Saison 14/15 - Octobre

Serbie - Albanie - 14/10/2014

Source : http://balkans.courriers.info

Climat de tension autour du match Serbie-Albanie

Dans le cadre des qualifications à l’Euro 2016, la Serbie accueille ce soir l’Albanie, dans un match qui se déroulera finalement en l’absence des supporters albanais. Si la raison a fini par l’emporter, non sans difficulté, les provocations se poursuivent en coulisses.

La semaine dernière a été mouvementée pour Milivoj Mirkov, le délégué à la sécurité de la fédération serbe de football. D’abord, il a été convenu que seuls les Albanais munis de papiers d’identité albanais pouvaient acheter un ticket, ce qui a rendu furieux beaucoup d’Albanais de Macédoine, du Kosovo et du Sud de la Serbie. Puis, Mirkov a en vain réclamé que la fédération albanaise donne les noms de ceux qui avaient acheté un ticket pour le match, sur les 1.200 fournis aux Albanais, afin de mettre en place un dispositif de sécurité pour le match.

Las, bien que cela soit une procédure classique ordonnée par l’UEFA, les Albanais ont opposé un refus à cette demande, contraignant les Serbes à se tourner vers l’UEFA. Aussi il a finalement été décidé que le match, à haut risque pour des raisons évidentes, se jouera sans supporters adverses, avec un régime de réciprocité pour le match retour en Albanie en octobre 2015.

Cette décision peut être saluée tant les risques d’incidents étaient grands. On se demande même comment l’UEFA n’est pas plus tôt intervenue lorsque la fédération albanaise a refusé la proposition des Serbes de jouer sans supporters visiteurs. Bien sûr, il aurait été dans l’absolu préférable que les supporters puissent se déplacer sans problème, mais les deux matchs Serbie-Croatie du début d’année se seraient-ils déroulés sans incidents avec des supporters visiteurs ? A contrario, on voit comment la rencontre Roumanie-Hongrie a été le théâtre de sérieux problèmes.

Sur les réseaux sociaux, les provocations allaient bon train, les supporters de divers clubs du Kosovo avaient annoncé leur venue à Belgrade. Dès lors, l’interdiction des supporters visiteurs était la seule décision possible pour que le match reste du domaine sportif et n’alimente pas la rubrique faits divers.

C’est du moins ce qu’on espère malgré la dernière provocation de l’homme d’affaire kosovar Besnik Benz, qui, dans un élan patriotico-belliqueux publié dans le journal Gazeta Shqip, a promis un million d’euros à la sélection albanaise si elle battait la Serbie ce soir. On peut s’attendre à ce qu’il y ait un certain nombre de provocations dans les tribunes, des chants ou des banderoles, mais ce sera un moindre mal si ça en reste là, a fortiori si la Serbie ne gagne pas.

A vrai dire, sur un plan purement sportif, ce résultat n’est pas impossible entre d’un côté une Serbie en manque de confiance, qui a mal débuté et qui bénéficie de si peu de soutien populaire qu’Aleksandar Kolarov s’en est publiquement plaint, et de l’autre une Albanie qui a défait le Portugal et failli battre le Danemark, qui est sur une dynamique très positive, et qui jouit en ce moment d’un supplément d’âme qui manque peut-être encore aux Serbes.

Entre ce match, la grande parade militaire de jeudi en l’honneur de Vladimir Poutine, et le derby de Belgrade samedi, la semaine s’annonce chargée pour les services de sécurité du pays.

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Source : http://rmcsport.bfmtv.com + http://www.dailymail.co.uk

Un drone interrompt Serbie-Albanie

La rencontre entre la Serbie et l’Albanie a été interrompue dès la 41e minute, ce mardi. Le survol d’un drone trainant un drapeau aux couleurs du drapeau albanais a mis le feu aux poudres notamment quand Stefan Mitrovic, milieu de terrain serbe, s’est saisi de l’objet et du drapeau avant d’être pris à parti par des joueurs albanais. Le stade s’est enflammé et la multiplication des jets de fumigène a contraint à l’arrêt du match qui n’a toujours pas repris.

Allemagne : Augmentation de la violence dans les stades - 14/10/2014

Source : http://www.irishtimes.com

La violence dans les stades de foot de première et deuxième divisions allemandes est en hausse selon un rapport de police publié ce mardi. Alors que les finances et le nombre de spectateurs sont en progression dans ces deux Championnats, elle a été accompagnée par une augmentation des arrestations, des poursuites pénales et des blessures liées à la violence durant les matches. Un total de 8 989 supporters ont été arrêtés la saison dernière, soit une hausse de 31% par rapport à la saison précédente.

France : Lens-PSG préoccupe la police - 15/10/2014

Source : http://www.leparisien.fr

Les Lens - PSG disputés au Stade de France ne sont jamais des affiches sans histoires. La finale de la Coupe de la Ligue 2008, remportée par Paris sur un penalty litigieux dans le temps additionnel, avait été gâchée par l'affaire de la banderole anti-Ch'tis déployée dans le virage des supporteurs parisiens.
Plus que l'émoi national suscité par cette provocation en plein succès du film de Dany Boon « Bienvenue chez les Ch'tis », elle avait conduit, quelques semaines plus tard, le ministère de l'Intérieur à dissoudre l'association des Boulogne Boys.

