Saison 18/9 - Mai

Ferencváros TC - Újpest FC - 04/05/2019

Source : https://rangado.24.hu/

Bagarre d'avant match entre 100 Fradi vs 50 Újpest.
38 hooligans ont été interpellés.

Espagne : Cádiz CF - Málaga CF - 04/05/2019

Source : https://www.laopiniondemalaga.es/

Incidents en ville entre Brigadas Amarillas (Cádiz) et Frente Bokerón (Málaga). Plusieurs supporters ont été arrêtés.






Málaga lads

France : Les supporters lyonnais interdits de déplacement à Marseille - 06/05/2019

Source : https://www.90min.com/

L'Olympique de Marseille reçoit l'Olympique Lyonnais ce dimanche (21h) dans le cadre de la 36e journée de la Ligue 1 Conforama. La rencontre qui doit réunir 60 000 spectateurs se disputera sans supporters lyonnais après une décision de la Préfecture des Bouches-du-Rhône.

Le refrain semble se répéter en boucle et ce n'est tout sauf une surprise, les supporters lyonnais ne pourront pas faire le déplacement tant attendu à Marseille dans ce choc capital dans la course à l'Europe.

Toujours troisième après son match nul face à Lille (2-2), les Lyonnais ne comptent plus qu'un point d'avance sur leur rival stéphanois. En face, les coéquipiers de ​Florian Thauvin qui ont concédé le nul également à Strasbourg (1-1), ont probablement dit adieu à l'Europe à seulement trois journées de la fin.

Pourtant, ​cette confrontation entre deux mastodontes du championnat de France devait accoucher d'une rencontre alléchante aussi bien sur le papier que sur le terrain. Finalement, la pression sera principalement dans les rangs lyonnais même si les Marseillais vont s'atteler à bien terminer la saison.

Et si le spectacle avait pu être à son apogée, le préfet de police des Bouches-du-Rhône, Olivier de Mazières a fait une requête au ministère de l'Intérieur afin qu'il prenne un arrêté pour interdire le déplacement des supporters lyonnais.

Comme depuis le début de la saison, il s'agit simplement d'une formalité administrative qui devrait être officialisée dans les prochaines heures au détriment du spectacle en tribunes qui sera une nouvelle fois sacrifié.


(Illustration : Lyon à Sévilla)

TFC - Lille, un an après : "J'en veux à la justice, à la police et au club" - 06/05/2019

Source : https://www.lesviolets.com/

Le 6 mai 2018, après la défaite du TFC contre Lille (2-3), des incidents avaient éclaté sur le parvis du Stadium. Alors qu’un supporter a été relaxé, Nicolas, lui a été condamné à huit mois de prison avec sursis et à deux ans d’interdiction de stade. La rédaction du site LesViolets.Com est allée à sa rencontre un an jour pour jour après les faits.

Comment vas-tu aujourd’hui ?

“Ça fait drôle d’y repenser. La vie a repris son cours, mais c’est toujours contraignant d’aller au commissariat pointer tous les week-ends à cause de mon interdiction de stade, et c’est comme ça pour toutes les rencontres du TFC que ce soit en Ligue 1, en Coupe et même pour les matchs amicaux !”

Que te souviens-tu de ce 6 mai 2018 ?

“C’était catastrophique. Pendant le match, j’étais dans le virage Brice Taton. Puis on est sorti sur le parvis pour voir les joueurs. Et c’est là où s’est parti en vrille. Lors de la charge des policiers, j’étais avec un ami, on a couru pour sortir vers la billetterie principale. Là, il y avait un cordon de CRS, trois d’entre eux sont arrivés sur nous en courant. On a continué de courir, et je me suis fait choper le long de la Garonne, devant le grand parking. Ils m’ont mis face contre terre et m’ont lynché. J’ai reçu des coups de leur part, au sol et dans la voiture.”

Quels ont été les motifs de ton interpellation, puis de ta condamnation ?

