Saison 09/10 - Février

PSG-OM : un héritage très lourd - 24/02/2010

Source : La Provence

Le contexte du match de dimanche est le fruit de la décision tardive de Frédéric Thiriez, le 25 octobre

Il est difficilement aisé de comprendre les raisons qui poussent les autorités à limiter le nombre de supporters olympiens au Parc des Princes, ce dimanche, et à accepter d'en recevoir près de 20000 au Stade de France, le 27mars. Il est difficilement compréhensible d'assimiler la limitation des Marseillais au regard de leur bon comportement ces dernières années à Paris.

Il est difficilement compréhensible de jeter le doute sur les supporters olympiens quand on sait que les principaux dérapages sont à créditer à une minorité de supporters parisiens ou prétendus tels, car le plus grand mépris consisterait à s'inscrire dans une généralisation. Il est surtout difficile de comprendre quand on refuse de s'en donner la peine.

Un contexte annoncé dès le mois d'octobre
Il n'y a rien d'agréable à imposer un déplacement sous la contrainte, qu'on vienne de Paris ou de Marseille. Pour ceux qui se trouvaient à la gare d'Aubagne, le 20 novembre, il n'y avait rien de réjouissant en voyant 800supporters parisiens entassés comme du bétail dans un TGV, puis dans des bus de la RTM. On comprend la colère des supporters olympiens d'être encadrés par 150 à 200gendarmes sur l'autoroute, ce qui peut être assimilé à une entrave à la libre circulation des personnes sur le territoire national.

Pourtant, il convient de prendre la température de chaque contexte. En amont. Les supporters ont le sentiment de ne pas être défendus, pensent-ils une seule seconde qu'ils sont protégés? En l'absence de décisions radicales de la part du législateur pour chasser les fauteurs de troubles des stades, peut-on reprocher aux autorités ce déploiement de forces de l'ordre destiné à assurer leur mission principale, le respect de l'ordre public et la sécurité des personnes? Non. Peut-on reprocher aux autorités la mise en place de mesures exorbitantes par rapport au droit commun? On s'en indigne, car ce n'est plus du football, mais elles sont nécessaires.

Au moindre écart, au moindre blessé, il serait trop facile de leur reprocher de ne pas avoir pris les devants, comme il a été naturel de leur demander des explications le 25 octobre afin de comprendre comment un bus de supporters du PSG avait pu se trouver au Parc Chanot en début d'après-midi, alors qu'aucun représentant de l'ordre ne s'y trouvait; il serait trop facile de leur reprocher une initiative, alors que nous nous étions indignés de leur légèreté et de leur manque de prévoyance en voyant la facilité avec laquelle 80 indépendants parisiens avaient accédé à un bar du Cours Jean-Ballard à Marseille; cette démarche était connue en amont et "La Provence des Sports" s'en était inquiétée dans son édition du 25 octobre, en page 3.

Pour la sécurité des supporters olympiens, il est préférable qu'il en soit ainsi. L'interview d'un responsable de la tribune Boulogne dans FranceSoir est effrayante: "Pour les récompenser de l'accueil qu'ils nous ont réservé à l'aller, on leur a donné 500places supplémentaires. Quand tu vois ça, tu peux t'attendre à de gros incidents. Nous, on vit ça comme une trahison. Adviendra ce qu'il adviendra..."

La responsabilité de ce contexte malsain, nauséabond, pourri n'incombe pas aux supporters olympiens, ni aux Parisiens. Encore moins au ministère de l'Intérieur appelé à taper du poing sur la table pour prendre des décisions que d'autres n'ont pas eu le courage d'assumer. Dans son édition du lundi26octobre, page 3, "La Provence" écrivait ceci : "Frédéric Thiriez a oublié de se comporter en patron. Gouverner, c'est prévoir. Il a jeté les bases de nouvelles tensions entre Paris et Marseille." Nous y sommes...

Le report tardif du match aller alors que tout aurait pu être anticipé afin d'éviter la migration de centaines de personnes a contribué à l'ascension fulgurante d'un climat passionnel, réduisant à néant tous les efforts entrepris depuis plusieurs années. À ce jour Frédéric Thiriez a refusé de l'admettre. Il n'a toujours pas présenté d'excuses à la ville de Marseille. Il n'a toujours pas pris le soin de démissionner. Pourtant, l'héritage de sa décision est très lourd à porter. Surtout pour les autres...


Report tardif, 80 indépendants sur le Cours Jean-Ballard: tout était réuni pour des scènes de guérilla urbaine.

