Saison 18/19 - Juillet

KF Shkëndija - The New Saints - 12/07/2018

Source : Mail

Shkëndija fans (Macédoine) vs cops

France - Croatie - 15/07/2018

Source : https://actu17.fr/

Paris : Mouvement de foule et panique à la fan zone, des supporters ont forcé le passage. Une vingtaine de blessés légers.



La fan zone située sur le Champs-de-mars à Paris n’est plus accessible car pleine mais des supporters ont quand même forcé l’un des barrages des forces de l’ordre, faisant tomber les barrières et créant un mouvement de foule.

L’incident s’est produit peu avant 15 heures ce dimanche, alors que la finale de la coupe du monde entre la France et la Croatie n’a pas encore débuté. Des supporters ont forcé le passage pour accéder à la fan zone, pourtant pleine comme l’ont annoncé les autorités.

Les forces de l’ordre n’ont pu les arrêter. Des dizaines de supporters se sont retrouvés par terre et des centaines de personnes ont pu accéder à la fan zone sans passer par la palpation de sécurité explique franceinfo.

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Source : http://www.courrier-picard.fr/

A Compiègne, l’entrée de la fan zone évacuée par la police

Les supporters qui n’ont pu accéder au grand écran installé, dans le parc Songeons, ont été dispersés à coup de jets de lacrymogène, ce dimanche après-midi.

Au porte-voix, la police nationale lance une première sommation. «  Évacuez immédiatement. » Une partie du public reflue vers la rue Jeanne d’Arc. Deuxième sommation. «  On vous demande d’évacuer maintenant. » Aussitôt des jets de lacrymogène sont balancés par les policiers sur les retardataires. On entend des détonations. Des bouteilles en verre sont alors balancées en direction des forces de l’ordre.

Les policiers sortent du parc et avancent vers le public. Un premier homme est interpellé au pied de la tour Beauregard ; un second à deux pas des salles Saint-Nicolas. «  Ceux qui se sont montrés plus agressifs que les autres  », précise le sous-préfet de Compiègne, Ghyslain Chatel.Sur place, le commissaire Sébastien Chalvet n’est pas disponible pour donner des précisions sur cette intervention.

Le public s’est dispersé et les policiers se sont déjà repliés.

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Source : https://www.laprovence.com/

Les Bleus champions du monde : des incidents rond-point du Prado à Marseille

Au milieu de la ferveur, des drapeaux français et des fumigènes, des incidents ont éclaté au niveau du rond-point du Prado, à la sortie de la fan-zone du parc Chanot. Un conteneur de tri a notamment été incendié et les vitres d'un car brisées. Quelques escarmouches ont également éclaté entre de jeunes supporters et les CRS présents sur place.




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Source : https://www.francetvinfo.fr/

De nombreuses dégradations à Marseille

Les forces de l'ordre ont aussi essuyé des jets de pétards, de fumigènes et de projectiles à Marseille (Bouches-du-Rhône), malgré un arrêté interdisant ces produits. Au moins sept personnes ont été interpellées après des débordements sur le Prado et le Vieux-Port, a appris France Bleu Provence auprès de la préfecture de police des Bouches-du-Rhône.

Une voiture de police a été coincée à l'angle de l'Opéra et du Vieux-Port. Sur le rond-point du Prado, plusieurs personnes sont montées sur un bus et ont abîmé le pare-brise. Des poubelles ont également été incendiées. Les forces de l'ordre ont dû utiliser des gaz lacrymogènes. Au total, 27.000 personnes ont assisté à la retransmission de la finale au parc Chanot à Marseille, 40 000 sur le Vieux-Port.



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Source : https://www.scoopnest.com/

Le magasin Intermarché de l’avenue de la Grande Armée a été pillé par des bandes de délinquants.

Des incidents ont aussi été signalés vers 19h30, notamment du côté de la Place de la Bastille où un restaurant a fait l’objet d'une attaque en règle.

Des violences ont éclaté également du côté de l’avenue Kleber, non loin des Champs-Élysées, où les policiers ont essuyé des jets de projectiles de la part de groupes de casseurs.

D'autres altercations ont eu lieu entre forces de l’ordre et supporters, Avenue Marceau, dans le VIIIe arrondissement. Les policiers ont riposté au gaz lacrymogène, ce qui a créé un mouvement de foule.



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Source : http://www.nicematin.com/

La police caillassée par une bande de jeunes à Menton après la victoire de la France

Quelques minutes après le coup de sifflet final de France-Croatie (4-2), une bande de jeunes a provoqué la police nationale de Menton en leur balançant des projectiles divers et des pierres.
Galets, bouteilles de bière, chaises... L'incident s'est déroulé vers 19h15 à proximité du musée Cocteau et est toujours en cours. De quoi gâcher la fête de centaines de Mentonnais venus fêter la victoire des Bleus en bord de mer...

Bon nombre de vrais supporters ont invectivé les casseurs en leur reprochant de nuire à cette grande fête.



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Source : https://www.leprogres.fr/

Lyon : Charge de policiers rue de la Barre après la victoire des Bleus, tensions sur le pont de la Guillotière

Vers 20h, les policiers ont dû charger rue de la Barre, dans le prolongement de la place Bellecour, suite à des mouvements de foule. Les forces de l'ordre ont d'abord utilisé des lacrymogènes pour disperser la foule rassemblée pour fêter la victoire de l'Equipe de France. Plusieurs personnes ont été incommodées.

Les incidents seraient partis de personnes qui ont essayé de monter sur un camion anti intrusion placé au milieu de la rue de la Barre pour sécuriser le site. Certains auraient essayé de pénétrer dans le camion, voire même de l'incendier, ce qui a entraîné la réplique des forces de l'ordre.

A 20h15, la place Bellecour était du coup quasi déserte, jonchée de détritus.

La situation s'est aussi tendue sur le pont de la Guillotière avec des jets de projectiles contre un barrage de gendarmes.






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Source : https://www.estrepublicain.fr/

Les Bleus champions du monde : la fête dérape à Nancy

Lles supporters ont fait la fête sur la Place Stanislas où des incidents ont éclaté lors d’échauffourées avec les forces de l’ordre.

Un homme a été grièvement blessé lors de la fête dans Nancy. Il a fait une chute depuis le toit d’une camionnette où il s’était perché, au croisement de la rue Henri-Poincaré et de la Visitation. Un médecin qui passait là, alors que la victime avait apparemment perdu connaissance, s’est immédiatement porté auprès de lui alors que les policiers qui barraient les rues donnant accès à l’hyper-centre à quelques mètres mobilisaient les secours. La victime, touchée à la tête, a été évacuée.

