Saison 19/20 - Janvier

Plymouth Argyle - Swindon Town - 01/01/2020

Source : https://www.plymouthherald.co.uk/

Un jeune supporter de Plymouth est allé sur la pelouse pour insulter les fans de Swindon.

Brighton & Hove Albion - Chelsea FC - 01/01/2020

Source : https://www.lequipe.fr/

Trois supporters arrêtés lors de Brighton-Chelsea

Trois supporters ont été arrêtés lors du match de Premier League Brighton-Chelsea (1-1), mercredi, en raison de comportements racistes ou homophobes.

L'Amex Stadium n'a pas seulement été le théâtre du somptueux but d'Alireza Jahanbakhsh, qui a égalisé pour les locaux lors de Brighton-Chelsea (1-1), mercredi. Cette rencontre comptant pour la 21e journée de Premier League a aussi vu trois personnes expulsées du stade, puis arrêtées par la police du Sussex, pour leur comportement.

Deux supporters de Brighton ont été renvoyés, l'un pour racisme envers des joueurs de Chelsea, l'autre pour propos homophobes envers les fans des Blues. La troisième, supportrice de Chelsea, a aussi été attrapée pour des propos homophobes envers les supporters locaux.

Le club de Brighton a vivement condamné ces agissements dans un communiqué. « Le football ne peut pas faire tellement plus, nous sommes malades et fatigués que la réputation de ce sport soit ternie par ces gens », est-il notamment écrit.

Angleterre : Spennymoor Town - Darlington 1883 FC - 01/01/2020

Source : https://www.thenorthernecho.co.uk/

La police a ouvert une enquête après que la barrière des fans visiteurs a été cassée à la mi-temps du match. Le coup d'envoi de la seconde mi-temps a été retardée de 15 minutes.

Reims Sainte Anne - Montpellier HSC - Coupe de France - 05/01/2020

Source : https://www.francebleu.fr/

Les supporters de Montpellier dénoncent les conditions du déplacement à Reims

Dans un communiqué publié ce vendredi par l'Armata Ultras, les plus fervents supporters pailladins dénoncent de nouvelles mesures, considérées comme des atteintes à leurs libertés, prises par les autorités et par les organisateurs de la rencontre entre Reims Sainte-Anne et le MHSC, ce dimanche (14h15), au Stade Auguste Delaune.

D'abord, les ultras héraultais regrettent que la tribune basse du parcage visiteurs ne leur soit pas ouverte. Le responsable de la sécurité de l'enceinte champenoise aurait d'abord affirmé qu'elle ne pouvait l'être pour moins de 300 personnes, avant de déclarer qu'il s'agissait d'une décision de la préfecture, pour des questions de sécurité.

Ensuite, ils dénoncent le prix de la place qui leur est imposé dans cette tribune, pour un match contre une équipe de R1, la sixième division : 20 euros !

Enfin, ils déplorent et ne comprennent pas la mise en place d'une escorte policière : les supporters du MHSC devront en effet se rendre au péage de Taissy deux heures avant la rencontre, avant d'être conduits au Stade Delaune. Impossible, dans ces conditions, de pouvoir se restaurer en ville ou aux abords du stade alors même qu'aucune animosité ni rivalité n'existe entre les deux clubs.

En fin d'année 2019, une circulaire du ministre de l'intérieur a pourtant ouvert la voie à plus de dialogue et incité les préfets à faire preuve de plus de souplesse dans le cadre des déplacements de supporters.

Charleroi et l'Union mis à l'amende pour des injures de supporters: Genk, Courtrai et Ostende épargnés - 04/01/2020

Source : https://www.rtl.be/

Charleroi a écopé vendredi d'une amende de 1.500 euros de la chambre d'appel de la Commission des litiges de l'Union belge en raison du comportement de certains de ses supporters à l'encontre de l'arbitre de la rencontre contre Waasland-Beveren le 30 novembre en championnat.

Le parquet avait réclamé 2.500 euros d'amende parce que des supporters avaient lancé par trois fois "Referee enculé" selon les rapports transmis. Pour avoir entendu ses supporters traiter l'arbitre d'"amateur", Ostende a par contre lui échappé à l'amende à l'issue de sa rencontre contre La Gantoise le 15 décembre dernier en championnat. Genk et Courtrai s'en tirent bien aussi.

Les rapports avaient mentionné des propos injurieux de leurs supporters lors des rencontres face au Standard le 19 octobre ("les Wallons c'est du caca") et contre Zulte Waregem le 19 octobre aussi ("Sammy janet" et "tous les paysans sont homo").

En Proximus League, c'est l'Union-St Gilloise qui a écopé d'une amende, de 1.000 euros, pour avoir entendu ses supporters qualifier de "vendu" et "referee enculé" l'arbitre de la rencontre de D1B contre le Beerschot le 1er décembre.

Des experts questionnent la pertinence des sanctions de l'UEFA - 03/01/2020

Source : https://www.walfoot.be/

En Allemagne et en Angleterre les sanctions collectives ont été abandonnées et sont favorisées des politiques sécuritaires ciblées. En revanche, l'UEFA continue sur sa lancée : dès que quelques supporters sont impliqués, elles sanctionnent le club et l'ensemble de ses fans.