PSG -OM J - 4 « Au Parc, les supporteurs marseillais auront affaire avec certains fous furieux » - 24/02/2010

Source : Le Parisien

Combien y aura-t-il de supporteurs marseillais dimanche soir au Parc des Princes ? Officiellement, la jauge a été fixée à 1 500 le 10 février par le ministère de l’Intérieur. Mais, hier, les fans marseillais ont une fois de plus rejeté le dispositif de sécurité prévu pour ce déplacement et menacé de se rendre à Paris par leurs propres moyens.

Certains évoquent même un boycott. « C’est le bordel, commente un participant à la réunion de sécurité qui s’est tenue hier matin à la préfecture de Paris. Les supporteurs de l’OM veulent bien monter à Paris, mais sans escorte policière. Et le club a demandé si on peut alléger le dispositif. »

Confrontées au risque de voir déferler dans la capitale des centaines de Marseillais sans billet et non encadrés, les autorités ont convoqué une conférence de presse à la hâte. Hier après-midi, le préfet de la région Paca, Michel Sappin, a soufflé le chaud et le froid vis-à-vis des supporteurs olympiens.

« Ils doivent comprendre que toutes ces mesures sont prises dans leur intérêt et pour leur intégrité. Un véritable danger pèse sur eux : des supporteurs parisiens veulent se faire des supporteurs marseillais. Selon des renseignements très précis, des risques de guet-apens et d’affrontement existent, a-t-il insisté. Soit les supporteurs marseillais se plient à ces règles de sécurité, soit ils ne viennent pas. Nous faisons ça dans leur intérêt. Au Parc des Princes, ils auront affaire avec un certain nombre de types qui sont des fous furieux. » Des déclarations pour le moins provocantes de la part d’un représentant de l’Etat.

Dans cette affaire, le ministère de l’Intérieur joue sa crédibilité. Après les violences liées au report du match aller (le 25 octobre), Brice Hortefeux et ses services ont imposé le dispositif de sécurité de ce PSG - OM. Le moindre débordement leur serait donc directement imputable. Pour l’instant, rien ne semble indiquer que les Marseillais mettront leur menace à exécution. Une nouvelle réunion de sécurité, prévue demain matin à Paris, devrait permettre d’en savoir plus…

France : “Une meilleure intégration des supporters limiterait certaines frustrations” - 24/02/2010

Source : Lyon Capitale

Entretien avec Nicolas Hourcade, sociologue à l'École centrale de Lyon et spécialiste des Ultras.

Lyon Capitale : On parle souvent des Ultras mais sans vraiment connaître leur mode de fonctionnement...
Nicolas Hourcade : Il existe différentes manières d’être supporter, différents types de supportérisme. Ceux qui se définissent comme Ultras constituent des groupes structurés sous une forme associative. Leur objectif principal est de soutenir activement leur équipe. Cela passe par une organisation de leurs activités à la fois dans le stade et en dehors. Au stade, ils réalisent à l’entrée des joueurs, des animations appelées des tifos. Des meneurs (Ndlr : les "capos") encadrent les chants, des déplacements sont organisés pour suivre l’équipe à l’extérieur. En dehors des matches, ils se positionnent comme des acteurs du football, sous un modèle syndical. C’est pour cela qu’ils insistent souvent sur leur autonomie. Ils cherchent en effet à défendre leurs propres intérêts. Ils sont revendicatifs par rapport aux dirigeants ou aux joueurs.

Les Ultras sont aussi ambigus car ils veulent être reconnus par le monde du foot tout en demeurant "rebelles" et en n’étant pas "récupérés par le système". Cette attitude conflictuelle les distingue des associations de supporters dites officielles qui ont, elles, une vision consensuelle du foot. Elles prônent le fair-play, conçoivent le club comme une grande famille et se vivent comme des partenaires des autres membres de cette famille. L’une des autres différences, c’est l’âge. Les Ultras sont généralement des jeunes de 16 ans à 30 ans tandis que les associations officielles rassemblent des personnes de tous âges. De plus, mis à part dans quelques villes comme Lens, les associations officielles ne s’impliquent pas autant que les Ultras dans l’animation du stade.

Comment s’organisent-ils en interne ?
Quand vous avez 2500 membres dans un groupe Ultra, les degrés d’investissement sont très différents. Si on prend les deux extrêmes, il y a le simple adhérent qui va se considérer comme engagé parce qu’il vient à tous les matches et qu’il encourage l’équipe. Et il y a le "noyau dur", composé de quelques dizaines de personnes très investies qui font vivre le groupe. Entre les deux, il y en a qui font quelques déplacements, d’autres qui vont donner un coup de main de temps en temps à la préparation des tifos, etc. C’est important de le préciser, car les centres d’intérêts peuvent être complètement différents.

Certains sont profondément passionnés par le foot, d’autres apprécient surtout l’animation du stade ou bien les virées entre potes lors des déplacements. Il y en a aussi qui vont aimer la vie associative quand d’autres privilégient le côté déviant, les provocations. Les incidents qui impliquent un groupe Ultra ne concernent qu’une petite partie du groupe.

