Saison 07/08 - Avril

Zemun - OFK Boegrad - Cup - 16/04/2008

Source : Forum

PSG: les Boulogne Boys dans le dernier virage - 17/04/2008

Source : L'Express
par Philippe Broussard

La dissolution du groupe de supporters du PSG, dont certains membres sont impliqués dans l'affaire de la bannière anti-Ch'tis, devrait être prononcée très prochainement. Mais le problème de la violence de certains fans de l'équipe parisienne ne sera pas résolu pour autant.

La commission nationale des préventions des violences a donné mercredi, à l'unanimité, un avis favorable pour la dissolution de deux associations de supporters : les Boulogne Boys (Paris-SG) et La Faction (FC Metz). Cet avis intervenait sur demande du ministère de l'intérieur. Les groupes de supporters visés sont accusés de violences et d'«incitation à la haine et à la discrimination».

Les jours des "Boulogne Boys", l'un des principaux groupes de supporters du PSG, sont comptés. Plusieurs responsables de cette association fondée en 1985, ont été longuement entendus, mercredi 16 avril, au ministère de l'intérieur, par les membres de la Commission nationale de prévention des violences lors des manifestations sportives.

La commission, qui se réunissait pour la première fois, est favorable à la dissolution de cette association qui revendique plusieurs centaines d'adhérents. La décision finale revient certes à Michèle Alliot-Marie, la ministre de l'Intérieur, mais l'issue de la procédure ne fait guère de doute: la dissolution devrait être prononcée très rapidement, peut-être même dans l'après-midi de ce jeudi.

La commission, présidée par le conseiller d'Etat Pierre Bordry, a examiné diverses affaires dans lesquelles les Boys sont supectés d'être impliqués. Parmi elles, la fameuse banderole anti-Ch'tis déployée au Stade de France lors du match Lens-PSG. Les dirigeants des Boys ont toujours nié toute responsabilité dans cette affaire, mais l'enquête indique que des membres du groupe ont participé à la conception de la banderole en question. La commission reproche également à certains de ces ultras des comportements racistes lors d'une déplacement en car à Marseille, en février dernier.

La dissolution marque un tournant dans l'attitude des pouvoirs publics vis à vis des groupes ultras. Il s'agit d'un message fort à l'adresse des autres associations, à Paris comme en province. Les Boys sont en effet l'un des groupes les plus anciens du pays, avec les Fire Birds et les Gavroches, d'autres supporters (moins virulents) de la tribune Boulogne du Parc des princes.

Le problème de la violence sera-t-il pour autant résolu au PSG? Rien n'est moins sûr. D'abord parce que les Boys ne constituent qu'une petite partie du virage Boulogne (6000 places) et sont loin d'être les plus radicaux. Ensuite parce que l'éclatement de l'association n'empêchera pas ses ex-membres de venir au stade à titre individuel. Au risque, pour certains, de rejoindre des factions beaucoup plus violentes (les "indépendants"). Avec les Boys, le club et la police disposaient d'interlocuteurs identifiables, les responsables de l'association. Sans eux, cela ne sera plus le cas. Mais dans le contexte d'indignation liée à l'affaire de la banderole et à la succession d'incidents impliquant des fans du PSG, les autorités devaient agir. Ce sera bientôt chose faite.

PSG : Les Boulogne Boys dissous - 17/04/2008

Source : Football.fr

Dans le collimateur de la justice, le principal groupe ultra parisien, né en 1985 dans les travées du Parc des Princes, a été dissous ce jeudi, par la ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie. L'affaire de la banderole anti-Ch'tis, déployée lors de la finale de la Coupe de la Ligue, le 29 mars dernier, a signé l'arrêt de mort des Boulogne Boys, très contestés pour leur implication dans de nombreux incidents. L'association réunissait environ 500 membres et 400 sympathisants.

Une page de l'histoire du PSG et de ses supporters se tourne. Le ministère de l'Intérieur a officiellement dissout, ce jeudi, l'association de supporters du Paris Saint-Germain, les Boulogne Boys, ainsi que le groupement Faction Metz, du FC Metz. Celles-ci ont été validées mercredi par la Commission nationale consultative pour la prévention des violences dans les enceintes sportives, et transmises au Premier ministre, François Fillon.

Une complicité avérée ?

