Saison 04/05 - Mai

AC Milan - Palermo - 21/05/2005

Source: Ansa

Quatre personnes seront blessées lors d'incidents survenus après la rencontre.
Parmi ces 4 personnes, deux sont des stewards, un autre est un supporter de Palermo et la 4e sera blessée d'un coup de couteau.

Rennes - RC Strasbourg - 21/05/2005

Source: vue d'un local

Côté BS, picnic organisé dès 14h à notre endroit habituel.
Environ 25 personnes présentes. Quelques échos nous faisant soupçonner d'une présence strasbourgeoise. A partir de 16h30, les esprits étant échauffés, contacts téléphoniques infructueux, un stras nous indiquant qu'ils sont en ville mais pas intéressés.
Finalement 1h avant le match, sous l'impulsion de 4 IDS des Breizh Stourmer, 3 autres BS se dirigent vers le parkage visiteur (les autres n'y croyant pas trop). Notre nombre est donc de 7, plus une caméramane. On patiente dans une petite rue, on envoie un gars en éclaireur. Les UB sont annoncés à 50 mètres du parkage. Un chant de notre côté, ils s'approchent d'un ponton et sont environ 25. Les 7 BS vont directement en leur direction, les UB sont hésitants et reculent de quelques mètres sur le ponton (n'ayant aucune idée de notre nombre). Une fois sur le ponton, les BS font face aux UB, qui, sous l'impulsion de qques meneurs, décident de venir au contact. Les BS encaissent beaucoup de coups sur le ponton, et reculent au bout d'un moment. Puis les UB font demi-tour, et les BS en redemandent, donc les leaders strasbourgeois reviennent, s'en suit encore des bons coups à leur avantage.
Au final, 2 BS au samu, et 1 UB à l'infirmerie.

Pendant le match, nouveaux contacts telephoniques, mais à priori ça n'intéresse pas les stras (on va pas leur reprocher, on fait la même chose desfois).

Après le match, une 15aine de BS reviennent au ponton. Le car UB arrive escorté (pas le choix pour eux on le reconnait). Un BS s'avance et met un coup dans le car, 4 UB descendent : une canette balancée, une barrière jetée, et 2 matraques sorties. De notre côté, 2 caillasses (vitres pétées semble-t-il). Pas de contact (hormis un gars à matraque face à un gars de chez nous mains nues), car les flics à proximité.

Grasshopper Zurich - FC Basel - 21/05/2005

Source: AP + forum Suisse

Des fans des clubs de football Grasshopper et FC Bâle se sont bagarrés après que leurs équipes se soient affrontées samedi soir à Zurich. Des fans bâlois ont aussi mis le feu au tribune dans la partie ouest du stade après le match.
Le feu a provoqué des dégâts importants, dont on ignore encore le montant, a indiqué la police de la ville de Zurich. Le pire n'a pu être évité que grâce à la rapide intervention des pompiers.
Personne n'a pas été blessé. Le feu a provoqué des trous dans la tribune.
Après le match, les hooligans se sont aussi affrontés à l'extérieur du stade. Mais la présence policière a empêché que les différentes escarmouches ne dégènèrent en affrontement grave.
D'autres escarmouches ont encore eu lieu en plusieurs endroits. Un fan zurichois blessé a dû être transporté à l'hôpital. Le dernier affrontement s'est déroulé à la gare vers 20h30. La police n'a arrêté personne.
Mais la majorité des supporters ont pu rentrer sans emcombre chez eux. Le dernier train supplémetaire en direction de Bâle est parti peu après 20h00 avec près de 800 personnes à son bord.

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Un contact aura lieu à proximité de la tribune des locaux, 70 Bande Basel (50+20 Allemands de Manheim, Köln et du Dynamo Dresden) affronte 40 Zurichois (HF, City Boys et des Allemands de KSC). La charge sera à l'initiative de Zurich, mais rapidemment Basel prend le dessus, Zurich court...
Après le match, de nouveaux contacts éclateront, entre autre à la gare, toujours à l'avantage de Bande Basel.

OGC NICE - AJ AUXERRE - 21/05/2005

Source : sites niçois

Reggina - Lecce - 22/05/2005

Source : DATASPORT

Le match fut interrompu quelques minutes, à la suite de jets de fumigènes sur la pelouse, lancés depuis le bloc réservé aux fans de Lecce.

SOCHAUX-FC NANTES (suite)

Source : LE PAYS

Du jamais vu à Sochaux

Sept blessés, 350 sièges détruits, des toilettes détruites… Le bilan des incidents provoqués par les supporters déchaînés des Canaris, samedi soir à Bonal lors du match Sochaux — Nantes, est très lourd.

Pierre Schlatter, responsable de la sécurité à Bonal, est le premier à l'affirmer : « Je n'ai jamais connu des incidents prenant de telles proportions à Bonal. Nous avons déjà eu un filet arraché et quelques sièges arrachés Lors d'un Marseille — Sochaux. Mais là, ce match ternit toute une saison. Maintenant, on parle de nous dans la France entière… ». À la suite de la défaite des Nantais face à Sochaux, les supporters des Canaris — un public pourtant très souvent loué — ont laissé éclater leur colère. En arrachant tout d'abord 350 sièges et détruisant les portes, toilettes et extincteurs se trouvant à portée de mains et de pieds. Tout ceci avant d'envahir la pelouse pour s'en prendre violemment aux stadiers. « Le bilan est très lourd », affirmait hier Pierre Schlatter.

