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| Saison 17/18 - Décembre | |
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UFW Maltchickers Leader
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Sun Dec 17, 2017 5:57 am | |
| Slovaquie: Free Fight - 17/12/2017Source : mail Spartak Trnava vs Slovan Bratislava 10 vs 10 Moins de 22ans Victoire Slovan Spartak Slovan | |
| | | UFW Maltchickers Leader
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Sun Dec 17, 2017 9:16 pm | |
| ASSE : Romeyer lance un appel au calme auprès des supporters !- 17/12/2017Source : https://le10sport.com/ Suite à la large défaite concédée par l’ASSE vendredi soir à domicile contre l’AS Monaco, des débordements ont éclaté autour de Geoffroy-Guichard. Roland Romeyer, le président du directoire des Verts, envoie un message fort aux supporters.C’est la crise à l’ASSE. La formation de Julien Sablé reste sur neuf matchs de rang sans le moindre succès en Ligue 1, et a subi une cinglante défaite vendredi soir à domicile contre l’AS Monaco (0-4). Après la rencontre, de violents affrontements ont éclaté autour de l’enceinte de Geoffroy-Guichard entre des supporters de l’ASSE et les forces de l’ordre. Roland Romeyer, interrogé dans les colonnes de L’Equipe, lance un appel au calme. « C’est très grave » « Ces affrontements d'une telle violence, avec sept policiers blessés dont un avec une main très abîmée, m'ont vraiment choqué. Je suis déçu du comportement des ultras. Ça me rend triste car Saint-Étienne, ce n'est pas ça. Je ne reconnais plus mon club. Au niveau de l'image, il a pris un sacré coup. Y compris à cause de mon attitude, que je regrette. C'est pourquoi je lance un appel au calme et à la raison. Nous sommes tous malheureux. Les joueurs ont besoin de sérénité et de confiance car tout part du terrain. Or, elles n'y sont plus et c'est pour ça qu'on ne reconnaît plus les joueurs. Ils jouent avec le frein à main et la peur, la peur, la peur…. C'est très grave », explique le président du directoire de l’ASSE. | |
| | | UFW Maltchickers Leader
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Mon Dec 18, 2017 9:04 pm | |
| ASSE : le Préfet de la Loire part en guerre contre les supporters des Verts - 18/12/2017Source : http://www.butfootballclub.fr/ Quelques jours après les incidents intervenus en marge de ASSE – AS Monaco (0-4), le Préfet de la Loire a répondu à ces derniers qui ont accusé les autorités d’avoir provoqué ce tohu-bohu.Evence Richard est en colère car il se sent stigmatisé depuis les incidents ayant eu lieu vendredi soir en marge du match entre l’ASSE et l’AS Monaco. Rappelant que ces violences ont engendré cinq blessés chez les forces de l’ordre et dix chez les stadiers, le Préfet de la Loire a fait savoir qu’il ne voyait pas comment il pourrait renouer le dialogue avec ces supporters dont il juge l’attitude consternante. « Je ne suis pas certain qu’un dialogue rapproche les positions » « Les ultras sont venus cagoulés dans le but de ne pas être reconnus. Cela sera difficile mais nous ferons tout ce qui est possible pour retrouver les fautifs (…) J’ai le sentiment qu’on n’habite pas la même planète. Ils ne comprennent pas la position de l’Etat et je ne suis pas certain qu’un dialogue rapproche les positions », a prévenu le Préfet de la Loire dont les propos sont relayés par Foot01. | |
| | | UFW Maltchickers Leader
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Mon Dec 18, 2017 11:49 pm | |
| France: En dehors des 600 supporters autorisés, les fans et maillots strasbourgeois interdits à Metz - 19/12/2017
Source : http://www.20minutes.fr/
Ainsi que le rappelle le FC Metz en relayant l'arrêté préfectoral, le déplacement des supporters strasbourgeois en Moselle ce mercredi est restreint aux 600 personnes venues en bus et encadrés par les policiers...
L’arrêté préfectoral encadrant le déplacement des supporters strasbourgeois en Moselle pour la rencontre de la 19e journée de Ligue 1 ce mercredi soir (20h50) est daté du 5 décembre. Mais il a été publié sur le Web vendredi 15 décembre. Afin de le faire respecter, le FC Metz l’a également relayé ce lundi sur son site Internet.
Intitulé « Metz - Strasbourg, signes distinctifs interdits », l’article rappelle que l’arrêté du préfet de la Moselle interdit le déplacement aux Strasbourgeois (en dehors des 600 supporters du déplacement officiel venus en bus et encadrés par les forces de l’ordre) au stade Saint-Symphorien et dans plusieurs zones de la ville, entre 8h et 3h du matin.
