Saison 09/10 - Février

VfL Bochum - 1. FC Nürnberg - 27/02/2010

Source : newsticker.sueddeutsche.de

Juste avant le coup d'envoi, sept supporters de Nuremberg ont été brulés suite à l'usage excessif de pyrotechnie. Deux d'entre eux ont été amenés d'urgence dans une clinique spécialisée de Bochum pour de graves brulures au 3ème degré. Enfin, un supporter a été soigné pour inhalation de fumée.

Traduction Underground Fans

Marseille Tonini: "On prend nos responsabilités" - 28/02/2010

Source : lephoceen.f

Les groupes de supporters de l'OM ont décidé le boycott du match PSG-OM pour protester contre les mesures de sécurité exceptionnelles prises pour encadrer les Marseillais lors de leur déplacement au Parc. Pour Le Phocéen, Lionel Tonini, un des responsables des Yankee, revient sur cette décision.

Lionel, pouvez-vous nous expliquer les raisons de ce boycott ?

Lionel Tonini : "Tous les groupes étaient d'accord depuis un moment pour ne pas monter. On devait être encadrés de Marseille à Paris, ils devaient compter le nombre de bières, on n'aurait pas pu s'arrêter dans les stations-services, c'est du n'importe quoi ! On n'a plus la liberté de déplacement... Si on avait accepté ces conditions-là, cela aurait fait jurisprudence et les prochains déplacements des supporters de l'OM se dérouleraient tous comme ça."

Vous n'avez pas voulu non plus monter par vos propres moyens ?

Lionel Tonini : "Si on montait par nos propres moyens, et s'il y avait des incidents, on aurait encore été montré du doigt. Pour éviter cela, et vues les conditions et le climat de tension ou de guerre qui aurait régné à Paris, on préfère rester à Marseille. Il n'y a pas de raison de mettre en danger les supporters de l'OM. Il y a des choses bien plus graves qu'un match OM-PSG, il y a les séismes en Haïti et au Chili, là on parle d'une rencontre de football ! C'est notre manière de protester."

Le climat est de plus en plus délétère lors de ces déplacements ?

Lionel Tonini : "Il y a 15 ans en arrière, lorsqu'on montait à Paris, on mangeait dans un restau, sans aucun problème. Désormais, il y a l'armée qui nous encadre ! C'est inacceptable. C'est ce qu'on dénonce et qu'on condamne. Le vrai problème est à Paris. Aujourd'hui, on laisse faire les hooligans du PSG. Ils sont protégés, rien n'est fait. On ne veut pas être mis dans le même panier que ces gens-là. On prend donc nos responsabilités et on ne monte pas. Ce déplacement-là, on le fera plus si c'est comme ça... Nous on est des supporters de l'OM, on est là pour le ballon, on est là pour le plaisir et la passion, on n'est pas là pour se battre."

Padova - Torino - 27/02/2010

Source : padova24ore.it

Moment de tension après la rencontre remportée par Torino (0-1), autour du stade Euganeo, où 200 ultras locaux se sont réunis pour protester contre les résultats médiocres de l'équipe (avant dernière de Série B). Les policiers ont fait face à la foule en colère pour finalement lancer une petite charge. Le président de Padova, Marcello Cestaro, et le directeur général, Gianluca Sottovia, accompagnés de cinq joueurs de l'équipe sont venus discuter avec les ultras.

Traduction Underground Fans

VfB Stuttgart - Eintracht Frankfurt - 27/002/2010

Source : ka-news.de

La police de Karlsruhe a indiqué que toute une série de violences avaient eu lieu entre supporters de Francfort de retour d'un déplacement à Stuttgart et supporters du club local, Karlsruhe SC.
Des bagarres ont notamment eu lieu à la gare samedi soir mais aussi dimanche matin, où le local des fans de KSC, a été attaqué et dégradé par 50 supporters de l'Eintracht, vers 5 heures. S'en est suivi une bagarre bien matinale avec 70 supporters de KSC.

Traduction Underground Fans

Frankfurt mob

Paris SG - O.Marseille - 28/02/2010

Source : Maxifoot

Affrontements entre supporters et CRS

Quelques minutes avant le coup d'envoi du match entre le Paris Saint-Germain et l'Olympique de Marseille ce dimanche soir, des incidents ont éclaté à proximité du Parc des Princes entre supporters parisiens et forces de l'ordre. Les CRS ont dû charger près de 500 fans du PSG, qui ont répliqué par l'usage de bombes agricoles. On déplore quelques blessés.