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Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr/

Série d’incidents en Corse en marge du match France-Croatie

Une trentaine de jeunes ont créé plusieurs incidents dans des cafés de la place Saint-Nicolas à Bastia des heurts ont eu lieu aussi lors du défilé qui a suivi la victoire française à la Coupe du monde de football à Ajaccio.

La fête a été quelque peu gâchée à Bastia place Saint-Nicolas où un incident s’est déroulé durant la rencontre entre supporters français et croates.
Une personne a été légèrement blessée et prise en charge par les pompiers.

Les forces de l’ordre se sont très rapidement rendues sur place en nombre pour assurer la sécurité durant la rencontre.

Selon plusieurs témoins un même groupe de jeunes hommes hostiles à la France, criant notamment "français de merde", ont perturbé la diffusion dans différents cafés.

"Des verres sont tombés au sol, des tables ont été cassées sans faire de blessés mais devant des femmes et des enfants choqués" explique un patron de bar atterré.

A l’issue du match lors du défilé pour célébrer la victoire de la France quelques automobilistes arborant des drapeaux français ont été pris à partie.

Des échanges vifs ont opposé à ces jeunes des touristes mais aussi des bastiais supporters de l'équipe de France venus voir le match en famille.

La police a tenté de mener plusieurs interpellations pour contrôler des identités mais aucune personne n’est placée en garde à vue ce soir selon nos informations.

Incidents à Ajaccio

Lors du défilé d'après match des tensions ont eu lieu également rue du roi de Rome et place du diamant à Ajaccio où les forces ont pris place. Plusieurs blessés légers seraient recensés ce soir.

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Source : https://actu.fr/

Coupe du monde 2018. Des incidents à Rouen, la place de l’hôtel de ville évacuée par les CRS

Ce devait être une fête ! La fête en l’honneur de la victoire des Bleus en Russie lors de la Coupe du monde 2018. Tout le monde le voulait, sauf quelques individus mal intentionnés qui à Rouen (Seine-Maritime) ont semé la zizanie en provoquant des incidents. Vers 21h15, les CRS sur place ont décidé d’évacuer la place de l’hôtel de ville.

Jets de bouteilles et gaz lacrymogènes

Des jets de bouteilles sur des policiers, des gaz lacrymogènes en réponse à ces agressions… La majorité des Rouennais était pourtant venue faire la fête dimanche 15 juillet 2018 dans la capitale de la Normandie comme partout ailleurs sur le territoire. Tout se passait si bien…

D’après nos informations, un groupe d’individus s’en seraient pris à des policiers en jetant des bouteilles dans leur direction. Des journalistes ont également été la cible de quelques individus.



Au Havre également, quelques incidents mineurs ont éclaté.

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Source : Mail

Incidents à Bordeaux



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Source : https://www.ledauphine.com/

Grenoble : incidents après la victoire des Bleus

Comme après la demi-finale, des incidents ont malheureusement, éclaté à Grenoble en début de soirée.

Les heurts ont débuté cours Jean-Jaurès peu après 20 heures. Après un face à face tendu entre forces de l'ordre et faux supporters, les gendarmes et policiers ont été la cible de jets de projectiles. Ils ont alors fait usage de gaz lacrymogènes.

Des poubelles ont ensuite été incendiées cours Jean-Jaurès et cours de la Libération. Sur cet axe majeur de Grenoble, les vitres des abribus ont été brisées.

Les forces de l'ordre ont chargé à plusieurs reprises dans le quartier ainsi que dans le quartier Championnet.

Cours de la libération, une trentaine de voitures on été renversées, des dizaines de voitures ont eu les vitres brisés.

A 22 h 30, le calme semblait revenu.



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Source : https://www.estrepublicain.fr/

Après-match des Bleus à Toul : un policier et un supporter blessés

Alors que la foule célébrait la victoire des Bleus, ce dimanche soir place des Trois-Evêchés, quelques incidents ont entaché les festivités : certains esprits se sont échauffés, et une bagarre a notamment éclaté. Un spectateur a, en outre, été victime d’un traumatisme sonore suite à l’explosion d’un pétard mortier, alors qu’un policier national a lui aussi été blessé dans une échauffourée. Tous deux ont été pris en charge par les secours.

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Source : http://www.leparisien.fr/

L’Oise euphorique mais des débordements

A Beauvais, plus de 10 000 personnes se sont massées sur la place Jean-Hachette. Et si, tout au long du match, l’ambiance était aussi impressionnante, des échauffourées ont éclaté peu après la fin du match. Elles ont été maîtrisées en une trentaine de minutes. Les policiers, caillassés, ont fait là aussi usage de gaz lacrymogènes.

A Creil, aussi, des débordement sont à déplorer. Plusieurs incendies ont été constatés dans le centre-ville.

La préfecture de l’Oise n’a souhaité faire aucun commentaire sur la situation dans le département. Avant de préciser, de façon laconique : « Tout va bien ». « La situation est tendue mais sous contrôle », a précisé une source policière.

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Source : https://www.ledauphine.com/

Annecy : pour fêter la victoire de la France, il saute dans le canal... et se tue

Juste après le coup de sifflet final, un homme de 50 ans a sauté depuis le quai du Libellule à Annecy. Il est tombé sur la nuque dans le canal du Thiou.

Malgré l’intervention rapide des pompiers et du Smur d’Annecy, l’homme est décédé des suites de ses blessures.

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Source : https://www.letelegramme.fr/

La fête est ternie par des bagarres à Dinard



Comme lors des demi-finales, des bagarres ont éclaté dans le centre-ville.

Vers 22 h 30, à Dinard, une première bagarre a éclaté devant l’allée des bars de Dinard. « C’était déjà comme ça lors de la demi-finale. C’est dommage, cela devrait être un moment de fête », observe un serveur, désabusé.

Les policiers présents sur place sont obligés de gazés les belliqueux. Les bastons à répétition, souvent enclenchés sous pour des raisons futiles et liés à l’alcool, effrayent les familles présentes sur place. La France a gagné, mais la fête est ternie. Dommage.

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Source : https://www.ouest-france.fr/

L’ambiance dégénère dans le centre de Nantes après la victoire des Bleus

La fête a été ternie par des jets de projectiles lancés contre les policiers, comme près du CHU à Nantes. Les policiers ont répliqué avec du gaz lacrymogène. Échauffourées aussi dans le centre de La Roche s/Yon.



