Saison 03/04 - Octobre

Ajax Amsterdam - FC Bruges - 01/10/2003

Source: TV

Avant la rencontre, une septantaine de supporters de Bruges ont été arrêtés après avoir créés des troubles avec des supporters locaux, sur la Leidseplein. La cavalerie du charger pour séparer les bélligérants.
Toujours avant la rencontre, la police du faire usage des auto-pompes contre des supporters de l'Ajax qui étaient furieux des provocations des fans visiteurs, rejoints par ceux de Den Haag.
A la fin de la rencontre, la police procédera encore à quelques arrestations.

FC Nantes - Rennes - 04/10/2003

Source: post + mail

Version Breizh Stourmer
Une quinzaine de Rennais (Breizh Stourmer) venus en independants à Nantes.
Ces Rennais, qui sont allés au lieu de rassemblement habituel des Nantais et qui, ne trouvant personne, ont chargé des petits groupes de jeunes BL et un groupe d'Angevins, n'ont pas été rejoints par le gros de la troupe nantaise qui a entouré les Bus du RCK et qui a ouvert une soute sans rien à l'intérieur...
A noter que lors du regroupement des groupes rennais sur le parking visiteur, une grille de ce parking derriere laquelle se trouvait des Nantais cédera mais les flics gazeront tout le monde et donc tout le monde rentra dansle stade.
1 interpellé coté Breizh Stourmer, ceci du à l'usage d'engin pyrotechnique.
D'après les sources nantaises , il y'aurait eu quelques interpellations de leur coté.

Version Nantes lad
Etant donné qu'il n'y a eu aucun contact significatif les Nantais ne juge pas
utile d'épiloguer sur des non-faits.

UP Langreo - Real Oviedo - 05/10/2003

Source: Sport.es

A la 17e minute de jeu, un supporter local lança une bouteille d'eau en direction d'un groupe d'ultras d'Oviedo, les Symmachiarii. Ces derniers lanceront des pierres et chargeront en tribune, ce qui provoqua un début de panique dans celle-ci. Vu la faible présence policière (4-5 agents), les plus jeunes décidèrent de pénetrer sur la pelouse afin de ne pas être agressés. La partie fût alors interrompue.
Finalement, 5 personnes seront transférées à l'hôpital pour de légères blessures, exception faite d'un supporter blessé à l'arme blanche.

Naples: arrestations - 05/10/2003

Source: Tifonet

En marge des incidents du match Avellino-Naples, la police italienne, a procédé à 16 arrestations. Toutes ces personnes sont soupçonnées d'avoir créés les troubles lors de ce match, et ayant blessés 29 policiers et endommagés 3 voitures.
Les mineurs arrêtés sont, quant à eux, renvoyés vers un tribunal pour mineurs.

Rosetana - Ravenna - 05/10/2003

Source: Gazzetta dello Sport

Scènes de guerre urbaine à l'occasion de cette rencontre. Le président local sera pris à partie et menacé par des ultras de la Ravenna. Les incidents, survenus dans le stade, déboucheront sur l'envahissement du terrain, nécessitant une interruption du match pendant 5 minutes.
A la 36e minute de la seconde mi-temps, une trentaine d'ultras de la Ravenna ont quittés leur tribune pour aller s'en prendre au président du club local.

Salernitana - Fiorentina - 04/10/2003

Source: La Nazione

Trois supporters de la Fiorentina seront arrêtés à la fin de la rencontre.
En effet, à la fin du match, les forces de l'ordre durent intervenir dans le bloc réservé aux 300 partisans florentins, qui tentaient de rejoindre un bloc réservé aux supporters locaux.

Vardar Skopje - AC Sparta Praha - ??/10/2003

Source : AP

Coupe d'Espagne: les 32e de finale marqués par la mort d'un supporteur - 08/10/2003

Source : AFP

La mort d'un supporteur du Deportivo La Corogne (1re div. espagnole) des suites d'une bagarre et l'agression d'un arbitre à Castellon, dont le match contre Valence a été interrompu à la 81e, ont marqué mardi soir les 32e de finale de la coupe d'Espagne de football.
Manuel Rios, 31 ans, père de deux enfants, a trouvé la mort à Saint-Jacques-de-Compostelle (nord-ouest de l'Espagne) dans une bagarre qui avait éclaté entre supporteurs du Deportivo La Corogne et du Compostela (3e div. espagnole), alors que le match était sur le point de se terminer.
Huit autres personnes ont été brièvement hospitalisées pour des blessures sans gravité reçues au cours des mêmes affrontements, qui ont éclaté dans le secteur des supporteurs radicaux du Depor, un groupe connu sous le nom de "Riazor Blues". Deux membres de ce groupe ont été arrêtés dans la nuit.
Le supporteur était mort à son arrivée à l'hôpital de Saint-Jacques-de-Compostelle où les médecins ont constaté que son corps ne présentait aucune blessure par arme blanche.
Une autopsie était en cours mercredi pour préciser les causes du décès, attribué à l'issue des examens préliminaires à un arrêt cardiaque.
Selon certains témoignages, que le club s'est refusé à confirmer, Manuel Rios aurait été frappé à mort alors qu'il tentait d'empêcher des membres du "Riazor Blues" de frapper un jeune supporteur du Compostela.
Ce drame est passé inapercu dans un premier temps et le match est allé à son terme, se concluant par la victoire du Deportivo la Corogne (1-0).
Dans le même temps, à Castellon, le match entre l'équipe locale évoluant en 3e division et Valence, actuel leader de la Liga, a été suspendu à la 81e minute quand l'arbitre, Jesus Tellez Sanchez, a été atteint à la tête par un objet lancé des tribunes.
Selon plusieurs témoins, il aurait été touché par une batterie de téléphone portable jetée depuis les gradins du stade Nuevo Castalia, alors qu'il venait de siffler un penalty en faveur de Valence au moment où les deux équipes étaient à égalité (1-1).
Les deux dossiers seront étudiés par la commission de discipline de la Fédération espagnole.
Le président du Compostela, Juan Silva, en appele à "une réflexion de la société" sur la violence dans le football et à des actions "des autorités, des politiciens, de tout le monde parce que ceci n'est déjà plus du sport".
"Je ne comprends pas ce qui s'est passé", a-t-il poursuivi en ajoutant en référence aux supporteurs violents que "ces gens-là ne sont pas venus pour voir du football".
Avant celle de Manuel Rios, la dernière mort en date d'un supporteur de football avait été celle d'un jeune Napolitain, décédé le 22 septembre des suites d'une chute depuis la tribune du stade d'Avelino, pour fuir les affrontements entre supporteurs napolitains et les forces de l'ordre.