« En conséquence […], il est interdit de se rendre au Stade Saint-Symphorien vêtu d’un maillot, d’une écharpe ou de tout signe distinctif du RC Strasbourg Alsace. En dehors des 600 supporters strasbourgeois […], les forces de l’ordre demanderont à chaque personne vêtue d’un vêtement ou accessoire aux couleurs du RCSA de le retirer. »
Un « antagonisme historique » mis en avant par la préfecture
Dans cet arrêté, la préfecture de Moselle parle notamment d’un « contentieux actuel entre les différents groupes de supporters ultras du FC Metz », d’un « antagonisme historique », de « rixe(s) » par le passé, en 2007, 2008 et 2009 (mais aussi d’une « rencontre sans incident » en 2006 !) en guise de justifications de ces mesures restrictives.
C’est la deuxième fois, cette saison, que les supporters alsaciens voient d’ailleurs un de leurs déplacements restreints puisque, de la même manière, seulement 700 d’entre eux, venus dans des conditions similaires, avaient été autorisés à se rendre à Saint-Etienne en novembre. Il en avait notamment été de même pour la venue de Marseille à la Meinau. | |
| | | UFW Maltchickers Leader
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Wed Dec 20, 2017 9:06 pm | |
| Lille OSC - OGC Nice - 20/12/2017Source : http://www.lavoixdunord.fr/ Les DVE ont tenté d’envahir le terrainPendant 30 minutes, cette rencontre a semblé comme annihilée par la colère qui grondait en tribune. Les supporters lillois avaient annoncé la grève des encouragements pour manifester leur mécontentement. Ils sont allés plus loin que ça, en tentant d’envahir le terrain. Les DVE ont été bloqués par le service de sécurité du LOSC juste derrière les bancs de touche des joueurs nordistes. « Assumez vos conneries », « Respectez notre club », ils ont pendant une dizaine de minutes multiplié les chants et affiché leur mécontentement envers les joueurs et la direction du club. Avant de rebrousser chemin et de regagner leur place habituelle, derrière le but. Les Ultras lillois ont aussi rejoint ceux qui avaient exprimé plus calmement leur frustration en haut des coursives. Pendant leur absence, une large banderole « Vous salissez notre club » avait été déployée pour occuper l’espace vide. Ambiance délétère On retiendra surtout que cette soirée s’est déroulée dans une ambiance délétère. Les Lillois ont été hués lors de leur présentation et de leur entrée sur la pelouse. Ils ont aussi été fortement sifflés en regagnant les vestiaires à la pause. Régulièrement, des « mouillez le maillot » ont été repris par les différents groupes de supporters. | |
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Wed Dec 20, 2017 9:07 pm | |
| France: La Cour de cassation relance la procédure contre deux supporters du SC Bastia - 20/12/2017
Source : https://www.lequipe.fr/
La Cour de cassation a relancé mercredi la procédure contre deux jeunes supporters de Bastia (SCB), interpellés après la découverte d'engins explosifs artisanaux lors d'une manifestation en février 2016.
Julien Muselli et Adrien Matarise avaient été interpellés après la découverte d'une dizaine de grenades artisanales, en l'occurrence des boules de pétanque évidées et remplies de matière explosive, près de la préfecture de Haute-Corse à Bastia lors d'une manifestation le 20 février 2016. Ils sont mis en examen pour «fabrication, détention et transport» d'explosifs et «association de malfaiteurs en vue de commettre des délits».
Leur défense avait déposé une requête en nullité de la procédure concernant la récupération des pièces à conviction dans ce dossier, requête à laquelle avait accédé, en mars, la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Bastia, en annulant cette procédure. Les deux hommes avaient alors été remis en liberté. Mais le parquet général avait formé un pourvoi et, mercredi, la Cour de cassation a annulé la décision de la cour d'appel de Bastia et renvoyé l'affaire, pour un nouvel examen, devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence. | |
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Wed Dec 20, 2017 9:09 pm | |
| France: Le policier avait été pris à partie et frappé, deux supporters du RC Lens interdits de stade - 20/12/2017
Source : http://www.lavoixdunord.fr/
Après la rencontre de Ligue 2 qui opposait Lens à Ajaccio le mardi 28 novembre, un groupe d’une cinquantaine de supporters Lensois a tenté de s’opposer, de façon musclée, à l’interpellation de spectateurs porteurs de fumigènes. Deux d’entre eux comparaissaient ce mercredi devant le tribunal de Béthune.
Ce mercredi après-midi, deux supporters du Racing Club de Lens comparaissaient devant le tribunal de Béthune pour des faits de rébellion en réunion commis le 28 novembre lors de la rencontre de Ligue 2 qui opposait Lens à Ajaccio, au stade Bollaert-Delelis. À la fin du match, un policier avait tenté d’interpeller un individu en possession, pourtant proscrite, de fumigènes.
Le policier pris à partie par une cinquantaine de personnes
Un groupe d’une cinquantaine de supporters s’est alors formé autour de l’individu et le policier a été pris à partie. Mis au sol, l’agent a reçu des coups, tandis que les supporters aidaient le second individu à se relever et à prendre la fuite. Un second mouvement de foule s’est ensuite formé lorsque le brigadier a voulu interpeller un étudiant de 19 ans qu’il reconnaissait comme lui ayant asséné un coup de pied au niveau du tibia. « Je savais que si je me faisais interpeller, j’allais aller en garde à vue ; je ne voulais pas avoir de casier judiciaire », a expliqué le jeune homme lors de son audition durant laquelle il s’est défendu d’être l’auteur du coup de pied.
