Saison 04/05 - Avril

Neu Ulm - Mormannia Gmund - 09/04/2005

Source : ITALIAMEDIA.IT

La police a procédé à l'interpellation de 46 hooligans, suite à des violences qui se sont déroulées après ce match de 4ème division Allemande.

Lincoln City - Swansea City - 09/04/2005

Source : BBC news

A la suite d'un bagarre en marge de cette rencontre, au moins deux personnes seront arrêtées.
High Street sera complétement fermée du stade jusqu'au croisement principal.
Il en alla de même pour Dixon Street et tous les supporters étaient invités à éviter ces zones.
Il semble qu'un groupe de supporters aie eu recours à des bombes lacrymogènes mais que personne ne sera blessé.

Stal Stalowa Wola - Motor Lublin - 03/04/2005

Source: sites polonais

Envahissement du terrain par les supporters locaux, pour attaquer les visiteurs.





Video --> http://lagoon.freebsd.lublin.pl/~hedi/stalowka-motor/MOV01861.MPG

Cracovia Krakow - Legia Warszawa - 10/04/2005

Source: sites polonais

Incidents à l'intérieur et à l'extérieur du stade, opposant locaux et forces de police.

Visiteurs


Locaux

Inter Milan - AC Milan - 12/04/2005

Source: TV + AFP

INFO EN LIVE.....POSTE A 22h23

Le match est arrêté dés la 70e minute de jeu. Suite à l'annulation d'un goal de l'arbitre de la rencontre, les ultras intéristes lanceront divers projectiles (bouteilles, torches...) en direction de Dida, gardien de l'AC Milan.
Ce dernier sera touché par une torche lancée des tribunes....

Le match reprendra à 22h40...pour être définitivement arrêté suite à de nouveaux jets d'objets.



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Le quart de finale retour de Ligue des champions de football au stade San Siro entre l'Inter Milan et le Milan AC, mardi soir, a été interrompu à la 72e minute après des jets de fumigènes sur le terrain dont un a touché le gardien brésilien du Milan AC, Dida, à l'épaule droite.

Après un but de la tête refusé à Esteban Cambiasso, l'Argentin de l'Inter, à la 71e, les supporteurs de l'Inter massés derrière le but du Milan AC ont jeté de nombreux fumigènes sur la pelouse. L'un d'entre eux a atteint Dida, le brûlant à l'épaule droite.

Les joueurs du Milan AC, qui menait alors 1-0, se sont ensuite retirés vers le milieu du terrain alors que des fumigènes continuaient à pleuvoir sur la pelouse.

Les joueurs de l'Inter tentaient en vain de calmer leurs supporteurs et à la 81e minute l'arbitre allemand Markus Merck décidait de renvoyer les deux équipes aux vestiaires.

Une réunion des officiels de l'UEFA avait alors lieu pour décider de la poursuite ou non de la rencontre.

Des pompiers retiraient tous les objets présents sur la pelouse.

La plupart des 85.000 spectateurs attendaient toujours dans le stade 20 minutes après l'interruption.

VIDEO --> http://www.ansa.it/main/notizie/videonews/30secondi/2005-04-13_4635135.html

Juventus Turin - Liverpool FC - 13/04/05

Source: Ansa

Les news arriveront au compte goûte

Six ultras de la Juventus ont été arrêté par la police, suite à l'agression d'un supporter de Liverpool dans le centre-ville de Turin.
L'agression a eu lieu du courant de la nuit. Le supporter anglais a été blessé à la tête et devra être immobilisé pendant une semaine.
Les forces de l'ordre durent intervenir pour calmer ces troubles.

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Le service d'ordre é découvert dans l'une des tribunes du stade Delle Alpi un vieil engin explosif. Il s'agît d'un bombe à main de type Ananas MK2.

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Source: AP

Des fanatiques de la Juventus de Turin, porteurs de battes de base-ball, ont attaqué un supporter de Liverpool, à la veille du quart de finale retour qui doit opposer les deux clubs mercredi soir au stade "delle Alpi" de la capitale piémontaise.
La police a arrêté mercredi six Italiens identifiés comme des "Ultras" et classés hooligans, a fait savoir l'agence de presse ANSA, et saisi des battes dans leurs voitures.

La police a annoncé que l'attaque s'est produite mardi soir après l'irruption dans un pub du centre ville de plusieurs supporters de la Juventus, dans lequel des Anglais étaient en train de se désaltérer.

Un supporter de Liverpool, dont le nom n'a pas été dévoilé, a été atteint à la tête par une batte. Légèrement blessé, il a été soigné sur place.