Pourtant, l’UEFA elle-même reconnaît que ces sanctions n’ont pas l’effet escompté. C’est en tout ce que les dirigeants du football européen déclarent en aparté à un jeune journaliste britannique qui faisait des recherches sur le sujet.

Par conséquent, quand un club comme l’Eintracht Francfort reçoit des punitions collectives des instances européennes, cela surprend le club allemand qui ne se voit plus appliquer de telles sanctions depuis belle lurette.

Le Standard de Liège, récemment, s’est également vu recevoir un match d’Europa League à l’extérieur sans supporters (avec sursis durant un an).

L’Europa League a beau ne pas être la compétition la plus prestigieuse du vieux continent, elle a en tout cas le mérite d’attirer de nombreux supporters. Pour certains, elle est l’occasion de découvrir l’Europe tout en suivant son club de cœur. L’Eintracht est un des clubs qui rameutent le plus de monde en déplacement européen. On se souvient qu’en 2013, ils étaient 12.000 à s’être déplacés à Bordeaux pour créer une ambiance surprenante. Cette saison, les Irish Scots étaient 9.000 à Rome pour soutenir le Celtic !

Alors qu’ils en raffolent, les supporters de Francfort étaient bannis de déplacement à Sclessin et à Londres lors des poules de cette Europa League. L’UEFA et son équipe « éthique et discipline » leur ont infligé cette sanction pour des « perturbations » commises lors de leur déplacement à Guimaraes.

Pourtant, aucune décision en ce sens n’avait été décidée tout de suite. Des vidéos sur les médias sociaux montrant des échanges de sièges dans le stade avaient convaincu les instances européennes. Seulement, nombreux étaient les supporters qui avaient déjà réservé leur voyage à Liège et Londres.

En Champions League, l’Uefa avait interdit de déplacement les supporters de l’Etoile Rouge Belgrade pour le match à Tottenham. Seulement, deux cents serbes ont tenté de se rendre au stade en se procurant des tickets avec les supporters des Spurs. Des échauffourées se sont produits. D’aucun ont pointé du doigt la responsabilité de l’UEFA et, surtout, l’inefficacité des punitions collectives, comme le suggère la conclusion du rapport du média britannique DW.

Selon ce rapport, l’UEFA elle-même reconnait qu’aucune preuve tangible indique une réduction des incidents due à ce genre de sanctions collectives.

C’est pour cela qu’en 2017, la Fédération allemande a tranché pour que ne soit plus jamais appliqués de huis clos pour les supporters adverses – sinon pour des situations « extrêmes ». L’argument étant le suivant : des supporters qui n’ont commis aucune infraction n’ont pas à subir des restrictions à leur liberté de circulation.

Comme le signale Ronan Eivan – Président du réseau Football Supporters Europe – la plupart des championnats européens ont abandonné les sanctions collectives. Seule l’UEFA, quasiment, persiste avec ce genre de sanctions démodées et inefficaces, selon la majorité des experts en la matière.

Les mêmes restrictions avaient irrité les supporters de l’Ajax – et le club, privé de leur support – lorsqu’ils avaient été interdits de déplacement à Chelsea. Pourtant, comme nous l’indiquions dans un précédent article, de nombreux supporters néerlandais avaient déjà payé et réservé leur voyage.

Eivan de conclure que les supporters n’ont pas toujours à être jugés péjorativement. Le Président du réseau des supporters européens réclame aussi que soient pris en considération les énormes sacrifices réalisés par les supporters lors de chaque déplacement, d’autant plus quand il s’agit de voyages européens.

Suède (hockey) : Hammarby - AIK - 03/01/2020

Source : https://www.aftonbladet.se/

Les supporters d'Hammerby ont attaqué leurs homologues de l'AIK.

FC Guichen - SM Caen - Coupe de France - 04/01/2020

Source : https://www.ouest-france.fr/

Pas de supporters caennais face à Guichen

C'est une mauvaise nouvelle qui est tombée ce jeudi pour les supporters du SM Caen. En effet, ces derniers ne seront pas tous de la partie samedi à Rennes pour supporter leur équipe face à Guichen (32e de finale de coupe de France). La préfecture d'Ile-et-Vilaine a publié un arrêté préfectoral interdisant aux supporters du SMC de se déplacer, hormis en bus et dans des conditions très encadrées.

"Compte tenu de l'anticipation compliquée de cette mesure, il était compliqué pour le MNK96 d'organiser un déplacement grand public durant les fêtes de fin d'année" a de son côté précisé le club normand.

Cette décision se fonde sur l'antagonisme de longue date entre supporters rennais et caennais, citant notamment un incident survenu en 2014 à Guingamp ("Considérant que le 3 décembre 2014, le Stade Malherbe de Caen se déplaçait à Guingamp pour y affronter l'équipe locale et qu'à l'issue de la rencontre, des ultras rennais se rapprochaient du car des supporters caennais avec l'intention de caillasser celui-ci, qu'ils étaient mis en fuite par les gendarmes").

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Source : https://www.lequipe.fr/

Incidents à Rennes avec les supporters de Caen



Le match entre le FC Guichen (N3) et Caen (L2) a été marqué par des incidents survenus au coeur de la première période, ce samedi en 32es de finale de la Coupe de France. Plusieurs ultras caennais, situés dans le parcage réservé aux supporters visiteurs, ont tenté de pénétrer dans la tribune contiguë, où se trouvaient leurs homologues rennais. Ils ont été rapidement stoppés par les forces de sécurité, sans que des coups soient donnés.

