Saison 09/10 - Février

Incidents de Monaco-Nice : pourquoi tout a basculé - 01/02/2010

Source : Nice Matin (merci à l'expéditeur)





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Supporters-direction : la cassure

En marge de ces événements, une chose est certaine : il existe aujourd’hui une vraie cassure entre les supporters et la direction du club niçois.
« La cassure est certaine, dire le contraire ce serait se voiler la face, explique André Bloch. Et je suis plutôt pessimiste pour la suite. Les efforts faits au mercato ne suffiront pas à l’atténuer.

La communication est compliquée. Surtout quand il y a prise de parole après, ça entraîne des difficultés ». Le responsable de la sécurité fait ici allusion aux propos musclés de Gilbert Stellardo, le président du Gym, à l’issue des incidents. Des propos que ne regrette pas le président du Gym, qui poursuivait hier : « On subit une situation qui n’est pas la nôtre. On a pris le club, l’équipe était 19e. On recrute et on se fait insulter. Après, on veut nous donner des leçons alors qu’on n’a pas à en recevoir. En plus, ces actes font fuir les spectateurs. Nous avons besoin de remplir notre stade ! Sans oublier que tout ça donne une mauvaise image du club, de la ville. » Comme on peut le constater, la cassure est aujourd’hui considérable. Irréparable ?

Le responsable de la sécurité du club niçois explique - 01/02/2010

Source : planete-asm.fr

Alors que le monde du football français est encore sous le choc des événements qui se sont déroulés au stade Louis II samedi, André Bloch, le responsable de la sécurité du club niçois donne ses explications via Nice-Matin. Selon lui, deux faits sont à l'origine des débordements : le chambrage de Nenê et une rumeur concernant le changement d’horaire des trains pour ramener les supporters rouges et noirs à Nice (alors que finalement, les trains prévus ont tous circulé).

« Tout avait été bien organisé. Pensé en collaboration avec Monaco. Un premier cordon de 54 stadiers niçois, un deuxième constitué par les Monégasques, puis les policiers encadraient les supporters du Gym. Mais deux événements sont intervenus. Le premier incident a commencé à mettre le feu aux poudres. Mais si une dizaine de personnes sont descendues sur la piste, nous les avons canalisées. Par contre, à 21 heures, les gens ont pris conscience qu’il leur fallait quitter la tribune pour se rendre à la gare afin de ne pas rater le train de 21h13. Les supporters sont montés en haut des tribunes et se sont trouvés face aux CRS. Des insultes ont fusé. Et deux bombes de gaz lacrymogènes ont été utilisées par les forces de l’ordre. Un mouvement de foule s’en est suivi au cours duquel une femme enceinte a été écrasée et un homme cardiaque a dû être secouru. »

André Bloch fustige les forces de l'ordre en expliqant que sans gazage les incidents ne se seraient pas produits, mais n'excuse en rien les « hooligans » : « Ensuite, tout est parti en vrille et ce n’est pas défendable. Mais s’il n’y a pas gazage, il n’y a pas d’incident. Même si, je le répète, trouver les casseurs est indispensable. »

Le responsable de la sécurité des Aiglons conclut tout de même en mettant hors de cause le club niçois : « Les incidents se sont déroulés après la rencontre. Cela n’a plus rien à voir avec le sport. C’est la justice civile qui doit être concernée, par la justice sportive. »

Argentine : Trois supporters de Newell's blessés par balles - 04/02/2010

Source : RTBF

Trois supporters du club argentin des Newell's Old Boys ont été blessés par balles, dont un gravement, après l'attaque de leur autobus jeudi, a-t-on appris auprès d'une source policière.

Les trois victimes sont soignées pour des "blessures par armes à feu", selon un médecin de l'hôpital régional où elles ont été admises. "L'une a été touchée à l'abdomen, une autre a reçu une balle dans le cou qui est sortie par un oeil et la troisième, un mineur de 14 ans, a reçu trois balles dans le crâne et se trouve dans l'état le plus grave", a précisé le médecin.

L'attaque s'est produite jeudi matin sur une route proche de Las Flores, à 250 km au nord de Buenos Aires, quand l'autobus, qui roulait en direction de Rosario, a dû s'arrêter en raison d'une panne, selon une source policière.

Les auteurs n'ont pas été identifiés par la police mais selon des médias locaux, il pourrait s'agir d'une dispute entre supporteurs du club. Ce genre d'attaque entre groupes de supporteurs est en effet fréquent en Argentine.

L'autobus revenait de Buenos Aires, où l'équipe de Rosario s'était inclinée 2 à 1 contre Huracan, mercredi lors de la 2-ème journée du Tournoi de clôture.

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Source : L'Equipe

Un jeune supporter de 14 ans décède

Un jeune supporter du club argentin des Newell's Old Boys, âgé de 14 ans, est mort, suite à une attaque à mains armées perpétrée contre le bus dans lequel il se trouvait et qui rentrait à Rosario après le match de Championnat face à Huracan (1-2), a annoncé jeudi la police locale. Le jeune homme a été touché de trois balles dans la tête tandis que deux autres hommes ont également été blessés mais sont désormais hors de danger, ont précisé les forces de l'ordre. D'après les premiers indices et les informations rapportées par les médias argentins, l'attaque serait l'oeuvre d'un groupe de supporters rivaux du même club. La police, qui lutte face à la recrudescence d'évènements du même type devenus de plus en plus courants, est toujours à la recherche des suspects.

Nice : communiqué BSN 85 - 04/02/2010

Source: Mail (merci à l'expéditeur)

Nous ne sommes pas adeptes du double langage. Il nous faut donc rétablir la vérité sur les faits qui se sont déroulés après le match à Monaco.

