Saison 09/10 - Août

Ils veulent se battre dans Charleroi ! - 07/08/2009

Source: journal Sud Presse



Des rencontres musclées entre supporters en ville, plutôt que sur des parkings isolés ?

L’hooliganisme est-il en recrudescence à Charleroi ? Dimanche, des groupes de supporters du Sporting et de Bruges avaient organisé un “combat” près de l’UT et place Charles II. Mais les Brugeois se seraient“ dégonflés ” au dernier moment...

Dimanche dernier à 18 heures, le Sporting local ouvrait la saison de football en accueillant le Club de Bruges. Une rencontre qui, sur le terrain, a dégénéré avec trois exclusions carolos. Mais au regard de ce qui aurait pu se dérouler en dehors du stade, les Oulmers, Chakoury et Cordaro peuvent être considérés comme des enfants de cœur. Peu avant le coup d’envoi du match, les “RCSC Boys 91”, un groupe de supporters de Charleroi, avait donné rendez-vous à des fans de Bruges aux alentours de l’Université du Travail (UT), près du café “ Le Royal Nord”, à quelques encablures du stade. L’objectif ? Se battre. Se taper dessus. Et faire du grabuge. “Mais ils ne sont pas venus ”, regrette un des membres de la troupe carolo.

“Les Brugeois se sont lamentablement dégonflés. Ils étaient pourtant une bonne trentaine, comme nous. Le rendez-vous avait été planifié le samedi après-midi. On les a attendus. Mais en vain...” La raison ? La présence policière ? “Non, ils ont eu peur de nous, c’est tout. Notre groupe a une très bonne réputation. En Belgique,nous sommes considérés, après les Anversois et les Anderlechtois, comme le groupe le plus virulent ”, n’hésite-t-il pas à se vanter. Les “RCSC Boys” sont donc allés à leur rencontre, dans un café près de la rue du Collège. La présence policière dans le parc les en a dissuadés.

L’année dernière, les deux camps s’étaient affrontés sur le parking du Carrefour de Jumet. Pourquoi donc veulent-ils, subitement, se mêler à la foule ? “Et pourquoi pas? ”, répond ce fanatique. “On ne veut pas frapper sur les gens. Mais uniquement sur des personnes consentantes. Place Charles II, rue de l’UT ou ailleurs”. Pas certain que la police l’entende de la même oreille. «

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“Free fights”: le mode d’emploi

Ces combats entre les noyaux durs des supporters sont, bien souvent, organisés à la virgule près. Et sont rarement improvisés.
La vieille de la rencontre, les deux leaders des camps s’envoient des SMS. Par exemple: “ On se fait une fight demain” ? Si la réponse est positive, les deux hommes se rencontrent, autour d’une bière, et ils discutent. Des règles sont établies (par exemple, interdiction d’utiliser des armes). Et ils repèrent les lieux de l’affrontement. “Après, on boit de nouveau un verre ensemble, et on se dit “à demain” pour se bagarrer à coups de poing”, explique un Carolo. Barbare comme comportement ? “Non”, répond-t il, “ c’est tout simplement pour assurer l’honneur de Charleroi... ”.

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Monsieur l’inspecteur, le “RCSC Boys 91” annonce vouloir se rapprocher du stade du Sporting pour “organiser” leur “combat”. Cela vous étonne ?

Tenant compte que cela relève du secret professionnel, il n’entre pas dans mes prérogatives de confirmer ou infirmer quoi que ce soit par rapport à un groupe de supporters. Mais je peux vous dire qu’au sujet du hooliganisme, en général, c’est plutôt l’inverse que l’on constate :
lorsque des noyaux durs de supporters organisent leur “rencontre”, ils choisissent des endroits discrets, comme des parkings ou des aires d’autoroute. Vouloir se rapprocher des stades ? On verra avec le temps si cela se confirme. Mais,à Charleroi, nous sommes prêts à réagir au cas où...

Vous n’avez rien remarqué ce dimanche ?

Nous avons, effectivement, constaté des mouvements de supporters. Mais la situation est restée sous-contrôle. Je le répète : nous restons vigilants.
Plusieurs mesures ont été prises, et les policiers sont en nombre suffisant pour contrecarrer leur projet. Tout le monde doit pouvoir venir, tranquillement, profiter d’un match de foot avec les enfants.

Si des hooligans ont l’intention de se rapprocher du stade, ils viennent, en quelque sorte, vous provoquer...

Si tel devait être le cas, oui, c’est un peu le jeu du chat et de la souris. Les gens qui composent les noyaux durs connaissent parfaitement les règles. Et les conséquences de leurs actes. Mais ils prennent un certain plaisir à jouer avec le feu.

Vous craignez une recrudescence de la violence dans Charleroi ?

Non, pas plus qu’ailleurs. Mais c’est difficile à prévoir, car c’est un phénomène variable. Aujourd’hui, on observe parfois des alliances entre certains groupes de clubs différents. Il y a quelques années, c’était inconcevable. C’est pour cela que, de notre côté, on ne peut pas baisser la garde. Notre rôle,c’est d’assurer que l’ordre public et social ne soit pas perturbé. Et nous faisons tout pour.