Quelques instants plus tard, une bagarre a cette fois éclaté après l'arrivée semble-t-il d'ultras rennais qui, manifestement, voulaient en découdre. Ils n'ont pas hésité à faire le tour du stade, la physionomie du Vélodrome du Commandant Bougoin le permettant, pour se rapprocher des Caennais. Mais là encore, malgré une ou deux barrières qui ont volé, le face-à-face a tourné court. Chacun est reparti dans son coin, avec l'intervention des CRS qui, dès lors, ont cerné de plus près les Normands.

Arrêté préfectoral mais déplacement autorisé encadré
Ces incidents surviennent alors qu'un arrêté avait été pris par la préfecture d'Ille-et-Vilaine, interdisant le déplacement des supporters caennais, en raison du risque d'incidents, des antécédents existant entre les ultras du Stade Malherbe et du Stade Rennais. Une cinquantaine de supporters caennais, encadrés, a quand même été autorisée à effectuer le déplacement. À 18 heures, Rennes reçoit Amiens, au Roazhon Park, au même stade de l'épreuve.






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Source : https://www.ouest-france.fr/

Un match marqué par des heurts entre ultras caennais et rennais

Jeudi soir, la préfecture d’Ille-et-Vilaine avait pris un arrêté limitant strictement le déplacement des supporters caennais en raison de leur antagonisme avec leurs homologues rennais. Seul un bus, sous escorte, avait été autorisé. Ils étaient ainsi une quarantaine, isolée dans la tribune nord du Vélodrome, hier, et le barriérage exigé avait bien été posé.

Cela n’a pas empêché une échauffourée qui a commencé à la 20e minute de la rencontre et qui a duré cinq minutes environ. Les spectateurs ont vu un groupe d’une quinzaine d’ultras rennais, en tout cas identifiés comme tel assez rapidement par les forces de l’ordre, venus de la tribune opposée, capuches sur la tête, filer vers les Caennais, en passant derrière le kop du FC Guichen, composé en majorité d’enfants et d’adolescents qui n’ont eu, eux, de cesse de chanter.

Le service de sécurité a géré la situation rapidement pour empêcher l’affrontement des deux groupes. On a alors vu quelques joueurs détourner le regard vers la tribune ainsi que Jérémy Stinat, l’arbitre, conscient que si cela débordait jusque sur la pelouse, il aurait alors été contraint d’arrêter la partie. Ce qui n’a pas eu lieu. Un cordon de CRS a fini par s’imposer une dizaine de minutes plus tard entre le parcage visiteur et le reste des spectateurs pendant que les ultras rennais étaient repartis de leur côté. Une présence policière qui a permis de calmer les esprits et d’annihiler toute nouvelle tentative d’affrontement.

Fabrice Clément, le président du SM Caen, a regretté ce spectacle : « C’est tout ce qu’on déteste, la provocation… On vient ici jouer contre Guichen. On regrette ces débordements des supporters du Stade Rennais qui sont venus provoquer et agresser nos supporters. C’est une grande tristesse. C’est tout ce qu’on déteste dans le football. Malheureusement on subit aujourd’hui. »

« Des abrutis »

Pascal Dupraz a lui aussi commenté : « C’était un match sympa ; il y a juste eu des abrutis qui se sont battus devant nous. Ils n’ont rien à foutre sur un terrain. Pour moi c’est l’image qui me débecte de notre sport. On ne fait vraiment partie du monde. C’est inqualifiable, inadmissible. »

Les esprits se sont échauffés à nouveau côté caennais quand des ultras du RCK, à la 55e minute, ont déployé une banderole volée par le passé à leurs homologues… Fabrice Clément : « La provocation de la banderole est super compliquée car le MK96 a porté plainte pour ce vol de bâche. On la retrouve ici. Tout ça est identifié, l’enquête est en cours. On va suivre ça, on se doutait bien que la police n’allait pas venir la chercher aujourd’hui, pas la peine d’en rajouter. Il ne faut pas que les ultras se radicalisent. »

Côté Guichen, club organisateur, on a eu peur. Adrien Le Bellec, co-président : « Ça a gâché un peu la fête. Il y avait un risque, il s’est avéré réel. Ça fait un peu peur. Heureusement que la police était là. Leur présence, leur professionnalisme et les réunions de préparation ont été utiles. »

Bayonne - FC Nantes - Coupe de France - 04/01/2020

Source : https://www.ouest-france.fr/

La Brigade Loire, arrivée à Bayonne, repart après avoir été interdite de centre-ville

Alors qu’ils étaient partis aux alentours de 2 h du matin pour se rendre au 32es de finale de Coupe de France entre Bayonne et le FC Nantes, les supporters de la Brigade Loire ont vécu une désillusion de plus cette saison. Arrivés sur les bords de l’Adour aux environs de 9 h, les aficionados du FCN avaient déjà prévu de se rendre dans un bar proche du stade afin de s’y restaurer. Le repas était prévu avec le gérant. Tout s’est parfaitement déroulé jusqu’à ce coup de fil de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques. Le préfet interdisant les supporters nantais de se rendre dans le centre-ville. Problème : ils ne se voyaient pas aller en parcage dès 9 h 30 du matin alors que le match commence à 13 h ce samedi.

