Saison 03/04 - Avril

Grenoble - AS St Etienne - 02/04/2004

Un supporteur stéphanois grièvement blessé

SOURCE : AFP + AP

Un supporteur stéphanois, qui assistait au match entre Grenoble et Saint-Etienne (2-2) comptant pour la 31e journée de Ligue 2 de football vendredi soir, a été grièvement blessé à la tête par arme à feu et hospitalisé, a-t-on appris de source policière.

Selon Michel Clément, directeur départemental de la sécurité publique de l'Isère, présent au stade, le jeune homme, âgé de 20 ans, serait dans le coma.

D'après les premiers éléments recueillis, une bagarre aurait opposé une trentaine de supporteurs stéphanois descendant d'un car et des jeunes grenoblois de la cité Mistral, voisine du stade Lesdiguières, un peu avant le début du match, vers 20h00.

Plusieurs coups de feu auraient été tirés, apparemment avec un fusil de chasse. Selon Thibaut Leduc, un journaliste arrivé sur place peu après les tirs, interrogé par l'AFP, le jeune homme, qui baignait dans une mare de sang, "était blessé de façon importante".

Peu après les incidents, un jeune de la cité Mistral a été interpellé et placé en garde à vue, selon la police.

Le maire de Grenoble, Michel Destot, dans les vestiaires du stade, s'est déclaré "atterré" par cet acte, et a assuré la famille du jeune homme blessé de toute sa solidarité.

Peu avant minuit, tous les supporteurs stéphanois avaient quitté le stade et regagné leur ville. Le commissariat indiquait que la situation sur place était calme mais qu'il allait "sécuriser au maximum" le quartier du stade et de la cité pour la nuit.

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Foot - Agression : Supporters contre jeunes

L'aggression dont a été victime vendredi soir un jeune Stéphanois à Grenoble n'est pas le résultat d'une bagarre entre supporteurs mais d'une altercation entre des supporteurs stéphanois et des jeunes d'un quartier difficile, a-t-on appris samedi de source policière.

La police continuait samedi, dans le quartier HLM Mistral situé à 300 m du stade Lesdiguières, de reconstituer les circonstances du drame, survenu vendredi avant le match de L2, Grenoble - Saint-Etienne.

Selon des informations non confirmées par la police, une ou des voitures immatriculées dans la Loire se seraient garées sur un parking de la cité Mistral. Il y a eu un échange d'insultes et de coups, pour des raisons non déterminées, avec des habitants de cette cité.

Les Stéphanois auraient appelé à l'aide et un groupe de supporteurs des «Green Angels», qui venait de descendre d'un car, est venu à leur secours.
Parmi eux, un garçon originaire de Villars (Loire), 20 ans, a été grièvement blessé à la tête par le tir d'une arme de chasse.

Le tireur, qui a agi alors qu'il se trouvait sur la chaussée, a aussitôt pris la fuite. Le jeune supporteur était toujours dans le coma samedi et le pronostic était réservé à son égard.