Nous condamnons fermement les actes de jeunes supporters qui ont profité de la confusion pour perpétrer les infractions que la justice qualifiera. Pour autant, nous n’acceptons pas l’opprobre jeté sur tous les supporters niçois parce qu’elle procède de la désinformation et de la manipulation médiatique. Nous, Brigade Sud Nice 1985 souhaitons donc revenir sur les incidents qui ont eu lieu lors de la rencontre Monaco – Nice du 30 janvier dernier. Il est dit, sur les divers médias, que les spectateurs visiteurs, en l’occurrence les Niçois ont envahi la pelouse suite à la mauvaise série que réalise leur équipe, ponctuée par une défaite en Principauté ce soir là. Il est dit encore çà et là, sur les chaînes de télévision, sur les ondes de radio ainsi que dans les journaux, qu’une jeune femme enceinte aurait été blessée tout comme une personne d’un certain âge ayant eu un malaise cardiaque suite aux violences dans la tribune. Ces accusations ont été prononcées parce qu’aucun travail d’investigation n’a été fait. Le conditionnel comme la dignité n’étaient pas de sortie lors de la rédaction des articles ou des montages vidéo. Pourtant la profession de journaliste est régie comme d’autres, par un code de déontologie, et comporte des droits et des devoirs et par exemple : « s’interdire le plagiat, la calomnie, la diffamation et les accusations sans fondement, ainsi que de recevoir un quelconque avantage en raison de la publication ou de la suppression d’une information ».

Sans être candides, il nous semblait que les diverses mises au point antérieures avec les journalistes avaient servi un minimum, que les articles allaient être écrits avec une plume moins sensationnaliste… Que nenni !!! Nous sommes très vite devenus le sujet chaud, le filon vendeur. Certains se sont fait une priorité de relayer des « informations » plus que fallacieuses pour servir leurs intérêts et ainsi masquer les problèmes qu’ils ont créé et qui règnent au sein de leur organisation. Des personnes occupant des postes à responsabilité, aux paroles surveillées et diffusées, comme Monsieur Frédéric Thiriez (président de la LFP) ou Monsieur Gilbert Stellardo (président de l’OGC Nice), se sont présentées devant les médias pour tourner cet épisode en leur faveur. Une histoire, selon qui la raconte et qui l’écoute, peut avoir bien des formes et des déroulements différents ; et cela, les deux personnes précédemment citées l’ont bien compris et l’ont utilisé à merveille. Personne n’allait parler de la sortie du président de l’OGC Nice et de son sourire narquois, ni des spectateurs malmenés dans les tribunes, victimes de la piètre organisation policière des forces françaises et de leurs lacunes de communication avec leurs homologues monégasques - qui eux auront été très professionnels.

Alors pour tout ça, nous tenons à informer réellement de ce qui s’est passé en ce samedi 30 janvier 2010. La soirée s’est déroulée comme ceci :

– Les joueurs et les officiels entrent sur le terrain, le speaker monégasque annonce alors qu’une minute de silence va être observée suite au décès de la mère du monégasque Moussa Maazou. Minute de silence respectée « à l’italienne », puisque 60 secondes d’applaudissements allaient raisonner du secteur visiteur. – Les tribunes s’animent et s’illuminent sans pour autant que les engins pyrotechniques ne soient jetés sur le terrain. Les stadiers et pompiers monégasques récupérant les fumigènes sans problème de main à main d’avec les supporters niçois. – Le score est ouvert pour Monaco, puis Nice marque à son tour avant de prendre un deuxième but. Nénê l’attaquant monégasque va aggraver l’écart en inscrivant un dernier but pour son équipe avant de le célébrer de manière peu intelligente. En effet, une fois le cuir au fond des filets, Nénê enjambe les panneaux publicitaires bordant le terrain, et se précipite vers le virage des visiteurs afin de chambrer l’adversaire comme il est de bon ton dans un derby. Le jeu du chambreur-chambré paraît assez gentillet, lorsqu’un autre monégasque vient à son tour montrer sa joie puis sa bêtise en provoquant les spectateurs niçois. Nénê, ne voulant pas être le moins benêt de ce binôme, va surenchérir et faire quelques gestes regrettables. Certains dans la tribune se sentant insultés vont accéder aux abords du terrain ; le premier cordon de stadiers niçois, aidés par leurs collègues monégasques, va très vite calmer les quelques individus chauffés à blanc. Tous regagnent leur place sans aucune violence ni heurt. – Le match se poursuit puis se termine. Les acteurs de la rencontre regagnent les vestiaires. Pendant ce temps-là, les supporters niçois patientent calmement durant le quart d’heure de retenue en tribune imposé pour des raisons de sécurité. Le président Stellardo passera avec un joli sourire incompréhensible pour ne pas dire boutefeu. – Les portails du secteur H s’ouvrent et les premiers supporters de cette partie de tribune commencent à sortir. C’est alors qu’en Secteur G, (un train étant annoncé à 21 h 13) les supporters s’agglutinent devant la grille close et suite à une poussée malheureuse due à des gens compressés, l’un des portails cède. Là, les personnes devant le portail ouvert voient un policier de la Compagnie Républicaine de Sécurité saisir sa bombe de gaz lacrymogène et inonder le couloir et les visages des malheureux inopportunément présents.

Suite à ce gazage de masse, un mouvement de foule important pousse tout le secteur G à fuir cette nuée irrespirable. Les agents de police de la Principauté en poste sur le terrain ouvrent alors heureusement les grilles du stade, permettant aux personnes de la tribune d’entrer sur la piste d’athlétisme et la pelouse pour respirer un air moins toxique. Une jeune femme enceinte est accompagnée tant bien que mal comme ce pouvait être le cas en pleine bousculade, et tombe en larmes auprès des médecins et pompiers. L’apogée de cet excès de zèle policier ou de cette incompétence (si l’on excepte l’intention de l’agent de Police de nuire physiquement à autant de monde et sans distinction) sera le malaise cardiaque d’un homme âgé, bien mal en point même après les premiers soins prodigués par des supporters présents à côté de lui.