Comment expliquez-vous ces actes de violences commis par certains Ultras ?
Les Ultras refusent la morale du fair-play, qu’ils jugent hypocrites puisqu’ils estiment que le football est un combat entre deux camps et qu’il faut gagner. Cela légitime d’insulter l’adversaire et de lui mettre la pression. Il y a aussi chez ces supporters une acceptation du recours à la violence physique. Ils sont dans une logique de rivalité. Les Ultras considèrent qu’ils représentent leur groupe, leur club, leur ville. Ils ont leur propre compétition en parallèle des matches.

Si au final, se battre permet de se “faire respecter”, certains ne vont pas hésiter à franchir le pas. Mais lorsque vous parlez avec des Ultras, ils vous disent toujours que, s’ils ont recours à la violence, c’est simplement pour se défendre. Leur rhétorique, c’est “on n’attaque pas, on se défend”. Avec les Ultras, c’est difficile de parler de la violence d’autant qu’ils ont conscience qu’elle peut nuire à certaines de leurs revendications.

Ce qui les différencie des hooligans...
Exactement. Les hooligans reconnaissent sans complexes être là essentiellement pour la violence. Ceux qui s’appellent eux-mêmes indépendants, hools ou casuals, ne forment pas des associations mais des bandes informelles centrées sur la violence. Une grande différence avec les Ultras, c’est que les hooligans s’investissent beaucoup moins dans le soutien à l’équipe et dans la vie du club. Ils n’ont pas forcément de revendications spécifiques sur le monde du football.

Quelles mesures adopter pour mettre fin à ces violences ?
A en croire certaines interventions médiatiques, il y aurait des solutions miracles. Alors que non. Sinon, on l’aurait déjà fait. En revanche, on peut essayer de mettre en place une politique globale cohérente, en se fixant comme objectif de diminuer la violence. C’est-à-dire qu’il faut une répression des comportements délinquants qui soit bien ciblée et considérée comme juste. Par exemple, la dissolution d’un groupe de supporters considéré comme violent n’est pas toujours une bonne idée. Parce que du coup, ça casse toute structure modératrice, les groupes ultras ayant intérêt à limiter les débordements. Et les supporters violents continuent leurs agissements dans des bandes plus difficiles à réguler.

Il faut aussi mettre en place des infrastructures intégrant les impératifs de sécurité et d’accueil convivial des supporters. Ça tombe bien puisqu’on est en train de réfléchir à la rénovation des stades. Il faut également faire un travail de formation des stadiers et des forces de l’ordre pour limiter les tensions avec les supporters et éviter les réactions inappropriées qui aggravent les problèmes. Il est également nécessaire d’instaurer un dialogue entre les différents acteurs du football, dont les supporters. Je suis peut-être naïf, mais je pense qu’une meilleure intégration des supporters dans le monde du foot limiterait certaines frustrations et pourrait désamorcer des tensions.

Êtes-vous d’accord avec ceux qui disent : “l’entraîneur entraîne, le président préside, les supporters supportent”?
Il faudrait savoir par ce qu’on entend par : “les supporters supportent”. Je sais que c’est un cliché récurrent qui signifie : “chacun à sa place”. Ce qui me paraît important, c’est de réfléchir au rôle des supporters. Il me semble qu’il y a des ambiguïtés assez fortes. On dit aux supporters : il faut que vous soyez à fond derrière votre équipe, quasiment fanatiques, mais dès qu’il y a un dérapage le monde du foot fait comme s’il n’y était pour rien !

De même, on n'arrête pas de dire que les supporters, c’est le douzième homme, que sans eux, il n’y a pas d’ambiance, mais en même temps, il y a une très grande réticence à les reconnaître comme un acteur à part entière du football. C’est un peu comme si les dirigeants des clubs disaient à leurs supporters : “amusez-vous les enfants, mettez de l’ambiance mais les décisions, c’est les grands qui les prennent”. Les supporters doivent-ils avoir un mot à dire sur le prix des places ? Une voix consultative au conseil d’administration ? Être actionnaires ? Je n’ai pas de réponses arrêtées, mais ce sont des questions qu’il faut traiter pour sortir des ambiguïtés actuelles.

Chypre : APOEL Nicosie - Nea Salamis - 20/02/2010

Source : sigmalive.com

70 hooligans locaux ont commencé à jeter des pierres et divers projectiles contre les supporters rivaux.

La police est intervenue et a été forcée d'utiliser des gaz lacrymogènes.

Une dizaine de policiers ont été blessés et transportés à l'hôpital après avoir reçu les premiers soins sur place.

