Saison 03/04 - Décembre

Lazio Roma - Juventus Turin - 07/12/2003

Source: Rai

Un groupe de supporters de la Juventus à été attaqué avant la rencontre. Huit d'entre-eux seront blessés, dont 2 à coups de couteau, dont l'un assez gravement, nécessitant 15 jours d'arrêt de travail.

Bagarres dans un train italien - 07/12/2003

Source: Rai

Des bagarres ont éclatés dans le train menant de Reggio Calabria à Milan, opposant des ultras de Reggina et de Naples. Un supporter de Reggina sera blessé par un coup de couteau. Les incidents ont éclaté près de la gare Tiburtina (Rome).
La police procédera à l'arrestation de 120 ultras de Naples.

Livorno - Catania - 07/12/2003

Source: Tifonet

Pendant la rencontre, 200 ultras de Catania lanceront divers objets sur le terrain. La police devra intervenir en utilisant les lacrymogènes.
A la fin de la rencontre, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur du stade, des groupes de locaux tenteront d'attaquer leurs homologues du jour. Les carabiniers devront les charger à plusieurs reprises.
Etant bloqué à l'intérieur du stade, les ultras de Catania mettront le feu à une buvette et endommageront un fourgon du club local.

Chievo Verona - AS Roma - 07/12/2003

Source: Ansa

A l'occasion de cette rencontre, 1 supporter de la Roma sera arrêté, 3 autres contrôlés et un groupe de 80 également contrôlés pour s'être rendu à Verone sans tickets.

Ebolitana - Scafatese - 07/12/2003

Source: Il Mattino

De nombreux objets seront échangés entre supporters à l'occasion de ce derby. Les forces de police durent intervenir pour calmer les fans rivaux.
A cette occasion, environ 250 visiteurs avaient effectués le déplacement.

Fidelis Andria - Brindisi - 07/12/2003

Source: Kataweb

Des incidents ont éclatés à la fin de ce derby des Pouilles. D'après la police, environ400 supporters d'Andria sont sortis du stade pour attaquer leurs homologues. Les forces de l'ordre durent les charger, mais recevront de nombreuses bouteilles.

FC Bruges - Ajax Amsterdam - 09/12/2003

Source: presse belge + forums

Dans la soirée de lundi, un contact a éclaté entre top lads du BCF et un bon groupe de l'Ajax, aux environs de 22h, non loin du centre ville de Gand.
Une bagarre de haut niveau a éclaté, mais la police est vite arrivée sur les lieux...
22 lads de l'Ajax se sont fait coincés ainsi que 5 Brugeois....
Apparement, les forces en présence étaient de 35/40 jeunes lads de l'Ajax face à 45/50 BCF, dont une majorité de + de 30 ans. L'avantage aurait été pris par les visiteurs.
A noter que les fans de l'Ajax commémoraient le décès de l'un des leurs (Para), survenu le 7 décembre.
Pour cette rencontre, un dispositif important avait été mis en place par les forces de police (environ 400 hommes) car des bagarres étaient à craindre avec notamment la venue d'hooligans de Den Haag et d'Utrecht avec le noyau dur de Bruges.

Euro-2004 - La sécurité testée lors du match amical Portugal-Angleterre - 10/12/2003

Source : AFP

Le match amical Portugal-Angleterre, prévu en février dans le cadre de la préparation à l'Euro 2004 de football (12 juin-4 juillet), permettra de tester en grandeur nature les dispositifs de sécurité pour la phase finale, ont indiqué mercredi les organisateurs de la compétition.
"Portugal-Angleterre sera le grand test en terme de sécurité des supporteurs avant l'Euro, ce sera l'occasion de tester la coopération entre les forces de sécurité", a déclaré Antonio Laranjo, directeur du tournoi, devant une commission parlementaire.
L'Angleterre affrontera le Portugal, qualifié d'office en tant qu'organisateur, le 18 février dans le stade de 30.000 places de Faro/Loulé, inauguré le mois dernier dans la province touristique de l'Algarve (sud).
Selon M. Laranjo, les autorités portugaises et la Fédération anglaise de football ont organisé de nombreuses réunions avant d'accepter la tenue de cette rencontre amicale, de crainte que l'Angleterre ne soit sanctionnée par l'Union européenne de football (UEFA) si les supporteurs anglais se livrent à des actes de violence.
En 1985, les équipes anglaises ont été exclues par l'UEFA des matches disputés à l'étranger pendant cinq ans, après les violences des supporteurs de Liverpool au stade du Heysel à Bruxelles, qui avaient fait 39 morts, lors de la finale de la Coupe des Champions contre le club italien de la Juventus Turin.
La police britannique compte sur la venue au Portugal de quelque 50.000 supporteurs anglais à l'occasion du Championnat d'Europe des nations.