Espagne: interpellation liée à la mort d'un supporteur - 09/10/2003

Source : AFP

Un homme a été interpellé jeudi par la police espagnole, en relation avec la mort d'un supporteur du club de football du Deportivo La Corogne, décédé dans la nuit de mardi à mercredi des suites d'une bagarre après un match, a-t-on appris de source proche de l'enquête. L'homme a été interpellé à La Corogne, dans le nord-ouest de l'Espagne, dans le cadre d'une enquête sur le décès de Manuel Rios, 31 ans et père de deux enfants, après des affrontements pendant et après le match du Deportivo (1re div.) contre le Compostela (3e div.), comptant pour les 16e de finale de la Coupe d'Espagne (Coupe du Roi), à Saint-Jacques-de-Compostelle. Le suspect appartient à un groupe de supporteurs radicaux du Depor, du nom de "Riazor Blues" (du nom du stade du Deportivo à La Corogne, le Riazor), selon plusieurs médias espagnols. La version des faits retenue par la police établit que le supporteur a été frappé à coups de pied dans le foie alors qu'il tentait d'empêcher des membres de ce groupe de brutaliser un supporteur du Compostela, à l'extérieur du stade. Suite à ce décès, le "Riazor Blues" a annoncé jeudi sa dissolution, estimant que "la situation lui avait échappé", selon un communiqué publié sur son site internet. Deux autres membres du groupe ont été interpellés pour les échauffourées de cette nuit-là, mais sans relation directe avec le meurtre. Selon un document du ministère espagnol de l'Intérieur sur les événements sportifs, ce groupe qualifié d'"ultra" était formé de 1000 sympathisants, parmi lesquels "un groupe appréciable de redskins" radicaux d'extrême-gauche, rapporte l'agence Europa Press.

Euro-2004 - Turquie-Angleterre: la police turque en état d'alerte - 10/10/2003

Source : AFP

D'exceptionelles mesures de sécurité seront prises pour le match des qualifications de l'Euro-2004 de football Turquie-Angleterre, samedi à Istanbul, avec la mobilisation de 5.000 policiers turcs qui craignent, malgré l'interdiction faite aux supporteurs anglais d'assister à la rencontre, des incidents avec des hooligans.
Vendredi, un supporteur anglais, Ian John Wender, et jeudi soir deux autres, Paul Ryder et Keith Kirkham, ont été interceptés et immédiatement refoulés par la police turque à l'aéroport de la métropole dès leur arrivée en provenance de Grande-Bretagne.
Leurs noms figurent sur une liste de 1.000 à 1.500 agitateurs soupçonnés de vouloir créer des incidents autour du match de samedi, liste communiquée par Londres à la Turquie.
"La police est en état d'alerte", estimaient vendredi télévisions et presse écrite, après ces trois tentatives d'entrer en Turquie.
A l'aéroport international d'Istanbul, les arrivées de Grande-Bretagne sont contrôlées par une cinquantaine de policiers, a constaté un correspondant de l'AFP, un déploiement tout à fait inhabituel.
Selon la chaîne de télévision CNN-Turk, sur le trajet entre l'aéroport et l'hôtel de l'équipe anglaise, arrivée jeudi soir, les mesures de sécurité sont draconiennes.
La police turque, qui mobilise pour la circonstance pas moins de 5.000 policiers, est assistée à l'aéroport par cinq officiers de police britannique spécialistes du hooliganisme et capables de reconnaître les éléments les plus dangereux.
Cordons de sécurité
Cette liste a été transmise à tous les postes-frontière du pays et tout supporteur britannique y figurant sera immédiatement refoulé, avait prévenu jeudi le chef de la police stambouliote Celalettin Cerrah.
Vendredi, la police anglaise annonçait redouter qu'un noyau d'irréductibles de quelques centaines de hooligans anglais avait décidé de faire le voyage en Turquie pour assister à la rencontre.
Selon CNN-Turk, plusieurs supporteurs anglais sont déjà en Turquie pour ce match crucial pour les deux équipes, comme Ian Collins, arrivé depuis un mois et qui suivra la rencontre "depuis un café".
"J'ai tout fait pour trouver un billet pour entrer dans le stade, mais en vain", a-t-il déclaré dans une interview à la chaîne, annonçant qu'il se contenterait de la télévision, "avec ses amis turcs".
Le journal Cumhuriyet rapporte que la police a demandé aux hôtels du centre-ville la liste des visiteurs britanniques venus sous couvert de tourisme, dont le nombre est estimé à un millier.
Pour éviter des débordements pouvant mener à son exclusion de la compétition, après de fréquents incidents violents entre équipes des deux pays, la Fédération anglaise de football (FA) a renoncé à distribuer son contingent de billets à ses supporteurs et demandé que les spectateurs britanniques soient interdits de stade.
Autour du stade Sukru Saraçoglu, sur la rive asiatique de la ville, trois cordons de sécurité établis par la police permettront de contrôler les identités avant même de pénétrer dans son enceinte.
La vente d'alcool sera en outre interdite autour du stade.
Les autorités turques ont annoncé que pièces de monnaie, téléphones portables, parapluies, bouteilles, hampes de drapeaux, confettis, fumigènes et pétards seront interdits dans les tribunes.

