Saison 06/07 - Février

L'Allemagne retrouve ses hooligans - 28/02/2007

Source : Libération

Disparu dans les années 90, le phénomène réapparaît dans l'ancienne RDA.

Le week-end a été calme dans les stades saxons. Et pour cause. La semaine précédente, 60 matchs avaient été annulés sous la pression de la Fédération allemande de football, la DFB, après la violence des dérapages du 11 février : 800 hooligans du club amateur est-allemand Lokomotiv Leipzig avaient, ce jour-là, mis en fuite 300 policiers et blessé 40 personnes, à la sortie d'un match de cinquième division face à l'équipe de réserve de la petite ville d'Aue. Le hooliganisme, qui avait entaché la réputation des clubs ouest-allemands de première division dans les années 90, renaît donc dans l'est du pays.
«C'est un miracle qu'il n'y ait pas eu de morts», assure le porte-parole de la police à Leipzig en évoquant les débordements de violence. Dès la fin du match, une pluie de pavés et de bouteilles s'abat sur les forces de l'ordre, alors que les 300 policiers présents pour cette rencontre à haut risque (les deux clubs étaient déjà ennemis du temps de la RDA) tentent d'escorter les supporteurs d'Aue vers l'extérieur du stade. Les crânes rasés de Leipzig, visiblement bien organisés, se lancent à la poursuite des policiers isolés, tabassant systématiquement ceux qui tombent à terre. Deux membres des forces de l'ordre ne doivent leur survie qu'à l'arrivée de véhicules banalisés.

«Travail social».

Choquées, les autorités allemandes optent pour une réponse radicale. Les prochains matchs dans la région se dérouleront sous haute surveillance : lors de chaque rencontre à risque, un procureur sera sur place pour délivrer des mandats d'arrêt, si nécessaire. Le Lokomotiv Leipzig est suspendu jusqu'à nouvel ordre, en mars prochain. Surtout, la fédération régionale décide l'annulation, les 17 et 18 février, de 60 rencontres de clubs amateurs en Saxe. Jamais une suspension d'une telle ampleur n'avait été décidée dans l'histoire du football allemand. «Nous ne pouvons pas permettre que de tels incidents donnent l'impression que tout le football allemand est contaminé», insiste le président de la DFB, Theo Zwanziger.
«Annuler les matchs ne résout rien, rétorque Günter Pilz, sociologue à l'université de Hanovre et spécialiste du hooliganisme. Cela ne fait pas sortir la violence de la tête des fans. On ne peut obtenir de succès qu'en soutenant financièrement le travail social effectué par les fans-clubs.»
L'évolution des quinze dernières années à l'échelle du championnat allemand semble lui donner raison. Le pays, épargné par la violence pendant la Coupe du monde, pensait même en avoir plus ou moins fini avec le hooliganisme. Les clubs de première division, pourris eux aussi par la violence jusqu'au début des années 90, ont, depuis, mis en place un solide travail de prévention qui a porté ses fruits. Le club Hamburger SV, par exemple, comptait entre 300 et 400 supporteurs violents dans les années 80. Ils ne sont plus aujourd'hui qu'une trentaine. Les autres, la quarantaine bedonnante, fréquentent aujourd'hui les stades avec leurs rejetons. Débarrassés de leurs hooligans, les stades de première division ont d'ailleurs connu un regain de fréquentation.
S'inspirant de l'exemple de la Grande-Bretagne et des Pays-Bas, l'Allemagne a mis en place, en 1992, une cellule policière centrale chargée de collecter les informations sur les supporteurs violents, la ZIS. Près de 10 000 noms figurent au fichier ; un sur dix habite la Saxe ; et 150 fans du Lokomotiv Leipzig figurent même au fichier C, qui regroupe les supporteurs les plus dangereux ; 300 autres sont jugés «adeptes de la violence».
Le hooliganisme, phénomène ouest-allemand avant la chute du Mur, s'est déplacé et a changé de visage après la réunification. Le hooligan nouvelle génération ne ressemble guère au stéréotype importé de Grande-Bretagne dans les années 80 : sportif et à jeun dans la bagarre, il soigne son allure et s'affiche drapé dans des vêtements de marque. Adepte des sports de combat, il ne s'intéresse que mollement au foot. Comme il ne soutient aucun club en particulier, il se fait surtout remarquer lors des matchs de l'équipe d'Allemagne à l'étranger, de préférence en Pologne ou en République tchèque. Les bandes de hooligans allemands se donnent alors rendez-vous avec l'«ennemi» en forêt ou dans les zones industrielles désertées plutôt que dans les centres-ville.