Michèle Alliot-Marie, la ministre de la Justice, avait déjà exprimé par voie de presse son désir de mettre fin aux groupements les plus virulents qui envahissent les tribunes des clubs français. Le déploiement d'une banderole injurieuse - Pédophiles, chômeurs, consanguins : Bienvenue chez les Ch'tis - lors de la finale de la Coupe de la Ligue, le 29 mars dernier, a été l'élément déclencheur d'une vaste enquête dans le milieu ultra parisien. Les policiers de la Brigade de répression de la délinquance aux personnes (BRDP) ont découvert un certain nombre d'indices qui laissent à penser que les Boulogne Boys sont parties prenantes dans la mise en place de la bâche, découpée en onze morceaux de tissus de cinq mètres environ, même si l'idée originelle reviendrait à des supporters dits "indépendants", les plus radicaux du Kop de Boulogne. Des traces de peinture au pochoir avec l'inscription Ch'tis ont été retrouvés à l'entrée des locaux concédés par le club à l'association, au sein même du Parc des Princes. Quant à la liste des six personnes mises en examen pour "provocation à la haine ou à la violence lors d'une manifestation sportive", elle comprend notamment le nom de François B, membre du bureau des Boys.

Une histoire trouble

Le groupe ultra tient, il est vrai, un double discours. Par un communiqué officiel, il a tenu à s'innocenter, arguant sa naïveté (sic). "En effet si la dite banderole a bien été déployée sur une partie de tribune qu'il lui a été allouée pour l'occasion , l'association n' est en aucun cas à l'origine de sa confection, ni à l'origine de sa réalisation et ni à l'origine de son déploiement en tribune. La seule chose qui peut être reprochée à l'association est la naïveté qui a consisté à laisser faire sans se rendre compte de la teneur du message, message insultant une région entière qui a beaucoup donné à la France", explique-t-il notamment. Sur le site officiel de l'association, pourtant, on se gargarise d'autres banderoles déployées ça et là, comme un très fin "OM = Sida"... Dans la partie historique du site, sont mentionnés les principaux faits d'armes d'un groupe de supporters dont la violence est inscrite dans les gênes. L'association avait d'ailleurs failli être dissoute une première fois après la mort d'un de ses membres, Julien Quemener, en novembre dernier, tué par un policier après la rencontre PSG-Tel Aviv.

Une solution sans effet ?

Reste à apprécier la portée d'une telle mesure. Sous une forme associative, le mouvement ultra, même le plus virulent, est obligé de respecter certaines règles juridiques et peut être mieux encadré par le club qu'il supporte. Il est d'ailleurs à souligner que les plus graves incidents constatés aux abords du Parc des Princes sont souvent le fait des "Indépendants", groupuscule encore plus radical aux contours extrêmement flous. En prononçant la dissolution des Boulogne Boys, le Ministère de l'Intérieur risque de rompre définitivement le dialogue avec une partie de la frange dure des supporters parisiens, justement celle enclin à collaborer avec les dirigeants parisiens pour encadrer leur soutien, à domicile comme à l'extérieur.

Exeter City - Aldershot Town - 15/04/2008

Source : Express & Echo

La police met en garde après des bagarres de rues

Les hooligans qui gravitent dans les parages du club d'Exeter City et veulent nuire à son image ne seront pas tolérés a prévenu l'inspecteur chef, Adrian Brigden, après des violences dans les alentours du stade St James's Park, mardi soir.
30 policiers étaient mobilisés pour la rencontre opposant City à Aldershot, ils sont intervenus pour deux bagarres.
La première, peu après 19h, 50 fauteurs de troubles ont été dispersés hors du Pub "Horse and Dray" dans Blackboy Road. Aucune arrestation n'a été faite.
La deuxième, après le coup de sifflet final, l'hélicoptère de la police survolant la ville a signalé une nouvelle bagarre entre hooligans, du côté du Parc Belmont.
Ces derniers incidents ont été filmés depuis l'hélicoptère et devraient être exploitable selon Adrian Brigden, qui compte bien mettre hors d'état de nuire les hooligans pour une période de trois ans. Ces gens qui salissent l'image des autres supporters de City.

traduction: undergroundfans (c)

Finale Feyenoord Rotterdam v Roda JC Kerkrade : inquiétude du maire - 17/04/2008

Source : ad.nl

Le maire de Rotterdam se dit inquiet en cas de victoire en coupe du club local, le Feyenoord face à Roda JC, le 27 avril prochain. Les "après" victoires du Feyenoord sont le prétexte à tous les débordement parmi les hooligans locaux.
Les très violents incidents de 1991 (coupe nationale), 1993 et 1999 (titres nationaux) et 2002 (coupe UEFA) sont là pour en témoigner.

traduction: undergroundfans (c)

UEFA : l'OM et le Zenit sanctionnés - 17/04/2008

Source : Maxifoot

L'Olympique de Marseille et le Zenit Saint-Petersbourg viennent d'être sanctionnés par l'UEFA, suite aux débordements qui ont émaillé les huitièmes de finale de la Coupe de l'UEFA. L'OM, dont certains supporters avaient lancé des projectiles et des feux d'artifice à l'aller, va devoir payer une amende de 20 000 euros. Celle du club russe s'élève à 10 000 euros à cause d'une banderole. L'autre accusation qui concernait des injures racistes de supporters du Zenit à l'encontre de joueurs marseillais, lors du match retour, sera jugée par l'Instance de contrôle et de discipline de l'UEFA le 8 mai prochain.