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Source : RMC.fr

Violents incidents entre supporters parisiens

Moins d’une heure avant le début du clasico, les abords du Parc des Princes ont été le théâtre d’affrontements entre supporters des tribunes Boulogne et Auteuil.

Selon nos informations, des membres de la tribune Boulogne se sont présentés aux environs de 20 heures devant l’entrée de la tribune Auteuil. Ces derniers s’en sont pris aux gens présents autour d’eux. Quelques minutes après le début des débordements, des supporters d’Auteuil sont descendus pour répliquer à leurs homologues de Boulogne. Les deux camps se sont affrontés à coups de bouteilles en verre. Les CRS sont intervenus et ont reconduit les supporters d’Auteuil dans les tribunes. Les membres de Boulogne ont été repoussés dans les rues avoisinantes. Ces derniers ont tentés à plusieurs reprises de charger de nouveau, en se servant cette fois des barrières de sécurité placées autour du stade. Pendant de longues minutes, les accès à la tribune Auteuil ont été bloqués. Vers 20h45, les choses étaient rentrées dans l’ordre.

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Source : Le Parisien

Un supporteur du PSG sérieusement blessé

Des heurts ont opposé des supporteurs du PSG aux supporteurs du… PSG, hier, moins d’une heure avant le coup d’envoi de la rencontre. Lors de ces violences qui ont eu lieu autour du Parc des Princes, un fan de la tribune Boulogne a été sérieusement touché. Les circonstances exactes de ce grave incident n’étaient pas connues hier soir à minuit.
Seule certitude : ce supporteur n’a pas été blessé à l’arme blanche.
Vers 20 h 15, le corps en sang et inanimé de l’homme gisait à même le sol derrière un cordon de CRS. L’ambulance qui devait le prendre en charge, vraisemblablement retardée par la cohue et les barrages policiers, n’a pu intervenir qu’un quart d’heure plus tard. Par ailleurs, deux ou trois blessés seraient à déplorer. La police a procédé à sept interpellations. Ce matin, le dispositif de sécurité au Camp des loges pour l’entraînement des joueurs parisiens sera renforcé. A défaut de fans marseillais, les supporteurs des tribunes Auteuil et Boulogne ont donc ravivé leurs querelles internes. Les CRS et les gendarmes mobilisés pour l’occasion ont été contraints de faire usage de gaz lacrymogène et de fusées éclairantes pour les disperser. Pendant la première période, ils s’invectivaient de tribune à tribune. Pour mémoire, Auteuil et Boulogne s’étaient déjà affrontés violemment lors des déplacements du PSG à Bordeaux et à Lille, en décembre et en janvier.
Hier, les plus radicaux des supporteurs parisiens semblaient à cran. Toute la journée, les rumeurs sont allées bon train concernant la pré- sence, ou non, de fans de l’OM dans la capitale. Mais la « chasse » des Parisiens au Trocadéro ou à Bercy s’est révélée infructueuse.
Les supporteurs olympiens ont respecté le mot d’ordre de boycott et la tribune visiteurs est restée vide pendant toute la rencontre. A 3-0 en faveur de l’OM, des supporteurs du PSG ont tenté de pénétrer sur la pelouse du Parc, mais ont été maîtrisés par des stadiers. La sortie du stade s’est, en revanche, déroulée dans le calme.



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Source : RMC.fr

Un supporter parisien dans le coma

Dimanche soir, avant le coup d'envoi du match PSG - OM, les affrontements entre supporters des tribunes Auteuil et Boulogne ont fait un blessé grave. Un homme de 38 est dans le coma.
Dans la confusion des affrontements entre supporters des tribunes Boulogne et Auteuil, un supporter de 38 ans, membre de la tribune Boulogne bleu, a été violemment pris à partie par des supporters d’Auteuil. Selon des témoins, cet habitué du Parc des Princes aurait été roué de coups de pieds, barre de fer et pavés par une cinquantaine d'assaillants. Souffrant de multiples fractures, il a été transféré à l'hôpital Beaujon à Clichy. Dans le coma depuis l’incident, son pronostic vital est engagé.

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Source : SoFoot

Dimanche soir, au Parc des princes, il n’y avait pas de supporters de l’OM, mais des incidents violents ont bien eu lieu entre supporters des deux tribunes. Cette fois, c’est sûr, le point de non-retour est atteint. Retour sur la soirée, en trois actes.