Les supporters de la Brigade Loire n’ont pas voulu céder aux exigences du préfet en estimant qu’ils avaient le droit de se rendre en ville. Plus de 150 personnes ont ainsi engagé des frais pour rien puisqu’ils ont décidé de retourner à Nantes et ne seront pas présents pour la rencontre entre l’Aviron Bayonnais et Nantes. Il devrait y avoir seulement 80 Nantais en parcage.

Suisse (hockey) : HC Bienne - Lausanne HC - 04/01/2020

Source : https://www.rjb.ch/

Rixe entre supporters après le match du HC Bienne

La police cantonale bernoise indique samedi que la confrontation a fait plusieurs blessés. Quatre personnes ont été interpellées. Les forces de l’ordre ont dû utiliser du spray au poivre et des balles en caoutchouc.

La rixe a commencé vers 22h20 aux alentours du BienBar et du Provisorium, près de la place Guisan. Selon les premiers éléments, une douzaine de supporters du Lausanne HC ont cherché la confrontation avec des supporters du HC Bienne. Un conflit a alors éclaté et deux personnes ont été blessées. À l’arrivée de la police, plusieurs individus ont fui les lieux. Une recherche a donc été entreprise par les forces de l’ordre.

Un groupe que la police suspectait d’être impliqué a été découvert une vingtaine de minutes plus tard sur la rue du Débarcadère. Ces personnes se sont opposées aux forces d’engagement qui ont dû brièvement faire usage de balles en caoutchouc pour leur protection. Quatre hommes ont finalement été emmenés au poste et arrêtés provisoirement le temps des clarifications d’usage. L’un d’eux, blessé à la main, a dû être transporté à l’hôpital.

Des bus escortés

Au même moment, trois bus de supporters lausannois ont été stoppés au centre-ville alors qu’ils s’apprêtaient à reprendre la route. La police a dû utiliser du spray au poivre pour empêcher des passagers encagoulés de descendre des cars. Elle a finalement escorté les bus jusqu’à la frontière cantonale.

Saint-Pryvé Saint-Hilaire - Toulouse FC - Coupe de France - 04/01/2020

Source : https://rmcsport.bfmtv.com/

GROS INCIDENTS ET MATCH INTERROMPU ENTRE SAINT-PRYVÉ ET TOULOUSE



Le petit stade du Grand-Clos, d'une capacité de 1.620 places, a été le théâtre d'une soirée agitée ce samedi. Lors du 32e de Coupe de France entre les amateurs de Saint-Pryvé Saint-Hilaire (quatrième division) et les professionnels du Toulouse FC, des incidents ont éclaté entre supporters toulousains et forces de l'ordre aux abords de la pelouse. La rencontre a dû être interrompue pendant quelques minutes par l'arbitre Antony Gautier.

Les heurts se sont produits en seconde période, peu après la 50e minute, alors que le score était toujours de 0-0. Le match a été précisément stoppé pour un jet de fumigène sur la pelouse, selon les informations de La République du Centre. En parallèle, des forces de police sont intervenues face aux supporters toulousains. Des barrières de sécurité, disposées pour tenir le public à distance du terrain, se sont notamment effondrées.

Les supporters expulsés

Des policiers ont alors fait usage de gaz lacrymogène. Ils ont également décidé d'expulser les supporters toulousains de leur parcage, complètement vide lorsque les joueurs sont revenus sur la pelouse pour reprendre la partie.

À noter que les supporters de la lanterne rouge de Ligue 1 ont manifesté leur hostilité à l'égard du président délégué Jean-François Soucasse. Ce n'est pas la première fois que le dirigeant est visé par des chants et banderoles contestataires.

FC Lorient - Brest - Coupe de France - 05/01/2020

Source : https://www.letelegramme.fr/

Les déplacements des supporters brestois contraints, dimanche, à Lorient

Le match des 32es de finale de la coupe de France entre le FC Lorient et le Stade Brestois, ce dimanche 5 janvier, à 14 h 15, au stade du Moustoir, est considéré comme à risques. Un arrêté préfectoral contraint les déplacements des groupes de supporters brestois.

650 fans brestois, dont 250 issues des groupes de supporters (Celtic Ultras, Ultras Brestois 90, et Hermine 29), sont attendus, ce dimanche 5 janvier, dans la tribune réservée aux visiteurs du stade du Moustoir, à Lorient. Aux vues du passif récent des rencontres entre les deux clubs, marqué par quelques débordements entre Lorientais et Brestois, la préfecture du Morbihan a pris un arrêté pour réglementer la circulation des supporters brestois. Il interdit « à toute personne se prévalant de la qualité de supporter du Stade Brestois ou se comportant comme tel, d’accéder au stade Yves-Allainmat (stade du Moustoir) à Lorient et de circuler ou stationner sur la voie publique » dans l’hyper-centre de Lorient, dont la gare SNCF. Les restrictions prévues permettront un accès au stade dans le délai d’une heure un quart avant le match et un départ, au plus tard, une heure après la fin de la rencontre.