Plus de 1.000 policiers ont été déployés pour ce match considéré à "risque maximal".

Quelques hooligans italiens ont appelé à venger les 39 morts du stade du Heysel le 29 mai 1985. Ces supporters à majorité italienne étaient morts piétinés après une bagarre déclenchée par des Anglais lors de la finale de la Coupe des clubs champions entre la Juventus et Liverpool, il y a 20 ans à Bruxelles.

Une cérémonie à Liverpool, lors du match aller il y a une semaine, avait rendu hommage à ces victimes. Quelques supporters italiens avaient alors manifesté en faisant notamment des gestes obscènes.

Liverpool a remporté 2-1 le match aller de ce quart de finale, à Anfield Road, il y a une semaine.

Mardi soir, la rencontre Inter de Milan - Milan AC, autre quart de finale retour de la Ligue des champions, a dû être interrompue en raison du comportement violent de certains supporters qui ont bombardé la pelouse de fumigènes, l'un d'eux ayant atteint Dida, le gardien de but brésilien des "Rossoneri".

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Source: AGI + Ansa

Après 19heures, alors qu'une partie des supporters de Liverpool s'apprêtaient à rentrer dans le stade, un groupe de locaux a tenté de forcer le barrage policier en attaquant ces derniers, qui auront répondu en utilisant des tirs lacrymogènes.
Quelques arrestations auront lieu.
De plus, à l'intérieur du stade, un autre groupe local tentera de forcer une grille de séparation. Nouvelle intervention de police.

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Légers troubles et échanges de projectiles, dans le stade, au début du match et pendant la mi-temps.








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Source: AFP

Des échauffourées se sont produites mercredi aux abords du stade Delle Alpi de Turin avant le coup d'envoi du quart de finale retour de Ligue des champions de football Juventus-Liverpool, a rapporté la chaîne de télévision Sky Italia.

Des groupes de tifosi "ultras" de la Juventus ont tenté d'approcher des supporteurs anglais arrivés à bord d'autocars, étroitement surveillés par la police.

Les "ultras" de la Juve ont jeté des objets divers, bâtons, grosses pierres, cocktails molotov, en direction des hommes des unités anti-émeutes, qui les ont repoussés.

Les tifosi ont alors tenté de contourner l'obstacle en essayant de pénétrer dans l'enceinte du stade par le secteur H, mais ont encore été refoulés par les policiers qui ont chargé plusieurs fois et lancé des grenades lacrymogènes.

Dans les heurts, trois véhicules, dont deux voitures de police, ont été endommagés et incendiés. Trois personnes ont été appréhendées et plusieurs autres légèrement touchées.

Deux hommes, Tomasso Baldi et Matteo Bianchetti, tous deux 31 ans, originaires de Florence (centre), en état d'ivresse, qui se rendaient à Turin pour assister à la partie, ont été arrêtés dans un restaurant à Mele, sur l'autoroute A/26 près de Gênes, pour avoir lancé un gros pétard fumigène à l'intérieur de l'établissement.

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Source: AFP

Un groupe d'une cinquantaine de supporters de la Juventus Turin a affronté la police aux abords du Stadio delle Alpi peu avant le coup d'envoi du quart de finale retour de la Ligue des champions contre Liverpool.
Les fans faisaient partie d'un groupe plus large de 150 supporters qui s'en sont pris à une centaine de policiers, les bombardant d'objets multiples, dont des fumigènes.

Une voiture était en feu près de l'endroit de l'affrontement tandis que les forces de l'ordre tentaient de maîtriser la situation.

Les policiers italiens sont en état d'alerte maximale depuis que des ultras de la Juve ont promis de se venger de la mort de 39 supporters - la plupart italiens - survenue le 29 mai 1985 avant le début de la finale de la Coupe des clubs champions entre les Reds et les Rossoneri au stade du Heysel à Bruxelles.

Violence: le football italien commence enfin à réagir - 14/04/2005

Source : AFP

Le football italien semble enfin chercher des solutions pour éradiquer la violence qui le gangrène depuis des années, à l'image du quart de finale retour de Ligue des Champions entre l'Inter et le Milan AC interrompu mardi après des jets de bouteilles et de fumigènes.

Le ministre italien de l'Intérieur Giuseppe Pisanu a apporté son soutien jeudi aux solutions préconisées par le président de la fédération italienne de football, Franco Carraro, au terme d'une réunion d'une heure et demie environ, en présence du président du Comité olympique italien (CONI) Gianni Petrucci, du chef de la Police Gianni De Gennaro, et d'autres autorités.

