Saison 02/03 - Janvier

Melfi - Angri - 19/01/2003

Source: Ansa

Six supporters d'Angri ont été arrêtés pour avoir endommagés, à l'aide de batons, une voiture de police. Des incidents ont éclaté en toute fin de rencontre, faisant également 6 blessés, dont un policier.

Sheffield United - Sheffield Wednesday - 19/01/2003

Source: journal local

Vers 19h, de nombreux véhicules de police se sont postés face au Varsity bar, situé dans West Street. Un groupe de 250 OCS s'y était rassemblé. La police avait préféré les cntrôler à cet endroit, car une centaine de membres des Blades Business Crew étaient à leur recherche sur Ecceslall Road.
Malgré ce contrôle policier, les supporters créerent des troubles: vers 22h les fans de Wednesday prirent la direction du Varsity pour attaquer leurs homologues, mais la police réussit à les contenir. Un peu plus tard, la police devra de nouveau intervenir, alors qu'une bagarre éclatait au coin d'Hillsborough. Huit personnes seront arrêtées lors de cet incident.
Au total de la journée, 20 arrestations seront effectuées.

Bagarre entre supporters de Leeds et de Bradford - 19/01/2003

Source: Cat.C

Des passagers horrifiés se sont retrouvés face à 2 groupes rivaux (de retour de leurs matchs), qui en sont venus aux mains vers 18h30.
Le sergeant Michael Jackson, de la police des chemins de fer, precisé: 'Vers 18h30 une bagarre a éclaté, opposant 70 à 80 fans de Bradford à 40/50 de Leeds. Les fans de Bradford venaient de quitter le train qui les ramenait de Rotherham, quand ils ont aperçus, en contre-bas, ceux de Leeds. Après s'être invectivés, ceux de Leeds sont montés sur la plate-forme pour rejoindre leurs rivaux. La bagarre a alors éclaté. Elle dura une dizaine de minutes'.
Aucune arrestation ne sera effectuée, mais les bandes vidéo seront sûrement vérifiées prochainement.
Leeds avait joué à West Bromwich, à Ellan Road.

PSG-OM: 2.000 policiers et gendarmes mobilisés - 22/01/2003

Source: AFP

La Préfecture de police et les organisateurs du match PSG-OM, samedi soir au Parc des Princes, ont opté pour la dissuasion, afin d'empêcher les traditionnels affrontements entre supporteurs parisiens et marseillais, auxquels le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy a promis de s'opposer fermement. Deux mille policiers et gendarmes ont été mobilisés pour encadrer les 45.000 spectateurs de ce 16ème de finale de Coupe de France de football, dont un millier venus de Marseille dans des cars escortés dès leur entrée dans la capitale. En outre, la vente d'alcool sera prohibée dans un large périmètre. Le dispositif de "surveillance renforcée" inclut par ailleurs le pré-positionnement dans l'enceinte et aux abords immédiats des tribunes de plusieurs sections de maintien de l'ordre, afin de soutenir les 360 contrôleurs en charge de la fouille (bouteilles en verre, alcool et artifices divers) et les 167 stewarts. Les membres du Service de Protection et de surveillance des réseaux ferrés parisiens ne seront pas davantage livrés à eux mêmes, puisqu'ils seront épaulés par des unités mobiles. Un tel luxe de précautions n'avait pas empêché quelques affrontements, brefs mais musclés, le 26 octobre, à l'occasion du premier match entre les deux équipes, en Championnat de France, également au Parc des Princes. Quatorze des 61 supporteurs interpellés avaient été placés en garde à vue. Cette fois, dirigeants et joueurs des deux équipes ont évité de jeter de l'huile sur le feu. Officiellement fermé, "suite à une interdiction de stade", le site internet "Kop of Boulogne", "réservé aux Français" selon sa page de garde, n'a pas appelé à la guerre. Pour autant, les incidents survenus mardi avant le coup d'envoi de Nice-PSG, qui ont fait huit blessés, n'incitent pas à l'optimisme. Le ministre des Sports Jean-François Lamour, qui travaille avec les ministres de l'Intérieur et de la Justice à un renforcement de la loi pour "lutter contre ce genre d'actes", a qualifié ces incidents d'"inadmissibles". Jean-Paul Proust, préfet de police de Paris, interrogé par le Monde, convient que les incidents de Nice ne sont pas faits pour le rassurer. Au PSG, il évalue à une centaine le nombre de "meneurs" et à 400 celui des "suiveurs" qui "mettent la pagaille". Il promet d'interpeller samedi "le maximum de hooligans". Face aux dirigeants du football français, puis à l'Assemblée nationale mardi, Nicolas Sarkozy a également tapé du poing. "Qui peut comprendre que nous devons mobiliser pas moins de 2.000 fonctionnaires (...) pour encadrer des supporteurs de Marseille qui ont bien le droit de venir supporter leur équipe, sans que d'autres supporteurs de Paris considèrent que ce soit un crime pour autant ?", s'est-il interrogé. S'élevant contre "les propos racistes (qui) envahissent nos stades", M. Sarkozy a réclamé "une réaction très vive de tout le monde". Le lendemain, le PSG était condamné par la Ligue de Football Professionnel à 7600 euros d'amende sanctionnant le comportement de supporteurs ayant déployé en deux occasions des "banderoles insultantes". Avant la rencontre, élus et habitants de Boulogne doivent manifester pour protester contre la tenue du match en soirée. Contrairement aux commerçants, peu désireux d'abandonner une demi-journée de recette, ils souhaitent que les rencontres se disputent l'après-midi pour réduire les risques d'incidents liés à l'alcool.