Traduction Underground Fans

Toulouse FC - Lyon - 07/02/2010

Source : LaDépêche.fr

TFC-Lyon : le " fight " caché des supporters

Violence. La veille du match, une bagarre avait été organisée.
Pas de blessé déclaré et encore moins de dépôt de plainte… Ce n'est que bien plus tard que l'information est parvenue aux policiers. La veille du match TFC-Lyon, le 7 février, au stadium, un « fight » a été organisé entre supporters des deux équipes. Le rendez-vous avait été donné dans le secteur de la Cité de l'espace et du bois de Limayrac. Selon les informations recueillies par la police, dans chaque camp, pas moins d'une cinquantaine de ces supporters d'un genre particulier se sont affrontés. Preuve que le problème du hooliganisme, s'il ne se manifeste pas dans le stadium, reste d'actualité et cela malgré la mort tragique de Brice Taton, le fan du TFC tué à Belgrade en septembre 2009.

Un contentieux existe ainsi entre diverses équipes, c'est le cas, dans l'esprit de certains, entre Toulouse et Lyon depuis plusieurs années, notamment depuis le vol d'une bannière.

Pour plus de discrétion, le combat a donc été organisé cette fois la veille de la rencontre, à bonne distance du stadium, et dans un lieu relativement discret. En avril 2008, à quelques heures d'unTFC et Bordeaux, un tel « fight » s'est déroulé dans une ruelle du centre-ville, la rue Gentil-Magre. La bataille rangée n'avait pas causé de blessés et les intéressés avaient ensuite rejoint le stadium. Elle avait en revanche été photographiée par un riverain.

Actuellement, deux supporters du TFC sont toujours sous le coup d'une interdiction de stade prononcée par le tribunal correctionnel après des heurts survenus en marge d'un autre TFC-Bordeaux. Plusieurs demandes d'interdiction administratives ont par ailleurs été demandées par la police.

SV Eintracht Trier - 1 FC Sarrebruck - 23/02/2010

Source: mail (merci à l'expéditeur)

40 Trier +GG (Metz) vs 60 Saar + Nancy
Avantage Saar puis arrivée de la police.

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Source : rhein-zeitung.de

Plusieurs affrontements entre supporters ont eu lieu avant le match de football entre le SV Eintracht Trier et 1 FC Sarrebruck, mardi soir. La police a indiqué le lendemain, avoir interpellé provisoirement six personnes.

Traduction Underground Fans

Inter Milan - Chelsea FC - 24/02/2010

Source: corriere.it + mail (merci à l'expéditeur)

Moment de tension place du Dôme à Milan. Vers 16 heures, la police a fait tampon entre supporters anglais et italiens, après que deux canettes de bières aient été lancées sur des fans de l'Inter.

Marseille - FC Copenhague - 25/02/2010

Source : Le Point avec AFP

Six supporters parisiens en garde à vue à Marseille

Six supporters parisiens du PSG ont été interpellés jeudi vers 18 h 30 aux abords du stade Vélodrome à Marseille, une demi-heure avant le début du match OM-Copenhague en 16e de finale retour de l'Europa League, a-t-on appris de source proche de l'enquête.

Des policiers de la Sécurité publique avaient repéré le petit groupe qui tentait de se mêler aux supporters danois avant la rencontre contre Copenhague. Les supporters parisiens ont déclaré être venus à Marseille pour en découdre avec les fans de l'OM, selon la même source. Ils ont été placés en garde à vue à la Sûreté départementale notamment pour outrages à agent de la force publique, a ajouté cette source. Dimanche, les joueurs marseillais de l'OM se rendront à Paris pour le match retour de Ligue 1 OM-PSG, un match sous haute surveillance après les incidents du match aller annulé à Marseille en octobre.

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Source : Nouvel'Obs

Une dizaine de supporters du PSG interpellés avant le match

Une dizaine de supporters du PSG ont été interpellés jeudi en début de soirée, près du stade Vélodrome de Marseille, à quelques minutes du coup d'envoi du match OM-Copenhague comptant pour les 16es de finale retour de la Ligue Europa, a-t-on appris de source policière.

Les supporters tentaient de créer la confusion en se mêlant aux supporters danois pour en découdre avec les supporters de l'OM, a-t-on précisé de même source.

Ils ont été placés en garde à vue. La Sûreté départementale de Marseille a été chargée de l'enquête.

L'OM doit se déplacer dimanche à Paris pour un match de Ligue 1.

Un important dispositif de sécurité a été mis en place afin d'éviter les coûteux incidents enregistrés après le report du match entre les deux équipes en octobre dernier.