Incidents Nice-Lille: amende de 30.000 euros confirmée en appel pour Nice - 10/10/2003

Source : AFP

La Commission supérieure d'appel de la Fédération française de football (FFF) a confirmé l'amende de 30.000 euros infligée à Nice (L1) par la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) pour des jets de projectiles au coup d'envoi de Nice-Lille (2-0) le 20 septembre (7e journée de L1), a-t-on appris vendredi auprès du club azuréen.
En première instance, la commission de discipline de la LFP avait sanctionné Nice pour le comportement de supporteurs niçois qui avaient retardé le coup d'envoi de Nice-Lille en lançant sur la pelouse de gros rouleaux de caisse enregistreuse, des morceaux de sucre ainsi qu'un briquet. Un rouleau avait atteint au visage l'arbitre de la rencontre, M. Moulin.
Alors que l'OGCN avait fait appel, ce dernier incident avait également motivé le conseil fédéral de la FFF, qui estimait la sanction insuffisante, à faire appel. Les deux appels ont été rejetés jeudi.

Euro-2004 - Turquie-Angleterre: 45 interpellations, selon la police anglaise

Source : AFP

Quarante-cinq supporteurs anglais ont été interpellés à l'aéroport d'Istanbul à la mi-journée, dont 43 ont déjà quitté la Turquie, a annoncé samedi à Istanbul le N.2 de la police de Staffordshire, David Swift, alors qu'en soirée a lieu Turquie-Angleterre, match des qualifications à l'Euro-2004 de football.

"Ce chiffre signifie que le nombre total de supporteurs (venant en Turquie) est faible, nous ne nous attendons pas à ce qu'il dépasse les 200", a dit David Swift lors d'une conférence de presse.

Refusant de confirmer le nombre de cinq policiers anglais en civil "assistant" la police turque "à la demande de la Turquie", M. Swift a ajouté que "pas un seul d'entre eux" n'était sur la liste des 1800 agitateurs potentiels que Scotland Yard surveille dans leurs moindres déplacements.

"Ce sont tous des hommes", a continué M. Swift, venus de "différents pays d'Europe", par avion, et qui ne seront "ni poursuivis, ni fichés" par les deux pays.

"Aucun d'entre eux ne peut nier qu'il était venu pour le match de foot", a ajouté l'officier de police britannique, expliquant que les visas sur leurs passeports attestent que ce sont des supporteurs de l'équipe nationale anglaise suivant ses déplacements à l'étranger.

Selon le Consul général Jim Begbie, l'appel aux fans britanniques de ne pas faire le voyage en Turquie a été "couronné de succès", et il a souhaité qu'il n'y ait "pas ou peu d'incidents".

"Personne ne peut garantir que certains problèmes n'apparaîtront pas", a souligné David Swift, mais "le fait qu'ils (les supporters) ne seront pas capables de se rassembler en hordes importantes fait que probablement il y aura des petits groupes isolés, dispersés, qui ne se sentiront pas motivés pour faire des actes de bravoure."

Interdits de stade à la demande des autorités britanniques, les ressortissants anglais seront empêchés de s'en approcher par trois cordons de police. Si certains parvenaient à pénétrer dans l'enceinte ou les tribunes, ils seraient placés en garde à vue jusqu'à une heure après la fin de la rencontre avant d'être ramenés à l'aéroport ou leur résidence en Turquie.

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Cinq britanniques interpellés avant Turquie-Angleterre

Source : AFP

Cinq ressortissants britanniques, dont quatre déguisés en supporteurs turcs, ont été interpellés samedi par la police près du stade où doit se dérouler dans la soirée le match Turquie-Angleterre de football qualificatif à l'Euro-2004, a constaté un correspondant de l'AFP.

Les quatre premières personnes arrêtées étaient un couple vêtu du maillot national turc et leurs deux enfants, selon toute vraisemblance, vêtus eux du maillot de Fenerbahce, club dont le stade accueille la rencontre.

