Saison 17/18 - Novembre

OM: Evra, c’est fini ! - 11/11/2017

Source : https://www.msn.com/



L'OM et Patrice Evra, c'est fini ! Selon nos informations, le contrat de Patrice Evra avec l’OM, qui courait jusqu’en juin 2018, a été résilié à l’amiable. L'international français de 36 ans avait frappé un supporter marseillais à Guimaraes le 2 novembre, d’un coup de pied.

L’OM et les représentants d’Evra sont tombés d’accord sur une rupture de contrat à l’amiable. La communication pour annoncer le dénouement de l’affaire Evra devrait se faire dans un communiqué commun, dans la soirée, pour montrer que la décision de mettre fin à la collaboration OM/Evra est une décision des deux parties, Evra ayant évidemment pris conscience que son aventure avec l’OM devait prendre fin.

Pas d'entretien préalable

Les négociations avaient commencé en début de semaine. Selon nos informations, l’entretien préalable à une éventuelle sanction disciplinaire n’aura donc pas lieu. L’entretien aurait été une suite logique, une semaine après la mise à pied, en cas de volonté de l’OM de licencier Evra.

Le fait que l’entretien n’ait pas lieu - information confirmée par l’OM et l’entourage du joueur - était un signe supplémentaire allant dans le sens d’une résiliation de contrat. Evra, d’ailleurs, n’est pas sur Marseille. Il se ressource en famille, probablement sur Paris.

Dans le vestiaire olympien, tout le monde a pris conscience que l’aventure d'Evra à l'OM était terminée. Le joueur connaît par ailleurs le verdict de l'UEFA. Il est suspendu jusqu'au 30 juin 2018 de toutes les compétitions de l'UEFA et écope d'une amende de 10 000 euros.

Marseille : La facture salée infligée par l'UEFA - 11/11/2017

Source : http://www.foot-national.com/

La suspension et l'amende infligées par l'UEFA à Patrice Evra ainsi que son départ de l’OM ne sont pas les seules conséquences du déplacement des Marseillais à Guimaraes, le 2 novembre dernier. Le club de Frank McCourt va devoir payer la somme de 25 000 euros à l’instance européenne pour « invasion de terrain par des supporters, utilisation de fumigènes et dommages matériels ». Des incidents survenus lors de ce match de Ligue Europa.

La facture ne s’arrête pas là. La commission de discipline contraint également le club phocéen à rembourser, à son homologue portugais, les dommages matériels causés par ses supporters. Les dirigeants olympiens doivent s’entretenir, dans les jours à venir, avec les représentants des différents groupes de supporters, que ce soit pour aborder la question de ces dérapages ou même pour évoquer ce qui a provoqué l’affaire Evra. Après la trêve hivernale, l’OM enchainera dix matchs, toutes compétitions confondues, en l'espace d'un mois. Le comportement de ces supporters devra alors être le dernier de ses soucis. 

Free-fight - 11/11/2017

Source : Mail

Brøndby (Danemark) vs Malmø (Suède)
10 x 10
1 mn
Victoire Brøndby

Espagne: FC Cartagena - Real Murcia - 11/11/2017

Source : Mail

Murcia Ultras

Universidad Chile - Santiago Wanderers - Coupe du Chili - 11/11/2017

Source : http://www.elperiscopio.cl/

Des incidents ont éclaté avant la finale entre la U et Wanderers. Il y a eu 10 arrestations.

Côte d'Ivoire - Maroc - 11/11/2017

Source : https://www.rtbf.be/

22 policiers blessés suite aux échauffourées dans le centre de Bruxelles samedi soir




Des voitures incendiées, des vitrines de magasins saccagées, des pavés et des détritus qui jonchent le sol... le centre de Bruxelles a vécu une soirée d'échauffourées samedi soir, après la qualification du Maroc à la prochaine Coupe du Monde en Russie. La fête a mal tourné: 23 personnes ont été blessées, dont 22 policiers, selon un nouveau bilan de la police. 

Que s'est-il donc passé ? 

Des centaines de personnes étaient rassemblées devant la Bourse, drapeau marocain sur les épaules. Elles venaient fêter la qualification de leur équipe à la Coupe du Monde l'année prochaine.
Et puis, "on a constaté que parmi ces supporters, il y avait des gens qui jetaient des objets sur les gens, sur la police et qui commençaient à dégrader des voitures et les installations des Plaisirs d'Hiver," explique le porte-parole de la police Olivier Slosse.

