Saison 03/04 - Mars

Euro 2004: 2.400 supporters anglais interdits de Portugal - 03/03/2004

Source : REÜTERS

Quelque 2.400 supporters anglais pourraient être interdits de déplacement au Portugal pour l'Euro 2004 contre une centaine seulement pour le précédent championnat d'Europe de football, quatre ans plus tôt.
"Un effort massif est en cours. L'un de nos principaux soucis est de ne 'pas exporter le problème'", a expliqué David Swift, chargé de la question du hooliganisme au sein de la police britannique.
Les autorités britanniques ont ajouté 340 noms à la liste des supporters interdits de déplacement, qui comprenait déjà 2.061 noms depuis l'Euro 2000, organisé aux Pays-Bas et en Belgique, a-t-il ajouté dans une interview accordée mercredi à Reuters.
"Ils devront remettre leur passeport aux postes de police de leur ville", a-t-il poursuivi.
Lors de la précédente édition du championnat d'Europe, des supporters anglais avaient semé le trouble à Bruxelles et Charleroi, et la sélection nationale pourrait être exclue de l'Euro 2004 en cas de nouveaux débordements.
"Il n'est pas inévitable qu'il y ait des problèmes", a souligné David Swift, qui note que la police britannique n'a, par le passé, jamais effectué un tel travail préventif avant une compétition de football.
Parallèlement, des forums ont été organisés avec les supporters pour les sensibiliser à la question du hooliganisme et des opérations de surveillance ont été menées dans 60 clubs d'Angleterre.
Contrairement aux affrontements entre bandes organisées qui le caractérisaient dans les années 1980 et 1990, le hooliganisme anglais est aujourd'hui davantage le fait d'individus isolés agissant sous l'emprise de l'alcool.
"Les bandes organisées existent encore, nous détenons les preuves que certaines actions sont planifiées par le biais de téléphones portables, mais le niveau est beaucoup moins élevé que par le passé", a déclaré David Swift.
Au total, le gouvernement britannique a débloqué cinq millions de livres (7,6 millions d'euros) pour financer ces mesures de prévention.

Avellino-Napoli, condamnations- 03/03/2004

Source : ANSA

Six supporters de Napoli ont été condamné à de lourdes peines de prison : Giovanni S, Marco M, Giovanni R et Paolo P, 4 ans de prison, Vincenzo P, 1 an et 4 mois et Daniele O, 1 an.
Ils avaient participé aux violents incidents lors du match Avellino-Napoli du 20 septembre 2003, durant lesquels un supporter, Sergio Ercolano, avait trouvé la mort.

Angleterre: Des violences orchestrées - 01/03/2004

Source : BBC News

La police pense que les bagarres ayant éclaté entre supporters rivaux, à Bristol, ont été mises en place plusieurs jours avant la rencontre.
Le ville devait être le point de chute, samedi, de plusieurs centaines de supporters qui devaient se rendre à trois rencontres.
Beaucoup de ces supporters étaient de Bolton et de Middlesbrough et se rendaient à Cardiff pour la finale de la Carling Cup.
La police montée avait mis en place une opération spécifique afin de contrer tous troubles.
Six personnes ont ainsi été arrêtés pour trouble de l'ordre public et ivresse.
Plus de 150 officiers, armés de matraques et sprays lacrymogènes durent ainsi intervenir lors de différentes bagarres dans le centre-ville.
Ces supporters ont été rejoints dans le centre-ville par ceux de Bristol City, qui revenaient de Sheffield, ainsi que par un petit groupe de Cardiff City, qui se rendaient à West Ham.

Auxerre-PSG : Le club Parisien lourdement sanctionné - 04/03/2004

Source : Journal Français

Le PSG a reçu une amende de 45 000 euros pour le comportement peu fair-play de ses milliers de supporters qui avaient envahit le stade de l'Abbé Deschamps, dimanche soir.
2 000 Parisiens se trouvaient dans le bloc réservé aux supporters adverses, tandis que des centaines d'autres se trouvaient un peu partout dans le stade. Les joueurs Auxerrois, surtout Lachuer ... un ex-Parisien, ont régulièrement été la cible d'objets divers de la part des supporters Parisiens. Le coach du PSG, Vahid Halilhodzic, est même intervenu pour demander à ses fans de se calmer. Outres les projectiles (106 sièges cassés !), de nombreux fumigènes ont été allumés à l'entrée des joueurs sur la pelouse. Le club Parisien est le club de l'héxagone le plus condamné depuis le début de la saison 2003/2004, avec un total de 251 000 euros (1 646 452 FF) d'amendes !