Un semblant de calme revient une fois que la plupart de la tribune se trouve à l’abri du gaz lacrymogène. Malheureusement, certains prétendent alors traverser le terrain pour aller chercher les quelques supporters monégasques encore présents. L’intervention de la Sûreté Publique monégasque les renvoie d’où ils viennent.

De manière injustifiable, ils s’en prennent alors à des panneaux publicitaires et divers matériels présents, les stadiers niçois intervenant pour mettre fin à ces dégradations stupides.

Les uns et les autres pourront enfin quitter le stade par toutes les grilles, cette fois, ouvertes des populaires G et H.

Quelques autres jeunes écervelés que nous n’estimons pas être des nôtres allaient sporadiquement jouer les casseurs en dégradant quelques biens dans Monaco et pendant le trajet en train.

Là encore, ils assumeront leur bêtise.

Il convient de rappeler que le déplacement à Monaco n’est marqué par aucune animosité et se veut festif.

Un usage irresponsable de la force a donné prétexte à une minorité pour « casser ». Elle ne saurait pour autant éluder la question de la formation des policiers et justifier de clouer au pilori l’ensemble des supporters niçois.

Maintenant que la lumière a été faite sur les divers événements de cette soirée, un combat commence. En effet, étant accusés, insultés, pour des faits dont nous ne sommes pas responsables et que nous condamnons une nouvelle fois, nous veillerons à que l’affaire soit réglée avec justice.

Il semble d’ailleurs échapper à certains que nous n’avons rien à gagner contrairement à d’autres avec ce qu’il s’est passé !

Brigade Sud Nice 1985

France Hooliganisme : les nouvelles mesures annoncées par le gouvernement - 04/02/2010

Source : chronofoot.com

Le ministère de l’Intérieur annonce la mise en place de groupes de policiers en survetêment dans les tribunes des stades dès la mi-février.

Á la suite d’une réunion tenue aujourd’hui entre les différents acteurs du football, les représentants des forces de l’ordre et certains membres du gouvernement, le ministère de l’intérieur a annoncé un renforcement de la lutte contre la violence dans les stades. Pour aider les unités de police déjà présentes dans les enceintes sportives, le gouvernement annonce la mise en place de policiers en civils, habillés en survêtement pour plus de mobilité, spécialement formés pour intervenir dans les tribunes des stades. Leur déploiement se fera à partir de la mi-février. Leur but sera d’identifier les casseurs, de les interpeller puis de les livrer à la justice. D’autres nouvelles mesures ont été présentées, comme la possibilité de prononcer une interdiction de stade après un seul fait grave, d’allonger la durée de cette interdiction à six mois, voire à 12 mois en cas de récidive.

Le ministère de l’intérieur a également profité de cette réunion pour faire le point sur les interpellations lors de matches dans les stades. Aux nombres de 310 depuis le début de la saison, elles ont augmenté de 6,5% par rapport à l’année dernière sur la même période.

Le président de la LFP Frédéric Thiriez s’est montré très déterminé après cette réunion : "Ce qu'il faut, c'est cibler les vrais fauteurs de troubles qui viennent pour casser. Il faut pour cela augmenter les interdictions de stade. Il faut arriver à environ 500, je vous rappelle qu'en Angleterre c'est 3000. Si on y arrive, on aura fait 90 % du chemin." Quant à la possibilité d’interdire les déplacements de supporters, évoquée durant la réunion, elle "n’est pas encore d’actualité."

Toulouse FC - O.Marseille - Coupe de la Ligue - 03/02/2010

Source : alleztfc.com

Un peu plus de 500 supporters de Marseille étaient attendus dans le parcage du Stadium. Mais la plupart étaient en réalité dans les deux virages du Stadium.

Lors des deux buts de l'OM, des incidents ont eu lieu dans le virage Brice Taton entre supporters des deux camps qui étaient mélangés. Les stadiers ont dû intervenir pour faire sortir plusieurs personnes du stade.

Amende pour l'OM - 05/02/2010

Source : le10sport.com

Le déploiement de banderoles injurieuses durant OM-PSG a coûté très cher au club phocéen.

«Trois ans sans Julien, trois ans qu'on est bien» ou «Auteuil, c'est renversant». Les banderoles affichées par les supporters de l’OM étaient de très mauvais goût et le club va payer les pots cassés.

La Commission de discipline a rendu son verdict et a infligé une amende de 40 000€ à l'OM.

Opération de police contre les "Casuals", la branche violente des Boixos Nois - 03/02/2010

Source : elmundo.es

Plusieurs opérations de police simultanées, ont été lancées mercredi dès les premières heures contre des membres présumés du groupe "Casuals", connu pour être la faction la plus violente des Boixos Nois, les ultras du FC Barcelone.
Cependant les faits reprochés n'ont aucun rapport avec d'éventuelles violences dans le cadre de matches de football, mais du trafic drogues et extorsion, ainsi que des menaces de mort.
Plusieurs adresses de la ville ont ainsi été visées par la police, dont une boutique de vêtements "Thor Steinar" située à quelques encablures du Camp Nou.
Cette marque de vêtements est particulièrement prisée par les skins nazi et des ultras du Barça.
Il convient de rappeler que ce groupuscule a été en haut de l'affiche médiatique pour avoir menacé de mort le président du Barça, Joan Laporta, après que celui-ci mettait en place un protocole spécifique visant à expulser du stade, les Boixos Nois.
En avril 2009, un des membres des "Casuals" a été arrêté dans le cadre d'une opération de police visant une bande de motards d'Hells Angels accusée d'association illicite et de trafic de drogues. Un autre membre, connu sous le pseudonyme "Carlitos", a été jugé en 2008 pour l'assassinat d'un jeune homme à l'entrée d'une discothèque en 2005.

