dix minutes d'interruption à cause de fumigènes

La rencontre de la 4e journée de la Coupe de l'UEFA, Udinese-Dinamo Zagreb, a du être suspendue durant dix minutes mercredi soir, à cause de fumigènes lancés sur le terrain d'Udine (nord-est) par des supporters du Dinamo Zagreb, selon le site internet de la Gazetta dello Sport. A 16 minutes de la fin, alors que l'Udinese menait 1-0 au Stadio Friuli, l'arbitre israélien M. Yefet a interrompu le match qui n'a pu reprendre que dix minutes plus tard. L'Udinese a finalement remporté la rencontre 2 à 1.

Italie: sécurité - 04/12/2008

Source: Rai

NAPOLI-LECCE: La partie du 13 décembre, au San Paolo, se jouera sans tifosi visiteurs. Ainsi en a décidé le Comité d'Analyses pour la Sécurité des Manifestations Sportives.

Manchester City - Paris SG - 03/12/2008

Source: presse française + mail (merci à l'expéditeur)

Le City of Manchester Stadium a été le théâtre de bagarre entre supporteurs parisiens, lesquels ont arraché une centaine de sièges, d’autres étant ornés de graffitis peu élogieux pour la Reine d’Angleterre, ce qui n’a pas été du goût du club local. Un policier et un steward ont été légèrement blessés.

Note des modos: A priori une très grosse mob parisienne était attendu en Angleterre; plus importante que celle du match précédent à Schalke.






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Source: Le Nouvel Observateur

Football: des supporters du Paris SG blessent un policier à Manchester

Un officier de police britannique a été blessé lors d'une bagarre entre supporters du Paris SG au cours du match opposant leur équipe à Manchester City mercredi soir en Angleterre.

Après ce match nul 0-0 qui a oblitéré les chances de qualification du PSG pour la phase à élimination directe de la Coupe de l'UEFA, un supporter du club parisien a été arrêté dans le centre-ville de Manchester puis relâché. A l'intérieur du stade, la police en tenue anti-émeute s'est opposée aux supporters, des sièges étant arrachés.

"A la mi-temps, quelques supporters français se sont battus entre eux dans les travées du stade", a annoncé jeudi le super-intendant Steve Nibloe. "Lors de ces échauffourées, un officier de police a été touché au dos par une poubelle métallique lancée par un supporter.

"Il souffre de blessures légères et a reçu des premiers soins à l'intérieur du stade. L'ordre a été rapidement rétabli et le match s'est déroulé sans incident"


Photo : The Sun



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Source: EMPics + Daily Mail





VIDEOS:

https://www.youtube.com/watch?v=zJLs8eMXdMA

https://www.youtube.com/watch?v=ooBqyrteiUE

https://www.dailymotion.com/video/k1Wtu3iU3OwSMARF6R

https://www.dailymotion.com/tournicoticota/video/x7ls9l_citypsg_sport




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Source: mail (merci à l'expéditeur)

Trois ans et demi de prison pour un supporter de l'OM - 05/12/2008

Source : Reuters

Santos Mirasierra, supporter de l'Olympique de Marseille, a été condamné à trois ans et demi de prison par la justice espagnole.

Il a comparu en procès mercredi à Madrid après son arrestation le 1er octobre à l'issue d'échauffourées avec la police dans la tribune réservée aux supporters marseillais avant un match de Ligue des Champions sur le terrain de l'Atletico Madrid.

Il a été condamné à trois ans de prison pour menaces contre des policiers et à six mois supplémentaires pour en avoir blessé deux d'entre eux.

Il dispose de 10 jours pour faire appel.

Le parquet avait requis huit ans de prison pour agression de policiers et troubles à l'ordre public. Mirasierra a été acquitté de la deuxième partie de cette accusation.

"Je ne pensais pas qu'une telle injustice soit possible dans une capitale européenne comme Madrid. C'est insupportable et effrayant", a réagi Pape Diouf, cité par le site internet du club (www.om.net).