Le rendez-vous de vendredi soir, comptant pour la 10e journée de L 1 et organisé à Saint-Denis car le stade Bollaert est toujours en travaux, paraît assuré de rester dans les annales avant même son déroulement. En effet, 6 700 places vendues par le consortium du Stade de France ont dû être annulées courant septembre. La vente ne respectait pas les mesures de sécurité en vigueur pour un match à l'extérieur de l'équipe de la capitale, des fans des deux clubs risquant de se retrouver à proximité.

Une rencontre classée à risques

Aujourd'hui, tout est revenu dans l'ordre, et chaque club disposera d'un virage pour ses propres fans. Les Parisiens, entre 10 000 et 12 000, seront installés côté nord. C'est le club qui a commercialisé, de manière nominative, son quota de billets. La Ligue de football professionnel (LFP) et la préfecture de police de Paris lui ont demandé, contrairement à la règle habituelle, d'assurer les contrôles à l'entrée de son secteur ainsi que la sécurité à l'intérieur.
Malgré ces aménagements, déjà opérés, les pouvoirs publics craignent des incidents en marge de cette rencontre classée à risque. La préfecture de police, qui redoute aussi le derby Lens - Lille, dans la même enceinte début décembre, sera particulièrement vigilante. « Si on nous avait demandé notre avis, on aurait refusé que ce match se dispute là, nous confie une source policière. Ce stade n'est pas très propice au maintien de l'ordre et le public du championnat n'est pas celui des finales de coupes nationales jouées ici. »

Pour l'occasion, un peu plus de 1 000 policiers seront réquisitionnés pour surveiller entre 50 000 et 60 000 spectateurs selon les estimations d'hier. Quelque 200 opposants à la politique du PSG en matière de supporteurs pourraient également avoir acheté des places dans un coin du stade, selon des informations des renseignements généraux. Une dernière réunion de sécurité doit désormais se tenir cet après-midi au Stade de France en présence des différents acteurs de ce match devenu si particulier.

Serbie-Albanie, Cana : 'Les supporters et services d'ordre nous ont agressés' - 15/10/2014

Source : http://www.goal.com

Le camp albanais donne sa version des faits qui se sont déroulés à Belgrade ce mardi soir lors de Serbie - Albanie.

Une véritable guerre a eu lieu hier soir à la place d'un match de football entre la Serbie et l'Albanie. La responsabilité est partagée entre les deux camps. Aujourd'hui, l'orgueil et la dénonciation des cicatrices sont à l'honneur.

'Nous sommes tous fiers de vous, du jeu et de la dignité montrée', a déclaré Niko Pelishi, vice-Premier ministre albanais lors d'une conférence de presse improvisée à l'aéroport de Tirana au retour de l'équipe d'Albanie. 5000 supporters étaient présents et ont fêté durant plusieurs heures la possible sanction UEFA contre la Serbie.

Le capitaine Lorik Cana a fourni quelques détails. 'Nous sommes venus à Belgrade pour jouer au foot, mais nous avont été attaqués par des supporters serbes. Nous voulions seulement attraper le drone et tout serait revenu à la normale. Mais après, nous avons été agressés', explique le joueur de la Lazio à 'tanjug.rs'.

Cana a exhibé sur Twitter toute sa fierté pour ce drapeau de la Grande Albanie qui a survolé le ciel de Belgrade. Il continue. 'J'ai vu un fan serbe avec une chaise qui s'est jeté sur mes partenaires, je devais les défendre. Taulant Xhaka a le nez et les yeux gonflés et endoloris. Le personnel de sécurité, au lieu de nous protéger, nous a attaqué. Les délégués UEFA ont vu ce qu'il s'est passé, ils voulaient faire reprendre le match une fois le stade vidé mais il était alors impossible de revenir sur le terrain'.

L'ancien parisien et marseillais rend seulement hommage à Branislav Ivanovic. 'Il a été un vrai homme, il a accepté notre décision et avant le match, il était venu nous dire que ce n'est que du foot. Nous verrons quand nous pourrons rejouer ce match et si justice se fera. Le football a été crée en tant que jeu pour s'amuser, pas pour assister à de telles scènes'.

Le gardien de but Etrit Berisha parle comme après un retour du front. 'L'atmosphère était celle d'une guerre. Avant le match, on savait que toute la nation nous regarderait pour cet affrontement si important, ce fut émouvant. Nous avons combattu pour eux !'

Le sélectionneur italien de l'Albanie Gianni De Biaisi décrit les scènes de manière stupéfiante : 'Quatre de nos joueurs ont été attaqués par des supporters pendant l'interruption, certains ont été agressés à l'intérieur même du stade. L'atmosphère était trop tendue. Le match a été très mal organisé. Des sanctions ? Ce sont aux organes compétents de décider. Les images sont aux yeux de tous. Des conditions d'extrême danger et une ambiance inadéquate au football'.