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Les médecins de l'Hôpital Nord de Grenoble émettaient toujours un pronostic réservé samedi soir sur l'état de santé du jeune supporter stéphanois grièvement blessé par balle vendredi à proximité du stade où se déroulait la rencontre du championnat de Ligue 2 entre Grenoble et Saint-Etienne, a-t-on appris de source judiciaire.
Olivier Baraldini, 20 ans, membre des Green Angels (un des deux clubs de supporters de l'ASSE), était toujours dans un coma profond, après sa blessure à la tempe, vraisemblablement due à une décharge de fusil de chasse qui l'a également touché plus superficiellement à l'épaule.
Un suspect interpellé à proximité des lieux vendredi soir, désigné par des témoins qualifiés par les enquêteurs de «confus» comme étant l'auteur possible du ou des coups feu, a été relâché samedi en début de soirée après 24 heures de garde à vue. Les expertises scientifiques n'ont relevé aucune trace de poudre sur ses mains ou ses vêtements accréditant qu'il pourrait être le tireur, indiquait-on de source policière.
«Ca ne va pas être facile. Nous allons vers une enquête longue et difficile», annonçaient samedi soir les policiers grenoblois avouant avoir «encore un peu de mal à savoir ce qui s'est exactementpassi».
Vingt-quatre heures après les faits, les enquêteurs tentaient toujours de reconstituer les circonstances dans lesquelles Olivier Baraldini a été gravement blessé à quelques minutes du coup d'envoi du match.
L'agression dont a été victime le jeune homme originaire de Villars, dans la banlieue de Saint-Etienne, n'est pas le résultat d'une bagarre entre supporters mais d'une altercation entre des supporters stéphanois et des jeunes d'un quartier difficile: la cité Paul-Mistral, située à moins de 500 mètres du stade Lesdiguières où se déroulait la rencontre, sécurisée comme à l'habitude par plus de 200 fonctionnaires.
Les enquêteurs tentent de comprendre ce que faisait le jeune homme à proximité de la cité alors que son bus, escorté par des motards, l'avait déposé, quasiment devant le stade. Plusieurs témoignages sont contradictoires, ont expliqué les enquêteurs. Selon certains d'entre eux, des véhicules immatriculés dans la Loire auraient été «caillassés» à leur passage devant la cité et des groupes de supporters seraient partis à la recherches des auteurs des jets de pierres. Pour d'autres, les Stéphanois auraient été pris à partie dès leur arrivée à proximité du stade par des bandes de Mistral qui les ont entraînés vers la cité.
Olivier Baraldini faisait partie d'un groupe de cinq à dix Stéphanois au moment des faits. Une altercation avec les jeunes de la cité a très vite dégénéré en échange de coups. Soudain, un ou plusieurs coups de feu, selon les témoignages, ont été tirés.
Des internes du lycée Louise-Michel, situé de l'autre côté de la rue où le drame s'est produit, ont été alertés par une détonation. «Il y avait de la musique dans la chambre et on a entendu un seul coup de feu, très fort. Nous sommes allés au troisième étage de l'internat et on a vu des gens qui s'enfuyaient», raconte une adolescente. «Le jeune est resté là, étendu. Il a perdu beaucoup de sang», a ajouté une jeune fille ayant requis l'anonymat.
Toute la journée de samedi, les policiers ont interrogé les habitants peu bavards de cette cité HLM dont les quatre barres d'immeubles sont promises à la démolition.
Jean-François Lamour, le ministre de la Jeunesse et des Sports, a qualifié samedi de «drame inqualifiable» l'agression dont a été victime le supporter. «Ce drame me conforte dans la volonté de poursuivre l'action engagée avec Frédéric Thiriez, président de la Ligue de football professionnel, aux côtés du ministre de l'Intérieur pour arriver à éradiquer ces dérives», a-t-il souligné en se disant «décidé à lutter avec la plus grande vigueur contre la violence dans et autour des stades pour que de tels drames qui ont des conséquences humaines graves et ternissent l'image du sport ne se reproduisent plus».
M. Thiriez a réaffirmé de son côté sa détermination à «protéger le football des violences, d'où qu'elles viennent». «C'est toute la famille du football qui est meurtrie par cette terrible agression», a indiqué dans un communiqué.
Pour le sénateur-maire de Saint-Etienne, Michel Thiollière (UMP), «ce qui ne devait être qu'une belle fête du football a basculé, par la faute d'une stupide et imbécile agression condamnable, dans l'inadmissible». De son côté, la direction de l'ASSE a qualifié cette agression d»'acte de sauvagerie inacceptable».

Sécurité autour du match Bastia-Nice - 02/04/2004

Source: Nice website

Redoutant des incidents et ne pouvant assurer leur sécurité, le club de l'OGC Nice demande à ses supporters de ne pas se rendre en CORSE. La saison passée, aucun fan Niçois n'avait fait le déplacement sur l'ile de beauté !

SC Bastia - OGC Nice - 03/04/2004

Source: L'Equipe + AFP + fora

Quatorze supporteurs corses sont en garde à vue, dimanche, au commissariat de Bastia, suite aux heurts qui les ont opposés aux forces de l'ordre, en marge du match Bastia-Nice (2-1), a-t-on appris de source judiciaire.

L'un d'eux a été interpellé quelques heures avant la rencontre, au moment où il jetait des parpaings sur des fourgons de CRS, sur la place Saint-Nicolas, à Bastia. Les treize autres ont été arrêtés après le match, alors qu'ils s'opposaient aux forces de l'ordre, jusqu'à 1h00 du matin, dimanche.

Trois personnes ont été blessées -deux policiers et une passante atteinte par une pierre tombée sur le pare-brise de sa voiture- et onze véhicules ont été endommagés, selon la police. Aux alentours du stade, des supporters ont aussi mis le feu à des palettes ou des poubelles.

Pendant la première mi-temps, des supporteurs niçois ont commencé par démonter des fauteuils du stade de Furiani qu'ils ont jetés sur la pelouse. Ils ont aussi lancé des projectiles et brûlé le drapeau corse. Les Niçois sont repartis dimanche matin, après avoir dormi dans les bus regroupés pour la nuit sur le port de Bastia.

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Trois supporteurs bastiais ont été interpellés samedi au cours d'échauffourées avec les forces de l'ordre en marge de la rencontre Bastia-Nice comptant pour la 31e journée du Championnat de France de football de L1, a-t-on appris de source policière.

Avant l'arrivée des leurs homologues niçois, deux supporteurs bastiais ont été interpellés en possession d'un pistolet à grenaille et d'un poing américain.

Une troisième personne a ensuite été interpellée lorsque des affrontements ont opposé les supporteurs corses aux forces de l'ordre sur la place Saint-Nicolas à Bastia. Les supporteurs ont notamment jeté des pierres et des parpaings sur les fourgons de CRS et les gendarmes ont riposté en tirant plusieurs grenades lacrymogènes, a constaté un correspondant de l'AFP.