Ce mercredi à l’audience, le jeune prévenu a exprimé sa volonté de rejoindre l’armée, un projet qui requiert l’absence de mention au casier judiciaire. C’est pourquoi, lorsque le brigadier s’est approché pour l’interpeller, il a tenté de prendre la fuite avant de se retrouver projeté au sol en compagnie du policier, assure-t-il.
Une jeune femme également à la barre
Le second prévenu de cette affaire est une femme âgée de 26 ans. D’après les déclarations du policier, celle-ci l’aurait injurié, le tenant par la manche et criant à l’étudiant de s’enfuir. Ce que la jeune femme a nié lors de son audition et qu’elle niait toujours devant le tribunal. « Je m’apprêtais à quitter le stade lorsque je me suis retrouvée, malgré moi, dans le mouvement de foule », explique-t-elle devant le tribunal. Si elle reconnaît avoir crié à quelqu’un de partir, elle assure s’être adressée à la personne qui se trouvait alors sur elle, qu’elle identifie comme étant le brigadier.
Le procureur de la République a requis une peine de trois mois d’emprisonnement avec sursis pour les deux prévenus, assortie d’une interdiction de stade pour une durée de 1 an. Le jeune a finalement été condamné à 2 mois d’emprisonnement avec sursis, assortis d’une interdiction de stade de 1 an. La jeune femme écope de 3 mois d’emprisonnement avec sursis, et une interdiction de stade de 2 ans. | |
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Thu Dec 21, 2017 10:03 pm | |
| Bristol City - Manchester United - League Cup - 21/12/2017Source : http://www.sports.fr/ La folie à Bristol après l’élimination de MUTroisième du Championship, le deuxième échelon anglais, Bristol City a fait sensation mercredi soir en éliminant Manchester United, le tenant du titre, en quarts de finale de la League Cup (2-1). Le but vainqueur, signé Korey Smith à la 93e minute, a déclenché la folie dans l’Ashton Gate Stadium, dont les fans des Robins ont envahi la pelouse au coup de sifflet final. La police a formé un cordon pour éviter un contact avec les fans de MU. Il y a eu quelques arrestations. | |
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Thu Dec 21, 2017 11:42 pm | |
| FC Bruges - RSC Anderlecht - 17/12/2017
Source : https://www.walfoot.be/fr
La police a réussi à éviter un affrontement entre supporters brugeois et anderlechtois
Un deuxième Topper a failli avoir lieu après Bruges-Anderlecht mais entre les supporters. Heureusement, la police avait prévu le coup et l'affrontement a pu être évité.
Un groupe de supporters anderlechtois a annulé au dernier moment une bagarre organisée avec les supporters du Club de Bruges dimanche après le Topper. Ils avaient choisi le marché de Noël de Wetteren comme terrain de bataille. Avant le match, de nombreux messages apparaissaient sur les réseaux sociaux pour ce rendez-vous à Wetteren.
Les forces de l'ordre bien présente
Mais les forces de l'ordre ont été mise au courant de cet affrontement et ils ont pris les devant: canons à eaux, un groupe d'intervention, une surveillance supplémentaire dans le centre... La police a tout bloqué: la gare de Wetteren, le marché, ainsi que les principales voies d'accès était remplies de forces de l'ordre prêtes à intervenir. Et quand les supporters d'Anderlecht ont entendu ça, ils se sont résignés. La police, elle, est restée en standby. | |
| | | UFW Maltchickers Leader
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Fri Dec 22, 2017 9:40 pm | |
| France : Le déplacement des supporters nîmois limité à 500 pour Saint-Étienne ! - 22/12/2017
Source : http://www.midilibre.fr/
U n arrêté préfectoral restreint le déplacement des supporters de Nîmes Olympique au stade Geoffroy-Guichard, le 7 janvier prochain pour le match de coupe de France.
Il pourrait être l'un des plus gros déplacements de l'histoire de Nîmes Olympique. Près de 1 000 Nîmois devraient se rendre au stade Geoffroy-Guichard à l'occasion du 32e de finale de la coupe de France contre l'AS Saint-Étienne, le 7 janvier 2018 à 14 h 15.
