Saison 05/06 - Février

Osasuna Pamplona - Real Zaragoza - 11/02/2006

Source: journal local

A la fin de la rencontre les Indar Gorri, ultras locaux, ont tenté à plusieurs reprises d'attaquer l'autobus des joueurs de club visiteur. Les forces de police durent intervenir.

AS Nancy - St Etienne - 11/02/2006

Source: mail - CR local

Quelques 'indep gics' tournent constament devant nos tribunes et se pavanent à chercher le contact et vouloir piquer des echarpes....
De notre coté rien de prevu à l avant-match ... nous sommes une quinzaine à boire au centre ville.
Sur les coup de 19H30, alors que nous nous dirigions vers le stade un appel nous previent d une petite embrouille avec un collègue. Nous nous retrouvons devant notre entrée. Apres un passage ou deux de 2/3 verts, ils se rassemblent a une douzaine devant nous, demandent le contact, cherchent du 'Nicois'.
Notre groupe est composé d'une dizaine de jeunes et 5/6 'anciens'...
Les Stef voulaient decendre plus bas pour etre sans flics ...
Soit... les Verts apparement motivé entament les hostilités (5 flics de base a 20 metres + 2 civils que nous connaissont bien...) Pas mal de coups echangés à poings nus. Nancy n'as pas laché un centimetre; les flics en tenue interviennent assez rapidement; quelques coups continuent a partir. Les 2 groupes semblent toujours motivés.
Mais les Stephanois sont repoussés par les 5 'gardes champetres'. Nancy n'avancera pas plus, les CRS arrivent a grand pas dans notre dos , nous nous dispersons rapidement; aucune interpellation, aucun blessé...

Siena - AS Roma - 12/02/2006

Source: Ansa

Un supporter toscan du club de Siena sera blessé à la tête après avoir été attaqué par des supporters de la Roma.
Les premières informations font état d'un coup porté à la tête par une bouteille, mais il se pourrait tout aussi bien qu'il s'agisse d'un coup de couteau.

RC Lens - Lyon - 11/02/2006

Source: mail - CR Lyonnais

"Les Lensois nous ayant rendu en Avril dernier une visite de courtoisie à Lyon, la politesse -dans la limite de se qui est possible- nous imposait de leur rendre la pareille.

" Un regroupement de bandes Lyonnaises s'est opéré.
Nous sommes 80 Gones dont une bonne moitié d'Indépendants + Lugdu et Nucleo.

"Avant d'arriver sur Lens, un contact téléphonique est établi avec les Lensois.
Notre venue est très clairement annoncée, sans mensonge ni fourberie.

Nous débarquons sur Lens vers 13h30, le match se jouant à 17h15. Pas de Lensois en vue.
Ceux-ci sont contactés une seconde fois.
Notre nombre et notre localisation dans Lens leurs sont précisemment notifiées.

Le contingent Lyonnais circule dans les rue de Lens, libre de tout marquage policier, sous le regard ahuri de la population locale composés de quelques fans peinturlurés ou ayant un forcé sur le tuning.
Mais pas de Lensois à l'horizon.

Nous marchons en direction du stade F. Bollaert, sans se cacher de la population locale afin d'être rapidement aperçus par les locaux.
Mais pas de Lensois en vue.

Nous passons devant le bar "le Bollaert", personne.
Nous nous posons dans un petit parc, en face d'une médiathèque située à deux minutes du Stade.
Pas de police, mais toujours pas de lensois pas de Lensois.

Quelques Lyonnais iront rôder du côté du Mac-Do tout proche, en espérant faire des rencontres intéressantes, mais sans succès.

"APRES UNE HEURE D'ATTENTE (15h), nous décisons de nous poser devant une "baraque à frite" située sur le parking , entre le Macdo et la tribune Marek.
Pas de flics, mais toujours pas de Lensois pour autant.
Bien que quelques types un peu lookés soient repérés le téléphone vissé à l'oreille.

"Nous attendons encore.
Les Lensois finissent enfin par se manifester par téléphone en s'excusant de leur retard.
Ils annoncent être une 60taine.
Mais dans le même temps des flics en tenue d'intervention se postent à proximité 15h30).

Nous attendons encore un bon quart d'heure, l'énervement gagne certains d'entre nous.
Enfin, le groupe Lensois arrive, à vue de nez, 80 types assez jeunes, mais en même temps qu'un bon escadron de Flics...