Un "très gros dispositif policier" avait été mis en place dans la ville et en particulier à la descente des bateaux en provenance de Nice, en raison des risques qui entouraient la rencontre, selon une source policière.

Quelques heures avant le match, des supporteurs corses ont canardé à coups de pierres le car qui transportait vers le stade Furiani des supporteurs niçois arrivés par bateau vers 18 heures, a-t-on précisé de même source.

Pendant la première période du match, ce sont les supporteurs niçois qui se sont montrés violents à leur tour, démontant des fauteuils de leur tribune pour les jeter sur la pelouse.

Ces actes de vandalisme ont nécessité l'intervention et la mise en place sur le stade d'un cordon de gendarmes mobiles.

Les supporteurs niçois, arrivés au stade Furiani avec un quart d'heure de retard, devaient repartir dimanche matin. Par mesure de sécurité, ils devaient être regroupés pour la nuit dans un entrepôt aménagé du port de Bastia, selon la police.

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Vue d'un local:

-avant match:les nicois arrivent vers 18heures et sont attendus par environ 400 bastiais.Les force de l ordre choississent de retarder leur depart a furiani en esperant que nous quittions les lieux pour aller au stade,mais comme le match on s en foutait un peu personne n a bouge.
vers 19h30 le convoi nicois compose de 3 cars(supporters et stadiers) et d une quinzaine de camion de garde mobile,part du port pour aller a furiani.
c est lorsque ce dernier passe devant nous que nous passons a l action.La route est rapidemment bloque,le but etant d avoir un contact physique avec les nicois on commence par attaquer les flics(malheureusement trop tot) avant de prendre d assaut les bus nicois.et la c est assez impressionant les vitres des bus volent en eclat,on se situe a environ 1metre des bus et la circulation est bloquee c est a dire que les nicois n ont plus qu a ouvrir les portes qu on essayait de forcer de l exterieur(ou sauter par les fenetres) et nous montrer leur "potentiel" au contact...et pourtant aucun nicois ne descendra;et c est les crs qui viendront charger...
d apres mes sources(secu bastiaise) une 30aine de nicois auraient ete blesse dont 4 assez grievement durant notre "assaut".

-match: perso vu que les incidents au port se sont termine peu apres 20h je suis arrive au stade a 20h30.
a la radio en me rendant au stade j entend que les nicois qui sont arrive en retard sont enerves(par rapport aux evenements du port?) et balances des sieges au dessous de leur parcage.
cote ambianceas de tifo evidemment vu qu on arrive tous en retard,par contre assez bonne ambiance une fois les capos arrives.
cote nicois(a pêu pres 200),de bonnes gestuelles et des chants qui claque bien,mais assez irregulier...
fin du match:les nicois essayent de bruler un drapeau corse,et notre tribune est vraiment excite.au coup de sifflet final des supporters de la Est cassent le grillage et rentrent en tribune nord et se retrouve juste au dessous des nicois.de part et d autre ca insulte copieux.a noter un gros echauffoure avec des crs qui nous barrait l acces a la tribune nord.
-apres match:les nicois rebalancent quelque siege,ce qui est facile vu leur position(nord haute,mais contrairement aux autres ils sont palces cote Ouest)et tout le monde veut en decoudre avec eux.
on est environ 1000 a se trouver tout autour du stade et de gros incidents eclatent avec les crs qui vont se poursuivre durant deux heurs et jusqu a 1 km du stade.on a droit a de vrai scene de guerrilla urbaine,barricade sur la quatre voie,tir de fussee eclairante et de ba contre lacrymo en tir tendu.
ca serait trop dur pour moi de faire un cr detaille de ces incidents vu que sa partait de partout en meme temps, mais au final on retiendra 12 interpellations chez nous et certainement beaucoup de blesse chez les flics.
et pendant ce temps les nicois regardaient tout ca bien gentillement,dans leur parcage derriere les crs...
ils seront finalement evacue vers 2heures du matin de la tribune et reconduit au port par un impressionnant dispositif policier(une 40aine de camion de crs et de garde mobile venu en renfort),ce qui d ailleurs ne leur evitera pas un petit caillassage a l entree du tunnel...
apparament il passerait la nuit sur le bateau(ou du moins ds les bus sur le quai)proteges par des centaines de flics(impressionnant le dispo en ville ce soir,en plus de l' escorte)...

pour conclure je dirai que les nicois sont enfin venus(ce qui en soi n a rien de glorieux,c est tout simplement... normal),a l aller on les avaient pas vu car ils disaient que les flics nous protegeait;au retour malgre une escorte au moins aussi importante on a reussi non seulement a etre present mais surtout a creer les conditions d un contact(ce qui a mon avis ne se reproduira pas de si tot) mais malheureusement celui ci a ete decline par les nicois...
et je crois que l essentiel est la,c est facile de faire les malin a bruler des drapeaux en parcage ou a lancer des sieges mais desfois faudrait penser a assumer face a face...