Pourtant, la préfecture de la Loire a publié ce vendredi midi un arrêté interdisant le déplacement des fans nîmois, excepté pour 500 personnes en tribune visiteuse et encadrées par une escorte policière. Une décision qui ne change en rien l'opinion des groupes de supporters qui comptent tout de même partir avec les 17 bus initialement prévus. | |
| | | UFW Maltchickers Leader
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Fri Dec 22, 2017 9:44 pm | |
| Flamengo (Brésil) - Independiente (Argentine) - Copa Nissan Sudamericana - 14/12/2017Source : http://www.geosuper.tv/ La police brésilien a interpellé des dizaines de supporters de Flamengo qui voulaient attaquer l’hôtel des joueurs argentins d'Independiente. Les supporters ont lancé des fumigènes et tiré des fusées sur l'Hotel Hilton. Traduction Underground Fans | |
| | | UFW Maltchickers Leader
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Sun Dec 24, 2017 12:56 am | |
| « Le stade est un laboratoire de la répression » - 21/12/2017Source : http://www.sofoot.com/ Sébastien Louis vit le rêve de pas mal de mordus de foot : mélanger son boulot et sa passion. Ancien membre du Commando Ultra à Marseille, ce Luxembourgeois s'est penché sur les ultras par le biais de ses études d'histoire, pour ne plus jamais les lâcher. Ce sujet l'a évidemment conduit en Italie, en Grèce ou en Algérie à la rencontre de centaines d'ultras. Il vient de publier Ultras - les autres protagonistes du football, un ouvrage important sur la question, où il revient sur la naissance du mouvement, analyse ses interactions avec l'univers politique et donne accès à de nombreux entretiens. Rencontre avec un historien des tribunes, qui ne regarde pas beaucoup le ballon quand il va au stade.Comment est né votre intérêt pour les ultras ?La première fois que je me suis rendu au stade, adolescent, j’ai remarqué ces supporters qui exprimaient par leur comportement l’essence même de la passion. Par la suite, mon éveil intellectuel s’est fait grâce à deux ouvrages : le premier est Génération Supporter. Cette bible sur le sujet a éveillé ma curiosité et m’a donné envie de comprendre quelles étaient les raisons qui faisaient que des jeunes gens s’unissaient derrière une banderole et soutenaient de manière extrême et radicale leur club. Le second, qui m’a permis d’avoir une approche plus scientifique est Le match de football de Christian Bromberger. Cet ouvrage ethnologique est encore une référence aujourd’hui. J’étais moi-même membre du Commando Ultra 84 (de 1994 à 2007), j’avais un certain regard sur les pratiques qui se déroulaient dans les tribunes françaises et sur ce qui se faisait en Italie, où je me rendais régulièrement. À partir de 2001, j’ai décidé de travailler sur la question des ultras pour mon mémoire en histoire. Il n’y avait eu aucun travail dans cette discipline sur le sujet. J’ai opté pour l’Italie, où le mouvement ultra est né, car j’ai voulu faire un parallèle entre cette culture juvénile et la situation politique et sociale d’un pays en ébullition à la fin des années 1960. Ce que l’on observait dans les tribunes avait un lien avec ce qui se passait dans les rues italiennes. Plus j’étudiais le sujet, plus je trouvais que cela avait un sens et était directement lié à l’histoire de l’Italie contemporaine, j’ai donc terminé par en faire une thèse de Doctorat. Avec quelles sources avez-vous exploré le sujet ?D’abord avec les archives en Italie, pour y consulter des documents faisant référence aux supporters, aux troubles à l’ordre public. On retrouve de nombreux documents, des notes de préfets qui s’alarment dans les années 1920 de violences dans les matchs de football. J'ai aussi pu fouiller les archives des centres de coordination de clubs de tifosi, de groupes ultras, de la presse italienne, mais aussi de privés, notamment des photographes. Le Museo del Calcio m'a aussi ouvert ses portes. J'ai croisé toutes ces sources. J’ai aussi réalisé une trentaine d’interviews auprès de leaders ultra, mais aussi auprès des autorités, ce fut un travail d’enquêteur sur le terrain, j’ai multiplié les allers-retours en Italie ces trois dernières années. Et, bien sûr, j'ai pratiqué des heures d'observation participante, une technique qui implique d'observer de l’intérieur pour ensuite analyser. Quand vous allez au stade, vous arrivez à profiter du match ? Non, je suis tellement pris par ma recherche que le match est secondaire pour moi, je me dois de regarder la tribune. Depuis quelques années, j’essaye d’obtenir une accréditation comme photographe pour me poster devant la tribune et observer tranquillement. Mais mon travail ne dure pas 90 minutes, il commence bien avant le match et continue bien après. Comment les ultras accueillent cette position d’observateur-historien ? Ma connaissance des règles m’aide beaucoup à me faire accepter, mais il arrive que certaines situations me dépassent. En tant que chercheur, ils m’acceptent plutôt bien en général. La maîtrise de la langue est primordiale. J’établis une relation de confiance, je retourne régulièrement voir les groupes, certains reconnaissent même mon travail et apprécient la manière dont je parle des ultras. Autant en France, il y a de vrais experts universitaires sur les ultras, autant en Italie il n’y en a pas, les seuls à s’exprimer le font d’une manière grotesque. Cela me sert, finalement. Vous parlez, à propos des ultras, d’un