Marseille (2) - SC Toulon - 06/03/2004

Source : VAR MATIN + LA PROVENCE + forum

Incidents d'avant match :

Placée sous haute sécurité, cette rencontre se déroula finalement sans probleme. Mais elle avait démarré sur de bien mauvaise bases. En effet, un des car de supporter toulonnais fut "caillasé" à son arrivée par une quinzaine d'énergumènes et la tension montant aux abord du stade du stade, un supporter varois apparemment coupable d'avoir craché sur un des membres des forces de l'ordre fut interprellé et placé en garde à vue (finalement seulement le temps de la rencontre) juste avant le coup d'envoi. "

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Le football amateur n'avait pas besoin de ca.Malheuresement , un nouveau derapage de supporter , imbecile et intolérable , est venu ecorner son image a l'occasion du match de CFA Om -Toulon.Que c'est il donc passé hier apres-midi?

La reserve olympienne recevait Toulon au stade Le Cesne a Mazargues , préféré au stade Lebert ou les mesures de sécurité sont plus difficiles a mettre en place.et ces mesures s'imposaient ds se chaud derby.
A 14h30 , un gros dispositif policier s'etait developée autour du stade ou on notait la presence d'un commissaire , de quize membres des CI , plus trois apartenent au violences urbaines , specialisé ds la securité du Velodromme qui intervenaient ds un match amateur pour la 1ere fois! Des CRS etaient la aussi pour renforcé la securité ainsi que ....40 stadiers du Velodromme.Rien que ca!Et pourtant, de violentes bagarres on rapidement opposé les supporters des deux camps.A l'arrivée des Toulonnais - 200 environs - un car a été endommagé a coup de pierres.Les toulonnais en sont descendu pour faire le coup de poing avec leur " ennemis " de l'Om.Il a fallu que la police s'interpose pour disperser les supporters.Dans l'echange , quelques véhicules marseillais ont ete serieusement amoché.
Mais le bilan aurait pu etre bien plus lourd.Car selon les forces de l'ordre , etait dissimulé ds un car varois , l'arsenal du parfait trublion : Batte de base-ball , couteau , point americain etc...Al'heure de regagner les cars , nouvelle empoignade mais entre stadiers et supporters de Toulon cette fois , lesquels furent contraints d'attendrepres d'une heure un car de Brignoles venant remplacer celui qui etait abimé.A l'arrivée : Des coups , des insultes , une interpellation et de grosse frayeur autour du match...

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Arrivée au stade d'un groupe d'une soixantaine d'IRD sans escorte policière, mais aucun Marseillais rencontré sur le trajet. Attaque du car des FT par +- 20 Marseillais, bagarres entre les deux camps. 300 Toulonais dans le stade. Après le match, accrochages entre Toulonais et stewards Marseillais puis avec la police.

Rennes - FC Nantes - 06/03/2004

Source : forum français + mail d'un fan de Rennes

Plus de 100 Nantais se présentent face à 60 Rennais. Une grosse partie des locaux fuient avant le moindre contact. Les autres vont au contact,les Nantais prennent rapidemment le dessus. Les visiteurs tiennent la rue, les Rennais ne se montrent plus.

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Rajout d'un local:

* plutôt 150 nantais présents.
* le groupe rennais a lapiné avant le moindre contact...hormis 2 gars restés faire face, et qui ont été logiquement lynchés, puis relevés par des leaders nantais au bout d'un moment.
* qques claques prises par des rennais dans les ruelles après cela.

FC Metz - RC Lens - 06/03/2004

Source : forum français

Voilà c donc un bus double etage ki quitte lens pour metz en fin de matiné avec a son bord une cinquantaine de RT et quelques anciens north's warriors,arrivé sur metz vers 16h je croi on evite l'escorte et on debarque au stade sans kil y ai aucun flic et on retrouve nos 14 autostppeurs et deux des notre venus en velo ,on se dirige donc ds un bar et deja quelques messins on l'oeil sur nous....on squatte un bar assez proche du stade et vers 18h30 un messins arrive pour savoir si confrontation il peu avoir,on dit oui et donc tou le monde sort du bar pour attendre les messins qui en faite ns attende sur le pont,bref on descend l'avenue bien en bloc en prenant toute la largeur et ben la charge et donc lançé,a ce momment là les messins devaient etre une cinquantaine et ns 70,bref les 3/4 des messins detalent et les seuls restés au contact payerons cher(ben oui certains n'on pas oublié le coup du parpaing!),c une course poursuite ki s'engage jusque ke derriere la celebre tribne est,les messins preferant se caché derriere les flics pour ns faire des oreilles de lapins, bref de 19h a 19h30 c quelques charges qui s'improvise entre les keufs (à noté pdt les charges des fusées cotés messins) ,bref bon gazage des keufs et matraquage+flashball et ça calmera tout le monde.