OGC Nice - Paris SG - 22/01/2003

Source: AFP + Nice Matin

Huit supporteurs, dont un très sérieusement atteint, ont été blessés mercredi lors d'incidents avant le début de la rencontre Nice-Paris SG comptant pour la 23e journée de L1 de football, a-t-on appris de source policière. Parmi les supporteurs transportés à l'hôpital Saint-Roch, l'un avait été victime d'un coup de couteau à l'abdomen à la suite d'une bagarre dans les tribunes, ont indiqué les secours. Ce dernier a été placé en réanimation et son cas est jugé "grave", ont indiqué les services d'urgences. D'autres heurts ont eu lieu à l'extérieur du stade mais n'ont nécessité que des soins sur place, selon la même source. Les CRS qui sont intervenus brièvement, ont jeté des fumigènes pour calmer des supporters Niçois qui ont "caillassé" un car transportant des Parisiens. Les policiers ont procédé à plusieurs interpellations, sans en préciser le nombre. D'importantes mesures de sécurité avaient été prises pour cette rencontre à risque: quelque 115 stadiers, des maîtres-chiens, 25 pompiers et 300 policiers ont été mobilisés dans le stade du Ray et ses alentours immédiats.

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Kevin devrait se remettre de ses blessures. Ce Parisien de 22 ans a reçu un coup de couteau au flanc gauche, mercredi soir au Ray. Entendu hier par les enquêteurs du service d'investigation et de recherche, ce jeune homme domicilié à Vincennes n'aurait en fait pas grand-chose du supporteur de foot. De son propre aveu, « c'est pour la « castagne » » qu'il aurait fait le déplacement. Le foot, il s'en fout. Le match ne l'intéressait pas. D'ailleurs, il n'avait même pas de billet ! Comme Kevin, ils étaient apparemment près d'une centaine de Parisiens venus chercher l'affrontement. Les CRS qui tenaient la place Alexandre-Medecin ne s'y sont d'ailleurs pas trompés. Lorsque vers 20 h 15, à quelques minutes du coup d'envoi, une cinquantaine de ces hooligans se sont présentés à leur barrage, ils ne les ont pas laissés passer puisqu'ils n'avaient pas réservé leur place dans le stade.
Des couteaux et des pelles
Les pseudos fans du PSG se sont dispersés calmement avant, semble-t-il, de se regrouper un peu plus loin dans le quartier des Poètes. Le hooliganisme a manifestement ses stratèges. Car il fallait bien connaitre le quartier ou l'avoir préalablement repéré pour savoir que ces ruelles débouchaient sur la rue Ernest-Lairolle qui longe la tribune sud du Ray. C'est notamment par la rue Guy-de-Maupassant et le boulevard Gorbella que les Parisiens ont littéralement fondus sur les Niçois... en contournant ainsi l'impressionnant dispositif de sécurité mis en place autour du stade. L'affrontement