La police décide alors d'intervenir avec une autopompe. Ensuite, des échauffourées éclatent un peu plus loin sur le Boulevard Lemonnier, pas très loin de la gare du Midi, des dizaines de jeunes jettent des pavés, détruisent le mobilier urbain, incendient des voitures et détruisent les vitrines de commerces. Certains, sont même pillés.
"Ils sont entré et ils ont tout cassé dans mon magasin", explique la propriétaire d'un magasin de meubles, sous le choc.

Deux versions

Pour certains jeunes du quartier rencontrés sur place, la police "a chargé en premier". "C'est juste une simple erreur de la police", dit un jeune "ils ont chargé les gens et ça leur a fait peur. Maintenant ils doivent assumer." De son côté, un supporter explique: "D'un coup, la police a commencé à charger alors que l'ambiance était bon enfant".

Mais selon Olivier Slosse, "il y a des gens qui se sont mêlés à ces supporters, ont cassé des voitures. C'est ça qui a fait qu'on a du à un moment intervenir. Il a souvent des festivités à la Bourse lorsqu'il y a un match de foot. Turcs, Italiens... Peu importe le pays victorieux, on est préparés à ça. Mais là, c'était exceptionnel. "

23 blessés

La tension a fini par baisser peu après minuit. 22 policiers et une personne civile ont été blessés, selon un premier bilan de la police.
Personne n'a encore été interpellé mais la police utilisera les images des caméras de surveillance pour identifier les auteurs. Les dégâts n'ont pas encore été évalués, une enquête est ouverte. 



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Source : https://www.rtl.be/

Des commerçants pillés hier soir témoignent: "200 personnes sont entrées et ont tout cassé, on m'a volé 10.000 €"

Des émeutes ont eu lieu dans le centre-ville de Bruxelles samedi soir. Plusieurs personnes ont été blessées. Des voitures ont été incendiées et des vitrines de magasins brisées lors de ces échauffourées réunissant 300 personnes. Des commerçants ont raconté les faits à notre journaliste Emmanuel Dupond.



Des bagarres ont éclaté samedi soir dans le centre-ville de Bruxelles, quelques minutes après la qualification de l'équipe nationale marocaine de football pour la prochaine Coupe du monde en Russie, a indiqué la police. Les agents ont été visés par des jets de projectiles, et certains de leurs véhicules ont été dégradés. Trois policiers ont été blessés. Un civil a été  transporté en ambulance à l'hôpital, sans qu'il soit établi s'il était impliqué dans les échauffourées.

Les fauteurs de troubles ont bouté le feu à deux voitures et brisé des vitrines sur le boulevard Lemonier, donnant lieu au pillage de certains magasins.

"Trente personnes sont entrées dans le magasin et ont pris des choses. Après ils ont cassé la boutique. J'ai téléphoné à mon ami pour qu'il m'aide. Une personne avec de l'ammoniaque a commencé à brûler... Après il y avait peut-être 150 ou 200 personnes qui sont entrées ici. J'ai été me cacher dans le fond du magasin. Mais un de mes amis a été blessé", a détaillé un commerçant victime des émeutes au micro d'Emmanuel Dupond. "Ils ont volé 10.000 euros, des bouteilles d'alcool et des cigarettes", a ajouté l'homme encore sous le choc.

Le retour au calme

La police n'a encore procédé à aucune interpellation, mais les images caméras seront saisies et exploitées afin d'ouvrir des dossiers judiciaires à ce sujet. Afin de disperser la foule, la police a eu recours par deux fois à un canon à eau, place de la Bourse dans un premier temps et puis à hauteur du carrefour Lemonier. Le retour au calme a été constaté vers 00h30 dimanche matin, les appuis de la police fédérale et d'autres zones de police locale ont alors quitté les lieux.

Des centaines de supporters

Après la victoire du Maroc sur la Côte d'Ivoire samedi soir (2-0), environ 300 personnes ont provoqué des bagarres dans le centre-ville de Bruxelles, en se réunissant avenue de Stalingrad et sur la place de la Bourse ensuite. Des centaines de supporters se sont aussi réunis dans les rues de Paris, sur les Champs-Elysées, mais les scènes de liesse, encadrées par les forces de l'ordre, n'ont pas donné lieu à des débordements, selon le quotidien Le Parisien. 