M. Carraro avait souhaité mercredi l'arrêt immédiat des matches de championnat en cas de jets de fumigènes sur un terrain, au lendemain des incidents survenus à San Siro. Il avait ajouté que la formation jugée responsable de ces incidents devait être sanctionnée d'une défaite (3-0) sur tapis vert.

Le président du conseil Silvio Berlusconi, qui est par ailleurs le président du Milan AC, était lui-même monté au créneau mercredi pour demander à M. Pisanu "de poursuivre la ligne de fermeté adoptée depuis longtemps, en se consacrant à des activités de prévention, sans toutefois, exclure si nécessaire, le recours à des mesures plus drastiques".

Le ministre de l'Intérieur avait déjà affirmé lundi qu'il était prêt "à fermer les stades à risques" si l'intégrité physique des forces de l'ordre était menacée après des incidents lors de plusieurs rencontres plus ou moins importantes.

Ces grandes résolutions étaient mises à l'épreuve pour la première fois jeudi soir à l'occasion du quart de finale retour de la Coupe de l'UEFA Parme - Austria Vienne (aller: 1-1).

Mardi soir, la deuxième manche de l'Euroderby milanais, a été arrêtée par l'arbitre allemand Markus Merk, pour jets répétés de fumigènes sur le terrain. L'un d'entre eux a légèrement brûlé le gardien du Milan AC, le Brésilien Dida, qui pourra néanmoins tenir sa place dimanche en série A contre Sienne.

Quatre personnes ont été arrêtées mercredi au lendemain de ces débordements, qui pourraient valoir à l'Inter une lourde sanction de la Commission de discipline de l'UEFA, vendredi. D'autres interpellations devraient suivre après visionnage des images de vidéo-surveillance.

Ces incidents ont encore accru la tension autour du match Juventus Turin - Liverpool, premier affrontement entre les deux équipes depuis la tragédie du Heysel (39 morts), le 29 mais 1985.

La présence massive des forces de l'ordre mercredi soir n'a pas empêché quelques échauffourées mais elle a permis d'éviter de plus graves affrontements.

Ces débordements sont les dernières illustrations d'une dérive plus ancienne, dont l'un des épisodes les plus célèbres reste le jet par des supporteurs de l'Inter d'un scooter de la tribune centrale de San Siro lors d'un match contre l'Atalanta Bergame le 6 mai 2001.

A la suite de cet incident qui, miraculeusement, n'avait pas fait de victimes, la police avait procédé à 7 arrestations.

A Rome, le match de Ligue des Champions AS Rome-Kiev, avait dû être arrêté après que l'arbitre suédois Anders Frisk eut été blessé au cuir chevelu par une pièce de monnaie, le 15 septembre dernier, et deux mois plus tard, des supporteurs de la Lazio avaient proféré des insultes racistes lors d'un match de Coupe de l'UEFA contre le Partizan Belgrade.

Si l'on ajoute les bagarres qui ont éclaté dans plusieurs enceintes à tous les échelons du football professionnel italien (série A, B et même C), il était grand temps que les dirigeants de la Federcalcio prennent le problème à bras le corps.

6 matches à huis clos et une amende pour l'Inter Milan - 15/04/2005

Source : REUTERS

L'UEFA a condamné l'Inter de Milan à disputer ses six prochains matches de coupe d'Europe à huis clos après l'arrêt du quart de finale retour de Ligue des champions face au Milan AC mardi à la suite de jets de fumigènes sur la pelouse de San Siro.
L'UEFA a également infligé une amende de 300.000 francs suisses (plus de 193.000 euros) au club lombard.

Elle a aussi arrêté le score officiel de la partie à 3-0 en faveur du Milan AC, qui menait 1-0 lorsque la rencontre a été abandonnée.

Trois ans de suspension de stade pour un ultra de l'Inter Milan - 15/04/2005

Source : AFP

Un supporteur ultra de l'Inter Milan, accusé d'avoir participé aux violences ayant entraîné l'arrêt du quart de finale retour de la Ligue des champions de football Inter Milan-Milan AC, mardi, a été condamné à trois ans d'interdiction de stade, a-t-on appris de source judiciaire.

Andrea T., un plombier de 21 ans, devra aller au commissariat de police pour signer un registre pendant les matchs. Il s'agit de la peine la plus forte prévue par la loi. Il a été remis en liberté en raison de son casier judiciaire vierge en attendant d'être jugé pour les violences commises.

Vendredi, un autre juge de Milan a décidé de placer aux arrêts domiciliaires un autre ultra, Michele P., un ouvrier de 30 ans, impliqué dans les violences et identifié grâce à des images filmées par la police.