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Ils se filment pour... YouTube

Il y a huit ans,Stéphane (prénom d’emprunt) quittait définitivement le “monde” des noyaux durs des supporters du Sporting de Charleroi.
“Mais j’ai toujours gardé un œil attentif à ce qu’il se passait dans ce milieu ”, explique-t-il. Son verdict ? “Le hooliganisme d’aujourd’hui n’a plus rien à voir avec les pratiques des années 80 et 90. C’est le jour et la nuit. Avant, des incidents éclataient chaque semaine. Maintenant, ils sont isolés.Et les “freefights” s’organisent en dehors des stades et de la population ”.
Ces affrontements entre fanatiques se font, également, sans armes. Seuls les poings et les pieds sont tolérés. Un code de règles tacites, non écrites, existe également.
Par exemple, il est interdit de toucher aux voitures. “L’approche de ces supporters violents n’est plus décousue. Ici, c’est plus “fair-play” dans le sens où ceux qui veulent se taper dessus connaissent les lois qu’ils s’imposent. Même si, évidemment, des débordements ne sont jamais à exclure ”, indique Stéphane.
Autre “nouveauté”: les nouvelles technologies. Les noyaux durs se photographient et se filment en train de se frapper dessus. Et les vidéos de leur exploit se retrouvent, généralement, sur des plateformes d’échange comme YouTube. “À Charleroi, cette pratique n’est pas vraiment courante, contrairement aux pays de l’est ”, insiste-t il. “Des pays, comme la Russie, la Pologne, la Slovaquie ou la Tchéquie, qui se sont ouverts au hooliganisme suite à la chute du mûr de Berlin ”.
Quant au projet avorté des supporters de combattre près du Royal Nord dimanche dernier, Stéphane est un peu étonné. Même si... “J’étais au courant. Mais c’est étrange car d’habitude, ils essaient de faire cela le plus loin possible”. Pour combien de temps encore ?

Le Steaua Bucarest à l'amende - 07/08/2009

Source : L'Equipe

Le club roumain du Steaua Bucarest disputera ses deux prochaines rencontres de Ligue Europa à huis clos, après les incidents ayant émaillé le match contre l'Ujpest Budapest, le 24 juillet dernier, au 2e tour préliminaire. « L'UEFA nous a infligé deux matches à huis clos et une amende de 30.000 euros, a annoncé Gigi Becali ce vendredi à l'AFP. « Avec l'amende, le manque à gagner sur les billets et les frais de jugement, ces sanctions coûteront près de 700 000 euros au club», a-t-il déploré, menaçant d'interdire de stade « plusieurs centaines de hooligans ».

Des banderoles injurieuses envers les Hongrois avaient été déployées lors de la victoire du Steaua (2-0). En barrages, le club de la capitale roumaine rencontrera les Irlandais du Saint Patrick's Athletic à l'occasion du match aller, le 20 août, à Bucarest.

Bosnie: NK Celik Zenica - FK Zeljeznicar - 01/08/2009

Source : Mail (merci à l'expéditeur)

Supporters de Celik contre la police.


https://www.youtube.com/watch?v=b24-fEpo1j0

Croatie: FC Shibenik - FC Osijek - 01/08/2009

Source: sport.dnevnik.hr + ezadar.hr + hrt.hr

La presse a rapporté une bagarre à Shibenik entre supporters du FC Osijek et d'Hajduk Split. 7 supporters ont été blessés et 44 ont été arrêtés.

La bagarre a eu lieu deux heures avant le coup d'envoi de la rencontre Shibenik-Osijek à proximité de la pizzeria "Forum" qui a été fortement endommagée.

En toute vraisemblance les supporters d'Hajduk (Torcida) avaient préparé leur coup contre les supporters d'Osijek (Kohorta) car ces derniers avaient dérobé une bâche à la Torcida lors d'Hajduk Split-FC Osijek une semaine auparavant.



VIDEO: http://www.hrt.hr/index.php?id=48&tx_ttnews[tt_news]=44705&cHash=13a79d29a9

Partizan Belgrade - APOEL Nicosie - UEFA - 05/08/2009

Source : Cyprus Mail

Des affrontements ont eu lieu tard dans la nuit, dans la capitale de Chypre en marge du match entre le Partizan Belgrade et APOEL.
Les incidents ont eu lieu entre supporters rivaux d'APOEL et d'Omonia qui se sont battus et lancé des pierres. Selon un porte-parole de la police, les premiers incidents ont eu lieu vers 0h30 du matin lorsque une vingtaine de supporters d'Omonia, furieux de la victoire de leurs ennemis à Belgrade, ont quitté leur local basé à Pallouriotissa, commune qui se trouve dans la périphérie de Nicosie, pour dégrader des véhicules en stationnement à coups de pierres. Après l'intervention de la police, les supporters sont retournés à leur local.
Vers 1h30, des supporters d'APOEL ont attaqué le local de leurs rivaux. Les deux camps se sont alors envoyés des pierres. La bagarre a, toujours selon la police, impliqué 150 à 200 supporters des deux équipes. D'importants dégâts ont été signalés. Les incidents se sont terminés après une nouvelle intervention de la police qui a interpellé trois supporters.
Un des supporters interpellés, âge de 23 ans, a porté plainte pour violence policière, tout comme 10 habitants qui ont eu des dégradations sur leurs maisons.

Traduction Underground Fans

Brescia : Arrestations de 9 tifosi - 07/08/2009

Source : repubblica.it

9 tifosi de Brescia, âgés de 23 à 45 ans, qui avaient provoqué des incidents lors de la rencontre Empoli-Brescia du 07 juin dernier, ont été arrêtés par la police suite à une enquête. Les supporters avaient forcé les grilles du stade Carlo Castellani, puis chargé en direction des supporters locaux en leur lançant des pierres.