“Pour eux j’ai jeté une bouteille de verre et une barre de fer sur les policiers. En réalité, la barre de fer, ils me l’ont tendu en garde à vue, en me demandant de l’attraper, puis m’ont dit : “Il y a tes empreintes dessus maintenant.” Et concernant la bouteille, je n’ai rien lancé, et je n’ai jamais entendu la moindre bouteille éclater près d’eux lors de la charge. C’était un peu n’importe quoi, les policiers ont frappé sur tout le monde. D’ailleurs, tout est parti de l’arrestation d’un autre supporter qui aurait utilisé un fumigène quelques minutes avant la charge. Finalement, il a été relaxé par le tribunal. Preuve que ces incidents n’auraient jamais dû avoir lieu.”

Que s’est-il passé dans les heures suivantes ton arrestation ?

“Les policiers m’ont dit que je m’étais fait des bleus et des cocards en tombant, alors que pas du tout ! Et dans la voiture, j’ai indiqué à celui qui m’a mis des coups qu’il était, en fait, le responsable de mon état. Il a commencé à me mettre des coups de coude en me disant : “T’es sûr que c’est moi qui t’ai fait ça ?” Puis, en arrivant au commissariat de l’Embouchure, ils m’ont tendu la fameuse barre de fer en me disant : “Tiens, attrape-la, dis-lui bonjour.” J’étais sonné, je l’ai prise et ils m’ont dit : “C’est bon, il a tes empreintes dessus.” Je ne savais même pas pourquoi j’étais placé en garde à vue. J’étais même serein pour vite sortir. Finalement, le lendemain, ils sont venus me chercher pour m’envoyer au Palais de justice. On m’a annoncé que j’étais poursuivi pour violences aggravées sur personnes dépositaires de l'autorité publique avec armes blanches, en l’occurrence la bouteille de verre et la barre de fer, sans oublier les outrages. Je n’avais rien fait, je n’avais rien à me reprocher, et je leur ai demandé de visionner les vidéos du parvis pour le prouver. Finalement, aucune image n’est sortie et ils voulaient même me mettre en détention immédiate. Au final, j’ai pu rentrer chez moi jusqu’au procès.”

Comment s’est passé ton jugement ?

“Tout est allé très vite. Le soir même j’ai appelé mon avocat commis d’office, qui m’a redirigé vers un de ses collègues… et qui n’a pas été très bon pour me défendre. Au tribunal, j’avais une quinzaine de témoignages officiels qui déroulaient les faits. En face, les policiers n’avaient qu’un seul article de La Dépêche avec une photo où on voyait des supporters faire des doigts d’honneur… je n’étais même pas dessus ! Ils n’avaient rien, rien n’était clair, j’avais tout pour prouver que je n’avais rien fait, et j’ai été condamné. Un des policiers a demandé aussi une très forte somme d’argent au titre de dommages et intérêts. Mais, à ce jour, je n’ai toujours pas de nouvelles.”

As-tu tenté de contacter le TFC ?

“Je n’ai jamais eu le moindre message de leur part. J’ai essayé de leur envoyer un message, mais ils n’ont rien fait. J’attendais de pouvoir enfin récupérer les vidéos des caméras de surveillance du parvis du Stadium. Ils n’ont jamais rien donné, et Toulouse-Métropole non plus.”

À qui en veux-tu aujourd’hui ?

“J’en veux à la justice, à la police, au TFC qui n’a rien fait. J’en veux un peu à tout le monde, sauf aux supporters, aux ultras et à ma famille qui a toujours été là. Je supporte le TFC depuis que je suis gamin. Il m’est arrivé quelque chose après un match, ils pouvaient me défendre et ne l’ont pas fait. Ils feraient mieux de bien s’occuper de leurs quelques supporters…”

As-tu envie de revenir au Stadium dans un an, après la fin de ton interdiction de stade ?

“Pas tellement. Pour revoir ce genre d’événement, recroiser les policiers de la SIR qui peuvent tout faire… Pfff… non, vraiment, ce n’est pas envisageable.”

