Saison 14/15 - Août

Viktoria Plzeň - FC Petrolul Ploiesti - 07/08/2014

Source : Mail

Petrolul Ploiesti fans

Esbjerg fB - KS Ruch Chorzów - 07/08/2014

Source : Mail

Les hooligans de Ruch Chorzów reviendront du Danemark avec quelques trophées...

SM Caen - Lille OSC - 16/08/2014

Source : Mails (merci aux expéditeurs)

LA VOIX DU NORD

Une rencontre fortuite entre supporters ultras valenciennois et lillois, qui se rendaient respectivement à Tours et au Mans pour soutenir leur équipe favorite, a méchamment dégénéré, vendredi après-midi, sur une aire de repos de l’autoroute A10 au sud de Paris. Arrivé le premier, le car des fans de VA a eu la surprise de voir débarquer celui du LOSC, qui est venu se garer juste à côté, une idée pas franchement fantastique de la part du chauffeur. N’a-t-il pas mesuré les risques ? Ou a-t-il été trompé par les maillots rouge et blanc des Valenciennois alors que Lille porte les mêmes couleurs ?
Toujours est-il que l’incendie a pris instantanément. Des insultes, puis des canettes de bière qui partent semble-t-il des deux côtés avec des vitres qui volent en éclats. Et l’escalade avec des échanges de coups pour une scène très violente selon un témoin qui signale même quelques pertes de connaissance. Alertée, la gendarmerie est intervenue pour ramener tout le monde à la raison et procéder à des auditions. Puis chacun a poursuivi son chemin tant bien que mal. Aucun autre incident n’a été signalé dans la soirée.

L'Equipe

CSKA Moscow - Spartak Moscow - 17/08/2014

Source : youtube

Avant match:
Yaroslavka vs.The Union + Torpedo Mosvow

Yaroslavka vainqueur



Après match:
Union (Spartak) vs Yaroslavka+KIDS(CSKA)
Victoire Union

France: Saint Priest - Grenoble Foot - 17/08/2014

Source : http://www.leprogres.fr

Saint-Priest : des hooligans grenoblois s’en prennent à un jeune supporter pour viser l’OL

Juste avant le match CFA Saint-Priest / Grenoble foot 38, une trentaine de hooligans grenoblois, ivres, s’en sont pris samedi à un jeune supporter de Saint-Priest qui arborait un tee-shirt des Bad Gones.

Ils se sont alors lancés à sa poursuite, faisant voler quelques coups et quelques barrières. La bagarre a heureusement pris fin rapidement, grâce à un imposant dispositif de sécurité. La prochaine venue à Lyon de Grenoble foot 38, qui doit affronter la réserve de l’OL le 6 septembre à la Plaine des Jeux de Gerland, s’annonce explosive, sous le signe de la revanche…

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Source : http://www.lyoncapitale.fr

Joint par Lyon Capitale, un supporter grenoblois présent au stade a tenu à apporter un autre éclairage sur les événements : "Les choses ne se sont pas déroulées comme c'est raconté dans la presse. On est arrivés à Saint-Priest et il y avait 7 ou 8 supporters lyonnais [de l'OL, ndlr] présents. On s'est croisés et ça s'est provoqué. Il y a eu une petite bagarre, mais rien de grave. On ne s'est pas acharnés à trente sur un seul gars comme c'est raconté. Il n'y avait pas de services de police sur place, juste les stadiers locaux. Les policiers sont arrivés vers la mi-temps, mais les faits ont eu lieu en début de rencontre."
La version du maire de Saint-Priest diffère encore des deux précédentes. "Un dispositif spécial avait été mis en place par le club, suite au passé entre les deux équipes, et la Police nationale avait été prévenue", assure Gilles Gascon. Il précise que ce ne sont pas les supporters de Saint-Priest qui étaient visés par les Grenoblois, mais bien ceux de l'OL : "Un supporter grenoblois a essayé de lancer une barrière sur un supporter arborant un T-shirt des Bad Gones. Cette barrière a atterri sur deux autres supporters grenoblois, créant un mouvement de foule selon la police. Un débordement rapidement maîtrisé." Par ailleurs, M. Gascon, qui ne souhaite pas "minimiser" ces événements, tient à relativiser : "Il n'y a pas eu de bagarre, ni d'incidents par la suite." Les frictions n'ont d'ailleurs pas entraîné de dépôt de plainte de la part des personnes présentes.

Des hooligans de Go Ahead Eagles arrêtés - 16/08/2014

Source : http://www.destentor.nl

Samedi, la police est intervenue avec une cinquantaine d'agents à la gare de Wijhe et a procédé à 32 arrestations de supporters du club batave de Go Ahead Eagles.