OGC Nice-Bastia: les supporters corses interdits de déplacement - 15/10/2014

Source : http://www.nicematin.com

Le Préfet des Alpes-Maritimes a tranché: le match Nice-Bastia ce samedi à l'Allianz Riviera se déroulera sans supporters corses.

Cité par l'OGC Nice, l'arrêté préfectoral prévoit même d'interdire "le port, la détention et l'utilisation de tout objet ou vêtement à l'effigie de la Corse ou d'un club sportif corse" a proximité du stade.

Suisse: Plus de 40 hooligans dans le collimateur de la justice - 15/10/2014

Source : http://www.20min.ch

La police cantonale bernoise a enquêté sur les débordements qui se sont produits après la finale de la Coupe de Suisse de football, le 21 avril dernier à Berne.

140'000 francs. C'est le montant des dégâts causés par les fans zurichois et bâlois lors de la finale de la Coupe de Suisse de football, le 21 avril dernier à Berne. A la suite de ces débordements, la police cantonale bernoise a ouvert une enquête à large échelle afin de retrouver un maximum de personnes impliquées dans ces actes de vandalisme. Dans un communiqué de presse publié mercredi, les forces de l'ordre affirment avoir mis un terme à leurs investigations. Au total, 41 personnes – soupçonnées d'avoir commis des délits en marge de la manifestation sportive – ont pu être identifiées. Cinq d'entre elles étaient mineures au moment des faits.

Les hooligans en question sont accusés d'émeute, de violences, de menaces à l'encontre d'agents, de dommages à la propriété, de violation de l'interdiction de porter une cagoule, de perturbation des transports publics et ferroviaires ainsi que de violation de la loi sur les explosifs. Les personnes identifiées par la police seront dénoncées au Ministère public et au Ministère public des mineurs de Berne. Une interdiction géographique a par ailleurs été prononcée à l'encontre de 34 personnes.

La finale quittera Berne

Au total, 25 plaintes avaient été déposées après la finale de la Coupe de Suisse football. Des dégâts matériels ont été rapportés aux abords du Stade de Suisse, dans et devant la gare de Berne, ainsi qu'à plusieurs endroits de la vieille-ville.

En septembre, les autorités de la capitale avaient décidé de ne plus accepter de payer les frais engendrés par les débordements de fans et de ne plus accueillir la finale de la Coupe de Suisse sur son territoire. Le texte définitif doit être entériné ces prochaines semaines.

Allemagne: Quand les hooligans veulent «chasser les djihadistes» - 15/10/2014

Source : http://www.20min.ch

Un phénomène inquiète l'Allemagne: les hooligans mettent de côté leurs différences pour «chasser» ensemble les islamistes radicaux.



L'extrême prétend chasser l'extrême. En Allemagne, le phénomène inquiète: des hooligans de plusieurs clubs différents enterrent la haine qu'ils ont les uns envers les autres pour mieux diriger celle-ci vers un ennemi commun, les islamistes radicaux.

Nombre de ces hooligans sont affiliés à des partis d'extrême droite, qui soutiennent leur rhétorique islamophobe depuis longtemps. Mais récemment, c'est le mode d'action qui a changé, relate le journal allemand Die Zeit.

D'habitude peu organisés, les hooligans cherchent désormais de nouvelles formes de protestation. Pour Erich Rettinghaus, chef du syndicat de la police de Rhénanie-du-Nord-Westphalie cité par le journal Kölner Stadt-Anzeiger: «Les fans de foot capitalisent sur la fenêtre d'opportunité et se font passer pour des gens bien afin de rallier plus de monde à leur cause»

«Hooligans Contre Salafistes»

Le mouvement «Hooligans Contres les Salafistes» (HoGeSa) est entre autre porté par Dominik Horst Roseseler, un membre du parti d'extrême droite Pro-NRW (ndlr: les initiales du land Nordrhein-Westfalen). Son mot d'ordre: «Séparés par les couleurs, unis pour la cause», explique Die Welt.

Les forces de l'ordre s'intéressent notamment de près à une manifestation prévue à Cologne le 26 octobre prochain. Trois cents participants sont prévus, mais ils pourraient être beaucoup plus nombreux compte tenu de la popularité du hashtag #HoGeSa sur les réseaux sociaux. Une contre-manifestation «anti-fasciste» s'organise actuellement sur Twitter.

Les combats de rue entre hooligans et islamistes radicaux sont d'ores et déjà redoutés par la police, qui est en état d'alerte - A Hambourg, une manifestation pro-kurde avait déjà tourné à l'émeute le 8 octobre suite à un face à face avec des islamistes radicaux.

Des hooligans du FC Bâle ont déjà fait le déplacement

Début Octobre, une cinquantaine de hooligans avait déjà défilé dans les rues de Francfort en criant «Nous allons chasser les salafistes et les renvoyer là où ils devraient être». Parmi les différents clubs représentés, des hooligans du FC Bâle avaient été aperçus.