Il n'était pas immédiatement clair auquel des trois barrages de police cette famille avait été interceptée, mais la police a affirmé avoir vérifié qu'ils étaient des ressortissants britanniques.

Ils ont été emmenés dans une voiture de police vers un des centres prévus pour retenir les contrevenants à l'interdiction faite aux non-Turcs de s'approcher du stade et ce jusqu'à une heure après la fin du match.

Le cinquième supporteur a brandi un passeport irlandais lors de son interpellation par la police, a constaté l'AFP. Il a également été emmené.

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Turquie-Angleterre: sécurité maximale, interpellations au stade

Source : AFP

Sous une nuée de drapeaux nationaux mais dans une ambiance de sécurité maximale, la police d'Istanbul a interpellé samedi sept Britanniques, dont quatre déguisés en supporteurs turcs, aux abords du stade où devait se dérouler dans la soirée le crucial Turquie-Angleterre qualificatif à l'Euro-2004 de football.

Quelques heures avant le coup d'envoi, deux enfants et leurs parents, tous des ressortissants britanniques vêtus de maillots de clubs turcs, ont été interpellés alors qu'ils tentaient de se faufiler malgré l'interdiction de laisser entrer dans le stade des supporteurs non munis d'une carte d'identité turque.

Trois autres Britanniques ont également été interpellés près du stade.

Craignant des incidents qui risqueraient de disqualifier la Grande-Bretagne, la fédération anglaise avait renoncé à distribuer des billets à ses supporteurs, leur déconseillant de se rendre en Turquie où ils sont de toutes façons persona non grata.

Samedi, le chef adjoint de la police de Staffordshire, David Swift, a annoncé que 45 Britanniques avaient été interpellés à l'aéroport d'Istanbul.

Il n'a pas écarté la possibilité que certains petits groupes isolés se forment, mais "sans tenter des actes de bravoure".

Ambiance détendue

Au milieu d'un impressionnant déploiement de police, l'ambiance dans la ville était toutefois détendue avant le match.

"On ne sent pas de tension", estime Atilla Topal, 33 ans, gérant d'un café-narguilé sur les bords du Bosphore où trône un grand écran de télévision.

"Je ne pense pas qu'il y aura de problèmes, vu que les supporteurs anglais ne sont pas venus", selon lui.

"Ce que j'espère, c'est qu'il y aura du bon football et qu'on va battre les Anglais!", préfère-t-il affirmer.

Autour du stade Sukru Saracoglu, sur la rive asiatique de la ville, de longues files se sont formées aux différentes barrières de polices disposées pour prévenir l'entrée de possibles agitateurs.

Tous les spectateurs sont consciencieusement fouillés, doivent montrer une pièce d'identité et leurs drapeaux sont débarrassés des hampes.

Un zèle qui suscitait des interrogations chez les amateurs de football qui y voyaient une certaine "exagération".

Ecran géant

"Tout ce qu'on veut, c'est du foot!", clame Ilias, les épaules chargées de banderoles, et la Turquie va l'emporter 1 à 0, professe-t-il, car "c'est une équipe de niveau mondial".

Un écran géant avait été érigé sur la place de Taksim, lieu de toutes les célébrations publiques et témoin de l'épopée turque au Mondial-2002, lorsque les rouge et blancs avaient terminé troisièmes.

Dans un pub irlandais, le patron Eamonn Lehane a installé un projecteur pour le match "qu'il ne suivra pas", parce qu'il "n'aime pas ça".

"Je n'aurais pas cru que ce match attirerait autant l'attention, mais je n'imagine aucun débordement du moment que les supporteurs britanniques ne sont pas venus", dit-il.

Eamonn se souvient de la venue récente de Liverpool et des policiers turcs en faction devant sa porte, ainsi que des deux supporteurs anglais tués à coups de couteaux par des supporteurs de Galatasaray en avril 2000.

Par précaution, il a préféré installer ses clients britanniques devant un écran au premier étage, les Turcs restant dans la grande salle du rez-de-chaussée.

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Turquie-Angleterre: colère des supporteurs anglais expulsés

Source : AFP

Les premiers supporteurs anglais expulsés de Turquie samedi, à quelques heures du match Turquie-Angleterre qualificatif à l'Euro-2004 de football, ont exprimé leur colère et leur frustration à leur arrivée à l'aéroport londonien de Heathrow Londres.

"On a été traités comme des animaux", s'est insurgé Rick Farmary, un ouvrier de 31 ans originaire de Nottingham (centre), rapatrié de force comme une quarantaine de fans anglais après avoir été détenus pendant plusieurs heures à l'aéroport d'Istanbul. "J'ai dépensé beaucoup d'argent pour tout ça et je suis dégoûté".

Interrogé sur les mises en garde des autorités britanniques et de la Fédération anglaise de football, qui avaient décidé d'interdire aux supporteurs l'accès au stade pour éviter les incidents, M. Farmary a répondu: "Au bout du compte, quand on a dépensé autant d'argent, ça vaut le coup de tenter sa chance sur place".

Une colère partagée par un autre supporteur, qui a requis l'anonymat. Il a expliqué qu'à son départ de l'aéroport de Manchester (nord-ouest) avec un groupe d'amis, la police les avait laissés embarquer parce qu'ils avaient montré un papier assurant qu'ils allaient rejoindre un ami en Turquie.