Escortés jusqu’au stade

En clair, cet arrêté s’adresse principalement aux 250 ultras finistériens. Ils pourront venir par leurs propres moyens à Lorient mais ne pourront pas accéder au centre-ville de Lorient sans être escortés par des forces de l’ordre jusqu’à la tribune réservée aux visiteurs. Cette solution a été trouvée en concertation avec les clubs et groupes de supporters. Pour rappel, lors du dernier derby entre le FC Lorient et le Stade Brestois, le 16 mars 2019, les supporters brestois avaient été interdits de stade après avoir refusé un déplacement sous escorte jusqu’à Lorient. Une interdiction qui avait été bravée par une cinquantaine de supporters brestois. Précédemment, des rixes avaient éclaté entre supporters le 2 septembre 2016 et le 18 novembre 2017.

Les 400 autres supporters brestois seront, eux, libres de leurs mouvements et pourront accéder au stade du Moustoir normalement.

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Source : https://www.letelegramme.fr/

L’arrivée des supporters brestois sous haute protection à Lorient

Le match des 32es de finale de la coupe de France entre le FC Lorient et le Stade Brestois, ce dimanche 5 janvier, à 14 h 15, au stade du Moustoir, est placé sous haute protection. L’arrivée des supporters brestois s’est déroulée sans incident.

Après s’être retrouvés près d’un bar, rue de Belgique, environ 250 supporters brestois sont arrivés bruyamment à pied au stade du Moustoir, peu avant 13 h 30, escortés par de nombreux policiers. Tout s’est déroulé dans le calme, alors qu’à l’opposé de la tribune réservée aux visiteurs, le kop lorientais était également bien encadré. Les restrictions d’accès au stade dans le délai d’une heure un quart avant le match n’ont toutefois pas été respectées.

Aux vues du passif récent des rencontres entre les deux clubs, marqué par quelques débordements entre Lorientais et Brestois, deux escadrons de gendarmerie sont mobilisés pour ce match classé à risques, soit au total plus de 150 hommes.

Olympiakos - Panathinaïkos - 04/01/2020

Source : https://www.cnn.gr/

Les supporters de l'Olympiakos ont affronté la police à l'extérieur du stade George Karaiskakis. Les forces de l'ordre ont utilisé des gaz lacrymogènes qui se sont rependus dans le stade et incommodés les joueurs qui venaient fouler la pelouse avant le match.




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Source : https://www.sport24.gr/

US Raon-L'Etape - Lille OSC - Coupe de France - 05/01/2020

Source : https://www.vosgesmatin.fr/

Excédé, le gardien de Raon-l'Étape frappe un supporter Lillois à la fin du match

Dans le parcage Lillois, la fin de match a été très tendue malgré la victoire des Dogues. Au coup de sifflet final, Patricio Sancho, le gardien de l'US Raon l'Etape a d'abord échangé des mots avec les ultras Lillois, alcoolisés et accrochés aux grillages de sécurité.
N'ayant pas supporté les nombreuses insultes subies tout au long de la seconde période par les supporters adverses, le gardien Raonnais a perdu son sang-froid en allant frapper un supporter Lillois.
Un geste qui a provoqué la furie de quelques autres ultras, ayant absolument envie d'en découdre.
Le calme est revenu avant de nouveaux échanges d'insultes entre supporters des deux équipes. Les CRS ont du intervenir dans le parcage et gazer.
Quelques minutes plus tard, si la tension était redescendue d'un cran, de nombreux supporters Raonnais attendaient devant l'entrée visiteurs.

Bastia Borgo - AS Saint-Etienne - Coupe de France - 05/01/2020

Source : http://www.onzemondial.com/

MALGRÉ L'INTERDICTION, LES SUPPORTERS STÉPHANOIS ÉTAIENT PRÉSENTS !

C'est aussi ça la beauté de la Coupe de France ! Initialement interdits de déplacements par la Ligue Professionnel de Football (LFP), les supporters des Verts avaient quand même décidé de se rendre en Corse pour soutenir les hommes de Claude Puel, visiblement à raison. À leur arrivée au Stade Armand Furiani, la trentaine de Green Angels ne s'est pas vu refuser l'entrée par les locaux. Ils ont donc pris place derrière une des deux cages du stade et ont pu assister à la rencontre sans qu'aucun incident ne soit à déplorer. Une belle image pour débuter cette année 2020 !

Brescia - SS Lazio - 05/01/2020

Source : https://www.lequipe.fr/

La Lazio Rome se désolidarise de ses supporters après l'incident avec Mario Balotelli

Après les incidents survenus cet après-midi lors du match Lazio Rome - Brescia (2-1), la rencontre ayant été interrompue en raison de cris racistes contre Mario Balotelli, le club romain a tenu à publier un communiqué dans la soirée afin de se désolidariser des supporters visés.

« Comme cela s'est toujours produit par le passé, la SS Lazio se dissocie de la manière la plus forte des comportements discriminatoires mis en oeuvre par une très petite minorité de supporters lors du match contre Brescia, a indiqué la direction laziale. Le club réitère une fois de plus la condamnation des délits injustes similaires et confirme son intention de poursuivre ceux qui portent une grave atteinte à l'image du club et de l'équipe de Biancoceleste. »

Après la rencontre, l'attaquant italien avait de son côté souhaité manifester son écoeurement sur son instagram.