Traduction Underground Fans

Allemagne : Les policiers réclament 75 M€ - 07/08/2009

Source : L'Equipe Avec AFP

Un des syndicats des policiers allemands (DPolG) a réclamé vendredi que la Fédération allemande paye une redevance de 75 millions d'euros par an pour la sécurité assurée autour et dans les stades par les forces de l'ordre. S'exprimant par la voix de son responsable, Rainer Wendt, dans un entretien paru au Neue Osnabrücker Zeitung, le petit syndicat DPolG, qui revendique 80 000 adhérents, précise que «cela ne représente que la moitié du coût pour le déploiement des fonctionnaires de police chaque saison».

Les quelque 1,4 million d'heures de travail générées, selon lui, par ces dispositifs lors de la saison 2007-2008, sont «supportés par les contribuables». «Si les clubs peuvent encore payer des salaires aussi élevés, poursuit-il, c'est parce qu'ils se déchargent d'une partie non-négligeable de leurs frais de fonctionnement sur les contribuables.» A l'été 2008, une polémique entre une association d'officiers de police britanniques et la Fédération anglaise, au sujet du coût des mesures de sécurité pour les rencontres de football, avait montré qu'à peu près la moitié des frais étaient à la charge de forces de l'ordre.

Grenoble - O.Marseille - 08/08/2009

Source : nouvelobs.com + Le Figaro

Une heure avant la rencontre, de violents incidents ont opposé les supporters grenoblois à leurs homologues marseillais. Trois supporters marseillais ont été blessés et un autre grenoblois interpellé, a-t-on précisé de source policière.

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On joue la 50e minute lorsque Diawara tacle Matsui et concède le corner. Une intervention plutôt virile, mais correcte aux yeux de M. Kalt. Pas de quoi en faire un drame donc, d'autant que le feu-follet japonais se relève quasiment dans la foulée. Et pourtant. Mécontents de la décision, les supporters isérois ne trouvent rien de mieux à faire que de lancer des projectiles de toutes sortes dans la surface de réparation de Steve Mandanda (briquets, pétards) obligeant l'arbitre à interrompre brièvement les débats. Un comportement déplorable surtout que le match s'est, lui, déroulé dans un très bon état d'esprit.

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Source: Le Dauphiné

Violents incidents avant le match : quatre blessés

De violentes échauffourées ont éclaté hier aux abords du Stade des Alpes, 1 h 45 environ avant le match de football de Ligue 1 GF 38/OM. Selon nos informations, deux personnes ont été mordues par un chien policier et deux autres ont été interpellées par les forces de l'ordre. Par ailleurs, dans l'après-midi, une rixe opposant des supporters grenoblois et marseillais a fait deux blessés dans le secteur de la place Notre-Dame où une centaine d'ultras grenoblois attendaient le match à la terrasse des bars.

Ce premier incident s'est produit dans des circonstances encore peu claires mais on sait que les sapeurs-pompiers ont porté assistance à un supporter marseillais de 35 ans victime de violents coups portés au visage. Il a été transporté au CHU de Grenoble-La Tronche pour des plaies au visage et des dents cassées. Il semble que le second blessé, atteint d'une plaie de plusieurs centimètres à un bras, soit un octogénaire qui s'est retrouvé par hasard au milieu de la rixe. Il a également été conduit à l'hôpital, mais son état n'inspirerait pas d'inquiétude. La police est intervenue dans le secteur pour rétablir le calme.

C'est vers 19 h 15 que les incidents les plus graves se sont produits, alors que l'arrivée des premiers cars de supporters marseillais s'était déroulée jusque-là dans une ambiance relativement calme. À cet instant, les effectifs de police de la Sécurité publique et deux unités de gendarmerie mobile, soit environ 150 hommes, avaient pris position depuis longtemps déjà autour du Stade des Alpes et plus particulièrement sur deux points névralgiques : devant la tribune des ultras grenoblois - côté mairie - et autour des barriérages réservés à la canalisation des cars et des supporters marseillais - côté avenue de Valmy -.

Une trentaine de supporters marseillais, arrivés par le boulevard Jean-Pain, ont tenté d'attaquer les Grenoblois qui attendaient d'entrer dans la tribune. Un peloton de gendarmes mobiles s'est interposé alors que les deux groupes échangeaient des jets de projectiles, et a dispersé l'ensemble des belligérants à coups de gaz lacrymogène. Dans les instants qui ont suivi, des groupes de supporters grenoblois ont alors contourné le stade et ont fondu sur les abords de la tribune marseillaise, le parcage marseillais étant bombardé à coups de canettes et de pierres. Plusieurs rixes très violentes ont alors éclaté à l'intersection de l'avenue de Valmy et du boulevard Clémenceau, se propageant sur les parkings situés devant le Palais des sports. Dans la mêlée, un groupe de policiers de l'Unité canine légère (UCL) qui intervenait pour séparer les antagonistes, s'est trouvé cerné par des supporters. Selon un responsable de la police grenobloise, les gardiens de la paix « n'ont pas eu d'autre choix que de démuseler et de lâcher un chien pour se dégager ». Deux supporters marseillais ont ainsi été mordus, dont un sérieusement. Les deux hommes ont été pris en charge par les équipes médicales stationnées au stade et ont été transportés au CHU.