“ Les supporters sochaliens nous ont aidés”

« Quatre stadiers ont été frappés au visage à coups de sièges et de leurs supports avant d'être transportés à l'hôpital. Entre 6 et 30 points de sutures ont été nécessaires pour soigner leurs plaies avant qu'ils puissent regagner leur domicile. En revanche, Rachel Copin, une jeune stadière de Montbéliard, est toujours à l'hôpital. On lui a fracturé l'os orbital avec un… poteau de corner ! Son état a nécessité qu'on l'opère à Belfort ». Côté Nantais, on déplore trois blessés qui n'ont pas demandé leur reste puisqu'ils sont repartis en train. « J'ajouterai que lors de ces incidents, les supporters Ultras sochaliens nous ont prêté main forte », insiste Pierre Schlatter qui devait gérer ce soir-là 120 stadiers, finalement sans grand pouvoir. « Nous n'avons guère plus de moyens qu'un simple citoyen. Hormis la palpation à l'entrée, nous n'avons qu'une mission de repérage et de dialogue. Nous ne sommes pas là pour nous faire taper dessus ».

“ On vous amène des gentils”

Le problème est que pour assurer la sécurité de ce match, seuls 25 policiers étaient présents, face aux 500 Nantais. « Nous avons eu connaissance de l'arrivée d'un train spécial seulement lundi dernier. "On vous amène des gentils", nous ont même indiqué les responsables nantais ! Nous avons demandé que des renforts policiers soient mis en place, mais les délais ne l'ont sans doute pas permis… Il nous a manqué une demi-compagnie de CRS. Le temps que les policiers protègent les familles et les supporters sans histoire, il a ensuite fallu qu'ils s'équipent pour d'intervenir », déplore Pierre Schlatter qui assure pourtant vouloir éviter la polémique avec les services de police. « Ce qui est sûr c'est que nous allons nous retrouver autour d'une table car tout le monde nous demande des comptes, même le président de la LFP s'inquiète ». Il est à signaler enfin que les scores des autres matches, pouvant attiser la colère des Nantais informés que leur club était désormais relégable, n'auraient peut-être pas dû apparaître sur le tableau d'affichage (lors des deux dernières rencontres), comme le prévoit le règlement d'après certaines sources.
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« Le dispositif conforme pour un tel match »

Le commissaire Gauthier de Montbéliard affirme que le dispositif policier disposé samedi aux abords de Bonal avait été arrêté en concertation avec le responsable de la sécurité du stade.

Dimanche animé, hier, au commissariat de Montbéliard où le commissaire Emmanuel Gauthier et le commandant Jean-Bernard Duffait s'efforçaient d'analyser les événements de la veille à Bonal. Leur souci majeur, à la mi-journée, était d'enrayer toute polémique sur la réactivité de la police samedi soir, lorsque des supporteurs nantais ont commencé à démonter et à casser des sièges dans la tribune des visiteurs (dans le virage sud-est) pour les lancer sur la pelouse. « J'ai lu dans la presse que certains s'étonnent du manque de réactivité de la police. Je suis surpris. Mais avant tout, je dois préciser que la police n'intervient que sur réquisition du responsable de la sécurité du stade. Or, samedi, il s'est écoulé cinq bonnes minutes avant que nous soyons alertés des incidents qui se déroulaient à l'intérieur du stade et au sujet desquels nous n'avions pas d'information », commence le commissaire Gauthier. À ses côtés, le commandant Duffait acquiesce. « Il faut ajouter que l'accès sud-ouest était barré par une grille qui est toujours ouverte en temps normal. Or, c'est par cette entrée que se font toutes les interventions de la police. Cette grille ne laissait qu'un espace de 25 cm à 30 cm libre entre elle et le sol. Chacun de mes hommes et moi-même, avons dû nous glisser sous la grille, avec tout notre barda d'intervention, casque, arme, matraque, gilet pare-balles. Vous imaginez combien ce fut simple… Bref, on a perdu beaucoup de temps pour accéder à la pelouse », témoigne l'officier.

Communication défaillante

Question : pourquoi cette grille était fermée ? « Je l'ignore. Même M. Pierre Schlatter, le responsable de la sécurité du stade Bonal s'est montré surpris d'apprendre qu'elle était fermée », répond le commissaire Gauthier. Manifestement, il y a eu « une lacune dans la communication interne du service de sécurité du stade, d'une part, et dans la communication avec nos services d'autre part », soutiennent les deux responsables de la police. Pourtant, ce match s'annonçait sous de bons auspices et rien ne laissait présager une telle flambée de violence dans les rangs des supporteurs nantais. « Nous avions fait le point avec les responsables de la sécurité des deux camps et nous étions convenus d'un dispositif léger, sans moyens supplétifs », assure le commissaire Gauthier. « Tout juste avons-nous été prévenus, samedi, de la présence d'un petit groupe de supporteurs éméchés parmi les 480 passagers du TGV spécialement affrété par le club de Nantes. Nous avons pris des dispositions pour les canaliser dès leur descente en gare de Montbéliard et assurer leur acheminement jusqu'au stade dans de bonnes conditions. Hormis quelques rayures sur des voitures garées le long du trajet, on n'a déploré aucun incident », commente le commandant Duffait. Que s'est-il donc passé en fin de match ? « Nous avions donc opté pour un dispositif comprenant 25 policiers en tenue auxquels pouvaient se joindre rapidement les fonctionnaires de Police Secours, afin d'atteindre un effectif de 35 à 38 hommes. Ces fonctionnaires étaient dispersés aux abords du stade durant la rencontre. Un peu avant la fin du match, j'ai commencé à organiser le rapatriement d'une partie de ces fonctionnaires vers la tribune sud-est qui accueille les visiteurs. Notre mission était de les faire patienter jusqu'au départ du dernier spectateur, puis de les escorter à pied jusqu'à la gare et d'assurer leur montée à bord du train sans incident », explique le commissaire Gauthier, qui se trouvait donc au pied de la tribune nord-est.