Coupe de France : « On n’est pas des chiens », la Brigade Loire raconte pourquoi elle n’a pas pu assister à la victoire du FC Nantes à Bayonne - 05/01/2020

Source : https://www.20minutes.fr/

Les supporters venus en bus dans le Sud-Ouest sont rentrés avant le match après avoir appris qu’ils étaient interdits de centre-ville malgré l’absence d’arrêté préfectoral

Encore du travail bien fignolé de la part des services de l’État concernant l’encadrement des déplacements de supporters ce week-end en Coupe de France. Si les supporters nancéiens ont au moins été prévenus 48h avant leur déplacement à Grande-Synthe que finalement, non, l’accord négocié 15 jours en amont ne tenait plus et qu’il faudrait rester en Lorraine, leurs 150 collègues nantais se sont retenus d’égorger une fratrie de bébés pandas à leur arrivée à Bayonne samedi matin après s’être cognés 7h de bus. Tout était calé : petite balade dans la vieille ville pour admirer les remparts de Vauban​ et déjeuner dans une brasserie à dix minutes du stade Jean Dauger pour arriver le ventre plein dans le parcage visiteur un peu avant 13h.

Sauf que non. La suite vous est offerte par Romain Gaudin, porte-parole de la Brigade Loire, évidemment de l’escapade bayonnaise :

« On avait anticipé en travaillant avec le référent supporter du club, qui lui est en lien avec les autorités sur place, il n’a eu aucun retour négatif. On avait prévu un restaurant qu’on avait réservé, et on voulait se balader un peu dans le centre avant le match. Mais dès notre arrivée, on a été pris en escorte à l’entrée de Bayonne jusqu’au stade par une compagnie de gendarmes mobiles. Et là le commissaire nous a annoncé qu’on serait fouillés un par un et parqués dans le stade jusqu’au coup d’envoi, alors qu’il y avait aucun arrêté préfectoral d’interdiction ou même d’encadrement du déplacement ».

14h de bus pour rien

Nada. D’ailleurs, les quelques fans du FCN qui avaient eu le courage de prendre leur voiture personnelle n’ont pas été inquiétés et ont pu profiter tranquillement du soleil du Sud-Ouest et de la qualif maîtrisée de leur équipe. Les autres ? Retour à l’envoyeur, direction la Bretagne. Notez l’escorte royale : sept fourgons de CRS rien que pour eux. Qui bloquaient les sorties des aires d’autoroutes des fois que certains décident de fuguer du côté du Courtepaille de Labouheyre-Est. « Un moment, on n’en pouvait plus de se retenir de pisser, alors on s’est arrêtés le long de la bande d’urgence, puis on a fini à pied, sourit (jaune) Romain. Les gendarmes qui avaient relayé les CRS étaient sympas, ils étaient aussi embêtés que nous ».

Regrette-t-il de ne pas avoir patienté quelques heures dans le stade en attendant le coup d’envoi plutôt que de perdre une journée dans le bus et 60 euros secs (le prix du déplacement) ? Pas le moins du monde.

« On aurait pu rester au stade en attendant, mais ça nous était déjà arrivé il y a quelques années à Valenciennes, on avait dû attendre 7h dans les tribunes et on s’était juré que ce serait la dernière fois. Au bout de 10 minutes, on leur a dit qu’on repartait. Déjà pour leur montrer qu’on n’est pas des chiens. S’ils avaient géré ça correctement et qu’ils ne s’étaient pas intéressés à notre déplacement 24h avant, on se serait organisés autrement ».

Autant dire que les bienfaits de la circulaire Castaner, dont l’objectif était de limiter les interdictions de déplacement des supporters de l’équipe visiteuse, se font attendre, pour le dire gentiment. Pour une fois, le club nantais s’est même ému officiellement de la situation, « regrettant fortement l’absence d’une partie de ses supporters pour ce match alors qu’aucun arrêté n’avait été pris en amont ».

Bourg-en-Bresse Péronnas - Lyon - Coupe de France - 04/01/2020

Source : http://www.leparisien.fr/

Les supporters de l’OL accusés d’avoir saccagé une tribune à Bourg-en-Bresse

Le message est adressé à Jean-Michel Aulas et à l'OL. Le club de rugby de Bourg-en-Bresse s'en est directement pris au club de football lyonnais, ce lundi matin sur Twitter. La raison? L'état des tribunes du stade, qui a accueilli le 32e de finale de la Coupe de France entre les footballeurs de la ville de l'Ain et l'OL samedi soir (0-7).

« On voudrait juste savoir comment on va pouvoir accueillir nos jeunes de l'école de rugby la semaine prochaine sur notre match face à Narbonne », a lancé le club sur le réseau social.

« L'USBPA déplore l'état catastrophique de la tribune qui compte une centaine de sièges arrachés. Des débris métalliques et plastiques coupants, des restes de fumigènes… Génial ! », a-t-il poursuivi.

Interrogé par Le Parisien, l'OL a répondu qu'il prendrait en charge les dégâts causés dans la tribune. Samedi soir, c'est l'attitude des joueurs lyonnais qui avait été pointée du doigt par l'entraîneur de la formation de National, Karim Mokeddem. Ce dernier avait critiqué « l'arrogance de Lyon sur le dernier quart d'heure ».

Le Portel - RC Strasbourg - Coupe de France - 04/01/2020

Source : https://www.francebleu.fr/

150 supporters strasbourgeois ont fait le déplacement à Calais. A la fin du match, certains ont été sortis de leur tribune, manu-militari par les forces de l'ordre après l'utilisation de fumigènes.