Faut-il craindre un tel phénomène en Suisse? Interrogé par le Blick, Lukas Meier de Fancoaching Suisse affirme que s'il est au courant des événements en Allemagne, il ne connaît à ce jour de mouvement comparable en Suisse.

Argentine: Deportivo Roca - Cipolletti - 16/10/2014

Source : http://www.lmneuquen.com.ar

Belgique: Des supporters liégeois cogneurs de policiers - 14/10/2014

Source : http://www.lavenir.net

L’affaire, qui a été plaidée lundi matin, concerne deux supporters liégeois. La trentaine. Belle mise, sauf que l’un est interdit de stade.

En mars dernier, place Ryckmans, en marge d’une rencontre de football, une échauffourée collective fait du grabuge. D’abord, un jeune automobiliste flanqué d’une passagère, qui passait par là, est pris à partie, son véhicule gravement endommagé. «Ils ont eu une peur bleue. Imaginez qu’ils soient sortis de voiture, et ils auraient été lynchés» souligne leur avocat qui réclame 1 000€ de dommage moral. Il y a eu comme un effet de groupe, ou de meute, qui ne brille jamais par intelligence.

Deux fauteurs de trouble sont interpellés comme étant les plus excités. Le premier, qui s’est défendu sans avocat, a précisé qu’il était venu à Namur pour prendre un verre, simplement, et pas pour en découdre avec quiconque.

«J’ai autre chose à faire, franchement, que de venir me battre à Namur , je ne suis pas un délinquant, juste un supporter liégeois». Le second a eu beau jeu de plaider un mouvement de foule, une échauffourée générale où il a été plongé avec parmi d’autres.

Cette vindicte de supporters a rapidement pris pour cible la police appelée en renfort. Un de ces policiers, qui s’était interposé entre deux bagarreurs, a formellement reconnu le second prévenu comme celui qui lui a porté des coups. «Je marche droit s’est-il défendu, j’étais en état d’ébriété mais j’assumerai ». Jugement le 18 novembre.

Liste noire de supporters: "J'espère que des sanctions vont être prises à l'égard du PSG" - 16/10/2014

Source : http://www.lexpress.fr

Pour le match contre Lens au Stade de France, le Paris Saint-Germain utilise-t-il une liste noire pour refuser l'accès à des supporters indésirables? Me Dubois, avocat de certains d'entre eux, a saisi la CNIL.

Son Stade Bollaert en travaux, le RC Lens reçoit le Paris Saint-Germain au Stade de France, à Saint-Denis, vendredi soir, pour la 10e journée de Ligue 1. Mais alors qu'il s'agit pour lui d'une rencontre à l'extérieur, le PSG a obtenu de pouvoir contrôler l'entrée du virage réservé à ses supporters, tout comme il contrôle l'accès au Parc des Princes. Selon Me Cyril Dubois, avocat des "historiques" opposés à la politique du club, ils sont des centaines de fans parisiens à ne pas avoir vu leur demande de billet validée. Pour rappel, fin janvier, ceux-ci avaient obtenu de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) que la "liste noire", propre au club, de 2000 noms de supporteurs "ayant un comportement non conforme aux valeurs du club" soit retoquée.
6700 places vendues pour Lens-PSG au Stade de France ont été annulées en septembre. Sur quelles bases?
Me Cyril Dubois: Les supporters parisiens privés de matchs au Parc des Princes doivent pouvoir acheter des billets pour des rencontres à l'extérieur. Et c'est ce qu'ils ont fait pour la rencontre à venir puisque c'est Lens et non le PSG qui reçoit. Mais le club de Lens a annulé tous les billets de la tribune Nord, au motif que cette tribune devait être réservée aux supporters du PSG. C'était pourtant le cas de mes clients et de la plupart des gens qui ont pris des billets, parfaitement au courant de cette partie réservée. Nous avons mis en demeure le club de Lens sur cette annulation. Il nous a indiqué que nos clients ont valablement le droit de racheter des billets, selon la nouvelle modalité, auprès du PSG.

Les supporters qui avaient obtenu des billets auprès de Lens ont-ils pu voir leur demande satisfaite auprès du PSG ?

De manière étonnante, le PSG semble avoir mis en place une nouvelle procédure avec une mise en attente de validation. Tous les gens qui ne sont pas sur la "liste noire" ont obtenu validation, les autres - plusieurs centaines -, sont soit en attente, soit ont vu leur billet annulé, soit leur compte client a été suspendu. Ils ont tous un point commun: ce sont tous des supporters historiques contestataires.

Comment expliquez-vous cela ?

On a de forts soupçons que le club passe outre les délibérations de la CNIL et utilise cette liste noire ou une nouvelle liste comportant certains mêmes noms de personnes qu'il considère indésirables. Le but, c'est que l'on ne puisse pas entendre à la télévision des chants d'opposants à la politique de la direction du club.

Que comptez-vous faire ?