La police pense qu'une confrontation était prévu avec des supporters du PEC Zwolle.

Traduction Underground Fans

Russie: Arsenal Tula - Dinamo Moscow - 17/08/2014

Source : youtube

Gladiators Firm 96 (Spartak Moscow) vs Patriots+OTF+9-ka+D23 (Dynamo Moscow)

Spartak vainqueur

FC Aktobe - Legia Varsovie - 20/08/2014

Source : youtube + mail

La veille du match, une bagarre a opposé environ 30 locaux à 20 polonais devant l’hôtel des joueurs du Legia.




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Source : presse locale

Le jour du match, présence d'une cinquantaine de polonais. Incidents dans les gradins avec le forces de l'ordre.

Standard Liège - Zenit St Petersburg - 20/08/2014

Source : forums

Le jour précédent la rencontre deux petits groupes de Russes attaqueront des locaux.

INFOS BIENVENUES

Standard

NK Maribor - Celtic Glasgow - 20/08/2014

Source : forums

Une bagarre opposera +- 25 locaux à +-40 Ecossais, dans un bar.

Slask Wroclaw - Cracovia Krakow - 17/08/2014

Source : Presse polonaise

30 hooligans du Cracovia seront arrêtés par la police, qui découvrira un véritable arsenal.

SC Bastia - O.Marseille - 09/08/2014

Source : http://www.francetvinfo.fr

Quarante-quatre policiers et gendarmes blessés en marge du match Bastia-OM

Quarante-quatre policiers et gendarmes ont été "blessés ou contusionnés" samedi soir lors de violences en marge du match entre Bastia et Marseille en ouverture de la Ligue 1, a annoncé dimanche 10 août le ministère de l'Intérieur. "Dix fonctionnaires des Compagnies Républicaines de Sécurité, 34 gendarmes mobiles ont été blessés ou contusionnés et huit d'entre eux soignés à l'hôpital" lors de ces violences, précise l'Intérieur.

Les heurts se sont produits "avant et après le match de football entre le Sporting Club de Bastia et l'Olympique de Marseille", selon l'Intérieur, qui assure que policiers et gendarmes "ont agi avec sang-froid et retenue". Selon un journaliste de l'AFP, une centaine de supporters bastiais s'en est pris aux forces de l'ordre. Ils ont jeté des bombes agricoles, des pierres, des barrières métalliques et des bouteilles en verre en direction des CRS.

Cazeneuve demande le respect des forces de l'ordre

Dans son communiqué, le ministre, Bernard Cazeneuve, réclame la "détermination [des] responsables concernés, aux plans local et national, pour mettre un terme à ces comportements violents, en particulier à l'égard des forces de l'ordre qui doivent être respectées".

En avril, la préfecture de Haute-Corse avait interdit aux supporteurs du club voisin de l'AC Ajaccio de se rendre à Furiani pour le derby entre les deux clubs.









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Source : http://www.varmatin.com

Batailles de projectiles et de chiffres

Des échauffourées ont éclaté entre des supporters et les forces de l’ordre avant et après le match SCB-OM à Furiani, samedi. Le ministre de l’Intérieur a annoncé que 44 policiers avaient été blessés

Le championnat de Ligue 1 a repris samedi soir, dans une ambiance de fête pour les seize mille spectateurs venus assister au match Bastia-Marseille. Une notion dont tous les supporters n'ont, visiblement, pas la même définition. Des échauffourées ont éclaté - en deux temps - en marge de la rencontre qui opposait les deux clubs dont les supporters respectifs ne se vouent pas le plus grand des respects.

Tout a débuté vers 20 h, par une bagarre, à hauteur du cordon de sécurité formé par les CRS pour assurer l'accès à l'enceinte du stade du bus des joueurs de Marcelo Bielsa.

Une fois la manœuvre opérée sans encombre, quelques supporters bastiais - dont certains sous l'emprise de l'alcool selon les autorités - impatients d'entrer dans le stade auraient forcé le barrage qui n'avait pas encore été levé. Ces premiers incidents auraient fait selon le ministère de l'Intérieur une dizaine de blessés du côté des fonctionnaires.

Le sport a ensuite repris ses droits et dans une ambiance digne des grands soirs, les deux clubs se sont affrontés - sur le terrain - au cours d'un match passionnant qui s'est soldé par un nul, sur le score de 3-3.