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Source : https://www.leprogres.fr/

Finale de la coupe du monde à Villefranche-sur-Saône : des échauffourées avec la police

Dimanche soir, vers 21 heures, des incidents ont eu lieu à Villefranche en marge de la fête, essentiellement dans le secteur du Promenoir. A 22h30, le commissaire Éric Debeugny dressait un premier bilan des événements : "Un groupe d’une cinquantaine d’individus avait visiblement envie d’en découdre avec la police. Les problèmes ont commencé au moment où un tracteur et une voiture se sont croisés. Nous avons demandé aux personnes qui étaient installées sur les véhicules de descendre, ce qu’elles n’ont pas voulu faire. Les échauffourées ont démarré devant le Liberty’s. Insultes, coup, jets de pierres... Un fonctionnaire de police a été blessé à la tête par un jet de pierre. Il nous a fallu près d’une heure et demie pour ramener le groupe de 50 à une quinzaine d’individus. Ce que nous déplorons surtout, c’est d’avoir dû utiliser les gaz lacrymogènes. Car de nombreuses familles étaient là pour faire la fête, et les fauteurs de troubles s’étaient habilement mêlés à elles. Mais nous n’avions pas d’autre solution”.



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Source : https://www.francebleu.fr/

Voitures retournées, poubelles incendiées : des incidents en Isère après la victoire des Bleus

Les Isérois étaient dans la rue dimanche soir pour fêter la victoire des Bleus au mondial. Une liesse populaire écourtée par de nombreux incidents, principalement à Grenoble. Des affrontements entre casseurs et forces de l'ordres ont éclaté, des voitures retournées et du mobilier urbain détruit.

380 gendarmes et 160 policiers étaient mobilisés pour l'événement
Une confrontation avec les forces de l'ordre s'est alors engagée. Policiers et gendarmes ont fait usage de gaz lacrymogène pour faire reculer les fauteurs de troubles qui projetaient sur eux toutes sortes de projectiles. Au total, cinq personnes ont été interpellées dans les rues de Grenoble. La pluie qui s'est mise à tomber quelques heures après la fin du match a finalement refroidi les ardeurs des plus belliqueux, la tension retombant petit à petit en soirée.

Cinq fauteurs de troubles interpellés à Grenoble

Des incidents sont également à signaler dans le reste du département. Des rodéos et des bagarres sous fond d'alcool ont été recensées au Bourg d'Oisans, à Tignieu-Jameyzieu, à Mont-de-Lans, aux Deux-Alpes, à La-Tour-du-Pin, à Montalieu-Vercieu, aux Abrets-en-Dauphiné, ou encore à Rives.

Dans le secteur de Vienne, un homme a eu le pouce et l'index d'une main arrachés par l'explosion d'un pétard. Une jeune femme a été blessé à un œil à cause d'un craquage de fumigène.

Les célébrations de la victoire en finale du Mondial ternies par des incidents - 16/07/2018

Source : https://www.lemonde.fr/



En marge des rassemblements, des incidents ont été répertoriés un peu partout en France. Huit personnes ont été interpellées à Lyon, et dix à Marseille.

Plusieurs incidents opposant notamment forces de l’ordre et « casseurs » ont éclaté dimanche 15 juillet en France en marge des rassemblements festifs célébrant la victoire des Bleus en finale de la Coupe du monde de football.

Des dégradations à Paris



Dans la capitale, une trentaine de personnes ont pénétré avant 22 heures dans le Drugstore Publicis des Champs-Elysées, pillant notamment bouteilles de vin ou de champagne, avant d’être dispersés par les forces de l’ordre qui se sont ensuite employées à protéger l’entrée du magasin, a constaté un journaliste de l’Agence France-Presse (AFP).

Des échauffourées se sont poursuivies sporadiquement entre forces de l’ordre et groupes de « casseurs » qui échangeaient jets de bouteilles ou chaises contre gaz lacrymogène sur la prestigieuse avenue. Celle-ci s’est progressivement vidée de la masse des centaines de milliers fêtards qui y ont célébré la victoire des Bleus dès le coup de sifflet final. Vers 23 h 30, les forces de l’ordre ont notamment fait usage d’engins lanceurs d’eau pour disperser les fauteurs de troubles.

Un homme a été gravement blessé après avoir reçu un violent coup de casque lors d’une rixe survenue vers 21 h 10 à proximité des Champs-Elysées, ont rapporté des sources policières au Monde. L’homme a été hospitalisé dans un état grave.

Huit interpellations à Lyon

A Lyon, l’ambiance a dégénéré en début de soirée aux alentours de la place Bellecour où quelque 20 000 personnes étaient venues regarder la finale sur un écran géant. Des échauffourées ont provoqué des mouvements de foule, les fumées incommodant des personnes dans le public. Des incidents sporadiques se sont poursuivis entre forces de l’ordre et petits groupes de « casseurs » dans quelques lieux très localisés du centre-ville.

Dix personnes arrêtées à Marseille

A Marseille, plusieurs incidents ont éclaté, notamment autour du Vieux-Port et de la fan zone. « ll y a eu de nombreux jets de projectiles, deux membres des forces de l’ordre ont été blessés, et 10 personnes ont été interpellées », a rapporté un porte-parole de la police. Peu avant 23 heures, la situation était redevenue calme.

Heurts à Ajaccio, Strasbourg et Rouen

A Ajaccio, quelques échauffourées ont éclaté après le coup de sifflet final entre supporters de l’équipe de France qui fêtaient la victoire, et des personnes affirmant soutenir la Croatie, ont rapporté les pompiers et les services de la préfecture. Il n’y a pas eu de blessés.

A Strasbourg ou à Rouen, des heurts sporadiques ont opposé jeunes et forces de l’ordre qui ont échangé projectiles et gaz lacrymogènes. Sept personnes ont été interpellées dans la capitale de la Seine-Maritime, a rapporté la préfecture.

Annecy en deuil

La victoire des Bleus a également été endeuillée par plusieurs accidents mortels. A Annecy, un quinquagénaire s’est tué en plongeant dans un canal, dans une trop faible profondeur d’eau. A Saint-Félix (Oise), un homme qui faisait la fête tout en conduisant, est mort après avoir encastré sa voiture dans un platane. Trois enfants, âgés de 3 et 6 ans, ont également été gravement blessés après avoir été percutés par une moto à Frouard (Meurthe-et-Moselle).