Enfin, samedi, le tribunal de Bergame, près de Milan, se prononcera sur le maintien en détention de Matteo Saronni. Cet ultra de l'Inter Milan, membre des Vikings, un groupe de supporteurs du club milanais, est déjà connu des services de police.

Il faisait partie des jeunes qui avaient lancé un scooter du haut d'une tribune du stade de San Siro, à Milan, en 2001 lors du match Inter Milan-Atalanta Bergame, et avait encore fait une peine de prison de 5 mois, il y a deux ans, pour avoir jeté des objets dangereux lors d'une rencontre Juventus Turin-Inter Milan.

L'Inter Milan a par ailleurs décidé de se constituer partie civile après le lancement de pétards et de fumigènes, mardi lors du quart de finale de C1 Inter Milan-Milan AC, a annoncé le procureur de Milan, Fabio Roia.

M. Roia s'est félicité de cette décision de l'Inter :"C'est un signal important, cela veut dire que le club veut prendre du recul par rapport à ces supporteurs", en expliquant que c'était la première fois qu'un club se constitue partie civile dans une affaire de ce genre.

Mondial-2006/hooligans: Réintroduction envisagée de contrôles aux frontières - 15/04/2005

Source : AFP

Le ministre allemand de l'Intérieur Otto Schily envisage de réintroduire temporairement des contrôles aux frontières lors de la Coupe du monde de football en 2006, pour prévenir l'arrivée de hooligans, a-t-il déclaré au quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Zeitung vendredi.

"Si c'est nécessaire, nous allons réintroduire temporairement des contrôles aux frontières, afin que des hooligans ne puissent pas entrer dans le pays", a-t-il affirmé au journal. "Pour ce genre de mesure, tout le monde aura de la compréhension", a-t-il ajouté.

Il a qualifié de "signal d'alarme" les débordements de hooligans allemands avant et pendant le match de préparation au Mondial-2006 le 26 mars dernier à Celje (Slovénie), remporté laborieusement par l'Allemagne 1 à 0.

"Le refus des autorités slovènes qu'une délégation de policiers allemands accompagne les supporteurs n'a pas été d'une grande aide", a-t-il commenté.

"C'est très très désagréable et nous avons honte", avait déclaré le sélectionneur allemand Juergen Klinsmann dans la perspective de la Coupe du monde 2006.

Réunion d'experts

"Cela ne doit pas se produire", avait insisté pour sa part le président du Comité d'organisation du Mondial-2006, Franz Beckenbauer. "La coopération germano-slovène n'a pas fonctionné. La situation a été sous-estimée, je pense du côté slovène".

Cinquante hooligans allemands avaient été interpellés et deux policiers slovènes et un supporteur allemand légèrement blessés.

La lutte contre les hooligans en vue de la Coupe du monde a été au centre d'une réunion d'experts des 25 pays de l'Union européenne, vendredi à Neuss (ouest).

Parmi les propositions discutées figurent la centralisation, au sein d'un organisme multilatéral, des fichiers de supporteurs violents déjà connus des différentes polices, l'élargissement des interdictions de stades - qui concernent 10.000 personnes en Europe selon la police - aux enceintes des matches du Mondial, et l'interdiction temporaire de la vente d'alcool dans les villes accueillant des matches.

"Nous serions reconnaissants aux Etats d'empêcher les supporteurs violents connus de voyager vers l'Allemagne", a indiqué Fritz Behrens, ministre de l'Intérieur de l'Etat régional de Rhénanie du nord/Westphalie. Mais, a-t-il souligné, seules la Grande-Bretagne et l'Allemagne disposent de moyens légaux pour empêcher leurs hooligans de quitter le territoire.

Selon M. Behrens, les organisateurs du Mondial sont prêts à accepter des mesures restrictives concernant la vente d'alcool. Le choix des matches où sera appliquée cette interdiction sera décidé à l'issue du tirage au sort des rencontres, à la fin de l'année.

Lazio - Livourne - 15/04/2005

Source : Mail

Incidents entre fans de la Lazio et la police.

La cible de hooligans - 14/04/2005

Source : LE MATIN (SUISSE)

AGRESSION Philippe von Burg, de la TSR, et Joël Robert, de la RSR, se sont fait frapper avant-hier par une quinzaine de tifosi. Ces derniers les avaient pris pour des supporters anglais

«Ils se sont jetés sur nous par derrière, comme des sauvages, raconte Philippe von Burg. Ils nous ont frappés à coups de bâton en plastique et à coups de pied.» Le journaliste de la TSR n'en revient toujours pas. Mercredi après-midi, avant le match de Ligue des champions Juventus - Liverpool, il s'est fait méchamment agresser avec Joël Robert, de la Radio suisse romande, et un troisième Suisse.