Grenades lacrymogènes et bombes agricoles

À l'issue de la rencontre, le public a quitté les lieux, excepté la centaine de supporters marseillais qui avait été autorisée à assister au match. Ils attendaient en tribune ouest, escortés par des membres de leur club et les forces de l'ordre. À l'extérieur du stade, il restait encore une cinquantaine de supporters bastiais et lorsque leurs homologues marseillais ont quitté l'enceinte, ils auraient tenté de les approcher mais les forces de l'ordre se sont interposées. Les visiteurs sont finalement partis de Furiani sans difficultés et c'est alors que de nouvelles échauffourées ont éclaté entre les supporters bastiais et les gendarmes mobiles, aux environs de minuit.

Durant une vingtaine de minutes, les deux camps se sont affrontés à coup de gaz lacrymogènes, de bombes agricoles et de divers projectiles. Plusieurs blessés ont été comptabilisés mais les chiffres divergent selon les sources. Ainsi le ministère de l'Intérieur faisait état hier matin d'un total de 44 blessés du côté des forces de l'ordre. Les sapeurs-pompiers sont intervenus pour prendre en charge seize blessés légers. Seuls huit fonctionnaires de police ont été hospitalisés pour le restant de la nuit à Falconaja, notamment pour des traumatismes sonores.

Aucune interpellation n'a eu lieu hier lors des affrontements mais des investigations ont été réclamées par le procureur de la République de Bastia qui était présent samedi soir, à Furiani.

Les enquêteurs s'attachent depuis hier à recueillir témoignages et vidéos sur les incidents afin de tenter d'identifier les auteurs de ces violences. De son côté, la Ligue de football professionnel a également saisi la direction centrale de la lutte contre le hooliganisme (voir encadré).

Hier matin, très tôt, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, a condamné fermement ces incidents avant de faire appel à « la détermination des responsables concernés aux plans local et national, afin de mettre un terme à ces comportements violents en particulier à l'égard des forces de l'ordre qui doivent être respectées ».

Le préfet de Haute-Corse Alain Rousseau a également condamné ces violences.

Les arrêtés des préfets

Ce type d'incidents se produit de plus en plus fréquemment lors des rencontres de football et pas seulement en Corse. En novembre de l'année dernière, huit stadiers de Nice avaient été blessés à l'occasion d'un match contre Saint-Etienne.

À plusieurs reprises, au cours de la saison précédente, les préfets ont pris des arrêtés pour interdire l'accès au stade, aux supporters des équipes adverses. C'était le cas samedi soir à Furiani mais qui ne s'appliquait apparemment pas à tous les supporters puisqu'une centaine d'entre eux, a été autorisée à y assister.

Une situation qui n'a certainement pas contribué à apaiser des esprits un peu trop prompts à s'échauffer.

AIK Solna - Djurgarden IF - 13/08/2014

Source : http://www.svt.se

Des troubles ont eu lieu dans les gradins entre fans rivaux.







Trois supporters de DIF qui ont chutés depuis leur tribune, ont été blessés.


Après le match, Firman Boys (AIK) gauche vs DFG (DIF) droite

KSC Lokeren - Hull City - 21/08/2014

Source: http://www.sudinfo.be

DE VIOLENTS AFFRONTEMENTS ENTRE SUPPORTERS ET AVEC LA POLICE ONT EU LIEU APRÈS LA RENCONTRE LOKEREN – HULL CITY CE JEUDI

Ce n’est un secret pour personne, les supporters anglais ont tendance à être violents, du moins lorsqu’ils se déplacent. Ce fut le cas ce jeudi après la rencontre entre Lokeren et Hull City.

Sur le terrain, Lokeren s’est imposé 1-0 face aux Anglais de Hull City en barrages de l’Europa League. Un résultat qui contente les Belges, mais pas les Anglais.

Les supporters de Hull City se sont d’ailleurs rendus coupables de violences envers les policiers après le match. Ils s’en sont également pris à des fans de Lokeren. D’après la BBC, six supporters anglais ont été emmenés à l’hôpital, trois auraient été arrêtés. Les supporters de Hull City condamnent la manière dont ils ont été traités par la police locale.

L’UEFA a annoncé qu’elle allait ouvrir une enquête autour de ces incidents.









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Source: http://www.omroepbrabant.nl

A noter la présence de hooligans hollandais des clubs de NAC Breda et de Groningen aux côtés de leurs homologues de Lokeren.
Déjà en mars dernier, les hooligans de Breda s’étaient fait remarquer lors de la finale de coupe opposant Lokeren à Zulte. Cinq hollandais avaient été interpellés.
Durant l'été 2013, deux matchs amicaux opposant des clubs belges à NAC Breda avaient été annulés par crainte d'émeutes.
Enfin, sept hooligans de Breda avaient été arrêtés en avril 2009 suite à des incidents provoqués par les hooligans de Lokeren et NAC Breda avant et après la rencontre Lokeren vs Germinal Beerschot. Une centaine de hooligans de Breda étaient de la partie.