France : Et maintenant, la boboïsation des stades de foot ! - 16/04/2008

Source : Marianne2

L'affaire de la banderole «anti Ch'tis»? Pour le sociologue des territoires Christophe Guilluy, c'est le signe d'une «gentrification» de la société, qui rejette autant les classes populaires que la violence symbolique qu'elles expriment.

Marianne2 : Comment analysez-vous l'émotion suscitée par la banderole des supporters du PSG «Chômeurs, pédophiles, consanguins : Bienvenue chez les Ch'tis» brandie lors du match contre Lens le 31 mars dernier ?
Christophe Guilluy : Le traitement médiatique de cet événement marque une nouvelle étape de la «gentrification» de la société, c'est-à-dire l'appropriation par la bourgeoise des territoires populaires. D'abord, ça a été les emplois, puis les centres-villes et leurs lieux de vie (bistrots, parcs, etc). Il restait un endroit où les classes populaires s'exprimaient librement : les stades de football. Mais désormais, les tribunes doivent être présentables : plus de banderoles grossières, racistes, etc.

Pourquoi cette exigence se porte-t-elle sur le football ?
C. G. :Depuis la victoire de la France lors de la coupe du Monde de 1998, les médias ont décrété que tout le monde devait aimer le foot : les femmes, les bourgeois, les intellectuels, etc. Or, ce sport renferme tout ce que la société gentrifiée ne veut pas voir : de la colère, de la violence et de la vulgarité. Le discours médiatique refuse ces expressions naturelles qui sont les corollaires de la confrontation ou de la fraternité, des situations humaines normales. Donc, il les rejette comme il rejette les classes populaires qui expriment légitimement une violence symbolique dans ces stades. Comme la société a rejeté les classes populaires des quartiers populaires au profit des «bobos». Ils veulent instituer un «bobo foot» lissé de tout «chambrage» : le peuple, oui, mais loin des caméras.

Quelles sont les évolutions possibles de ce phénomène de gentrification des stades ?
C. G. :Les mêmes que pour les lieux d'habitation : puisqu'on les exclut des stades des grandes villes, les classes populaires se reportent sur les petits clubs de banlieue ou de province, la division d'honneur, etc. En Angleterre, pour résoudre le problème des «hooligans», les autorités ont trouvé une solution : ils ont multiplié le prix des places par cinq. Et le résultat a été immédiat : plus de classes populaires, plus de hooligans dans les grands stades. Depuis, les violences se multiplient dans les clubs de sport des petites villes.

Le foot est donc, une fois de plus, le symptôme d'un phénomène plus large?
C. G. :Au travers ce refus de voir les classes populaires dans les stades, c'est presque une métaphore de la disparition du peuple qui se joue. Après la ville sans le peuple avec les métropoles boboïsées, et la politique sans le peuple avec l'abstention record aux municipales, on se retrouve avec le foot sans le peuple. Tout ce que l'on fait, c'est repousser les classes populaires ailleurs, là où on ne les voit ni elles, ni leurs problèmes.

PSG :La fin des Boulogne Boys - 17/04/2008

Source : Football36

Responsable du déploiement de la banderole anti-ch'tis, le groupe de supporters des Boulogne Boys a été dissous jeudi. S’il ne réglera pas tous les problèmes, cet acte fort confirme la volonté des pouvoirs publics.

On attendait un acte fort de la part des pouvoir publics. Et Michèle Alliot-Marie ne s’est pas défilée. La ministre de l'Intérieur vient en effet d’annoncer la dissolution de l’association des Boulogne Boys, groupe de supporters parisiens responsable du déploiement de la banderole anti-ch'tis lors de la finale de Coupe de la Ligue le 29 mars dernier au Stade de France. Saisie dès le 4 avril, la Commission nationale consultative de prévention des violences lors des manifestations sportives s’était réunie hier (Ndlr : mercredi) et avait rendu un avis favorable à cette dissolution (ainsi qu’à celle de la Faction Metz, un groupe impliqué dans de nombreux incidents au stade Saint-Symphorien). « J'ai signé les décrets de dissolution administrative et ils ont été transmis au Premier ministre », a expliqué MAM lors d'un point-presse Place Beauvau, précisant également que les BB payaient là un ensemble de dérapage depuis plusieurs saisons.

Du côté du groupe de supporters parisien (qui a nié être à l’origine de la confection et du déploiement de la fameuse banderole), pas ou peu de réactions pour le moment. Les téléphones portables sonnent dans le vide et un bref communiqué sur le site de l’association « appelle l'ensemble des personnes physiques et morales susceptibles de témoigner de l'intérêt de la survie de l'association (joueurs, politiques, dirigeants, sociologues) à (nous) contacter le plus rapidement possible ». Un appel qui ne devrait cependant pas changer grand chose tant les Boulogne Boys étaient dans le viseur depuis quelques semaines. D’ailleurs, le groupe (ainsi que les Gavroches et les Rangers, trois des plus importantes associations de supporters de la tribune Boulogne), évoquait récemment sa probable auto-dissolution. Comme pour mieux devancer l’inévitable.

