Saison 09/10 - Janvier

Le Mans - Lorient - 16/01/2010

Source: mail (merci à l'expéditeur)

Ecrasante victoire du Mans

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Source: mail (merci à l'expéditeur)

Cr lorientais

Après nous avoir indiqué l'endroit et pris un pote au stade on se pomme jusqu'à l'arrivée d'un manceau que nous suivront jusqu'à l'endroit prévu.
Nous étions 7 suite à quelques désistements on leur dit ok pour 12 mecs en face et nous précise qu'il y aura quelques mecs sur le côté à regarder. Finalement ce sont 20 25 manceaux ou plutôt "Vindunum hooligans" (dixit leur chant) qui descendirent dans notre direction. Pas mal de lynchages de leur côté, des poings américains de sorti mais ça je pense pas que c'était des "indep". Bon après nous ne sommes pas des surhommes et encore heureux que les manceaux ont gagné sinon cela aurait été triste pour eux...

M.C.C.
A.O.E.

Italie: sécurité - 14/01/2010

Source: Rai (merci à l'expéditeur)

CASMS: Le Comité d'analyse pour la sécurité a décidé que pour Livourne-Napoli du 23 janvier, il n'y aura pas de tifosi visiteurs. Pour Genoa-Atalanta et Juventus-Roma, vente d'un seul billet par spectateur.

Cameroun: Bagarre entre militaires au stade militaire ! - 16/01/2010

Source: http://www.kwalai.com/index.php?option=com_content&task=view&id=26252&Itemid=204

Deux militaires se sont méchamment battus au stade du même nom Yaoundé ce matin.

Ils avaient fait un pari mais avaient surtout profité de la présence d'un bar l'intérieur du stade pour s'imbiber d'alcool.
Le championnat de football IIè Division Région du Centre a, depuis deux semaines démarré. Il se joue au stade militaire de Yaoundé. Et ce matin à 11H, FAP croisait le fer avec Ouragan. Mais ce n’est pas cette partie qui nous intéresse. C’est bien l’enjeu qui a occasionné une bagarre sanglante entre deux hommes en tenue.
En effet, le maréchal des logis Chef Sabo, fervent supporter des Forces Armées et police (FAP), a misé une somme de 20000F cfa en cas de victoire de son équipe sur l’Ouragan. Le Caporal Edjo’o est un fan de cette dernière, certainement parce que son petit frère y évolue.
C'est Ouragan qui a remporté par la partie. Le maréchal a perdu son pari mais, par mauvaise foi, a refusé de perdre son argent et a refusé de remettre sa mise au vainqueur.
Une bagarre s’est déclenchée entre les deux parieurs en tenue de travail, devant des spectateurs qui refusaient de les séparer et de se mêler.
Le Maréchal s’en est tiré avec une ouverture sanglante à l’arcade sourcillaire. Il est tombé et baignait dans une mare de sang. Il a fallu l’intervention des responsables de la sécurité du stade pour le transporter à l’hôpital militaire non loin de là.
Plus que l'appaât du gain, cette bagarre aurait été motivé par l’état d’ébriété des deux militaires qui, durant le match, s’empiffraient d’alcool dans le bar installé à l’intérieur du stade.

Cette situation remet au goût du jour les problèmes de sécurité et d'alcool dans les stades ainsi que celui de l’obligation de solidarité des spectateurs qui, dans l’indifférence, ont observé cette bagarre qui a tourné au drame.

La Sécurité Militaire est arrivée un peu tard et n’a pas pu mettre la main sur le caporal.

Uruguay: CA Penarol - Nacional - 15/01/2010

Source: http://noticias.latam.msn.com/xl/latinoamerica/articulo_montevideo.aspx?cp-documentid=23269018

Le premier classico de l'année qui se disputait dans la nuit de vendredi, en marge de la Copa Bimbo, a fait l'objet de nombreux incidents, ayant opposés les supporters aux forces de l'ordre.
De nombreuses personnes seront blessées suite aux jets de pierres, et 65 seront arrêtées, dont 16 mineurs d'âge. Tous ont été libérés samedi.