Traduction Underground Fans

Grasshopper Zurich - FC Bruges - 21/08/2014

Source: youtube


Une 40aine de supporters brugeois tenteront d'attaquer des supporters locaux. La police interviendra et procédera à 5 interpellations.

Links: http://www.hln.be/hln/nl/2730/Club-Brugge/article/detail/2005176/2014/08/22/Club-fans-gaan-door-het-lint-in-Zwitsers-shopping-center.dhtml?utm_campaign=socialredactie&utm_content=nieuws&utm_medium=Social&utm_source=hootsuite +
http://www.blick.ch/sport/krawalle-in-st-gallen-bruegge-fans-warfen-mit-stuehlen-und-tischen-id3070285.html

France: L'interdiction des déplacements de supporters de Ligue 1 est-elle inéluctable ? - 11/08/2014

Source: http://www.portadowntimes.co.uk/

Après les nouveaux incidents survenus en marge de la rencontre Bastia-OM, le président de la Ligue n'est pas opposé à cette mesure drastique que le gouvernement n'a jamais souhaité mettre en place.


(Archive)

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Les incidents qui ont précédé et suivi la rencontre entre Bastia et l'Olympique de Marseille samedi soir relancent une nouvelle fois le débat sur l'interdiction généralisée des déplacements officiels de supporters en Ligue 1. Décidée de manière épisodique par arrêté du ministre de l'Intérieur suivi par les préfets locaux s'appuyant sur des articles du code du sport après la multiplication d'incidents, cette mesure est de plus en plus évoquée au sein des hautes sphères du football hexagonal.

Le président de la Ligue de football professionnel, Frédéric Thiriez, avait d'ailleurs brandi cette menace l'hiver dernier après les affrontements entre supporters niçois et stéphanois. Dimanche dans un communiqué, le dirigeant a déploré l'inefficacité des mesures de sécurité actuelles. «Le déplacement des supporters visiteurs avait été limité à 90 personnes seulement, sévèrement encadrées par leur club et des forces de l'ordre importantes avaient été mobilisées. Visiblement, ça n'a pas suffi, il faudra aller plus loin», a expliqué le dirigeant, pressé par les ministres des Sports et de l'Intérieur, Najat Vallaud-Belkacem et Bernard Cazeneuve, de «se saisir des violences inadmissibles.»
Les deux membres du gouvernement Hollande vont rencontrer dans les prochains jours les dirigeants du football professionnel. Nul doute que l'interdiction pure et simple des déplacements sera débattue. L'hiver dernier, Manuel Valls alors ministre de l'Intérieuravait repoussé une interdiction généralisée préférant intervenir au cas par cas.
Des recours devant les tribunaux administratifs, le CNOSF et le Conseil d'Etat
Il reste toutefois à éclaircir certaines zones d'ombres avant de trancher. Les personnes impliquées dans les violences étaient-elles des supporters en possession de billets ou des casseurs venus profiter du match pour semer la pagaille? Les visiteurs marseillais ont-ils eux aussi été impliqués dans ces heurts?
La LFP et les autorités publiques devront aussi réfléchir à l'application d'une mesure aussi radicale qui sera, à n'en pas douter, l'objet d'interminables recours devant les tribunaux administratifs, le CNOSF et le Conseil d'Etat par les associations de supporters. Ceux-ci s'appuieront sur les principes de liberté d'aller et venir, de réunion et d'expression dans une démocratie. Autant d'actions pour faire barrage à une loi qui pénalisera l'immense majorité des supporters qui n'ont aucun reproche à se faire.


(Archive)

France: Les supporters de Malherbe expulsés de leur local - 14/08/2014

Source: http://www.libertebonhomme.fr/

Depuis le 30 juin, le Malherbe Normandy Kop, le club des supporters du Stade Malherbe Caen, n'a plus accès au local qu'il occupait depuis dix ans dans l'ancien stade de Venoix.