"On ne cherchait pas à cacher quoi que ce soit", a-t-il assuré. "La police de Manchester nous a dit qu'on n'aurait pas de problèmes (en Turquie) et lorsqu'on est arrivés c'est la police britannique qui nous a arrêtés et interrogés".

"Avantage injuste"

Micky Fuller, un plâtrier du Surrey (sud), reconnaît pour sa part qu'il avait pris un risque en passant outre à l'interdiction de voyage.

"On nous a dit qu'on aurait 99,9% de chances d'être renvoyés mais s'ils nous donnent 0,1% de chances (de ne pas l'être) alors on devait essayer", a-t-il déclaré à sa descente d'avion.

M. Fuller, comme la plupart des autres supporteurs, a toutefois exprimé sa frustration de se voir rapatrié de force alors qu'il ne figure pas sur la liste des quelque 1.500 hooligans répertoriés par la police britannique.

"Je devrais pouvoir aller où je veux, je ne suis pas frappé d'interdiction et je n'ai jamais fait de problème par le passé. Je voulais simplement aller voir un match de football", a-t-il expliqué, furieux que l'équipe turque bénéficie d'un "avantage injuste" en jouant dans un stade sans supporteurs adverses.

"Il est triste d'en arriver à un stade où le simple désir d'aller à un match de football suffit à vous expulser d'un pays", a pour sa part commenté le porte-parole de la Fédération des supporteurs de football, Kevin Miles.

Samedi après-midi, quelques heures avant le coup d'envoi de la rencontre Turquie-Angleterre, cinq Britanniques ont été interpellés près du stade. Quatre d'entre eux étaient déguisés en supporteurs turcs.

Quarante-cinq supporteurs anglais avaient par ailleurs été interpellés à l'aéroport d'Istanbul à la mi-journée, et la majorité d'entre eux ont été renvoyés dans leur pays, selon le N.2 de la police de Staffordshire, David Swift.

FRANCE - ISRAEL - 11/10/2003

Source : LE PARISIEN

1 500 policiers, Un match sous haute surveillance

GENDARMES MOBILES, CRS, policiers, agents de sûreté : ils seront mille cinq cents ce soir pour assurer la sécurité autour et dans le Stade de France. Exceptionnellement, ce ne sont pas les stadiers mais les policiers qui contrôleront et fouilleront les 55 000 spectateurs attendus pour une rencontre à grilles levées. Dans les 7 hectares de l'enceinte du stade, des policiers du Raid seront déployés pour la protection des lieux et des personnalités. Un détachement de cette unité d'élite sera particulièrement affectée à la protection rapprochée de l'équipe d'Israël. Une couverture qui s'ajoute à celle des services de protection israéliens. Hormis le ministre des Sports, aucun autre représentant du gouvernement n'est attendu. Les risques d'échauffourées sont jugés peu élevés. Les pro-Palestiniens pourraient tout au plus distribuer des tracts à l'extérieur. Quant aux pro-Israéliens, une trentaine d'extrémistes identifiés par la police, ils pourraient siffler « la Marseillaise » ou déployer des banderoles dans les gradins.

Odense - ETOILE ROUGE BELGRADE - ??/10/2003

Source : SPORTDELIJE

Plus d'une centaine d'arrestations aux Pays-Bas - 15/10/2003

Source: REUTERS

Des supporteurs anglais et polonais ont été arrêtés mercredi peu de temps avant deux matches de football comptant pour la coupe de l'UEFA à Breda et Nimègues, aux Pays-Bas, a fait savoir la police néerlandaise.
Environ 94 ont été interpellés à Breda après des affrontements dans le centre ville. Le NAC Breda a été battu 1-0 par Newcastle United.
"Nous pensons que 87 d'entre eux sont Anglais et que sept sont Néerlandais", a déclaré un porte-parole de la police.
"Des batailles ont éclaté dans l'après-midi entre les deux groupes de supporteurs. Ils se sont lancés des bouteilles et des verres. Un des vandales a brisé la vitrine d'un magasin avec un bâton, ou une barre, après que des supporteurs s'y furent réfugiés", a-t-il ajouté.
La police a également arrêté 41 supporteurs polonais du Wisla Cracovie en début de journée après avoir retrouvé deux haches, trois crans d'arrêts, des couteaux de cuisines et d'autres armes dans leur bus.
Les supporteurs, qui allaient voir le match de leur équipe contre NEC, ont été renvoyés à la frontière.

Argentine - Une enquête qui ratisse large pour comprendre la violence - 18/10/2003