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Source : https://www.directracing.fr/

DES SUPPORTERS STRASBOURGEOIS INTERPELLÉS PAR LA POLICE

Tout s'était pourtant bien passé lors de la victoire du Racing Club de Strasbourg face au Stade Portelois ce samedi lors du 32ème de finale de la Coupe de France (1-4). Malheureusement en fin de rencontre quelques incidents ont entaché la fête. En effet, au courant du match, quelques fumigènes ont été allumés par les supporters strasbourgeois, ce qui a motivé la police à attendre la fin de la rencontre pour intercepter les quelques supporters reconnus sur les caméras. Il semblerait que les forces de l'ordre aient été auteurs d'un petit excès de zèle, ce qui n'a pas facilité les échanges. Un événement fâcheux au terme d'une rencontre festive qui s'est disputée dans un bon état d'esprit.

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Source : https://www.nordlittoral.fr/

Deux supporters strasbourgeois arrêtés à Calais au stade de l’Épopée

La vidéo, partagée sur la page Facebook Ultras France, a été visionnée à 70 000 reprises en quelques heures. On y voit, samedi dernier, à l’issue de la rencontre de Coupe de France entre Le Portel et Strasbourg (remportée 4-1 par les Alsaciens), les supporters strasbourgeois être cernés par les forces de l’ordre. On y entend des cris, un chien aboyer et un supporter être maintenu au sol par les policiers. D’après Ultras France, plusieurs membres du groupe Ultra Boys 90, la principale association de supporters strasbourgeois, auraient été littéralement « tabassés pour quelques fumigènes ». Pourtant, durant la rencontre, aucun incident n’a été à déplorer, au contraire.

L’ambiance entre les deux publics était correcte. Les Alsaciens (ils étaient une centaine à avoir fait le déplacement) ont craqué plusieurs fumigènes en début de match, offrant un beau spectacle au public de l’Épopée. Mais leur utilisation étant interdite, les caméras du stade ont été utilisées pour reconnaître ceux ayant eu recours à ces fumigènes, lesquels ont été attendus à leur sortie des tribunes. « Deux personnes ont été interpellées pour usage de fumigènes », précise le procureur de la République de Boulogne-sur-Mer, Pascal Marconville. Les deux supporters placés en garde à vue ont été libérés depuis. Le parquet de Strasbourg devrait prendre le relais pour décider d’une éventuelle interdiction de stade. Un acte disproportionné d’après les internautes. L’un d’entre eux évoquait tout de même des dégradations de sièges dans le parcage visiteur ainsi que des jets de canettes et de cailloux sur la police.

France : Un supporter brestois agressé après le match - 06/01/2020

Source : https://www.letelegramme.fr/

Un important dispositif de sécurité a encadré le derby Lorient-Brest, ce dimanche 5 janvier, au stade du Moustoir. Le seul incident à signaler s’est passé après le match, rue de Belgique, où un supporter brestois a été pris à partie par une quinzaine de supporters lorientais.



« Compte tenu du contentieux entre les ultras de part et d’autre, le dispositif de sécurité était à la hauteur de l’événement et a permis de prévenir les débordements, avant, pendant et après le match ». Le commissaire Amaury Le Néel, chef de la sûreté départementale de Lorient, se félicite de la bonne tenue du derby, qui s’est joué ce dimanche au stade du Moustoir. Ceci grâce aux précautions prises en amont avec la mobilisation des effectifs du commissariat de Lorient avec le renfort de deux escadrons de gendarmes mobiles, soit 250 forces de l’ordre.

Seul incident signalé : l’agression d’un supporter brestois, vers 18 h, après le match, rue de Belgique. Il a été pris à partie par une quinzaine de supporters lorientais mis en fuite par les policiers. Le supporter a porté plainte pour des blessures légères.

Belgique : Onze hooligans des clubs d'Eupen et de Lokeren cités pour une bagarre en février 2018 - 06/01/2020

Source : https://www.dhnet.be/

Onze hooligans qui se sont affrontés le 24 février 2018 à Eupen, à l'occasion du match qui opposait l'équipe d'Eupen à celle de Lokeren, étaient cités à comparaître lundi devant le tribunal correctionnel d'Eupen.

Il est reproché à ces supporters violents des coups et blessures volontaires et l'appartenance à une association de malfaiteurs, avec la circonstance aggravante de préméditation.

Dès l'après-midi du 24 février, date d'un match qui opposait les deux équipes, les supporters du club flamand s'étaient rassemblés dans le chef-lieu de la Communauté germanophone. Après être arrivés en car à proximité du stade du Kehrweg, ils se sont rendus en ville, à pied. C'est là que plusieurs bagarres ont éclaté avec des supporters germanophones. Une quarantaine de supporters --dont certains avaient le visage caché, portaient des protège-dents ou encore des gants de boxe-- étaient présents et il aura fallu l'intervention d'une centaine de policiers pour calmer les esprits.

A la suite de ces affrontements, au cours desquels des coups ont été échangés, plusieurs supporters violents avaient pu être identifiés grâce à des images filmées.

Ce lundi, trois supporters du club germanophone et huit du club flamand étaient cités à comparaître devant le tribunal correctionnel d'Eupen.