«Il était environ 17 heures, poursuit Philippe von Burg. Nous quittions une pizzeria pour nous rendre au stade situé à quelques centaines de mètres lorsqu'une quinzaine de personnes, entre 20 et 25 ans et pour certains habillés aux couleurs de la Juve, nous sont tombées dessus. En sortant le premier du restaurant, j'ai entendu Joël Robert crier. Puis j'ai reçu un coup de bâton sur l'épaule et un coup de pied ou de poing dans les côtes.» Propulsé, le journaliste de la TSR voit alors son confrère de la radio tomber et se faire rouer de coups au sol. «Nos agresseurs tapaient sans parler sous le regard pétrifié de quelques passants.» La scène dure trente secondes. L'agression cesse lorsque leur compagnon exhibe son passeport suisse. Les tifosi comprennent alors qu'ils n'ont pas affaire à des supporters anglais. «Lorsqu'ils ont compris que nous étions Suisses, ils se sont rapidement dispersés, note-t-il. Certains se sont même excusés.» Sous le choc, les deux journalistes se rendent tout de même au stade et se comportent en grands professionnels: l'homme de télé commentant en direct le match de foot, l'homme de radio intervenant pour des flashes info.

Souffrant de contusions et d'ecchymoses, en particulier Joël Robert, touché au dos, les journalistes estiment l'avoir échappé belle. «On s'en sort bien, remarque Joël Robert. S'ils avaient eu des chaînes, des barres en métal ou des couteaux, on aurait pu y rester. C'était une véritable ratonnade et il ne faut pas banaliser ce genre d'événement.» Quant à l'ambiance qui régnait lors de ce match classé à haut risque, les deux Romands posent le même regard. «Elle était très pesante, souligne Philippe von Burg. Le match d'hier se déroulait vingt ans après le drame du Heysel. Certains tifosi attendaient les Anglais avec une envie de vengeance.»

Bordeaux - FC Nantes - 16/04/2005

Source : AFP + SUD OUEST

heurts entre supporteurs rivaux

Le centre-ville de Bordeaux a été samedi après-midi le théâtre de heurts entre supporteurs rivaux, qui ont saccagé des devantures de cafés, à quelques heures du match Bordeaux-Nantes, comptant pour la 33e journée de Ligue 1 de football, a-t-on constaté sur place.

Une petite centaine de personnes, ne portant pas d'écharpes ou de maillots distinctifs, s'est heurtée à un groupe moins important, avant qu'une course-poursuite s'engage entre ces groupes rivaux dans les rues du vieux centre de Bordeaux.

Sur leur chemin, les supporteurs ont saccagé des terrasses de cafés, renversant chaises, tables et verres. Ils se sont ensuite dispersés dans les ruelles du centre, où un important dispositif de police a rapidement été déployé en milieu d'après-midi.

La police a procédé à plusieurs vérifications d'identité, non suivies d'interpellations dans un premier temps, a précisé un porte-parole.

Quelques supporteurs ont été victimes de blessures superficielles (coupures, ecchymoses traitées sur place) lors des heurts, qui pourraient avoir eu pour origine un "rendez-vous" fixé par téléphone entre les deux groupes rivaux, a-t-on indiqué de source policière.

Moins d'une heure après l'affrontement initial, le calme était revenu dans le centre de Bordeaux, avec des dispositifs de police encadrant les supporteurs de Nantes sur une place de la ville, et maintenant ceux des Girondins dans un autre secteur, proche du local servant de siège à un groupe de supporteurs.

Par le passé, des heurts similaires se sont déjà produits entre supporteurs bordelais et nantais, dans le cadre du "derby de l'Atlantique".

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Violents incidents entre supporters

Des supporters de football nantais et bordelais se sont affrontés violemment, samedi, dans le centre-ville

De violents heurts ont opposé des supporters bordelais et nantais, samedi après-midi, en plein coeur de Bordeaux, quelques heures avant le début du match.
Les premiers incidents ont eu lieu avant 16 heures, place Camille-Jullian, où deux groupes d'une quarantaine de supporters nantais avaient pris place en terrasse de deux cafés, le Saint-Georges et le P'tit Creux. Une quarantaine de supporters bordelais sont arrivés par la petite rue du Serpolet. « A ce moment là, un supporter nantais a crié : "Ils sont là, on y va !" C'était comme prémédité. Ca a duré cinq minutes mais j'ai vraiment eu la trouille », témoigne une serveuse.
Il y a d'abord eu des tirs de bouteilles et de pintes, des chaises et des tables renversées à la terrasse du P'tit Creux, puis des bagarres. Certains supporters ont été blessés, mais sans gravité. Un véhicule a également été endommagé. Alors que les premiers cars de CRS arrivaient pour bloquer la place, les supporters nantais se sont enfuis par la rue du Pas-Saint-Georges.