Au cours de ces affrontements, deux supporters grenoblois ont été interpellés par les forces de l'ordre. Le premier pour jet de projectile et le second pour avoir volé à l'arraché un billet d'entrée à un Marseillais au cours d'une rixe à proximité du stade.




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Source : AFP

Deux supporters mordus par un chien de la police en marge du match GF38/OM

Deux supporters marseillais ont été mordus par un chien de la police en marge du match de football Grenoble-Marseille samedi, au cours d'affrontements entre groupes de supporters, a-t-on appris dimanche de source policière

Mordu à la jambe et au bras, l'un des supporters a été transporté au CHU de Grenoble. Le second a été soigné sur place. Ils ont tous les deux pu reprendre dans la soirée le car pour rejoindre Marseille, a-t-on expliqué de même source.

Les supporters se sont affrontés à l'entrée du stade en se lançant des pierres et des bouteilles, ce qui a conduit les policiers cernés à "démuseler un chien pour séparer les individus", a précisé la police.

Deux supporters grenoblois ont été interpellés et placés en garde à vue, le premier pour jets de projectiles, et le second pour le vol d'un billet d'entrée, révèle le Dauphiné Libéré dans son édition de dimanche.

Dans l'après-midi, des affrontements avaient également eu lieu dans le centre-ville de Grenoble et conduit à l'arrestation d'un supporter.

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Source : Mail

Contrairement aux dires du Dauphiné, l'affrontement qui a eu lieu au centre ville durant l'après midi n'as pas opposé marseillais et grenoblois mais des supporters locaux à des habitants de la cité voisines.

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Source : Mail

Pour ce qui est de la charge, sur le parkage

Charge sur la droite du parc des Bus par un groupe de Grenoblois, avec pierres, fumis et canettes.
Sortie du parkage par un gros groupe de Marseillais, qui traverse le parking du palet des sports, pour faire remonter les grenoblois d'où ils arrivent.
Quelques coups échangés par ci par là. Gros retours en arrière de grenoble, avec un des leurs qui tombe et qui manque de se faire lyncher....
Quelques Mars le relèvent et lui évite le pire (le blessé par le chien était un des gars qui lui ont sauvé la mise....)
Contre charge de Grenoble où les marseillais, sont pris en sandwich par les flics. Fin de tout ça au bout de 5 minutes de panique pour des flics complètement débordés.
Dommage car ça manquait une grosse partie de la troupe Marseillaise, qui revenait de ville à ce moment là.

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Source: mail (merci à l'expéditeur)

Marseille mob


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Source: mail ((merci à l'expéditeur) - Marseille

Rectification du cr de ceux pour qui la journée a commencé a 19h30.
25 Marseillais prennent position dans un pub grenoblois quitté précipitamment par ses occupants à notre arrivée.
Laissant portables et bières de peur de prendre quelques gifles, mais en n'oubliant pas de nous dire qu'ils reviendront.
18h toujours rien, le tenancier lui, sent la violence transpirer au fur et à mesure que son chiffre d'affaire augmente.
Nous sommes rejoint peu à peu par d'autres unités pour attendre une mob de 45.
19h00 nous quittons le pub en cortège silencieux, arpentant quelques rues du centre ville à la recherche des téméraires locaux.
Peu à peu nous arrivons près des abords du stade, après être allé vérifier, ils sont devant leur tribunes. On marche au plus près pour ne pas
éveiller les bleus. Arrivé au plus près, les Marseillais s'annoncent. Enorme trou dans la foule grenobloise, seuls quelques vaillants restent au contact
avant de gouter le sol, le reste étant parti se cacher derrière la police nationale. La police sépare maintenant les deux groupes et malgré les tentatives Marseillaises, plus rien ne se passera ici.
Le groupe grenoblois, sentant une énième humiliation à la maison décide de tout tenter pour ne pas perdre la face. C'est pourquoi ils font le tour du stade, et non pas pour "charger" les bus Marseillais.

Montpellier - PSG - 08/08/2009

Source : Midi-Libre

« Un match à risques »

Plus de 250 policiers en tenue ou en civil mis à disposition par la préfecture ; 320 stadiers mobilisés par le club : les retrouvailles du MHSC avec la Ligue 1 se joueront aussi sur le terrain sécuritaire. Parce que les aléas du calendrier ont placé d'entrée sur la route du club le PSG, l'une des quatre équipes dont la confrontation est considérée à risques (avec Nice, Saint- Étienne et Marseille).

« La situation n'est pas ce qu'elle était il y a dix ans, même si, sur internet, il y a quelques excités qui s'agitent, note l'avocat Pierre-Marie Grappin, qui rempile cette année comme consultant sécurité pour le club, après avoir exercé cette fonction auprès de Louis Nicollin depuis des lustres. La problématique, c'est : comment gérer un match qui attire beaucoup d'estivants, 28 000 personnes ? C'est une grosse ville que l'on déplace sur deux heures. Il faut maîtriser les horaires, les problèmes d'accès, de stationnement, minimiser au maximum tout risque d'incident. Car la Ligue est de plus en plus sévère, on prend des milliers d'euros pour un feu de Bengale... Nous avons donc un dispositif spécial. »

Des précautions prises alors que l'ultime rencontre de la saison dernière, contre Strasbourg, s'était terminée dans la confusion avec une pelouse envahie, entraînant la sanction d'un match avec sursis. « C'était un avertissement. S'il y a des incartades, le sursis peut être révoqué avec, en plus, un autre match de suspension, nous a expliqué le représentant de la Ligue », souligne Marc Pichon-de-Vendeuil, directeur de cabinet du préfet, à l'attention des Montpelliérains.