Fauteurs de troubles

Lisbonne a de son côté annulé les congés de tous les policiers durant la phase finale, du 12 juin au 4 juillet.
Le gouvernement a prévu un budget de 16,6 millions d'euros pour équiper ses forces de sécurité en canons à eau, véhicules anti-émeutes, masques anti-gaz, gaz lacrymogènes...
Il prévoit aussi de mettre en place des tribunaux fonctionnant 24 heures sur 24 afin de juger sur le champ les fauteurs de troubles, et réfléchit à l'interdiction des boissons alcoolisées à proximité des stades les jours de matches.
Lisbonne envisage également de rétablir temporairement les contrôles aux frontières supprimés en 1991 dans le cadre des accords de Schengen.
La police britannique a dressé un fichier de 1800 fauteurs de troubles durant les matches, auxquels elle demandera de lui remettre leurs passeports lorsque l'Angleterre jouera à l'étranger.
Le Portugal mise sur sa réputation de pays sûr et tranquille pour faire de l'Euro 2004 une réussite au plan touristique. Quelque 3 millions de personnes prévoient de se rendre au Portugal l'an prochain à l'occasion de l'épreuve.

Prison ferme pour cinq supporteurs violents de l'AS Saint-Etienne - 10/12/2003

Source : AP

Cinq supporteurs de l'AS Saint-Etienne, auteurs de violence envers des policiers en août dernier, ont été condamnés mercredi soir à des peines de six à dix mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de cette ville, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.

Les cinq jeunes hommes avaient violemment frappé trois policiers en civil qui tentaient d'interpeller l'un d'eux, porteur d'un fumigène, dans la tribune Jean-Snella du stade Geoffroy-Guichard pendant une rencontre de L2 opposant l'équipe locale à Lorient le 15 août dernier.

Agés de 18 à 27 ans, ils sont tous les cinq membres de l'association de supporteurs "Green Angels". Après avoir réussi à prendre la fuite, ils s'étaient tous présentés spontanément aux services de police dans les jours qui avaient suivi les faits, a souligné leur avocat, Me Louis Cornillon.

Ce dernier a précisé qu'il y avait eu "un regrettable malentendu. Ces jeunes gens n'ont pas identifié les trois personnes en civil comme des policiers. Dans leur esprit, ils ont défendu un supporteur qui se faisait agresser".

Fin novembre, cinq membres de l'association de supporteurs "Magic Fans" avaient été condamnés à des peines de un mois à treize mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Belley (Ain) pour des violences envers des forces de l'ordre lors d'un match de coupe de France qui s'était déroulé le 22 novembre dans cette ville.

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Source : LE PROGRES

Ils avaient frappé des policiers au stade Geoffroy-Guichard, le 15 août dernier. Dix mois pour deux d'entre eux, et six mois pour les autres. La moitié de leur peine est assortie du sursis. Ils sont également interdits de stade pour trois ans.