SC Bastia - Marseille - 07/03/2004

Source : forum français

Accrochages dans le stade entre supporters Marseillais et leurs stewards, puis avec les stewards Corses.
A la sortie du stade une bonne centaine de CRS prend position, mais les Locaux les prennent à partie, les CRS tentent de se dégager en tirant un nombre impressionnat de grenades lacrymogènes. Un groupe de 150-200 Bastiais font alors le tour du stade, en esperant un contact avec les visiteurs. Mais les policiers, toujours à grands coups de lacrymo, éviteront tout contact. Les Corses s'en prennent à nouveau aux CRS.

Montpellier HSC - Toulouse FC - 06/03/2004

Source : forum français

3 bus de supporters Toulousains pour aller à Montpellier. Le 1er bus (celui des INDIANS) sera pris à partie par des locaux, vers 19h30. Les CRS chargent les Montpellierains, quelques arrestations.

Le Mans-PSG: Les supporters du PSG font peur - 10 mars 2004

Source : Site de la ville du Mans

Menace de bagarres entre bandes rivales, samedi, dans le centre-ville du Mans

Si l'heure n'est pas encore à la psychose, préfecture et mairie sont plus que jamais sur le qui-vive à trois jours du match de Ligue 1 entre Le Mans et le Paris-Saint-Germain. Une rencontre classée à hauts risques, avec l'arrivée massive de supporters parisiens aux intentions belliqueuses. Il semblerait en effet que deux bandes rivales du club de la Capitale aient décidé, en marge du match de samedi après-midi (17 h 15), de s'affronter en plein coeur du Mans.

Même si les prévisions de dame météo se veulent plutôt clémentes pour ce week-end, il ne fera sans doute pas bon se promener au centre-ville du Mans, samedi en début d'après-midi. Il semblerait en effet que deux bandes rivales de supporters parisiens, à savoir les Ultras de Boulogne et ceux d'Auteuil, reconnus comme étant les plus virulents, aient décidé de régler leurs comptes dans la cité cénomane, en marge du match de Ligue 1 entre Le Mans et le PSG.

Des intentions de velléités démasquées sur internet par les renseignements généraux au travers d'un chat (discussion) entre supporters rivaux de la capitale, citant explicitement Le Mans comme terrain d'affrontements.

1 200 places pour les Parisiens

Une menace d'autant plus inquiétante que difficilement « canalisable », comme le souligne le maire Jean-Claude Boulard. « Aucun car de supporters du PSG n'est officiellement prévu. Les arrivées des Parisiens vont donc se faire au compte-gouttes, en voiture ou en train, sans qu'on sache réellement les quantifier, ni les dater avec précision. » Il semblerait toutefois que le gros des troupes soit prévu vers 14 h-14 h 30, au centre-ville, soit trois bonnes heures environ avant le coup d'envoi du match, avancé exceptionnellement à 17 h 15, en raison de sa retransmission en direct sur Canal +. « Dès l'élaboration du calendrier, nous avions coché la venue du PSG comme le match à hauts risques par excellence », souligne pour sa part Bernard Lemée, responsable de la sécurité au Muc 72. « Il faut absolument que le PSG prenne des mesures rapides pour encadrer ses propres supporters », exhorte le maire du Mans. Lequel n'a pas hésité à transmettre sa « grande préoccupation » à Frédéric Thiriez, le président de la Ligue de football professionnel, en visite hier matin au Mans.

Officiellement, seuls 1 200 billets ont été mis à disposition pour les supporters de la Capitale. Mais combien seront-ils réellement à l'entrée du stade samedi après-midi ? 2 000 ? 3 000 ? Les bons résultats du PSG (15 matchs consécutifs sans défaite) et la proximité du déplacement poussent à envisager un chiffre élevé.

Quid de la prise en charge de ces supporters pas comme les autres ? « La règle veut que les supporters adverses soient encadrés par leurs propres stadiers à raison d'un stadier pour 50 personnes, explique Jean Almazan, secrétaire général du Mans. Samedi, le PSG nous annonce 30 stadiers ». Un nombre légal, mais dérisoire, auquel devraient s'adjoindre plusieurs dizaines de CRS. Mieux vaut prévenir que guérir...


Les Ultras de la tribune Boulogne sont réputés comme étant les supporters les plus propices aux affrontements en tous genres. Leur venue massive samedi au Mans interpelle grandement élus et dirigeants sarthois.