Nous ne bougeons pas, et faisons bloc face à l'impolitesse du "meilleur public de France" qui non content d'être en retard, balance des cannettes (un policier sera blessé), caillasses et... des bouts de branche d'arbres...
No comment.

Les Flics font tampons entre les deux groupes et cherchent à faire reculer les Lyonnais qui restent soudés.
Les policiers nous frappent sans ménagement à coup de tonfas. Nous ne bougeons pas.
Quelques Lyonnais, en même temps que quelques Lensois cherchent à se détacher de leur groupe respectifs. Tous se feront interceptés , très violemment par les Policiers.

Nous essayons de faire le tour de la "baraques à frites" et traversons les buissons, mais les flics nous chargent une seconde fois.

En face, le groupe Lensois se disperse. Les Flics nous font marcher en direction du parquage visiteur.

Nous sommes un peu frustrés de ne pas avoir eu une vrai "rencontre", mais néanmoins satisfaits du fait d'avoir littéralement occupé "la place Lensoise" impunément.

Le match se signalera par l'affichage ostentatoire de drapeaux Danois et un véritable hold-up de L'O.L. qui égalisera en toute fin de partie.

Le retour se passera sans encombre.




Lyon lads


Lens lads

France - Injures racistes: trois mois de prison avec sursis pour un supporter rennais - 09/02/2006

Source : AFP

Un jeune supporter du Stade Rennais (L1 de football) a été condamné jeudi à trois mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Caen pour des injures racistes à l'encontre de deux stadiers d'origine antillaise et nord-africaine.

L'homme âgé de 25 ans, fils d'un colonel de gendarmerie et titulaire d'un diplôme bac +5 en droit, a également été condamné à une amende de 1.500 euros et à une privation de ses droits civiques pendant deux ans pour "provocation à la haine ou à la discrimination raciale", a-t-on appris de source judiciaire.

Les faits remontent au 19 mars 2005, avant une rencontre Caen-Rennes. Une altercation avait éclaté entre une trentaine de supporters rennais

éméchés et des stadiers qui tentaient de les empêcher d'aller provoquer des supporters de Caen. Au milieu d'injures diverses et de jets de canettes, des insultes racistes avaient été lancées à l'encontre de deux stadiers d'origine antillaise et nord-africaine.

Les policiers avaient interpellé le jeune supporter considéré comme le meneur.

Le parquet avait réclamé une sanction de 6 mois de prison avec sursis. Après délibéré, le jeune homme a été relaxé des violences (jets de canettes de bière) faute de preuves suffisantes.

Suisse - Ils nient toute violence - 10/02/2006

Source : L'express

Le procès des présumés hooligans saint-gallois a été interrompu hier. Des témoins seront entendus en Suisse orientale. Les cinq supporters, dont quatre ultras, affirment n'avoir rien fait de répréhensible
Une deuxième audience sera nécessaire. Le procès des cinq hooligans saint-gallois présumés a été interrompu hier. L'avocat de quatre des cinq prévenus a demandé que des témoins soient interrogés en Suisse orientale. Les juges d'instruction saint-gallois et appenzellois s'en chargeront.
«S'il y a de nouveaux moyens de preuve, il faudra aussi interroger le policier qui était devant le groupe pour prouver qu'il n'y avait qu'un groupe», a dit Frédéric Hainard, qui représentait la police cantonale, plaignante dans l'affaire. Le juge Alain Ribaux l'a admis. Pour que la prévention d'émeute soit retenue, il faut prouver qu'un seul groupe a semé la pagaille entre la Charrière et la gare, ainsi que dans cet endroit, ce fameux 11 septembre 2005. Et que les prévenus en faisaient partie.

Le seul témoin entendu hier, un sous-officier de la police cantonale, l'a affirmé: «Le groupe se déplaçait de manière compacte. Ils étaient une vingtaine. Nous étions derrière». A la hauteur du centre d'entretien des Travaux publics, des cailloux ont commencé à voler. Le pare-brise de la voiture de police a éclaté. Elle n'a plus pu suivre les hooligans.

Hier, tous les prévenus l'ont dit: ils ne faisaient pas partie du groupe. Agés d'une vingtaine d'années, quatre d'entre eux, tous Suisses, se connaissent et affirment avoir suivi les événements de loin. Arrivé à la gare, le premier aurait acheté une boisson au kiosque et se serait rendu sur le quai, puis serait monté dans le train avant d'être arrêté. Les trois autres se seraient rendus au McDonald's. Environ une demi-heure plus tard, ils ont aussi été arrêtés sur le quai.