Quelle conséquence aura cette dissolution ?

« Je soutiens totalement la politique de fermeté du ministre de l'Intérieur, seule réponse face à des comportements inacceptables, a expliqué Frédéric Thiriez dans un communiqué. Je salue aussi le travail des services de police pour l'efficacité de l'enquête sur la banderole injurieuse déployée au Stade de France, qui a permis l'interpellation de neuf suspects, suivie d'interdictions de stade et de procédures judiciaires. C'est une bonne nouvelle pour le football français. Nous avons le sentiment d'avoir été entendus et d'être pleinement soutenus par les pouvoirs publics. »

Pour autant, cette dissolution ne réglera pas tous les problèmes du club parisien. Car il ne s’agit là en aucun cas d’un coup de baguette magique. Les Boulogne Boys, association officielle du Kop avec les Gavroches et les Rangers, ne font pas partie de la frange la plus dure et ils jouaient même un rôle d’interlocuteur important entre le club et les 6 000 membres du virage. Quelle conséquence aura cette dissolution sur ces supporters ? Et surtout, le risque de voir les Indépendants, un noyau dur de 200 personnes jugées violentes, monter au créneau est bien réel. Un souci supplémentaire pour un PSG qui aurait sans doute espéré une fin de saison plus calme…

Litex - Botev Plovdiv - 16/04/2008

Source : sport1.bg

Deportivo de La Coruña - Athletic Bilbao - 13/04/2008

Source : Canarias 7

La police a intercepté 28 supporters de Bilbao, membres du groupe Herri Norte, qui avaient visiblement l'intention de casser du supporter local.
Selon la police et au vu de l'arsenal saisi sur les supporters de Bilbao, une tragédie a été évitée ! La sanction a été rapide à l'encontre de ces fans violents, une interdiction de stade pour une durée de deux ans et une amende de 6,000 € chacun.

Unión Deportiva Las Palmas - Club Deportivo Tenerife - 05/04/2008

Source : Canarias 7

Le derby des Iles Canaries en deuxième division a été émaillé d'incidents. Le club Las Palmas a été condamné à 3.250 € et Tenerife à une amende de 23.250 €. Cinq supporters interpellés ce jour là ont été condamnés à un an d'interdiction de stade et à une amende de 4.000 € chacun. Ils avaient jeté des fumigènes.

Les supporters tolérants sont l'avenir du football - 18/04/2008

Source : swissinfo

Le racisme n'a pas disparu des stades de football et menace aussi d'assombrir l'Euro 2008. Le Conseil de l'Europe vient de tenir des assises à ce propos; de nouvelles voies contre le racisme et la violence dans les stades sont possibles.
Il faut agir d'urgence sur les cerveaux des supporters, dans les stades et dans les clubs de football: c'est en substance le message de la journée de réflexion organisée par la Direction de la jeunesse et du sport du Conseil de l'Europe à Europapark en Allemagne.

Quelque 150 supporters, accompagnants de supporters, représentants de la Fédération internationale de football (FIFA) et de l'Union des associations européennes de football (UEFA) y ont participé.

La Direction de la jeunesse et du sport du Conseil de l'Europe mène depuis 1995 la campagne «Tous différents, tous égaux». Quelles que soient la couleur de la peau, la manière de vivre ou les opinions, ce qui compte, ce sont les droits de l'homme pour chaque individu, a rappelé le directeur Ralf-René Weingärtner.

Ceci est valable dans le cadre du football également. Malgré les nombreuses disputes sur et autour du terrain, le ballon rond vaut encore pour ses qualités unificatrices, comme l'avait bien montré le Championnat du monde en Allemagne, a rappelé le directeur.

Vers une Charte des supporters
Pour bannir à long terme le racisme et la violence des stades, un guide pour «le développement et la mise en place d'une charte des supporters en Europe» a été au centre des discussions lors de la rencontre de Rust. Vingt-six objectifs ont été définis.

Cette charte permettrait d'établir des partenariats et des réseaux de communication, précise le Conseil de l'Europe sur son site Internet. Une action concrète serait d'organiser des rencontres avant les matches entre clubs de supporters supposés «ennemis» pour empêcher ensuite les explosions de haine.

En outre, des rencontres régulières entre les dirigeants de ces clubs pourraient aider à mieux circonscrire les problèmes. En retour, les clubs de supporters obtiendraient plus de poids dans les discussions avec les clubs sportifs, organisés souvent de façon purement économique.

Urgent d'agir
Tous le reconnaissent: il est urgent d'agir. De récents exemples le rappellent tristement.