Traduction Underground Fans (c)

Grèce: des hooligans se donnent rendez-vous dans un quartier d'Athènes - 11/01/2010

Source: http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_articles_politics_100014_11/01/2010_113913

Une personne sera arrêtée et plusieurs voitures endommagées lors d'une bagarre pré-arrangée et ayant opposé 150 supporters des cluvbs de l'Olympiakos et du Panathinaikos sur un parking de Maroussi, au nord d'Athènes, samedi soir.

La police a précisé qu'environ 100 supporters de l'Olympiakos ont quitté un match de volleyball que disputait leur équipe dans le quartier nord de Kifissa, pour se rendre à Maroussi, situé à une demi-heure de route en motos.

Ils étaient attendus par un groupe d'une cinquantaine de supporters du Panathinaikos.
Des coups et des projectiles ont alors été échangés avant que la police n'intervienne.
Police qui a retrouvé sur les lieux 15 bouteilles de bière vides, ainsi que des pierres.
A priori personne n'aurait été blessé mais 8 voitures ont été endommagées.

Traduction Underground Fans (c)

Espagne: SD Ponferradina - SD Compostela - 16/01/2010

Source: http://www.bierzotv.com

Alors que son équipe venait de réduire la marque (2-1), un supporter visiteur montera sur la pelouse.
Suite à cela, la police locale expulsera les ultras visiteurs.

VIDEO:

http://www.bierzotv.com/html/2009/09/2009090601_ponferradina-compostela.html

SC Paderborn 07 - Fortuna Düsseldorf - 15/01/2010

Source : derwesten.de

Le voyage aller en train, des quelques 800 supporters du Fortuna a été particulièrement mouvementé.
Le train a d'ailleurs accusé un retard de 30 minutes à son arrivée du fait que les supporters ont tiré à deux reprises le signal d'alarme. Des dégradations ont été commisses à bord du train.
Par la suite, les supporters ont dégradé des vitres des bus mis à leur disposition pour les acheminer au stade et les policiers ont été la cible de tirs de fusées traçantes. Trois supporters ont été arrêtés. Au total, 4000 fans de Düsseldorf ont effectué le déplacement.

Traduction Underground Fans

Standard Liège - RSC Anderlecht - 17/01/2010

Source: Belga



Source: dhnet.be

A peine quelques incidents mineurs à l'issue du match Standard-Anderlecht

Quelques incidents mineurs à peine ont été signalés aux forces de l'ordre dimanche à l'issue du match qui a opposé dans l'après-midi le Standard à Anderlecht. Des supporters anderlechtois dont le car était pris dans des files sont brièvement descendus sur la chaussée et ont été confrontés à des supporters du Standard. La police les a rapidement séparés. Dans l'ensemble, aucun incident majeur n'a été signalé.

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Source: lameuse.be

L’après-match est très chaud, à Sclessin

Les supporters du Standard vivent mal la défaite cinglante contre Anderlecht, qu’ils doivent encaisser. La police, dont le déploiement était pourtant important, a eu fort à faire pour calmer les Rouches... qui, visiblement pas d’accord, se battaient entre eux!

En ce qui concerne les Anderlechtois, tout s’est bien passé après la fin du match, explique Véronique Baccus, porte-parole de la police de Liège. Comme prévu, nous avons fermé le haut du pont pour faire sortir du stade tous les cars. Ils sont repartis sans difficulté. ”

Par contre, aux abords du stade surtout, les supporters rouches, qui refaisaient la rencontre à leur sauce, la tension est allée grandissante. “ Nous avons été confrontés à de nombreuses échauffourées, dit encore véronique Baccus. La boisson aidant, les esprits sont chauds, dirons-nous. ”

Bagarres, menaces, coups ont nécessité de nombreuses interventions policières.

À 18 heures, les cellules du commissariat renfermaient déjà quelques énergumènes qui avaient tout intérêt à se calmer rapidement.

“ Oui, nous avons eu des arrestations administratives, dit-on encore à la police.

Dans le centre de Liège, tout semblait beaucoup plus calme. Les supporters n’avaient pas le cœur à arroser le 0-4, difficile déjà à digérer...