"Un recul me paraît nécessaire pour ne pas en dire trop et surtout réfléchir aux actions à venir", a ajouté le président marseillais, en se disant "abasourdi".

Cette affaire a été une source de tensions entre Marseille et l'Atletico avant leurs retrouvailles au Stade Vélodrome mardi pour leur dernier match dans le groupe D de la Ligue des Champions.

"ERREURS GRAVES" DE L'ATLETICO

Marseille, vaincu 2-1 à l'aller à Madrid, tentera face à un adversaire déjà qualifié pour les huitièmes de finale de décrocher la troisième place de sa poule, qui lui permettrait d'être reversé en 16e de finale de la Coupe de l'UEFA.

L'Atletico a invité ses supporters à ne pas se rendre à Marseille pour ne pas créer d'éventuels incidents.

Des appels au calme ont été lancés par les dirigeants des deux clubs, même si l'Atletico a dit mardi avoir reçu des menaces de mort.

Jean-Claude Gaudin, maire de Marseille, a pour sa part invité les supporters marseillais à "encourager leur équipe dans le respect de l'esprit sportif".

"Aucun débordement ou acte de violence ne saurait défendre la cause de Santos Mirasierra, mais pourrait au contraire porter un lourd préjudice à la suite de sa procédure judiciaire", a dit Jean-Claude Gaudin dans un communiqué repris par le site de l'OM.

Le match aller au stade Vicente Calderon a été émaillé d'incidents entre la police espagnole et des supporters marseillais avant le coup d'envoi.

L'UEFA avait initialement condamné l'Atletico Madrid à deux matches à huis clos après ces violences.

Après un appel devant l'instance dirigeante du football européen puis devant le Tribunal arbitral du Sport (Tas), le club espagnol a obtenu que sa sanction soit ramenée à un match à huis clos, qu'il a disputé le 26 novembre contre le PSV Eindhoven.

Le Tas a imputé les incidents du 1er novembre à des "erreurs graves" de l'Atletico. Il a en revanche jugé que les actes de racisme n'étaient "pas établis avec certitude".

Les supporters islamophobes arrêtés - 05/11/2008

Source : L'équipe

Deux supporters ont été interpellés après avoir été identifiés parmi ceux ayant entonné des chants islamophobes contre Mido. Le 29 novembre dernier, l'attaquant égyptien de Middlesbrough avait été la cible d'insultes racistes et islamophobes, lors du match de Premier League contre Newcastle. Les« supporters » en question doivent être jugés le 9 décembre. Un porte-parole de la fédération anglaise (FA) a indiqué qu'elle soutiendrait un bannissement à vie des deux individus s'ils étaient reconnus coupables.

Allemagne : VfB Lübeck II - KSV Holstein Kiel II - 03/12/2008

Source : ln-online.de

Une centaine de policiers est intervenue à la gare d'Eutin, où 50 hooligans de Kiel provoquaient des incidents et notamment squattaient les voies ferrées. 35 hooligans ont été interpellés sur place.

Nantes : La brigade Loire se défend - 06/12/2008

Source : RMC.fr

Après la condamnation d’un de ses supporters à trois mois de prison ferme pour l’agression d’un policier, le groupe de supporters nantais de la Brigade Loire a décidé d’apporter sa version des faits.
Les faits se sont produits lors du déplacement de Nantes au Havre. Les quelques dizaines de supporters nantais présents ont passé l’après-midi dans un pub avant de prendre le chemin du stade, escortés par les forces de police. Durant ce trajet, par un communiqué, la Brigade Loire explique que certains policiers ont eu des « comportements déplacés encers les filles et agressifs ». A 100 mètres du stade, des bagarres auraient éclaté entre fans et policiers. Les forces de l’ordre « auraient chargé ». La Brigade Loire dénonce « une parodie de justice expéditive » pour les deux supporters arrêtés car ils n’auraient pas pu préparer leur défense ni se procurer des témoins, sans avoir étudié les images de vidéosurveillance aux abords du stade. La Brigade Loire répète qu’Anthony est innocent car il ne se trouvait pas à côté du policier agressé. Le groupe de supporter apporte son soutien au jeune garçon qui passera les fêtes de Noël en prison après une condamnation à trois mois de prison.