Source : AFP

Une vaste enquête judiciaire a été ouverte par le juge d'instruction Mariano Berges pour déterminer le rôle que jouent les différents acteurs du football -joueurs, entraîneurs, dirigeants, politiques- dans le développement préoccupant du hooliganisme dans les stades argentins.
Mariano Berges veut comprendre comment le phénomène des "barrabravas" (hooligans argentins) a pris une telle ampleur et, surtout, éclaircir les liens éventuels qu'il peut entretenir avec des dirigeants du football ou des hommes politiques.
Cette enquête intervient alors que le Championnat d'Argentine vient tout juste de reprendre. Toutes les compétitions nationales avaient été suspendues suite à des incidents le 31 août lors du match entre Boca Juniors et Chacarita, au cours duquel 71 personnes avaient été blessées.
L'enquête veut cependant dépasser le cadre strict de cet épisode pour s'intéresser à l'énorme influence qu'exercent les hooligans dans le football argentin. Lors des deux dernières décennies, les "barrabravas" ont en effet acquis -le plus souvent par la terreur- un pouvoir considérable, agissant comme une sorte d'assemblée illégale qui prend en otage les clubs et les autres supporteurs.
Face à cette force souterraine, certains dirigeants et hommes politiques sont suspectés de financer les groupes d'"ultras" pour acheter une sorte de paix sociale et fuir d'éventuelles "représailles", mais également à des fins électorales.
Ainsi, le vice-président de Chacarita, Armando Capriotti, est actuellement sous les verrous, accusé d'avoir entretenu des liens compromettants avec certains groupes de supporteurs. L'affaire pourrait même remonter jusqu'au président du club, le sénateur péroniste Luis Barrionuevo, allié politique de l'ex-président argentin Carlos Menem et accusé à plusieurs occasions d'irrégularités électorales.
Pour analyser ces relations particulières, le juge Berges a notamment convoqué cette semaine l'ex-entraîneur de Boca Juniors Carlos Bianchi. Celui-ci a comparu pendant deux heures avant de repartir visiblement énervé. Selon des sources judiciaires, il venait d'avouer qu'il n'a jamais financé les "barrabravas", mais que ceux-ci ont, à certaines occasions, réclamé un pourcentage sur son salaire.
Hôtel de luxe
Trois joueurs, Carlos Navarro Montoya (Chacarita), Roberto Abbondanzieri et Alfredo Cascini (Boca Juniors), ont également été interrogés parce que leurs noms figuraient dans un agenda trouvé au domicile de Rafael Di Zeo, un des chefs des hooligans de Boca Juniors.
L'hypothèse d'un rapport entre le milieu des "barrabravas" et celui des politiques a été confortée après que l'on ait découvert que Santiago Lancry, un hooligan de Boca Juniors arrêté il y a une semaine, était employé au service de sécurité au sein du Gouvernement autonome de la ville de Buenos Aires.
De plus, selon la presse locale, un ancien "ultra" repenti, Carlos Amenedo, a explicitement dénoncé au juge Berges les liens qui unissent les supporteurs de Boca Juniors au président du club Mauricio Macri, par ailleurs candidat malheureux au poste de chef du gouvernement de Buenos Aires, et à Carlos Menem.
Amenedo a notamment déclaré que Macri avait offert aux "ultras" 1200 billets par match et même payé un hôtel de luxe pour assister à la finale de la Coupe Libertadores face au club brésilien de Santos en juillet.

Laure-Minervois - Nîmes - Coupe - 18/10/2003

Source : AFP

Six blessés en marge d'un match de Coupe de France près de Carcassonne

Une bagarre entre supporteurs nîmois et jeunes de Trèbes (Aude), près de Carcassonne, a fait six blessés dont un grave aux abords du terrain où se déroulait samedi après-midi le match du cinquième tour de la Coupe de France de football entre Nîmes (National) et la bourgade audoise de Laure-Minervois (Division Honneur Régional), a-t-on appris auprès des pompiers.
Peu avant le coup d'envoi à 17h00, des premiers heurts avaient opposé de jeunes Nîmois à des jeunes de Trèbes, d'une cité voisine du stade de l'Aiguille, a-t-on appris auprès des gendarmes.
Par ailleurs une trentaine de jeunes gens venus apparemment avec l'équipe nîmoise, étaient entrés de force dans le stade, alors qu'ils ne disposaient que d'une vingtaine de billets, a constaté un correspondant de l'AFP. Ils devaient envahir le terrain lors du premier but nîmois, déclenchant un échange d'injures avec de jeunes supporteurs locaux, a-t-on appris de même source.
Une bande de jeunes de la cité voisine, armée de battes de base ball et de chaînes et accompagnée d'un chien pitt bull est alors entrée dans le stade pour venger leurs amis victimes des premiers heurts avant la rencontre.
La bagarre avec le groupe de jeunes nîmois a duré quelques minutes aux abords du terrain et du stade, et a fait six blessés dont un grave. Ce dernier, frappé à la tête à perdu connaissance un moment et a été hospitalisé, a-t-on appris auprès des secours.
Le match n'a pas été interrompu. Les Nîmois l'ont finalement emporté 5 à 2.

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Sept supporteurs blessés pendant le match de foot