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Source : La Provence

Des supporters du PSG étaient venus pour régler des comptes

Mais que faisaient donc ces vingt supporters du PSG aux abords du stade avant la rencontre ? Ils n'étaient pas venus profiter des rafales de vent. Après avoir loué des minibus, ils ont devancé l'appel en essayant de régler quelques comptes avec les supporters olympiens. Ambiance. Pour y parvenir, ils ont profité de la bienveillance des supporters danois.

Détectés par les policiers de la Sûreté départementale, ils ont finalement été stoppés dans leur initiative : six ont été interpellés. Trois ont été conduits au poste pour des vérifications d'identité, avant d'être ramenés au stade. Là, ils ont tenté de réintégrer la tribune de Copenhague, mais ont été rejetés par la majorité. Trois autres ont été placés en garde à vue pour rébellion et outrage à un représentant de la force publique.

Ils ont finalement été libérés vers 21h30 et ont été reconduits jusqu'à l'autoroute avec obligation de quitter Marseille. Cette intrusion intervient dans un contexte particulier à 72 heures de PSG - OM. Hier, avant la rencontre, les dirigeants olympiens ont rencontré les supporters.

Werder Brême - FC Twente - 25/02/2010

Source : twentesport.com

Après une brève confrontation entre supporters à proximité d'un hôtel Ibis, situé dans le cœur de Brême, trente fans de Twente ont été interpellés préventivement.

Traduction Underground Fans

FC Kaiserslautern - FC St. Pauli 22/02/2010

Source : Mail

7250 euros d'amende pour Bilbao - 25/02/2010

Source : 7sur7.be

La Commission sportive contre la violence du Ministère de l'Intérieur espagnol a infligé une amende de 7.250 euros à l'Athletic Bilbao suite aux incidents et à l'invasion de terrain ayant clôturé le match aller des 16es de finale de l'Europa League face à Anderlecht (1-1), jeudi dernier au Pays Basque, rapporte les quotidiens espagnols sur leur site internet jeudi.

La sanction pour l'Athletic est composée de deux amendes. Une de 3.750 euros pour défaut d'organisation, n'ayant pu empêcher l'invasion du terrain par les supporters des deux clubs à l'issue de la partie, et une amende de 3.500 euros pour jet d'un feu de bengale sur le terrain en cours de jeu.

Récidive du club basque
Réunie jeudi, la Commission sportive contre la violence, le racisme, la xénophobie et l'intolérance du Ministère de l'Intérieur espagnol a rappelé que des incidents similaires s'étaient déjà produits auparavant, parlant donc de récidive.

La commission a aussi proposé des amendes de 4.000 euros et d'une interdiction de tout stade pour une durée de 12 mois à l'encontre des 10 supporters identifiés reconnus coupables d'avoir lancés des pierres sur des supporters anderlechtois dans les environs immédiats du stade et d'avoir été interpellés en possession d'objets contondants et de pétards.

Par ailleurs, l'Atlético Madrid a lui aussi été mis à l'amende, 3.750 euros, pour défaut d'organisation lors de son match contre Galatassaray et n'avoir pu empêcher l'introduction de feux de bengale dans son enceinte.

Juventus - Ajax - 25/02/2010

Source : DePers.nl

16 supporters de Den Haag ont eu une interdiction de se déplacer en Italie pour assister au match Juve-Ajax. Ces supporters qui avaient déjà payé leurs billets d'avion et réserver leur hôtel ont pris un avocat pour demander des dommages et intérêts.

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Source : sportdome.nl

Des incidents ont éclaté avant et après le match, entre noyaux durs des deux équipes. Il y a eu plusieurs arrestations.
Les fans de la Juventus ont été renforcés par des supporters de ADO Den Haag et du Legia Varsovie. Les incidents ont continué jusque tard dans la nuit, dans le centre de Turin.



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Source : nuovasocieta.it + lastampa.it

Des hooligans de l'Ajax ont dévasté le centre-ville de Turin, à quelques heures du coup d'envoi. Vitres brisées, agressions et des passants blessés, tel est le triste bilan.
200 fans de l'Ajax s'étaient rassemblés au Pub "Corso Vittorio Emanuele II", à proximité de la gare Porta Nuova, bloquant la circulation dans ce secteur. Bières à la main, les hollandais ont commencé à insulter les passants et à lacer des projectiles sur les voitures, dont une dizaine ont été dégradées. Devant la violence des hooligans, les passants ont dû fuir, se réfugiant dans des immeubles ou des bars alentours. Les plus lents ont été tabassés par la horde.
La police a fini par arriver sur les lieux après avoir été prévenue par téléphone.











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Source : gazzetta.it

Affrontements durant journée, avant le match, entre supporters de la Juve et néerlandais. Les premiers incidents ont éclaté à la gare Porta Nuova, pour se poursuivre autour du stade olympique, où certains supporters néerlandais ont tenté d'entrer sans billet, avec des affrontements avec ceux de la Juve, et au milieu les policiers qui tentaient de repousser les deux camps. Le bilan est de trois blessés, un fan néerlandais, d'un de la Juve et un policier. Neuf supporters, dont huit polonais, ont été arrêtés par les carabiniers et placés douze heures en garde à vue.