Ainsi un supporter juif du FC Chelsea de Londres a-t-il été victime d'injures antisémites lors d'un match de l'équipe d'Angleterre. A Metz, en France, le joueur de l'équipe nationale marocaine Abdeslam Ouaddou, défenseur de Valenciennes, s'est lui aussi fait injurier par des supporters.

En Allemagne, le match de Bundesliga Francfort – Nuremberg a été interrompu durant vingt minutes car des spectateurs avaient lancé des fusées et autres engins explosifs sur la pelouse. Un club a écopé d'une amende de 50'000 euros, l'autre de 25'000 euros.

Pas seulement une question d'argent
Les amendes sont-elles à même de modifier le comportement des supporters? La question a été posée lors de la rencontre de Rust. Selon de nombreux responsables de clubs de fans, l'amende est plutôt l'expression de l'impuissance des dirigeants du football face au phénomène.

«On ne se demande pas assez souvent pourquoi certains supporters agissent comme ils le font», a fustigé la pédagogue sociale allemande Daniela Wurbs, qui coordonne la Football Supporters Federation (FSF), dont le siège est en Angleterre. «Mais les clubs ne parlent que d'argent, dit-elle, oubliant qu'ils ont aussi besoin de leurs fans».

Daniela Wurbs plaide pour que les clubs de fans et les clubs sportifs apprennent à mieux se connaître et à communiquer entre eux. Elle parle surtout pour l'Angleterre. En Allemagne, en Autriche et en Suisse, «il y a encore de très belles expériences, car les clubs ne se sont pas coupés de leurs fans», selon elle.

En ce qui concerne le prochain Euro, co-organisé par la Suisse et l'Autriche, les deux pays ont mis sur pied de fortes présences policières dans et autour des stades. Les policiers allemands appelés en renfort pourront même, pour la première fois, procéder à des arrestations.

«Ambassadeurs supporters»
Une autre voie consiste à accueillir les fans de l'équipe adverse. L'équipe accompagnant les supporters suisses l'a testée lors du match Suisse-Allemagne à Bâle. Des «ambassadeurs des fans» ont accueilli leurs collègues allemands en ville de Bâle. Des échanges d'informations et une prise de contact ont ainsi pu avoir lieu. On a pu voir plus tard des supporters allemands en compagnie de supporters suisses.

L'équipe d'accompagnants de supporters est emmenée par David Zimmermann, qui est chargé de coordonner ce travail pour l'Euro 2008 par l'Office fédéral pour le sport (OFSPO). Il est entouré des responsables des «ambassadeurs supporters» des quatre ville hôtes, Bâle, Berne, Genève et Zurich.

Incidents à Arnhem - 18/04/2008

Source : omroepgelderland.nl

De retour de déplacement à Maastricht et malgré le fait que le match se déroulait sans spectateur, un groupe de supporters de Cambuur a fait un arrêt à Arnhem.
Sur place, vers 20h30 ils ont attaqué le café des fans locaux, qui s'étaient rassemblés dans leur lieu habituel.
Les supporters de Cambuur ont causé des dégâts importants dans le bar.
La police a interpellé plusieurs dizaines de personnes. Un supporter et un policier ont été blessés. Le calme est revenur aux allentours de 22h30.

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Source : Trouw + Gelderlander

La police est intervenue dans un café de supporters d'Arnhem où des hooligans de Cambuur ont tout cassé. Enfermés dans le bar par la police, 64 d'entre eux ont été interpellés et conduits vers différents commissariats de la ville. Les hooligans sont âgés de 17 à 36 ans et seulement huit ont été relachés par la police. Lors des incidents un policer a été blessé après avoir reçu un cendrier en plein visage. Un hooligan de Cambuur a été aussi blessé.
Les 56 autres hooligans sont maintenus en garde à vue pour le moment.

Wisla Krakow - Lech Poznan - 07/04/2008

Source: youtube.com

https://www.youtube.com/watch?v=J8ybC2QfJzo

Euro-2008: des policiers tchèques assisteront leurs collègues suisses - 17/04/2008

Source : TSR

Des policiers tchèques assisteront la police suisse pour l'Euro-2008 de football (7-29 juin en Autriche et en Suisse), aux termes d'une déclaration commune signée par les ministres de l'Intérieur des deux pays, a annoncé jeudi à Prague le ministère tchèque.

"Des membres de la police tchèque seront envoyés en Suisse lors des championnats d'Europe, pour aider les organes de sécurité suisses dans leur travail", notamment en encadrant les supporters, déclare un communiqué publié à Prague.

L'équipe de République tchèque jouera en Suisse ses matches du premier tour des championnats d'Europe (groupe A): le 7 juin à Bâle contre l'équipe locale en match d'ouverture, puis le 11 juin à Genève contre le Portugal et le 15 juin également à Genève contre la Turquie.