Bouteilles et cailloux. D'autres incidents, presque aussi violents, ont ensuite eu lieu rue Saint-Remi, où, selon un témoin, une « horde d'une soixantaine de garçons, sans signes distinctifs, fanions ou écharpes, a déboulé en direction de la place de la Bourse » où se tenait durant tout le week-end l'Escale du livre : « Ils ont giflé des gens sur leur passage et attaqué un photographe. Ils ont jeté des bouteilles et des cailloux. »
Place de la Bourse, les vigiles se sont rassemblés pour protéger les tentes de l'Escale du livre. Ces supporters ont finalement été stoppés, rue Esprit-des-Lois, par d'autres fourgons de CRS.
Faute de pouvoir imputer précisément les actes de violence à des supporters en particulier, la police a dû se limiter à des contrôles d'identité, avant de canaliser ces jeunes vers le stade puis de les surveiller étroitement tout au long du match.
Des plaintes ont été déposées au commissariat.

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Vue d'un local (reçue par mail)

3 gros contacts environ, entre 70 Bordelais (que des jeunes) et 60 Nantais (bonne 1ere ligne avec des anciens), 10 mns de baston, gros avantages pour BDX. Nantes qui recule sur 500 mètres, à noter aucune présence policière...
Déception concernant les Nantais...

FC Aarau - FC Luzern - Finale de Coupe - 15/04/2005

Source : Forum Suisse

Vojvodina Novi Sad - Zeta - 16/04/2005

Source : Forum

Le match sera arreté quelques instants, suite à l'envahissement du terrain par des fans locaux, alors que Vojvodina était mené 0-2.

VIDEO --> http://www.red-firm.ns.co.yu/download/filmovi/fkv_zeta_0405_video.wmv

West Ham United - Millwall FC - 16/04/2005

Source : Site Anglais + Getti Images

WHU mob







Wall lads

BRESCIA - ATALANTA - 17/04/2005

Source : DATASPORT

500 policiers sont mobilisés pour cette rencontre à très haut risque...

Talleres-Belgrano (serie B argentine) - 16/04/2005

Source : ANSA

Suite aux incidents provoqués par les locaux, le résultat sera très lourd : 1 mort (décédé à l'hôpital suite de ses blessures) et 3 blessés graves...

L'UEFA plutôt clémente avec l'Inter: quatre matches ferme à huis clos - 15/04/2005

Source: AFP

La commission de discipline de l'Union européenne de football (UEFA) s'est montrée plutôt clémente en infligeant une sanction de quatre matches ferme à huis clos, plus deux avec sursis, à l'Inter Milan, suite aux incidents de son quart de finale retour de Ligue des champions face au Milan AC, mardi.

Tandis que l'Inter, qui dispose de trois jours pour faire appel à compter de la réception des attendus, écope aussi d'une amende de 300.000 francs suisses (193.000 euros), le Milan AC, qui affrontera le PSV Eindhoven en demi-finales, a lui logiquement été déclaré vainqueur 3-0 sur tapis vert de cette manche retour (2-0 à l'aller).

Outre ses quatre matches ferme, l'Inter est donc également sous la menace de deux autres rencontres de Coupe d'Europe à huis clos en cas de "récidive" dans les trois prochaines années, en sus d'une éventuelle nouvelle sanction.

Vendredi après-midi, la commission de discipline de l'UEFA, présidée par l'Espagnol Josep Lluis Vilaseca Guasch et composée du Danois Jim Stjernen, du Suisse Jacques Antenen et de l'Autrichien Thomas Partl, avait débuté ses travaux vers 14h45 (12h45 GMT) à Nyon (Suisse).

Après avoir examiné le rapport de l'arbitre allemand Markus Merk et du délégué de l'UEFA, le Suédois Lars Ake Lagrell, elle a entendu durant près d'une heure les représentants du club italien: le président Giacinto Facchetti, accompagné du responsable de la sécurité Stefano Filucchi et de l'avocat Adriano Raffaelli. Le verdict est, lui, tombé vers 17h00.