« Nous appelons chacun à être pleinement responsable de sa sécurité et de celle des autres pour que la fête soit belle jusqu’au bout », a déclaré à l’AFP, le porte-parole du ministre de l’intérieur.

Échauffourées à Stuttgart entre supporteurs croates et police - 15/07/2018

Source : https://www.dna.fr/

Quelque 7 000 supporters croates ont regardé la finale sur un grand axe au cœur de la capitale souabe, coupé à cet effet sur plusieurs centaines de mètres à la circulation. La fête qui s’ensuivit a brièvement dégénéré.

Les Croates du Bade-Wurtemberg étaient descendus dans la rue pour fêter l’exploit de leur équipe nationale d’arriver à ce stade de la compétition - quel que soit le résultat de la finale. Un petit nombre d’entre eux a gâché la fête en proférant des paroles fascistes et en affichant une gestuelle d’extrême droite, bras tendus à l’appui…

Le groupuscule d’extrémistes s’est livré une brève escarmouche avec les forces de l’ordre en les attaquant lorsque ces dernières étaient en train d’arrêter un manifestant. D’après le site internet de la Stuttgarter Zeitung, quelques supporters violents ont tenté de repousser les policiers.
Le calme est finalement revenu grâce à l'intervention de supporters croates non-violents. Ils ont formé une chaîne humaine, une espèce de mur, pour séparer les excités des policiers, avec succès.
Dans un premier bilan, la police évoque l’arrestation de 55 personnes, notamment pour jets de pétards et de pièces d’artifice. Cinq policiers ont été légèrement blessés.

Incidents après France-Croatie : 292 gardes à vue dans toute la France - 16/07/2018

Source : https://www.lci.fr/

Des incidents entre des casseurs et les forces de l’ordre ont éclaté un peu partout en France, notamment sur les Champs-Elysées à Paris, lors de la célébration de la victoire des Bleus.

Tout le monde n’aura pas été à la fête. Alors que la France célébrait dans la nuit de dimanche à lundi le titre mondial obtenu par ses Bleus, quelques débordements et accidents ont été enregistrés. Au total, 292 personnes ont été placées en garde à vue dans toute la France, a indiqué le ministère de l'Intérieur. Quarante-cinq policiers et gendarmes ont été blessés au cours d'incidents mais aucun ne l'a été gravement, a précisé le porte-parole du ministère de l'Intérieur, Frédéric de Lanouvelle à l'AFP.

A Annecy, un homme d’une cinquantaine d’année s’est tué en plongeant dans un canal, dont la faible profondeur lui a été fatale. Il s'est brisé la nuque. A Saint-Félix, dans l’Oise, un conducteur faisant la fête au volant a quant à lui perdu le contrôle de son véhicule et a percuté un arbre. Il n’a pas survécu. Trois enfants, âgés de trois à six ans, ont, eux, été fauchés par une moto à Frouard (Meurthe-et-Moselle), alors que la population étaient en liesse. Ils sont gravement blessés.

Casseurs sur les Champs-Elysées

A Paris, selon nos informations, le conducteur d’un deux-roues non-casqué est mort alors qu'il entrait, à contresens, sur le périphérique au niveau de la porte de Champerret. Il a percuté une voiture puis un autre deux-roues.

Profitant de l’exaltation du moment, des casseurs en ont aussi profité pour vandaliser et casser. A Paris, ces violences urbaines se sont principalement concentrées sur le secteur des Champs-Elysées ainsi que sur le pont d’Iéna. Le Drugstore Publicis a ainsi été pris pour cible et ses bouteilles de vin ou de champagne pillées. D'autres commerces ont été vandalisés (Kenzo, Adidas, Boutique PSG, Bistrot Romain…) et des kiosques à journaux ont été incendiés. Selon nos informations, 149 véhicules ont été incendiés et 23 personnes interpellées dans le cadre de violences urbaines en Île-de-France.

Le Préfet de police de Paris a évoqué dans une conférence de presse lundi matin 102 interpellations (regroupant les violences urbaines et les autres motifs) dans la capitale dont 90 personnes placées à garde à vue "essentiellement dans ce secteur central (Champs-Elysées)". Michel Delpuech a précisé qu'un "groupe de casseurs, pour ne pas dire de pilleurs, s’en sont pris à l’avenue et ses abords". Une douzaine d'enseignes sont concernées. Une personne participant à la rixe "opposant deux groupes individus violents" a été gravement blessée, a poursuivi le préfet de police de Paris.

"Au total, compte tenu de la foule présente (il évoque des centaines de milliers de personnes rassemblée sur les Champs), des risques inhérents et malgré des débordements inacceptables, on doit enregistrer un bilan mesuré", a-t-il estimé.

Paris : 31 personnes toujours en garde à vue après les incidents en marge des célébrations de la victoire des Bleus - 17/07/2018

Source : https://www.francetvinfo.fr/

Dans la capitale, des incidents ont eu lieu dimanche soir sur les Champs-Elysées, avec notamment le pillage de plusieurs magasins, dont le Drugstore Publicis.

Les gardes à vue ont été prolongées pour 31 personnes, dont huit mineurs, soupçonnées d'avoir pris part aux incidents à Paris en marge des célébrations de la victoire des Bleus au Mondial, a indiqué le parquet, lundi 16 juillet dans la soirée. Des incidents avaient éclaté dimanche soir aux abords des Champs-Elysées et plusieurs magasins ont été pillés, dont le Drugstore Publicis, alors que des centaines de milliers de personnes fêtaient la victoire des Bleus en finale de la Coupe du monde à Moscou.

Alors que la préfecture de police comptabilisait 90 placements en garde à vue dans la matinée de lundi, ce bilan a été révisé à la baisse pour atteindre un total de 57 gardes à vue, dont 13 concernant des mineurs. Selon le parquet, ce différentiel s'explique par le fait que ce comptage ne retient que les "infractions directement liées à la finale de la Coupe du monde de football", telles que des vols, des violences, des dégradations ou des faits d'outrages et rébellion aux forces de l'ordre, excluant par exemple d'autres délits comme certaines infractions routières.

Dans toute la France, 292 gardes à vue
Sur les 44 majeurs placés en garde à vue, neuf ont été libérés lundi sans être poursuivis en raison d'infractions insuffisamment caractérisées, tandis que 23 autres ont vu leur garde à vue prolongée lundi soir, certains soupçonnés d'être impliqués dans des scènes de pillages, d'après une source proche de l'enquête. Onze personnes vont par ailleurs être présentées à la justice en vue d'une éventuelle comparution immédiate devant le tribunal correctionnel. Un autre a enfin été convoqué devant le délégué du procureur qui pourrait lui notifier un stage de citoyenneté.