La déclaration tchéco-suisse ne précise toutefois pas le nombre de policiers tchèques qui seront déployés en Suisse à cette occasion.

En novembre dernier, le ministre tchèque de l'Intérieur, Ivan Langer, avait déjà signé une déclaration analogue avec la partie autrichienne. (AFP)

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CASE PRISON - Les autorités autrichiennes se préparent au pire. 400 détenus vont changer de prison pour faire de la place dans les villes accueillant des matches de l'Euro. De son côté, la ville de Bâle va remettre en service une ancienne prison où pourront être détenues un demi-millier de personnes en cas d'événements graves. Une centaine de places supplémentaires seront également disponibles dans quatre cellules collectives d'une autre prison. Les experts tablent sur plusieurs centaines d'arrestations de hooligans par jour pendant la compétition.

RKC Waalwijk - Fortuna Sittard - 18/04/2008

Source : Politie website

La police interpellé 6 hooligans âgés de 17 à 27 ans, avant, pendant et après la rencontre.
Une bagarre a opposée deux bandes de hooligans de RKC et Fortuna avant le match, vers 19h25, dans un café. Puis vers 19h40, le groupe de Fortuna s'est accroché avec la police.
Durant le match, une échauffourée a éclaté en tribune.
Enfin vers 22h40, un groupe de supporters a commis des dégradations, entraînant une nouvelle intervention de la police (50 hommes et une section de l'unité mobile mobilisés).

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CR d'un gars de Genk à venir...

River Plate : Nouvelles arrestations - 17/04/2008

Source : MDZ

La police a interpellé trois autres présumés "barrabravas" de River qui sont accusés d'avoir pris part aux troubles dans le stade de Vélez, lors de la rencontre de leur club contre Arsenal. Il s'agit d'Alexis Cérdenas, Luis Carabajal et Germán Páez. Au total, 9 supporters ont été arrêtés dans le cadre de l'enquête sur les incidents et seront jugés demain.

Rosario Central v River Plate : interdictions de stade - 18/04/2008

Source : InfoBae

Pas moins de 120 supporters de River Plate sont interdits de stade pour le déplacement à Rosario Central, dimanche.



Des IDS de River, membres des Los Borrachos del Tablón

Chili : Le prochain match de Santiago Wanderers à huis clos - 18/04/2008

Source : Login Regional

La rencontre de deuxième division du 27 avril prochain entre Santiago Wanderers et Municipal Iquique aura lieu à huis clos suite aux très violents incidents du 13 avril contre Curico Unido. Le match avait été arrêté.

Paraguay : le CS Luqueno sanctionné - 18/04/2008

Source : Los Tiempos

La Confédération sud-américaine de Football (Conmebol) a condamné le club de Luqueno aujourd'hui à une amende de 20.000 dollars suite aux incidents contre l'Atlético Nacional de Colombia en Copa Libertadores, le 11 avril dernier.
Selon le rapport de l'arbitre, les nombreux jets de projectiles sur la pelouse avaient mis en danger l'intégrité physique des joueurs.

Côte d'Ivoire : AFRICA SPORTS - GAGNOA - 18/04/2008

Source : Starpotin

Face au mauvais arbitrage de l'arbitre les supporters de l'Africa sports se révoltent

Le stade Félix Houphouët-Boigny ressemble à un champ de bataille depuis samedi. Les bancs de touche, la table du commissaire au match, les panneaux publicitaires, la baie vitrée de la loge présidentielle, le tunnel mobile et même les filets du stade Houphouët-boigny ont été saccagés en bon ordre. Le stade Félix Houphouët-Boigny ressemble à un champ de bataille depuis samedi. Les bancs de touche, la table du commissaire au match, les panneaux publicitaires, la baie vitrée de la loge présidentielle, le tunnel mobile et même les filets du stade Houphouët-boigny ont été saccagés en bon ordre. Dans leur furie, les Membres Associés ont également tabassé les arbitres. Si l’arbitre central Koffi Arthur a échappé de justesse à un lynchage grâce à l’ambulance de service dans laquelle il s’est précipitamment engouffré, cela n’a pas été le cas pour ses assistants Tehe Lucien et Yao N’Dongo Yves. Ce dernier a été tabassé et piétiné. Les supplications de Kuyo Téa Narcisse et de tout ce que l’Africa compte comme têtes pensantes, n’ont pas calmé les MAM, décidés à régler leurs comptes avec … la FIF. « Nous jouons dans notre pays comme si on était à l’étranger. Trop c’est trop… », clamaient certains d’entre eux. La trentaine de policiers présents au stade Houphouët-Boigny, impuissante, n’a pas réagi. Du moins, a été contrainte à ne pas réagir. Lorsqu’un groupe de policiers décide en effet de faire usage de gaz lacrymogène, ils sont dissuadés par des membres de la FIF. Le stade Houphouët-Boigny « dans leurs mains », les supporters de l’Africa se sont bien défoulés. Le plus drôle dans l’affaire, c’est la participation de personnes du troisième âge dans cette barbarie. A l’aide des piquets de corners, les MAM sortent du stade comme des guerriers et attendent l’homme en noir. « Même si c’est jusqu’à 22h, nous l’attendons ici… », s’égosillent-ils. Mais pourquoi toute cette violence ? « L’arbitre Koffi Arthur nous a volés. C’est le même arbitre qui a officié la rencontre de l’Asec contre le Stade, jeudi. Parce qu’on réalise un parcours sans faute, les gens de la FIF sont jaloux. Ça leur fait mal de nous voir en tête du championnat. Mais on ne va pas se laisser faire… », l’explication de tant de brutalité est donnée.