Plusieurs interpellations

« Soudain, j'ai entendu annoncer qu'il y avait des incidents dans la tribune des visiteurs. J'ai foncé jusqu'à l'entrée sud-ouest, qui lui fait face, pour visualiser la situation. Nous nous sommes heurtés à une grille fermée. Le temps que le commandant Duffait et ses hommes pénètrent sur la pelouse, les incidents avaient déjà eu lieu. Nous avons pu néanmoins procéder à l'interpellation de deux supporters nantais », confirme le commissaire qui a ensuite rapatrié ses troupes à l'entrée de la tribune des visiteurs pour éviter tout débordement à la sortie. « Leur acheminement jusqu'à la gare s'est passé dans le calme. Il faut dire que la plupart des supporteurs nantais étaient des gens très respectables, regrettant et déplorant sincèrement ces incidents qui ternissent leur image et celle de leur club », ajoute le commissaire, qui loue également l'attitude des supporteurs sochaliens. Quant aux deux supporteurs interpellés, eux aussi sont repartis libres en direction de Nantes après avoir été entendus par les policiers. Mais ils n'en sont pas quittes pour autant avec la justice. « Le procureur de la République, M. François Pucheus, a réagi immédiatement et avec fermeté. Il a demandé l'ouverture d'une information judiciaire, qui offre un cadre plus large à l'enquête », soutient le commissaire, expliquant que les deux hommes, âgés de 22 ans, seront ultérieurement réentendus à Nantes. En tout cas leur dossier sera suivi de près par le parquet de Montbéliard. « L'ouverture d'une information permettra notamment de saisir les enregistrements réalisés par les caméras vidéo de surveillance », précise M. Gauthier.

Ouverture d'une information

Réaction immédiate également à l'encontre d'un supporteur sochalien, un habitant de Solemont qui a été surpris ivre à la sortie du stade alors qu'il s'apprêtait à prendre le volant de son véhicule. Il devra s'en expliquer ce matin devant les magistrats montbéliardais dans le cadre d'une comparution immédiate. Il sera en outre poursuivi pour introduction de boisson alcoolisée à l'intérieur du stade et risque de se voir notifier de surcroît une interdiction de séjour à Bonal. Il ne sera pas seul à la barre : deux autres personnes risquent de se tenir à ses côtés. Le responsable de la « buvette » des « ultras » de Sochaux, tout d'abord, un Montbéliardais de 23 ans, qui a reconnu que le petit local aménagé au pied de l'escalier de la tribune nord-est abrite bien des boissons alcoolisées qui sont achetées par des supporteurs et ensuite introduites dans le stade. Le convoyeur ensuite, celui qui livre les boissons à borde de sa camionnette et qui était activement recherché hier par la police afin de rejoindre les deux autres en garde à vue.
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Quelles sanctions pour le FCSM ?

Pierre Wantiez, le directeur administratif du FCSM, est l'un des mieux placés pour parler de ces graves incidents. Présent sur la pelouse de Bonal dès le coup de sifflet final, il s'est en effet dirigé immédiatement, entre deux chaises volantes, vers le virage des supporters nantais. Il a alors pu constater l'incroyable passivité des… onze stadiers du FC Nantes devant les débordements des 500 personnes qu'ils étaient censés surveiller. « Les types sont restés complètement stoïques, raconte Wantiez. Moi, j'ai demandé à nos stadiers de reculer quand les chaises volaient. Ceux du FC Nantes n'ont même pas essayé de faire écran ! 30 types ont alors voulu rentrer sur la pelouse, et ils l'ont fait. Ensuite, quand les premiers Nantais ont été arrêtés, j'ai surtout veillé à ce qu'aucun coup ne soit donné. À Sochaux, on essaie de répondre à la bêtise autrement que par la violence ». Toujours est-il que ces débordements des visiteurs pourraient coûter cher au FC Sochaux, montré du doigt depuis hier pour n'avoir su faire régner l'ordre dans son stade. Sûrement pas jeudi, mais plus certainement dans les deux ou trois semaines à venir, les dirigeants doubistes devront ainsi s'expliquer à Paris. « On va être convoqué devant la commission de discipline, imagine Pierre Wantiez. Seulement, on va s'expliquer, on ne voudra pas être les seuls responsables. On va peut-être nous reprocher de ne pas avoir mis de maître-chien par exemple ; on assumera alors notre choix d'un football familial ». A priori, aucune suspension de terrain ne devrait être en jeu. Il est par contre très délicat d'estimer la note que devront payer Sochaliens et Nantais après cette soirée hallucinante.
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La fièvre du samedi noir