Huit mineurs étaient toujours entendus en garde à vue lundi soir. Deux autres vont être présentés au parquet pour d'éventuelles suites judiciaires et un mineur est par ailleurs convoqué devant le juge des enfants. Deux mineurs ont été relâchés pour infractions insuffisamment caractérisées.

Au total, 292 personnes ont été placées en garde à vue dans toute la France lors de cette nuit festive, émaillée par des échauffourées dans plusieurs grandes villes, comme Paris, Lyon ou Marseille. A Paris, une personne a été grièvement blessée et prise en charge par les secours en urgence absolue après un violent coup de casque reçu dans la tête au cours d'une rixe.

Calvados : incidents en marge de la Coupe du monde, une garde à vue toujours en cours- 17/07/2018

Source : http://www.europe1.fr/

À la suite d'incidents survenus dans la nuit de dimanche à lundi, lors des célébrations de la victoire des Bleus en Coupe du monde, une garde à vue est toujours en cours dans le Calvados.

Une garde à vue a été prolongée à Honfleur, dans le Calvados après des dégradations commises sur un commissariat en marge des célébrations de la victoire des Bleus en Coupe du monde, et une enquête est en cours concernant trois agressions ce même soir à Caen, a indiqué mardi la police.

La porte du commissariat brisée. À Honfleur, les policiers sont intervenus vers 1h40 dans le centre, près du commissariat, pour tenter de calmer un groupe d'une soixantaine de personnes alcoolisées qui faisaient du tapage avec des pétards et des porte-voix. "Les fonctionnaires de police ont été pris à partie et ont fait usage de gaz lacrymogènes. Ils ont reçu des projectiles. Une trentaine d'individus les ont suivis. Ils ont tenté de pénétrer dans le commissariat dont ils ont cassé la porte avec une barrière de sécurité", a déclaré Cédric Esson, directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) du Calvados. Cinq personnes ont été interpellées et une garde à vue est toujours en cours.

Trois supporters agressés.

À Caen, trois supporteurs de 19 et 22 ans ont été agressés par un groupe de cinq personnes, a indiqué Cédric Esson, précisant qu'une plainte avait été enregistrée. Une vidéo qui circule sur Facebook montre un homme se faisant frapper violemment au visage puis au corps, au sol, dans une rue du centre-ville. Au total, trois personnes ont été agressées, selon la police.

"Nous restons prudents car nous ne savons pas ce qui s'est passé avant ou après l'agression", a précisé Cédric Esson, qui évoque aussi un "certain nombre de rixes n'ayant pas donné lieu à de gros débordements", ainsi que des véhicules "secoués" et dégradés.

Argentine : levée de l'interdiction de déplacement des supporteurs - 18/07/2018

Source : http://www.europe1.fr/

Après cinq ans d'interdiction, les supporters argentins vont de nouveau pouvoir aller soutenir leurs clubs lors des déplacements en championnat. Dans un premier temps, seules 13 équipes sur 26 pourront accueillir des fans d'autres clubs.

Privés de déplacements pendant cinq ans, les supporteurs argentins pourront de nouveau encourager leur équipe quand elle jouera à l'extérieur en championnat, une mesure qui entrera progressivement en vigueur alors que la violence dans le football diminue.

Premier test avec la moitié des équipes. Le directeur de la sécurité sportive en Argentine, Guillermo Madero, a précisé que dans un premier temps, la moitié des 26 équipes de première division allaient accueillir les supporteurs d'autres clubs. Les cinq plus grands clubs du pays - Boca Juniors, River Plate, Independiente, Racing et San Lorenzo - attendront un peu avant d'ouvrir leur stade aux supporteurs adverses. Si les résultats sont bons, le quota de places dans le stade attribué aux visiteurs augmentera.

Le Fan ID, nouvel outil pour lutter contre les violences. La violence dans et autour des stades, qui a fait 90 morts depuis 10 ans, avait conduit les autorités argentines à interdire les déplacements de supporteurs. Autre nouveauté du championnat argentin, la création d'une "Fan ID", une carte d'identité du supporteur, qui devient nécessaire pour acheter les billets de match.

Lyon : La justice affiche sa fermeté après les scènes de pillage en marge de France-Croatie - 18/07/2018

Source : https://france3-regions.francetvinfo.fr/

Une vingtaine de prévenus, arrêtés dimanche en marge de la finale France-Croatie, pour des pillages de magasins, des vols avec effraction ou des actes de rébellion sur des policiers ont comparu mardi devant le tribunal correctionnel de Lyon. Les premières condamnations sont lourdes

Le tribunal correctionnel de Lyon a affiché sa fermeté mardi, alors que comparaissaient une vingtaine d'individus arrêtés pour la plupart en flagrant délit dimanche, après France-Croatie. Poursuivis les uns pour vols par effraction en réunion, d'autres pour vols ou recels, d'autre encore pour rébellion sur personne dépositaire de l'autorité publique, ils étaient accusés d'avoir pillé des magasins ou d'avoir commis des actes de violences juste après la victoire des Bleus. Les premières condamnations sont tombées en milieu d'après-midi. Prison ferme pour les récidivistes. Prison avec sursis ou travaux d'interêt général pour les autres.

"J'ai pas réfléchi "

Lenny H. est l'un des premiers à passer devant l'une des deux chambres correctionnelles réquisitionnées pour la circonstance. Ce villeurbannais, tout juste majeur, semble un peu éberlué, surpris de se trouver là devant des magistrats. Il reconnaît le vol d'un portefeuille de marque dans une vitrine du Printemps, qui avait déjà été préalablement défoncée."J'ai pas réfléchi", explique Lenny, qui n'a encore jamais été condamné.

Le procureur décrit une soirée de fête, où des opportunistes profitent de l'allégresse générale pour dévaliser les magasins. Il réclame 6 mois d'emprisonnement dont 4 mois avec sursis. "Ce réquisitoire me paraît excessif" dit son avocate, qui explique qu' "il ne faudrait pas qu"il porte sur ses épaules tout ce contexte". Le tribunal le condamne à 4 mois de prison avec sursis ou 160 heures de travaux d'interêt général.

"C'est pas moi !"