Acte I – Vers 19h00 : CRS vs supporters

En sortant du métro, on s’est dit qu’on allait passer une drôle de soirée. Le dispositif de sécurité était vraiment impressionnant, le périmètre bouclé, le secteur semblait sous contrôle. Vers 19h et des poussières, premiers cris, premières agitations : devant la tribune Auteuil, des CRS font face à plusieurs centaines de supporters qui viennent de voir passer le car des joueurs de l’OM et qui tentent de l’empêcher de passer. Évidemment, il passera. Sans surprise, un petit groupe se forme sur le rond-point, devant le bar “les Deux Stades”, et commence à provoquer les forces de l’ordre. Deux-trois jets de bouteilles plus tard, les forces de l’ordre chargent. La foule recule de quelques mètres, à peine.

Acte II – Un peu après 19h30 : Boulogne vs Auteuil

Cette petite charge des forces de l’ordre désorganise le petit bloc, jusque-là compact. Il est alors pratiquement 19h30. Une dizaine de minutes plus tard, contournant les barrages de sécurité, des indépendants de la tribune Boulogne débarquent du boulevard parallèle et arrivent au niveau de la tribune I. Criant « Supras, Supras, on t’encule », ils chargent en direction de la tribune Auteuil. Ils semblent environ 300, peut-être moins, les jeunes sont en première ligne, suivis de près par les anciens. Pris de surprise, les ultras de la tribune Auteuil semblent accuser le coup et reculent dans un premier temps. Puis se ressoudent et font reculer les indépendants jusqu’à leur point de départ –l’entrée de la tribune I.

Fumigènes, bombes agricoles, barrières, on voit voler de tout et de rien. On en vient aux mains, de manière très violente. Ceux qui tombent à terre sont lynchés de coups –de chaque côté. Un membre de la tribune Boulogne –il appartiendrait à la Casual Firm–, lynché, est grièvement blessé. Il est évacué par ambulance. Pour éviter que la situation n’empire, les stewards ferment les portes d’accès du stade, empêchant ainsi les ultras déjà entrés en tribune G et tribune Auteuil de ressortir. Des « Boulogne, Boulogne, on t’encule » fusent d’un peu partout, de manière très impressionnante, et apparaissent comme l’expression d’un ras-le-bol quasi-général, y compris –et surtout– pour certains supporters "lambdas" qui ne comprennent pas trop pourquoi des supporters d’une même équipe se tapent dessus devant leurs yeux.

Depuis les travées du Parc, certains jettent tout ce qui leur passe sous la main sur les indépendants. Les kobistes répondent en faisant des saluts nazis et en chantant à la gloire de leur tribune. Tout cela se passe sans l’intervention des CRS. Ont-ils laissé faire exprès ? Ont-ils été débordés par les événements ? Difficile à dire. Toujours est-il que le cortège des indéps était tout sauf discret : chants, ratonnades, on pouvait prévoir ce qui allait se passer. Ces affrontements, qui prennent des allures de guerre civile, dureront une bonne trentaine de minutes. Certains voient une victoire d’Auteuil, d’autres de Boulogne. Quoi qu’il en soit, il est apparu aux yeux de tous que la quasi-majorité de la tribune Auteuil a décidé de faire front face à la tribune Boulogne. Contrairement aux Tigris en 2006, les Supras ne sont donc pas seuls dans la guerre désormais officielle qui les opposent au KOB.

Acte III – Dans le stade : aux frontières du réel

Comme lors du dernier match contre Toulouse, le virage Auteuil avait décidé de ne pas lancer de chants et de laisser libre cours à la spontanéité de ses membres. Au contraire, le KOB avait prévu un soutien continu et classique. La tournure du match aura vite raison des plus motivés. On retiendra cependant plusieurs choses de l’ambiance dans les travées du Parc. D’abord, les sifflets et les insultes à chaque fois qu’Heinze touchait le ballon. Ensuite, la volonté de ne rien partager entre les deux tribunes –le célèbre échange « Allez Paris, Paris est magique », lancé par Boulogne, fut accueilli en Auteuil par des sifflets. Enfin, on notera l’indifférence qui s’installera peu à peu dans le stade. Après le deuxième but marseillais, le Parc était silencieux ou presque, un peu comme une minute de silence qui ne serait pas bien respectée. Déroutant. De la tribune K, quelques supporters tenteront d’envahir le terrain, en vain. Les CRS viendront sur la pelouse, des fumigènes seront lancés, Kezman sera applaudi à son entrée et ovationné à son tacle. Oui, le public francilien en est réduit à ça. La sortie du stade ressemble à l’évacuation d’un camp militaire. Du bleu partout, celui des forces de l’ordre, qui ont bloqué un peu tout et n’importe quoi pour que les membres des deux tribunes ne se croisent pas. Peine perdue. Déjà, on parle du prochain match à l’extérieur. Ce sera samedi prochain, à Lens.