NDR: aucune bagarre entre locaux

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Source: mail (merci à l'expéditeur)

Avant le match, certains supporters anderlechtois sont descendus des bus juste avant d'entrer dans le parcage, cherchant la confrontation. Mais aucun standardmen ne sortira de sa voiture ou de son bus. Comportement correct de la part des anderlechtois, aucune voiture de détruite, aucun projectile n'a été lancé.

A la mi-temps, la police a arrêté un supporter du standard et a eut la bonne idée de le faire passer menotté par le parcage anderlechtois.... il faut parfois pas chercher à comprendre! Des dizaines de projectiles ont bien sur été lancé sur lui ainsi que sur les policiers qui l'escortaient, ceux-ci se sont vites rendus compte de la bêtise qu'ils venaient de faire.

Après le match RAS, des standardmens nous ont contacté pour un rdv sur un parking mais une fois arrivé là, on s'est gentillement fait signaler que le rdv était annulé, comme d'habitude...

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Source: mail (merci à l'expéditeur)

Contact pris une semaine avant avec les décideurs Bcs et aucun rendez-vous pris car trop risqué pour les Bcs qui passent en jugement pour l'affaire Diegem.

Bordeaux - Marseille - 17/01/2010

Source: Sud Ouest (merci à l'expéditeur)

Un supporteur de l’OM a été blessé, dimanche en début d’après-midi, près du stade annexe de Chaban-Delmas à Bordeaux, dans une rixe qui a opposé une trentaine de supporteurs marseillais à une cinquantaine de Bordelais

Rixe entre supporters avant Bordeaux-OM

Un supporteur de l’OM a été blessé, dimanche en début d’après-midi, près du stade annexe de Chaban-Delmas à Bordeaux, dans une rixe qui a opposé une trentaine de supporteurs marseillais à une cinquantaine de Bordelais.

S’étaient-ils donné rendez-vous pour s’affronter en dehors du terrain sportif?Des supporteurs bordelais se trouvaient en tout cas exactement au même endroit que les supporteurs marseillais venus en voiture de la région aquitaine.Et étrangement ce bien avant le coup d’envoi du match opposant l'OM au FCGB.

Les policiers de l’Unité d’ordre public sont intervenus rapidement pour séparer les deux groupes. Les «Marseillais» ont été escortés à pied jusqu’à la tribune visiteurs où ils ont passé l’après-midi. Quelque 100 personnes ont ainsi été contrôlées.

Des produits stupéfiants, un coup-de-poing-américain et un fumigène ont été saisis.

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Source: mail (merci à l'expéditeur) - OM

Une quarantaine de jeunes Marseillais se regroupent petit à petit dans un bar non loin du virage sud bordelais, à l'abri des flics.
Notre position, notre nombre et notre statut (sans arme) sont donnés aux locaux qui nous promettent une arrivée dans l'heure.
Coutumiers du fait, après une heure toujours rien.
Direction leur bar, au détour d'un virage, leur guetteur gesticule, ils sont là.
On nous avait assuré au téléphone 50 mecs main nues "parole d'homme".
C'est entre 70 et 80 bordelais, armés qui nous font face.
Matraque, bouteille, couteau, gazeuze, bordeaux contre les armes!
Contact d'une minute sans réel avantage, Marseille tient à 2 fois moins.
Les bordelais fatigués crient stop. Marseille continue et avance. Gazage des....bordelaids qui s'en vont en marchant. Atmosphère irrespirable. Fin des hostilités.

Un peu plus tard, 8 Mars se désaltèrent dans le bar des locaux, qui tentent de les déloger, ils repartiront les pieds devant avec chaises et tables en prime.

Les voitures 13 sont courageusement vandalisées, ce qui contrait une partie du contingent à dormir en terre ennemie... à vomir
BORDEAUX SANS HONNEUR!!

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Source: mail (merci à l'expéditeur) - Bordeaux

gros contact en début d'aprés-midi, 40 (uniquement UB) contre 40 (essentiellement CU apparemment) environ.contact trés réglo,avantage bordeaux mais respect aux mars pour l'initiative et l'absence d'armes...
Par contre,quelle tristesse de voir autant de conneries....Le coup des voitures par contre c'est vrai,c'étaient en représailles des bus à l'aller...
Sinon le gazage était policier (on a quand même suffisamment de cerveau pour ne pas se gazer nous même), nous n'étions pas plus d'une quarantaine et sans armes, seules quelques bouteilles ont volées et l'avantage clairement bordelais même si les mars ont bien tenu..Voila fin des débats pour nous,comme on dit seuls les présents savent...