Tous ont reconnu avoir participé activement aux bagarres qui, selon le parquet, avaient été organisées à l'avance. Si les prévenus ont expliqué avoir reçu et porté des coups, à d'autres supporters alors même qu'ils étaient au sol, ils contestent l'association de malfaiteurs et la préméditation.

Le substitut du procureur du Roi n'est pas de cet avis et estime que toutes les préventions sont établies à charge des différents prévenus. Il réclame donc à leur encontre des peines de prison ferme, allant de 10 à 18 mois. Pour les 9 prévenus présents à l'audience, le parquet ne s'oppose pas à une peine de travail. Ces peines sont assorties d'une amende variant entre 800 et 1.600 euros. Le ministère public réclame aussi à l'encontre de tous les protagonistes, des interdictions judiciaires de présence au stade dont la durée varie entre 2 et 3 ans.

Jugement attendu le 3 février.

Liverpool FC - Everton FC - FA Cup - 05/01/2020

Source : https://www.liverpoolecho.co.uk/

Danemark : Free-fight - 05/01/2020

Source : Mail

Aalborg vs Fremad Amager
10vs10
Victoire de Fremad

FC Rouen - FC Metz - Coupe de France - 06/01/2020

Source : Mail + https://www.paris-normandie.fr/

Une bagarre a éclaté aux abords de Diochon. « Une soixantaine de Messins est arrivée avant le début du match près de la friterie. Ça a duré 30 secondes : les policiers ont gazé et dispersé le groupe. » Le mal était fait. Frédéric Heniart baisse le rideau, pendant que les excités sont repoussés vers le rond-point.
Hervé, patron du bar brasserie PMU Les Bruyères, juste en face, a fermé ses portes au même moment. « Avec le vent, on se prenait les gaz... »

Rouen indep VS Metz Horda Frenetik + Gruppa

TFC : Le torchon brûle entre le président Olivier Sadran et les ultras - 07/01/2020

Source : https://www.20minutes.fr/

Les Indians Tolosa ont réclamé des excuses après les propos d’Olivier Sadran, lundi. Alors que la situation est tendue entre ultras et direction du TFC, le président a évoqué le souvenir de Brice Taton, membre des Indians tué en 2009 à Belgrade

C’est une remarque qui n’est pas passée chez de nombreux fans du TFC. Lundi, lors de sa conférence de presse au Stadium, le président Olivier Sadran a notamment évoqué les rapports très compliqués avec certains supporters du dernier de Ligue 1.

« Alors que ça n’existait quasiment pas au Toulouse Football Club depuis 2001, je suis vraiment désolé que l’on soit rentré dans une période de violence et d’agressivité, une période où des gens se mettent hors-la-loi, a lancé le patron du club, dans une allusion aux incidents lors de la réception de Reims (0-1), le 14 décembre. J’ai l’impression qu’on a vraiment oublié l’épisode de la Serbie. »

Le 17 septembre 2009, Brice Taton, membre du groupe ultra des Indians Tolosa avait été agressé par des hooligans du Partizan Belgrade, en marge de la rencontre de Ligue Europa entre ce club de la capitale serbe et le TFC. Le jeune homme de 28 ans devait décéder douze jours plus tard dans un hôpital local. Olivier Sadran a développé :

« Ce jour-là, le club était là. Là pour porter le deuil, là pour soutenir la famille. Je crois que l’on a oublié ça. Ce qu’on voit aujourd’hui me fait penser qu’on peut arriver à des situations absolument catastrophiques et ça, je ne peux pas le laisser faire. »

Furieux de cette comparaison, les Indians évoquent sur Twitter « des propos scandaleux » et attendent « des excuses de la part d’Olivier Sadran et du Toulouse FC ».

Le groupe ultra, installé dans le virage est du Stadium rebaptisé Brice-Taton depuis le drame, est en rupture avec les dirigeants, une fracture qui n’en finit plus de s’aggraver depuis des incidents après un TFC-Lille (2-3), le 6 mai 2018.

Dans les dernières minutes du match contre Reims, lors du dernier match à domicile de 2019, une vingtaine de supporters s’était approchée de la tribune présidentielle avant d’être repoussée par la sécurité, initialement prise de court.

« Chacun doit se contrôler »
« Laisser faire, je ne peux pas, a lâché Olivier Sadran devant les médias, en promettant de continuer à porter plainte à chaque incident. Les fumigènes, c’est interdit. Arriver avec un coup de pied dans le dos sur une jeune femme qui fait la sécurité et renverser une barrière dessus, c’est interdit. Sans être donneur de leçon, et quelle que soit la frustration, chacun doit se contrôler. »

Samedi dans le Loiret, lors du match de Coupe de France perdu (1-0) contre Saint-Pryvé-Saint-Hilaire (National 2), les Indians avaient été évacués par les forces de l’ordre après, notamment, des jets de fumigènes.

Retour au Stadium samedi contre Brest
« Qu’une frange de supporters ne soit pas satisfaite des résultats, on la comprend, on le serait à moins et c’est mon cas, a ajouté Sadran. On a vraiment besoin de nos supporters. Mais on a aussi besoin que le stade soit un lieu où l’on puisse venir en toute sécurité. »

Après dix défaites d’affilée, toutes compétitions confondues, le TFC recevra Brest, samedi en Ligue 1, pour le début de l’ère Denis Zanko.