Source : L'ALSACE

La violence engendrée par les supporters nantais samedi soir a laissé des images qu'on pensait ne jamais voir dans le stade doubiste.
Il y avait bien des petits signes qui laissaient entrevoir que quelques supporters nantais étaient « chauds », l'alcool aidant, avant la rencontre et pendant. Mais c'est tout. Rien qui ne pouvait susciter de profondes inquiétudes à l'issue de la partie. Et pourtant. Aux environs de 22 h 40, l'arbitre siffle la fin du match. Dans le même temps, les fans des « Canaris », placés, comme pour tous les supporters visiteurs, dans la « cage » située dans un des « virages » du stade, commencent à arracher des sièges et à les jeter en direction des stadiers qui ont formé un cordon d'une trentaine de personnes environ. D'autres hommes « oranges » sont en rang de chaque côté du virage et derrière. Des dizaines et des dizaines de sièges pleuvent vers le point de corner. Des sifflets du public sochalien accompagnent cette « averse » inattendue. Les supporters nantais ont cependant un objectif : atteindre la tribune présidentielle pour faire part de leur mécontentement à Jean-Luc Gripond le président du FCNA. Alors, dans un premier temps, quelques dizaines de Nantais descendent à la hauteur de la pelouse et bombardent les stadiers en reprenant les sièges déjà arrachés, entraînant des blessures pour quelques personnes de la sécurité ; lesquelles cèdent sous la pression. Vingt ou trente énergumènes foncent alors vers l'entrée du tunnel et un peu partout, comme des chiens fous sur tout le terrain. Quelques-uns se font reprendre manu militari par des stadiers. On redoute le pire lorsque quelques Nantais se dirigent vers la tribune Nord où sont les Ultras sochaliens. Fort heureusement, à part quelques dizaines d'irréductibles excités qui répondent à la provocation des « visiteurs » en descendant sur le terrain pour jouer les karatékas de service, les supporters des « Jaune et Bleu » ne mettent pas trop d'huile sur le feu. Ouf ! Il y a bien quelques rings improvisés aux quatre coins de la pelouse, donnant au Stade Bonal un décor invraisemblable, jamais vu et laissant le public incrédule. C'est au moment où la police arrive (une vingtaine d'unités casquées) sur la « verte » que tout commence à rentrer dans l'ordre. On compte les blessés (quatre stadiers et trois supporters nantais), les arrestations (deux Nantais) et les dégâts matériels (350 sièges et des extincteurs arrachés, les WC détruits, etc.). Bonal vient de vivre une demi-heure cauchemardesque que les 18 000 spectateurs n'oublieront pas de sitôt.

Trois personnes blessées lors du sacre de Fenerbahce - 22/05/2005

Source : REÜTERS

Trois personnes ont été blessées par des balles perdues lors des manifestations qui ont accueilli le titre de Fenerbahce, sacré pour la 16e fois champion de Turquie, rapportent les médias locaux.
Un adolescent de 14 ans a été grièvement touché à la tête alors qu'il se trouvait sur le balcon d'un appartement d'Istanbul.
Une pratique courante est de tirer des coups de feu en l'air pour saluer certains événements importants.
La police turque n'a pas fait de commentaire.
Istanbul se prépare à accueillir des milliers de supporters anglais et italiens qui viennent assister à la finale de la Ligue des champions mercredi.
Environ 10.000 membres des forces de l'ordre ont été réquisitionnés pour le match.
Deux supporters anglais de Leeds United avaient été poignardés à mort lors d'une demi-finale de la Coupe de l'UEFA face au Galatasaray il y a cinq ans.

FC METZ - PSG FC - 21/05/2005

Source : REPUBLICAIN LORRAIN

Deux supporters parisiens privés de match

Bien avant la rencontre qui s'est soldée samedi soir par la victoire du FC Metz sur le PSG, les supporters de la capitale se sont opposés aux forces de l'ordre. En matinée, un supporter parisien arrivé seul en Lorraine a été interpellé en ville pour... ivresse sur la voie publique. Conduit éméché à l'hôtel de police, il est ressorti à temps pour assister à la défaite de son équipe.
Plus près du stade, en début de soirée, un autre inconditionnel du PSG âgé d'une trentaine d'années a pris à partie les policiers chargés de sécuriser la rencontre et canaliser les ardeurs. Conduit au poste, il en a été quitte pour un rappel à la loi. Il a toutefois été privé de match.
Tout comme son jeune compatriote de 22 ans qui, lui a été intercepté aux portes de Saint-Symphorien avec une grenade fumigène. Ce dernier, en revanche, fait l'objet d'une convocation à comparaître en justice. Trois cas isolés rapidement cernés par des policiers en nombre samedi soir.
Le dispositif mis en place pour palier à d'éventuels débordements a été particulièrement efficace. Notamment, avant la rencontre où une horde de supporters parisiens ont tenté de forcer les entrées du stade.
Sans billets, ils ont été refoulés à l'extérieur, côté canal. La partie terminée, c'est dans les tribunes basses que quelques supporters parisiens sont descendus provoquer les Messins. Quelques coups ont malheureusement été échangés avant que le service sécurité du FC Metz et les policiers ne remettent bon ordre dans les rangs.
Bien après le coup de sifflet final signant la victoire de Metz, nouvelle tentative de confrontation à l'initiative des Parisiens, descendus de leur bus pour en découdre. Vigoureusement interceptés par les forces de l'ordre, ils n'ont pu satisfaire leurs impulsions. Escortés dès l'autoroute à leur arrivée, les bus venus de Paris ont repris la route de la même façon, sous haute surveillance.
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Source : LE PARISIEN



Merci à l'expéditeur :wink:

Arrivée des Parisiens à proximité du stade


Incident devant la tribune des HORDA METZ


Après l'intrusion des Parisiens dans la tribune des locaux

Incidents Sochaux-Nantes: ouverture d'une information judiciaire - 22/05/2005

Source : AFP

Une information judiciaire a été ouverte lundi par le parquet de Montbéliard (Doubs) après les violences intervenues samedi après le match de L1 de football Sochaux-Nantes, au cours desquelles quatre stadiers sochaliens ont été blessés, a-t-on appris de source judiciaire.