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Source : L'Equipe

Match "à risques" oblige, un imposant dispositif de sécurité avait été déployé par les forces de l'ordre dimanche autour de Bordeaux-Marseille (1-1), avec trois compagnies de CRS et un escadron de gendarmerie, appuyés par un hélicoptère. Le bilan des incidents, dressé par des sources policières à l'issue de la soirée, est satisfaisant. Sept personnes seulement ont été interpellées et les quelque 900 supporters marseillais venus en car en Gironde sont repartis sans incident.

Avant la rencontre, trois personnes ont été interpellées pour violences ou outrages, trois autres pour détention de stupéfiants et une dernière pour avoir tenté d'introduire des fumigènes dans le stade, ont détaillé les policiers chargés du dispositif. Une personne légèrement blessée lors d'échauffourées sans gravité dans l'après-midi avait été dirigée vers l'hôpital pour des soins mais n'y est pas restée.

Lors de la dernière rencontre (4e journée de L1, 0-0) entre les deux équipes le 30 août dernier au Vélodrome, des jeunes avaient caillassé plusieurs autocars et des minibus bordelais a l'issue du match.

PLUS AUCUN AUTRE CR NE SERA PRIS EN COMPTE. MERCI

NEC Nijmegen - Vitesse Arnhem - 17/01/2010

Source: https://www.youtube.com

Chievo Vérone - Juventus - 16/01/2010

Source : 20Minutes.fr

Les supporters de la Juventus s'en prennent à nouveau à Balotelli

Même si leur équipe n'affronte pas l'Inter, les supporters de la Juventus n'oublient pas Mario Balotelli. Ils s'en sont à nouveau pris à lui dimanche à Vérone lors du match perdu par la Juve face au Chievo en entonnant des chants racistes.

«Si vous sautez (dans les gradins), Balotelli va mourir», ont chanté des supporteurs de la Juventus lors de la défaite sur le terrain du Chievo (1-0) pour le compte de la 20e journée du Championnat.
Cette semaine, la «Vieille dame» avait été condamnée à disputer son prochain match de Championnat contre l'AS Rome samedi prochain avec le virage sud du stade Olympique fermé au public (5000 places sur un total de 30.000).

«Il n'y a pas d'Italien noir», avaient chanté des tifosi de cette Curva Sud mercredi contre Naples en Coupe en référence à Balotelli, jeune attaquant italien d'origine ghanéenne de l'Inter Milan.

Il s'agissait de la troisième condamnation de la saison en raison de chants racistes d'une partie de ses supporters pour le club piémontais, qui avait jusqu'ici écopé d'amendes.