Il y aura donc un premier filtrage de police et seules les personnes en possession de ticket pourront arriver aux portes du stade. Où un second contrôle et des fouilles seront alors réalisés par les stadiers. Et puis, bien sûr, il y a le problème des sulfureux fans du PSG, que, forcément, pour cause d'antagonisme Sud/Nord, nos supporters ne portent pas dans leur coeur... Et qui, même entre eux, ont affiché de vives tensions - Boulogne Boys vs Mystic Tigris -, pas forcément apaisées. Si 1 600 places sont réservées aux Parisiens, seuls cinq à sept bus sont attendus et seront surveillés de près, y compris par la police de la capitale, dont une unité leur est dédiée. « On sait qu'il y a des supporters parisiens particulièrement violents mais il s'agit d'une toute petite minorité, une trentaine environ », révèle le directeur de cabinet. Qui a aussi prévu des contrôles en centre-ville, dès cet après-midi, « pour éviter que certains s'alcoolisent trop et recherchent le combat avec les Montpelliérains ».

Enfin, le club sort aussi un autre atout de sa manche, une idée que M e Grappin avait mise en place voilà plusieurs années et qu'il détaille : « Parce qu'il y a beaucoup de vacanciers franciliens, on proposera à ceux qui voudront être avec les supporters du PSG une partie de tribune réservée à cet effet, jusqu'à 800 places possibles. »

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Lacrymogènes devant La Mosson

Si tout s'est plutôt passé dans l’enceinte de La Mosson où la tribune Corbières qui fait face à la Butte leur était réservée, les supporters parisiens décidément incorrigibles, ont semé la pagaille sur le chemin du stade. Après s’être fait remarquer à Palavas en début d’après-midi, des supporters appartenant au groupe des Boulogne Boys ont multiplié les provocations dans les rues de Montpellier et dans le tramway entraînant la riposte des policiers et un tir de grenade lacrymogènes.

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Un supporter du PSG perd un oeil

Un blessé grave, des enfants en pleurs, des amateurs de ballon rond de tous âges désorientés, des mouvements de foule, des gazs lacrymogènes tirés par les policiers…

Une heure avant le coup d’envoi, les incidents tant redoutés entre supporters parisiens et montpelliérains ont éclaté à proximité du stade de la Mosson. Qui a provoqué qui ? Difficile de le savoir. Toujours est-il que les fans du PSG ont semé la pagaille dés l’après-midi.

D’un côté, les 200 supporters qui s’étaient déplacés avec cinq bus ont fait une halte baignade à Palavas. Des rumeurs de tirs à l’arme à feu ou de bagarres ont été démenties hier soir par la préfecture. Toujours est-il qu’en repartant, ils ont été escortés par les motards de la police qui pensaient les suivre jusqu’au stade. Las ! Au rond-point du "Grand M", ils ont soudain demandé aux chauffeurs d’ouvrir les portes et ils sont tous partis à pied. Jusqu’à la gare où ils ont pris le tramway jusqu’à La Paillade. Avec, pour une partie, l’intention d’en découdre avec les Montpelliérains. D’autres Parisiens, venus isolément, et ayant passé l’après-midi à boire, les ont rejoints, et les affrontements ont commencé. Un membre de la Butte Paillade nous a expliqué que ces "indépendants" les avaient contactés dans l’après-midi pour caler un rendez-vous pour en découdre…

C’est un d’entre eux, supporter de Paris âgé de 39 ans, qui a reçu une canette dans la figure et qui a eu un œil crevé. Il apparaîtrait que certains Montpelliérains ont tendu des guets-apens à leurs adversaires, qui n’ont pas tardé à répliquer. Certains d’entre eux, look skinhead, maillot du PSG, visiblement rôdé au combat, se sont comportés en hooligan : jets de canettes, tables renversées et dispersion comme si de rien n’était lorsque les policiers ripostaient avec des lacrymogènes. Avant de tenter de repartir au combat.

Cette nuit, vers 1 h, des CRS ont encadré 150 supporters Parisiens jusqu’au centre pour récupérer leur véhicule et la police craignait des actions de représailles, la nouvelle du trentenaire éborgné ayant vite circulée dans les travées du stade.




Nota : A tous les abrutis, ados pré-pubères et autres frustrés qui nous font parvenir des messages du genre "on est des fous, on a des flingues, on est de la cité, on a niké du parisien etc etc" merci de vous abstenir et d'aller poster vos merdes sur d'autres forums où les mythos y ont leur place. Alors soit on reçoit un CR officiel, ou qui tient la route, soit on se limite aux articles de presse (avec son lot d'erreurs). A bon entendeur salut !

NK Maribor - Olimpija Ljubljana - 08/08/2009

Source : nogomania.com

Suite à des incidents avec la police slovène avant le match en gare de Maribor, environ 200 supporters de Ljubljana ont été renvoyés manu militari vers la capitale.