L'information judiciaire a notamment été ouverte pour destructions en relation avec un événement sportif commises en réunion, trouble au déroulement d'une manifestation, introduction de fumigènes, usage d'arme par destination, violences ayant entraîné une interruption temporaire de travail (ITT) et violences ayant entraîné une infirmité permanente.
Cette dernière qualification concerne une stadière sochalienne de 25 ans grièvement blessée lors des incidents et qui risque de perdre l'usage d'un oeil, selon le procureur de la République de Montbéliard, François Pucheus.

Les blessures des trois autres stadiers ont nécessité la pose de six à quarante points de suture.
Une jeune supportrice nantaise a également été blessée au cuir chevelu par l'un des quelque 150 sièges de la tribune arrachés et envoyés sur la pelouse par les perturbateurs.

Une soixantaine de supporteurs nantais sur les 600 ayant fait le déplacement seraient concernés par ces violences, selon M. Pucheus qui a saisi un juge d'instruction de Montbéliard et indique que des investigations dans la région de Nantes seront menées pour identifier les agresseurs.
Deux supporteurs du FC Nantes avaient été interpellés dès samedi soir pour arrachage et jets de sièges et devraient êtres jugés au terme de l'enquête.

Liverpool-Milan AC: la police d'Istanbul sur le pied de guerre - 24/05/2005

Source : AFP

Des aéroports au stade Atatürk en passant par les principaux lieux de divertissement de la ville, un imposant dispositif sécuritaire attend les supporteurs de Liverpool et du Milan AC à Istanbul, où doit se disputer mercredi la finale de la Ligue des champions de football.

Les avions charters transportant les premiers fans des "Reds" et de l'équipe milanaise ont commencé à atterrir lundi à Istanbul, mais sur des aéroports différents - les Britanniques sur la rive asiatique du Bosphore, les Italiens du côté européen -, pour éviter tout risque de confrontation.

Les supporteurs ont été contrôlés minutieusement par la police turque - secondée par des personnels des consulats du Royaume-Uni et d'Italie et disposant de listes de hooligans - qui a été chargée de refouler tout fauteur de troubles.

Au total, plus deux 200 avions transportant au moins 40.000 supporteurs - 20.000 billets ont été vendus aux fans de chaque club - sont attendus dans la mégapole turque.

Mais il faut aussi compter 15.000 places attribuées au public européen et local, susceptibles d'être revendues aux fans italiens et britanniques. Le quotidien turc Vatan a ainsi évalué à 5000 le nombre de billets disponibles sur le marché noir. Pour parer à cette éventualité, la police d'Istanbul a mis sur pied des équipes de policiers en civil chargées de traquer les faussaires et les revendeurs.

Mercredi, les supporteurs seront convoyés en autobus par des itinéraires différents jusqu'au stade Atatürk où doit se tenir la rencontre et où ils seront regroupés dans des zones distinctes.

Dans l'enceinte, le dispositif policier sera peu visible, mais bien présent. "Environ 2600 stadiers non armés seront répartis dans les travées, plus un millier de policiers invisibles - dont 600 cachés sous les tribunes - prêts à intervenir en cas de problème", a affirmé à l'AFP M. Colgecen, chargé par la Fédération turque de football de l'organisation de la finale.

"Des unités de commandos devraient en outre stationner à proximité du stade", a-t-il ajouté. Au total, quelque 9000 policiers, vigiles et gendarmes sécuriseront les aéroports, les abords du stade, les quartiers de divertissement et les centres commerciaux, a affirmé le gouverneur de la province Muammer Guler. "Concernant la sécurité, il n'y a aucun risque", a-t-il déclaré.

Krylya Sovetov - Shinnik Yaroslavl - 15/05/2005

Source : Mail

Eintracht Frankfurt - Wacker Burghausen (2eme Div.) - 22/05/2005

Source : DPA + Presse

Des violences entre supporters de Frankfurt et la police ont conduit à l'arrestation de 27 fans. 500 policiers étaient mobilisés pour l'occasion.

Livorno-Juve : nouvelles arrestations - 24/05/2005

Source : ANSA

2 nouveaux tifosi de Livorno, Francesco De S., 20 ans, et Gabriele G., 34 ans, ont été arrêtés à leur domiciles respectifs, suite aux violences entre supporters et policiers, durant le match, qui s'est déroulé dimanche dernier.
4 autres tifosi, avaient été interpellés à cette occasion.