«Je connais le football et il y a toujours des problèmes avec les ultras»

Le cinquième prévenu, originaire d'ex-Yougoslavie, affirme être allé à la gare tout seul en suivant un parcours différent. Puis, il a aussi mangé au Mc'Do. «Je suis allé sur le quai No 1, puis j'ai traversé les voies. Alors, la police m'a arrêté.» Cette dernière aurait trouvé des traces de ballast sur sa veste. Il nie avoir lancé des pierres.

«Avez-vous fait un geste contre la police?», demande le juge aux prévenus. «Non. Et puis, je vais devenir policier», répond un des prévenus. «Pourquoi? Nous avions gagné (réd: Saint-Gall avait battu Neuchâtel Xamax 1-0)», dit un autre. «Etes-vous membres du fan's club de Saint-Gall?», questionne encore Alain Ribaux. Tous répondent par la négative. Il s'avère toutefois que les quatre Suisses appartiennent au Green Flash, le groupe d'ultras de Saint-Gall. «Je connais quand même le football et il y a toujours des problèmes avec les ultras», dit le juge. «Beaucoup d'ultras trouvent que certains posent trop de problèmes», répond un des prévenus.

L'avocat et les prévenus estiment aussi que la police a procédé aux arrestations par hasard. Pour le représentant de la police cantonale, pour arrêter tout le monde, il aurait fallu 200 policiers. Une trentaine d'arrestations ont été effectuées par une soixantaine d'agents.

Dans le cadre de cette affaire, les sept mineurs jugés à Saint-Gall ont été acquittés. Les juges ont estimé que le dossier de la police n'était pas assez étoffé. A la décharge de celle-ci, notons que les affaires de ce type, heureusement, ne sont pas nombreuses dans le canton de Neuchâtel.

Belgique - Dix supporteurs de Bruges poursuivis pour hooliganisme et racisme - 07/02/2006

Source : AFP

Le procès de dix supporteurs du club de football du FC Bruges (1re div. belge), soupçonnés d'appartenir à une bande de hooligans, BCF (Bruges Casual Firm), à tendance raciste, s'est ouvert mardi devant le tribunal correctionnel de Bruges (nord).

Les dix supporteurs doivent répondre d'association de malfaiteurs et, pour certains, de faux en écriture et infraction à la loi réprimant le racisme.

Via internet, ils se seraient rendus coupables d'incitation à la violence lors de matches du championnat de Belgique et en Coupe d'Europe.

La bande de hooligans avait été démantelée après des incidents lors du match de Ligue des champions opposant Bruges au club turc de Galatasaray, le 23 octobre 2002.

Le tribunal a entendu mardi le témoignage de deux agents de la police brugeoise. L'affaire a été renvoyée au 18 avril prochain, avec l'audition d'autres témoins.

D'après l'agence Belga, les plaidoiries et le réquisitoire du procureur sont programmés le 6 juin.

Italie - Actes racistes et antisémites dans le Calcio: l'arbre qui cache la forêt - 13/02/2006

Source : AFP

Les récents actes racistes et antisémites qui ont marqué le Calcio cachent un phénomène diffus et durablement inséré dans les stades italiens, contre lequel autorités, instances du football et clubs ne font pas assez, estiment des spécialistes.
Une rencontre émaillée par des cris de singe, que tente d'interrompre un défenseur ivoirien de Messine, Marc-André Zoro; un attaquant de la Lazio Rome, Paolo Di Canio, auteur à plusieurs reprises de saluts fascistes; des banderoles et drapeaux pro-nazis déployés lors du match Rome-Livourne: ces épisodes ont rempli les journaux depuis le début de saison et provoqué de nombreuses réactions politiques, parfois dans une totale cacophonie.