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Mesures de sécurité au Mans en cas de heurts entre supporteurs du Paris SG

Source : AFP

La ville du Mans a prévu un dispositif de sécurité renforcé en marge du match de L1 de football, Le Mans-Paris SG, samedi, car "différents clans de supporteurs parisiens voudraient régler leurs comptes entre eux", a-t-on indiqué jeudi à l'AFP de source préfectorale. "Ce match est classé à risques très élevés, car on nous a signalé un événement exceptionnel: différents clans de supporteurs parisiens voudraient régler des comptes entre eux au Mans", a expliqué Cyrille Le Vely, directeur de cabinet de la préfecture. "Ces personnes pensent que Le Mans n'est pas loin de Paris, et donc qu'ils peuvent venir en nombre, et dans leur esprit, cette ville n'est pas habituée à gérer ce genre de problème. Mais là, il se sont trompés", a poursuivi M. Le Vely. "Le Mans a l'habitude des grandes manifestations, les 24 heures auto et moto, par exemple, qui attirent 100.000 personnes. Nous ne sommes pas des bleus", a commenté le directeur de cabinet. Le dispositif de sécurité manceau devrait compter près de 300 personnes dans les rangs des forces de l'ordre, réparties entre une unité de CRS mancelle, deux escadrons de gendarmes venus de l'extérieur, et les forces de l'ordre de la ville. Le MUC 72 devrait aligner pour sa part au stade entre 200 à 300 stadiers, épaulés par leurs homologues fournis par le PSG. "Il y aura également des personnels spécialisés de la police parisienne connaissant le profil et la physionomie des gens à problèmes", a ajouté M. Le Vely. "Le dispositif sera mis en place assez tôt, a encore précisé le directeur de cabinet, avec des contrôles en amont sur route, autoroute, dans les gares". Quelque 1500 supporteurs parisiens sont attendus, seuls 200 d'entre eux sont considérés "à risque". "Nous sommes bien conscients que la majorité d'entre eux vient uniquement pour le match, mais nous avons tout ce qu'il faut pour que Le Mans reste paisible samedi", a conclu M. Le Vely. Le coup d'envoi du match, comptant pour la 28e journée de Championnat, sera donné à 17h15.

Le Mans-Paris SG: intrusion de supporteurs et panique en tribune officielle - 13 mars 2004

SOURCE : AFP + Journaux Français

LE MANS, 13 mars (AFP) - Un mouvement de panique a gagné la tribune officielle quand des supporteurs parisiens sans billets ont réussi à forcer les barrages extérieurs et pénétrer dans une autre tribune voisine à la demi-heure de jeu du match Le Mans-Paris SG (L1 de football), a constaté l'AFP samedi. Un début d'évacuation de la tribune officielle, où se trouvait le président de la Ligue de football professionnel (LFP) Frédéric Thiriez, a eu lieu, quand une cinquantaine de supporteurs parisiens sont arrivés en vitupérant à gauche de la tribune officielle. Mais les intrus se sont dispersés et le calme est revenu. Une bouteille en verre grand format a toutefois été jetée du haut d'une tribune sur le public en contre-bas, a constaté l'AFP. Entre 150 et 200 supporteurs parisiens sont entrés sans billets dans le stade, cassant un portail, mais en profitant surtout de l'absence des CRS -postés ailleurs- derrière le stade pour enjamber des grillages, selon les stadiers manceaux. Ce match, et ses à-côtés, avait été classé "à risques élevés" par la préfecture du Mans, qui avait prévu un dispositif comprenant 300 membres des forces de l'ordre (CRS, gendarmes, policiers).

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M. Thiriez veut interdire "définitivement les voyous des stades"

Le président de la Ligue de football professionnel (LFP), Frédéric Thiriez, va travailler avec le ministère de l'Intérieur pour "interdire définitivement les voyous des stades", a-t-il annoncé samedi après le match Le Mans- (0-1) émaillé d'incidents. "Le football ce n'est pas la guerre. On doit pouvoir venir au stade en famille. Je suis venu au Mans car je savais qu'il y avait des risques d'incidents entre des supporteurs parisiens et des hooligans, je n'ai pas l'habitude de fuir mes responsabilités", a expliqué M. Thiriez. "Pour l'instant, les voyous ne sont pas réellement contrôlés. Je veux qu'ils le soient désormais réellement et je vais travailler pour ça avec le ministère de l'Intérieur", a-t-il poursuivi. La vitre arrière de la voiture de M. Thiriez a été "cassée" avant le match par une bouteille jetée par un supporter parisien, alors que le dirigeant de la LFP arrivait au stade.
(...) La situation était encore confuse dans les rues autour du stade une demi-heure après la fin du match, avec le départ des derniers supporters parisiens, a constaté l'AFP. Ce match, et ses à-côtés, avait été classé "à risques élevés" par la préfecture du Mans, qui avait prévu un dispositif comprenant 300 membres des forces de l'ordre (CRS, gendarmes, policiers).

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Incidents au Mans...

Un mouvement de panique a gagné la tribune officielle du stade Léon Bollée quand des supporters parisiens sans billets ont réussi à forcer les barrages extérieurs et pénétrer dans une tribune voisine à la demi-heure de jeu du match Le Mans-Paris SG, hier en fin d'après-midi. Un début d'évacuation de la tribune officielle, où figurait le président de la Ligue nationale Frédéric Thiriez, a eu lieu. Les intrus se sont ensuite dispersés et le calme est revenu. Une bouteille en verre grand format a toutefois été jetée du haut d'une tribune sur le public en contre-bas.