Ce vendredi, à la MMArena du Mans, les supporters caennais seront bien présents pour le premier match “à domicile” des Malherbistes en cette nouvelle saison de Ligue 1. Mais ils n’ont pas prévu de tifo ni d’animations particulières. Depuis plus d’un mois, ils n’ont plus accès à leur local situé dans d’anciennes toilettes du stade de Venoix. C’est là qu’une partie de leur matériel est entreposé, le reste étant stocké dans un autre local, sous la tribune Borrelli du stade D’Ornano. Celui-ci est inaccessible jusqu’à la fin des Jeux équestres mondiaux. Le 30 juin dernier, ils ont trouvé les serrures changées. “Le MNK a été mis à la porte par la Ville de Caen”, s’insurge le club des supporters.
Le MNK : “Ils n’ont pas cherché à nous connaître”
“C’est définitif, confirme Philippe Lailler, maire adjoint à la sécurité. Nous avons été confrontés à de nombreux troubles à l’ordre public, avec une alcoolisation massive. Il y a eu de nombreuses plaintes de riverains, à tel point que la police municipale est lasse d’intervenir.”
Une version que conteste le Malherbe Normandy Kop. “On nous reproche un tapage nocturne, le soir de la montée en Ligue 1, ainsi que des jeux de ballons sur la place Saint-Sauveur durant la Coupe du Monde !” Selon nos informations, la police nationale est intervenue une seule fois, en appui de la police municipale : le fameux soir du 13 mai, après le match SM Caen – Nîmes (1-1), assurant aux Malherbistes de retrouver la Ligue 1. Quelques membres du MNK auraient fêté un peu trop bruyamment la montée.
Après une première rencontre entre les responsables du groupe et les nouveaux élus (le maire Joël Bruneau, Philippe Lailler et Aristide Olivier, adjoint aux sports), ces derniers ont donc décidé la fermeture du local. “Une deuxième réunion a eu lieu courant juillet, souligne Philippe Lailler. Nous avons évoqué la situation du deuxième local, celui de D’Ornano. Le MNK veut y disposer d’un club-house mais le Maire ne veut pas. Le problème, c’est l’alcoolisation de quelques membres, un peu excités. Et ça dérape.” Les services municipaux réfléchissent actuellement à l’élaboration d’un règlement intérieur pour ce lieu. “Nous avons été confrontés à des personnes n’ayant pas cherché à connaître le Malherbe Normandy Kop, ni comprendre son importance pour le SM Caen, pour l’animation caennaise”, déplore de son côté le groupe de supporters.

Laillier : “Au club de gérer ses supporters”
Cette situation pose également la question du statut de l’association de supporters. Pour Philippe Lailler, “c’est au club de s’occuper de ses supporters, pas à la Ville. On souhaite que le Stade Malherbe gère ses supporters.” Sauf que le MNK, s’il soutient les Rouge et Bleu, est une association indépendante des structures du club…
En attendant le règlement de ce litige, la municipalité a prêté une benne pour que le MNK puisse stocker une partie de son matériel. Une solution temporaire qui ne satisfait pas le club des supporters. “Nous espérons qu’une solution sera trouvée le plus vite possible, ce local étant primordial pour le bon fonctionnement de notre vie associative. Sans celui-ci, sous le soutien de la Mairie de la ville que nous représentons fièrement partout en France, notre groupe aura bien du mal à survivre”.
Une prochaine rencontre est prévue à la rentrée. Il serait bon de trouver une issue avant le 24 septembre. Ce jour-là, le SM Caen disputera son premier match de la saison à D’Ornano face…au Paris SG. La réception d’Ibrahimovic et ses copains sans animation dans les tribunes, ce serait dommage…

Bastia-OM: Les policiers analysent les vidéos après les incidents de Furiani - 12/08/2014

Source: http://www.corsematin.com/


Les policiers poursuivent leurs investigations sur les heurts qui ont eu lieu, samedi dernier, enmarge du match SCB-OM, entre des supporters bastiais et des CRS et gendarmes mobiles dont plusieurs ont été blessés



Les enquêteurs de la sûreté départementale, service de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) de la Haute-Corse, poursuivent leurs investigations sur les heurts qui ont lieu samedi dernier à Furiani, avant et après le match SCB-OM, entre des supporters bastiais et les forces de l'ordre (CRS et gendarmes mobiles).

Divers projectiles (bombes agricoles, pierres de ballast, barrières…) ont été jetés par les premiers, les seconds ayant riposté par des tirs de grenade lacrymogène.

Au final, selon les services de police et de justice, 44 gendarmes mobiles et CRS souffrent de blessures plus ou moins légères (la plus sérieuse étant une fracture au niveau du pied, et la majeure partie étant des acouphènes) et de contusions causées par des coups ou des jets de projectiles.

Huit représentants des forces de l'ordre auraient été admis à l'hôpital de Falconaja après ces incidents et en sont ressortis après y avoir reçu des soins. Une dizaine de fonctionnaires de police, blessés lors de ces échauffourées, a d'ores et déjà déposé plainte.