Traduction Underground Fans

Coupe de France : 140 CRS et gendarmes pour le match Vesoul - PSG - 05/02/2010

Source : presse locale

Vesoul prépare son choc de mardi prochain contre le Paris Saint Germain pour les 8ès de finale de la Coupe de France. Ce vendredi des responsables de la ville, de la préfecture, du club, mais aussi pompiers et gendarmes se sont réunis pour préparer au mieux cette rencontre afin qu’elle se déroule en toute sécurité.

Les dirigeants et les autorités veulent absolument éviter les débordements ou les affrontements éventuels des supporters parisiens. Au total, 140 hommes, CRS et gendarmes seront mobilisés.

Par ailleurs, les supporters de Boulogne et d’Auteuil seront séparés. 350 supporters parisiens sont attendus mardi soir à Vesoul.

Argentine: Gimnasia de la Plata - Estudiantes de la Plata - 03/02/2010

Sourc:e mail (merci à l'expéditeur)

Le gardien d'Estudiantes se prend des projectiles sur la tête et demande aux officiels que celà cesse. Après, un cordon policier prend place derrière le but. Sur le 3è but de Gimnasia (et l'énorme bévue du gardien d'Estudiantes), on voit un jeune sauter sur le terrain malgré la présence policière. A noter qu'il n'y avait aucun fan d'Estudiantes ds le stade.

Rot-Weiß Oberhausen – FC Hansa Rostock - 05/02/2010

Source : Nachrichten-Magazin

Des supporters de Rostock ont provoqué des incidents à la gare d'Oberhausen après la rencontre. Tout a commencé avec un petit groupe de 6 fans qui ont causé des troubles dans un fast-food en provoquant et insultant le personnel et les autres clients, obligeant la police à se rendre sur place. Cela s'est poursuivi vers 20h30, lorsque une trentaine de fans de Rostock se sont attaqués à 6 fonctionnaires de police en leur lançant des bouteilles et divers projectiles. Un policier a été blessé au visage. D'autres policiers sont alors venus en renfort de leurs collègues. 31 supporters ont été contrôlés et leurs identités relevées. Une enquête a été ouverte concernant le policier blessé. Les policiers sont montés à bord du train raccompagnant les supporters jusqu'à Rostock pour prévenir tout nouvel incident.

Traduction Underground Fans

Incidents de Düsseldorf : procédure difficile contre des policiers - 05/02/2010

Source : derwesten.de

Sans réelle surprise, le procureur en charge du dossier de plaintes contre des violences policières a déclaré qu'il était particulièrement difficile de savoir quels étaient les policiers qui se sont livrés à des violences contre des supporters étant donné que les fonctionnaires portent le même costume (tenue verte et casque blanc) de travail. Ces plaintes contre des policiers font suite aux incidents après la rencontre entre Fortuna Düsseldorf et Bremen II, le 24 mai 2009.
A l'inverse, les 37 procédures contre des supporters n'ont pas tardé. 16 d'entre eux ont été condamnés à peines de prison ou pécuniaires. Les autres cas seront jugés ultérieurement, un complément d'enquête ayant été demandé. Par ailleurs, un hooligan de 18 ans est toujours recherché dans le cadre de ces incidents.

Traduction Underground Fans

Arrestations et interdictions en marge de Lille - PSG et Lille - Lens - 05/02/2010

Source : La Voix du Nord

Pas d'interpellation dans le Stadium-Nord pendant Lille - PSG, le 16 janvier. ...

Mais des arrestations ont été effectuées peu avant la rencontre à ses abords après un début de « fight » entre une centaine de supporteurs lillois et autant de Parisiens. Sept fans, cinq du LOSC et deux du PSG, ont été interpellés. En pareil cas, la sanction administrative tombe, avec une demande d'interdiction de stade. Idem pour treize Parisiens identifiés par les « spotters » de la police comme ayant participé aux débordements en tribune.

La première mi-temps du match Lille - Paris SG avait été polluée par une bagarre ouverte entre supporteurs parisiens, dans le virage du Stadium Lille-Métropole dévolu aux visiteurs. Virage Auteuil contre virage Boulogne... En quelques minutes, l'enceinte villeneuvoise devint la triste vitrine du lourd contentieux opposant les deux franges parisiennes.

Tout avait commencé par quelques heurts, presque classiques sauf qu'ils opposaient en l'occurrence des gens d'un même camp. Puis, tout s'était enchaîné avec une violence inouïe, le groupe d'assaillants n'hésitant pas à lancer des fumigènes quasiment à bout portant et de gros pétards.

Très vite débordés, les stadiers au blouson rouge mandatés par le club parisien ne purent freiner les assauts de ces exécrables individus. En fin de première mi-temps, les CRS firent donc leur entrée sur la piste d'athlétisme du Stadium afin d'établir un cordon de sécurité. Profitant de la mi-temps, toute proche, ils évacuèrent, dans la foulée, les supporteurs « minoritaires » du PSG, sous le regard effaré du président parisien, Robin Leproux, qui, dès la fin du match, exigea que des sanctions tombent.

Normalement, « en matière de hooliganisme, c'est tolérance zéro », affirme un responsable policier. Exemple samedi, en marge du derby Lille - Lens.

Des photos de supporteurs violents sont diffusées aux patrouilles. L'un d'eux, âgé d'environ 25 ans, est repéré par la BAC près du Stadium avant le match.