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Source : Mail

avant match :
grosse charge des indépendants, Auteuil se défend comme ils peuvent, Boulogne reculent après la charge des CRS

deuxième période :
2 mecs rentrent sur le terrain de force et se font arrêter par plus de 10 stewards et policier. jets de fumi sur les CRS devant Boulogne.



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Source : Sud Ouest

Un nouveau dérapage

Les supporters marseillais ayant boycotté ce déplacement pour protester contre les mesures de sécurité, jugées excessives, le chant de bienvenue était tout trouvé : « Mais ils sont où les Marseillais ? » Plutôt amusant. En revanche, l'accueil réservé à Gabriel Heinze, l'ancienne idole du Parc des Princes passé dans l'autre camp, fut des plus nauséabonds. Durant l'échauffement, avant que les stewarts ne se précipitent pour la décrocher, l'Argentin a peut-être eu le temps de lire cette banderole : « Heinze, en 45, on t'aurait tondu ».



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Source : Nouvel'Obs

A l'issue du match, où l'OM a battu le PSG 3 à 0, de nouveaux affrontements se produits non loin de la porte de Saint-Cloud, où la police a à nouveau fait usage de gaz lacrymogènes contre environ 200 jeunes supporteurs, rapidement dispersés, a constaté l'AFP.

Lyon - OGC Nice - 27/02/2010

Source : leprogres.fr

Trois supporters niçois en garde à vue

Samedi peu avant la rencontre du match de football Lyon-Nice, un début de bagarre a éclaté aux abords du stade Gerland. Trois supporters de l'équipe visiteuse, âgés d'une vingtaine d'années, ont été interpellés par les forces de l'ordre alors qu'ils jetaient des projectiles. Ils ont été conduits à l'hôtel de police pour être placés en garde à vue. Ils feront l'objet d'une convocation devant le tribunal correctionnel.

Real Oviedo - Sporting Gijon B - 28/02/2010

Source: http://www.teleasturias.com/digital/index.php?gSec=noticia&gId=9648

En marge de ce derby régional, les esprits s'échaufferont sur le terrain, entre joueurs et auront une répercussion sur les tribunes où des supporters locaux tenteront d'envahir le terrain, obligeant la sécurité à intervenir.

Bosnie-Herzégovine : Sloboda Tuzla - Sarajevo - 27/02/2010

Source: tuzlalive.ba

Bayer Leverkusen - 1.FC Köln - 27/02/2010

Source: http://www.rp-online.de/bergischesland/leverkusen/nachrichten/leverkusen/Gewalt-beim-Fussball-Derby_aid_825976.html

Quatre blessés et 72 arrestations, tel est le triste bilan de la rencontre. Un policier a été gravement blessé et transporté dans une clinique. Il a été traîné hors de sa voiture et tabassé par cinq personnes. Il s'en tire avec une fracture de la pommette. Un autre policier a également été grièvement blessé. Enfin un supporter a eu le nez cassé et un fan de Cologne a été mordu par un chien policier.
La rumeur du possible décès d'un supporter de Leverkusen, frappé par des supporters de Cologne, a mis le feu aux poudres. Plusieurs bagarres ont eu lieu entre fans rivaux, après la rencontre, autour de l'hôtel de ville.
Avant le match, la police avait tant bien que mal réussi à maintenir à distance, les supporters des deux équipes.

Ecosse : St Mirren FC - Hamilton Academical - 27/02/2010

Source : BBC News

Un porte-parole de la police de Strathclyde a indiqué qu'une importante bagarre avait eu lieu à 16 heures, dans Causeyside Street.
15 supporters, âgés de 15 à 50 ans, ont été arrêtés. 13 seront présentés à un tribunal et les deux mineurs de 15 ans passeront devant une cour pour mineurs prochainement.

Traduction Underground Fans

Red Bull Salzburg - Standard Liège - 25/02/2010

Source: mail (merci à l'expéditeur)

Avant match, alors que quelques durs Belges attendent un trolley, une 30aine de locaux apparaissent et les chargent.
Malgré le sous-nombre les liégeois restent au contact et morfleront bien pour certains (un gars à l'hosto). Suite à cet acte de bravoure autrichienne, les quelques Belges présents vont chercher du renfort dans un bar (fans lambdas) et chargent à 30 vers les gars du Red Bull qui se disperseront.

Thaïlande: Thai Port - Muang Thong United - ??/02/2010

Source : mail (merci à l'expéditeur)

Excédé de la défaite 2-0 les supporters de Thai Port s'en sont pris a leurs ennemis d'un soir et on fait arreter le match .