Suite à ces événements, une association s’est créée, l’ADIST (l'Association de Défense des Intérêts des Supporters Toulousains). Quel a été son rôle pour ton cas ?

“Ils ont tout assumé pour moi. C’est eux qui ont monté mon dossier, m’ont soutenu. Il a eu une cagnotte Leetchi et la vente de tee-shirts. Ça a permis de payer les frais d’avocat. Il y a eu une grosse participation des supporters. Franchement, je tiens à les remercier. Cette association a été créée pour ça et pour toutes les autres personnes qui connaîtront la même chose que moi dans le futur. Ils sont là pour nous. Sans l’ADIST, je n’ose même pas imaginer où je serais maintenant, probablement en prison.”

Aujourd’hui, continues-tu de regarder le TFC ?

“En fait, je suis obligé de les suivre pour connaître le calendrier des matchs afin de pointer au commissariat. J’ai regardé le match contre Rennes à la télé, mais avec beaucoup moins de passion qu’avant. Mon avis sur la saison ? On prend les mêmes et on recommence (sourire).”

As-tu un dernier mot à ajouter ?

“Je veux remercier tous les supporters et toute ma famille. Ils ont été là pour moi. Le jour du procès, il y avait 25 personnes au tribunal et ils ont attendu des heures pour me soutenir. Dans cette histoire, je n’y suis pour rien, mais je me dis que sans eux, j’aurais aussi pu prendre plus cher.”

Belgique : Francs Borains- RAAL- 05/05/2019

Source : https://www.dhnet.be/

Aucun incident majeur à déplorer lors de la rencontre Francs Borains-RAAL

Ce dimanche, les Francs Borains entamaient à domicile leur tour final de D2 face à la RAAL. Le match était considéré comme une rencontre à haute tension, à tel point que la zone de police boraine avait décidé de renforcer les mesures de sécurité. D'importants débordements avaient en effet été constatés lors de précédentes rencontres.

La présence policière accrue et la fouille systématique de toutes les personnes pénétrant dans l'enceinte du stade semblent avoir joué un rôle dans le bon déroulement du match. En effet, ce lundi, la zone de police boraine tire un bilan globalement positif. "Quelques taquineries entre supporters ont été constatées, comme des vols de banderoles et quelques provocations. Mais dans l'ensemble, la rencontre s'est déroulée dans le calme", communique-t-elle.

Une bonne chose, plus encore pour les familles et supporters qui ont assisté au match et qui ont, parfois lors de rencontres précédentes, été témoins d'affrontements indignes entre défenseurs des différents clubs.

En janvier 2018 à Boussu, la rencontre avait rapidement dégénéré, donnant lieux à des scènes de violence et des dégradations. Une semaine auparavant, lors de Solre-Francs Borains, un problème entre l’ancien délégué des Borains et un supporter louviérois s’était terminé violemment. Huit jours plus tard, les supporters louviérois avaient réglé leurs comptes, dans la démesure, à Vedette. Envahissement de terrain, coups portés à des policiers et à des joueurs boussutois, la fête du football régional avait été gâchée. À la clé, une condamnation à un match à huis-clos… avec sursis pour les Loups.

La leçon ne semblait pas avoir été retenue puisque le 23 mars dernier, c'est au stade Tivoli qu'à l'issue de la rencontre, plusieurs dizaines d'individus cagoulés avaient dégradés des véhicules et affronté les forces de l'ordre.

Grèce : La finale entre PAOK et AEK se jouera à huis clos - 06/05/2019

Source : https://fr.besoccer.com/

Le gouvernement grec a décidé ce lundi que la finale de la Coupe de Grèce entre PAOK et AEK se jouera à huis clos samedi prochain, dû à l'impossibilité de garantir une bonne sécurité au sein du Stade Olympique.

Le ministre des sports, Yorgos Vassiliadis, a évoqué à travers un communiqué que la décision avait été prise après de longues discussions avec les services de police, la Fédération grecque de Football et les clubs concernés.