... et sur l'A10

Cinq personnes ont été légèrement blessées lors d'une rixe entre supporters du Paris SG et du FC Metz, en route respectivement pour Le Mans et Nantes, hier en début d'après-midi sur l'aire autoroutière de Limours-Janvry (Essonne) sur l'A10. Une bagarre générale a éclaté entre les supporters, qui se connaissaient, et cinq personnes ont été légèrement blessées. Les gendarmes du peloton autoroutier de Saint-Arnoult-en-Yvelines ont procédé à plusieurs auditions, avant de relâcher les supporters qui ont regagné leurs cars respectifs. A l'exception d'une vitrine de l'aire d'autoroute endommagée, aucun dégât matériel n'a été constaté.

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Échauffourées au Mans après le match. Tension pendant le Muc-PSG, puis affrontements entre supporters parisiens. Bilan : un blessé grave.

Le Muc 72 attendait le PSG, les Manceaux attendaient un beau match, des supporters parisiens ont en partie gâché la fête. « Ils venaient s'affronter entre eux, ils avaient prévenu... » Rude constat hier en fin de soirée à la préfecture. Après une semaine sous tension, un important dispositif avait été mis en place dès samedi midi. Le stade transformé en fort, avec 300 CRS, gendarmes et policiers dans chaque recoin...

Et déjà des empoignades à l'entrée : environ 300 supporters parisiens râlent, frustrés de n'avoir pas eu de billets. Vingt minutes après le coup d'envoi, soudain un souffle gronde dans la tribune présidentielle : une horde d'une centaine de supporters privés de place jaillit. Ils ont forcé un portail rue Claircigny, aspergé les stadiers de bombe lacrymogène et pénétré en force. Du haut de la tribune, une bouteille de verre est lancée au pied des spectateurs... Immédiatement, les CRS arrivent. Sans trop de résistance, les intrus admettent de descendre dans les fosses devant le terrain. Le foot reprend ses droits, l'ambiance s'apaise. Le PSG marque, le kop parisien fait la fête dans sa tribune.

Et c'est le coup de sifflet final. Sagement, les spectateurs quittent le stade. Les supporters parisiens installés dans leur tribune patientent avant qu'on les dirige vers leur parking, les autres sortent... Moins d'une demi-heure après la fin du match, ils se retrouvent dans l'espace qui a été réservé à leurs bus. Et là, la lourde tension perçue au fil de la soirée éclate : les bandes rivales se jettent les unes sur les autres. Au pied d'un bus, les coups pleuvent. Près d'une centaine de supporters transforment le parking en arènes. Les forces de police se précipitent, dispersent les combattants, l'un d'eux reste au sol. Grièvement blessé (traumatisme crânien), il est conduit au centre hospitalier. Deux autres personnes ont été blessées également au cours de la soirée, plus légèrement. « Une vraie guérilla urbaine », commente Bernard Lemée, responsable de la sécurité au Muc. Une guérilla difficile à juguler. Même après ces dramatiques incidents, la montée dans les bus ne s'est pas faite en toute sérénité... Une fois les portes fermées, les patrouilles de gendarmes mobiles ont escorté les cars jusqu'à l'autoroute.

Si ces problèmes ont révélé que les craintes étaient fondées, selon Cyrille Le Vély, directeur de cabinet du préfet, « l'important dispositif mis en place a quand même eu un effet de dissuasion. Il ne s'est rien passé en ville, rien en dehors du stade... » Mais sur ce stade, le foot n'a pas pleinement été le roi de la soirée.

Explosion dans un stade de San Salvador: un mort et 20 blessés - 08/03/2004

Source: AP

Un homme a été tué et 27 autres personnes blessées dimanche lors d'une explosion dans un stade de football au Salvador.

La victime est apparamment décédée après avoir manipulé des produits chimiques pour faire de la fumée, déclenchant une explosion. Les causes de cette dernière ne sont cependant pas encore bien établies.

Birmingham City - Leicester City - 13/04/2003

Source: ITK

vue d'un fan de Leicester

Vers 10h30 nous sommes arrivés en gare de New Street. Beaucoup de BS étaient déjà sur place, répartis dans plusieurs pubs. Quand les Zulus sont arrivés, nous avons chargés, toutefois, peu d'altercations auront lieu car ils ne resteront pas.
Vers 13h30, un gars jettera une bouteille dans la vitrine d'un pub. Du coup, nous seront tous escortés jusqu'au stade. Sur le trajet, nous n'avons pas croisé bcp de Blues, juste quelques-uns au Mac Donalds et près du stade, mais surtout des jeunes...
L'après-match est par contre une toute autre histoire. Jamais sur mes 15 dernières années je n'avais vu une firm aussi importante en nombre: les Zulus étaient partout et cherchaient vraiment l'affrontement. Tous les pubs étaitn encerclés par les flics.
Respect aux Zulus, même si certains avaient des couteaux.