Arsenal FC - Manchester United - Coupe - match joué à Birmingham -03/04/2004

Source: ITK

Après la rencontre, environ 150 fans d'Arsenal ont fait face à un groupe de Mancs. Environ 30-40 restèrent au face-à-face et après quelques coups, les Mancs durent se replier. Durant leur course, leur nombre augmenta pour compter une centaine de gars. Du coup, le groupe fit demi-tour et chargea les gars d'Arsenal qui reculèrent légèrement à leur tour. Arsenal se regroupa et ré-attaqua, mais les policiers tentèrent de bloquer le groupe, qui continua sa charge. Les Mancs fuyant une nouvelle fois.

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Vue d'un fan de ManUTD:

Avant la rencontre, nous sommes sortis du King Edward Pub, pour rejoindre le stade. Là, nous avons croisé des lads d'Arsenal, qui étaient à l'extérieur de pub Adventurer. Nous nous sommes placés au milieu de la rue, mais les flics se postèrent également là...
Après la rencontre, alors que nous sortions du stade, nous avons entendu des cris. Certains de nos gars avaient eu affaire avec 150 gars d'Arsenal.
Pour être honnête, il faut avouer que c'était vraiment une belle firm...malheureusement, nous n'avons pas eu la chance de nous affronter.
Finalement 100 à 150 Reds vinrent au face-à-face. Quelques coups seront échangés. Alors que les flics avaient perdu le contrôle de la situation, et tentaient de le récuprer en nous contrôlant, les gars d'Arsenal sont revenus, dans le dos des flics. Il était donc impossible pour nous de faire quelque chose...

FC Utrecht - Den Haag - 04/03/2004

Source: Nu.nl + Casuals Nederland

Pour cette rencontre, classée à hauts-risques, les supporters de Den Haag se voyaient obliger de se rendre à Utrecht avec le système de combi-bus.
Mécontents de ce fait, beaucoup de supporters avaient annoncer un boycott de cette rencontre.
Malgré ce boycott de beaucoup, une 40aine de membres du noyau dur effectuèrent le déplacement, en voitures personnelles.
Avant la rencontre, une rendez-vous avait été fixé à Meernbrug, près d'Utrecht, mais sur place, de nombreux policiers étaient présents. Un hélicoptère également.
Finalement, après la rencontre des incidents éclateront entre les forces de police et les supporters locaux. La police procédera à 83 arrestations.

Valenciennes Anzin - Bourg Peronnas -03/04/2004

Source: VA website

Vue d'un supporter local:

Comme beaucoup auront pu le voir, un petit groupe d'agités est venu "foutre le bordel" en tribune de Fer,il semble bien que ces peronnes soient des "suporters" (hooligan serait plus approprié) de La Louvière et dejà fichés en Belgique.

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Vue d'un ultra local:

Pendant les dernières vacances nous sommes allés a 4 Roisters a La louvière. La bas nous avons été super bien acceuilli par le Wolf Side (les meneurs en tribune). De ce fait on leur a dit venez a Va un de ces 4, et ils sont venus....

Le problème c'est que ceux a qui on avait parlé, étaient dans le stade, ils étaient "normaux". Donc on a dit a ces 5-6 gars de venir, le problème c'est que ces 5-6 gars ont ramené avec eux tous les intedits de stade de la louvière (a qui le foot et le bordel manquait). Donc au lieu d'etre une voiture, il y en avait 5. On a vraiment été pris au dépourvu. Donc hier les belges étaient divisés, ceux venus pour nous, et ceux venus fouttre la merde, ceci dit, mis a part l'incident du début (le belge qui allait se faire virer pour avoir montrer son cul, ce qui a impliqué la récation de ses potes..) il n'allait rien y avoir de plus.

Mais c'était sans compter sur la connerie des 4 skins (on en a déja parler dans un topic, après VA - Wasquehal), qui ont cherché la merde, en disant: les bleges je les encule, j'aime pas les wallons etc... Voila le truc qui fallait pas dire, et c'est de la qu'est venu l'embrouille devant la tribune de fer, où, il faut le dire, les skins ont bien mangé!

Dans le topic sur bourg, je ne sais plus qui a dit que quelqu'un était venu nous choper, en efftet, il s'agissait du skin balaffré, qui nous en voulait d'avoir "invité" les belges!

Pour revnir au petit qui a été blessé, je ne l'ai pas vu, mais apparement il aurait été poussé sur la grille ou je ne sais quoi, c'est bien regrettable, mais dans les mouvements de foule, tout peux arriver, mauvais endroit au mauvais moment dommage, vraiment domage!

J'espère que c'est assez clair, beacoup nous ferons porter le chapeau, mais bon, tout a été dit!


voici une video des incident ayant oppose des skins de valencienne et le des gars de la louviere

http://www.vaenl1.com/league/photos2004/match_saison/va-bourg/dufrennes.wmv

NAC Breda - Feyenoord Rotterdam - 04/04/2004

Source: Nu.nl

La police de Breda à découvert, avant la rencontre, deux coktail molotovs, dans une voiture, parquée près du stade. Dans une autre voiture, des armes seront découvertes.
Au total, la police de Breda procédera à l'arrestation de 5 personnes, âgées de 23 à 33 ans, pour détention d'armes.
La police avait en fait été avertie d'un rendez-vous entre hooligans des deux clubs, sur un terrain vague de la Lunetstraat.
Déjà le samedi soir, vieille du match, une 30aine de locaux affronteront de brève façon un groupe de Feyenoord, sur la Grote Markt.