1. FC Union Berlin v Dynamo Dresden : sécurité - 19/04/2008

Source : fc-union-berlin.de

La rencontre entre l'Union et le Dynamo prévue le 08 mai prochain se déroulera sans supporters de Dresde a annoncé la police berlinoise. Cette mesure fait suite à des informations laissant penser à une forte mobilisation des hooligans du Dynamo à Berlin.

La dissolution des Boulogne Boys et de la Faction Metz publiée au JO - 19/04/2008

Source: Agence France Presse

Les décrets prononçant la dissolution des deux groupes de supporteurs du PSG et du FC Metz, les Boulogne Boys et la Faction Metz, ont été publiés samedi au Journal officiel.

Jeudi, la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie avait annoncé la dissolution des Boulogne Boys après la banderole injurieuse du Stade de France, le 29 mars, lors de la finale de la Coupe de la Ligue PSG-Lens, et de la Faction Metz, à la suite d'incidents lors de la rencontre Lyon-Metz du 23 février.

Les deux décrets, publiés au Journal officiel et signés du Premier ministre François Fillon et de Mme Alliot-Marie, énumèrent les différents incidents motivant la dissolution de ces deux groupes.

Le décret relatif aux Boulogne Boys retrace en détail les "actes répétés de violence ou d'incitation à la haine ou à la discrimination" intervenus lors de rencontres sportives au cours des saisons 2006-2007 et 2007-2008.

Sont ainsi mentionnés les "actes de violence" de supporters du PSG contre des supporteurs israéliens commis le 23 novembre 2006, au cours desquels un policier avait mortellement blessé un supporteur parisien, ainsi que la banderole injurieuse déployée le 29 mars dernier au Stade de France lors de la rencontre PSG/Lens.

Le décret relatif à la Faction Metz évoque "les gestes de salut hitlérien" et "les chants nazis" entonnés par des membres de ce groupe le 23 février, des "embuscades" et des jets de projectiles, le 16 février, contre un bus de supporteurs de Valenciennes.

SM Caen - PSG - 19/04/2008

Source : Ouest-France

Caen-PSG, match à enjeu... et de tous les dangers

Si la confrontation présente un intérêt dans la lutte pour le maintien Ligue 1, elle inquiète au surlendemain de la dissolution des Boulogne Boys.
Personne n'imagine rogner sur les moyens au moment de recevoir le Paris-Saint-Germain. Pas que l'on mette obligatoirement les petits plats dans les grands pour accueillir le club de la capitale. Non. Les petits provinciaux sont plutôt animés par l'envie d'éviter les embrouilles, trop souvent dans le sillage des supporters franciliens.

Caen ne déroge pas à la règle. Surtout pas maintenant. Le Stade Malherbe vit une fin de championnat plutôt tranquille, bien calé dans le ventre mou du classement, 12e à cinq journées du dénouement. Huit points et six places plus bas, le PSG relégable, vit dans la peur d'une descente aux enfers.

Ambiance électrique

On se dit que l'enjeu sportif suffirait à électriser l'ambiance, certains des supporters parisiens étant connus pour ne pas être des enfants de choeur. Mais la ministre de l'Intérieur a annoncé jeudi la dissolution de l'association de supporters les Boulogne Boys.

Au Stade Malherbe, on a vécu cette déclaration comme un souffle sur des braises, pour attiser le feu. Et on apprécie moyen l'initiative toute symbolique. « La dissolution, c'est bien politiquement, mais je ne vois pas ce que ça change pour le reste, persifle Pilou Mokeddel, responsable de la communication au Stade Malherbe de Caen. Les membres de l'association peuvent toujours venir. C'est plutôt de nature à nous compliquer la tâche. »

Car le coup d'arrêt à l'association de supporters ne vaut pas interdiction de stade. Au contraire, la dissémination de petits groupes risque de rendre difficile le contrôle. Sans parler des conséquences de cette décision sur l'état d'esprit général, dans un contexte déjà tendu. « Ça va jeter de l'huile sur le feu. On aurait pu attendre. »

Indépendamment de cette décision, le public du PSG continue de faire peur. Bien avant les histoires de banderoles absurdes, des spectateurs du club parisien se sont signalés depuis des années par des faits de violence, physique ou verbale. Un petit millier de fans du club est attendu samedi : 320 places ont été réservées par le PSG pour ses soutiens venus d'ailleurs que Paris ; à partir de 17 h, un peu plus de 500 tickets seront vendus sur place au guichet strictement « aux Parisiens munis de cartes d'abonnement ».