Stade des Alpes: pourquoi les forces de l'ordre ont chargé - 17/01/2010

Source : Leprogres.fr

ATTENTION: article comportant nombreuses erreurs journalistiques



« Nous étions dans une tribune calme et à l'écart, mais nous avons quand même été indisposés par les gaz lacrymogènes », expliquent cinq supporters stéphanois, qui ont fait, samedi, le court déplacement au stade des Alpes. Des échauffourées ont en effet éclaté lors de la mi-temps du match Grenoble-Saint-Etienne entre forces de l'ordre et supporters stéphanois.
À l'origine de ces affrontements, le vol à la buvette du stade par les visiteurs d'une cafetière ou d'une cuve à vin chaud, selon les versions. C'est lorsque les auteurs du méfait ont brandi leur « trophée » que la tension, déjà palpable, est montée d'un cran.
Les stadiers du GF38 ont alors tenté de le récupérer, mais les esprits se sont échauffés, et la confusion occasionnée a provoqué l'intervention des CRS et gendarmes mobiles présents en nombre dans le stade. Ces derniers ont alors été la cible de nombreux sièges jetés par les supporters des Verts, puis ont utilisé leurs bombes lacrymogènes. Si ces heurts n'ont duré que quelques minutes, les gaz se sont propagés dans une grande partie du stade, notamment sur le terrain, rendant la reprise de la rencontre impossible pendant une bonne vingtaine de minutes.
Déjà, selon les cinq supporters cités plus haut, la tension était présente en fin de première mi-temps. « Au moment du deuxième but, nous avons manifesté notre joie, mais un gars de la sécurité est venu nous dire de nous calmer. Idem quand l'un d'entre nous filmait les échauffourées, et qu'on lui a dit d'arrêter. »
Avant le match, des Grenoblois ont tenté quelques invectives, après qu'un groupe de Stéphanois soit arrivé en cortège en chantant « On est chez nous », ce que les locaux ont pris pour de la provocation. Aussi, au cours de la rencontre, deux groupes de supporters grenoblois en sont venus aux mains pendant que les heurts se produisaient dans la tribune d'en face, occasionnant un déploiement d'autres CRS devant celle des Isérois. Mais, au final, il n'y aura eu aucun affrontement entre supporters des deux camps.
Durant leur intervention, les forces de l'ordre ont procédé à sept interpellations. Hier après-midi, un supporter des Verts était toujours placé en garde à vue pour jets de sièges sur la force publique. Plus de trois cents assises auraient été détériorées durant le match.

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Ces rivalités qui mettent le feu aux poudres

Chacun se souvient de la canette qui, à l'arrivée des joueurs de l'Olympique de Marseille à Geoffroy-Guichard, atteignait la tête de Jean-Pierre Papin.
Ce soir-là, le buteur déclarait forfait, les Verts gagnaient (1-0) dans une ambiance électrique, mais le match allait être rejoué quelques semaines plus tard (1-1). Il s'agit de l'un des épisodes les plus marquants de l'histoire récente des supporters stéphanois, émaillée de rivalités avec des ultras adverses.

La « tradition » marseillaise

Malgré cet antécédent, supporters stéphanois et marseillais poursuivent dès que l'occasion se présente leur démarche d'intimidation. Ainsi, la saison dernière, l'arrivée du car des joueurs marseillais a occasionné le jet de… canettes. Ce qui a valu à trois supporters stéphanois des interdictions de stade.

L'ennemi lyonnais

La rivalité avec le voisin rhodanien est historique. Suprématie régionale, bourgeois contre industrieux, équipe de vainqueurs contre éternels perdants… Depuis, cette dernière tendance s'est inversée, mais les querelles entre supporters perdurent. Banderoles vengeresses - « La chasse est ouverte, tuez-les ! » dirigée contre les joueurs lyonnais, ou « Les gones inventaient le cinéma quand vos pères crevaient dans les mines » à l'adresse des supporters stéphanois - ou échanges de fumigènes sont fréquents lors des derbies. Cette saison, un projectile a éclaté une vitre du car des joueurs lyonnais. Une bien fâcheuse coutume locale.

Le contentieux niçois

A l'origine de la rivalité entre ultras azuréens et stéphanois, le vol dans le local des supporters niçois d'une banderole (un forfait déjà commis à l'encontre des lyonnais, qui avaient répliqué après son déploiement par des jets de fumigènes en direction du kop nord). Depuis, les supporters des deux équipes se vouent une rancune tenace, et se retrouvent parfois en correctionnelle. Ainsi, en marge du match disputé en août dernier, un Niçois a lancé depuis son bus un projectile, atteignant et blessant à la tête le jeune passager d'une 205. L'auteur de ce geste a été condamné à 6 mois de prison ferme, tandis qu'un autre Niçois et un Stéphanois écopaient respectivement de 18 mois d'interdiction de stade et de 6 mois de prison pour d'autres méfaits.

L'énigme montpelliéraine

Le 17 octobre dernier, l'ASSE se déplace à Montpellier. Lors de ce match, les forces de l'ordre interviennent dans la tribune des visiteurs, pour séparer… Green angels et Magic fans, qui en viennent aux mains. Les deux groupes de supporters stéphanois se retrouvent ensuite sur le parking, séparés par les CRS. Quelques jours plus tard, les présidents des deux groupes se retrouvent dans les locaux du commissariat de Saint-Etienne, afin d'apaiser ces tensions.