AS Nancy - RC Lens - 04/11/2017

Source : https://maligue2.fr/

Un bus de supporters lensois fouillé par la police pendant Nancy-Lens

Ce samedi après-midi, plus de 1 000 supporters du RC Lens ont rallié le stade Marcel-Picot pour assister au nul 1-1 entre Nancy et le club Sang et Or (14e journée de Domino’s Ligue 2). Parmi les groupes artésiens présents, les Red Tigers, principale section d’ultras lensois. Ces derniers ont eu une désagréable surprise au retour dans leur bus, après la fin du match.

En effet, pendant la rencontre, l’autocar des Red Tigers a été fouillé par la police. Les sacs personnels ont été ouverts, de l’alcool a été confisqué et même des stickers ont été piqués. Selon nos informations, le groupe a prévu de porter plainte dans les jours à venir contre la police. Le chauffeur du bus a même attesté les faits par écrit.

ASSE : Les Magic Fans expliquent l'envahissement du terrain - 11/11/2017

Source : https://www.foot01.com/



L’ambiance est très tendue au sein de l’AS Saint-Etienne, où les dirigeants ont décidé de porter plainte contre leurs supporters pour l’envahissement du terrain peu avant la fin du derby face à Lyon de dimanche dernier. Principal groupe de supporters des Verts, les Magic Fans assurent n’y être pour rien dans ces agissements, car ils avaient rangé leur matériel, cessé leurs encouragements et pour certains même rejoint la sortie. Néanmoins, les MF ont publié un communiqué pour expliquer que ce comportement n’était pas une surprise, et qu’ils soutenaient ceux qui allaient être sanctionnés. D’ailleurs, selon les Magic Fans, c’est parce que les leaders de la tribune ont été « interdits de stade » après leurs derniers méfaits, que les problèmes ont eu lieu.

« Nous avons arrêté d’animer le Kop Nord et rangé notre matériel à partir de la 75e minute. Cependant, nous refusons de blâmer les supporters qui ont pris la décision de rentrer sur le terrain de stopper une humiliation inacceptable. D’abord parce qu’ils n’ont commis aucun acte violent, mais aussi parce qu’ils l’ont fait par amertume, par dégoût envers une équipe honteuse et surtout par amour pour notre club dont certains de ses occupants actuels ne représentent en rien son histoire et ses valeurs. Nous apportons donc notre soutien plein et entier envers les personnes qui recevront des interdictions de stade pour avoir réagi à chaud dans un contexte particulier. En effet, il est probable que le préfet de la Loire se serve des Interdictions administratives de stade pour les sanctionner, le même préfet qui par sa minable vengeance (interdire de stade les leaders des deux groupes ultras suite à la violation du huis-clos lors d’ASSE-Rennes) a désorganisé des tribunes auparavant cadrées, ce qui a permis aux évènements de dimanche dernier de se produire. Voilà ce qui se passe quand on vire d’une tribune des personnes écoutées et respectées », ont ainsi expliqué les Magic Fans, qui ne font pas une seule fois mention de la célébration de Nabil Fékir, preuve que ce n’est pas ce geste qui a le plus choqué dans le Forez dimanche soir.

France : Antoine Boutonnet, ancien patron de la lutte contre le hooliganisme, s'est suicidé - 12/11/2017

Source : https://www.lequipe.fr/

Responsable de la Division nationale de lutte contre le hooliganisme pendant huit ans, entre 2009 et février 2017, Antoine Boutonnet se serait suicidé avec son arme de service ce dimanche selon Le Parisien. Ce commissaire avait notamment appuyé et accompagné la mise en place en 2010 par le PSG du plan Leproux visant à pacifier les tribunes du Parc des Princes. Il était un des responsables de la sécurité de l'Euro 2016 qui s'est déroulé en France.

Dépités, les Bruxellois ont découvert le chaos dimanche matin: appartements dévastés, commerces pillés, voitures saccagées - 12/11/2017

Source : http://www.rtl.be/

Pour les Bruxellois, le réveil a été douloureux dimanche matin. Balais à la main, ils nettoient ce qu'ils peuvent. Certains ont subi des vols, d'autres découvrent leurs magasins littéralement éventrés. Des logements ont également été pris pour cible. Mélanie Renda et Gilles Gengler se sont rendus sur place pour constater les dégâts et recueillir les témoignages des victimes. Un suspect a été interpellé et relâché après audition.