modèle apolitique, avec un retour du politique sur le tard...Les ultras vont s’inspirer de deux choses pour créer leur mouvement : le hooliganisme britannique qui émerge dès 1966 en Grande-Bretagne, et qui fascine les Italiens à l’occasion des rencontres de Coupe d’Europe, qui vont reprendre certains codes, comme les écharpes, ou les chants mélodieux. Dans les années 1950 en Italie, les stades sont gris, il y a très peu de couleurs et d’ambiance. La deuxième influence est le contexte politique italien. De 1968 jusqu’en 1980, une partie de la jeunesse italienne veut faire la révolution. Il y des actes de violence, les métropoles connaissent un conflit de basse intensité et les ultras vont s’en inspirer. L’un des deux cofondateurs du premier groupe ultra de Vérone était fasciné par les brigades rouges et reprend le terme. Les ultras piochent dans l’univers politique avec l’étoile des brigades rouges, le poing fermé, mais aussi des symboles d’extrême droite comme la croix celtique, le glaive qui apparaissent dès la fin des années 1970. Ils s’inspirent aussi de la manière dont s’habillent les militants politiques, vont reprendre la technique du cortège dans l’espace citadin. Mais ils vident ces pratiques de leur contenu politique, ce sont des militants du football avant tout, leur cause est leur équipe. Militants d’extrême gauche et militants d’extrême droite se retrouvent parfois côte à côte dans les virages. En revanche, la politique fait son retour à la fin des années 1980. Dans certaines tribunes, on observe les premières manifestations de l’extrême droite, et des revendications sécessionnistes du nord de l’Italie. Alors que ces ultras étaient nés en s'inspirant de l’extrême gauche, l’extrême droite va influencer une partie de la seconde génération d’ultras, sur fond d'immigration croissante dans le pays. Certaines tribunes deviennent des relais des idées néofascistes. Mais, cela est à l’image d’un pays qui bascule, comme le démontre l’entrée des néofascistes au gouvernement en 1994, car le stade est un miroir déformant de nos sociétés. En quoi les virages sont des « zones d'autonomie temporaire » , selon le concept théorisé par Hakim Bey sur les rave party ?En Italie, la tentative de révolution à l’œuvre de 1968 à 1980 échoue. Les seules velléités contestataires se font dans les virages et dans les squats politisés, où ces jeunes prennent le contrôle de leur vie, imposent leurs normes, créent une contre-société. Cette « société du dimanche » correspond au concept imaginé par Hakim Bey. On peut consommer de la drogue, être violent, réaliser des banderoles, chanter, ou y clamer des revendications. Dans toute l’Europe, ces tribunes sont des espaces de liberté qui hébergent des contre-cultures juvéniles. Ces groupes sont très inclusifs pour la plupart. Dans des sociétés où la mixité sociale se fait de plus en plus rare, on peut y retrouver des jeunes gens des différents milieux, des handicapés, ou des supporters d'origine étrangère. À quel moment la répression devient la méthode privilégiée pour interagir avec ces groupes ?Les premières réponses juridiques remontent au drame du Heysel en 1985. Une convention européenne est adoptée le 19 août 1985 sur les violences des foules sportives. En Grande-Bretagne, le drame du Heysel, mais aussi celui de Hillsborough ont transformé les stades. Ce n’est pas la seule répression qui a permis de mettre un terme relatif aux hooliganisme en Grande-Bretagne, mais l'émergence de la scène rave à la fin des années 1980 qui a fait qu’un grand nombre de hooligans se sont éloignés des stades. En Italie, la répression débute à la veille de la Coupe du monde et à la suite de deux drames avant des matchs de football. Une certaine panique s’installe, et la première loi de lutte contre les violences dans les stades introduit l’interdiction de stade dans la législation le 13 décembre 1989. Ce dispositif va être renforcé à chaque nouvelle crise. Ainsi, en 1994-1995, à la suite des incidents en marge de Brescia-Roma où le vice-préfet de police de la ville lombarde est poignardé par des ultras romains, puis deux mois plus tard avec l’homicide de Vincenzo Spagnolo, un tifoso du Genoa, les personnes interdites de stade doivent signer un registre pendant le match. Par la suite, à chaque incident mortel, ces lois seront renforcées, sans aucun véritable résultat, comme le démontre la mort de Ciro Esposito en marge de la finale de la Coupe d’Italie en 2014. En France, tout débute avec la loi Alliot-Marie à la suite des incidents de PSG-Caen en 1993. Celle-ci est renforcée avant la Coupe du monde 1998, puis en 2003 et 2006, des modifications sont apportées. Mais, il faut attendre 2010 et le renforcement des Interdictions administratives de stade (IAS), et la loi LOPPSI 2 en 2011 qui rallonge la durée des IAS et prévoit l’interdiction des déplacements, ce qui restreint donc la liberté de circulation des supporters. La répression explose au début des années 2010 et les interdictions de déplacement se multiplient de manière inquiétante. La France suit le modèle italien, qui se fait sans concertation, qui compte uniquement sur le répressif sans miser sur la responsabilisation des supporters, comme en témoigne l’intitulé de la DNLH, créé en 2009. Le modèle allemand mêle justement le dialogue à la répression, et le résultat est à l’opposé : des stades pleins, de l’ambiance, des ultras, des