J'ai saisi la CNIL toute la semaine et j'espère que des sanctions seront prises à l'égard du PSG. Un renvoi devant une juridiction pénale me paraît indispensable.

Faut-il craindre des débordements ?

Je ne l'espère pas. Mes clients font des recours depuis quelques années auprès de la justice et respectent la loi. Ils resteront calmes. Mais si plusieurs centaines de personnes découvrent que leur billet n'est finalement pas validé et se retrouve par surprise à la porte du Stade de France, cela risque de poser problème. J'espère que la CNIL va obtenir la validation des billets encore en attente.

RC Lens - Paris SG - 17/10/2014

Source : http://www.sofoot.com

Le retour de la liste noire au PSG ?

Ce soir, ce ne sont moins de 67 000 personnes qui auront la chance d'assister à la rencontre entre le RC Lens et le Paris Saint-Germain au Stade de France, pour le compte de la dixième journée de L1. À côté de cela, le PSG refuse toujours de vendre une centaine de billets supplémentaires à certains de ses supporters. De quel droit ? Difficile de le savoir.

Pour bien comprendre la situation présente, il faut revenir en arrière. Depuis le départ de la saison, le RC Lens a dû quitter son stade Bollaert, en rénovation en vue de l'Euro 2016, pour trouver refuge, à « domicile », au stade de la Licorne d'Amiens. À l'occasion de la réception du PSG, le RC Lens a décidé dès le départ que cette rencontre se jouerait au Stade de France. Il est plus alléchant d'attirer 60 000 personnes dans l'enceinte dyonisienne que d'en faire descendre 20 000 à Amiens. Or, qui dit match du PSG, à l'extérieur, mais près de Paris, dit forcément afflux massif de supporters contestataires du PSG qui restent persona non grata au Parc depuis plusieurs années. En effet, pour un match à l'extérieur, le club recevant (en l'occurrence, Lens) est chargé de gérer et contrôler la vente de tous les billets. Cela permet alors aux supporters parisiens mis au ban du Parc de pouvoir assister à cette rencontre en toute tranquillité. Et ça, la direction parisienne ne peut l'accepter. Depuis maintenant trois ans, celle-ci semble en effet déployer une énergie folle à barrer l'accès du Parc des Princes, mais aussi à l'extérieur à certains supporters (la plupart d'anciens ultras, mais pas que), allant jusqu'à franchir les limites de l'illégalité comme le démontre la récente condamnation de la CNIL.

Le PSG récupère la vente de billets

Comme prévu donc, de nombreux supporters parisiens indésirables au Parc se sont précipités, dès le mois d'août, sur les billets du match Lens-PSG. Les 6 700 billets réservés aux Parisiens dans la tribune Nord du Stade de France avaient trouvé preneurs. C'est seulement en septembre que l'on apprend que le consortium Stade de France et le RC Lens avaient pris la décision d'annuler ces billets. Raison invoquée ? Selon un article paru dans Le Parisien jeudi « la vente ne respectait pas les mesures de sécurité en vigueur pour un match à l'extérieur de l'équipe de la capitale, des fans des deux clubs risquant de se retrouver à proximité. » Or, il semblerait que les personnes vivant dans le Nord et ayant acheté sur internet des places en tribune Nord (là où sont censés s'installer les supporters du PSG) aient automatiquement été replacées en tribune Sud. Ce qui met à mal l'idée selon laquelle les supporters des deux clubs auraient pu se côtoyer dans une même tribune. D'autant que la plupart des ultras lensois ont décidé de boycotter ce match...

Le PSG a mis en place un système exceptionnel dans le cadre de la nouvelle vente de billets à ses supporters. En effet, après avoir renseigné leurs informations bancaires pour effectuer le paiement en ligne des billets, les supporters parisiens entrent dans une phase d'attente de validation de leur demande de billet. Une pratique tout à fait inédite selon Maître Cyril Dubois : « Je n'avais encore jamais vu ça, souffle-t-il, surpris. Le problème, c'est que pour certains supporters, en l'occurrence des lambdas n'ayant appartenu à aucune association de supporters dissoute, la validation de leurs demandes fut quasi immédiate. Mais pour d'autres, ceux dont les noms figuraient déjà sur la black-list du PSG et qui ont déjà été confrontés à de tels problèmes, là, soit la validation se fait étrangement attendre, soit elle est purement et simplement refusée sans raison valable, les personnes s'étant plaintes auprès de moi n'étant pas interdites de stade (ni IAS, ni IDS)... » Un membre d'ADAJIS (Association de défense et d'assistance juridique des interdits de stade) confirme : « Depuis plusieurs semaines, on ne cesse de recevoir des plaintes de personnes n'ayant rien à se reprocher et qui pourtant n'ont pas obtenu le droit, légitime, de se procurer des billets pour le match. »