Des émeutes et bagarres de rue ont éclaté dans le centre de Bruxelles samedi soir, peu après la qualification de l'équipe de football du Maroc pour la coupe du monde. Entre 200 et 300 personnes se sont opposées aux forces de l'ordre. La police a dû utiliser à deux reprises un canon à eau place de la Bourse et au carrefour Lemonnier. 22 policiers ont été blessés. Deux véhicules ont été incendiés, des magasins ont été pillés et du mobilier urbain saccagé. Un retour au calme a été observé peu après minuit.

Des habitants dépités

De la vitrine de ce magasin de meubles, il ne reste que des débris ce dimanche matin. Une partie du trottoir a été dégagé ce matin.

Frida, la propriétaire, est restée éveillée toute la nuit. "Avec de l'aide des voisins et l'aide de ma famille on va essayer de mettre des panneaux. On ne va pas rester dormir chaque nuit ici jusqu'à ce que le vitrier arrive", confie la commerçante.

A l'étage du bâtiment, les fauteurs de trouble ont pillé l'appartement d'un jeune homme, prenant soin de vider un extincteur avant de partir.

Devant les commerces, les habitants du quartier s'arrêtent. Ils sont abasourdis. "C'est pas normal, c'est pas normal! J'ai été vraiment choquée quand j'ai vu ça", déplore une dame. "C'est triste de voir ces dégâts. C'est scandaleux. Je ne sais pas ce qu'on gagne à casser des vitrines et à arracher des poteaux", commente un autre passant.

Le long des rues, les quelques voitures qui se trouvaient sur le passage n'ont pas été épargnées.

Une jeune femme retrouve son véhicule complètement saccagé. Elle ne comprend pas comment cela a pu arriver. "Je suis choquée. Je ne sais pas pourquoi les gens ont fait ça. Tout ce qu'on m'a dit c'est qu'ils étaient qualifiés pour la Coupe du monde. Si ça c'est le simple fait d'être qualifiés, le jour où ils vont gagner, qu'est-ce qui va arriver?", s'interroge la victime.

Dans ce nightshop, après avoir cassé la devanture et tenté de voler la caisse, les émeutiers s'en sont pris à un vendeur. Il a été emmené à l'hôpital dans la soirée. "Ce n'est même pas pour l'argent, c'est une question de vie. Ils étaient des centaines", confie l'homme, encore sous le choc.

Ce dimanche matin, commerçants et habitants sont nombreux à s'échanger des vidéos et photos amateurs, filmées et prises ce samedi soir. Ils espèrent pouvoir reconnaître les personnes impliquées dans les débordements.

Un suspect interpellé et relâché après audition

La police a pu identifier un suspect à la suite des émeutes qui ont éclaté dans le centre de Bruxelles samedi soir. Cette personne a toutefois été relâchée après avoir été entendue. Le parquet de Bruxelles indique dimanche soir qu'il ne dispose pas d'éléments suffisants pour poursuivre cette personne tout de suite ou pour justifier la demande d'un mandat d'arrêt éventuel.

Belgique : Douze mois de prison pour les supporters d'Anvers qui avaient agressé un policier - 14/11/2017

Source : http://www.rtl.be/

Le tribunal correctionnel d'Anvers a condamné à douze mois de prison et à 1.200 euros d'amende les trois supporters de l'Antwerp qui avaient roué de coups un inspecteur de police. La victime avait subi une incapacité de travail de trois semaines.

Les faits avaient eu lieu le 4 février, après le match du F.C. Antwerp contre l'Union Saint-Gilloise au stade Roi Baudouin. Les supporters anversois avaient été raccompagnés par la police jusque dans le train en direction d'Anvers. Le train s'était immobilisé à la gare de Berchem et les supporters avaient commencé à s'échauffer à cause de leur consommation importante d'alcool et de la fin de match difficile. Un incident est alors survenu entre les trois inculpés et un inspecteur de la police des chemins de fer. Ce dernier a subi une incapacité de travail de 23 jours à la suite des coups reçus. Mike V.E., âgé de 30 ans, avait déclaré à la police qu'il était ivre et Limane B., âgé de 38 ans, avait reconnu avoir frappé le policier. Le troisième accusé, Patrick J., lui aussi âgé de 38 ans, niait les faits mais le tribunal a également prouvé son implication. "La violence aveugle due à une surconsommation d'alcool et au hooliganisme est inadmissible et entache le monde du football", a estimé le tribunal. Les trois condamnés étaient absents lors du procès. Ils sont tenus d'indemniser l'inspecteur de police pour les dommages occasionnés.