incidents, certes, mais aussi une approche sécuritaire bien plus intelligente et beaucoup moins anxiogène qu’en France et en Italie. Quelles sont les limites de ces spirales répressives ?Une des hypothèses que je développe dans le livre est que l'on se sert des stades comme des laboratoires. On y emploie des politiques très répressives avec l’aval de l’opinion publique et d'une presse complaisante qui considère les ultras comme des gens violents et dangereux. Alors que la plupart du temps, ces politiques sont à la limite de l’anti-constitutionnalité. La banderole « Supporters, pas criminels » , ce mouvement organisé fin novembre par une trentaine de groupes d'ultras français, a été interdit dans plusieurs stades. C’est assez grave, cela illustre des entraves à la liberté d’expression. À propos de la loi française qui renforce le dialogue avec les supporters et la lutte contre le hooliganisme adoptée en avril 2016, autorisant les clubs à ficher leurs propres supporters, la CNIL a parlé de « dérive liberticide » . En Italie, certains blindés utilisés en Afghanistan ou en Irak sont parfois aux abords du stade et ne contribuent pas à faire que les gens s'y sentent en sécurité. Un député italien du parti de Berlusconi avait proposé, à la suite de débordements lors de manifestations étudiantes, d’instaurer une « carte du manifestant » qui ressemble beaucoup à la « tessera del tifoso » obligatoire pour les supporters italiens entre 2010 et 2017 pour acheter un abonnement ou se déplacer. Certains maires italiens se servent par ailleurs du dispositif d’interdiction de stade pour interdire à certaines personnes l’accès à des lieux publics pour des manifestations particulières. Le stade est devenu un laboratoire des politiques répressives. Est-ce que le football moderne et le supportérisme peuvent fonctionner ensemble ?Je ne les vois par forcément s'opposer. Au milieu des années 1990, la création de la Ligue des champions, qui est la compétition la plus lucrative dans le monde, puis l’arrêt Bosman, font basculer le foot d’un sport professionnel à une industrie du loisir. Comme les anciens révolutionnaires des années 1970 récupérés par un jeu politique classique, les ultras, qui dénoncent cette tendance, désirent aussi que leur équipe gagne. Il y a beaucoup de contradictions dans les postures des supporters, qui sont des romantiques qui ne sont pas réalistes. Ils veulent que leur club soit possédé par quelqu’un qui aime les couleurs et qu’il n’utilise pas le club. Mais la plupart du temps, les clubs de football sont au service de différents intérêts commerciaux, politiques ou géopolitiques. De l'autre côté, certains clubs ont bien compris l’intérêt qu’ils ont à avoir des ultras ou des groupes de supporters organisés. On ne va pas au stade pour voir un match, on y va pour une expérience, y compris dans les tribunes latérales. Cela s’est vérifié pour le dernier OM-PSG quand les dirigeants phocéens ont demandé aux groupes de faire un spectacle et ces derniers ont refusé pour marquer leur indépendance. Tout le monde sait qu’en Angleterre, il n’y a pas d’ambiance dans les tribunes. Il y a donc une ambivalence complexe : les clubs veulent des groupes ultras, mais cherchent à les contrôler. Comment voyez-vous le futur des ultras à moyen terme ?Est-ce que le football sera le sport numéro 1 dans vingt ans ? Est-ce que le fait que les places soient de plus en plus chères en Europe occidentale ne va pas écarter les classes moyennes ou populaires et ne va pas tuer l’ambiance ? C’est assez difficile de se projeter. La seule chose que je peux dire, c’est que les ultras ont toujours réussi à s’adapter. C'est une des rares cultures juvéniles qui s’est toujours accordée à la société au fil des décennies. La culture ultra fait partie des produits d’exportation italiens au même titre que la pizza, la mode ou les voitures. C’est un phénomène qui a atteint une ampleur mondiale. Les groupes essaient d’innover tout en restant fidèles à des normes ultras qui évoluent également. En 50 ans, deux choses n’ont pas changé : la dimension de rébellion juvénile, ce sont des groupes de jeunes gens qui rejettent la domination des aînés, et la passion absolue qu'ils vouent à leur club. Dans des sociétés hyper contrôlées, où les pouvoirs publics, à travers les différents instruments, arrivent à maîtriser de plus en plus certaines dérives, on a toujours ces groupes de supporters. Ils arrivent toujours à s’accommoder des différents règlements. Mais seront-ils récupérés d’une manière ou d’une autre, ou arriveront-ils à faire perdurer l’esprit de leur mouvement qui les veut contestataires ? | |
| | | UFW Maltchickers Leader
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Thu Dec 28, 2017 12:08 am | |
| Suisse (hockey) : SCL Tigers - EV Zoug - 23/12/2017
Source : https://www.lenouvelliste.ch/
Des supporters zougois attaquent la police à coups de projectiles à Langnau
À l'issue d'un match entre Langnau et Zoug, des supporters de hockey en sont venus aux mains samedi soir à Langnau. Les policiers qui sont intervenus ont été attaqués à coups de projectiles et d'engins pyrotechniques.
Des supporters en sont venus aux mains samedi soir à Langnau (BE) après un match de hockey entre les équipes de la commune bernoise et de Zoug. Lorsque les forces de l'ordre sont intervenues, les fans leur ont lancé des pétards et projectiles. Personne n'a été blessé.