Certes, cette sanction est plus sévère que celle infligée à l'AS Rome, condamnée en septembre dernier à disputer deux rencontres à domicile à huis clos. A cette occasion, l'arbitre suédois Anders Frisk, touché par un projectile au cuir chevelu, avait interrompu à la mi-temps le match face au Dynamo Kiev. Comme pour Inter-Milan AC, l'UEFA avait aussi donné match gagné 3-0 aux Ukrainiens.

Mais, pour l'Inter, déjà sanctionné par l'UEFA il y a quatre ans pour le comportement de ses fans, cela s'apparente à un moindre mal.

En 2001, après une interruption de cinq minutes (jets de sièges et de bouteilles) d'un match contre les Espagnols d'Alavès, en 8e de finale retour de Coupe de l'UEFA, l'Inter avait dû "recevoir" deux fois à Trieste en raison de la suspension de San Siro.

Or, sans tenir compte du principe de récidive, les conséquences étaient cette fois plus spectaculaire - interruption définitive - et l'exposition tout autre, un "euro-derby" en quarts de finale de la C1.

Mardi soir, alors que le Milan AC menait 1 à 0, ce derby avait dû être interrompu à la 72e minute par M. Merk en raison de jets de fumigènes et autres projectiles sur le terrain en provenance de la tribune des supporteurs de l'Inter.

Un de ces fumigènes avait même atteint le gardien brésilien du Milan AC, Dida, le brûlant légèrement à l'épaule droite.

Après une première interruption de 25 minutes, l'arbitre allemand avait bien tenté de faire reprendre la partie. Mais il avait été contraint d'interrompre définitivement le match, après quelques secondes à peine, du fait de nouveaux jets de fumigènes et projectiles sur la pelouse.

Wisłoka Dębica - Stal Mielec - 15/04/2005

Source: forum polonais

Leicester City - Wigan Athletic - 16/04/2005

Source: forums anglais

Une vingtaine de jeunes locaux repousseront des visiteurs derrière leur car.

Feyenoord Rotterdam - Ajax Amsterdam - 17/04/2005

Source: Nu + L'EQUIPE

Deux supporters de Feyenoord ont été arrêtés lors de troubles survenus dans les alentours de la gare de Rotterdam.

Par ailleurs, alors que 1600 supporters de l'Ajax étaient à bord de deux trains les menant à Rotterdam, de très nombreux dégâts ont été commis.
Les occupants de l'un de ces trains seront contrôlés par la police et seront renvoyés à Amsterdam par autocars.

D'après les dires de la police, ces supporters seront arrêtés pour dégradation, dès leur arrivée à Amsterdam.
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Les supporteurs de l'Ajax Amsterdam n'ont pas été admis à entrer dans le stade de Rotterdam pour assister à la victoire de leur équipe dimanche face à Feyenoord (3-2) après qu'un de leurs groupes ait complètement détruit deux trains qui les amenaient à Rotterdam.

Seul l'un des deux trains endommagés par les supporteurs de l'Ajax est finalement arrivé à Rotterdam. Les autorités de la ville de Rotterdam ont alors pris la décision de ne pas admettre de supporteurs de l'Ajax dans le stade de la ville.

Une fois arrivés, les supporteurs ont été conduit derrière des barrières et maintenus par des forces anti-émeutes. Les forces de l'ordre se penchaient sur les solutions envisageables pour reconduire les fans de l'Ajax vers la capitale.

C'est la première fois depuis 1998 que la rencontre au sommet du football néerlandais s'est disputée sans supporteurs de l'Ajax. Par ailleurs, deux supporters de Feyenoord ont été gravement blessés par des feux d'artifice que l'un d'eux avaient en poche. Ils ont dû être hospitalisés d'urgence.

Suite des incidents lors de Perugia - Ternana - 19/04/2005

Source : ANSA

Suite aux très violents affrontements du 09 avril dernier, en gare de PERUGIA, la police, après enquête, a procédé à l'interpellation de 13 supporters de TERNANA.

L'UEFA veut renforcer son arsenal de sanctions en matière de sécurité 20/04/2005

Source : AFP

L'Union européenne de football (UEFA), confrontée à la multiplication récente d'incidents pendant, ou en marge, de matches, notamment à Milan le 12 avril, veut renforcer son arsenal de sanctions, a annoncé l'UEFA mercredi au lendemain de son comité exécutif tenu à Tallinn.

"Nous serons stricts et fermes. Notre message sera très clair", a déclaré Lars-Christer Olsson, le directeur général de l'UEFA.

Si rien n'a encore été formellement décidé, le comité exécutif a toutefois chargé l'administration d'étudier quelles mesures, plus coercitives en matière de sécurité, pourraient être prises à compter de la saison prochaine.