Hasard du calendrier, cette affaire était jugée un jour de match de l'ASSE. C'était hier après-midi : cinq supporteurs stéphanois étaient poursuivis pour des violences contre des policiers. Le 15 août, lors du match ASSE-Lorient à Geoffroy-Guichard, le système de vidéosurveillance du stade repère un individu avec un fumigène. Sa description est donnée à trois fonctionnaires en civil de la Brigade anti-criminalité (Bac). Ceux-ci s'approchent de la tribune Jean-Snella, où il se trouve, mais n'interviennent pas. «Nous devions le repérer et indiquer à nos collègues la direction qu'il prendrait à la fin du match, explique un des fonctionnaires à la barre. Il aurait alors été interpellé à la sortie du stade, comme nous le faisons habituellement».
Mais les policiers sont repérés. Le supporteur qui avait agité le fumigène tente de prendre la fuite. C'est alors qu'un des trois policiers tente de l'arrêter. L'individu se débat et quatre autres supporteurs viennent à son secours pour le libérer, en rouant de coups le policier. Ses deux collègues seront aussi touchés, mais plus légèrement. Le calme reviendra à la simple vue de l'arrivée des CRS.
«Ils n'avaient pas de brassard»
Les supporteurs affirment qu'ils ne savaient pas qu'il s'agissait de policiers : «Ils n'avaient pas de brassard et il ne se sont pas présentés comme étant de la police. On a vu notre copain se faire agresser, on l'a défendu». Une version contredite par les policiers : «Quand nous sommes arrivés dans la tribune, un individu a crié : c'est la police. Ils nous avaient clairement identifié. C'est à ce moment-là que le supporteur avec le fumigène a tenté de fuir. Nous avons alors décidé d'intervenir».
Les supporteurs invoquent également la panique pour expliquer leurs coups. Mais les images de la bande vidéo sont précises. «C'est de l'acharnement, c'est bestial» déclare le président du tribunal Roland Cuer. «Heureusement que les coups sont tombés sur le policier le plus corpulent, ajoute Me Mrabent pour la partie civile. Les séquelles auraient été bien pires s'il s'agissait d'un autre».
«Un regrettable malentendu»
De lourdes peines sont requises par le parquet : douze mois contre deux d'entre eux, déjà condamnés par le passé, et dix mois contre les trois autres, «dont la moitié pourrait être assorti du sursis» précise M. Pascal, substitut du procureur. «Si le premier supporteur s'était laissé faire, il n'y aurait eu aucun problème ajoute-t-il. Que se serait-il passé si les CRS n'étaient pas intervenus ? L'affaire aurait pu finir devant la cour d'assises».
Me Cornillon, qui défend les cinq prévenus, minimise les faits : «On est parti à la chasse au papillon avec un bazooka. Il s'agit d'un regrettable malentendu. Ces jeunes gens n'ont pas identifié les policiers. Dans leur esprit, ils ont défendu un supporteur qui se faisait agresser. Les coups ne sont pas excusables mais ne méritent pas de telles peines».
Le tribunal condamne deux des prévenus, David Courtinel et Thibaud Limbourg, à dix mois de prison, dont cinq avec sursis. Les trois autres écopent de six mois, dont trois avec sursis. Tous sont interdits d'enceinte sportive pour une durée de trois ans (1). Et ils devront verser 2 500 euros de dommages et intérêts aux policiers.

(1) Avec obligation de pointer au commissariat quand se joueront les matches de l'ASSE.

Besiktas - Chelsea FC - 09/12/2003

Source : L'EQUIPE

26 supporters arrêtés aprés les incidents qui ont fait 5 blessés.
La police a saisi 12 couteaux. Les dommages autour du stade ont été évalués à 45 000 euros.

Violence entre supporters de l'OM: quatre membres des "Winners" condamnés - 11/12/2003

Source : AFP

Quatre membres des "Winners", un club de supporters de l'Olympique de Marseille, ont été condamnés vendredi en correctionnelle à des peines allant jusqu'à quatre mois de prison ferme pour avoir agressé violemment des supporters d'un autre club phocéen après un match.

Rachid Zerroual, 33 ans, employé de l'OM chargé des relations avec les supporters et vice-président des "Winners", et Francis Ferracci, 25 ans, ont écopé devant le tribunal correctionnel de Marseille d'une peine de 12 mois de prison dont huit avec sursis.

Didier Mattera, 32 ans, président des "Winners", qui revendique 5.500 membres, a été condamné à 12 mois de prison dont neuf avec sursis.

Les trois supporteurs, en détention provisoire depuis le 29 octobre, ont été interdits de stade pendant trois ans.

Philippe Desroches, 22 ans, qui comparaissait libre, a été condamné à huit mois de sursis et frappé d'une interdiction de stade pendant deux ans.