Violences aggravées envers les gendarmes mobiles et les CRS

En charge de l'enquête de flagrance, les enquêteurs de la sûreté départementale analysent notamment les images vidéo qui ont été prises lors des incidents par des policiers justement.

Les premiers heurts avaient opposé, vers 20 heures, et donc avant le coup d'envoi du match, des supporters bastiais et des CRS. Dix de ces derniers ont été blessés ou contusionnés.

Puis, bien plus tard, après la fin du match, aux environs de minuit, un groupe de supporters bastiais, qui était là bien plus important numériquement, et dont certains avaient le visage dissimulé, s'en est pris cette fois-ci aux gendarmes mobiles dans les rangs desquels 34 blessés ou contusionnés ont été recensés. Selon les premiers éléments de l'enquête, les gendarmes étaient attendus par ces individus.

Les policiers de la sûreté enquêtent donc sur ces deux séries de heurts mais aussi sur les projectiles qui auraient été lancés, après le match, depuis l'extérieur du stade, en direction de supporters marseillais.

Réunion de travail à la préfecture

Ils travaillent toujours en l'état actuel dans le cadre d'une enquête de flagrance pour « participation à un attroupement armé » et violences, celles-ci prenant un caractère aggravé, en ce qui concerne celles ayant pris pour cible les dépositaires de l'autorité publique car commises en réunion, avec des armes ou assimilées, et également, selon la justice, avec préméditation.

Par ailleurs, une réunion s'est déroulée, hier matin, à la préfecture de la Haute-Corse à Bastia. Une réunion de travail classique, et non pas une réunion de crise, nous a-t-on précisé. Une rencontre entre les différents acteurs (préfecture, service de police, parquet, dirigeants du SCB) comme il y en a à chaque fois qu'est constaté un problème sérieux pendant ou en marge d'un match au stade Armand-Cesari.

Et dont le but est de réaliser un débriefing sur les événements qui se sont produits en l'occurrence dans le cas présent les incidents de samedi dernier.

L'enjeu de cette réunion technique étant, après avoir recueilli et croisé les impressions des uns et des autres, d'avoir la vision la plus globale possible des événements. Ces échanges se sont déroulés, selon la préfecture, dans une approche collaborative avec le club comme cela avait été également le cas, en amont, avant le match.

Prix des places : le ras le bol des supporters anglais - 14/08/2014

Source: http://sport24.lefigaro.fr

Les supporters vont manifester jeudi contre les prix exorbitants des places en championnat. Un filon qui n'a jamais été aussi juteux pour les clubs de Premier League.



La Premier League est assurément le championnat le plus attractif de la planète. C'est aussi le plus cher. Alors que les clubs anglais reprennent le chemin de la compétition ce week-end, les supporters ont décidé de se mobiliser afin de forcer leurs équipes préférées à inverser cette folle spirale de hausse des coûts. Jeudi, plusieurs centaines de fans manifesteront aux côtés des représentants de la Fédération des supporters qui a poussé un cri d'alarme. «Le football nage dans l'argent et les clubs profitent de contrats records sur les ventes des droits tout en étranglant les supporters avec des prix de billets hauts. Il faut que cela cesse», a expliqué Kevin Miles, leur chef de file, dans les colonnes du Daily Mail.
656 €, le prix moyen d'un abonnement
A cette occasion, des représentants de la Premier League devraient rencontrer les supporters exaspérés. Problème: ce sont les clubs et seulement eux qui fixent librement les prix des places. Cette année encore, le montant des abonnements a grimpé de 6,5% par rapport à il y a douze mois, à 656 € en moyenne. Les prix atteignent des sommets jamais vus: 68 € la place la moins chère pour la rencontre West Ham - Tottenham ce week-end et 49 € minimum pour assister au match du promu Burnley face à Cheslea. Un seul club fait figure d'exception: Hull City, qui proposera des strapontins à 20 € face à Stoke pour une rencontre qui n'a rien d'une grande affiche.
A titre de comparaison, un club de milieu de tableau en Ligue 1 propose des abonnements à partir de 150 € par an environ. Troisième du championnat, Lille se situe même dans une fourchette basse avec des prix attractifs (160 €). Au Paris SG, l'abonnement le moins cher est à 395 €, soit 150 € de plus que Monaco. A l'inverse, Lorient propose des packs à l'année à partir de 99 € et des places à 5 € par rencontre.
Les affluences n'ont jamais été aussi bonnes
Cet embourgeoisement du public de Premier League amorcé il y a de longues années a participé à la pacification dans les stades en mettant à l'écart des hooligans situés dans les tribunes populaires. Depuis 1992, date de création de la Premier League, les affluences moyennes n'ont cessé d'augmenter pour atteindre un record l'an dernier. Elles sont passées de 21.000 en 1993 à 30.580 en 1999, puis à 36.695 la saison passée. Le taux de remplissage a même atteint un pic de 95,9% (69,3% en Ligue 1)! S'ils prennent un petit risque en se détachant de leur base de fans, les clubs d'outre-Manche n'ont donc aucune crainte à avoir concernant leurs revenus de billetterie. Ils poursuivront leur ciblage des classes les plus aisées, celles qui payent leur place au prix fort et qui dépenseront le plus en produits dérivés.