«Dinosaures».

A Berlin-Est, Dresde ou Leipzig, sinistrés par le chômage, les choses sont différentes. «Les hooligans est-allemands sont en quelque sorte des dinosaures», estime Michael Gabriel, membre de la cellule de coordination des travailleurs sociaux chargés de lutter contre le phénomène. «Les violents, ce sont avant tout des jeunes sans avenir qui expriment leur frustration dans les stades», insiste Günter Pilz. Semaine après semaine, ils se déchaînent à l'issue de matchs amateurs du FC Union à Berlin-Est, du Dynamo de Dresde ou du Lokomotiv Leipzig.
Les clubs, soucieux de rompre le cercle vicieux de la violence, réclament plus de moyens pour lutter contre les hooligans. En vain. Les municipalités de l'Est, souvent au bord de la faillite, n'ont guère les moyens de leur porter secours. Et les règles de la DFB sont claires : la fédération n'accorde de fonds qu'aux municipalités qui investissent, elles aussi, pour lutter contre la violence.

Suisse: Du travail pour les agents anti-hooligans - 28/02/2007

Source : TDG

La police mène actuellement des opérations pour affûter ses armes dans la lutte contre le hooliganisme lors des manifestations sportives. Dans le cadre des contrôles effectués hier soir lors du match de play-off de hockey sur glace de LNA entre Ge/Servette et Berne, les agents annoncent qu'ils ont saisi une douzaine d'engins pyrotechniques dans le coffre de la voiture de supporters bernois. Par ailleurs, Ils ont interpellé et empêché l'accès à l'enceinte sportive à un autre supporter bernois, sous le coup d'une interdiction de patinoire.

Pendant la rencontre, une altercation s'est produite par ailleurs entre des supporters bernois décidés à envahir la surface de jeu, et les agents de sécurité qui les en ont empêchés. Une interdiction de pénétrer dans le périmètre des Vernets a été prononcée contre le supporter bernois de 31 ans, à l'origine de la bagarre, ayant commis une agression sur un agent de sécurité. Enfin, un dernier supporter, genevois celui-là, a également été appréhendé pour avoir proféré des insultes, accompagnées de provocations et de gestes obscènes. Le Ge/Servette HC va également solliciter contre lui une interdiction de patinoire.

Saint-Étienne - Lyon: Aulas calme le jeu - 28/02/2007

Source : Football365

A trois jours du derby contre Saint-Etienne, Jean-Michel Aulas a lancé un appel au calme mercredi. Une sortie étonnante du président lyonnais après la bataille livrée pour reculer la date de la rencontre.

Tour à tour pompier ou pyromane, Jean-Michel Aulas a déployé mercredi sa panoplie de combattant du feu pour apaiser le climat du prochain Saint-Étienne - Lyon. « Faites en sorte que ce derby soit une fête, l’un des plus beaux d’Europe et il va l’être, tout le monde ainsi y trouvera son compte, a lancé le président lyonnais sur le site officiel de l’OL, à l’adresse des supporters des deux équipes. Quelques jours avant, le président lyonnais y était pourtant allé de sa complainte sur le mauvais traitement réservé à son club. En cause : les dates et horaires de la rencontre, fixée samedi à 17h10 alors que les Rhodaniens souhaitaient bénéficier d’une journée supplémentaire de repos afin de préparer au mieux son huitième de finale retour de Ligue des Champions contre l’AS Rome (mardi 6 mars).