Après le match entre les SCL Tigers et l'EV Zoug vers 22h15, plusieurs fans des deux équipes se sont d'abord provoqués verbalement avant de chercher la confrontation directe, indique dimanche la police cantonale bernoise.
Les forces de l'ordre se sont alors interposées entre les deux groupes pour les séparer. Elles ont été assaillies par les supporters de l'équipe zougoise à coups de projectiles et d'engins pyrotechniques. La police a dû brièvement recourir à des sprays au poivre et des gaz lacrymogènes. Les deux camps ont pu être séparés sans faire de blessé. Les fans zougois sont ensuite partis vers la gare pour prendre leur train.
Cortège non autorisé
Déjà avant le match, un groupe de fans de l'EV Zoug avait perturbé le trafic à cause d'un cortège non autorisé. Des engins pyrotechniques ont été allumés. La route qui mène au stade a dû être temporairement fermée. La police a ouvert une enquête en lien avec ces événements. | |
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Thu Dec 28, 2017 12:10 am | |
| Belgique: Un hooligan du Standard condamné à 180 heures de travail - 28/12/2017
Source : https://www.rtbf.be/
Un Liégeois âgé d'une trentaine d'années a été condamné mercredi par le tribunal correctionnel de Liège à une peine de 180 heures de travail ainsi qu'à une interdiction de stade d'une durée de 18 mois après avoir été impliqué lors des incidents du match Standard-Charleroi du 9 septembre dernier. Le prévenu a également été condamné à indemniser les policiers blessés lors des affrontements.
De graves incidents avaient opposé des hooligans à des policiers lors du match classé à risque opposant le Standard de Liège à Charleroi. A l'issue de la rencontre, un noyau dur de supporters du Standard avait tenté d'entrer en contact avec les supporters de Charleroi. La police, utilisant des autopompes, avait essayé de les en empêcher. Quinze policiers avaient été blessés lors de ces affrontements.
Plusieurs hooligans impliqués avaient été identifiés à l'aide d'images de vidéo-surveillance et sont désormais jugés lors de différentes audiences devant le tribunal. L'un d'eux a répondu de faits d'outrage à agent ainsi que de rébellion armée.
Le jour des faits, le visage partiellement dissimulé, il avait fait des doigts d'honneur aux policiers et avait envoyé vers eux une table mange-debout.
Le prévenu a été condamné à une peine de travail de 180 heures. Il est aussi frappé d'une interdiction de stade (à domicile et en déplacement) d'une durée de 18 mois. Le prévenu devra également indemniser les policiers blessés solidairement avec les autres hooligans condamnés dans le cadre des mêmes incidents. | |
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Fri Dec 29, 2017 12:19 am | |
| Coupe de France : les supporters nîmois vont braver l'arrêté du préfet à Saint-Etienne- 28/12/2017
Source : https://www.lequipe.fr/
Les supporters de Nîmes entendent prouver l'absurdité de l'arrêté préfectoral restreignant leur déplacement à Saint-Etienne, en Coupe de France, en se rendant à Geoffroy Guichard en nombre le 7 janvier.
Les supporters Nîmois n'ont pas l'intention de laisser le préfet de la Loire gâcher leur fête. Quand le tirage au sort leur a offert un déplacement à Saint-Etienne le 7 janvier en 32e de finale de la Coupe de France, la plupart se sont réjoui : ils allaient pouvoir encourager leur équipe dans un stade mythique du football français.
Mais voilà, les autorités ont une autre vision des choses. Le préfet de la Loire a décidé de restreindre, à travers un arrêté publié le 22 décembre, le déplacement nîmois à 500 personnes, citant un «risque de troubles graves à l'ordre public». Pour motiver sa décision, une longue liste de débordements stéphanois mais aucun signe d'une quelconque rivalité entre fans des deux clubs, encore moins d'un mauvais comportement des Nîmois.
Les associations de supporters de Nîmes ont accueilli la nouvelle avec stupéfaction et décidé d'encourager dans un communiqué les leurs à «déferler sur Saint-Etienne». «Il n'y a aucune raison valable pour que les Nîmois payent les déboires internes des Verts et l'incompétence des autorités à organiser une manifestation sportive» peut-on y lire.
A en croire Cyril Roure, président de l'association Nemausus 2013, l'arrêté préfectoral a motivé les troupes plus qu'autre chose. «Avant la restriction, nous étions 860 inscrits, aujourd'hui, nous sommes plus de 1 000», s'enthousiasme-t-il dans un article du Midi Libre consacré à la grogne nîmoise. Cyril, un autre supporter nîmois qui fera le déplacement avec son fils de 10 ans, a expliqué au journal régional : «C'est notre premier déplacement et son cadeau de Noël. Il n'y a aucune raison de l'en priver. Si je craignais un quelconque débordement je n'emmènerais pas mon fils.» Si le préfet maintient sa décision, toutes les personnes enfreignant l'arrêté risqueront six mois d'emprisonnement, une amende de 30 000 euros et une interdiction judiciaire de stade d'un an.