Source : MIDI-LIBRE

Le match de Coupe de France (5e tour) qui opposait Nîmes Olympique à l'Entente Laure-Minervois-Aigues-Vives a été terni, hier dans l'Aude, par une bagarre entre les Gladiators, une trentaine de supporteurs nîmois venus avec deux minibus, et une bande de Trébéens. Sept jeunes ont été blessés dont un grièvement.D'après nos informations, tout a commencé quelques minutes avant la rencontre, qui se déroulait à Trèbes, le stade de Laure-Minervois n'étant pas homologué. Les Gladiators nîmois, dont certains éléments avaient pénétré dans l'enceinte du stade de l'Aiguille, bière à la main, mais sans payer leur place, passant par-dessus les clôtures, ont été "titillés" par quelques gamins qui leur auraient lancé cailloux et pignes de pins. L'un de ces gamins aurait alors reçu une claque. Le bouche à oreille faisant le reste, ses "grands frères" de la cité des Aiguilles, proche du stade, sont arrivés et sont venus à la rencontre des Gladiators pour avoir des explications.Quelques mots, vifs, ont été échangés, mais l'affrontement n'a pas dégénéré, chacun retournant de son côté. Les Trébéens auraient quand même alors promis de revenir... Au moment du coup d'envoi, à 17 heures, les Gladiators nîmois avaient pris place derrière l'un des buts, celui gardé par le portier audois, et installé leur banderole. C'est là qu'ils ont pu fêter bruyamment les deux premiers buts inscrits par l'équipe gardoise.Leur joie exubérante aura été de courte durée. Car les jeunes Trébéens, qui étaient allés chercher du renfort après les disputes précédant la rencontre, sont revenus au stade vers la 20e minute du match. Armés de battes de base-ball, de barres de fer, d'une chaîne de vélo et de sabres en bois, ils ont alors pris en chasse les supporteurs nîmois. Un chien d'attaque a même été aperçu dans les rangs des Trébéens. Une course-poursuite s'est engagée et les coups ont fusé. Sept Nîmois ont été blessés dont un grièvement. Il s'agit de garçons âgés de 17, 18 et 22 ans.Deux des victimes, qui avaient perdu connaissance, ont été transportées par les pompiers au centre hospitalier de Carcassonne pour y subir des scanners. Un de ces jeunes hommes, blessé violemment à la tête, était, hier soir, qualifié par les pompiers de blessé grave. Les autres victimes souffraient de plaies et de contusions à la tête et aux jambes. Les blessés légers ont été acheminés vers la polyclinique Montréal de Carcassonne où ils ont reçu les soins nécessaires. Les gendarmes de Trèbes sont restés aux abords du stade jusqu'à la fin du match qui n'a pas été interrompu.L'évacuation a eu lieu dans le calme, après la victoire nîmoise (5 à 2) Hier soir, les militaires procédaient aux auditions des jeunes Nîmois afin d'établir les faits.

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Bagarre à Trèbes: les blessés sortis de l'hôpital

Source : AFP

Huit personnes blessées samedi lors d'une bagarre entre supporteurs nîmois et jeunes de Trèbes (Aude), en marge d'un match de Coupe de France de football dans cette banlieue de Carcassonne, sont toutes sorties de l'hôpital, a-t-on appris dimanche auprès des secours et des gendarmes.

Les gendarmes ont multiplié les auditions depuis samedi soir. Ils n'étaient que deux sur place au début des affrontements, selon les témoignages recueillis au stade par un correspondant de l'AFP. Après l'envoi de renforts, les gendarmes ont mis fin en quelques minutes aux bagarres opposant plusieurs dizaines de jeunes des deux camps, aux abords du terrain.

Huit personnes ont été blessés dont un gravement, un Nîmois victime d'un traumatisme crânien avec perte de connaissance, après des coups à la tête qui lui ont valu plusieurs points de suture.

Les blessés ont été répartis entre l'hôpital de Carcassonne et une clinique de la ville pour éviter que les bagarres ne reprennent entre les deux camps, a-t-on appris de mêmes sources.

La bourgade audoise de Laure-Minervois (Division Honneur Régional) accueillait samedi après-midi l'équipe de Nîmes (National), au titre du cinquième tour de la Coupe de France, à Trèbes, son stade ne répondant pas aux normes pour une telle rencontre.

Avant même le coup d'envoi, à 17h00, des premiers heurts avaient opposé aux abords du stade des supporteurs Nîmois à des jeunes de Trèbes, d'une cité voisine du stade de l'Aiguille. Puis une trentaine de jeunes gens venus apparemment avec l'équipe nîmoise, réussissaient à entrer en force dans le stade, alors qu'ils ne disposaient que d'une vingtaine de billets.

La situation a dégénéré lorsqu'une bande de jeunes de la cité, armée de battes de base ball et de chaînes et accompagnée d'un pitt bull est entrée dans le stade pour venger les victimes des premiers heurts, sans pouvoir être arrêtée par les deux gendarmes.

Le match n'a pas été interrompu et les Nîmois l'ont finalement emporté 5 à 2, mais dans une ambiance amère.

"Il y en a marre de voir des gars arriver comme ça sur un stade" a déclaré l'entraîneur du club audois, Patrick Missène, interrogé à l'issue de la rencontre, tout en ajoutant "qu'à force de chercher, les Nîmois sont tombés sur aussi forts qu'eux". M. Missène a souligné les bonnes relations entre les deux clubs et estimé "qu'il va y avoir une réunion d'urgence à Nîmes où une sanction tombera".

Du côté gardois, on mettait en cause la faiblesse des services de sécurité.

Rosetana-Ravenna - 17/10/2003

Source : ANSA

Suite aux incidents entre les deux clubs de Rosetana et Ravenna, le 5 octobre dernier, 12 personnes (7 de Rosetana et 5 de Ravenna) ont été interdits de stade. Ces personnes ont été identifiées grâce au système vidéo.