Ils étaient poursuivis pour avoir frappé à coups de casque, de batte de base-ball ou de barre de fer des supporteurs des "MTP" (Marseille Trop Puissant), à l'issue du match de L1 de football contre Rennes, à la sortie du stade Vélodrome, le 28 octobre, après les affrontements qui ont opposé une quarantaine de membres de deux clubs de supporters marseillais.

Plusieurs plaintes avaient été déposés par des membres des MTP, dont deux femmes.

Les quatre membres des "Winners" ont en outre été condamnés à verser chacun 1.000 euros à quatre des victimes, et 10.000 euros solidairement à la cinquième victime, la plus gravement touchée.

Rachid Zerroual était également poursuivi pour "incitation à la haine et à la violence". Il avait proféré avant le match des menaces et des propos haineux, avec le micro d'une sono, contre les supporteurs des "MTP" ainsi que contre ceux des "Fanatics" et leur président, qui se trouvaient dans une tribune voisine.

Deux supporters des Fanatics, un autre groupe de supporters de la ville, comparaîtront pour leur part le 16 janvier pour des jets de fumigènes lors de la rencontre de Ligue des champions face au Real Madrid.

Peines d'emprisonnement pour des supporters - 10/12/2003

Source : BBC NEWS

Quatorze hooligans se sont vus infligé des peines de prison à la suite de violences survenues à l'occasion d'un derby.

Les quatorze fans, âgés de 22 à 39 ans, ont été condamné par la Cour de Luton à des peines allant de 7 à 15 mois de prison pour avoir pris part à des incidents lors d'un match de coupe Worthington, opposant les équipes de Watford et de Luton l'an passé.
Ils ont tous plaidés coupable pour ces violences.
Le jury a ainsi entendu que les fans rivaux avaient créés des bagarres à même le terrain de Vicarage Road, le 9 septembre 2002.
Les violences avaient débutés 10 minutes après le début du match qui avait du être interrompu pendant 15 minutes.
La police avait rétabli l'ordre, poussant les aissaillants à remonter dans leur tribune.
Le Juge Seddon Cripps a donc rendu sentence à l'encontre de 10 fans de Luton et 4 de Watford. Tous ont également reçus des interdictions de stades.
Les sentences sont les suivantes:

Alfonso A, 22 ans, de Luton, 7 mois
James B, 36 ans, de Luton, 8 mois
Andrew C, 38 ans, de Luton, 8 mois plus 1 mois
Dean E, 22 ans, de Luton, 15 mois
Francis G, 36 ans, de Luton, 11 mois
Benjamin H, 24 ans, de Luton, 11 mois
Neil H, 31 ans, de Hitchin, 9 mois
Dean I, 39 ans, de Luton, 10 mois
Brian J,32 ans, de Luton, 13 mois
James V, 23 ans, de Luton, 9 mois
Brian C, 23 ans, de Watford, 8 mois
Graham D, 24 ans, de Abbots Langley, 12 mois
Vincent O', 39 ans, de Watford, 12 mois
Richard S, 42 ans, de Watford, 13 mois

Arrestations après des violences dans un café - 11/12/2003

Source : BBC NEWS

Quatre personnes ont été arrêtées pour avoir créés des troubles entre supporters à Sheffield.
Ces personnes ont été arrêtées jeudi dans 3 maisons de Sheffield et 1 à Rotherham.
Cela fait suite aux incidents ayant opposés de fans de Sheffield Wednesday et Sheffield United dans le Yorkshire Pub, situé sur Charles Street, aux alentours de 22h45, le samedi 29 novembre.
Ces arrestations ont été effectués après consultation des images TV et où l'ont voyait les fans briser des vitres. Soixante policiers avaient du intervenir.
Ce soir-là, United jouait à domicile contre Preston, tandis que Wednesday jouait à QPR.

RSC Charleroi - Standard Liège - 12/12/2003

Source: forums + journaux

Pour la toute première année, aucune confrontation n'a eu lieu à l'occasion de ce derby classé à hauts risques.
A la fin de la rencontre, 52 fans du Standard seront arrêtés. Certains porteurs de cagoules, battes de baseball, briques etc...