Vidéo :

http://24ur.com/bin/video.php?media_id=60321800&section_id=1&article_id=3178258

Traduction Underground Fans

Peñarol (Uruguay) - Newell's Old Boys (Argentine) - match amical - 08/08/2009

Source : elnuevoherald.com

La rencontre entre Peñarol et Newell's Old Boys a été interrompue par l'arbitre en première mi-temps suite à des violences sur le terrain entre les joueurs puis dans les tribunes. Les supporters des deux camps se sont notamment lancés des pierres.

Traduction Underground Fans

Bulgarie : Pirin Blagoevgrad - Minior Pernik - 08/08/2009

Source : YouTube

https://www.youtube.com/watch?v=ubPrpzqmq7Q

West Ham United - Napoli SSC - Bobby Moore Cup - 08/08/2009

Source: mail (merci à l'expéditeur)

VIDEOS:

https://www.youtube.com/watch?v=DkLBeXHIV80
https://www.youtube.com/watch?v=AKD-h0VvqfY
https://www.youtube.com/watch?v=2LQA_29Dr5A
https://www.youtube.com/watch?v=HBBMuxmJe3w


Napoli fans






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Source : hfc-fanatics.de

FC Haarlem - BV Veendam - 07/08/2009

Source: presse locale

Vendredi soir, le HFC Haarlem a perdu son premier duel de la saisons, 1-6, contre le BV Veendam.
Mécontents, un petit groupe de supportes locaux a tenté de s'en prendre à l'entraîneur du club.

La police du maintenir ce groupe à l'extérieur du stade, a communiqué la RTV hollandaise.

Traduction Underground Fans (c)

Bolton Wanderers - Hibernian Edinburgh - Match amical - 08/08/2009

Source: forums + BBC

En toute vraisemblance les messages d'avertissements de la police de Bolton à l'encontre des hooligans écossais d'hibernians n'ont pas eu les effets escomptés !
Des incidents ont éclaté entre hooligans (une centaine de chaque côté) des deux équipes dans le centre-ville et dans le stade Reebok de Bolton.

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Source : The Bolton News

Selon la presse locale, la fight d'après match a concerné une centaine de locaux, renforcés pour l'occasion par des gars des firmes d'Oldham, Bolton et Manchester contre 40 d'Hibs et du Celtic. Ceux-ci regagnaient leurs véhicules, en fait des mini-vans loués, lorsque la centaine de locaux, très organisés car ayant emprunté des taxis de la ville pour semer la police, ont fondu sur les écossais et que la bagarre ne dégénère. La police est intervenue en nombre dans Stoneclough Road près de Kearsley Station où se déroulait la bagarre. Des mini-vans ont d'ailleurs été dégradés et deux hooligans ont été interpellés.
Avant cela, la bande des écossais avait agressé des passants et dégradé des vitrines de magasins qui avaient dû fermer précipitamment.
Encore plus tôt, lors de la rencontre, les premiers incidents avaient éclaté en deuxième mi-temps.

Traduction Underground Fans

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Source: mail (merci à l'expéditeur)

View from Hibs Capital City Service.

Premierement je tiens a préciser et rectifier les jolis articles des journalistes. Man City et Celtic n'ont rien a voir avec ce qu’il s’est passé. Pour ce qui est d’Oldham, je les vois mal avec Bolton car ils sont amis avec nous et était avec nous tout le long. Une fois encore, la presse est encore magnifiquement bien informée. Passons au match.

Privés de coupe d’Europe, ce match contre Bolton était celui choisi par nous tous comme le majeur évenement de la saison. Entre 200 et 300 CCS pour l’occasion plus une vingtaine d’Oldham. Tout le monde se retrouve a Bolton (Farnworth Market Tavern). A la sortie de la gare on se rend en taxi la bas, un mec de Bolton vient a la fenetre du taxi nous dire que c’est gavé de flics et qu’ils veulent faire ca après le match. On boit un coup tranquille, apparemment tous les anciens étaient réunis pour l’occasion comme je le disais au début. Arrivée au match vers 3.15pm. Rien a signaler jusque la. Quelques provocs de chaque coté mais rien de bien méchant. L’animosité est de plus en plus importante en deuxieme mi-temps. Quelques lads de Bolton sont en face de nous, les anglais chantent le God save the Queen et il en faut pas plus pour enerver tout le monde. Dans les 5 dernieres minutes du match, les bobbies entre en tribune mais on un peu de mal a nous contenir, meme si eux comme nous savant que c’est du vent et que rien ne va se passer dans le stade.
Le coup de sifflet final retentit et on court vers la sortie pour essayer de choper ceux qui étaient si arrogants il y a encore 2 minutes. Les premiers d’entre nous essaient d’entrer dans leur tribune mais nous sommes vite repoussés par les bobbies et leurs matraques. Les fans de Bolton courrent et commencent a flipper. Les flics qui ne s’attendaient pas a ca essaient de protéger tant bien que mal les fans de Bolton. Ils essaient de nous repousser avec les chevaux, ce qui aura pour effet de nous diviser. A partir de ce moment la nous sommes 50-60 et ca part contre les flics. Une policewoman tombe et est presque anéantie mais un de ses collegues arrive a la relever a temps. Un jeune flic tente de faire le jedi mais est retenu par un autre, ils sont seulement une grosse dizaine et reculent. Les fans de Bolton sont maintenant partis et nous faisons le tour du stade et arrivons sur le parking du centre commercial. Ceux qui chantaient et provoquaient il y a quelques minutes baissent la tete. On apercoit quelques lads de Bolton qui courent se refugier dans les magasins. Un enorme mec sort de l’un d’eux, franchement je sais toujours pas si c’est un gars de la sécu ou un mec de chez eux, mais il était plus qu’énorme et tentent de faire le chaud. Tout le monde fonce et les portes sont défoncées a coup de panieres a livres. On s’en va, voulant retourner a la station de train pour aller en ville essayant de trouver le reste des troupes, mais les gars de Bolton ressortent courant dans un autre magasin et meme punition pour eux. Pendant ce temps le premier groupe est en train en route pour Manchester, pendant que nous sommes la au milieu de nulle part. Nous arriverons finalement sur Manchester 1 heure plus tard, bien après le principal affrontement de la journée. |Vers Picadilly garden, 50 Bolton v 50 Hibs, victoire Hibs. Un des notres finira la nuit a l’hopital, s’étant fait casser la cheville alors qu’il marchait tout seul. De notre coté également des choses pas bien jolies aux abords du stade envers 2 gars et une nana, qui, sapée comme une pétasse, aura eu le malheur de voir son mec faire le hero. Voila pour autant que je me souvienne ce qu’il s’est passé.