RSC Anderlecht - RSC Charleroi - 13/03/2004

Source: forum

Juste avant le début du match, une bagarre éclatera dans la tribune réservée aux visiteurs. Bagarre opposant des fans, ultras et lads aux stewards locaux et policiers, suite à l'utilisation de torches et l'énervement des fans, causé par le manque de place en tribune.
La police utilisera des sprays lacrymogènes pour calmer la foule.

PSV Eindhoven - Feyenoord Rotterdam - 14/03/2004

Source: forum

Environ 60/70 lads de Feyenoord s'étaient fixés rendez-vous à Valkenswaard la nuit précédent le match.

1eres nouvelles:: tous les lads de Charleroi s'étant déplacé pour rejondre leurs amis locaux ont été arrêtés...

Incidents en gare de Gênes - 13/03/2004

Source:Teletext

Des incidents ont éclaté en gare de Gênes Brignole, opposant les forces de police à 200 ultras de Bologne, qui avait tiré le signal d'alarme pour immobiliser leur train.

KAA Gent - Standard Liège - 14/03/2004

Source: TV

En toute fin de match, mécontentes de l'arbitrage, les fans visiteurs arracheront des sièges et les lanceront sur le terrain. Intervention des stewards.
A l'extérieur du stade, la police et l'autopompe devront intervenir pour rétablir le calme. Quelques dégâts seront à noter.

Morts et blessés en Syrie - 12/03/2004

Source: Nu.nl

Suite à de grandes et violentes bagarres, à l'occason du match opposant les équipes de Kameshli et Deir-al-Zour, 5 personnes décèderont des suites de leurs blessures.
Les troubles ont débuté quand les supporters de l'équipe locale ont brisé une barrière.

AZ Aalkmar - FC Utrecht - 14/03/2004

Source: forum

Une bagarre a opposé une 40aine de jeunes locaux à une 15 de jeunes du FCU, rejoints par 3 'anciens'.

Incidents Le Mans-Paris SG: la ville du Mans a porté plainte - 15/03/2004

Source : AFP

LE MANS, 15 mars (AFP) - La ville du Mans a porté plainte pour les dégradations aux abords du stade Léon-Bollée, causées par des hooligans parisiens lors du match Le Mans-Paris SG (0-1), samedi lors de la 28e journée de L1 de football, ont indiqué lundi les services municipaux manceaux. La plainte de la ville a été déposée en début d'après-midi auprès du commissariat du Mans, a expliqué à l'AFP le secrétariat de Christian Boutin, directeur général de la mairie. "On ne peut pas cohabiter avec des hordes de voyous", a commenté M. Boutin, qui a dressé la liste des dégâts: "clôtures pliées, mobiliers et toilettes endommagées, sièges incendiés, espaces verts dévastés". Le préjudice a été estimé à environ 25.000 euros, ce qui ne comprend pas "le passage des hooligans dans les jardins de particuliers aux abords du stade", a précisé son secrétariat. La société mancelle qui employait les stadiers et gardiens utilisés lors du match devait également porter plainte, car certains membres de son personnel ont été agressés lors des incidents, a-t-on appris auprès de la mairie et du club manceau. Le MUC 72 réfléchissait pour sa part "à l'opportunité de déposer plainte", au regard des procédures engagées par la mairie et la société des stadiers, a-t-on précisé au secrétariat du club de football sarthois. Stade en centre-ville Répondant à ceux (notamment le président du PSG Francis Graille), "qui ont eu l'impression que le dispositif de sécurité n'était pas en place", Cyrille Le Vely, directeur de cabinet de la Préfecture, a mis en avant l'emplacement du "stade Léon-Bollée, stade ancien de type centre-ville, encaissé dans quartier résidentiel". "Il est très délicat de manoeuvrer en cas de mouvement de foule, a précisé à l'AFP M. Le Vely. Il fallait éviter les problèmes humains (blessures), pour ça l'objectif a été atteint". Samedi, entre 150 et 200 individus arborant les couleurs parisiennes étaient entrés en force, sans billet, dans le stade. Cette irruption avait provoqué un mouvement de panique dans les rangs des officiels, où se trouvait le président de la Ligue de football professionnel (LFP), Frédéric Thiriez. La vitre arrière de la voiture de M. Thiriez avait d'ailleurs été brisée avant le match par une bouteille jetée par un supporteur parisien, alors que le dirigeant de la LFP arrivait au stade. Ce match, et ses à-côtés, avait été classé "à risques élevés" par la préfecture du Mans, qui avait prévu un dispositif comprenant 300 membres des forces de l'ordre (CRS, gendarmes, policiers).