était alors devenu inévitable. Provoqués sur leur propre territoire, les supporteurs niçois, massés à la rotonde, ont fait front face à leurs assaillants. Les agresseurs sont alors devenus les victimes. Loi du nombre oblige. Les affrontements ont été d'une extrême violence. Des témoins affirment avoir vu des armes blanches, mais aussi des pelles à neige ! La bagarre n'a duré que quelques minutes, le temps pour les CRS d'entrer dans la mêlée et de disperser, à grand renfort de gaz lacrymogènes, ces hordes déchainées. Lamentable ! D'autant qu'à l'issue de ces heurts, on dénombrait six blessés dont un gravement touché, Kevin dont l'état était encore jugé préoccupant hier, mais qui, toutefois, est sorti de réanimation. Des fonctionnaires ont également essuyé des coups, l'un d'eux souffre d'une blessure à la main.
Sept interpellations
Un témoin de la bagarre, aux vêtements ensanglantés, a été interpellé peu après la bagarre et placé en garde à vue. Un autre Niçois, mineur celui-là, a subi le même sort mais pour de tout autres raisons. Il a été surpris alors qu'il tentait d'introduire des fumigènes dans les tribunes, cachés dans son sandwich. Au total sept personnes ont été arrêtées mercredi soir, dont un Parisien bien connu des services de police pour des faits de violence qui devait finalement être déféré au parquet. Celui-là a été formellement identifié par les CRS comme étant le meneur d'une bande de supporteurs du PSG qui, après la fin de la rencontre, s'est lancé à l'assaut d'un bar se trouvant à proximité du stade.
Quelques minutes plus tôt, des supporters niçois et parisiens s'étaient envoyés d'une tribune à l'autre tout ce qu'ils avaient pu trouver : des galets jusqu'à, selon un témoin, des batteries de portable en passant par 90 sièges arrachés des gradins lors des dernières minutes de la rencontre par le cop du PSG. Pour des violences commises dans l'enceinte même du stade, un autre individu a été présenté au procureur de la République.
La police a veillé toute la nuit
Fort heureusement, le reste de la soirée a été plus calme. Les Niçois sont rentrés chez eux et les Parisiens dont le retour n'était prévu qu'au petit matin sont allés dormir à la gare ou à l'aéroport. Leur déplacement a été surveillé par des équipes de policiers qui sont restés mobilisés jusque vers 3 heures du matin. Le dispositif semblait en effet à la hauteur de l'événement. Mais les quelque 300 policiers qui occupaient le terrain du Ray mercredi soir n'ont pas suffi à contenir les débordements d'individus qui pour le président du Gym, Maurice Cohen, « n'ont de supporteur que le nom » (lire par ailleurs). Difficile en effet d'endiguer ces hooligans qui, coute que coute, veulent en découdre.