Pour protester, Jean-Michel Aulas menaçait même d’envoyer une équipe « bis » chez son voisin forézien. Il accusait également les dirigeants de l’ASSE d’avoir provoqué cette situation : « C'est la prime aux pleureurs qui est exaucée, comme d'habitude en France. Je regrette ce manque de fair-play ». Maître dans l’art du contre-pied, Aulas a effectué mercredi un virage à 180°. Et s’est livré à un inattendu numéro de brosse à reluire trois jours avant le match. « Saint-Étienne va jouer pour revenir sur le podium, l’Olympique Lyonnais est en tête c’est donc un honneur de jouer contre une très bonne équipe de l’ASSE, a assuré le président lyonnais. Les Stéphanois se trouvent dans les cinq premiers de Ligue 1, ils peuvent être aussi bientôt dans les trois premiers, cela ne me déplait absolument pas qu’ils occupent ces positions. » Sans manquer de préciser qu’il d’autant plus heureux que « plus Saint-Étienne sera dans le haut du classement, dans les années qui viennent, plus Lyon le restera et sera aussi complètement motivé pour le demeurer. »

Echaudé par cette nouvelle affaire, née quelques semaines après l’imbroglio du transfert avorté de Frédéric Piquionne, Saint-Étienne est également décidé à jouer l’apaisement. Après avoir appelé ses fans à « être plus intelligents que le président de l’OL, en gardant calme, sang-froid et sérénité pour ce derby », les Verts ne veulent pas « ramener ce contexte sur le terrain, dixit leur capitaine Julien Sablé. Beaucoup d’entraîneurs de Ligue 1 et de Ligue 2 aimeraient diriger une équipe ‘‘ bis ’’ de Lyon. Quelle que soit sa feuille de match, Lyon alignera une équipe performante. » Si le feu semble éteint, les braises continueront de couver au moins jusqu’à samedi.

FC Utrecht n’est pas le bienvenu à Sedan – 28/02/2007

Source : RTV Utrecht

L’ancien club du défunt David di Tommaso joue contre le Paris Saint Germain samedi prochain, une rencontre jugée à très hauts risques. L’année dernière un groupe de supporters d’Utrecht a fait le voyage jusqu’à Sedan et a provoqué des incidents contre les supporters de Reims. Le club de Sedan a fait savoir, par courrier, qu’aucun supporter d’Utrecht ne serait accepté au stade Dugaugez.

Blatter: le stade de Lens ne devrait pas accueillir la Ligue des Champions - 28/02/2007

Source : AFP

Le président de la Fifa Sepp Blatter a expliqué mercredi "ne pas comprendre" comment l'UEFA pouvait accepter que le stade Felix-Bollaert de Lens puisse accueillir des matches de Ligue des Champions.

S'exprimant à Londres, Blatter était interrogé sur les incidents survenus lors du match de Ligue des Champions entre Manchester United et Lille, dans la tribune des supporteurs anglais qui accusent la police française de brutalité.

"Je ne peux pas comprendre que ceux qui organisent la Ligue des Champions acceptent des stades comme celui de Lens pour un tel match", a déclaré Blatter.

"Nous avions eu les mêmes problèmes durant le Mondial-1998 à Lens et à Saint-Etienne. Ils ne veulent pas enlever les barrières, mais des matches de Ligue des Champions ne devraient pas pouvoir être joués dans un tel stade", a jugé Blatter.

L'UEFA doit examiner le 22 mars ces incidents qui ont suscité de très vives critiques en Grande-Bretagne.

La tribune était surpeuplée, provoquant un mouvement de panique. Les Anglais ont reproché aux forces de l'ordre françaises d'avoir fermé la barrière, empêchant les spectateurs de quitter la tribune, et d'avoir jeté des grenades lacrymogènes, accentuant la panique.