Vassiliadis dit avoir pris cette décision "en raison des affrontements entre les groupes de supporters des deux clubs" durant les finales de la Coupe qui ont eu lieu en 2017, et au sein du Stade Olympique, en 2018".

Le ministre a également évoqué qu'au cours de ces deux années, il y eut plusieurs menaces de mort entre les supporters des deux clubs, ce qui a nécessité à plusieurs reprises l'intervention de la police.

"Nous espérons que cette décision soit la dernière de ce genre" a réagi le club du PAOK dans un communiqué paru après la décision ministérielle.

PAOK soutient qu'une finale doit se jouer et se célébrer avec les spectateurs et s'oppose au fait que la fédération ait choisi le Stade Olympique d'Athènes, stade dans lequel l'AEK dispute ses rencontres.

La finale qui a lieu le 11 mai prochain est la troisième qui confronte ces deux clubs. Lors des deux finales antérieures, PAOK l'a toujours emporté, 2 à 1 en 2017 et 2 à 0 en 2018.

La première fois qu'une finale de la Coupe Grecque a été célébré sans spectateurs remonte à 2016, entre l'AEK et l'Olympiacos del Pireo.

Ajax vs Tottenham : Rencontre à hauts risques - 07/05/2019

Source : https://nos.nl/

"Contrairement à ce qui a été indiqué dans la presse, nous détestons Tottenham, car même si ils représentent la communauté juive de Londres, comme nous à Amsterdam, ils sont avant tout anglais, et ça c'est insupportable..." confie un membre du F-Side, le noyau dur de l'Ajax.

La rencontre européenne retour, qui aura lieu demain à Amsterdam, est considérée à hauts risques par les autorités locales, à cause des incidents qui ont eu lieu à Londres et avec la présence attendue de 10,000 fans anglais, dont certains sans billet de stade.

Le 10 avril dernier, avant le match à domicile de la Ligue des champions, contre la Juventus, la situation était devenue incontrôlable autour du stade. La police avait reconnu une mauvaise gestion de la foule, en utilisant trop rapidement les canons à eaux, qui n'avait eu pour effet, que d'exciter les supporters, qui n'avaient eu que le tord d'allumer des fumigènes. De nombreux incidents en avaient découlé. Un flot de critiques avait suivi contre les force de l'ordre. Une enquête interne a même été ouverte au sein de la police.

Par ailleurs, alors que l'Ajax est en passe de se qualifier pour la première fois depuis 1996, pour la finale de la Champions League, il est demandé aux supporters de n'allumer aucun fumigène durant le match, afin d'éviter toute sanction de la part de l'UEFA.

Cremonese - Brescia - 04/05/2019

Source : http://www.laprovinciacr.it/

Incidents entre supporters

Peu avant 13 heures un incident a opposé des supporters sur la route Brescia.
Selon des personnes présentes, et sans version officielle de la police, des supporters de la Cremonese et de Brescia sont venus au contact à la sortie des autos, à proximité d'un bar.

France : Les supporters du FC Metz seront chassés du stade à Nancy - 07/05/2019

Source : https://5minutes.rtl.lu/

La polémique enfle à trois jours du derby entre l'AS Nancy-Lorraine et le FC Metz: le club nancéien a prévenu les supporters grenats qu'ils seraient tous chassés du stade s'ils tentaient d'y pénétrer.



Tout est parti d'un message posté sur Twitter, ce mardi matin, par l'AS Nancy-Lorraine. Celui-ci prévenait les supporters messins, et d'une manière générale toutes les personnes portant un vêtement ou un accessoire à l'effigie du FC Metz, qu'ils se verraient refuser l'accès au stade Marcel-Picot et seraient systématiquement remis aux forces de l'ordre.