Norwich City - Colchester - 08/08/2009

Source : timesonline.co.uk

Deux supporters ont été arrêtés sur la pelouse alors qu'ils étaient venus exprimer leur colère après la défaite historique de Norwich à Domicile, 7 à 1 face à Colchester.



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Source : dailymail.co.uk

Des centaines de fans de Norwich ont manifesté leur mécontentement après la défaite à domicile la plus lourde dans l'histoire du club. Durant la rencontre, l'intrusion de deux supporters sur le terrain a interrompu le jeu durant cinq minutes tandis que des pièces de monnaie pleuvaient sur la pelouse depuis les tribunes.




Traduction Underground Fans

Coups de feu dans un café de Rotterdam - 07/08/2009

Source: http://www.rijnmond.nl/Homepage/Nieuws?view=/News%2FDefault%2F2009%2Faugustus%2FAanhoudingen%20na%20schietpartij%20in%20Rotterdams%20cafe

La police a arrêté deux hommes suite à une fusillade survenue dans un café de Rotterdam situé sur Beijerlandselaan, vendredi matin.

En effet, vers 8h15, des riverains ont entendu des coups de feu dans le café.
La police, avertie, s'est alors lancée à la poursuite des agresseurs, procédant une première arrestation.
L'homme en question était en possession d'une arme à feu.
Le deuxième homme a été arrêté un peu plus loin.
Lors de ces arrestations la police a du tirer des coups de semonce.

Les deux hommes sont actuellement interrogés par la police.

Personne n'a été blessé lors des tirs.

Traduction Underground Fans (c)

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Rajout en rapport avec un autre article

Les deux Amstellodamois (25 et 26 ans) auraient demandé à voir un André H., hooligan de Feyenoord, qui avait purgé une peine de 9 ans de prison à la fin des années 90 pour avoir poignardé un supporter de Twente.

Gillingham - Swindon Town - 08/08/2009

Source : Kent Online

La victoire de Gillingham 5 à 0 sur Swindon Town a été entachée par des violences. Ainsi dans le stade, huit supporters visiteurs et deux de Gillingham ont été expulsés des tribunes après des bagarres.

Mais c'est à l'extérieur du stade Priestfield, que les troubles les plus sérieux se sont produits. La police à l'aide de chiens a fait de son mieux pour séparer les supporters des deux équipes mais il y eu tout de même des heurts. Les fans visiteurs ont fini par être escortés à la gare de Gillingham sous l'œil attentif d'un hélicoptère de la police qui avait été mobilisé pour l'occasion.
La police n'a pas précisé le nombre d'arrestations.



Traduction Underground Fans

Southampton - Millwall FC - 08/08/2009

Source : dailyecho.co.uk

La police du Hampshire s'est félicitée pour la gestion des fans de Millwall tant redoutés. En effet, seuls neuf supporters ont été interpellés pour divers motifs dont pour agressions sur policiers.
Des témoins ont tout de même rapporté des bagarres entre supporters dans le centre ville, à High Street précisément.

Traduction Underground Fans

Supporter du PSG blessé : enquête en cours - 09/08/2009

Source : Midi-Libre

L’enquête s’annonce difficile après la grave blessure à l’œil dont a été victime un supporter du PSG, samedi soir, juste avant la rencontre Montpellier-Paris à La Mosson. Cet homme de 39 ans a été opéré et ne se souvient pas de ce qui a pu arriver.

Selon les services de police, il a reçu une bouteille en verre au visage ce qui l’a éborgné. C’est le seul blessé grave de ces affrontements particulièrement violents.

D’un côté des supporters Montpelliérains ont tendu des guet-apens à leurs rivaux non loin du stade. De l’autre, des ultras parisiens, sous la houlette de quelques leaders hooligans, de type skinhead, bien décidés à en découdre, ont multiplié provocations, bagarres et jets de bouteille.

Les policiers les ont repoussé à coups de gaz lacrymogène. Certains étaient venus en indépendants, d’autre en bus : escortés par les motards à leur arrivée à Montpellier, ils leur ont faussé compagnie, en descendant de leurs cinq bus bien avant le stade. « Ils venaient chercher la castagne, il y avait des gens violents, mais on ne peut pas enfermer les gens dans les cars », souligne-t-on à la préfecture.