Cet incident a réveillé en Grande-Bretagne le souvenir du drame de Hillsborough, qui avait causé en 1989 la mort d'une centaine de personnes, dont de nombreuses avaient été écrasées contre une barrière de sûreté, ou piétinées dans le mouvement de foule.

Depuis cette tragédie, il n'y a plus de barrière dans les stades anglais.

Des tifosi de l’Inter condamnés – 28/02/2007

Source : Corriere della Sera

Les premiers tifosi condamnés suite au décret « tolérance zéro », entré en vigueur le 8 février après les incidents de Catane, sont de l’Inter Milan. Au nombre de trois, ils avaient été arrêtés en déplacement au Chievo Vérone en possession de pétards, de billes d’aciers, de tubes en PVC de 50 cm de long et un drapeau à croix celtique. La juge Valeria Ardito a condamné à huit mois de prison Simone M., 24 ans, et à quatre mois Carlo C.B., 21 ans et Marco C., 23 ans.

RIVER ET SES SUPPORTERS - 28/02/2007

Source : France Football

Les luttes de pouvoir sont bien souvent les plus sanglantes. Ce ne sont pas les barras bravas - nom donné au groupe officiel de supporters d'un club en Argentine - de River Plate qui le contrediront. Quelques minutes avant le premier match de la saison des millonarios, deux groupes se sont affrontés au sein même du club. Des coups de feux et de couteaux ont émaillé une journée pourtant bien ensoleillée. Bilan : trois blessés, cinq matchs de suspension pour le stade Monumental et une enquête chaque jour plus embarassante pour les dirigeants de River Plate. En Argentine, les barras bravas de tous les clubs ont un pouvoir énorme. Le système est simple : les dirigeants, les entraîneurs et les joueurs sont obligés de leur verser, mensuellement, un ''impôt révolutionnaire''. Ces clubs de supporters ont également la mainmise sur une partie des bénéfices des entrées au stade, sur l'organisation du service de sécurité du club et sur un pourcentage des transferts des joueurs. La bataille interne des supporters de River Plate est due, selon les enquêteurs, à la convoitise de la commission de 60 000 pesos (15 000 euros) provenant du transfert de Gonzalo Higuain au Real Madrid. Cinq des principaux membres de cette barra brava ont été exclus du club, mais les liens entre ces supporters et les dirigeants inquiètent de plus en plus les enquêteurs argentins, qui commencent à refuser le pouvoir immense conféré aux supporters dans tous les clubs du pays.


Incidents le 18 février dernier à Buenos Aires.

Real Betis - Sevilla FC - Coupe - 28/02/2007

Source : Europa Press + L'Equipe + AFP

Plus de 200 supporters du Seville FC ont provoqués des incidents cet après-midi en ville, et plus précisément dans la rue Luis de Morales où une soixantaine de conteneurs à poubelles et des cabines téléphoniques ont été incendiées à informé l’agence Europa Press. La police nationale est intervenue, ainsi que des pompiers avec l’aide d’une auto-pompe. Un jeune a été mis en garde à vue.

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Betis - FC Séville suspendu

Le sulfureux derby entre le Betis et le FC Séville en quart de finale retour de la Coupe du Roi a été suspendu mercredi soir en seconde période et finalement reporté à une date ultérieure.

Alors que Frédéric Kanouté avait ouvert le score pour le FC Séville à la 57e minute, le coach andalou Juande Ramos s'est écroulé au bord du terrain trois minutes plus tard. Il aurait reçu une bouteille en plastique sur la tête. Inconscient pendant quelques minutes, il aurait toutefois retrouvé sa tête une fois dans l'ambulance. A l'aller les deux équipes s'étaient neutralisées (0-0).

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La violence a de nouveau frappé la Coupe d'Espagne de football, mercredi, et le derby Betis Séville-FC Séville a été définitivement arrêté suite à des violences à l'intérieur et en dehors du stade, l'entraîneur de Séville ayant été blessé perdant même connaissance.