Deux supporters parisiens mis en examen - 24/01/2003

Source: AFP

Deux supporteurs parisiens ont été mis en examen et laissé en liberté jeudi soir après les incidents survenus lors de la rencontre Nice-Paris SG mercredi comptant pour la 23e journée de Ligue 1 de football, a-t-on appris vendredi de source judiciaire. Cinq autres supporteurs interpellés et placés en garde à vue, ont été également relâchés sans qu'aucune poursuite ne soit retenue contre eux, y compris celui soupçonné dans l'agression à l'arme blanche . Les deux hommes d'une trentaine d'années, dont les identités n'ont pas été communiquées, devront comparaître, le 20 février, devant le tribunal correctionnel de Nice. L'un a été mis en examen pour "violence contre une personne dépositaire de l'autorité publique" et l'autre, en état d'ébriété, pour "violence" ayant entraîné une ITT de plus de 8 jours dans l'enceinte d'un stade, faits passibles pour ce dernier, d'un mois à trois ans d'emprisonnement et de 15.000 euros d'amende dans le cadre de la loi Alliot-Marie. Opéré, Kevin V*****, le jeune supporteur du PSG blessé d'un coup de couteau à l'abdomen, a pu être entendu par les policiers devant lesquels il a reconnu "être venu pour se battre", a-t-on indiqué de source proche de l'enquête. Selon le site officiel du Paris SG, Kevin V*****, membre des "Gavroches de Paris", l'une des 28 associations de supporteurs, "ne s'était jamais fait remarquer défavorablement". Kevin V*****, qui n'était pas recensé dans la catégorie C (les plus violents), avait son billet en poche et il avait fait le déplacement tout seul pour venir à Nice, selon la même source. Mercredi après-midi, trois autres supporteurs parisiens avaient été également interpellés à Nice en possession d'armes de 6e catégorie - piolet, manche de pioche - dans leur voiture ainsi qu'un drapeau du kop de Boulogne, et contre lesquels une infraction a été retenue, a-t-on indiqué de source policière. Le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, s'est dit prêt à appliquer en France la méthode anglaise qui interdit aux hooligans l'accès des stades et de leurs abords pendant les matches, pour mettre un terme à la violence, dans un entretien publié vendredi par le quotidien Le Parisien.

Paris SG - Marseille - 25/01/2003

Source: Le Parisien

Nicolas Sarkozy peut être satisfait. « C'est une réussite », dit-on ainsi à la préfecture de police de Paris. Le bilan de la journée, établi vers minuit, faisait état de 38 interpellations, dont trois personnes gardées à vue (vols avec violence, outrages...), peut-être rejointes par deux autres dans la nuit. Surtout, il n'y a eu aucun blessé ni aucune casse. Le 26 octobre dernier, pour le PSG - OM de championnat en diurne, il y avait eu 61 interpellations. Cette fois-ci, les interpellés l'ont été pour des infractions diverses (défaut de billet, vente à la sauvette, refus de contrôle, stupéfiants...). Deux supporters parisiens ont été arrêtés pour port d'arme blanche et une centaine d'« objets prohibés ou dangereux » ont été saisis à l'arrivée des cars marseillais. Plusieurs contrôles avaient été effectués à Paris et, surtout, au péage de Fleury-en-Bière (Seine-et-Marne), où 400 gendarmes avaient été mobilisés. Une première, réussie, en matière de lutte contre le hooliganisme. Les fouilles ont permis de saisir une trentaine d'armes blanches, des torches pyrotechniques, des frondes métalliques, plusieurs dizaines de barres de fer, de pieds de parasol et de manches de pioche ainsi que des stupéfiants. Soirée calme également à l'intérieur du Parc. Luis Fernandez adresse un satisfecit au gouvernement : « Il faut féliciter Nicolas Sarkozy et son plan. C'est bien quand les pouvoirs publics prennent les devants et assument. Alors le match se déroule dans de bonnes conditions. » C'est vrai, hormis deux ou trois fumigènes échangés entre les deux kops au coup d'envoi (leurs auteurs ont été interpellés), rien n'a empêché le bon déroulement du match. Au coup de sifflet final, une bagarre a éclaté tribune Auteuil entre supporters voulant manifestement en découdre avec les Marseillais et les stadiers. Mais elle n'a pas dégénéré.

Vue d'un local :

Comme chaque année,on attend en vain un affrontement.Mobilisation de 60 lads à la gare de lyon pour receptionner les marseillais mais rien au bout du compte,car marseillais absent et flics partout.