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Source : PSGteam.net

Un effondrement de barrière dans la tribune réservée aux supporters parisiens à la Mosson a provoqué quelques blessés, sans que cela ne soit relevé dans la presse française… L’équipe de PSGTeam a mené l’enquête pour vous.

Alors que les médias relatent allègrement les échauffourées ayant eu lieux tout au long de l’avant-match dans le centre-ville de Montpellier (NDLR : un supporter parisien, originaire de Châteauroux, a perdu un œil dans l’histoire…), aucun commentaire n’a pour l’instant vu le jour au sujet de l’effondrement de barrières dans le stade…



Soucieux de relater la totalité de l’actualité des rouges et bleus, l’équipe de PSGTeam a interviewé Benjamin, présent sur les lieux.

« Benjamin, vous étiez présent ce samedi à la Mosson, pour assister à la rencontre opposant le PSG à Montpellier. Ou étiez-vous placé exactement en tribune ?

J’étais dans la tribune réserve aux supporters parisiens, du côté du Kop de Boulogne.

Comment était l’ambiance au sein des groupes de supporters parisiens ?

L’ambiance était vraiment bonne durant le match : il y avait beaucoup de supporters du PSG (NDLR : on évoque la présence de 1 600 fans) et il y a eu une grosse animation au coup d’envoi : fumigènes, pétards, deux mats, etc. Pendant le match, les chants et les gestuelles ont été plutôt bien repris.

Donc aucun débordement de la part de certains supporters, qui aurait pu provoquer les incidents qui ont eu lieu ?

Des débordements, il en a eu pas mal avant la rencontre dans l’après-midi… Mais rien à voir avec l’incident en tribune : celle-ci a juste été du à une barrière de sécurité fatiguée, selon les propres termes d’un employé du stade de la Mosson à la fin du match, lors du but de Ludovic Giuly.

Justement, racontez-nous comment c’est déroulé la chute de cette barrière, et surtout, quelles en ont été les conséquences pour vous et les autres supporters.

Vers la 70ème minute, le PSG ouvre le score. Il y a logiquement un mouvement de joie et Ludovic Giuly s’approche de la tribune, du côté de la partie occupée par Boulogne. Les supporters descendent les marches très rapidement. Je me retrouve bloqué contre la barrière de sécurité, jusqu’à ce que celle-ci plie et se casse entièrement, entraînant une grosse chute dans la fosse du stade. Plusieurs personnes sont tombées sur celles déjà au sol, comme moi par exemple. Nous avons eu du mal à remonter en tribune, car les CRS ont lancés inutilement des gaz lacrymogènes. Des corps étaient en partie en sang, voir plus pour certains autres…

Après cette chute, s’est-on occupé rapidement de vous ?

Cinq personnes seulement ont été prises en charge par les pompiers. Les autres sont remontées en tribune tant bien que mal, dont l’un avec une côte déplacée.

Savez-vous si des mesures ont été prises par les dirigeants des deux clubs ?

Un représentant du PSG nous a affirmé que le club porterait plainte… Depuis, nous n’avons pas de nouvelle…

Et Montpellier ?

Rien du tout ! Après, tout cela arrange un peu tout le monde. Tant que c’est Boulogne qui prend, on n’en parle pas. Cet évènement serait arrivé aux supporters marseillais ou à d’autres, nous en aurions entendu parler pendant une semaine aux infos TV ! Et puis, la France étant candidate à l’organisation du Championnat d’Europe 2016, il vaut mieux cacher les incidents ayant lieux dans des stades non-conformes.

Pologne : GKP Gorzów - Pogoń Szczecin - 08/08/2009

Source : mmszczecin.pl




Vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=XB6JxpmHAJk

NK Maribor - FC Zürich - UEFA - 05/08/2009

Source: violemaribor.com

Le Mans - Lyon - 08/08/2009

Source: Ouest France (merci à l'expéditeur)

Coups de poings entre supporters avant le match

Les bagarres de supporters éclatent en général après le match. Samedi, au Mans, rue Voltaire, cinq Lyonnais s'en sont pris physiquement à deux Manceaux. L'échange de coups de poings aurait eu lieu après qu'un supporter lyonnais a chuté, bousculé par une voiture. Il interpelle un passant, puis les copains rappliquent. S'ils avaient su que leurs équipes se sépareraient à égalité
2-2... Les cinq Lyonnais seront cependant avisés d'une convocation par officier de police judiciaire.

Volendam - FC Den Bosch - 07/08/2009

Source: presse locale

Deux supporters du FC Den Bosch ont passé la nuit de vendredi à samedi dans une cellule de la police de Volendam.
Les deux hommes, âgés de 41 et 25 ans, s'en étaient pris à un jeune local, âgé de 16 ans, qui restera inconscient.
Après examen, il semble que ce dernier ne souffre d'aucune lésion grave.

Traduction Underground Fans (c)

Portsmouth FC - Glasgow Rangers - Match amical - 08/08/2009

Source: The News

Les supporters de Pompey et des Rangers se sont affrontés en marge de cette rencontre amicale. Les supporters se sont lancés des bouteilles et se sont battus dans Goldsmith Avenue une heure après le match. La police est intervenue en bloquant la rue et a procédé à plusieurs arrestations.

Traduction Underground Fans