Le club nancéien, qui bataille encore pour assurer son maintien en Ligue 2 (il occupe la 15e place, à 2 points de la place de barragiste), a justifié son message en s'appuyant sur l'arrêté émis hier, lundi 6 mai, par la préfecture de la Meurthe-et-Moselle. Celle-ci a interdit aux supporters messins de faire le court déplacement jusqu'à Nancy. "Du vendredi 10 mai 2019 à 10h au samedi 11 mai 2019 à 6h, il est interdit à toute personne se prévalant de la qualité de supporter du club du FC Metz ou se comportant comme tel, d'accéder au stade Marcel Picot" indique l'arrêté, qui interdit aussi aux supporters grenats de "circuler ou de stationner sur la voie publique" aux abords du stade. Néanmoins, rien n'indique que porter un maillot ou une écharpe du FC Metz est suffisant pour être remis aux forces de l'ordre, d'où un tollé sur le réseau social.

Depuis, l'AS Nancy-Lorraine a supprimé ses premiers tweets, ne brandissant plus la menace pour les amateurs du FC Metz d'être ramené à la police, mais se concentrant uniquement sur l'arrêté préfectoral.

Free fight - 04/05/2019

Source : mail

SV Ried (Autriche) vs Jahn Regensburg (Allemagne)
10 vs 10
Victoire Ried

Portugal : Vitória de Setúbal - Boavista FC - 06/05/2019

Source : https://tribunaexpresso.pt/

La rencontre a été suspendue pendant 10 minutes après des incidents dans les tribunes qui ont fait suite aux trois expulsions de joueurs de Setúbal, par l'arbitre Fabio Veríssimo, en seulement 6 minutes !
Des supporters ont tenté d'aller sur la pelouse mais la police est intervenue immédiatement.

Italie : "Attentat" contre le local des Irriducibili de la Lazio - 06/05/2019

Source : https://www.ilfattoquotidiano.it/

Une bombe agricole a explosé aux alentours de 4 heures du matin devant le local des ultras de la Lazio, les "Irriducibili".



Cela pourrait être des représailles d'autonomes d’extrême-gauche suite à la bannière des Ultras de la Lazio à Milan, «Onore a Mussolini», le 24 avril dernier.

Le chef historique de la Curva Nord, Fabrizio Piscitelli, surnommé "Diabolik", évoque un "motif politique" et la volonté de certains activistes de revenir aux "années de plomb", période de nombreux attentats sur le sol italien par les Brigades Rouges.

Il poursuit : "Si ils veulent revenir au terrorisme des années 70, à ce climat de terreur, nous sommes prêts. Nous répondrons avec une violence sans précédent. Ceux qui ont posés la bombe, sont des lâches, ils auraient pu blesser un sdf ou un passant. Si ils veulent nous affronter comme des hommes, ils savent où nous sommes, ils savent même où je vis ! Bien sûtr, nous sommes des fascistes, les derniers fascistes de Rome, et nous ne nions rien", a fini par conclure "Diabolik".

Personne n'a été blessé, mais le local du groupe des ultras a été partiellement endommagé. Pour le moment, il n'y a pas eu de revendication. Sur place, la police scientifique et les Digos se sont activés et les vidéo-caméras du quartier sont en cours d'analyse.

Le mouvement d’extrême-droite "Casapound Roma Sud" a fait part de sa solidarité avec les "Irriducibili" : "Une telle attaque d’origine politique, clairement antifasciste, est intolérable".

Le 15 mai, à l'Olimpico, la Lazio affrontera en finale de Coupe d'Italie, son rival de l'Atalanta Bergame dont les Ultras sont historiquement très à gauche.


"Diabolik"

Ajax Amsterdam - Tottenham - 08/05/2019

Source : https://vrijetijdamsterdam.nl/

La veille du match retour, la police était largement représentée dans le quartier rouge d'Amsterdam, alors que des milliers d'anglais étaient déjà sur place. Pour le moment, il n'y a pas eu d'incident...





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Tottenham


Quelques heurts ont eu lieu devant l'entrée de la tribune Sud-H (F-Side).




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Source : https://www.ad.nl/

Un anglais qui regardait le match en ville dans le bar "Mazzeltof", a hurlé sa joie sur le but victorieux des Spurs. Il a été sorti de l’établissement par trois hollandais qui l'ont tabassé et laissé au sol, inconscient. La police et les services d’urgence ont été rapidement présents pour l’aider.