Coups de couteau lors du derby moscovite - 04/04/2004

Source: Reuters

Dix supporters ont été blessés, dont certains à coups de couteau, lors d'affrontemetns entre supporters rivaux, à Moscou, à précisé les agences de presse russes.
L'agence Interfax a précisé que 3 personnes avaient du être transportées à l'hôpital après avoir reçu des coups de couteau lors de rixes entre supporters du CSKA et du Spartak Moscou, dont les supporters sont considérés comme les plus violents de Russie.
Le nombre de personnes ayant participé à ces affrontements n'est pas encore établit. Ces troubles sont survenus avant l'arrivée de la police.
Cette dernière a toutefois précisé qu'un car de fans du Spartak avait été bloqué par un autre car du CSKA. Les fans du CSKA avaient alors attaqués leurs rivaux, utilisant des battes de baseball et des couteaux.
Les deux équipes ne jouaient pas l'une contre l'autre.

Agression d'un supporteur stéphanois: trois personnes mises en examen - 08/04/2004

Source : AFP

Trois personnes, soupçonnées d'avoir participé à l'agression d'un supporteur de football stéphanois le 2 avril à Grenoble, ont été mises en examen jeudi pour "violences volontaires en réunion", a indiqué le procureur de la république de Grenoble, Jacques Fayen.

Il a indiqué à la presse qu'une information avait été ouverte "pour tentative de meurtre" et que la personne soupçonnée d'avoir tiré, à l'aide d'une arme de chasse, blessant grièvement à la tête Olivier Baraldini, âgé de 20 ans, "ne fait pas partie des mis en examen".

Il a précisé n'avoir pas demandé de mandat de dépôt à l'encontre des trois personnes mises en examen, que le juge d'instruction pouvait décider de libérer dans la journée.

Au cours d'une conférence de presse, le procureur a engagé la personne soupçonnée d'avoir tiré à venir se présenter et s'expliquer devant la police et devant le juge d'instruction, "car sa disparition ne fait qu'aggraver son cas".

L'individu recherché, dont le procureur n'a pas révélé l'identité, est connu des services de police pour des violences, a précisé le directeur départemental de la sécurité publique, Michel Clément, devant la presse.

La victime, originaire de Villars (Loire), est toujours dans le coma et dans un "état critique, même plus que critique" dans le service de réanimation du CHU de Grenoble, selon le procureur.

Quant aux circonstances du drame qui s'est produit non loin du stade, avant le début du match de championnat de L2 entre Grenoble et Saint-Etienne, le commissaire Clément a expliqué qu'il disposait de deux versions des faits, l'une venant des supporteurs stéphanois et l'autre des habitants de la cité Mistral voisine. Chacun estime que l'autre camp a été l'auteur de provocations. Il y a eu une véritable bagarre rangée avec "peut-être une trentaine de personnes", a t-il dit.

Metallurg Lipetsk - Sokol Saratov - 06/04/2004

Les hooligans de Voronezh se sont rendus à Lipetsk, afin d'affronter leurs homologues de Saratov, mais finalement, ils seront attaqués par des hools de Tula.

PSV Eindhoven - Newcastle United - 08/04/2004

Source: phonecalls + forums + Casual News

Avant la rencontre, vers 19h00, un groupe de Newcastle, une 20aine, attaquera le pub local...qui venait d'être en grosse partie déserté par le noyau dur du PSV qui allait affronter un autre groupe d'Anglais. De nombreux contacts éclateront entre ces deux groupes de même nombre.

Kuban Krasnodar - Rotor Volgograd - 07/04/2004

Source: Mail

Vers 23h00, en gare pétrolière de Krasnodar, un groupe d'une trentaine de hooligans de Rostov attaquera les bus de leurs homologues de Volgograd.

Quatorze arrestations en Angleterre - 04/04/2004

Source : BBC News

Quatorze personnes seront arrêtés dans un pub proche du stade de Torquay United.
Ces arrestations eurent lieu dans le pub O'Connor's quand les forces de police y virent un large groupe de supporters d'Exeter City.
La police les supposaient d'être des fauteurs de troubles. Ils furent donc en partie arrêtés et relâchés après la rencontre, opposant le club local de Torquay à celui de Yeovil Town.