Karlsruher SC - FC Energie Cottbus- 22/05/2005

Source : Baden-Maniacs

VfB Lübeck - Fortuna Düsseldorf (3eme Div.) - 21/05/2005

Source : Gepflegt & Arrogant website

Le domicile de président de Nantes sous surveillance policière - 25/05/2005

Source : AFP

Le domicile du président de Nantes, Jean-Luc Gripond, a été placé sous surveillance policière, selon une source proche du club nantais, le président des Canaris étant considéré par les supporteurs nantais comme le principal responsable des errements du club, menacé par la relégation.
Par ailleurs, six vigiles d'une société de surveillance privée ont été postés autour du stade cette semaine.
Dès le deuxième match de la saison (Nantes-Bastia 1-1, le 14 août), les supporteurs ont entonné "Gripond démission !", refrain imparable de cette saison à Nantes.
Une première alerte était survenue après la défaite à Rennes (1-0) le 21 août. Les CRS rennais avaient dû repousser (sans heurts) aux abords du stade une centaine de supporteurs nantais réclamant la destitution de leur dirigeant (qui quittait l'enceinte sportive en voiture par une voie annexe pendant ce temps).
Puis une soixantaine de fans nantais ont basculé dans la violence avec les incidents à l'issue de la défaite de leur équipe (1-0) à Sochaux, samedi lors de la 37e journée de L1.
Une information judiciaire a d'ailleurs été ouverte lundi par le parquet de Montbéliard (Doubs) après ces incidents. Quatre stadiers sochaliens ont été blessés, et quelques 150 sièges ont été arrachés.
La Ligue de football professionnel (LFP) va par ailleurs mettre en place un dispositif de sécurité renforcé samedi au stade de La Beaujoire, où le FC Nantes (19e) accueillera le FC Metz pour un match décisif en vue de son maintien en Ligue 1.

Mondial-2006 - La sécurité, une "tâche gigantesque" selon Otto Schily - 25/05/2005

Source : AFP

Le ministre allemand de l'Intérieur, Otto Schily a présenté mercredi plusieurs mesures destinées à assurer une sécurité "optimale" lors de la Coupe du monde de football 2006 en Allemagne (9 juin au 9 juillet), "une tâche gigantesque" à accomplir selon lui.
"C'est une tâche gigantesque que nous avons à accomplir. Je suis convaincu que nous pourrons assurer une sécurité optimale", a déclaré M. Schily, également ministre chargé du Sport, à l'issue d'une réunion à Stuttgart avec les ministres de l'Intérieur des Etats régionaux (Länder).
(...)
Les moyens techniques vont du contrôle video à une éventuelle utilisation d'avions de reconnaissance, a souligné le ministre, qui estime à environ 10.000 le nombre de supporteurs violents en Allemagne, et autant en provenance de l'étranger.
L'un des aspects sécuritaires est la vente des billets personnalisés, déjà en cours, qui permet le cas échéant d'identifier dans les meilleurs délais d'éventuels fauteurs de trouble dans les stades.
Outre la sécurité dans les douze enceintes, M. Schily a également insisté sur la nécessité de prendre des mesures sur des places publiques où les matches seront retransmis sur grand écran pour les supporteurs sans billets, et qui doivent donner lieu à de grandes fêtes.
Un premier test des mesures est prévu lors de la Coupe des confédérations, sorte de répétition générale avant le Mondial, qui se déroule du 15 au 29 juin en Allemagne.

Iraklis Salonique - Olympiakos - 25/05/2005

Source : AFP

Cinq personnes ont été interpellées suite aux incidents survenus à Salonique (nord) après la victoire d'Olympiakos Le Pirée face à Iraklis (1-0) mercredi soir, offrant, lors de la dernière journée, le titre de champion de Grèce de football à l'équipe du Pirée.

Quatre heures après le match disputé sur le terrain d'Iraklis (0-1), un groupe de jeunes supporteurs rassemblés dans le centre-ville ont jeté des cocktails Molotov contre un véhicule de forces anti-émeutes, selon une source policière locale.

Deux autres voitures ont été endommagées, selon la police, qui n'a toutefois pas signalé de blessés.

L'Olympiakos, déjà vainqueur de la Coupe de Grèce, a réalisé le doublé cette saison, obtenant son 33e titre national.

Des incidents provoqués par les supporteurs lors des matches de football ou dans les autres sports, sont très fréquents en Grèce malgré une série de mesures prises par le gouvernement ces dernières années pour les limiter.

Brest - Lorient: sanctions - 24/05/2005

Source : Presse locale

Deux supporters brestois privés de foot
Condamnés pour les incidents après le derby Lorient-Brest

Deux jeunes supporters brestois ont été condamnés, hier, à trois ans
d'interdiction de stade de foot. Ils avaient été mêlés à des incidents après
match Lorient-Brest, le 16 décembre dernier, au Moustoir.
70 agents de sécurité, 68 stadiers, des dizaines de policiers aux abords du
stade du Moustoir... Les dirigeants du FC Lorient savaient que le match du
16 décembre risquait d'être tendu. Il s'agissait d'un derby très attendu,
Lorient-Brest. Le match ? Tout le monde en convient, il avait été plutôt
calme, malgré la sévère défaite infligée par les Merlus à leurs hôtes : 3-0.

C'est après la rencontre que les choses s'étaient gâtées. Une trentaine de
supporters brestois (sur les 461 qui avaient fait le déplacement) avaient
laissé éclater leur colère. Les insultes, menaces et crachats avaient fusé.
Il n'y avait pas de contact physique entre supporters des deux équipes,
puisqu'une grille de protection les séparait. Mais à force de la secouer,
les Brestois l'avaient fait tomber, blessant légèrement une stadière.

Ce sont ces incidents qui ont conduit deux jeunes Brestois, hier, devant le
tribunal correctionnel de Lorient. Tout deux avaient été repérés par la
police dans le petit groupe d'énervés. Les deux garçons, un étudiant de 21
ans et un chômeur de 32 ans, étaient poursuivis pour provocation à la haine
ou à la violence dans une enceinte sportive. C'est ce texte, récent, qui
permet de poursuivre les hooligans.