Beaucoup de questions, peu de réponses

Comment se fait-il que des personnes tout à fait en règle aux yeux de la justice soient interdites d'accéder au stade ? Cyril Dubois avance une explication : « Le PSG semble continuer, en infraction totale avec la loi, à sélectionner son public et à chasser les indésirables. Il y a donc un gros faisceau d'indices permettant de penser que le PSG utilise toujours la liste noire dénoncée par la CNIL, ou en a créé une nouvelle, plus restreinte et plus ciblée, mais tout aussi illégale. » Au-delà de ça se pose aussi la question des dessous du système de validation exceptionnellement instauré par le PSG, mis en place entre le moment où l'on achète son billet et le moment où on l'imprime définitivement. « Comment ça se passe entre le moment où l'on remplit les informations nécessaires à l'achat et le moment où l'on voit son billet validé ? Concrètement que se passe-t-il derrière cela ? Qui contrôle ? Sur quels éléments se basent-ils pour juger du droit ou non d'une personne à entrer dans un stade si elle n'est pas frappée d'IDS ou d'IAS ? Le PSG est clairement en situation de récidive par rapport aux dernières conclusions de la CNIL, qui avait jugé illégal de trier ses supporters sur des éléments flous et non reconnus par la loi. Il faut maintenant qu'il y ait des sanctions, le Paris Saint-Germain n'est pas au-dessus des lois. »

Faites ce que je dis, pas ce que je fais

Suite à cette nouvelle affaire, les avocats des supporters parisiens ont déposé un recours en urgence devant la CNIL. Cependant, le match ayant lieu ce soir, il paraît peu probable que celle-ci ait le temps de se pencher sur le problème d'ici 20 heures. Il existe dès lors un risque réel de débordements. « Imaginez que certaines personnes arrivent ce soir devant le stade et se retrouvent bloquées aux portes de l'enceinte sans aucune raison valable. Que va-t-il se passer ? », s'interroge Me Dubois. Sur son compte Twitter, Pierre Barthélémy, l'autre avocat en charge du dossier, allait plus loin en évoquant une possible manipulation de l'affaire de la part du PSG lui-même : « New blacklist, désinformation sur une procédure en cours... J'ai l'impression que le PSG fait tout pour provoquer des débordements demain... » Une crainte partagée par Cyril Dubois. « Le PSG et les pouvoirs publics ont tout intérêt à ce qu'il y ait des débordements lors de ce match. C'est inquiétant », lâche-t-il, désabusé. De plus, il s'interroge sur le message qui est envoyé à tous les supporters ultras du PSG qui, depuis plusieurs années, n'ont de cesse de se conformer à la loi et de faire respecter leurs droits par le biais de la justice, alors que le club, lui, continue d'ignorer sciemment toutes les recommandations de la CNIL. Contacté par nos soins, le PSG n'a toujours pas donné suite à nos demandes d'interviews. Quoi qu'il en soit, ce dossier n'en restera pas là puisque les avocats des supporters incriminés ont bien l'intention de faire jouer le droit à fond. La CNIL, quant à elle, devrait elle aussi se pencher une nouvelle fois sur cette sombre histoire. En attendant, il n'y a plus qu'à espérer que le match de ce soir se déroule sans accroc. Ça sera toujours ça de gagné.

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Source : http://www.sports.fr

1 000 supporters bloqués devant le SDF

La rencontre d'ouverture de la 10e journée de Ligue 1, prévue ce vendredi à 20h30 au SDF entre le Racing Club de Lens et le PSG, avait été classée à risques par les forces de l'ordre en raison, notamment, de la banderole anti-Ch'tis déployée en finale de la Coupe de la Ligue 2008 par certains supporters parisiens.

Et, à moins d'une demi-heure du coup d'envoi entre les deux équipes, quelques 1000 supporters du PSG en possession de billets seraient en effet bloqués par les CRS à 300 mètres seulement de l'enceinte du Stade de France.

Pour rappel, cette opposition a été délocalisée en raison des travaux qui se poursuivent au Stade Félix-Bollaert en vue de l'Euro 2016 qui se déroulera en France.



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Source : http://www.sport.fr + mail

Incidents avec des supporters du PSG

Quelques incidents avec des supporters parisiens ont émaillé la rencontre entre Lens et le PSG, classée à hauts risques par les forces de l'ordre vendredi soir. Selon le club de la capitale, cité par l'Equipe, 300 à 400 interdits de stade se sont rendus au Stade de France, en profitant pour dénoncer leur statut avant de se heurter à la police au moment de vouloir assister à la rencontre (pour laquelle certains avaient des billets). Selon les témoignages de certains d'entre eux, ils auraient été aspergés de gaz lacrymogènes « sans raison » par les forces de l'ordre. Quatre individus ont été interpellés.

Environ 80 supporters d'extrême droite se seraient également rassemblés vers le Panthéon, toujours selon le PSG. Le club artésien n'a déploré aucun incident concernant ses supporters.