Allemagne : Jahn Regensburg - Dynamo Dresden - 06/12/2008

Source : mittelbayerische.de

Les supporters du Dynamo ont provoqué une série d'incidents contre la police lors de leur déplacement à Regensburg.
2000 supporters avaient effectué le déplacement. Les incidents ont éclaté à la gare, sur le chemin et dans l'enceinte même du stade. Des vitrines de magasins ont été détruites, des voitures endommagées et dix policiers blessés. Les supporters, dont une douzaine ont été interpellés, ont lancé des artifices sur les forces de l'ordre.



VIDEO:

http://de.youtube.com/watch?v=EbWza_ZKlYg



Traduction Underground Fans

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Source : BUltras

Marseille - OGC Nice - 06/12/2008

Source: La Provence

Les supporters manifestent pour Santos devant le stade Vélodrome


"Santos n'abandonnera pas"

L'avocat espagnol, Me Erlantz Ibarrondo Merino, a rencontré hier soir Santos à la prison d'Estremera

Comme tout le monde, Me Erlantz Ibarrondo Merino est tombé des nues lorsqu'il a eu connaissance de la peine infligée à Santos Mirasierra. Sa première réaction était l'incompréhension : "C'est hallucinant, ils reconnaissent qu'il n'a pas lancé de siège, ce qui était tout de même la raison pour laquelle il était en prison préventive et ils le condamnent parce qu'il a eu le malheur d'être au mauvais endroit, au mauvais moment."

En fin d'après-midi, à la sortie de la prison d'Estremera, Erlantz Ibarrondo nous donnait les premières réactions de Santos suite à l'annonce du verdict : "Santos a appris la nouvelle par la Consule, lorsque je suis arrivé, il n'était pas très bien. Mais je lui ai détaillé la sentence et lorsqu'il a vu qu'il n'était pas coupable des charges qui étaient retenues au départ contre lui, il allait un peu mieux. Mais c'est quelqu'un de fort et qui a du courage, il n'abandonnera pas."

Désormais, pour l'avocat de Santos, il est temps de préparer le recours auprès de l'audience provinciale. Si, officiellement, il dispose d'un délai de dix jours pour le faire, il compte tout de même le déposer dès mardi matin (le lundi 8 décembre étant férié en Espagne).

"Franchement, étant donné la sentence, je pense que le recours a de bonnes chances d'aboutir. Mais si ce n'est pas le cas, alors il faudra soit déposer un second recours devant le tribunal suprême, soit réclamer une grâce." Pourrait-il y avoir un risque d'alourdissement de la peine lors de l'appel ? "Non, ici il existe une loi qui fait qu'une peine ne peut être augmentée en appel. De ce côté, il n'y a pas de risque, par contre la procédure peut être longue. Cela peut durer plusieurs mois."

Le sentiment d'incompréhension était total à la sortie du centre pénitencier. La détresse se lisait sur les visages des proches de Santos. Sa soeur, Lucile, ainsi que la compagne du supporter, Séverine, étaient toutes deux effondrées par le verdict, mais remontées contre le système judiciaire espagnol et contre les médias locaux, coupables à leurs yeux d'avoir mené une campagne médiatique dans laquelle on présentait Santos comme un ultra dangereux et violent. "C'est vrai que le fait que cela ait pris une telle ampleur a peut-être exercé une pression sur la cour", nous précisait l'avocat de la défense.

Désormais, la patience doit être de mise dans cette affaire. Car si la date du procès a été fixée au 4 décembre, c'était à cause de la proximité du match retour. Comme cette fameuse rencontre se jouera mardi, la justice pourrait prendre tout son temps pour étudier l'appel avant de donner une réponse.