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Source : https://www.ad.nl/

Après l'élimination de l'Ajax, la situation était tendue à divers endroits d'Amsterdam. La police a procédé à une trentaine d'arrestations au cours de la soirée.

Selon la police, l'unité mobile a pu éviter une confrontation entre fans rivaux, Place du Dam.

Italie : Montevarchi - US Massese - 05/05/2019

Source : Mail

Ultras Massese

Valencia CF - Arsenal FC - 09/05/2019

Source : Mail

Valencia fans

France : AC Ajaccio - RC Lens - 10/05/2019

Source : https://lavdn.lavoixdunord.fr/

Des incidents entre supporters à la mi-temps d’AC Ajaccio - Lens

Alors que les deux équipes regagnaient le vestiaire (et que le Racing menait 1-0), des incidents ont éclaté entre une dizaine de supporters ajacciens et une trentaine de Lensois.

Malgré l’intervention de plusieurs stadiers, une provocation de quelques excités supporters de l’ACA a mis le feu aux poudres. Une trentaine de supporters lensois ont répondu de manière agressive en tentant de forcer la grille qui sépare le parcage des tribunes de l’ACA.

Après plusieurs minutes de coups échangés et d’altercations verbales, quelques personnes ont été évacuées via l’intervention des CRS. Un supporter lensois aurait été blessé dans les incidents et rapidement pris en charge par les pompiers.

Les dirigeants du Racing, dont le responsable des opérations sportives Romain Stévenon, ont tenté de ramener à la raison les quelque 200 supporters lensois.

France : les supporters de l'OGC Nice interdits de déplacement à Saint-Etienne samedi 18 mai - 11/05/2019

Source : hhttps://france3-regions.francetvinfo.fr/

Les supporters niçois sont interdits de déplacement à Saint-Etienne (Loire). Un arrêté a été émis par la préfecture de la Loire vendredi 10 mai. Le Gym doit rencontrer St-Etienne samedi 18 mai à 21h. Le club va engager un recours pour faire lever cette interdiction.

est l'interdiction de trop. Un arrêté émis par la préfecture de la Loire ce vendredi interdit le déplacement des supporters niçois à Geoffroy-Guichard, où le Gym rencontrera St-Etienne samedi 18 mai. Coup d’envoi prévu à 21h. Mais pour le club, cet arrêté est excessif et "injuste" :

Après des déplacements à Dijon, Rennes et Paris où leur comportement aura été irréprochable, les supporters niçois ne reprendront plus la route de la saison (...) Le club déplore une décision qui, encore une fois, va à l’encontre du football qu’il prônera et défendra toujours. L’OGC Nice va engager un recours pour lever cette interdiction. Il en sera de même désormais à chaque fois que le club estimera un arrêté juridiquement infondé.

Dans son arrêté, la préfecture de la Loire précise :

Samedi 18, de 8h à 24h, est interdit à toute personne se prévalant de la qualité de supporter de l’OGC Nice ou se comportant comme tel, d’accéder au stade Geoffroy-Guichard (commune de Saint-Etienne) et à ses abords.

Cette décision fait écho à celle prise en mars par la préfecture des Bouches-du-Rhône, ayant privé les Niçois du derby au Vélodrome. Sur son compte twitter, le club rouge et noir déplore cette interdiction. Pour ce déplacement, le club avait pris les devants en encadrant le voyage : pas plus de 200 personnes et acheminement en bus et mini-bus au Chaudron.

Le club niçois souligne que des supporters d'autres clubs ont pu être présents lors des matchs au stade Geoffroy Guichard. Plus tôt dans la saison, les Lyonnais et les Montpelliérains, ont été autorisés à se rendre dans ce stade. Une semaine avant la rencontre, l'OGC Nice commence donc un bras de fer judiciaire.