"On a eu la fausse impression que le phénomène avait diminué, car il n'y a pas eu d'événement exceptionnel depuis la triste banderole +Auschwitz est votre patrie, les fours vos maisons+", brandie par les supporteurs de la Lazio lors d'un derby en 1999, explique à l'AFP la coordinatrice italienne du projet européen Fare (Football contre le racisme en Europe), Daniela Conti.
En réalité, du nord au sud de la Péninsule, de nombreuses tribunes sont infiltrées par des mouvements d'extrême droite, comme à l'AS Rome, où le groupe "Tradition et distinction" a fait son apparition dans des travées historiquement classées à gauche.
"La série d'actes racistes est très longue, mais elle passe inaperçue", poursuit Mauro Valeri, auteur d'une étude -- "La race sur le terrain" -- sur la présence des joueurs noirs dans le football.
"De plus, quand un épisode éclatant fait réagir, certains ne fustigent pas cette forme de haine. Ils regrettent simplement +l'entrée des idées politiques+ dans les tribunes", ajoute-t-il, en se demandant "ce qu'ont à voir la politique et les croix gammées".
Cet enseignant en "sociologie des relations ethniques" a recensé depuis le début de saison les sanctions prises par la Ligue (Lega Calcio) contre les clubs pour les actes racistes de leurs supporteurs.
De l'élite du Calcio à la troisième division, plus d'une quarantaine d'amendes ont été prononcées.
A une seule reprise cette saison un arbitre a interrompu une rencontre pour que les "tifosi" de la Triestina (2e div.) retirent une bannière interdite.
Le débat sur l'interruption du jeu a ressurgi il y a dix jours, après la rencontre Rome-Livourne, quand des banderoles reprenant la devise des soldats de Hitler ou menaçant les adversaires du "four" ont été déployées dans une tribune de l'AS Rome sans que joueurs, dirigeants, arbitres ou autorités ne réagissent.
Mais les instances du football rappellent que l'arbitre n'a pas cette compétence. Et le ministre de l'Intérieur Giuseppe Pisanu a expliqué qu'une suspension du match aurait pu jeter de l'huile sur le feu.
Le manque d'actions contre le racisme est également pointé du doigt.
"Il se passe très peu de choses dans le milieu scolaire et dans les écoles de football, les clubs ne sont pas mis à contribution et les initiatives positives prises par certains groupes de supporteurs, comme à Pérouse (centre) ou Venise (nord), sont isolées et peu soutenues", déplore aussi Daniela Conti.
Selon elle, "ce qui se passe dans les stades est aussi un reflet de la société. L'Italie est un pays d'immigration tardive et elle est dirigée aujourd'hui par une classe politique qui n'est pas franchement tournée vers le multiculturalisme", ajoute-t-elle.
Récemment, le parti populiste et xénophobe de la Ligue du Nord s'était insurgé contre l'Inter Milan pour n'avoir aligné que des joueurs étrangers lors d'une rencontre européenne.
Et en pleine polémique sur les saluts fascistes de Paolo Di Canio, le chef du gouvernement Silvio Berlusconi, avait relativisé ce geste, en qualifiant le joueur de "brave garçon, un peu exhibitionniste", en tout cas "pas représentatif" des jeunes Italiens.

Fc Zurich - Fc Bâle - 12/02/2006

Source : Teletexte + Dai-basilea website

Lille OSC - Paris SG - 12/02/2006

Source: mail - CR local

Rendez-vous tôt dans l'après midi pour les supporters du club de Lille. Le contingent grimpe tout doucement au long de l'après midi pour atteindre les 80 unités vers 18h30... Contact est pris avec nos visiteurs durant l'après midi. Le chiffre de 40-50 unités est annoncé. Difficulté pour eux de venir librement sur Villeneuve d'Ascq, la police faisant un bloquage de toute part...

L'heure avance, le contingent lillois perd des unités, Paris annonce leur arrivée imminente dans le secteur, il est 20h30, décision est prise par le groupe Lillois (50-60 unités) d'aller à leur rencontre... Arrivée sur une grande route, les parisiens sortent des immeubles et arrivent sur le côté.

Groupe d'environ 70-80 parisiens, contact assez violent sur la premiere ligne durant 30 bonnes secondes (20/20), pas de reel avantage pour l'un ou l'autre, les flis chargent derrière les lillois entrainant l'extinction du contact... Les groupes explosent, Lille se regroupe tant bien que mal entouré de flics, idem pour Paris. Deux petits groupes arrivent tout de même à se rejoindre pour un nouvel affrontement. C'est donc 5-10 Lillois face au double de parisien, le résultat est sans appel, lille recule. Fin des hostilités.