La ville du Mans a décidé de porter plainte pour les dégradations aux abords du stade Léon-Bollée, causées par des hooligans parisiens lors du match Le Mans-Paris SG (0-1), samedi lors de la 28e journée de L1 de football.

Lazio Roma - AS Roma - 21/03/2004

Source: AFP

Le derby romain du Championnat d'Italie de football, Lazio-AS Rome a été arrêté, dimanche soir, pour des raisons d'ordre public, à la suite de tensions nées d'une rumeur, démentie par la police, selon laquelle un petit garçon avait été renversé par une voiture de police.

La confusion a régné pendant de longues minutes dans les tribunes du stade Olympique et dans le secteur du Foro italico où il y a eu des affrontements entre la police et des groupes de jeunes supporteurs qui ont fait trois blessés légers, selon des sources médicales.

Les forces de l'ordre ont dû faire usage de grenades lacrymogènes, des voitures, des bennes à ordure et des kiosques vendant des boissons et des souvenirs des clubs ayant été incendiés. Le match a été définitivement arrêté après des conciliabules sur le terrain même entre l'arbitre et les joueurs des deux équipes ainsi que par téléphone avec Adriano Galliani, président de la Ligue italienne de football.

Le capitaine de l'AS Rome Francesco Totti et son équipier Antonio Cassano, rejoints ensuite par leurs partenaires et adversaires, refusant de poursuivre le match en raison de la rumeur du décès d'un garçonnet, qui s'était propagée comme un traînée de poudre dans les tribunes.

Cette rumeur était toutefois infondée selon les autorités. "Personne n'a été renversé et personne n'est mort" a affirmé un porte-parole de la préfecture de Rome, Maurizio Improta, au micro de la chaîne à péage Sky TV, qui retransmettait la partie en direct.

Face à l'attitude des joueurs, l'arbitre Roberto Rosetti, a décidé d'arrêter la partie. "Il est évident que les joueurs n'avaient plus le coeur à jouer et l'arbitre a décidé de suspendre la partie", a ajouté M. Improta. "Il s'est passé une chose incroyable, c'était une rumeur infondée. La police est victime des attaques de la part des tifosi des deux camps".

Après l'arrêt du match, au début de la seconde période, le public a commencé à évacuer le stade au milieu d'une fumée noire très dense provoquée par de gros pétards lancés par les tifosi du virage sud réservé à la Roma, visiblement très agités.

De violents affrontements ont alors opposé la police à des groupes de jeunes portant des cagoules et armés de barres de fer. La police a chargé et répliqué à coup de grenades lacrymogènes. L'atmosphère à l'extérieur du stade devenait irrespirable.

Des bagarres avaient déjà eu lieu, avant le coup d'envoi, entre la police et plusieurs groupes de tifosi "ultras" qui se trouvaient à l'extérieur du complexe sportif du Foro italico.

Selon le préfet de Police de Rome, Nicola Cavaliere les forces de l'ordre avaient tout fait pour permettre au match de reprendre normalement après son interruption à la 46e minute de jeu et définitivement arrêté à la 55e minute.

"On m'a dit qu'une rumeur avait été propagée faisant état d'un petit garçon renversé par une voiture de Police. Il m'a été facile de vérifier que cette rumeur était fausse. Nous l'avons fait par haut-parleur au stade pour tranquilliser les esprits. Mais il n'y a eu rien à faire" a expliqué M. Cavaliere.

Le préfet de Police a aussi mis l'accent sur les difficultés d'évacuation du stade comble dans des conditions difficiles sur le plan psychologique: "Ce n'était pas évident d'évacuer sans mal, une enceinte avec 80.000 personnes dans une telle tension, finalement tout s'est bien passé" a t-il ajouté.

Le président de la Ligue des clubs, Adriano Galliani, a déclaré avoir été à l'origine de la décision d'arrêter le match après une conversation téléphonique avec l'arbitre Roberto Rosetti. "J'ai parlé avec tout le monde et tout le monde était conscient de la situation, j'ai alors décidé de l'arrêt. Le match sera rejoué", a déclaré M. Galliani.

La décision de report provoquera toutefois des problèmes aux dirigeants de la Ligue et des deux équipes, le calendrier étant chargé ces prochaines semaines.

Arrestations à Rome - 22/03/2004

Source: Reuters

La police a arrêté 13 personnes à la suite des affrontements ayant opposé des supporters et les forces de l'ordre dimanche au cours du derby de série A entre la Lazio et l'AS Rome, pendant lesquels plus de 170 personnes ont été blessées.

Le match a été arrêté en seconde période en raison d'une rumeur annonçant qu'un jeune garçon était mort après avoir été percuté par une voiture de police aux abords du stade Olympique.

La police a démenti la rumeur mais les affrontements ont éclaté dans les tribunes, des supporters mettant le feu à des sièges avant de bombarder les forces de l'ordre de bouteilles.