Au tour de Sofiane S de comparaître. Pour lui, ca va être plus compliqué. Il a été interpellé à 23h30 après avoir lancé une bouteille sur les forces de l'ordre. Avec son polo très voyant, il a été formellement reconnu par un policier, qui l'a même suivi pour faciliter son arrestation. "Il a dû se tromper, c'est pas moi" répond -il. Mais son passé judiciaire ne plaide pas en sa faveur. Déjà neuf condamnations, dont une en janvier 2016 pour des faits identiques.

Le procureur enfonce le clou : "On assiste à des violences commises par une minorité qui prend en otage la foule pour mener une véritable guérilla urbaine". Il requiert 8 mois d'emprisonnement et un retour direct à la case prison .D'autant plus qu'il n'a pas respecté son suivi judiciaire. Dans une plaidoirie très structurée, la défense souligne que le témoignage du seul policier est sujet à caution et qu'il n'est corroboré par aucun autre. Le tribunal condamne en définitive Sofiane S. à 4 mois de prison ferme avec mandat de dépôt. "Là, tout de suite?" demande -t-il . Lui non plus n'a pas encore tout compris.

"Un cadeau de la rue"

Les affaires s'enchaînent. Trois jeunes hommes, 26 ans et 23 ans, font leur entrée dans la cage vitrée. Entourés par de nombreux policiers, deux d'entre eux semblent familiers des tribunaux. Jounaïd S.et Foued L. ont déjà fait de la prison."J'en suis pas fier" dit en préambule Foued, comme pour amadouer le président : A 26 ans ,il a déjà à son actif 19 condamnations. Mais il ne veut surtout pas retourner en prison. C'est sa hantise.

Avec un troisième larron, Saïd G, ils voulaient simplement, expliquent - ils," fêter la victoire" et rentrer chez eux à Givors par le premier train. Ils ont beaucoup bu et prétendent avoir trouvé dans la rue des maillots "Lacoste", abandonnés là. "Un cadeau de la rue", selon une formule poétique qui prête à sourire. Ils essaient quand même les vêtements quand une patrouille de police survient et les surprend, la main dans le sac . "Je ne savais pas qu'on ne pouvait pas ramasser simplement un pull sur le sol" explique maladroitement Saïd.

Le procureur le reprend : "Il ne s'agissait pas d'un cadeau de la rue mais bien de vêtements volés avec des antivols et des étiquettes arrachées (...) Vous ne pouvez nier leur origine". Rien ne permet pourtant d'établir que les trois compères sont à l'origine du pillage du magasin. Les faits sont donc requalifiés en "vol simple".

Le procureur requiert 4 mois de prison ferme pour les deux récidivistes, de la prison avec sursis pour le troisième, qui n'a pas de casier judiciaire. La défense essaiera bien d'établir que "l'infraction de vol n'est pas constituée" mais le tribunal passe outre. Jounaïd S. et Foued L. écopent de deux mois de prison ferme, Saïd L. de quatre mois de prison avec sursis ou 160 heures de travaux d' interêt général.

Derrière la vitre, Foued L. interpelle le président du tribunal : "J'ai pas compris ma peine". Il répète à qui veut l'entendre qu'il ne veut pas repartir à la prison de Villefranche, dont il est ressorti il y a un an. Vingtième condamnation. Il dormira pourtant ce soir en prison.

Un peu plus tard, dans une autre salle d' audience, Jacques, 20 ans, lyonnais d'origine camerounaise, est condamné à 8 mois de prison ferme. Il a jeté une bouteille sur un policier municipal alors que celui-ci portait assistance à une personne victime d'une crise d'épilepsie. De retour sur les lieux de son forfait, l'agresseur finira pas être identifié et arrêté.

Deux jours après les faits, la justice a affiché ostensiblement sa fermeté et puni sans tarder les auteurs des violences commises à Lyon à l'occasion de la finale de la Coupe du Monde.

À Paris, le procès des «casseurs» de la finale du Mondial, sans «casseurs» - 18/07/2018

Source : http://www.leparisien.fr/

À la suite des débordements sur les Champs-Elysées, après la finale de dimanche, quelques personnes se sont retrouvées en comparution immédiate, ce mercredi.

Un tee-shirt un peu trop grand pour lui, ses cheveux mi-longs retenus en catogan, Yanis comparaissait, ce mercredi, en comparution immédiate au tribunal de Paris (XVIIe). « J’ai été pris dans l’euphorie du match, j’ai été bête », se justifie-t-il, la voix tremblotante.

Le 15 juillet, ce jeune homme de 19 ans a été interpellé vers 23 heures sur les Champs-Elysées (VIIIe), devant le magasin Grand Optical qui venait d’être pillé. Ses poches contenaient six paires de lunettes de soleil, toujours sous antivol.

« Vous êtes tous au courant que la foule est allée aux Champs-Elysées pour fêter la Coupe du monde et qu’il y a eu des dégradations, déclare la présidente. Aujourd’hui, nous avons les suites. » Une douzaine d’enseignes ont ainsi été saccagées à Paris et près de 90 personnes ont été placées en garde à vue. Selon le parquet, 14 individus ont fini par être déférés devant le juge.

Bac avec mention

« Les casseurs, on ne les voit pas aujourd’hui, ils ont dû être un peu plus malins que vous », ironise la présidente en faisant des gros yeux à Yanis, qui détourne immédiatement le regard. En lisant son enquête sociale, elle soupire. Sur le papier, le jeune homme n’a « rien d’un multirécidiviste » : casier vierge, bac avec mention, en deuxième année de BTS de gestion immobilière…

« Et en plus vous êtes en bonne santé, c’est vraiment dommage de vous voir dans ce boxe, vous auriez pu l’éviter », le tance-t-elle. Pour le procureur : « C’est incroyable de voir ces gens intégrés commettre de tels délits. Qu’on ne nous dise pas que c’est normal, l’alcool ne justifie pas ces actes ! »

Des verres de trop

De son côté, Sofiane, 23 ans, l’avoue tout de suite, il avait bu quelques verres de trop. Comme Yanis, il a été arrêté sur les Champs aux alentours de 23 heures. Il sortait du magasin Piaggio, mais sur un scooter volé. Les forces de l’ordre ont également trouvé un téléphone volé sur lui. « Je me reconnais pas dans ce que j’ai fait, assure-t-il. Voir la France gagner la Coupe du monde, c’était un truc de malade, alors oui, j’ai bu mais je suis honnête… » La présidente lève de nouveau les yeux au ciel : « Avec votre salaire, vous avez les moyens de vous payer un scooter quand même… »

Plus tard dans l’après-midi, c’est au tour de Mokhram. Ce père de famille franco-algérien a jeté une bouteille en verre, une canette et un briquet sur trois policiers, sans les blesser. « J’ai vu de la cohue, j’ai voulu y prendre part », explique-t-il, avant de raconter chercher actuellement « un désenvoûteur ».