Mobilisation moyenne côté lillois, arrivée tardive parisienne (mais compréhensible) qui a entrainé la perte d'unité lilloise (ha les amoureux du football!). Très joli contact, aucune arme, pas de lynchage. Très bonne organisation parisienne pour arriver démarquée des flics. L'année dernière sans la police Paris aurait explosé, cette année cela aurait surement été l'inverse.

RAS après match.

Lille, Paris : Respect.

Hajduk - Dinamo - 12/02/2006

Source : L'EQUIPE + vecernji-list website

Injures racistes à Split

Le Premier ministre croate Ivo Sanader a dénoncé les insultes racistes proférées dimanche lors de l'affiche du Championnat Hajduk Split-Dinamo Zagreb

«Nous vivons dans un siècle où la tolérance doit être cultivée. Nous devons empêcher les actes racistes», a déclaré Sanader en référence aux cris de singe des supporters de Split visant un Camerounais et deux Brésiliens évoluant à Zagreb.

Déjà condamné pour une banderole raciste en décembre, le Hajduk Split risque une amende d'au moins 17.000 euros et l'équipe pourrait aussi être contrainte de jouer sa prochaine rencontre à domicile à huis clos.

Fans de l'Ajax indésirables à La Haye - 15/02/2006

Source : L'Equipe + AFP

Après les violents affrontements du week-end dernier entre supporters de l'Ajax Amsterdam et de ADO La Haye, les autorités locales ont pris des mesures fortes. Tous les supporteurs de l'Ajax seront interdits de stade à La Haye pendant cinq ans.

«Ce qui s'est produit vendredi est très grave. C'était quasiment un attentat», s'est insurgé Wim Deetman, le maire de La Haye. Vendredi soir, environ 70 hooligans de l'Ajax munis de battes de base-ball avaient envahi le local des supporteurs de La Haye, blessant plusieurs personnes. La police néerlandaise avaient procédé à dix arrestations.

*************************************************************

Tous les supporteurs de l'Ajax Amsterdam (1re div. néerlandaise de football) seront interdits de stade à La Haye ces cinq prochaines années, ont annoncé mercredi les autorités de la ville de La Haye en réponse aux violences commises par des groupes de hooligans vendredi dernier.
"Ce qui s'est produit vendredi est très grave. C'était quasiment un attentat", s'est insurgé Wim Deetman, le maire de La Haye, pour justifier la sanction prise en concertation avec les clubs concernés et la Fédération néerlandaise de football (KNVB).

De violents affrontements avaient eu lieu dans la nuit de vendredi à samedi entre des partisans de l'Ajax et des supporteurs de ADO La Haye, la veille du match du championnat entre les deux équipes.

Environ 70 hooligans "ajacides" munis de battes de base-ball avaient mené une opération organisée et extrêmement brutale en envahissant le local des supporteurs de La Haye, blessant plusieurs personnes. La police néerlandaise avaient procédé à dix arrestations.

De son côté, le maire d'Amsterdam Job Cohen a ordonné, mercredi également, la fermeture du local des supporteurs de l'Ajax situé au stade ArenA.

Lors de perquisitions menées à la suite de ces violences, la police avait découvert des armes et des drogues dures, a indiqué l'agence de presse néerlandaise ANP.

Selon la presse néerlandaise, la fermeture du local des supporteurs de l'Ajax aurait également pour but d'empêcher de nouveaux affrontements entre hooligans.

La police néerlandais suspecte des partisans de ADO La Haye de vouloir mener une expédition punitive à Amsterdam, comme le laissent penser plusieurs messages haineux diffusés sur internet ces derniers jours.

FC Sochaux - AJ Auxerre - 18/02/2006

Source: mail

Contact avant la rencontre entre une 10aine de visiteurs et des locaux, plus nombreux.

Fiorentina - Lazio Roma - 19/02/2006

Source: Ansa

Une bagarre entre supporters laziale a éclaté à l'intérieur même du stade. Trois supporters romains devant sortir de leur tribune sous les coups.

Rosenborg (Tronheim, Norway) - Zenit St. Petersburg - 15/02/2006

Source: post

Espagne - amende record pour deux supporters d'Osasuna - 16/02/2006

Source : AP

Deux supporters du club espagnol d'Osasuna vont devoir payer une amende record de 12.000 euros chacun pour avoir attaqué le bus de l'équipe de Saragosse après un match de championnat d'Espagne samedi, rapporte jeudi l'agence de presse EFE.