Il est appréhendé car une interdiction de stade doit lui être notifiée. Il porte un fumigène et une ceinture « triplex » (chaîne de vélo) pouvant servir d'armes par destination. Considéré comme le leader, avec des accointances « nazillonnes », de la mouvance ultra radicale du LOSC, il est parti derrière les barreaux purger une ancienne peine de six mois pour violence.

Stoke City - Blackburn Rovers - 06/02/2010

Source : BBC News

Un supporter de Blackburn Rovers a été retrouvé inconscient dans les gradins du stade de Stoke City avec une blessure à la tête. Il a été transporté vers l'hôpital le plus proche dans un état critique, puisque qu'il a également fait un arrêt cardiaque. Des ambulanciers ont alors fait les premiers soins sur place.
Juste après 16 heures, la police a été prévenue d'un incident dans la tribune réservée aux fans de Blackburn. Le supporter, la vingtaine, a visiblement été frappé à la tête à l'aide d'un siège. Un autre supporter, âgé de 25 ans et originaire de Preston a été interpellé par la police.

Traduction Underground Fans

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Le supporter de Blackburn Rovers touché à la tête lors du match à Stoke City est mort à l'hôpital. L'homme, en fait âgé de 30 ans, avait été retrouvé inconscient au sol dans la tribune des fans visiteurs. Il est mort cette nuit à 1h55 a indiqué un porte-parole de la police.

Paris SG - Lorient - 06/02/2010

Source : Maxifoot

Sous les yeux du président Nicolas Sarkozy venu assister à l'évènement, les supporters du PSG se sont alors tapés dessus entre eux en tribunes, obligeant les forces de sécurité à intervenir. Rien ne va plus à Paris !



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Source : RMC

Ambiance tendue au Parc

Incidents ce soir près du Parc des Princes, alors que le PSG est malmené à domicile par Lorient.

La soirée s’annonce difficile aux alentours du Parc des Princes. Alors que le PSG est mené 3 à 0 par Lorient à la mi-temps, la tension monte chez les supporters.

Après le deuxième but des Bretons, inscrit par Kevin Gameiro, les Supras Auteuil ont enlevé leur banderole historique. Ils ont ensuite été imités par toutes les associations de supporters, d’Auteuil à Boulogne. Dans cette ambiance délétère, les stadiers auraient été contraints d’évacuer une vingtaine de supporters parisiens de la tribune Boulogne. Il semblerait également que des échauffourées aient lieu à l’extérieur du Parc.



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Source : France Football

Incidents au Parc des Princes

Le Parc des Princes a vécu une soirée très agitée samedi soir. Désabusé par la nouvelle contre-performance du PSG, le public parisien a lâché son équipe lors de la déroute face à Lorient (0-3) et des incidents ont éclaté en tribunes. Peu avant la mi-temps, une bagarre a éclaté dans le virage Boulogne, puis à la pause, c'est le virage Auteuil qui s'est «distingué» en tentant d'envahir la pelouse, rapporte L'Equipe. Mais à chaque fois, les stadiers du Parc sont rapidement intervenus et ont empêché de graves débordements.


(photo : Le Parisien)

Décès du supporteur des Newell's Old Boys blessé par balles - 06/02/2010

Source: http://www.rtlinfo.be/sport/le_foot/les_dernieres_depeches/175161/foot-argentine-violence-deces-du-supporteur-des-newell-s-old-boys-blesse-par-balles (merci à l'expéditeur)

Le jeune supporteur du club argentin des Newell's Old Boys, Walter Caceres, 14 ans, touché de trois balles dans la tête jeudi dans l'attaque du bus à bord duquel il voyageait, est décédé hier soir. "Les médecins ont tenté de le maintenir en vie mais cela a été impossible", a indiqué le secrétaire de l'hôpital de Rosario (300 km au nord de Buenos Aires). Deux autres supporteurs également blessés, âgés de 42 et 28 ans, sont hors de danger. L'attaque, dont les auteurs n'ont pas été identifiés par la police, s'est produite jeudi matin sur une route proche de Las Flores, à 250 km au nord de Buenos Aires, quand le car, qui revenait de la capitale argentine Aires où les Newell's s'étaient inclinés mercredi 2-1 contre Huracan, lors de la 2e journée du tournoi de clôture, a dû s'arrêter en raison d'une panne.

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Source: Rai

ARGENTINE: La mort du jeune de 14 ans suite à l'attaque d'un bus de fans des Newell's Old Boys amène le vice-président du club à des considérations amères: "Cet épisode donne envie de tout arrêter. Un enfant est mort et une famille est détruite." Le père de la victime est furibond: "La police sait qui sont les assassins mais les enquêteurs, le gouvernement et les juges regardent ailleurs et s'en lavent les mains."

Les supporteurs niçois attendent des excuses du président du club - 05/02/2010

Source: http://www.rtlinfo.be/sport/le_foot/les_dernieres_depeches/175143/foot-violence-les-supporteurs-nicois-attendent-des-excuses-du-president-du-club

Les groupes de supporteurs niçois condamnent "ceux qui ont profité de la confusion pour se livrer à des actes répréhensibles" samedi après Monaco-Nice (3-2), tout en réclamant "des excuses publiques" de Gilbert Stellardo, le président de l'OGCN, qui avait regretté de ne pas "avoir des supporteurs d'une autre qualité... On a affaire à des sauvages...". Dans un communiqué commun, les supporteurs de l'OGCN - Brigade Sud Nice (BSN), Armada Rumpetata (ARN), club des supporteurs (CDS) et Nissa supporteurs 06 - livrent leur version de ces débordements, épinglant l'usage de gaz lacrymogènes par les CRS dans une tribune fermée comme facteur déclencheur des incidents. A ce titre, ils refusent le terme "d'envahissement du terrain", parlant "d'évacuation par des portes d'accès au terrain ouvertes par les responsables monégasques" de spectateurs incommodés par les gaz.