La police a répliqué avec des bombes lacrymogènes tandis qu'en dehors du stade, des fans dressaient des barricades avant d'entamer un affrontement d'environ six heures.

"C'était une guerilla", a-t-on indiqué de source policière.

Quelque 155 policiers ont été blessés, l'un d'entre eux a même été poignardé. Vingt-et-un supporters ont eux aussi été touchés.

Millwalll FC - West Ham United - 21/03/2004

Source: Reuters + Guardian

Des incidents sont survenus à l'occasion de ce derby de dimanche.
La police montée a du intervenir à l'intérieur même du stade du New Den, alors que des troubles éclataient en seconde période.
selon la BBC Radio, des fans de West Ham ont tenté d'envahir le terrain, à l'occasion du 3ere goal marqué par les rivaux de Millwall, sur un penalty (expulsion du gardien de West Ham).

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Une partie des fans de West Ham a amené le déshonneur sur le club hier après que 40 policiers anti-émeute et 8 agents de la police montée ont été appelés dans le stade pour apaiser les perturbations du End visiteurs.
Environ 250 fans visiteurs ont quitté leur siège dans l'espoir de se mesurer aux supporters locaux dans le West Stand. Pendant que la foule s'organisait, les cordons séparant les sièges visiteurs du terrain ont été mis en pièce de même que la bannière "Lions Against Racism".
C'est la quatrième fois cette saison que des problèmes avec des hooligans de West Ham ont lieu. Avant et après les matches de Carling Cup contre Tottenham et Cardiff ainsi que pour le match de league contre Cardiff à Upton Park, les fans de West Ham ont été impliqué dans les incidents.
Un siège a été lancé de la tribune de Milwall vers les fans visiteurs, mais sans les progrès réalisés par la gestion des fans du Den de ces dernières années il aurait pu y avoir plus de violence à l'intérieur du stade. Hier un contrôle minutieux autorisait seulement les abonnés à venir au match, et garantissait aux visités de perdre leurs abonnements si ils étaient impliqués dans un affrontement. La construction cette saison d'un tunnel du terrain à la gare assurait l'isolement des visiteurs et une escorte sur tout le chemin vers East London.
Pour cette rencontre, il y a eu quatre expulsions de fan de Milwall, avec une arrestation pour insulte raciale. "Nous appliquerons pour cela la tolérance zéro" dit le président Théo Paphitis. Si vous avez remarqué, nos fans huaient les incidents et n'y étaient pas impliqués.
Deux fans de West Ham ont été arrêtés pour dommages criminels et trois autres éjecté après avoir détruit les toilettes. Pourtant Alan Pardew, consterné par la prestation insipide de son équipe, comprend la fureurs des fans. "Nous ne pouvons pardonner ce comportement mais du même coup la frustration du terrain a rendu les fans en colère et nous avons nos responsabilités pour cela" a-t-il dit.
Il y a une envie de supériorité entre les deux clubs qui a nécessité une présence de 1100 policiers mais cela n'a pas empêcher les problèmes de surgir. La FA attends maintenant les preuves avant de prendre des sanctions contre le club.
"Il n'y avait que des abonnés de West Ham – c'est une grande déception" dit Paphitis, "nous enverrons les vidéos aux clubs".

FC Metz - RC Strasbourg - 21/03/2004

Source: Vue d'un visiteur:

La charge est lancée par les strasbourgeois (UB90 + furets). La majorité des indeps et les allemands restent sur le pont (on est quand même les mieux placé pour savoir qui est qui et qui a fait quoi non ?). En face une petite trentaine de messins (étiré sur plusieurs mètres de longueur). Les premières lignes sont au contact et résistent bien côté messin faut l'avouer. A noter que les premières lignes messine et strasbourgeoise( enfin de mon côté) étaient main nue. Par la suite le groupe strasbourgeois au contact s'étoffe (avec l'arrivé des retardataires ou les mauvais à la course à pied ) et j'ai bien l'impression que les messins reculent. Certains messins tombent au sol. Les flics arrivent et font le ménage à coup de tonfa et de flash-ball. Fin du truc. Perso j'étais concentré sur mon m² de partenaire et j'ai pas fait attention à tout.

A noter tout de même que la deuxième ligne messine était bien outillé avec ceintures et pierre et ce toujours de mon côté c'est à dire côté flotte (pour le reste j'en sais rien). Bilan : un contact d'une minute à peine et un bléssé chez nous (14 point de suture au visage et une dent cassée à cause d'une pierre lancé à bout portant dans le visage).

AC Torino - SC Napoli - 21/03/2004

Source: Ansa

Le bilan final de cette rencontre fait état de 7 blessés, dont un local blessé à la jambe d'un coup de couteau. Quatre de ces personnes sont de Turin et les 3 autres des supporters du Napoli.
Les forces de police durent en effet intervenir pour garder éloigner les bélligérants des deux équipes.