La Commission espagnole anti-violences a déclaré que les deux hommes avaient jeté des "pierres, des bouteilles et d'autres objets sur le bus, ainsi que sur des officiels et des véhicules de police" à l'extérieur du stade Reyno de Navarra d'Osasuna, dans la banlieue de Pampelune, obligeant le bus à retarder son départ. Le match s'est conclu sur un nul 1-1.

Cherepovets, Russie: SteelFans+OG (FC Sheksna Cherepovets - 3ème division Russe - zone Ouest) vs Stroitel Hooligans (Bandy Club Stroitel Syktyvkar)- 09/02/2006

Source : STROIHOOLS website

Contact 35 contre 25.


Stroitel Hools




Cherepovets

Russie hockey 2nème division (zone Est): HC Dynamo-Energya Ekaterinburg - Tracktor Chelyabinsk - 18/02/2006

Les hools de Chelyabinsk lors de l'attaque et du vol d'une bannière de locaux

Hammarby - Ik Start - 12/02/2006

Source : Stockholm södra

Eintracht Braunschweig - Dynamo Dresden - 17/02/2006

Source : SAT1 NEWS

La police a annoncé une procédure judiciaire à l'encontre de 15 hooligans du Dynamo, sur les 200 qui ont provoqué des incidents après le match contre Brunswick et jetés des pierres sur la police. Les motifs retenus sont coups et blessures et dégradations volontaires, notamment sur des véhicules.


Source : OSL BAND

FC Metz - Marseille - 19/02/2006

Source: Faction Metz website

Journée pluvieuse sur Metz pour la venue de Marseille. Plusieurs petits groupes de marseillais sont repérés en ville dont leurs amis Belges du Standard de Liège. Une vingtaine de mecs de la Faction reste au chaud dans un café et surtout à l'abri des flics. Tout d'un coup, nous voyons un cortège de 40/45 Marseillais (fana) et Belges, on les laisse s'éloigner, puis à 200 mètres nous lançons la charge. Quasi tous les marseillais ont une ceinture à la main, la moitié de leur groupe se casse en courant. La première ligne Marseillaise cède alors sous les violents coups messins. Nette et belle victoire messine; nous relevons les derniers marseillais à terre en leur souhaitant un bon match.

Karlsruher SC - SC Freiburg - 17/02/2006

Source : SAT1 NEWS

Une violente bagarre a éclaté sur une aire d'autoroute entre 2 bandes rivales de hooligans, soit 30 hools de Karlruher et leurs homologues de Freiburg, après la rencontre de 2ème division. Il y a plusieurs blessés durant l'affrontement et 2 véhicules ont été endommagés. Selon la police, cet affrontement a été planifié par téléphone.

PARIS SG - LE MANS - 18/02/2006

Source : LE PARISIEN

Suisse : 2 Bâlois incarcérés - 20/02/2006

Source : TSR

Deux fans du FC Bâle, âgés de 25 et 23 ans ont été condamné à 30 jours de prison suite aux incidents contre ZÜRICH. Ils ont en outre reçu une interdiction de stade de deux ans. Les deux supporters avaient été identifiés sur la base des enregistrements vidéo. Ils ont admis leur acte.

AS Roma - FC Bruges - 23/02/2006

Source: Ansa + forums

Neuf supporters de Bruges seront légerement blessés lors de troubles survenus avec un groupe de supporters romains, peu après la fin de la rencontre.
Ces incidents se sont déroulés à la place De Bosis, où des objets ont été lancés sur des supporters belges.
Un millier de Belges avaient effectué ce déplacement.

---------------------------------------------------------------

Source: Roma fans views mixed

Avant la rencontre, il semble que vers 19h30 une 50aine de membres de la BCF de Bruges se soient présentés aux chants de 'Club Brugge Hooligans' sur la place Mancini.
Alors qu'ils cherchaient des Belges depuis deux heures, aux alentours du stade, des Romains présents ont été au contact, qui fût violent.
Une charge locale fit éclater le groupe belge en deux parties.
Un groupe plus nombreux prit d'autres coups en si dirigeant la place Maresciallo Giardina, tandis qu'un autre, moins nombreux tentait de résister aux Romains, avant de lâcher prise.
Le tout durant plus de 5 minutes.
Les forces de l'ordre interviendront et escorteront les Belges qui tenteront une nouvelle fois d'affronter les Romains.