Traduction Underground Fans

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Source : torino.blog.cronacaqui.it

FC Hansa Rostock - 1. FC Union Berlin - 24/02/2010

Source : ostfussball.com + union-foto.de + unveu.de

Il y a eu des émeutes à Rostock hier soir, avant, pendant et après le match.
Dans le stade, cela était dû à une mauvaise stratégie de la police.
Les supporters de l'Union ont tout d'abord été dirigé par erreur vers une mauvais entrée du stade, par la police. Puis environ 600 supporters d'Hansa Rostock, dont des femmes et des enfant, ont été encerclés par la police vers 18h25. Ce qui a provoqué des incidents avec d'autres supporters locaux qui ont tenté de les libérer. Plusieurs supporters ont été blessés suite à l'intervention policière à coups de matraques et de gaz au poivre.
Les incidents se sont poursuivis dans le stade, où les supporters de Rotsock ont lancé des projectiles et des fumigènes sur les fans de l'Union.
Les sanitaires du stade ont été fortement dégradés.
Après la rencontre, des hooligans ont attaqué la police à coups de bouteilles et de fumigènes. Cependant, la police a réussi à maintenir les supporters des deux équipes à distance.
La police a été clairement responsable des incidents hier soir par sa gestion bien hasardeuse des supporters.

Traduction underground Fans

Allemagne : procès à Brandis - 25/02/2010

Source : nachrichten.lvz-online.de + Leipziger Volkszeitung

Le procès d'un premier hooligan, âgé de 23 ans, s'est ouvert aujourd'hui. Ce procès fait suite aux violents incidents qui avaient éclatés le 24 octobre 2009, lors de la rencontre entre FSV Brandis et Roter Stern Leipzig. Ce jour là, 50 hooligans armés de bâtons et de barres de fer avaient attaqués les fans de Leipzig. Quatre supporters avaient été gravement blessés.
Le hooligan, a pour sa défense, indiqué qu'il était au stade uniquement pour le football et qu'il avait participé "accidentellement" aux incidents, mais le juge ne l'a visiblement pas cru. L'homme dit avoir renvoyé un bout de bois (photo à l'appui) qui avait atterri à ses pieds.
Une condamnation 16 jours avant les incidents contre Roter Stern Leipzig, à 28 mois de prison avec sursis pour des faits similaires, ne plaide pas en sa faveur.
L'accusé se défend par ailleurs, d'appartenir à une quelconque mouvance d'extrême-droite comme il a été dit dans la presse, et au contraire se revendique de gauche, de son propre aveu.
34 autres hooligans, âgés de 18 à 53 ans, qui ont participé aux incidents ce jour là, ont été identifiés grâce aux photos de la presse, mais aussi de photos issues de téléphones mobiles et de vidéos amateurs.

Traduction Underground Fans

AS Roma - Panathinaikos - 24/02/2010

Source : repubblica.it

La police a saisi sept fumigènes et un couteau lors de contrôles, à l'arrivée des supporters grecs du Panathinaikos, venus par bateau, pour le match d'Europa ligue contre l'AS Roma.
Le premier groupe d'ultras Grecs, environ 400 personnes, a atteint Ancône le matin, sans aucun problème particulier. Dans l'après-midi, cette fois-ci, se sont plus de 1500 supporters, à bord de 29 cars, qui ont débarqués par ferry en provenance de Patras en Grèce. Au cours de la fouille des cars, la police a trouvé les fumigènes et a immédiatement arrêté le supporteur, porteur d'un couteau, pour port d'arme illégal.

Traduction Underground Fans

PSG : Les supporteurs remis en liberté - 26/02/2010

Source : Presse

Jeudi, six supporters du PSG ont été interpellés aux abords du stade Vélodrome à Marseille. Les Parisiens tentaient d'en découdre avec les supporters Marseillais, quelques minutes avant le coup d'envoi de la rencontre de l'OM face à Copenhague, en Ligue Europa.

Placés en garde à vue, les supporters parisiens ont été remis en liberté dans la nuit, annonce le quotidien Le Parisien. Trois d'entre eux, âgés d'une trentaine d'années, seront convoqués ultérieurement devant le tribunal correctionnel de Marseille pour outrages à agent de la force publique, tandis que les trois autres ont été relâchés sans procédure engagée contre eux.

Pas de Marseillais au Parc ? - 27/02/2010

Source : Le Figaro

Excédés par les mesures de sécurité très strictes entourant leur voyage, les groupes de supporters marseillais pourraient boycotter le déplacement au Parc des Princes.