Yanis a été condamné à 1 000 € d’amende, Sofiane a écopé de 6 mois avec sursis et Mokhram a été condamné à trois mois de prison avec sursis. « A la prochaine Coupe du monde, restez chez vous », conclut la présidente, d’un ton sentencieux.

Bruxelles: deux supporters du Maroc jugés le 30 juillet prochain - 18/07/2018

Source : http://www.lacapitale.be/

Deux supporters de l’équipe nationale de football marocaine, prévenus pour coups et blessures sur des policiers le 20 juin dernier, seront jugés le 30 juillet prochain devant le tribunal correctionnel de Bruxelles. Ils avaient été arrêtés avenue de Stalingrad à Bruxelles, à l’issue du match de Coupe du Monde Maroc-Portugal, soupçonnés d’avoir agressé deux inspecteurs de police.

Lyon : la police des polices enquête sur un tir de flash-ball qui a grièvement blessé un supporterl - 19/07/2018

Source :https://france3-regions.francetvinfo.fr/

Une enquête a été ouverte par la police des polices après qu'un mineur ait été grièvement blessé par un tir de flash-ball dimanche, juste après la retransmission du match France-Croatie à Lyon. Le jeune homme a perdu son œil. Il reconnaît avoir lancé des projectiles contre les forces de l'ordre.

J.D., 17 ans, a perdu un œil, son œil gauche, dimanche dans les incidents qui ont immédiatement suivi la fin de la retransmission France-Croatie dimanche à Lyon. L'IGPN, l'Inspection Générale de la Police Nationale, a aussitôt été saisie. Le jeune homme a reçu un tir de flash-ball en plein visage.

J.D. aura 18 ans le 26 juillet prochain. Et l'anniversaire de la victoire des Bleus aura pour lui, chaque année, le goût amer d'une infirmité permanente. J.D. se trouvait au pied de la statue de Louis XIV quand il a reçu un projectile en plein visage. Sans doute une balle en caoutchouc tirée par les forces de l'ordre.  Etait-il visé personnellement ou a -t-il été assimilé à un groupe de supporters qui balançait des bouteilles de bière vides sur la police ?

L'enquête de la police des polices, les témoignages recueillis et les vidéos qui circulent ici et là sur les réseaux sociaux devraient permettre de mieux comprendre ce qui s'est passé. J.D., encore sous le choc, a témoigné sur son lit d'hôpital. Il ne sera pas opéré tout de suite. La gravité de ses blessures suppose l'intervention d'un chirurgien spécialisé dans la reconstruction faciale.

L'orbite éclatée, J.D. a quand même pu expliquer aux policiers les moments qui ont précédé sa blessure. Des tirs de gaz lacrymogène par la police , un mouvement de panique, et ce dernier moment où il porte assistance à une maman en difficulté avec sa poussette. Et c'est là qu'il se retourne pour être frappé en plein visage. Joachim a aussi reconnu qu'il avait lancé lui-même des projectiles. Ce qui lui a peut-être valu d'être repéré, compte tenu de sa grande taille, et ciblé à son tour par les forces de l'ordre.

Son avocat, Me Tallent a déposé plainte contre X, lundi au commissariat d' Oullins. Le cabinet d'avocats procède actuellement à la collecte de tous les éléments visuels (photos et vidéos) qui permettront de reconstituer la scène. De source proche de l'enquête, on affirme que cette affaire est prise très au sérieux et qu'on procède à des investigations approfondies. En soulignant que les faits dont s'est rendue coupable la victime sont "pénalement répréhensibles".  

Marseille : l'étonnant profil des "casseurs" du Mondial - 19/07/2018

Source : https://www.laprovence.com/

Un cuisinier et un paysagiste de 23 ans ont été condamnés à cinq et trois mois de prison pour violence lors des échauffourées après la victoire des Bleus

Loin du profil des bandits de grand chemin, deux hommes comparaissaient hier soir au tribunal correctionnel de Marseille pour violence sur policiers. Pas n'importe quand. Ils se sont "illustrés" lors des célébrations dimanche dernier de la victoire de l'équipe de France de football au Mondial en Russie. Quand le ballon rond ne fait pas tourner très rond les supporters. À moins qu'ils ne soient complètement ronds...

Le cuisinier trop alcoolisé

Prenez par exemple, Clément 23 ans. Pas celui d'Antibes pour les connaisseurs mais celui d'Aix. Pour ce cuisinier formé dans les plus grandes tables de Paris, la finale devait se suivre depuis la fan zone du parc Chanot. Arrivé trop tardivement, il se redirige vers un bar à proximité du Vélodrome. Sur le terrain, les Bleus détonnent. Clément siphonne. "Une dizaine de bières", dira-t-il l'air penaud, dans le box des accusés. La fête se prolonge sur le Vieux-Port sur les coups de 23 h.

Ici et là, des échauffourées ont déjà commencé. Des policiers assistent des marins-pompiers en intervention. Clément ne trouve rien de mieux que de leur lancer une canette de bière. En garde à vue, il le reconnaît : "Je ne sais pas ce qui m'a pris." À la barre, il poursuit : "Je regrette. Je ne me reconnais pas." La présidente Estelle De Revel reste perplexe. Tâche de comprendre. "J'ai été pris dans le mouvement de foule", bégaie l'accusé actuellement en congés. Avant de juger, la présidente l'invite à "retourner à Paris" pour travailler.

Dans son réquisitoire, le procureur va dans le même sens. Se dit "surpris" du profil sans toutefois lui trouver de circonstances atténuantes. L'avocat de Clément, Me David Layani, tentera d'en trouver. "Comme le dit mon client, il se serait lui-même mis des baffes. On aurait pu le voir à Top Chef, on le voit ici au tribunal. Mais il va retravailler", plaide-t-il. Le hic, c'est la condamnation en sursis de son client pour une autre affaire de violence. Le tribunal prend en compte cet élément et le condamne à cinq mois de prison. Peine aménageable.