Plus tôt au Panthéon




Au SDF

OM: 3000 euros d’amende avec sursis pour un supporter - 17/10/2014

Source : http://www.om.net

Pour avoir allumé un fumigène à l’occasion d’un match de l’OM au stade Vélodrome, le Tribunal Correctionnel a condamné un supporter à une amende de 3000 euros avec sursis, à 800 euros au regard de l’article 476-1. Il a accordé à l’OM 1 euro de dommage et intérêts.
L’Olympique de Marseille rappelle à ses supporters que l‘utilisation d’engins pyrotechniques dans une enceinte sportive est strictement interdit par la Loi. Le club reste sous la menace d’une suspension d’un match à huis clos.

Allemagne: Rot Weiss Ahlen - FC Gütersloh - 12/10/2014

Source : http://www.fcguetersloh.com

Après le match, des bagarres ont éclaté autour du stade, entre les 40 fans FCG présents et plusieurs dizaines de fans violents d'Ahlener.

Traduction Underground Fans

Le Levski Sofia puni pour une banderole « Dites oui au racisme » - 16/10/2014

Source : http://rmcsport.bfmtv.com

Le sens de l’humour douteux de certains supporters du Levski Sofia va coûter cher à leur club. La formation bulgare a effet écopé d’une amende de près de 10000€ par sa Fédération parce que des fans ont déployé une banderole « Dites oui au racisme » lors d’un match de championnat contre Ludogorets (3-2). Les supporters du Levski Sofia qui ont aussi affiché le faux logo de l’UEFA se moquaient ouvertement de la campagne anti-raciste de l’organisme de football européen.

Belgique: Les supporters de Genk mécontents - 18/10/2014

Source : www.lalibre.be

Les dirigeants du club de football du KRC Genk ont répondu vendredi soir aux questions de quelque 450 supporters mécontents. Le directeur général Patrick Janssens et le président Herbert Houben ont été entourés par le noyau dur des supporters et ont été pris à partie verbalement. Un cercueil a aussi été introduit dans le stade qui symbolisait la disparition de la bonne ambiance dans celui-ci. La direction du club a accepté l'invitation d'ouvrir le dialogue avec le noyau dur des supporters mécontents depuis pas mal de temps. Président, directeur général et staff des entraîneurs ont accepté de répondre aux questions de 450 fans.

Il n'y eu pas réellement de dialogue, car les dirigeants ont surtout eu à entendre les récriminations et l'ambiance est vite devenue très pesante.

Le malaise sportif a rapidement été évoqué et le directeur technique Gunther Jacob a été mis en cause. Le président Houben et le directeur général Janssens ont avoué que des erreurs avaient été commises et ont annoncé que la commission sportive avait été étendue aux anciens joueurs professionnels Dimitri De Condé et Koen Daerden.

"Nous avons compris que la responsabilité des transferts a été donnée à des personnes manquant d'expérience dans le football", a concédé Janssens.

Le supporters ont aussi estimé qu'ils sont mal traités. Certains ont été interdits de stade. Des bannières et tambours ne sont plus autorisés dans l'enceinte.

Des mesures qu ont été prises après les incidents lors du match contre La Gantoise. Un certain nombre de personnes masquées ont tenté de s'introduire dans les locaux de la direction. Patrick Janssens a déclaré qu'il ne s'agissait pas de véritables supporters et c'est alors qu'une dizaine de supporters sont venus l'entourer ainsi que le président Houben. Ils ont demandé que les interdits de stade reçoivent une seconde chance et de revoir les règles de sécurité concernant l'ambiance soient revues. Janssens s'est déclaré prêt à ouvrir un dialogue sur la question.

Le président des clubs de supporters a annoncé qu'un boycott avait été décidé. Ceux-ci ont symboliquement apporté un cercueil dans le stade pour porter en terre l'ambiance. Jusqu'à ce que la direction infléchisse sa position, ils refuseront de soutenir vocalement leur équipe.

Genk lads

Allemagne: Eintracht Rheine - SV Lippstadt 08 - 18/10/2014

Source : http://www.mv-online.de

Les 60 supporters visiteurs, dont certains hooligans présents, ont été encadrés de près par la police jusqu'au stade puis après le match afin d'éviter des incidents.

Traduction Underground Fans

Young Boys Berne - FC Bâle - 18/10/2014

Source : http://www.bernerzeitung.ch

A 18h, une violente confrontation a eu lieu entre supporters des deux équipes. Quatre personnes ont dû être évacuées blessé à l'hôpital. La police est intervenue en tirant des balles en caoutchouc puis a escorté les fans de Bâle jusqu'au stade.

Traduction Underground Fans

Mainz 05 - FC Augsburg - 18/10/2014

Source : http://www.augsburger-allgemeine.de

Quelques 100 fans de FC Augsbourg ont manifesté pacifiquement pour dénoncer la rafle policière dont ils ont été victimes à Mayence en mars dernier. Ils avaient été frappés, gazés et amenés au poste de police sans ménagement.

Traduction Underground Fans

KSV Hessen Kassel - 1.FC Saarbrücken - 18/10/2014

Source : http://www.hessennews.tv

A l'arrivée des 3 bus de supporters de Sarrebruck, des fans locaux sont venus provoquer leurs adversaires. La police est intervenue et a contrôlé 7 supporters.