Selon les médias espagnols, Juande Ramos, l'entraîneur du FC Séville, avait été touché par une bouteille lancée des tribunes alors qu'il avait quitté le banc de touche pour aller fêter le but de Frédéric Kanoute. Il a été soigné dans une ambulance près de la pelouse sous le regard consterné de son vis-à-vis du Betis, le Français Luis Fernandez. Selon les mêmes sources, Ramos a momentanément perdu connaissance et a été transporté sur une civière.

Selon Adolfo Munoz, un membre du service médical du FC Séville, Ramos serait gardé en observation pour la nuit dans une clinique de la ville.

Le secrétaire d'Etat aux Sports, Jaime Lissavetzky, a annoncé qu'il avait contacté le ministère de l'Intérieur et demanderait une "réunion d'urgence" vendredi de la commission anti-violence pour prendre des mesures appropriées.

"Nous devons traiter (la violence) de la manière le plus forte possible", a affirmé M. Lissavetzky en faisant allusion aux mesures de sécurité draconiennes prises par le gouvernement italien après la mort d'un policier à Catane, en marge d'un match du Calcio.

Les images de la télévision ont par ailleurs confirmé l'information donnée un peu plus tôt par le site internet du quotidien sportif As selon laquelle 200 à 300 supporteurs du FC Séville, qui n'ont pas pu entrer dans le stade Ruiz de Lopera, ont commencé à brûler des poubelles et à casser du mobilier public. Ils ont même poussé de grosses bennes en travers de la route menant au stade.

Le FC Séville, tenu en échec 0 à 0 à domicile à l'aller, menait 1 à 0 au moment de l'interruption grâce à un but de Kanoute, marqué à la 57e minute.

Après une demi-heure de suspension, l'arbitre Undiano Mallenco a décidé d'arrêter définitivement la rencontre alors que le public commençait à quitter les tribunes.

Lors de la dernière saison, le quart de finale de la Coupe du roi entre Valence et le Deportivo La Corogne avait déjà été interrompu après qu'un arbitre assistant eut été touché à la tête par un objet lancé des tribunes.

Le Championnat d'Espagne n'avait pas non plus été épargné par la violence au cours de la saison écoulée. Le gardien du FC Séville, Andres Palop, avait été touché à la tête par une canette lancée des tribunes du stade Vicente Calderon de l'Athletico Madrid.

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Plus tard, des supporters de Betis ont jeté des pierres sur l'ambulance qui pénétrait dans le stade pour secourir M. Ramos, ce qui a provoqué une bagarre avec la police qui tentait de dégager la zone pour faciliter le passage des secours.

Royal Antwerp - Standard - Coupe - 27/02/2007

Source : 7SUR7

Heurts entre supporters et policiers après le match Antwerp-Standard

Un noyau dur de supporters de football a été trop loin mercredi soir à la suite du match de Coupe de Belgique, entre Antwerp et le Standard. Des incidents se sont produits aussi bien à Anvers, où se déroulait le match, que sur la route du retour des supporters du Standard en direction de Liège. Seize supporters du club d'Anvers se sont déjà vu interdire l'accès au stade durant trois mois suite à des bagarres au stade de Bosuil.

Une confrontation a eu lieu après le match entre le noyau dur et la police. Un groupe de supporters s'est posté sur le carrefour entre la Ter Heydelaan et la Alfons Schneiderlaan, à Deurne, à hauteur du café des supporters, 'The Great Old.' Lorsque la colonne de bus du Standard est passée par là, les supporters anversois l'ont bombardée de pierres. Deux véhicules ont été fortement abîmés.

La police est intervenue et a mis en route un canon à eau pour calmer les supporters. D'après la police locale d'Anvers, il n'y a pas eu de blessés. Les seize personnes impliquées ont été arrêtées par la police jusqu'à ce qu'elles se calment. Leur interdiction d'accès au stade sera peut-être encore prolongée, selon la police. La société de bus 'Tempo Cars' a déjà porté plainte.