Dans le lot, on distingue les supporters classiques, amateurs de sport, estimés à 500, des autres, susceptibles de prendre part à des violences. Surtout, un noyau dur d'une cinquantaine de personnes pourrait faire le déplacement.

120 CRS

Le comité d'accueil se prépare. Les forces de l'ordre sur le qui-vive. Quelque 120 CRS viendront compléter le dispositif déjà renforcé, avec une centaine de policiers nationaux prévus pour l'occasion contre une quarantaine habituellement. Ils seront placés principalement aux entrées et abords du stade d'Ornano. 132 stadiers seront positionnés dans l'enceinte. Des agents de police assureront également la surveillance du centre-ville.

« Un match à risque », résume Pilou Mokeddel. Qui regrette d'en arriver à de telles extrémités pour du foot. « Ça devient de plus en plus difficile pour les organisateurs de manifestations sportives. Ils se désengagent, mettent sur pied de moins en moins de déplacements. » Pour éviter les ennuis. Pour Caen, la nuit bleue risque de rester sans lendemain. A Paris, la tension devient quotidienne. A tel point qu'une escorte de police est prévue pour le car des joueurs, de la Normandie à la capitale. En cas de défaite.

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Source : football.fr

Caen - Paris : Mobilisation des forces de l'ordre.

Il y a du mouvement au commissariat de Caen, réunion sur réunion depuis l'annonce de la dissolution de la plus vieille, de la plus célèbre et plus médiatisée association de supporters : Les Boulogne Boys.

Autant les joueurs de Caen attendent avec impatience les joueurs du Paris-Saint-Germain sur le terrain, autant les forces de l'ordre de la région, ne semblent pas être pressées !!!

Le millier de supporters participant à ce déplacement sera accueilli par des policiers et des militaires.

Le commandant Mercier, responsable du service de l'ordre public, a annoncé dans le quotidien "Le Parisien" : "Deux compagnies de C.R.S. et un escadron de gendarmerie seront mobilisés pour la rencontre."

Les autocars de supporters seront pris en charge à 30kms du stade, sur l'A13. Ensuite, le programme sera, fouille individuelle, fouille des autocars et mini-bus sur une aire de repos.

Pour finir, ce sont une trentaine de personnes de l'équipe de sécurité de Paris, qui devront surveiller la tribune visiteur.

En espérant qu'il n'y ait aucun débordement, car le PSG est regardé à la loupe depuis l'histoire "d'affaire d'Etat" de la banderole au Stade de France, et le club serait encore tenu pour responsable de la "non-gestion" de ses supporters.

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Source : Football365

Incident suite au deuxième but caennais. Un supporter parisien a sauté des tribunes et s’est dirigé vers Landreau avant finalement de rebrousser chemin. L’énergumène a rapidement repris sa place alors que des stadiers sont rapidement intervenus. A noter également de nombreux jets d’objets vers Proment quand le joueur caennais essayait de frapper des corners.




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Source : L'Equipe

Dégradations au stade

Des supporters du Paris SG ont causé des dégradations sur le parking du stade Michel-d'Ornano, en marge de la défaite face à Caen (0-3) samedi. «Ils ont cassé la barrière du parking du stade et s'en sont pris au car du PSG en arrachant son essuie-glace», a déclaré à l'AFP le responsable de la sécurite du stade. Ces dégradations ont été commises avant la fin du match, à dix minutes du coup de sifflet final.

Lorsque celui-ci a retenti, les CRS ont pris position sur la pelouse du stade, face aux supporters parisiens. L'un d'entre eux avait réussi à pénétrer sur le terrain, quelques minutes avant, s'était dirigé vers Mickaël Landreau avant de faire demi-tour. Comme souvent les lendemains de sévère défaite, le décrassage programmé dimanche au Camp des Loges a été annulé.



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Source : Football.fr + villelumiere.fr + Ouest France + Caen website

Les supporters en colère

Les supporters du Paris Saint-Germain étaient en colère pendant le match. Et il y a de quoi... Les supporters ont essayés de faire tomber les grilles afin de pénétrer sur la pelouse, mais les CRS les ont retenus. Un seul supporter est parvenu à pénétrer sur la pelouse afin de manifester son mécontentement. Les Parisiens ont ensuite semé la pagaille dans les alentours du stade. La semaine risque d'être tendue du côté du Camp des Loges...










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Parisiens avant le match (merci à l'expéditeur !)