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48 hooligans du Standard arrêtés après le match

CHARLEROI Les matches entre Charleroi et le Standard sont toujours placés sous très haute surveillance, vu la présence d'une poignée de supporters turbulents dans les deux camps. Vendredi soir, police locale carolorégienne et les agents de la réserve générale ont quadrillé le centre-ville afin d'éviter les débordements. Visiblement, les policiers de la réserve étaient fort occupés. Lorsque le témoin d'un vol d'autoradio, survenu près de la rue Tumelaire, a demandé leur aide, ces derniers ont répondu qu'ils «n'avaient pas que ça à faire»...

Dès la fin du match remporté par le Standard, quelques petites échauffourées ont eu lieu par-ci, par-là. La cavalerie a ainsi chargé sur le Boulevard Paul Janson pour calmer quelques énergumènes.

Et puis, ce fut le clash. Une centaine de hooligans du Standard se sont regroupés et ont pris la direction de la Samaritaine en empruntant la rue du Spinois. Certains étaient munis de battes de base-ball, d'autres de cagoules. Tous avaient visiblement l'intention de faire du grabuge. Les perturbateurs ont alors emprunté à pied la route de la Basse-Sambre, une nationale où les automobilistes peuvent rouler jusqu'à 90km/h. Avisés des faits, les policiers ont pris les hooligans en tenaille. Une moitié d'entre eux se sont enfuis en courant par des chemins dérobés. Par contre, les forces de l'ordre ont procédé à 46 arrestations administratives et deux judiciaires. Les cagoules et battes de base-ball ont été saisies. Ramenés au poste, les hooligans ont passé la nuit à l'hôtel de police et n'ont été relâchés que samedi matin.

FC Metz - Rennes - 13/12/2003

Source : AFP

Brève invasion du terrain après la fin de Metz-Rennes

Une vingtaine de supporteurs de Metz a pénétré brièvement sur la pelouse de Saint-Symphorien après la fin du match opposant leur équipe à Rennes (1-1), samedi, lors de la 18e journée de Ligue 1 de football.

L'incident est survenu alors que les joueurs étaient déjà rentrés aux vestiaires, à l'exception de quelques Messins restés saluer le public, malgré l'égalisation rennaise intervenue dans le temps additionnel (90+5).

Ces individus ont quitté la tribune Ouest et ont pénétré dans la surface de réparation. Ils ont vite été contenus par la sécurité, qui les a repoussés dans la tribune, où ils ont reçu la visite des CRS qui ont rétabli le calme.

Espanyol Barcelona - FC Barcelona - 13/12/2003

Source: As

Légers heurts en tribunes entre les locaux (rejoints par une 20aine d'Ultras Sur) et les forces de l'ordre.
Présence de seulement 70/80 Boixos Nois.

Bagarres dans le centre-ville de Belgrade - 13/12/2003

Source: Europa Press + forums

Un supporter a été blessé et 18 autres arrêtés lors d'incidents survenus dans le centre-ville de Belgrade, et ayant opposé des fans rivaux du Partizan et de l'Etoile Rouge.
D'autres bagarres ont éclatés dans le stade, opposant cette fois des supporters de l'Etoile Rouge et du Sartid Smederovo.

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En fait la bagarre c'était entre un groupe du Partizan et une section de l'Etoile Rouge qui se rendait au Marakana. Ils se sont croisé dans les rue de Belgrade.
Par contre ce n'est pas une fight entre les mecs de Sartid et les Delije de l'E.R., c'était un règlement de compte entre Delije dans le virage nord, apparament du à l'embrouille qui se serait passée en dehors du stade, et qui a été reglée en tribune, grosse bagarre.

Lille OSC - St Etienne - coupe de la ligue - 17/12/2003

Source : Le progrés

"4 supporters stéphanois interpellés hier aprés midi à l'entrée du stade de Lille ou se jouait la rencontre Lille-Asse en 8ème de finale de coupe de la ligue. Les supporters ont été placé en garde à vue pour avoir tenté de pénétrer dans l'enceinte du stade avec des fumigènes, ou parce qu'ils étaient en état d'ivresse, deux délits réprimés par la loi Alliot Marie relative à la sécurité des manifestations sportive."