Dans un communiqué, les Magic Fans de Saint-Etienne ont salué «l'initiative des supporters nîmois de défier la Préfecture de Loire en annonçant braver la limitation des places. [...] La désobéissance civile est la seule solution pour démontrer l'absurdité de la répression actuelle et la nécessaire prise en compte du rôle incontournable des supporters.» | |
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Fri Dec 29, 2017 3:17 am | |
| Allemagne: Bagarre entre supporters à Munich - 28/12/2017Source : http://www.bild.de/ Des supporters rivaux de TSV 1860 et du Bayern se sont affrontés dans une brasserie de la ville. Ceux de 1860 fêtaient un anniversaire au Mamasita, toujours très fréquenté le samedi soir, lorsqu'une trentaine de supporters du Bayern ont attaqué l’établissement et ont tenté de pénétrer à l'intérieur. La terrasse a été saccagée, la baie vitrée principale a volée en éclat, et l'ensemble du mobilier intérieur a servi de projectiles. Quand la police est arrivée sur place, les protagonistes des deux camps ont fui mais douze suspects, tous bavarois et âgés de 17 à 30 ans, ont été arrêtés. Tarduction Underground Fans | |
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Wed Jan 03, 2018 5:31 am | |
| Israël: 3 hooligans inculpés pour leur rôle dans une violente rixe - 28/12/2017
Source : https://fr.timesofisrael.com/
David Magidish, Aviv Betzalel et Eliad Moshe, membres d'un groupe extrémiste de fans du Beitar Jerusalem, ont été jugés coupables de fomenter un crime et de voies de faits graves
Le parquet de Tel Aviv a condamné jeudi trois membres de La Familia, un groupe d’extrême-droite de fans de l’équipe de football du Beitar Jerusalem, pour leur implication dans une série de violences.
Au cours d’une violente rixe, un supporter de l’Hapoel Tel Aviv a été grièvement blessé par une hache.
Au début de l’année, 16 autres membres du groupe ont été inculpés pour leur rôle dans une attaque de juin 2016.
David Magidish, 30 ans, a été jugé coupable de fomenter un crime et de voies de faits graves.
Aviv Betzalel, 22 ans, et Eliad Moshe, 32 ans, ont été jugés coupables de fomenter un crime et de voies de faits graves, et mise en danger de la vie d’autrui dans les transports publics.
Cette attaque avait conduit à une des mesures de répression sévères contre le groupe ultra-nationaliste.
Des dizaines de membres ont été suspectés de vente d’armes, d’actes de violence, de contrebande de pétards dans les stades, et de délits liés à la drogue, et ont été arrêtés. Plusieurs affaires sont encore en cours. | |
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Sat Jan 06, 2018 9:26 am | |
| Foggia - Frosinone - 28/12/2017Source : http://www.foggiacittaaperta.it/ Avant le match, des supporters de Foggia cagoulés et armés de gourdins, de bâtons, de bombes agricoles, de fumigènes et de pierres ont forcé les grilles du stade. Le service de sécurité et les forces de l'ordre son,t intervenus pour éviter un conflit avec les supporters visiteurs. Un policier a subi des brûlures à une jambe. Deux supporters, âgés de 22 et 23 ans ont été arrêtés et trois autres ont été identifiés sur bandes vidéo. Traduction Underground Fans | |
| | | UFW Maltchickers Leader
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Mon Dec 10, 2018 12:36 am | |
| Aston Villa - Millwall FC - 09/12/2017Source : Mail Millwall lads | |
| | | undergroundfans Admin
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| Subject: Re: Saison 17/18 - Décembre Wed Aug 05, 2020 1:11 am | |
| Turquie: Supporter indemnisé après la perte d'un oeil - 22/12/2017Source: https://sendika63.org/2017/12/plastik-mermi-ile-tek-gozunu-kaybeden-taraftara-377-bin-lira-tazminat-463383/ Osman Akarsu Yılmaz, qui a perdu un œil lors de l'attaque de la police à Bursa lors d'une bagarre entre supporters en 2014,s'est vu dédommagé de 377 mille livres turques dans le procès qu'il a intenté contre la police. Les faits se sont produit après le match de football Bursaspor-Galatasaray disputé à Bursa en 2014. Une bagarre éclata entre les supporters des deux équipes, obligeant la police à intervenir, en s'en prenant aux supporters des deux équipes à l'aide de gas lacrymogènes et de balles en plastique. Un procèes avait été intenté par Osman Akaqrsu Yilmaz, 31 ans et ayant perdu un oeil, contre le commissaire adjoint Aydın T. et le policier Nedim K, suite à l'intervention de la police avec des balles en caoutchouc. Alors que le tribunal a rendu une décision d'acquittement à Aydın T, Nedim K a été condamné à 6 mois et 20 jours de prison Il a été décidé que le gouvernement de Bursa et le département de police de Bursa versent à Osman Akarsu Yılmaz 336 000 879 livres en matériel et 40 000 livres en compensation morale. _________________ | |
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