OGC Nice - Paris SG - 10/04/2004

Source : LE PARISIEN + AFP

Un match à risques sur la Côte d'Azur

LE MATCH Nice - PSG de la saison dernière avait marqué les esprits. Pas sur le terrain, puisque le spectacle proposé avait été à la hauteur du résultat final (0-0), mais à l'extérieur du stade, où de nombreux incidents s'étaient produits. Paroxysme de ces débordements entre supporters, l'agression d'un fidèle du club parisien, âgé de 23 ans, à l'arme blanche, aux abords du stade du Ray.
Demain, le déplacement du PSG sur la Côte d'Azur s'annonce chaud. D'ailleurs, le match a été classé « à risques » par la police. « Il n'est pas plus risqué qu'une rencontre face à l'OM, annonce André Bloch, chargé de la sécurité au sein de l'OGC Nice. Ce qui est survenu l'an passé s'apparente davantage à des violences urbaines qu'à du hooliganisme. Il faudra se méfier des supporters indépendants. » Néanmoins, malgré cet optimisme, des incidents sont à redouter. Sur les forums de discussion des sympathisants des deux équipes, les appels à la violence sont explicites.

« Je ne suis pas spécialement inquiet »

Des fans parisiens envisagent d'être sur Nice dès 8 heures du matin demain, afin de déambuler dans la ville toute la journée. Pour tenter de limiter tout débordement, deux compagnies de CRS et un escadron de gendarmes mobiles seront déployés sur place, pour un total de 350 hommes. Une autre compagnie de CRS pourrait venir prêter main-forte aux forces de l'ordre. A cela s'ajoutent 140 stewards côté niçois et 90 contrôleurs. Les quelque 500 supporters parisiens officiels qui feront le déplacement seront encadrés par une vingtaine de personnes. Le convoi des bus parisiens devra se présenter à un point de rendez-vous avant 16 heures demain, et les portes du stade s'ouvriront à 17 heures. « Nous n'avons vendu nos billets qu'à des gens connus et reconnus par le club. Aucune de nos places ne sera vendue sur place », affirme Lionel Dreksler, directeur général du Parc des Princes, qui gère la sécurité en attendant qu'un nouveau responsable soit nommé, dans les prochaines semaines. A priori, le successeur de Claude Deschamps sera un policier issu de la préfecture de police. Hier, Dreksler s'est rendu à Nice pour régler les derniers détails de ce déplacement à risques. « Je ne suis pas spécialement inquiet, conclut le dirigeant parisien. J'ai senti chez les responsables niçois de la sécurité la volonté de tout faire pour qu'il n'y ait pas de souci majeur comme l'an passé. »

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Quelques échauffourées dans la tribune des supporteurs du Paris SG, entre Boulogne Boys et Tigris Mystics. C'est la deuxième fois de la saison que partisans du KOP BOULOGNE et de la tribune AUTEUIL s'affrontent, après LE MANS-PSG, où une centaine de fans en était venu aux mains. C'est également le quatrième incidents depuis moins d'un an, lors d'un déplacement à Auxerre en fin de saison dernière qui avait fait une trentaine de blessés, dont 13 hospitalisés, puis une semaine plus tard, lors de la finale de la coupe de France, au Stade de France, toujours...contre Auxerre.
Hier à Nice, le dispositif de sécurité était à la hauteur de l'évenement, les policiers ayant même dépêchés un hélicoptère, pour coordonner leurs actions au sol.

AS Nancy - Grenoble Foot - 10/04/2004

Source : forum français

Avant le match, une quinzaine d'indeps de Nancy sont rentrés en contact avec +- 30 visiteurs qui prennent la direction du stade. Jets de projectiles et ceintures utilisées par les locaux, puis bon contact. 2 Grenoblois blessés (hospitalisés), et une bâche RED KAOS section PARIS subtilisée. La police intervient.
Après le match, 30 locaux attendent les visiteurs, les policiers les chargent, puis plus rien à signaler.

RC Strasbourg - Lyon - 11/04/2004

Source : AFP+Dernières Nouvelles d'Alsace

Des affrontements ont eu lieu dimanche soir avant le match de la 32e journée de Ligue 1 de football Strasbourg-Lyon (0-1) entre des supporteurs des deux camps, a-t-on appris lundi de source policière.

Environ 150 supporteurs lyonnais et strasbourgeois, dont des groupes de skinheads des deux côtés, se sont battus à proximité du stade de la Meinau, dans un bar qu'ils ont saccagé.

La bagarre a ensuite dégénéré dans la rue avant l'intervention de la police qui a interpellé deux skinheads alsaciens toujours en garde à vue lundi matin, a-t-on appris de même source.

La police a ensuite regroupé et escorté un groupe d'une centaine de supporteurs lyonnais "virulents" à l'intérieur du stade, un quart d'heure après le début du match qui s'est déroulé sans autre incident entre partisans des deux équipes.