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500 euros d'amendes et 6 mois d'interdictions de stade pour les 4 stéphanois

Lyon - Paris SG - 19/12/2003

Source : AFP + mail

Ligue 1 - Lyon-Paris-SG : 19 supporteurs du Paris-SG en garde à vue

Dix-neuf supporteurs du Paris-SG ont été interpellés et placés en garde à vue à l'hôtel de police de Lyon, vendredi soir, en marge du match avancé de la 19e journée de Ligue 1 de football Lyon-Paris-SG (1-1) au stade de Gerland, a-t-on appris de source policière. Treize d'entre eux, âgés entre 20 et 30 ans, ont été interpellés avant le match, vers 20H30, pour des échauffourées dans les environs du stade de Gerland à proximité d'un débit de boissons, selon la même source. Les six autres supporteurs ont été interpellés après le match, également pour des violences. Les gardes à vues devraient prendre fin samedi en fin de matinée, précise-t-on de même source. Par ailleurs, aucun incident n'a eu lieu dans l'enceinte du stade de Gerland.

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côté Parisien :

"3/4 d'heure avant le coup d'envoi, nous arrivons à +- 40 par la station de métro DEBOURG, derrière le bar des locaux, le NINKASI... A proximité du bar, nous lançons immédiatement une charge, notre groupe est très compact, nous recevons alors une pluie de projectiles qui ne stoppe pas notre progression. Une partie des Lyonnais présents prend la fuite, environ 25 locaux restent au contact. La bagarre est réglo, des Lyonnais se retrouvent à terre, mais les meneurs Parisiens évitent les lynchages... Un nouveau contact éclate 30 mètres plus loin, avec là encore un avantage certain pour nous! Les lyonnais tentent de revenir à chaque fois, mais sans succès...
5 bonnes minutes d'incidents, avant l'intervention des policiers. Au total, 13 parisiens et 6 Lyonnais arrétés."

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côté Lyonnais (message de udelyon) :

"faisant partie des lyonnais interpellés je peux confirmés :nous avons tous été relâchés (j'étais le dernier vers 20h30) mis a part 5 parigots .
je pense sincèrement qu'il vont manger: A C A B !!!

pour la fight de très bons contacts vous n'allez pas me trouver objectif mais je pense que nous avons pris l'avantage sur le déroulement ,si les meneurs du PSG on évité les lynchages ils n'ont pas du voir le mien car j'ai bien ramassé !!!

Bref de la violence comme on l'aime ca fait plaisir j'ai rarement autant donné c'était propre en hommage aux 5 lads parisiens:

A C A B !!!"

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Lyon-Paris-SG : prolongation de la garde à vue de cinq supporteurs du PSG

La garde à vue de cinq supporteurs du Paris-SG, interpellés vendredi soir en marge du match avancé de la 19e journée de Ligue 1 de football Lyon-Paris-SG, a été prolongée samedi de 24 heures tandis que 14 autres devaient être libérés, a-t-on appris auprès de la police.
A l'issue de leur garde à vue, ces cinq supporteurs, âgés de 18 à 31 ans, pourraient être déférés au parquet.
Treize personnes ont été interpellées avant le match à la suite d'échauffourées survenus dans les environs du stade de Gerland non loin d'un débit de boissons. Six autres l'ont été après le match, également pour des violences.

Renforcement policier pour le derby - 20/12/2003

Source : BBC NEWS

Les violences survenues à l'occasion du dernier derby opposant Southampton à Portsmouth ont obligé les forces de police à augmenter le nombre d'homme pour le match de ce dimanche.
La police du Hampshire a précisé que plus de 300 officiers seraient déployés pour contrôler les 32.000 supporters attendus au stade St Mary.
En plus de cet état de siège, beaucoup de pubs ont décidé de fermer leurs portes avant la rencontre (coup d'envoi à 12h30)