Des hooligans ? Les deux prévenus ont sursauté en entendant le mot. « C'est
un peu fort », se défend le plus âgé des deux, à qui l'on reproche également
d'avoir ouvert la lèvre d'un policier en lui donnant un coup de poing lors
de son interpellation. « Bon, d'accord, on n'a pas fait ce qu'un supporter
doit faire. Mais je n'étais pas dans mon état normal - j'avais bu quelques
bières - et j'étais excité. » Le plus jeune assure que ses mots et ses
gestes (il a simulé un égorgement) ont « dépassé [sa] pensée ». « Ça fait
quinze ans que je suis le Stade brestois, je n'avais jamais eu de
comportement violent avant et je ne recommencerai pas », jure-t-il.

Mais à la Fédération française de foot, à la Ligue et au FCL, on ne l'entend
pas ainsi : « C'est un exemple typique de hooliganisme comme on en voit sans
cesse sur les stades. Nous sommes démunis face à cela. Il faut une sanction
sévère. » Le tribunal a condamné les deux jeunes à deux et quatre mois de
prison avec sursis. Mais surtout, ils ont interdiction de fréquenter les
enceintes sportives pour trois ans. Viennent s'y ajouter des dommages et
intérêts pour la FFF, la Ligue, le FCL (un euro symbolique chacun) et les
deux policiers victimes de la rébellion d'un des supporters (150 € et 500
€).

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source: le télégramme

Deux Brestois interdits de stade

Le 16 décembre dernier, le match opposant le FC-Lorient au stade brestois,
au stade du Moustoir, se terminait sur le score de 3-0 pour les Lorientais.
Mais après le coup de sifflet final, le derby avait été émaillé par des
incidents opposant supporters des deux camps. Deux jeunes Brestois avaient,
hier, à répondre de leur comportement devant le tribunal de Lorient.

L'équipe de Liverpool, dans les années 80, avait vu fleurir dans les rangs
de ses supporters des hordes de hooligans qui défrayaient la chronique par
les exactions auxquelles ils se livraient. 20 ans après, Liverpool tient le
haut de l'affiche fooballistique et le phénomène hooligan est complètement
endigué. La vice-procureur, Frédérique Dubost, faisant, là, allusion au
match qui allait opposer Liverpool au Milan-AC, à Istanbul en finale de la
ligue des champions, a constaté que c'est par la répression que ces
violences ont pu être endiguées, de l'autre côté de la Manche.
C'est pourquoi, face aux deux supporters du stade brestois qui étaient
poursuivis, hier, pour provocation à la haine et à la violence dans une
enceinte sportive, à quoi s'ajoutait une rébellion pour l'un, elle a
considéré que « la sanction la plus efficace et la plus adaptée, compte tenu
de leur absence d'antécédents, était une interdiction des stades de cinq ans
».

500 supporters brestois au Moustoir

Crachats, injures, grillage de sécurité arraché, policiers malmenés. Tel est
le bilan du match du 16 décembre opposant les Lorientais aux Brestois. 500
supporters brestois avaient fait le déplacement. A l'issue de la rencontre,
ceux-ci sont canalisés pour que le reste du stade puisse être évacué dans le
calme.
« L'attente a été longue, les esprits se sont échauffés et les mots ont
dépassé la pensée », explique, à la barre, l'un des deux jeunes supporters
brestois. Toutefois, selon lui, « ça se passe toujours comme ça ».
A ses côtés, l'autre supporter brestois, reconnaît qu'ils « n'ont pas fait
ce qu'un supporter doit faire normalement ». Il ajoute qu'il n'était pas
dans son état normal : « J'avais bu quelques bières ». Cela pourrait
justifier, qu'en outre, il ait résisté aux policiers.
Tous deux ont été interpellés par les policiers après que le grillage a cédé
sous le poids de la trentaine de supporters brestois qui le secouaient.

Des comportements inadmissibles

Pour l'avocat de la Fédération et de la Ligue française de football, il
s'agit là, « d'un cas typique de violence dans les stades commis par des
personnes qui se considèrent supporters mais qui viennent dans l'optique de
commettre des violences ».
En leur nom, il réclamait un euro symbolique de dommages et intérêts qui ont
été accordés tout comme au FC-Lorient. L'avocate de celui-ci a, pour sa
part, jugé « de tels comportements inadmissibles lors d'une manifestation
sportive qui se veut conviviale et familiale ». Et d'ajouter, qu'à ses yeux,
« seule une sanction sévère pourra leur faire prendre conscience de la
gravité de leurs paroles et de leurs gestes ».
Le tribunal l'aura entendu ainsi. Les deux supporters brestois ont été
condamnés à deux mois de prison avec sursis pour l'un, et quatre mois pour
celui qui était poursuivi, en outre, pour rébellion. Tous deux sont, en
outre, frappés d'une interdiction de pénétrer dans une enceinte sportive
pendant une durée de trois ans.
Le tribunal a, par ailleurs, alloué à un policier légèrement blessé lors de
l'interpellation, 500 € de dommages et intérêts et 150 € à l'un de ses
collègues.