La possibilité d'un boycott

Combien y aura-t-il de supporters marseillais dimanche au Parc des Princes ? 1500, 500, 0 ? L'idée d'un boycott est ainsi apparue ces derniers jours parmi les associations de supporters. Celles-ci protestent contre les mesures de sécurité imposées par les pouvoirs publics autour de leur déplacement à Paris (envoi de listes de noms, fouilles et contrôles d'identité avant la remise des billets à Paris seulement, montée en convoi entouré par les forces de l'ordre…). «C'est Prison Break !», se plaint Michel Tonini, responsable des Yankees, dans Le Parisien. Tout le monde a en mémoire les échauffourées du match aller quand le report du match, annoncé le jour de la rencontre pour cause de grippe A, avait provoqué des incidents déplorables dans Marseille, entre supporters des deux camps (une dizaine de blessés, 16 gardes à vue). Le Ministère de l'Intérieur a donc décidé de durcir les mesures de sécurité, spécialement pendant le voyage des supporters olympiens. Mais ce qui pourrait passer pour un accompagnement strict est jugé «excessif» par les associations de supporters, voire anti-libertaire. «Les pouvoirs publics prennent des mesures destinées à les protéger, pas pour le plaisir. Mais je conçois que ce soit too much pour les Marseillais», expose Jean-Claude Dassier dans Le Parisien.

Dassier : «Tout le monde ou personne»

A 24 heures du Clasico, impossible donc de savoir en quelle quantité se déplaceront les supporters marseillais. Car les différents groupes ne sont tout simplement pas d'accord entre eux sur la ligne à adopter. Certains prônent le boycott pur et simple. D'autres envisagent de contourner la bulle de protection. Selon Le Parisien, les Yankees pourraient par exemple décider de s'extirper du convoi afin de rejoindre celui des supporters de l'Est de la France, au risque de se faire refouler. D'autres enfin sont prêts à accepter le voyage groupé tout en cherchant à éviter le protocole de sécurité au départ. Bref, un joli cirque que n'éclaire pas le président de l'OM. «Je ne sais pas encore ce qu'ils vont faire, c'est à eux de décider», avoue dans La Provence Jean-Claude Dassier, qui assure toutefois. «Mais ce sera une décision unanime. Soit tout le monde y va, soit personne ne se déplace à Paris. S'ils n'y vont pas, je n'irai pas». Pendant ce temps, l'OM a procédé à l'enregistrement des plaques d'immatriculation des bus censés se rendre dans la capitale et a communiqué à la Préfecture la liste des noms des supporters prévus pour se rendre au Parc. Le départ est fixé à 4 heures du matin dimanche à Marseille. Combien seront-ils au rendez-vous ? Mystère pour l'instant.

Germinal Beerschot - KAA Gent - 26/02/2010

Source: http://www.dhnet.be/sports/football/article/302123/27-hooligans-neerlandais-apprehendes-a-anvers.html

27 hooligans néerlandais appréhendés à Anvers

Des PV ont été dressés pour des atteintes à la législation en matière de football

ANVERS La police locale d'Anvers a appréhendé vendredi soir 27 hooligans néerlandais qui cherchaient la confrontation avec des supporters du GBA, club de football de division I, a indiqué le porte-parole de la police Alfons Bastiaenssens. La police locale d'Anvers a été prévenue vendredi soir, à l'issue de la rencontre de football entre le Germinal Beerschot et le club de Gand qu'une quarantaine de supporters néerlandais du club NEC faisaient route vers Anvers pour en découdre avec des supporters de GBA. "Durant l'été 2009, à l'issue d'un match d'entraînement, les noyaux durs des deux clubs s'étaient déjà bagarrés dans la localité de Groesbeek (Nijmegen)", a précisé Alfons Bastiaenssens.

Le porte-parole a affirmé que les services policiers étaient encore à pied d'oeuvre près du stade lorsqu'ils ont été alertés par les forces de l'ordre néerlandaises de l'arrivée des supporters du NEC. "Nous avons réussi à intercepter un certain nombre de véhicules avec à leur bord des supporters néerlandais, à Merksem, à hauteur du Vaartkaai."

La police précise qu'il était clair que ces Néerlandais n'avaient pas des intentions amicales en se rendant à Anvers puisqu'ils étaient munis de chaînes et d'autres objets métalliques. "Nous avons intercepté 27 supporters qui ont été entendus. Des PV ont été dressés pour des atteintes à la législation en matière de football. Les supporters néerlandais ont été remis en liberté dans le courant de la nuit."