"Ce qui s'est passé est absolument inadmissible", a ajouté M. Olsson en référence aux incidents qui ont conduit à l'interruption des rencontres de Ligue des champions AS Rome-Dynamo Kiev et Inter Milan-Milan AC, mais également aux déclarations de José Mourinho, l'entraîneur de Chelsea, à l'égard de l'arbitre suédois Anders Frisk, qui a depuis annoncé sa retraite internationale en raison de menaces de mort reçues.

Ainsi, le règlement des compétitions continentales pourrait être changé dès le prochain comité exécutif, les 16 et 17 juin à Manchester (Angleterre). "Nous devons envisager des sanctions qui ne soient pas uniquement financières, a expliqué Olsson. On peut, par exemple, retirer des points".

Pour cette saison, si de nouveaux incidents devaient se reproduire, "les statuts nous permettent d'interdire que des rencontres puissent se dérouler sur tel ou tel territoire", a également dit le directeur général. Les club anglais avaient ainsi été bannis de compétition européenne pendant cinq ans après le drame du Heysel.

Le 12 avril, le quart de finale retour entre l'Inter et le Milan AC avait été interrompu à la 72e minute. Après un but refusé, les supporteurs de l'Inter avait lancé des fumigènes et divers projectiles sur la pelouse, blessant même le gardien adverse, Dida, et obligeant l'arbitre à arrêter la partie.

Le 15 avril, la commission de discipline - qui "agit indépendamment" du comité exécutif a précisé l'UEFA -, a infligé six matches à huis clos (4 fermes et 2 avec sursis) à l'Inter, ainsi qu'une amende de 300.000 francs suisses (193.000 euros).

Interrogé sur ces sanctions, M. Olsson a expliqué qu'elles étaient "appropriées", arguant que, si le club est responsable de la sécurité dans le stade, il fallait tenir compte qu'en Italie "si la législation interdit d'amener des fusées, un tribunal a dit qu'il était seulement interdit de les lancer".

Selon lui, il faut désormais convaincre toutes les fédérations d'interdire l'utilisation des fusées: "Certains nous répondent que c'est pour célébrer les buts. Nous estimons au contraire qu'elles n'ont pas leur place".

"Les fusées, c'est la recette de la catastrophe, a-t-il insisté. Les choses échappent à tout contrôle. Ce qui s'est passé à Milan est inacceptable. Je pense d'ailleurs que l'affaire était soigneusement planifiée par les supporteurs. C'était une action contre le club."

Quant aux déclarations qui peuvent "jeter de l'huile sur le feu" à l'image de celles de José Mourinho mettant en cause l'honnêteté d'Anders Frisk, "il faut effectuer un travail de prévention, éviter les déclarations provocantes". "Les gens ont une responsabilité dans le comportement de leurs supporteurs", a conclu M. Olsson.

LEVANTE - REAL MADRID - 18/04/2005

Source : AFP

cris racistes de supporteurs madrilènes contre Congo et Ettien

Des supporteurs radicaux du Real Madrid ont poussé des cris racistes à l'encontre de deux joueurs du Levante, le Colombien Edwin Congo et l'Ivoirien Felix Ettien, dimanche, lors d'un match de la 32e journée du Championnat d'Espagne de football, rapporte lundi le quotidien El Pais.

Chaque fois que ces deux joueurs touchaient le ballon, des supporteurs madrilènes imitaient le cri du singe. Portant son index sur la tempe, Edwin Congo, leur a riposté: "vous êtes fous!".

Pendant la première mi-temps, les supporteurs radicaux du club madrilène, étroitement surveillés par la police, s'étaient adressés aux supporteurs du Levante en criant: "Hitler, Hitler!".

Les manifestations d'actes racistes dans le football espagnol se sont multipliées ces derniers mois surtout de la part de supporteurs.

Le sélectionneur espagnol, Luis Aragones, a eu aussi un dérapage verbal, qui a lui valu début mars une amende de 3.000 euros pour avoir traité en novembre "de nègre de m." l'international français d'Arsenal Thierry Henry.

Cette situation a incité à la mi-mars les présidents de la Fédération espagnole de football (RFEF), de la Ligue (LFP) et du syndicat des joueurs (AFE) à signer un protocole d'actions contre le racisme.

Ce protocole a pour but de favoriser les "moyens de prévention et de protection de l'intégrité physique et morale des victimes d'actes racistes", indiquait le texte paraphé par les parties intéressées.

Présence à LEVANTE de 700 supporters du REAL, dont 150 ULTRASSUR