Traduction Underground Fans

OGC Nice - SC Bastia - 18/10/2014

Source : http://www.sofoot.com + http://www.varmatin.com

ÉCHAUFFOURÉES APRÈS NICE/BASTIA




Une victoire 1-0 de Bastia à Nice, et ce sont les supporters niçois qui pètent un plomb.

En effet, juste après la victoire des Bastiais à l'Allianz Riviera (0-1), des échauffourées ont éclaté sur la pelouse.

Tout a commencé lorsque le deuxième gardien de Bastia, Jean-Louis Leca, a déboulé sur le terrain en brandissant un drapeau corse, et est venu chambrer le Niçois Didier Digard. Feu de poudre : la situation est devenue incontrôlable en l'espace de quelques instants, avec notamment l'envahissement du terrain de la part de supporters niçois.

Certains joueurs bastiais, à l'instar de Modesto et Romaric, ont même été à deux doigt d'en venir aux mains avec certains de ces supporters.

On rappelle que les supporters bastiais, eux, étaient interdits de déplacement pour prévenir d'éventuels incidents. Presque ironique, du coup.



Au moins quatre interpellations

Quatre personnes ont été immédiatement interpellées, sur la pelouse.

Les forces de l'ordre avaient déjà procédé à onze interpellations avant la rencontre, pour des motifs aussi divers que vols, bagarre, dégradations ou encore port de badge insultant les forces de l'ordre.

Les joueurs bastiais furieux contre les stadiers

A leur départ de l'Allianz Riviera quelques dizaines de minute plus tard, les joueurs du Sporting s'en sont pris verbalement aux stadiers.

Très en colère (et en verve côté noms d'oiseaux), ils leur ont notamment reproché leur inefficacité alors que l'intégrité physique de certains d'entre eux pouvait être menacée.

"C'était imprévisible"

La Directeur départemental de la Sécurité publique des Alpes-Maritimes, Marcel Authier, avait réagi immédiatement après les faits.

"C'était imprévisible. Tout le monde a été surpris par cet envahissement de terrain. Ca fait très longtemps que ce n'était pas arriver. Pour autant, il ne s'agit pas là de violences. La police a fait son travail en protégeant la sortie des joueurs."

Un problème de sécurité à l'Allianz Riviera?

C'est la deuxième fois que des incidents notables émaillent les soirées de l'Allianz Riviera.

Après les graves échauffourées de novembre dernier lors de Nice-ASSE, les images de samedi soir (re)posent évidemment la question de la sécurisation de l'enceinte niçoise.

D'autant que, dans moins de deux ans, se profile l'Euro...


D'après plusieurs témoins présents sur la pelouse, c'est un simple drapeau qui a échauffé les esprits.

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Source : http://www.foot24.eu

Nice – Bastia : des joueurs bastiais frappés par des supporters

Alors que l’arbitre de la rencontre Nice – Bastia, Monsieur Saïd Ennjimi venait de siffler la fin du match sur une victoire 0-1 des corses, certains supporters Niçois de la tribune « Ultras Tribune Populaire » (tribune sud) sont rentrés sur le terrain et s’en sont pris physiquement aux joueurs bastiais. Romaric N’dri Koffi a notamment reçu plusieurs coups au visage, filmés par les caméras de BeInSport tandis que d’autres bastiais qui tentaient de rentrer au vestiaire ont été touchés.

Partizan Belgrade - Etoile Rouge de Belgrade - 18/10/2014

Source : http://mondo.rs

1 heure avant le coup d'envoi du 147ème derby de Belgrade, les supporters des deux équipes se sont lancés des projectiles dont des fusées traçantes et ont cherché à s'affronter. La police est intervenue. Après les incidents, tout le stade a chanté en la mémoire d'Ivan Perović, un supporter du Partizan assassiné en 2011.

Traduction Underground Fans

Italie: AC Monza - Como - 17/10/2014

Source : http://www.corrierecomo.it

Des bagarres ont éclaté après le derby. Deux ultras de Monza ont été arrêtés.

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Schalke 04 - Hertha BSC - 19/10/2014

Source : http://www.mz-web.de

Suite à des incidents après le match de Bundesliga entre le FC Schalke 04 et le Hertha BSC, douze policiers ont été blessés samedi soir à Gelsenkirchen.
Une violente bagarre a opposé les supporters des deux clubs à la gare. Des vitrines de boutiques, de restaurants, et des voitures de police ont été endommagés. Trois policiers ont dû être soignés à l'hôpital. Un hooligan a été provisoirement arrêté.

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SCR Altach - Austria Vienne - 18/10/2014

Source : http://www.vienna.at

Après la rencontre, les agents de police ont été bombardés de pierres, de canettes de bière et même de tables. Pour repousser les supporters visiteurs, les policiers ont utilisé du gaz au poivre. Quatre supporters ont été blessés.

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FC Aarau - FC St. Gallen - 18/10/2014

Source : http://www.bluewin.ch

Après le match la police s'est interposée entre les fans adverses. Deux supporters, de 19 et 20 ans, ont été interpellés.

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