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Source: Reuters

Pape Diouf rencontre les supporters avant OM-Atletico

Les Dirigeants De L'om Rencontrent Les Supporters AprÈS La Condamnation De Santos Mirasierra
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MARSEILLE (Reuters) - Les dirigeants de l'Olympique de Marseille ont rencontré les groupes de supporters pour tenter de "trouver une solution commune", dans la perspective du match de Ligue des champions entre l'OM et l'Atletico Madrid.

Santos Mirasierra a été condamné vendredi à trois ans et demi de prison ferme par la justice espagnole.

Il avait été arrêté le 1er octobre à l'issue d'échauffourées avec la police dans la tribune réservée aux supporters marseillais lors du match aller sur le terrain de l'Atletico.

"La sanction qui frappe Santos est une injustice. Nous avons des supporters qui sont conscients de la situation et nous avons essayé avec eux de trouver une solution", affirme Pape Diouf, le président de l'OM, sur le site internet du club (www.om.net).

"Le débat a été controversé et contrasté. On en sort avec le sentiment qu'une position n'est pas définitivement arrêtée par tous et pour tous", a-t-il ajouté.

Le match retour entre l'OM et le club espagnol est prévu mardi au stade Vélodrome

"SANTOS PRÉSENT"

"En tant que club, nous serons tenus pour responsables de tout débordement qui pourrait se produire aussi bien dans le stade qu'en dehors", a rappelé Pape Diouf.

"C'est à nous de démontrer, devant l'Europe entière, que nous ne sommes pas les sauvages que certains Espagnols ont tenté de dépeindre."

Le groupe de supporters des Ultras, auquel appartient Santos Mirasierra, a pour sa part décidé de ne pas assister mardi au match retour contre l'Atletico.

"Notre place dans les tribunes n'a plus aucun sens en comparaison de la détention arbitraire de notre ami", expliquent les Ultras dans un communiqué.

Le groupe invite l'ensemble des supporters marseillais à se regrouper à l'extérieur du Vélodrome pour "transformer les alentours du stade en une plaidoirie pour Santos".

Samedi, avant le coup d'envoi du match de championnat entre Marseille et Nice, les Ultras ont aussi prévu de déployer une bâche "Santos présent" sur le parvis du stade Vélodrome.

Affrontement au Chili - 05/12/2008

Source: Super Hincha

Une confrontation sérieuse a eu lieu en marge d'une rencontre de - de 18 ans, opposant des supporters de Colo Colo aux rivaux de l'Universidad de Chile.
Une véritable bagarre de campagne les a opposé à Quilin, où les forces de police n'étaient pas présentes en suffisance.

Au final, 9 personnes seront arrêtées et beaucoup de dégâts notés dans l'enceinte.

Allemagne: SSV Reutlingen - 1FC Nurnberg II - 05/12/2008

Source: http://www.ssv-markus.de

Une 60aine de supporters de Nurnberg ont causé des troubles, envahissant tout d'abord la tribune principale et ensuite, en lançant des fumigènes.
La police du intervenir.

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Source: mail (merci à l'expéditeur)

60 Ultras Nurnberg ont attaqué une 30aine de locaux.
Les flics sont entrés dans le secteur des visiteurs. Prise d'identité, fouille, etc..

Sibenik - Hajduk Split - 05/12/2008

Source: http://www.index.hr (merci à l'expéditeur)

VIDEO:

http://www.index.hr/sport/clanak/video-na-subicevcu-izbila-masovna-tucnjava-izmedju-navijaca-hajduka-i-sibenika/412662.aspx

KV Oostende - RFC Liège - 05/12/2008

Source: forum

Un face à face opposera 9 visiteurs à une vingtaine de locaux, qui finiront par prendre la fuite.