Hooligans condamnés à Sion - 18/08/2014

Source: http://www.lenouvelliste.ch/

Une année et demie après les échauffourées survenues en mars 2013 à l’occasion du match de football entre le FC Sion et le FC Servette, les sanctions tombent.

Dégâts au stade, train bloqué en gare de Sion, tags en ville: 22 personnes vont payer pour leurs agissements en mas 2013 dans le cadre du match de foot Sion – Servette. Elles ont été condamnées à des peines privatives de liberté dans sept cas de récidive et, pour les autres, à des peines pécuniaires avec sursis. Parmi eux, des Valaisans, quelques rares Genevois, et surtout 18 Français en provenance de Sochaux et liés aux supporters servettiens.

Les sept peines fermes concernent un Suisse (un mois), qui ira bel et bien derrière les barreaux, et six Français qui écopent de deux à six mois de prison, mais ne purgeront leur peine que s’ils reviennent en Suisse. «Outre ces 22 condamnations définitives, trois autres ordonnances sont en attente de confirmation suite à des oppositions de deux Français et d’un Genevois», indique le premier procureur Olivier Elsig, en charge du dossier.

Entre les mailles

A y regarder de plus près, ce n’est qu’une partie des fauteurs de trouble qui sont punis, alors que la population avait déjà été choquée de voir ces supporters narguer les forces de l’ordre pendant une partie de la soirée, tout en refusant de monter dans leur train pour Genève et en bloquant les voies.

Mais pourquoi une bonne partie des supporters ont-ils passé entre les mailles du filet valaisan?

Si les hooligans français ont été facilement identifiés, parce qu’ils avaient décliné leur identité en entrant en Suisse, il n’en a pas été de même avec les supporters servettiens», regrette le procureur Olivier Elsig. Pourquoi ne pas les avoir interpellés alors qu’ils bloquaient la circulation ferroviaire en gare de Sion ? «Il y avait entre 60 et 80 personnes sur les voies. Il aurait fallu déployer 300 policiers. Nous voulions éviter à tout prix une émeute.»

«Aller au contact»

Jean-Marie Bornet, porte-parole de la police cantonale valaisanne, ne partage pas cette analyse. Il affirme que «172 policiers de différents corps étaient mobilisés en Valais pour ce match, ce qui a jusqu’ici toujours permis d’empêcher des évènements graves.». En 2013, des policiers s’étaient dit frustrés de ne pas avoir été autorisés par le Ministère public à aller au contact avec les perturbateurs à la gare CFF.

Autre motif de mécontentement chez les pandores : alors que la police avait pu arrêter le hooligan qui avait saccagé les toilettes du stade, il avait été libéré le soir même sur ordre du Ministère public, après le blocage par plusieurs dizaines de hooligans servettiens d’un convoi CFF en gare de Sion. Du côté de la justice, on rétorque que le Ministère public a pris cette décision en concertation avec l’officier de police responsable ce soir-là.

Finalement, ce hooligan servettien arrêté, puis libéré, écope de 30 jours-amende avec sursis. Pas de prison ferme, parce qu’il n’a pas d’antécédent. Impossible de frapper plus fort avec le droit pénal actuel. Comme pour la plupart des autres condamnations, cette peine est assortie d’une interdiction judiciaire de stade. Il ne doit pas non plus s’approcher à moins de 500 mètres d’un rectangle vert. En cas d’infraction à cette double règle, son sursis pourra être révoqué.

Cette vague de condamnations n’est pas une première, mais son ampleur est inédite avec l’épisode de la gare. «Des peines de supporters de football, il y en a régulièrement, après presque chaque match. Il s’agit de peines punissant l’utilisation de fumigènes, ou encore des hooligans ayant enfreint une interdiction de stade», explique le premier procureur Olivier Elsig. Ce dernier ajoute : «par contre, je n’ai pas souvenir de condamnation pour entrave à la circulation ferroviaire.»