Incidents Monaco-Nice : la traque aux hooligans - 02/02/2010

Source: http://www.nicematin.com/ra/societe/238371/alpes-maritimes-incidents-monaco-nice-la-traque-aux-hooligans

Une procédure d'entraide judiciaire entre la France et la Principauté a été lancé afin d'identifier et de poursuivre en justice « les hooligans ».

Les images des scènes de violence sur la pelouse du stade Louis II de Monaco tournent en boucle à la TV et sur le net. « Intolérables » pour Francis Lamy, le préfet des Alpes-Maritimes, les exactions commises par une petite poignée de pseudo-supporteurs de l'OGCN lors du derby azuréen ne resteront pas impunies.

Hier, lors d'une conférence de presse sous les ors du palais des rois sardes à Nice, le représentant de l'Etat a durci le ton, annonçant qu'une procédure d'entraide judiciaire exceptionnelle allait être lancée entre la France et l'Etat monégasque pour que les « voyous » soient tous punis, et condamnés pénalement. Une première dans le foot professionnel français. Le fait que les actes de violence aient été commis dans un état étranger souverain - la Principauté de Monaco - y est pour beaucoup. Le préfet l'a confirmé : « L'opération se déroulera en deux temps. Lors d'une réunion avec les autorités monégasques, nous avons convenu que toutes les images de vidéo-surveillance enregistrées en Principauté, à l'intérieur comme à l'extérieur du stade, seront rapidement transmises à la France. L'objectif sera alors pour nous d'identifier très précisément les fauteurs de ces graves troubles. Puis de transmettre ces éléments aux autorités monégasques. »

En clair, la traque aux « hooligans » est ouverte. Comme ce fut le cas lors des incidents qui émaillèrent cet été la rencontre amicale d'inter-saison entre Nice et Gênes à Cuneo, le préfet entend dans un premier temps prononcer des interdictions de stades. Une mesure strictement administrative qui lui incombe directement.

Mais pas question d'en rester là.

Des extraditions foot ?

L'entraide judiciaire internationale qui semble devoir être mise en place pourrait, si elle était confirmée, s'avérer plus complexe que cela. Elle devra passer par le parquet de Nice : « Je n'ai pas encore été saisi d'une telle demande. Les faits sont, il est vrai, récents, confirmait, hier, le procureur de la République, Eric de Montgolfier. Si je devais être saisi, je diligenterai naturellement une enquête aux fins d'identification des fauteurs de troubles. Ensuite, soit nous transmettrons nos conclusions à la justice monégasque qui, si elle décidait de poursuivre directement les coupables, nous imposerait de lancer des procédures d'extradition. Soit, et le Code de procédure pénale semble pour ces faits précis le permettre, nous pourrions renvoyer directement ces supporteurs devant le tribunal correctionnel de Nice. »

Le préfet, hier, semblait pourtant déterminé à aller vite. Au point de sommer le président de l'OGCN, Gilbert Stellardo, de ne pas se contenter d'une plainte contre X, mais de cibler nommément les ultras de l'OGCN qui seraient impliqués dans la rixe de fin de match samedi soir.

Rennes - Bordeaux - 06/02/2010

Source: mail (merci à l'expéditeur) - Rennes

Un peut avant le début du match, une petite rixe éclate dans un bar en face du stade entre quelques rennais (BS) et bordelais (UB), la police stationnée en face intervient très rapidement.
Durant le match, on apprendra que certains bordelais sont resté dans ce même bar, on y retourne : victoire Rennes.
Après le match, 5-6 mecs avec du matos UB sont repéré dans le centre ville, quelques coups échangé et fuite de ces derniers.

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Source: mail (merci à l'expéditeur)

Aucun incident notable concernant les Ultramarines.....

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Source: mail (merci à l'expéditeur)

Avant le match je sais pas ce qui c'est passé
A 3-0 quelque bordelais sont sortis du parcage et sont retourné dans le bar. C'est la que les rennais sont revenus a 5 mecs. A peine le temps de proposé un cinq contre cinq que les premier coup sont échangé et les bordelais reculent.
Les bordelais présent dans le bar ne sont en aucun cas des Ultramarines.

Udinese - SC Napoli - 07/02/2010

Source: Ansa (merci à l'expéditeur)

Quelques troubles ont opposé des supporters rivaux, près des guichets d'entrée au stade du Friul, juste avant le début de la rencontre.
D'après les sources policières, aucune personne n'aurait été blessée.

De petits groupes de supporters napolitains ont essayé d'agresser des supporters frioulans, mais la police est intervenue rapidement.
La police a reprit le contrôle de la situation
Traduction Underground Fans (c)

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Source: La Repubblica (merci à l'expéditeur)

VIDEO: http://tv.repubblica.it/copertina/udinese-napoli-scontri-tra-tifosi/42260?video

Quatre personnes ont été blessées lors de bagarres survenues au stade du Frioul, juste avant la rencontre Udinese-Naples.
Tous les blessés légers sont des supporters locaux et ont été transportés vers l'hôpital.

Lors d'une première bagarre opposant des supporters rivaux - apparement, les supporters napolitains seraient les agresseurs - deux locaux ont été blessés: l'un à la tête de façon légère, et un autre à une jambe.

Une deuxième bagarre a éclaté peu après face à l'entrée de la tribune centrale.
Lors d'une violente altercation, un policier et un autre supporter frioulan seront blessés.

Des dégâts à des véhicules ont également été signalés.