Trois supporters du PSG interpellés - 22/12/2003

Source : LE PARISIEN

TROIS SUPPORTERS du PSG ont été déférés hier après-midi au parquet de Lyon. Ils devraient être jugés aujourd'hui en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel pour violence sur personne dépositaire de l'autorité publique. Selon la police lyonnaise, les trois supporters sont soupçonnés d'avoir violemment battu un fonctionnaire des renseignements généraux, vendredi aux abords du stade de Gerland, en marge de la rencontre de Ligue 1 opposant l'Olympique lyonnais au Paris-Saint-Germain. La victime a eu plusieurs dents cassées ainsi que quatre côtes fracturées, et ses agresseurs lui ont volé son caméscope et son téléphone portable. L'incident a eu lieu avant le match. Des échauffourées éclatent lorsqu'un groupe de supporters parisiens tombe sur des homologues lyonnais. A ce moment-là, un fonctionnaire des RG filme les événements. Selon les enquêteurs, « les fans parisiens savaient qu'ils avaient affaire à un policier. Ils sont allés volontairement le frapper. » Les policiers disposent d'images de la scène. Dans un premier temps, treize jeunes ont été arrêtés. Trois seulement sont déférés, « mais il y aura sûrement des interpellations supplémentaires car des témoignages mettent en cause d'autres supporters », indique un policier. « Ces jeunes agissent en marge des supporters encadrés, explique le directeur départemental adjoint de la sécurité publique. Ils viennent par leurs propres moyens, en voiture ou en train. Ils appellent même avec leur portable des supporters lyonnais pour se castagner. » Au total, lors de cette soirée, 22 supporters âgés de 18 à 30 ans ont été interpellés. Dix-neuf d'entre eux ont été relâchés à l'issue de leur garde à vue.
« Ce phénomène se généralise »
Cette violence est loin d'être exceptionnelle malgré les mesures prises par les autorités lors de ces rencontres dites à risques. Le 12 décembre, quatre supporters marseillais ont été condamnés à des peines allant jusqu'à quatre mois de prison ferme. Le 28 octobre, lors d'un match contre Rennes, ils s'en étaient pris à d'autres supporters marseillais, les frappant avec des battes de base-ball et des barres de fer. Fin novembre, ce sont six jeunes fans de Saint-Etienne qui ont été condamnés pour des violences commises en marge d'un match de foot. Selon Williams Nuytens, universitaire, auteur de publications sur la violence dans le foot, « ce phénomène se généralise et l'on peut observer ce type de comportement lors de n'importe quel match. Cela ne veut pas dire que c'est systématique car les provocations entre supporters ne dégénèrent pas toujours en affrontements ».

Le FC Barcelone ne fera finalement pas appel de la décision de fermer le Camp Nou pour deux rencontres-24/12/2003

Source : AP

Le FC Barcelone est revenu sur sa décision de faire appel de la décision prise par la Fédération espagnole de football de fermer son stade du Camp Nou pour deux matches, selon des informations de presse diffusées mercredi.

Le président de la Fédération Angel Maria Villar s'est déclaré satisfait de cette décision et s'attend à ce que Barcelone se soumette "très rapidement" à la sanction prise à la suite d'incidents survenus le 23 novembre 2002 lors d'une rencontre de championnat entre le Barça et le Real Madrid.

Néanmoins, le club catalan espère toujours que son stade d'une capacité de 98.000 places échappera à la fermeture.

Dans un communiqué diffusé sur son site web, le FC Barcelone a annoncé son intention de demander à la Fédération espagnole de renoncer à la fermeture du Camp Nou, une première dans l'histoire du club.

Le Barça met en avant un changement de règles de la Fédération survenu en juillet qui autorise les clubs confrontés pour la première fois à des incidents à ne se voir appliquer qu'une amende. Il souhaiterait que la sanction soit appliquée rétroactivement, ce qui porterait le montant de l'amende dont il a également écopé, de 4.000 à 6.000 euros et lui permettrait d'éviter la fermeture du Camp Nou.

Le match de championnat entre le club et le Real Madrid le 23 novembre 2002 avait été suspendu pendant 13 minutes, après des jets de divers projectiles lancés par des spectateurs sur le milieu de terrain du Real Luis Figo, ancien joueur du FC Barcelone.

Mexico : Pumas - Monterrey - 12/12/2004

Source : Corbis

Southampton - Charlton Athletic - 07/11/2003

Source : Presse