Bastia-OM : de 6 à 8 mois de prison avec sursis pour quatre supporters - 19/08/2014

Source: http://www.leparisien.fr

De six à huit mois de prison avec sursis en sus d'un an d'interdiction de stade. Voici les peines écopées ce mardi par quatre supporters jugés en comparution immédiate pour des incidents en marge du match de football de Ligue 1 Bastia-OM, le 9 août dernier. Sur les cinq prévenus jugés, quatre ont écopés de peines allant globalement dans le sens des réquisitions du parquet.

Le procureur du tribunal correctionnel de Bastia (Haute-Corse) avait en effet requis de six mois avec sursis à six mois fermes à l'encontre de cinq hommes considérés comme les fauteurs de troubles présumés, âgés de 20 à 39 ans. Ceux-ci s'étaient livrés à des actes de hooliganisme, en lançant des pierres en direction de policiers et de gendarmes à l'extérieur du stade Armand-Cesari, à Furiani, près de Bastia, avant le début du match.

Jugés «pour violences volontaires sur personnes dépositaires de l'autorité publique» par le tribunal correctionnel de Bastia, ils ont généralement nié les faits qui leur sont reprochés. Certains ont toutefois reconnu avoir lancé des projectiles en riposte aux tirs de grenades lacrymogènes par les forces de sécurité.

La défense dénonce des pressions politiques

Réagissant aux réquisitions du procureur, leurs avocats ont plaidé la relaxe ou des peines minorées, l'un d'eux estimant même que le tribunal n'avait pas «à répondre aux injonctions du gouvernement». A l'issue des incidents du 9 août, les ministres de l'Intérieur et des Sports, Bernard Cazeneuve et Najat Valaud-Belkacem, avaient très rapidement appelé à une grande fermeté.

Un communiqué gouvernemental avait par la suite fait état de 44 membres des forces de sécurité blessés ou contusionnés. Huit d'entre eux avaient été traités à l'hôpital pour des acouphènes provoqués par des explosions de pétards agricoles.

L'UEFA condamne Feyenoord pour racisme - 21/08/2014

Source: http://www.dhnet.be

L'UEFA (Union européenne de football) a condamné le club néerlandais de Feyenoord pour le comportement raciste de ses supoprters lors du match du 3e tour préliminaire de Ligue des champions face à Besiktas le 30 juillet dernier. Le club de Rotterdam devra fermer une partie de son stade lors de son prochain match européen et s'acquitter d'une amende de 45.000 euros.

La commission de discipline de l'UEFA estime que les supporters rotterdamois se sont rendus coupables de chants raciste et d'utilisation de feux de bengale lors du match contre les Turcs de Besiktas.

Le bloc E du Kuip de Rotterdam sera fermé au public lors du match de barrages de l'Europa League contre Zorja Loehansk jeudi prochain.

FC Luzern - FC Zurich - 16/08/2014

Source: http://www.lematin.ch + http://www.luzernerzeitung.ch

Cinq policiers blessés lors d'affrontements entre supporters

Des supporters des FC Lucerne et FC Zurich se sont affrontés samedi soir après le match qui opposait les deux équipes à Lucerne.

Cinq policiers ont été blessés après la rencontre entre Lucerne et Zurich. Ils ont dû recevoir des soins, a indiqué lundi la police lucernoise.

Les premiers incidents ont débuté avant le match. La police a fait usage de balles en caoutchouc. Pendant la rencontre, des feux d'artifice ont été tirés dans le stade.

Après le match, des supporters lucernois ont attaqué les bus des fans zurichois à coups de pierres et de barre de fer. Les fans zurichois sont alors sortis des bus et les bagarres ont commencé.

La police a tenté de séparer les deux camps avec des canons à eau et des balles en caoutchouc. Les policiers ont alors été attaqués à coups de pierres par des supporteurs lucernois et zurichois. Cinq policiers ont été blessés.

La police ayant mobilisé toutes ses forces pour mettre fin aux affrontements, il n'a été procédé à aucune arrestation sur place. L'identification des fauteurs de troubles a commencé, a précisé la police lucernoise.

FC Luzern - KRC Genk - 21/04/2014

Source : mail

Les gars de Genk attaqueront les locaux.

Bari - Avellino - Coupe - 23/04/2014

Source : http://bari.repubblica.it

La soirée a été marquée par des affrontements entre supporters rivaux dans les tribunes du stade San Nicola.

Traduction Underground Fans