Traduction Underground Fans (c)

VIDEO:

http://sport.sky.it/sport/calcio_italiano/2010/02/07/incidenti_pre_udinese_napoli.html

http://video.sky.it/?videoID=65436735001#video


Autre source: http://www.corriere.it/cronache/10_febbraio_07/udine-scontri-tifosi-napoli-udinese_349d62b8-13ec-11df-8835-00144f02aabe.shtml

Fortuna Düsseldorf - MSV Duisburg - 07/02/2010

Source : rp-online.de

Durant le match, les fans de Duisbourg ont lancé à plusieurs reprises des objets sur le terrain.
Après le match, environ 800 fans de Fortuna ont bloqué les voies du tram afin d'empêcher les supporters de Duisbourg de repartir, selon la police. Les policiers ont alors chargé à coups de matraques et en utilisant du gaz au poivre. Le réseau Nord du tram a été bloqué durant 45 minutes. Des milliers de passagers ont été touchés. Quatre wagons ont été dégradés (10 000 € de dégâts). 450 policiers avaient été mobilisés pour cette rencontre dont la brigade canine et la police montée.

Traduction Underground Fans

Boulogne - Montpellier - 06/02/2010

Source : Presse locale

Les supporters raflent la caisse

Deux supporters de l'équipe de foot de Montpellier ont été interpellés peu après 4 heures du matin, ce dimanche, à la barrière du péage de Gerzat, sur l'autoroute A71.

En compagnie de trois copains, ils rentraient en voiture de la région Nord-Pas-de-Calais, où le Montpellier Hérault Sport Club venait de jouer. Dans la nuit, le groupe de supporters a fait halte sur une aire d'autoroute, à Sainte-Thorette, près de Vierzon. Dans la boutique de la station, tandis que la caissière était occupée à surveiller d'autres clients dans les rayons, deux des jeunes ont raflé le contenu de la caisse, soit environ 500 euros.

Prévenus par leurs homologues du Cher, les gendarmes de l'escadron de sécurité routière du Puy-de-Dôme ont interpellé les montpelliérains et les ont placé en garde à vue. Ils ont été pris en charge par des gendarmes du Cher.

Paris fuit le Camp des Loges - 08/02/2010

Source : France Football

A la veille de son déplacement à Vesoul (CFA) en huitièmes de finale de Coupe de France, le PSG s'entraînera ce lundi à huis clos au Parc des Princes. Pour des raisons de sécurité, le club craignant la colère des supporters après la déroute de samedi soir face à Lorient (0-3), les joueurs de la capitale s'éloigneront donc du Camp des Loges. Cette fuite n'empêchera vraisemblablement pas les supporters parisiens d'afficher leur mécontentement devant la quinzième place du club, puisque certains devraient se rendre à la sortie du Parc des Princes ce lundi.

Selon Le Parisien, l'option de s'éloigner du centre d'entraînement de Saint-Germain-en-Laye pourrait être reconduite. Antoine Kombouaré songerait en effet à rester en stage dans l'Est de la France entre les rencontres du PSG à Vesoul, mardi, et à Nancy, samedi (24e journée de L1).

FC Sochaux - AS Nancy - 06/02/2010

Source : Le Pays

Quatre interpellations à une pour les Nancéens

Fusée d’artifice projetée en direction d’une patrouille de police, couteau papillon et haschisch dans les poches… La rencontre Sochaux-Nancy ne fut pas seulement sportive sur la pelouse de Bonal. Cinq supporters ont été arrêtés samedi avant le match.

Le derby était annoncé « à risques ». En raison de l’enjeu sportif. Mais pas seulement. Les supporters des deux équipes ne se vouent pas une amitié farouche. Dans les tribunes, les Nancéens annoncent la couleur. Eux, les urbains, sont venus s’amuser « un samedi à la campagne » pour mettre une volée footbalistique aux « paysans » de Sochaliens ! Une chose est sûre : au comptage des délits, les supporters du 54 remportent la mise sur les 25.

Violences volontaires avec arme

Premier acte délictueux à 16 h 30 rue Cuvier à Montbéliard. Un jeune homme projette une fusée d’artifice en direction d’une patrouille de la BAC (brigade anti criminalité) chargée de sécuriser le centre-ville avant match. La fusée explose au pied d’un policier. « C’est le genre de boule de feu qu’il ne fait pas bon prendre en plein visage », assurait hier soir l’officier de permanence au commissariat central. Illico, l’auteur présumé des faits est interpellé. Il se dirigeait vers le stade Bonal en compagnie de supporters de Nancy. Charly, 21 ans, domicilié à Kingersheim en Alsace, assure lors de son audition au poste qu’il n’a pas visé volontairement le fonctionnaire, que la fusée est partie accidentellement. L’histoire ne dit pas si la mèche a été allumée par le Saint-Esprit. On sait, en revanche, que le jeune supporter a passé la nuit en garde à vue. Privé de match. Il a été remis en liberté dimanche matin avec une convocation à l’audience correctionnelle du 28 avril pour « violences volontaires avec arme sur personne dépositaire de l’autorité publique ».

Drogue et couteau dans les tribunes

Deuxième acte vers 18 h dans l’enceinte du stade, côté accès visiteurs nancéens. Avec leur comportement provocateur, deux jeunes ont le tort d’abuser de la patience des policiers. À la palpation, l’un est trouvé en possession de deux grammes de haschisch, l’autre d’un gramme. D’ordinaire, la drogue est saisie et basta. Pas cette fois. Fallait pas fâcher les fonctionnaires ! Dans le cadre d’une procédure simplifiée, les jeunes respectivement âgés de 22 ans et 29 ans, domiciliés à Nancy, sont conduits dans un fourgon de police positionné à proximité du stade où ils sont entendus puis remis en liberté. Ils ont pu assister au match. La procédure a été transmise au parquet. Même scénario pour un Audincourtois de 24 ans intercepté dans la tribune Nord avec un couteau papillon. L’arme a été confisquée.