Brésil : Un supporteur désespéré par la relégation de son club - 07/12/2008

Source : LesDessousduSport.fr

Un supporteur du Vasco de Gama FC a tenté de se suicider en se jetant du haut du stade San Januario de Río de Janeiro. La police est intervenue à temps. Le jeune homme était inconsolable après la relégation de son club en seconde division.

Filmée en direct par la télévision brésilienne, l'action aurait pu être dramatique mais le pire a été évité hier, dans le stade du Vasco de Gama, club de l'élite brésilienne qui jouait son maintien en première division. Battu 2-0 par Vitoria le club de Rio de Janeiro a été condamné à la seconde division. Un scénario inconcevable pour certains supporteurs... Parmi lesquels un jeune homme nommé Fernando qui a tenté de mettre fin à ses jours en menaçant de sauter depuis le toit du stade San Januario.

Policiers, supporteurs... Tout le monde négociait et se préparait à rattraper le jeune homme, accroché au bord du toit du stade. Des bâches étaient même tendues dans les tribunes pour amortir son éventuelle chute. Après plusieurs minutes de négociations, Fernando a finalement accepté de téléphoner à sa mère depuis un portable que lui proposait la police. Une ruse qui a permis aux forces de l'ordre brésiliennes de s'approcher de lui et de l'empêcher de sauter.

Vidéo : http://www.lesdessousdusport.fr/video-sport/une-relegation-difficile-a-supporter-303

FC Nantes : « On pointe du doigt les supporters de foot ! » - 08/12/2008

Source : Ouest-France

Suite à l'agression d'un policier au Havre, un supporter nantais a écopé de trois mois de prison. Ambiance dans « sa » tribune Loire, samedi, à la Beaujoire.
À l'entrée de la tribune Loire, samedi, pour Nantes-Lyon, une demi-douzaine de jeunes distribuent des tracts. Sur leur maillot des Canaris, ils portent un t-shirt exprimant leur soutien à Anthony. Ce membre du club de supporter Brigade Loire a écopé, cette semaine, de trois mois de prison.

Cette condamnation fait suite aux incidents entre policiers et supporters nantais survenus le week-end précédent, avant le match Le Havre - Nantes. Au pied de la tribune, les membres de la Brigade Loire vendent les T-shirt pour 10 €. Les bénéfices serviront à payer les factures d'Anthony pendant son séjour en prison.

C'est la quatrième fois depuis le mois de septembre que les supporters nantais font parler d'eux. Et pas en bien. Radicalisation ou énervement passager ? En tout cas, samedi soir, face à Lyon, de l'aveu même des stadiers, les supporters ont été calmes.

« Reflet de la société »

Des échauffourées, surtout en marge des rencontres, il y en a. Mais, « pas plus qu'avant » selon un avis qui semble partagé par tous les supporters. Et à Nantes, comme partout ailleurs en Europe. Mickaël a fait partie de la Brigade Loire, il y a deux ans. Il lance nonchalamment : « Il y a toujours eu des confrontations. Les deux clubs se contactent avant les matchs. Ils se donnent rendez-vous à l'extérieur, dans une rue, pour la bagarre. »

Une volonté d'en découdre de quelques poignées de supporters, qui pourrit la réputation de l'ensemble. Presque une fatalité pour les responsables de la Brigade Loire : « Une tribune, c'est le reflet de la société. Il y a des problèmes de violence, d'alcool. Mais on pointe du doigt les supporters de foot », s'agace Romuald, l'un des porte-parole de la Brigade Loire.