Perugia - Dundee - 14/10/2003

Source : BBC NEWS

A l'occasion de cette rencontre UEFA, des troubles ont éclaté entre supporters.
A cette occasion, les spotters anglaisont reconnus des supporters anglais de 2 clubs: Chelsea et Charlton. Les officiels du club écossais insistent sur ce fait, montrant qu'il ne s'agissait pas de fans de leur club.
Il semble qu'une centaine de fans buvaient dans un café du centre-ville quand une bagarre a éclaté. Huit fans seront transportés à l'hôpital.

NAC Breda - Newcastle United - 16/10/2003

Source: Teamtalk

Plus de 80 fans de Newcastle ont été arrêtés dans le centre-ville de Breda pour avoir causé des bagarres avec des supporters de Chelsea.
Les troubles ont éclaté plusieurs heures avant le début du match, et plus de 350 policiers ont du être rappelés pour rétablir l'ordre.
Les policiers locaux faisant finalement 87 arrestations côté anglais.
Certaines sources précisent qu'il s'agît en fait d'hooligans de Chelsea qui auraient organisé une bagarre avec des hooligans hollandais.
Un ancien défenseur de Newcastle, commentateur pour la BBC a précisé: 'Une chose sst sûre: les fans de Breda et de Newcastle buvaient ensemble, mais quand des fans de Chelsea et Feyenoord sont arrivés, tout a commencé'.

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Source: ITK - Gremlins lad

Juste de retour d'Hollande, et je peux dire qe ce fût un vrai carnage.
Il n'y avait aucun gars de Chelsea ou Feyenoord, juste ceux de Breda et de Newcastle. Nous étions environ 100 lads a nous être déplacés via Ostende, tandis qu'une 70aine d'entre étaient passé par Amsterdam. Nous étions en train de boire dans 3 pubs différents avec des supporters de Breda, quand vers 16h, une 30aine de lads du NAC a attaqué un bar, où une 20aine de nos gars étaient. Ils sont directement sortis pour aller au contact et Breda recula. Une 10aine d'autres Hollandais sont alors arrivés en renfort. Nous y sommes encore retourné pour un face-à-face de 2 minutes, mais le gros de leur troupe est alors arrivé, nous faisant fuir. Ce que je ne savais, c'est qu'un autre incident avait éclaté dans un square entre nos troupes et les flics (jets de bouteilles etc).
Alors que nous reculions, nous avons croisé ce groupe (+-50). Ensemble, nous avons alors ré-attaqué les locaux qui prirent la fuite. Les flics arrivèrent et protégèrent les locaux (+-90). Finalement, nous avons tous été arrêtés.
Une de nos meilleurs moments ces dernières années.
Regards.

FC Maribor - NK Olimpija - ??/10/2003

Source: post

Un total de 15 fans d'Olimpija (Green Dragons) seront arrêtés avant ce derby slovène. Quelques bagarres éclateront avec la police, mais rien de sérieux.
Aucun Viole aperçu.

Boca Juniors-Atletico Rafaela - 12/10/2003

Source: Reuters

La police a procédé à l'arrestation de 16 fans de Boca Juniors qui avaient créés des troubles qui étaient en cavale depuis 2-3 semaines. Ceux ayant été reconnus sur vidéo ont été arrêtés. Le groupe de la Doce, depuis les derniers incidents créés ne venait plus au stade, et ses membres ne trainaient plus dans les mêmes cafés.
La police a toutefois précisé que Rafael Di Zeo, dit Rafa, le leader incontesté était toujours recherché.
Les leaders de la Doce avaient ordonné à ses membres de tenir leurs places dans le stade. Personne ne devait prendre place à leur endroit stratégique.
Voyant que des policiers en civil étaient dans ce territoire, des supporters les ont attaqués, sans savoir qu'ils seraient vu sur video.

PAOK Saloniki - Xanthi Skoda - 04/10/2003

Source: Soccer Fans

Après que l'arbitre eu refusé unpenalty au PAOK à la dernière minute de jeu, les fans locaux créèrent des troubles. Ils tentèrent d'envahir le terrain et lancèrent différents objets en direction de l'arbitre. Ce dernier du être escorté par la police. En dehors du stade, des locaux tentèrent de rejoindre le vestiaire de l'arbitre et furent reçus par la police.

NEC Nijmegen - Wisla Krakow - 14/10/2003

Source: Casuals Nederland

La police a également arrêté 41 supporteurs polonais du Wisla Cracovie en début de journée après avoir retrouvé deux haches, trois crans d'arrêts, des couteaux de cuisines et d'autres armes dans leur bus.
Les supporteurs, qui allaient voir le match de leur équipe contre NEC, ont été renvoyés à la frontière.

Hongrie - Pologne - 15/10/2003

Source: mouvement ultra

Des incident ont eclatés, tout dabord un premier groupe polonais a charger lentrée du stade et a reussi a rentrer sans billet, mais ils se feront chasser de la tribune par les flics anti emeute. dehors grosse embrouilles entre polonais et les flics.
tout le monde entre en tribune, et un corres present au match a vue les polonais se mettre a lecart, mettre des protege dents, etre surexciter et attendai larrivée dun autre groupe pour se taper entre eux ... chose faite dehors. le 2eme groupe, des mec du Legia varsovie apparament, sorte du metro marche tranquil vers le stade, arriver pas loin du stade il enfile tous un teeshirt blanc, le signal est donner le 1er groupe (lodz + poznan je crois?? a confirmer) resorte du stade et gros contact entre les deux groupe polonais (env 100 mec de chaque coté)