Malgré une interdiction de stade

Troisième acte. Il est 20 h 15. Dans les tribunes de Bonal, un supporter nancéen de 30 ans, originaire de Tomblaine dans le 54, est repéré par les caméras de surveillance. Le jeune homme est interdit de stade. Pour des violences sur policiers, il a été condamné à cinq d’interdiction de stade par le tribunal de Nîmes en mars 2005. À un mois près, la punition était levée. Le supporter a tenté de jouer avec une décision de justice. Il a perdu. Il se trouve toujours en garde à vue au commissariat. Elle a été prolongée en attendant la décision du parquet, qui a réclamé des vérifications auprès du TGI de Nancy. Il décidera ce matin du sort réservé au supporter. Dans le pays de Montbéliard, deux supporters sochaliens figurent sur le listing des interdits de stade.

Sous haute surveillance policière

Avant, pendant et après, la rencontre a été placée sous haute surveillance policière. 43 policiers du commissariat de Montbéliard étaient d’astreinte, trois pelotons de l’escadron mobile de Strasbourg (une quarantaine d’hommes) en renfort. De l’avis de l’officier de police chargé de la sécurité à Bonal, « le match Sochaux-PSG a été bien plus tranquille que celui de Sochaux-Nancy ».

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Source: http://www.estrepublicain.fr/fr/grand-est/franche-comte/info/2678571-REGION-Faits-divers-Supporters-nanceiens-prives-de-match

Supporters nancéiens privés de match

Le derby de l'Est entre Sochaux et Nancy est toujours appréhendé, par les forces de l'ordre, comme un événement à hauts risques. Même lorsque l'enjeu sportif, comme samedi, n'a rien de crucial.
Près de 80 fonctionnaires, dont la moitié provenait d'un escadron de mobiles de Strasbourg, avaient été mobilisés pour l'occasion.
Dès 16 h 30, le ton était donné dans les rues du centre-ville de Montbéliard. Avec le tir d'un feu d'artifice en direction d'un policier, rue Cuvier. Le projectile a atterri au pied du fonctionnaire, sans le toucher.
Le lanceur a aussitôt été interpellé. Il s'agit d'un habitant de Kingersheim (68) prénommé Charly, âgé de 21 ans, venu supporter le club lorrain. Il n'aura rien vu du match, sa garde à vue s'étant prolongée toute la nuit. Il n'a été remis en liberté qu'hier, vers 9 h 30. Durant son audition, il a déclaré que le tir était involontaire. Il est cependant convoqué le 28 avril prochain devant le tribunal de Montbéliard pour y répondre de « violence volontaire avec arme sur personne dépositaire de l'autorité publique ».

Trahi par la caméra

Un autre supporter de l'ASNL a été privé d'une partie de la rencontre. Il était pourtant parvenu à se glisser au sein de la cage réservée aux visiteurs. Mais grâce aux caméras de surveillance, sur les coups de 20 h, il a été repéré comme faisant partie des personnes interdites de stades dans l'Hexagone. Ceci suite à la décision du tribunal de grande instance de Nîmes, en date du 3 mars 2005. Pour une histoire de « violences sur personne dépositaire de l'autorité publique », cet habitant de Tomblaine, âgé de 20 ans, s'est vu interdire de stade pour cinq ans, soit la durée maximale prévue par la loi. Sa garde à vue a été prolongée et le parquet de Montbéliard devrait décider, ce matin, des suites à apporter à cette affaire. En marge de ces deux événements, deux autres Lorrains ont eu quelques soucis avec la police. Suite à un jet de cannettes en direction des forces de l'ordre, des contrôles poussés ont été menés au sein du groupe d'où avaient fusé les projectiles. C'est ainsi que deux Nancéiens de 22 et 28 ans ont été trouvés avec respectivement deux grammes et un gramme de résine de cannabis. Après avoir été entendus sur place, ils ont pu regagner les travées de Bonal pour assister à la rencontre. La procédure a été transmise au procureur qui statuera sur l'opportunité des poursuites. Même traitement pour un Audincourtois de 23 ans qui a été trouvé porteur d'un couteau papillon (arme classée en 6e catégorie), cinq minutes avant le coup d'envoi, alors qu'il s'apprêtait à pénétrer en tribune nord. L'après match aura été plus calme. Le résultat (1-1) n'étant pas de nature à exacerber outre mesure la rivalité entre deux clubs naviguant dans le ventre mou du championnat.

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Source: mail (merci à l'expéditeur) - Nancy

Mobilisation d'une 50ene de nancéen pour ce match. Squattage de la ville pendant une bonne partie de l'aprem midi, contact téléphonique pris avec les sochaliens qui refuseront toute hostilité. Nous decidons donc de partir en cortége dans l'espoir de les croisés. Le tout accompagnée de fusée,mortier,petard etc... Deçus des sochaliens sur ce coup police inexistante de notre coté jusqu'a ce qu'on se decide de bouger du bar....

Indep nancy


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Source: mail (merci à l'expéditeur)

Afin d'éviter l'affrontement avec les nancéens, une quarantaine de sochaliens ont été escortés (de force) par la police depuis leur lieu de regroupement se trouvant sur un parking à environ 500 mètres du stade.

Espagne: Merida - Badajoz - 07/02/2010

Source: forum

Une 40aine d'ultras de Badajoz se déplaceront en bus, rejoints par 6 membres des Brigadas Charras (amitié entre les deux groupes).
Arrivés 1/2 heure avant la début du match, et sans aucune présence policière, ce groupe tombera face à des membres des Legiones locaux et une charge sera lancée.
Des projectiles seront échangés et les locaux prendront la fuite.
Aucun visiteur ne sera arrêté.
Peut-être que certains le seront côté local.

Traduction Underground Fans (c)