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Des incidents ont éclaté hier vers 20 h 15 au restaurant « La Couronne » situé en face de l'arrêt de tram Krimmeri près du stade de la Meinau à Strasbourg. Près d'une centaine de supporters lyonnais, dont certains étaient armés de battes de base-ball, ont pénétré dans l'établissement où ils ont allumé des feux de Bengale et ont renversé les tables, les chaises à l'extérieur, le stand de saucisses et brisé une vitre. Ils avaient soigneusement caché leurs écharpes de l'OL.
Des CRS et des policiers sont intervenus en renfort. Il n'y a pas eu de blessé. Ce groupe de pseudo-supporters, encadré par les forces de l'ordre, a ensuite été accompagné jusqu'au stade. Dégoûté par ces événements, le patron de l'établissement a fermé le restaurant avant la fin de la rencontre.
L'année dernière, des incidents similaires avaient éclaté au même endroit à la fin de Strasbourg - Lyon et Strasbourg - Marseille.

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Des heurs ont été signalés à l'extérieur du stade dans l'heure précédant la rencontre. Des supporters lyonnais cagoulés et munis de battes de base-ball ont voulu faire la loi à leur manière...

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Vu d'un local :

Les Lyonnais, au nombre de 60, se dirigent vers notre bar, où nous sommes environ 40. Nous anticipons et nous dirigeont vers eux, nous chargeons à leur vue, mais nous recevons une pluie de canettes avant le moindre contact, les Lyonnais sont sur-armés (barres de fer, fusées à gogo et même une lame !!!), nous détalons. Les Lyonnais nous coursent. Ils détruisent notre bar, à coups de barres de fer, les vitres extèrieures sont explosées, l'intérieur morfle aussi, tandis qu'une torche vole dans l'établissement. Une action honteuse quand on sait qu'il n'y a plus que des supporters "classiques" à l'intérieur...
Avant cet épisode, nous étions environ 30, quand nous avons invités les ultras Lyonnais à descendre d'un bus, mais ceux-ci ont refusé, et le car est reparti, non sans avoir reçu 2 canettes.

FC Basel - Grasshopper Zurich - Cup - 12/04/2004

Source: ATS

Près de 120 hooligans bâlois et zurichois se sont affrontés après la finale de la Coupe suisse au stade Saint-Jacques de Bâle. La police a dû faire usage de spray au poivre pour mettre fin à la bagarre. Plusieurs hooligans avaient la tête en sang.

Environ 70 Bâlois sont tout de même parvenus à éviter la chaîne de policiers, ont indiqué ces derniers. La bagarre contre une cinquantaine de Zurichois a débuté dans l'entrée du parking devant une foule de badauds amusés.

La police a filmé la bagarre. Elle va procéder à une identification des participants. A ce stade, elle peut déjà dire que la plupart font partie de la "Bande Basel" ou du "Hardturm-Front" zurichois. Une plainte sera déposée contre eux pour violence commise sur la voie publique.

Avant le match déjà, des fans bâlois s'étaient réunis à la gare pour attendre les Zurichois, mais la bagarre a pu être évitée, le nombre de policiers présents ayant eu un effet dissuasif.

Feyenoord Rotterdam - Ajax Amsterdam - 11/04/2004

Source: forum

La police de Rotterdam a procédé à l'arrestation de 53 personnes avant et après ce match à risques.
Les premiers incidents ont éclaté samedi soir, alors que les hooligans locaux attendaient la venue des visiteurs, mais ces derniers n'effectueront finalement pas le déplacement.
Dimanche, jour du match, les locaux tentèrent de rejoindre le train des supporters de l'Ajax, mais les policiers effectueront des interventions rendant impossible cette tentative.
Le noyau dur local lancera alors divers projectiles: bouteilles, pierres, bombes artisanales etc... Quelques arrestations seront effectuées.
Pendant la rencontre, quelques torches seront lancées sur le terrain.
Après l'égalisation de Feyenoord, des policiers tenteront d'arrêter un supporter. Du coup, une bagarre éclatera entre les fans et les policiers.
Après la rencontre, un groupe de +- 500 locaux créeront des troubles tout autour du stade, attaquant la police à plusieurs reprises.
Dans un même temps, des locaux s'en prendront au train des supporters de l'Ajax. Le groupe était composé d'un bon millier de fans locaux. Les policiers durent se replier, avant de contre-charger.

Photos: http://www.kw.nl/~ffp/feyeajax2004/Feyenoord-Ajax%202004%20rellen%20op%20het%20voorplein.htm



Vidéo
http://home.kabelfoon.nl/~oscram/Stadionpleinrel.AVI
http://home.kabelfoon.nl/~oscram/Relletjes.avi

Un joueur de Feyenoord attaqué par des supporters de l'Ajax - 15/04/2004

Source: Reuters

A l'occasion d'un match entre équipes réserves, opposant l'Ajax à Feyenoord, un joueur de Rotterdam, Jorge Acuna, sera hospitalisé après avoir été attaqué par des supporters de l'Ajax, montés sur le terrain.

SK Lierse - St Truiden VV - 12/04/2004

Source: Casuals Nederland

Il semble qu'un rendez-vous aie été fixé entre les deux groupes de supporters. Trente jeunes devaient être présents de chaque côté.
Finalement, les locaux seront une 70aine, avec parmi eux, quelques fans de Vitesse Arnhem.
Apparement, une seule confrontation éclatera vers 1 heure du matin, entre 9 gars de St Trond et 20 locaux + 10 Hollandais.