Bastia: Privé de supporters à Cannes et Villefranche - 15/11/2017

Source : http://www.foot-national.com/

Toujours invaincu et auteur d'un bon départ malgré un été cauchemardesque, le Sporting Club de Bastia remonte doucement mais sûrement au classement du championnat de National 3 Corse-Méditerranée. 
Hélas pour elle, avant de défier Endoume le 2 décembre prochain, l'ex-écurie de Ligue 1 devra effectuer deux déplacements consécutifs sans ses supporters. 
La raison ? Une décision du préfet des Alpes-Maritimes qui serait due à un contentieux avec les supporters niçois. Du coup, le déplacement de toute personne se prévalant supporter du Sporting Club Bastiais sera interdit pour les rencontres du 18 et 25 Novembre face respectivement à Villefranche SJB et l'AS Cannes.

Belgique: Trois hooligans arrêtés après les incidents à Bruges-Antwerp - 13/11/2017

Source : http://www.7sur7.be/

Le juge d'instruction de Bruges a ordonné l'arrestation de trois hooligans du Club de Bruges pour le rôle qu'ils ont joué dans les émeutes qui ont eu lieu après la rencontre opposant Bruges à Anvers. Douze policiers ont été blessés durant ces affrontements. De nombreux dégâts matériels ont également été recensés.



Le match qui opposait le club brugeois à Anvers le 22 octobre avait dégénéré en émeutes à Sint-Andries, près de Bruges. Outre les dégâts matériels, la police avait été canardée par différents projectiles qui avaient endommagé plusieurs casques et boucliers. Une douzaine d'agents avaient été blessés.

Les images des caméras de surveillance fournies par l'hélicoptère de la police fédérale ont aidé à identifier les coupables. Les inspecteurs ont également utilisé des images livrées par des habitants du quartier et des témoins.

Les trois suspects ont été arrêtés lundi matin et placés en détention par le juge d'instruction. Il s'agit d'hommes originaires de Flandre occidentale qui appartiennent au noyau dur du Club de Bruges. L'un deux est connu depuis longtemps pour ses actes de hooliganisme. Il est également l'un des suspects principaux dans l'enquête sur la bagarre survenue après la rencontre d'Europa-League entre Bruges et Naples, en 2015. Le deuxième suspect avait également été sanctionné plusieurs fois pour des infractions liées au football. Le troisième aurait par ailleurs saccagé la voiture d'un cordonnier. Le Club de Bruges avait lancé un crowdfunding après les émeutes pour indemniser la victime. Les trois hommes sont poursuivis, entre autres, pour organisation criminelle.

Le tribunal décidera vendredi si la détention des trois suspects est prolongée, tandis que l'enquête se poursuit.

Belgique: Huit hooligans condamnés après les débordements du match Standard-Feyenoord - 15/11/2017

Source : http://www.lavenir.net/

Huit supporters de football, qui avaient participé aux incidents survenus lors du match de football d’Europa League entre le Standard de Liège et Feyenoord, ont été condamnés mercredi par le tribunal correctionnel de Liège.

Ces hooligans ont écopé de peines allant de 100 heures de travail à 15 mois de prison ferme, à des amendes et à des interdictions de stade allant jusqu’à 15 mois.

Ces huit spectateurs du match de football opposant le Standard de Liège et Feyenoord le 11 décembre 2014 avaient été impliqués dans d’importantes scènes de bagarre les opposant à des supporters adverses et à des policiers.

Ce match avait été placé dans la catégorie des rencontres à risque en raison de l’antagonisme historique qui existait entre les noyaux durs des deux clubs et en raison d’un sentiment de revanche qui animait certains supporters de Liège à la suite des débordements survenus lors du match «aller».