OM : «Boycott général» des supporters - 27/02/2010

Source : L'Equipe

Comme nous l'avait laissé entendre Jean-Claude Dassier, les supporters marseillais ont décidé un «boycott général» du déplacement à Paris dimanche où l'OM doit affronter le Paris SG. Ils veulent ainsi protester contre les mesures de sécurité imposées par le ministère de l'Intérieur, a indiqué samedi soir à l'AFP un porte-parole des Winners, l'un des principaux groupes de supporters du club.

Pologne: Mazur Pisz - Mazur Ełk - 21/02/2010

Source: mail (merci à l'expéditeur)

10x10 (tous moins de 23 ans)
Victoire de Mazur Pisz

Pologne (hockey) : GKS Jastrzebie - Podhale Nowy targ - 20/02/2010

Source: mail (merci à l'expéditeur)

9 vs 9, que des jeunes
25-30 secondes de contact et victoire GKS

Pologne : GKS Katowice vs Ruch Chorzow - 20/02/2010

Source: mail (merci à l'expéditeur)

Affrontements entre hooligans de Katowice et de Ruch Chorzów, lors d'un tournoi à Ruda Slaska. Utilisation de stylo-fusées des deux côtés.

Pologne : KSZO Ostrowiec vs Korona Kielce - 20/02/2010

Source: mail (thanks to the sender)

Les supporters de KSZO alors en déplacement à un tournoi joué à Poznan, ont été attaqués par des hooligans de Korona Kielce.

RCD Mallorca - Sevilla FC - 20/02/2010

Source : diariodemallorca.es

La Police nationale a indiqué avoir interpellé une vingtaine de supporters de Majorque qui avaient provoqués des incidents près du stade Ono, avant le match contre Séville. Incidents au cours desquels des voitures en stationnement ont été détruites et des fans de l'équipe adverse, attaqués. La police anti-émeute a dû appeler des renforts pour contrôler la situation.
Les unités de prévention et d'intervention (UPR) qui étaient en charge de maintenir l'ordre autour du stade, ont repéré un groupe de supporters locaux qui dégradaient des voitures en stationnement et qui ont lancé des pierres, des fumigènes et agressé, à coups de pieds et de poings, des fans de Sevilla.
Les supporters de Majorque ont finalement été identifiés et arrêtés. Selon la loi contre la violence dans le sport, ils risquent une amende pouvant aller jusqu'à 4000 euros et une interdiction de stade pour une année.

Traduction Underground Fans

Les supporteurs marseillais optent pour le boycott - 28/02/2010

Source : Le Parisien

Ils ont finalement opté pour la politique de la tribune vide. Les supporteurs marseillais ont décidé hier soir de ne pas se rendre au Parc des Princes en fin de journée. Les fans de l’OM jugent trop contraignant le dispositif policier mis en place par le ministère de l’Intérieur (déclinaison de leur identité, fouilles au départ de Marseille, déplacement encadré et sécurisé et places distribuées au stade uniquement).
« C’est sûr à 99 %, confirme un policier parisien, qui a eu l’information par ses homologues marseillais. Mais il reste encore 1 %, et on ne sait jamais. Ils ont une capacité de mobilisation très importante. »

Dassier solidaire… et absent

« Ils se foutent de notre g…, s’énerve un membre des forces de l’ordre, qui n’écarte pas qu’il y ait quand même quelques Marseillais présents. Tout ça car ils ne peuvent pas faire de business avec les places comme nous l’a dit un policier marseillais lors d’une réunion préparatoire. Tout ceci est irresponsable, tout comme l’attitude de M. Dassier. » Contacté hier soir, le président olympien nous a déclaré : « Les supporteurs marseillais nous donnent une bonne leçon. C’est un non à la violence qu’ils adressent. Ils trouvaient scandaleux d’être mis dans le même sac que les Parisiens. »
Un discours qui choque son homologue du PSG. « Je ne peux pas laisser dire, comme l’affirme Jean-Claude Dassier, qu’il y a d’un côté de bons supporteurs, les Marseillais, et de l’autre des mauvais, les Parisiens. Les supporteurs marseillais ont été à l’origine de débordements il n’y a pas si longtemps… Les déclarations des dirigeants de l’OM sont d’autant plus étonnantes que ce sont eux qui ont proposé ce dispositif le 10 février lors d’une réunion au ministère de l’Intérieur… »
Solidaire avec ses supporteurs, Jean-Claude Dassier nous a affirmé qu’il ne se rendrait pas au Parc ce soir et qu’il serait en Savoie. Le PSG n’avait reçu aucune confirmation de cette défection hier soir et affirmait même détenir des places pour le président marseillais et Margarita Louis-Dreyfus, la propriétaire de l’OM. Malgré les déclarations des supporteurs et des dirigeants de l’OM, les forces de l’ordre ont décidé de maintenir le dispositif prévu initialement pour encadrer la venue de 1 500 fans de l’OM.