Red Star Beograd - Partizan Beograd - 17/04/2004

Source: forum

Cinquante-trois personnes seront arrêtées après que diverses bagarres aient éclaté dans et aux alentours du stade, entre policiers et supporters.
Plusieurs sièges seront également lancés sur la pelouse.

RSC Charleroi - SK Lokeren - 17/04/2004

Source: mail

Pour cette rencontre, opposant deux groupes du sub-top, les locaux avaient dans l'intention de créer l'évenement et pour ce faire, plusieurs contacts seront établis avec le noyau dur visiteur.
Il est bon de rappeler que les locaux étaient un peu 'déçus' des évènements du match aller, où ils patientèrent jusque 23h00 dans le centre-ville de Lokeren, allant de refus en refus de la part des gars de Lokeren...qui, au bout du compte, diront sur le net que la faute en revenait aux Carolos.
Du coup, une bonne firm locale, composé d'une 40aine de gars fixa un rendez-vous aux visiteurs, loin du stade, pour éviter toute présence policière.
Plusieurs contacts téléphoniques s'établiront entre les deux parties, mais les gars de Lokeren y allèrent de plusieurs réponses: 'Nous ne sommes que 12 en voitures, 'Nous ne venons pas', Nous arrivons au lieu de rendez-vous' et...'Nous sommes à Rumst' (près de Lokeren). Où était la vérité?
Vraiment étrange car chaque saison les gars de Lokeren viennent à Charleroi en voitures, et en nombre ( de 30 à 50)...mais pour une fois qu'une présence policière était impossible, ils ne se montrèrent pas.
Un local leur demanda alors un rendez-vous d'après-match, qu'ils refusèrent.
Après la rencontre, une 40aine de locaux, cherchèrent les visiteurs...en vain...
Une seule question subsiste: 'Les gars de Lokeren étaient-ils à Charleroi?'

Atletico Madrid - Real Madrid - 17/04/2004

Source: Marca

Des incidents ont éclaté en marge du derby madrilaine, opposant des fans rivaux.
Des bagarres sont survenues autour du stade Vincente Calderon. Bagarres au cours desquelles 28 personnes seront blessées, dont certains policiers.
Certains de ces blessées seront transférés dans un hôpital.
Le tout est survenu lors de l'arrivée de l'escorte des ultras (Ultras Sur et Orgullo Vikingo) du Real. Il semble qu'une 50aine d'ultras de l'Atletico aient fait photocopiés de faux billets afin d'approcher ce groupe.
Des bagarres éclateront ainsi que des jets de projectiles.
La police devra effectuer plusieurs charges pour rétablir l'ordre.

Sentences en Espagne - 17/04/2004

Source: EFE

La Commission Nationale Contre la Violence a remis des amendes de 3.500 euros ainsi que des peines d'interdictions des stades à deux supporters arrêtés lors du match Algeciras-Cordoba, disputé le 3 avril dernier.
Le premier avait été arrêté par la police pour avoir créé des troubles et le second pour avoir été en possession d'un spray lacrymogène.

St Truiden - RC Genk - 17/04/2004

Source: mails

Vue d'un lad de Genk:

Après la rencontre (derby), quelques jeunes locaux, membres de la JGS jetteront des briques sur les cars de Genk. Une fois les cars arrêtés et les fans de Genk en sortant, les locaux s'enfuieront.
Toujours après la rencontre, la police devra faire usage d'une autopompe pour calmer les supporters visiteurs.

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Vue d'un local:

Voici réellement ce qui s'est passé ce jour: pour nous, un rendez-vous était tou à fait impossible vu le nombre trop élevé de gars de Genk, c'est pour cela que nous avons proposé à ces derniers de venir dans le centre-ville, où nous allions passer toute la journée avec nos amis du MVV Maastricht. Nous ne verrons aucun gars de Genk, mais serait dû au déplacement obligatoire en 'combis'...mais chaque année pourtant ces mêmes Ultras GNK se déplacent tout de même en voitures, mais cette fois, non.
Après la rencontre, un bon groupe de locaux (+ MVV) attendra sur un pont sous lequel les cars visiteurs devaient passer. Les flics ne s'attendaient pas à cela et nous étions tous surpris de notre bon nombre, car nous n'étions pas du tout habitué de cette pratique. Des briques et des pierres seront lancées, mais uniquement sur des combis de police et l'auto-pompe se dirigea vers nous. Nous avons demandé aux gars de Genk de sortir de leurs cars, mais cela semblait être trop leur demander. L'auto-pompe nous arrosa et nous durent nous replier, non sans avoir essuyé quelques arrestations de flics en civil.
Nous avons patienté dans le centre-ville et nous avons échangé des coups de fil avec les gars de Genk, mais ces derniers étaient sur la route du retour.
Finalement une bonne journée, mais uniquement une confrontation de 50 locaux et Hollandais contre les flics.