Les voyages européens

La saison dernière en coupe d'Europe, l'ASSE retrouve son ex-terrain de jeu favori. Ses supporters, fidèles et nombreux à chaque déplacement, même lointain, aussi. À Bruges, des échauffourées éclatent dans les rues entre Belges et Stéphanois, débouchant sur une vingtaine d'interpellations. À Athènes, avant le match contre Olympiakos, des échanges de projectiles ont lieu devant le stade. Plus tard, lorsque les supporters des Verts déploient une banderole fournie par les rivaux du club local, ses ultras voient rouge, et vont à l'affrontement, lançant des bombes artisanales et blessant un supporter des Verts à une jambe. Preuve que la « ferveur » n'a pas de frontière.

Montpellier: Un supporter du MHSC arrêté pour avoir jeté une bombe agricole samedi soir à la Mosson - 17/01/2010

Source : Midi Libre



Un gros pétard, de style bombe agricole : voilà ce qu’a jeté, sur la pelouse, un supporter Montpelliérain de 25 ans, samedi soir, au début du match de football Montpellier-Nice. Et aussitôt le speaker du stade a annoncé que si un second pétard explosait, la rencontre pouvait être arrêtée avec perte du match pour le MHSC... Pour autant, cet acte inconscient a été rapidement réprimandé : au PC sécurité, à la mi-temps, les policiers ont visionné les images et mis un visage sur l’auteur présumé qui a été interpellé pendant le match puis placé en garde à vue.

Ce supporter, appartenant au groupe des Armata Ultras, n’était pas un inconnu du commissariat et pour cause : il avait déjà été interdit de stade pendant plusieurs mois avec obligation de pointer... C’est dire si ce
fan connaissait déjà les risques pour lui et pour le club : car c’est justement à cause du lancer de bombes agricoles, au match aller, à Nice, que le terrain de Montpellier avait été suspendu pour une rencontre...

Par ailleurs, une bagarre a éclaté entre plusieurs personnes au début de la seconde mi-temps, au niveau de la buvette des supporters Montpelliérains de la Butte Paillade. Pour un motif inconnu et sans que des Niçois ne soient impliqués. Un quinquagénaire, père d’un des leaders du groupe, a été blessé à la tête. Souffrant d’un traumatisme crânien, il a été conduit aux urgences par les pompiers, mais il en est rapidement ressorti. Cette victime avait déjà eu la mâchoire cassée voilà quelque temps, lors d’une autre algarade… Trois autres personnes ont été légèrement commotionnées.

Enfin, la police a passé la journée à empêcher les confrontations entre supporters des deux camps qui affichaient une nette volonté d’en découdre. En lien avec Tam, la police a acheminé et escorté un bus parti de la gare avec une soixantaine de supporters Azuréens éparpillés en ville, jusqu’au stade. Quelques heurts sans dommages ont éclaté sur les parkings à l’issue de la rencontre. Dans l’après-midi, deux supporters de l’OGC Nice avaient eu à faire avec les forces de l’ordre : l’un s’était rebellé, l’autre avait un poing américain dans sa veste.

Kavala - Olympiakos - 17/01/2010

Source: e-paideia.net + tanea.gr + contra.gr + sport24.gr

A Kavala, avant le début de la rencontre, des supporters des deux équipes en sont venus aux mains et se sont échangés des fusées de détresse, des sièges et des fumigènes alors que la police était curieusement absente à ce moment là !

Les incidents ont recommencé à la mi-temps du match, les supporters de l'Olympiakos rentrant sur le terrain pour aller rejoindre les locaux mais la police est intervenue et les supporters sont retournés dans les gradins. Le coup d'envoi de la deuxième mi-temps a été retardé.

7000 fans de l'Olympiakos avaient fait le déplacement.

Traduction Underground Fans

Pas Giannina - Aris Saloniki - 17/01/2010

Source: enet.gr + contra.gr + sport24.gr

A la 58ème minute de jeu, les supporters de l'Aris ont envahi la pelouse après avoir cassé une barrière. Tout a commencé alors que les supporters des deux équipes s'insultaient copieusement, avant de s'échanger des projectiles. La police est intervenue massivement. La rencontre a été interrompue pendant 15 minutes.
A noter également, que 15 à 20 supporters masqués ont dégradé une cafétéria à Thessalonique qui diffusait la rencontre. Les supporters ont notamment lancé des pierres dans la vitrine et se sont enfuis avant l'arrivée de la police.