Levski Sofia - CSKA - Finale de Coupe - 25/05/05


Source : sportbg.com

Dispositif de sécurité renforcé pour Nantes-Metz - 27/05/2005

Source : AFP

Le FC Nantes a annoncé vendredi un dispositif de sécurité renforcé, en coordination "avec la préfecture, les services de police mais aussi avec le parquet", pour la venue de Metz à la Beaujoire samedi en match comptant pour la 38e et dernière journée de L1 de football.
"Le dispositif stadiers sera renforcé, les forces de l'ordre seront particulièrement nombreuses et vigilantes", a indiqué Luc Delatour, directeur des compétitions au FCNA, sans donner de chiffres sur les forces en présence.
"Monsieur le procureur sera également à la Beaujoire samedi: il faut que chacun sache que tout débordement, acte de violence sera (...) sanctionné, a poursuivi le responsable nantais. Il y a (aussi) une vidéo surveillance, personne ne doit l'ignorer."
"C'est une fierté, un plaisir, un privilège de jouer dans un stade sans grillage, a-t-il encore ajouté. C'est unique en France et cela se mérite. Il est évident que des débordements nous amèneraient à réfléchir sur les moyens à mettre en oeuvre pour conserver ce privilège. Je ne connais pas une personne qui ait envie de revoir des grilles à Nantes."
Près de 36.000 personnes sont attendues au stade. Les supporteurs nantais ont appelé au calme cette semaine après les incidents qui avaient suivis Sochaux-Nantes (1-0) samedi dernier.
Le domicile du président nantais Jean-Luc Gripond, responsable du fiasco aux yeux des supporteurs, a toutefois été placé sous surveillance policière cette semaine.

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Nantes a pris contact avec la stadière blessée

Source : AFP

Le FC Nantes (Ligue 1) a pris contact avec la stadière blessée à Sochaux lors des incidents causés par des supporteurs nantais samedi, a indiqué vendredi Luc Delatour, directeur des compétitions nantais, qui a assuré qu'elle ne risquait plus de perdre l'usage d'un oeil.
"Le FC Nantes ne s'est pas contenté d'un communiqué (d'excuses, diffusé mardi), nous avons pris des nouvelles de la demoiselle et aujourd'hui, je peux dire qu'elle a recouvré la vue", a précisé M. Delatour lors d'une intervention devant la presse.
Une information judiciaire avait été ouverte lundi par le parquet de Montbéliard (Doubs) après les violences intervenues samedi, lors de Sochaux-Nantes (1-0), comptant pour la 37e journée du Championnat de L1.
Une soixantaine de supporteurs nantais avaient versé dans la bêtise et la violence, arrachant des sièges et provoquant des accrochages. Une stadière sochalienne de 25 ans, grièvement blessée lors des incidents, risquait de perdre l'usage d'un oeil, avait précisé lundi le procureur de la République de Montbéliard, François Pucheus.
Les blessures des trois autres stadiers ont nécessité la pose de six à quarante points de suture.

Sparta Praha - Brno - 19/05/2005

Source : JKG website

Niçois contre Stéphanois sur l'autoroute - 28/05/05

Source : mail

Contact en nombres restreints entre Niçois (qui se rendaient à Lyon) et Stéphanois (qui se rendaient à Monaco).

vue d'un Niçois

Deplacement à Lyon qui s'annoncait plus un dep pour finir notre saison que pour se la donner sur une autoroute ...

Les niçois (1bus) arrivent sur une aire d'autoroute, on s'apercoit qu 'en face sur une autre aire, séparés par 6 voies ce sont bien des stephs, les deux camps se regardent, des pierres volent sur l'autoroute

Quelque niçois décident de traverser et d'en découdre avec nos voisins d'en face, sous l'impulsion de ces qq personnes ce seront une 20 aine de niçois qui iront au contact face au 30-40 stephs amassés de l'autre côté

Les voitures passées, arrivées au milieu de l'autoroute, il nous faudra passer encore 3 voies pr aller directement chercher les stephs au bord de leur aire ! Aucun effort sera fait de leur part pour venir à notre encontre, une fois la 20 aine de niçois arrivés pres des stephs ca sera parti pr 10 min de free fight sur l'autoroute, les qq niçois présents seront tjs en infériorité contre les verts, chez les niçois aucune armes, chez les stephs pendant que les leurs se defendront comme ils peuvent ca canardera des belles pierres de chantier... un fumi lancé contre les niçois

Au total une bonne baston face à des mf, apparemment pas du noyau mais les niçois présents étaient tous des jeunes, au contact la moyenne d'âge était de 20 ans
On aura franchi les 6 voies de l'autoroute, une bataille rangée sera faite, on sera aller chercher les mf pour finalement prendre largement l'avantage

Des tee shirts avant garde, wsb ca tenait pas trop la route

coté niçois: un blessé a cause d'un bus qui a deux doigts pres le tua
côté steph: qq gars blessé dont un sacrément amoché

Ce CR n'est pas un CR officiel BSN mais un CR de gars présents sur l'aire

De notre côté il n'y a aucune prétention à dire que l'on a fait courir les mf, juste un contact entre jeunes de chaque groupe ou celui qui en voulait le plus a tout mis en oeuvre pr aller chercher l'autre

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Free-fight durant 10 minutes entre 20 jeunes niçois et stéphanois sur une aire d'autoroute, très net avantage aux Niçois !

TKP Torun - Lechia Gdansk - 21/05/2005

Source : Lechia website

Marseille : L’équipe réserve attaquée par des Stéphanois - 28/05/2005

Source : FOOTBALL 365

Des insultes, un pare-brise et quelques vitres brisées, tandis que les plus aventureux des supporteurs stéphanois tentaient de pénétrer dans le car pour en découdre avec les joueurs marseillais, tentative bloquée par l'équipe d'encadrement de la formation phocéenne, voilà le triste bilan de l’incident qui s’est déroulé aujourd'hui sur l'aire d'autoroute de Vidauban. En déplacement à Nice pour la 29eme journée de CFA, l’équipe réserve de l’OM s’est faite attaquer par des supporteurs stéphanois, en déplacement à Monaco. Le club portera plainte dès son retour à Marseille.