La semaine dernière au Havre, Anthony avait 2 grammes par litre de sang. À chaque incident, l'alcool semble jouer un rôle. « Quand on voit que certains boivent trop, on leur dit d'arrêter », explique, un peu embarrassé, un porte-parole. Boire avant un match à l'extérieur fait, pour certains, partie du folklore. Tout comme les tifos, les chants, et même les insultes. « On hue l'équipe adverse, c'est pas méchant. Et nous aussi, on se fait caillasser à l'extérieur ! »

Les responsables ont tendance à relativiser, voire banaliser. Ils condamnent les incidents comme les tags de la Jonelière, « mais il n'y a pas mort d'homme, ajoute Mathieu, l'un des porte-parole de la Brigade. Il y a 20 ans, les supporters étaient plus énervés encore. »

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Quatre incidents mêlant des supporters en quatre mois

Fin septembre, le centre d'entraînement du FCN a été tagué après une lourde défaite face à Caen. « Vous nous faites honte » ou encore : « Vous êtes trop payés, bougez-vous », pouvait-on lire sur les murs, à l'intérieur même de la Jonelière.

Mi-octobre, avant Nantes - Saint-Étienne, c'est une bagarre entre supporters qui a éclaté dans le centre-ville de Nantes. Le 8 novembre, à la suite du match contre Toulouse à la Beaujoire, un car toulousain est caillassé au pied des tribunes. La rivalité avec Toulouse date des années 90 et d'une banderole nantaise malheureuse moquant le décès accidentel d'un Toulousain. Les supporters ont changé, la haine est restée.

L'incident le plus grave date de février 2006, à Sochaux. Une stadière avait reçu un coup de poteau de corner dans l'oeil et 180 fauteuils avaient été arrachés par des supporters, furieux contre la direction du FCN.

Santos (CU84) - Uldry (Supras Auteuil): «Ultra, la même passion» - 07/12/2008

Source : L'Equipe

La condamnation de Santos Mirasierra émeut la mouvance supportériste en France bien au-delà de Marseille. Ainsi Christophe Uldry, porte-parole des Supras, groupe de supporters de la tribune Auteuil au Parc des Princes, se prononce-t-il «personnellement» pour que les supporters du Paris-SG «soutiennent publiquement Santos».

«En tant qu'ultra, on partage la même passion, le même mode de vie, on organise notre vie en fonction de notre club, nous a-t-il expliqué. Pour moi, Santos a réagi comme tout homme serait tenté de le faire face à la violence policière. Mais à Paris, vu la rivalité qui nous oppose aux Marseillais, c'est compliqué à mettre en place. Dans le groupe les avis sont partagés.»

« L'Etat déjuge rarement sa police »
Christophe Uldry, de par sa propre expérience, n'est pas fondamentalement étonné par l'enchaînement des épisodes qui ont conduit Santos en prison. «En déplacement en Espagne nous n'avons jamais connu de problème, reconnaît-il. Mais partout, les rapports avec la police peuvent s'avérer délicats. Dans les pays de l'Est, on s'est déjà fait racketter par la police. En France la police française n'est plus dans le stade, c'est un bon point. On a compris qu'il valait mieux encadrer les supporters de stewarts qui connaissent le phénomène ultra et les gens en place.»

La sévérité de la justice espagnole ne l'a pas surpris davantage. «La condamnation n'a pas été prise sur les faits qui lui étaient reprochés, il s'agit d'une décision politique. Que cela soit en Espagne ou en France, l'Etat déjuge rarement sa police.»

Allemagne : Tennis Borussia - BFC Dynamo - 07/12/2008

Source : tagesspiegel.de + berlinonline.de

A quelques minutes du coup de sifflet final, les supporters du BFC ont commencé à lancer des projectiles sur la pelouse obligeant la police a intervenir énergiquement à coups de matraques. Il y a eu 18 arrestations.
Les forces de l'ordre ont utilisé massivement du gaz au poivre contre les supporters dont 58 ont été blessés. Six d'entre eux ont été hospitalisés.
500 policiers étaient mobilisés pour seulement 2047 spectateurs...

Traduction Underground Fans

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Source : Mail

La police n'a pas hésité à charger l'ensemble les 1300 supporters du BFC pour les déloger des gradins, blessant pèle-mèle supporters, femmes et enfants !!!

Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=prRq2sAG2nk&eurl=http://www.ultrafans.de/index.php/tebe-vs-bfc-dynamo/&feature=player_embedded