Traduction Underground Fans

Atromitos - Larissa - 17/01/2010

Source: Larissa website

Open d'Australie: Onze personnes expulsées - 18/01/2010

Source : Sport.fr + Australia.TO

Onze personnes ont été expulsées de l'enceinte de l'Open d'Australie pour comportement inapproprié, a indiqué lundi la police qui avait déjà dû intervenir pour des faits similaires ces dernières années. Les tensions les plus graves remontent à 2007 lorsque des supporteurs croates et serbes s'étaient affrontés en bataille rangée, une vision alors inédite dans un stade de tennis.

Colchester United - Norwich City - 16/01/2010

Source : Norwich Evening News

Un supporter de Colchester a été plaqué au sol et arrêté après être rentré sur le terrain et s'être dirigé vers les fans visiteurs. Douze supporters de Norwich ont par ailleurs été expulsés du stade par les stewards. 2000 fans visiteurs avaient fait le déplacement.

Traduction Underground Fans

Swindon Town - Gillingham FC - 16/01/2010

Source : Swindon Advertiser

Deux supporters de Gillingham ont été interpellés. Le premier a lancé un projectile sur les fans de Swindon Town a indiqué la police, tandis que le deuxième était ivre lors de son entrée au stade.
Il y a une forte rivalité entre les deux clubs.
En janvier 2006, les supporters des deux équipes s'étaient lancés des pierres et des verres dans les gradins du stade Priestfield de Gillingham. Ceux de Town devant être bloqués dans leur tribune par la police après la rencontre, pour apaiser les débats.

Traduction Underground Fans

Espagne: FC Cartagena - Recreativo Huelva - 17/01/2010

Source: presse locale

Deux groupes de supporters du FC Cartagena et du Recreativo Huelva se sont affrontés sur le parking du stade. Selon la police, qui a du intervenir, il y aurait eu quelques blessés légers.

La bagarre a commencé quand les deux groupes, le Frente Onuba de Huelva et les Komandos Aladrokes de Caragena se sont retrouvés tous les deux sur le parking du stade, commençant à s'insulter.
La situation a dégénéré et des coups ont donc été échangés entre les deux factions.
Rapidement les forces de l'ordre sont arrivées sur place, mettant fin aux hostilités.

Bien que la police n'ait arrêté aucun des protagonistes, l'un d'eux ayant été hospitalisés a été identifié.
Il est possible que ce dernier ai dénoncé d'autres personnes.

Traduction Underground Fans (c)

Argentine: Racing Cordoba - Talleres de Cordoba - 17/01/2010

Source: http://www.diaadia.com.ar/?q=content/las-1730-racing-y-talleres-se-miden-en-el-chateau-0&pageimg=3 + http://mundod.lavoz.com.ar/?q=content/violencia-en-el-partido-entre-racing-y-talleres-2

Des incidents éclateront après la rencontre, faisant plusieurs blessés et menant à 60 arrestations.

Un stéphanois jugé aujourd'hui - 18/01/2010

Source : Le Dauphiné Libéré

Interpellé samedi après les incidents survenus dans les tribunes du Stade des Alpes et placé en garde à vue, un supporter stéphanois sera jugé aujourd'hui en comparution immédiate au tribunal de grande instance de Grenoble. Agé de 28 ans, il est poursuivi pour violence sur agent de la force public.
Au cours du match, plus de 300 sièges ont été arrachés dans les tribunes.

SCO Angers - En Avant Guingamp - 16/01/2010

Source: mail (merci à l'expéditeur) - EAG

A une trentaine de minutes du coup d'envoi, bon contact derrière la tribune Angevine entre ni plus, ni moins 19 visiteurs (NSG) et un groupe compact de +/- 40 Ultras locaux. Charge à l'initiative des Guingampais. Les Angevins ne cesseront de reculer du début à la fin, Guingamp relançant les débats à plusieurs reprises.
Victoire Guingamp.
Quelques bouteilles et ceinturons aussi bien d'un coté comme de l'autre, rien d'autre. Sur la fin, de nouveaux échanges ont lieu entre Flics/Stadiers vs NSG, puis ça se disperse. Aucune interpellation coté Breton.