AS Nancy - FC Metz - 10/05/2019

Source : Mail

Nancy

PAOK - AEK - Finale Coupe de Grèce - 11/05/2019

Source : https://www.francefootball.fr/

La finale entre les deux clubs n'a été suivie sur place que par un nombre restreint de supporters, sur ordre du gouvernement, afin d'éviter les violences qui avaient entaché les deux dernières rencontres entre les deux clubs. Près de trois mille policiers avaient été déployés à l'intérieur et à l'extérieur du stade.



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Source : https://soccerplus.gr/

Des supporters du PAOK rentrés par la Porte 23 du stade, se sont dirigés vers la tribune de presse pour s'en prendre verbalement aux journalistes et leur cracher dessus. La police est intervenue pour les repousser.

Après le match, il y a eu 5 minutes d’affrontements entre les supporters du PAOK et la police, à l'extérieur du stade.

Vendredi soir, des supporters de l'AEK avaient affronté la police, alors qu'ils tentaient d'approcher l'hôtel où l'équipe du PAOK avait pris ses quartiers.

Allemagne : Affrontements à la Gare de Düsseldorf - 11/05/2019

Source : https://www.express.de/ + https://www.wz.de/

Alors qu'ils rentraient de leur déplacement à Dortmund, un millier de fans voyageant à bord d'un train spécial, ont été attaqués à la gare centrale de Düsseldorf par 200 supporters de Schalke 04, qui eux rentraient de Leverskusen.
Des bagarres ont éclaté et le service de train a été interrompu. La police est intervenue avec grande difficulté.





S04 fans

SC Preußen Münster - Karlsruher SC- 11/05/2019

Source : https://www.hurriyet.de/

Avant le match, des ultras de Münster ont pris d'assaut la terrasse d'un café se situant sur le port, où des supporters de KSC étaient attablés.

Plus de 20 ultras masqués ont attaqué les fans visteurs. Un homme de 68 ans, notamment, a été frappé à terre. Alors que d'autres fans de Karlsruhe venaient à la rescousse, les agresseurs se sont enfuis.

Cinq Ultras arrêtés

Les policiers ont arrêté, au total, 29 personnes âgées de 19 à 27 ans. Ils appartiennent tous au noyau dur des ultras du SC Preußen Münster. Cinq d'entre eux ont été placés en garde à vue le temps du match.



Après le succès 4 à 1, et l'accession de KSC à la 2e Bundesliga, des centaines de fans ont couru sur la pelouse, pour célébrer leur équipe. Craignant des incidents avec les ultras locaux, la police a crée une zone tampon.

Bosnie : Tuzla City - FK Sarajevo - 11/05/2019

Source : https://net.hr/




Horde Zla (Sarajevo) et The Maniacs (Željezničar) se sont affrontés à Tuzla, située à 50 kms environ au nord-est de la capitale de la Bosnie-Herzégovine.

Les incidents ont débuté lorsque des fans de Sarajevo sont tombés sur un bus de supporters de Željezničar. Le bus a été caillassé avant que la bagarre n'éclate. La police a procédé à plusieurs interpellations.

Russie : Yenisey Krasnoyarsk - FK Krasnodar - 11/05/2019

Source : https://ngs24.ru/

De légers troubles ont eu lieu dans le stade entre fans de Yenisey et stewards. La police est intervenue.

1.FC Union Berlin - FC Magdeburg - 12/05/2019

Source : https://www.sport1.de/

A la 82ème minute de jeu, l'arbitre a interrompu la rencontre à cause de jets de projectiles sur la pelouse, par les fans de Magdebourg. Ceux-ci ont également tenté de casser une grille de leur tribune. Le match a repris après 10 minutes de chaos.

Zenit St Petersbourg - CSKA Moscou - 12/05/2019

Source : https://moika78.ru/

Une première bagarre a eu la veille du match, entre une quinzaine de hooligans, à proximité de la cathédrale de Kazan.

Le jour du match, une violente bagarre a opposé une soixantaine de hooligans de chaque côté, dans la rue Savushkina. Trois d'entre eux ont dû être hospitalisés.