Plus tard dans la soirée, juste avant minuit, un bus du Standard s'est encore fait arrêter sur l'autoroute E313, en direction de Hasselt, à hauteur de Geel-oost. Ils sont rentrés dans une rage folle contre leur bus si bien que les vitres se sont brisées. Le bris de verre est tombé sur les voitures qui étaient à hauteur du bus. Le nombre de voitures endommagées n'est pas connu. La police de Liège, qui accompagnait le bus, a fait sortir les responsables.

NAC - PSV - 28/02/2007

Source : BN/De Stem

Trois arrestations lors du match NAC - PSV.

Lors du match NAC-PSV, la police a arrêté hier soir trois hommes âgés respectivement de 42, 49 et 37 ans. Le premier a menacé les agents de police qui tentaient de l'arrêter alors qu'il utilisait frauduleusement une carte de supporters. Le deux autres individus ont utilisé des artifices et des fumigènes dans le stade.

VFB Stuttgart - Hertha BSC - 23/02/2007

Source: DPA

Des Hooligans s'allient.

Les hooligans des deux clubs de Stuttgart et du Hertha se sont alliés pour provoqués des troubles. La police a procédé a l’arrestation de 40 individus.

Talleres de Cordoba - Los Andes - 15/02/2007

Source: http://www.pagina12.com.ar/

Ce match, disputé à El Porvenir, verra les deux bandes rivales de barras bravas s'affronter sur l'avenue Yrigoyen, près du stade de Gerli.
Cette bagarre rangée fera une 50aine de blessés parmi les supporters dont un qui le sera par arme à feu.

Deux supporters de Godoy Cruz interpellés pour meutre - 15/02/2007

Source : Earchivo.mendoza

Un des leaders des barras bravas de Godoy Cruz et une autre personne ont été interpellé dans le cadre du meurtre d'un jeune de 15 ans, Lucas Manuel Quiroga. Les faits se sont déroulés mardi 13 février. Un autre mineur, âgé de 12 ans, est toujours hospitalisé à Humberto Notti. Une véritable embuscade a été tendue dans le quartier "Chile".

Diego Aguilera, frère de Daniel Aguilera, connu comme le chef des barras bravas de Godoy Cruz, a été interpellé. Il est fortement soupçonné dans l'homicide du jeune supporter. Vers minuit, deux hommes casqués en moto ont fait feu sur les deux mineurs. Quiroga est mort à l'hôpital Central. Son compère est toujours en soin intensif.

Les supporters de foot argentins, se livrent une véritable guerre de territoire, bien au delà du simple cadre sportif.


Supporters de Godoy Cruz, lors de la rencontre contre Arsenal, en août 2006

AS Nancy - Toulouse FC - 03/02/2007

Source: mail - CR local

Environ 40 (Toulousains+qq unitées parisiennes) contre une 40ene de (Nancy+qq unitées allemandes) presente au contact dans un gros quartier Nancy
Mauvaise organisation coté Nancy , et malheureusement une rapide defaite
2 blessés legé de notre coté dont un par une matraque telescopique....
1ere ligne ' toulousaine' gonflé par les parisiens scandant > suceur de nicois , hooligan PSG
1ere ligne nanceiene loin d etre au complet lors des debats...

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Source: CR visiteur

Rencontre extra-sportive entre 40 locaux (Nancy CF + Sarrebruck) et un nombre équivalent de visiteurs (Indeps et ultras toulousains, accompagnés exceptionnellement de quelques IDS parisiens). Affrontement dans les règles de l'art, aucune arme, pas de téléscopique chez nous comme annoncé. Les visiteurs d'un soir prennent rapidement l'avantage et poursuivent les locaux sur plusieurs centaines de mètres.
A noter, les nancéiens ont assurés plus tard leurs hôtes qu'ils pourraient gagner le stade sans fourberie de leur part.