EAG mob


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Source : Mail - Angers

Juste pour rétablir la vérité sur l’avant match. Environ une trentaine d’angevins. Charge en effet a l’initiative de la nsg, mais de là à dire qu’on n’a sans cesse reculé faudrait revoir les choses, on a plus fait du sur place qu’autre chose. Dispersion dû à l’arrivée des flics.
Pour les armes aucune chez nous, pas dans nos habitudes à l’inverse de vous (cannettes, ceinture…) mais le plus fort c'est de s'acharner à deux sur la roulette (ceux qui le connaissent voient pourquoi c'est inadmissible).



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Source: Sud Ouest

Angers - Guingamp : bagarre entre supporters

Une bagarre entre deux groupes de supporters d'En Avant et du Sco s'est déroulée samedi dans le centre-ville d'Angers. La rixe a éclaté quelques heures avant le coup d'envoi de la rencontre de Ligue 2 opposant les deux clubs. La police n'a procédé à aucune interpellation et aucune plainte n'a été déposée. Plusieurs blessés sont néanmoins à déplorer.

ASSE: Un supporter condamné - 18/01/2010

Source : L'Equipe

Un supporter stéphanois, interpellé à la suite des affrontements samedi avec les forces de l'ordre lors du match de football Grenoble-Saint Etienne, a été condamné lundi à un an d'interdiction de stade et 300 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Grenoble. Poursuivi pour «accès à une enceinte sportive en état d'ivresse et jet de projectile», cet homme de 28 ans, placé en garde à vue à l'issue du match, a reconnu avoir ramassé un siège arraché et l'avoir jeté dans les tribunes. «Je n'explique pas mon geste, c'était un mauvais réflexe», s'est-il justifié devant le tribunal. Le parquet avait requis 1.000 euros d'amende et 2 ans d'interdiction de stade à l'encontre du prévenu, déjà condamné en 2006 à une amende pour «violence en réunion» et «dégradations» en marge d'une rencontre sportive. Sept autres personnes avaient été interpellées et six d'entre elles avaient été relâchées à l'issue de leur garde à vue.

Hooliganisme : un supporter du LOSC condamné - 18/01/2010

Source : La Voix du Nord

Samedi soir, Donatien D., 24 ans, se trouve devant le Stadium Nord de Villeneuve-d'Ascq. Le match opposant le LOSC - son équipe - au PSG n'a pas encore débuté. Les troubles oui. Devant les guichets, des supporters lillois et parisiens sont déjà en train d'en découdre. Les forces de l'ordre fondent sur la mêlée.

Invité au micro par la présidente Nourith Reliquet, le gendarme décrit le cadre : celui d'un affrontement. Le prévenu ? « À un moment, il s'est retourné, complète le militaire. Cet homme m'a vu et a commencé à s'éloigner. » Tentative d'interpellation. Le gendarme mobile reçoit un coup de coude en pleine mâchoire. Une dent cassée. Dans son enclos de béton, Donatien D. jure ne jamais avoir eu conscience qu'il avait été agrippé par un agent de la force publique. Le supporter du LOSC pensait être encore aux prises avec un adversaire du camp d'en face et n'aurait fait que « se débattre ».

Une casserole

Sans relâche, et tout au long de l'audience, Stéphane Dhonte, l'avocat du prévenu, s'acharne à défendre la bonne foi de son client, « élève à l'école des Mines de Douai et sorti major de promotion à l'IUT ». « Comment, sans se retourner, Donatien D. pouvait-il savoir qu'il était pourchassé par des gendarmes et non par d'autres supporters ? », interroge la présidente Reliquet. « Les sommations, madame... », rétorque sobrement le gendarme.

Et puis, Donatien D., responsable du club des DVE (Dogues Virage Est), traîne une casserole. Il a été condamné, en septembre, pour avoir tagué « LOSC » sur un stade. Score de l'audience : quatre mois de prison avec sursis et une interdiction de stade de six mois. Hier soir, Stéphane Dhonte annonçait son intention d'étudier un appel.