Le paysagiste trop proche des pierres

Dès son arrivée au tribunal, Rudy transpire le foot. Son maillot de l'OM sur le dos en est la meilleure illustration. Par correction, il le retournera pour ne pas afficher en gros le sponsor d'un géant de la communication. La communication du jeune homme de 23 ans, ce n'est justement pas trop son fort. Paysagiste en CDI, il vit chez sa mère. Le soir de la finale, il se trouve dans le secteur du rond-point du Prado. Les faits sont simples. Il trouve une pierre et la jette en direction des policiers. "Voilà, voilà", souffle dépitée la présidente impatiente d'en connaître les raisons. "Une heure avant je m'étais disputé avec un policier", avance-t-il. Aïe, les faits ne sont pas consignés dans le rapport. Rien ne prouve ses dires. Pas le meilleur argument pour se défendre, songe son conseil, Me Layani. Il serre les dents. Le match pour le défendre s'annonce corsé d'autant que son client n'est pas très loquace. "Impénétrable", qualifie même Estelle De Revel. Une forme de "pudeur", défend son avocat qui trouve l'ouverture juste après. La relation du prévenu avec sa mère est évoquée. L'assistance, l'aide du jeune homme au domicile familial, est assurée. Rudy fend l'armure. Une larme s'échappe. La preuve, selon l'avocat, de ses regrets. L'argument semble faire mouche. Il est condamné à une peine de trois mois réaménageable. La case prison devrait pour lui aussi être évitée.

Legia Varsovie - Cork City - 17/07/2018

Source : https://www.irishexaminer.com/

50 à 60 supporters irlandais ont eu maille à partir avec la sécurité du Pub "British Bulldog". Les supporters ont indiqué avoir été gazés sans raison.

FK Shkupi - Glasgow Rangers - 17/07/2018

Source : Mail

Sur leur trajet pour rejoindre la Macédoine, des supporters des Rangers ont été attaqué à Thessalonique, par des hooligans du PAOK.

Rangers fans à Skopje

Petrocub Hînceşti - NK Osijek- 17/07/2018

Source : Mail

Osijek fans en Moldavie

Reims - Lille OSC - 14/07/2018

Source : Mail

LOSC Youth

Suède free-fight - 21/07/2018

Source : Mail

Göteborg Youth (rouge) vs Djurgården Youth (noir)
13x13
2 min
Victoire Göteborg

Fiorentina - Venise - Amical - 21/07/2018

Source : http://www.ladige.it/

Des incidents ont opposé les Ultras des deux équipes à Moena. Il y a eu deux blessés dans les rangs de Venise. La police est intervenue.

Free-fight - 22/07/2018

Source : Mail

Frankfurt (Allemagne) vs Basel (Suisse)
17x17
Violent affrontement, après 3min victoire de Basel

Allemagne free-fight - 22/07/2018

Source : Mail

Dortmund & Köln vs Hertha BSC
20x20
1,30 min.
Victoire Köln & Dortmund

Villareal - OM - Amical - 21/07/2018

Source : https://www.footballclubdemarseille.fr/

UN SUPPORTER MARSEILLAIS INTERPELLÉ…

L’Olympique de Marseille disputait samedi un match amical face à Villareal (1-1).

Dans les tribunes, ça a un peu chauffé notamment lors de l’entrée des supporters marseillais en début de match. La Provence nous annonce aujourd’hui qu’un homme de 36 ans originaire de Rognac (Bouches-du-Rhône) a été interpellé et placé en garde en vue.

Il est ressorti accompagné d’une convocation pour outrage et rébellion.

France - 21/07/2018

Source : Mail

Strasbourg Offender & Brizak Nancy

Europa League: l'OM, menacé d'exclusion par l'UEFA, jouera son prochain match à huis clos - 25/07/2018

Source : https://www.ladepeche.fr/

Epinglé pour les incidents ayant émaillé sa dernière campagne européenne, l'Olympique de Marseille a écopé mercredi d'une exclusion d'un an de toute compétition européenne en cas de récidive durant les deux prochaines saisons, et jouera son prochain match d'Europa League à huis clos, a annoncé l'UEFA.



La commission de discipline de l'UEFA a décidé "d'exclure l'Olympique de Marseille de sa participation à la prochaine compétition de l'UEFA pour laquelle il se qualifiera. Cette exclusion est suspendue à une période probatoire de deux ans", écrit l'UEFA dans un communiqué.

L'OM, dont les supporters devront tempérer leurs ardeurs pendant deux ans sous peine de voir leur club exclu de Ligue des champions ou d'Europa League pendant une saison, évoluera lors de son prochain match de C3 au Vélodrome à "huis clos", sanctionné par l'UEFA pour les incidents ayant eu lieu en marge des matches contre Leipzig en quart de finale à domicile, Salzbourg en demi-finale (aller et retour), ainsi que lors de la finale perdue contre l'Atlético Madrid en mai dernier au Groupama Stadium de Lyon.

L'UEFA a retenu les charges de "perturbations dans le public", "actes de vandalisme", "allumage de fumigènes", "jet d'objets" et "coup d'envoi retardé".

"Un huis clos partiel" du Vélodrome, avec la fermeture des virages nord et sud, sera aussi établi lors d'un second match de C3 à domicile, et l'OM devra payer une amende de 100.000 euros, ordonne l'UEFA.

"Ca serait bien qu'on ne soit pas exclu, il va falloir qu'on rentre dans les clous", a réagi l'entraîneur de l'OM, Rudi Garcia, après le match amical perdu contre le Betis Séville (3-2) à Faro (Portugal).

"On sait que l'UEFA est très sévère, à juste titre, a-t-il ajouté, on a besoin de nos supporters, si on ne les a pas pour la 1re journée d'Europa League c'est déjà très négatif".

Pour Garcia, "il va falloir que tout le monde prenne ses responsabilités pour qu'on puisse jouer dans un stade Vélodrome plein".

Enfin, Marseille est enjoint, dans les 30 prochains jours, de "contacter l'Olympique lyonnais, dans le stade duquel a eu lieu la finale de l'Europa League, dans le but de payer pour les dommages causés par ses supporters", conclut l'organe suprême du football européen.

L'OL avait porté plainte pour de multiples "dégradations" après la finale, constatant notamment que "105 sièges avaient été dégradés, qu'une caméra de surveillance, des néons et des distributeurs de savon et de papier dans les toilettes avaient été arrachés", selon les explications du responsable de la gestion du Groupama Stadium à l'AFP.

Le soir de la finale, remportée 3-0 par l'Atlético, 21 personnes dont 18 supporters marseillais avaient été interpellées, principalement pour des violences et des dégradations en marge du match, ainsi que pour l'utilisation de fumigènes.

Ajax Amsterdam - Sturm Graz - 25/07/2018

Source : https://sportnieuws.nl/

2.000 Graz fans à Amsterdam