Lendemain, expedition au Stade de France,pareil qu'à la gare de lyon.

Au Parc des Princes une belle firm de 150 lads eparpillée partout autours du stade donc faible regroupement.

10aine d'arrestations très betes à la porte d'auteuil puisqu'aucun marseillais et beaucoup de flics disseminés dans la firm.

Petit regroupement de 60 à 70 lads qui chargent les barrieres de CRS devant le virage auteuil.

Crs surpris par la folie environnante,pas mal de tete connue et beaucoup de motivation.Barrieres volent,un car de Police arrive au loin et une 30 aine de lads la charge et l'obligent à faire une marche arriere sur au moins 100m.

Après ça R.A.S.

Quelques petits affrontements avec les crs à la porte de st cloud,en allant au KOB mais rien de bien special.

La flicaille etait partout,une 12 de flics lookés casuals feront pas mal d'interpellations.

Composition de la firm de Paris: 20 % de hooligans purs,15 % d'Ultras,35 % d'emeutiers, 30 % de spectateurs-suiveurs.

Le seul moyen d'enfin évaluer notre potentiel serait de recevoir une bonne firm européenne.

Hools from Paris

Modena - Brescia - 26/01/2003

Source: mail

Gros contact lors de l'après le match entre les carabiniers et les brescianni. Une heure de charges et contre charges, des poubelles incendiées et balancées sur les voitures des policiers... Des gros contacts entre policiers et ultras.
Présence de Magic Fans de St EtienneF avec Brescia.

Venezia - Cagliari - 26/01/2003

Source: Ansa

Incidents avant la rencontre, opposant un groupe d'ultras locaux à la police.

Standard Liege - RSC Charleroi - 26/01/2003

Source: forum

Pendant la 2eme mi-temps, un steward local fera un usage intempestif d'un extincteur, à hauteur de visage, ce qui eu pour résultat une petite bagarre entre stewards et supporters visiteurs.
Après la rencontre, un groupe de +- 25 visiteurs attendra l'arrivée des locaux, en vain.

Sécurité renforcée pour le match Marseille-Nice - 28/01/2003

Source: Reuters

La sécurité pour le match de football Marseille-Nice de mardi a été renforcée après les incidents de la semaine dernière avant la rencontre Nice-PSG, où un supporter parisien a été gravement blessé, a-t-on appris auprès de la préfecture de police.
"Le dispositif a été plus étoffé après les incidents de Nice, mais pas exagérément alourdi. Ce n'est pas un match particulièrement à risques comme le sera celui du 8 mars contre le PSG", a expliqué Roger Marion, le préfet délégué pour la sécurité et la défense.
Avant la rencontre Nice-PSG, un supporter parisien de 22 ans, Kevin V*****, avait été blessé de deux coups de couteau à l'abdomen. Il appartenait à l'une des 28 associations de supporters affiliées au club parisien.
"Ce qui fait la dangerosité d'un match, ce sont les hooligans infiltrés dans les associations de supporters", a poursuivi le préfet avant de livrer sa version des faits.
"A Nice, ce sont des hooligans du PSG qui ont attaqué un marchand ambulant, lequel s'est défendu avec un couteau", a-t-il affirmé.

Incidents en République Tchèque - 29/01/2003

Source: mail

Mercredi, à Prague, une bagarre arrangée a éclaté, opposant des hooligans du Slavia Prague à ceux du Slovan Bratislava (Slovaquie). En effet, ce jour, deux matchs amicaux se jouaient entre ces 2 équipes. Les hooligans du Slavia (41) étaient rejoints par ceux de Brno (22) ne se sont pas rendus à ces matchs, mais ont attendus leurs rivaux du jour. En soirée, un face à face a éclaté, avant que les gars du Slovan (40) prennent la fuite.

Scunthorpe United - Leeds United - 04/01/2003

Source : Presse

Glasgow Rangers - Hibernian - 25/01/2003

Source : YouTube