Vers 20h45, un groupe de supporters du Standard avait tenté de forcer un barrage policier pour aller au contact des supporters néerlandais. Vers 22h45, ces supporters avaient forcé en masse l’entrée d’une tribune dans laquelle se trouvaient des «VIP» de Feyenoord. Lors de ces incidents, des policiers et un chien policier avaient été blessés.

Les huit prévenus étaient poursuivis pour des faits de rébellion et d’outrage. Deux d’entre eux, un Néerlandais âgé de 31 ans et un Allemand âgé de 25 ans, avaient de plus commis le vol d’un appareil destiné à des secours en pénétrant dans une ambulance. Ils ont été condamnés par défaut à des peines d’un an et 15 mois de prison ferme, à des amendes de 300 euros et à des interdictions de stade d’un an et 15 mois. Leurs arrestations immédiates ont été ordonnées.

Cinq hooligans belges, âgés de 26 à 34 ans, provenant de Namur, Verviers, Engis, Tournai et Seraing, ont été condamnés à des peines allant de 100 à 150 heures de travail, à des amendes et à des interdictions de stade de 10 à 15 mois. Une Sérésienne, âgée de 38 ans, a écopé par défaut d’une peine d’un an de prison, d’une amende et d’une interdiction de stade.

Suisse: interpellation d'un hooligan bâlois de 15 ans soupçonné d'avoir tabassé des Allemands après un match - 16/11/2017

Source : http://www.arcinfo.ch/

Le 21 octobre dernier, deux Allemands se faisaient violemment agresser par un groupes de hooligans rhénans après le match Bâle-Thoune. La police a identifié et interpellé l'un d'entre, âgé de 15 ans seulement.

Le tabassage de deux spectateurs, le 21 octobre dernier devant le Parc St-Jacques à Bâle, a abouti à une première interpellation, il y a quelques jours. Il s'agit d'un adolescent de 15 ans. Un groupe d'une dizaine de hooligans s'en était pris à un homme de 56 ans et à son fils de 29 ans, venus de Berlin.
L'adolescent interpellé est un fan du FC Bâle, indique le Ministère public de Bâle-Ville. L'agression avait eu lieu devant le stade, après le match de football Bâle-Thoune.

Une dizaine d'hommes ont apparemment attaqué le quinquagénaire et son fils simplement parce qu'ils venaient de Berlin. Ils les ont frappés. Une fois les deux victimes tombées au sol, les agresseurs leur ont donné des coups de pied. Sérieusement blessé à la tête, le fils a été hospitalisé. Son père s'en est sorti avec des blessures plus légères.

France: Un arrêté préfectoral pour les supporters de l’Olympique de Marseille - 17/11/2017

Source : https://www.girondins4ever.com/

Le préfet de la Gironde a publié un arrêté pour les supporters de l’Olympique de Marseille, un « arrêté portant restriction de la liberté d’aller et venir des supporters de l’OM à l’occasion de la rencontre du dimanche 19 novembre 2017 au stade Matmut-Atlantique opposant leur équipe au Football Club des Girondins de Bordeaux.


Archive

Arsenal FC - Tottenham - 18/11/2017

Source : Mail

Russie: Dynamo Briansk - Strogino Moscou - 11/11/2017

Source : Mail

Avant le match, 80 à 100 hools du Spartak ont attaqué 50 du Dynamo Briansk qui devront fuirent sous les coups.

Free-fight: - 04/11/2017

Source : Mail

Profitant d'un match européen en Norvège, les hools du Zenit ont accepté une free proposée par les hools de l'AIK (Suède).

45x45

Après un âpre combat, le Zenit l'emporte !

Zenit lads

France : Reims - Paris FC - 18/11/2017

Source : http://www.lunion.fr/

Des supporters gâchent la soirée

De gros pétards ont été lancés par des supporters du Paris football club samedi soir au stade Auguste-Delaune pendant le match opposant les Rémois aux Parisiens.
Ces projectiles ont été dirigés vers la tribune Francis-Méano, bloc 11, où se trouvaient de nombreuses familles rémoises. Certaines ont quitté les lieux par crainte pour leurs enfants et pour eux-mêmes.

FC Bâle - FC Sion - 18/11/2017

Source : http://www.lenouvelliste.ch/

Altercations entre supporters des deux camps à la mi-temps de Bâle-Sion

Des supporters bâlois ont traversé le stade pour venir narguer les Sédunois dans leur secteur. Remontés, ceux-ci sont sortis de leur secteur et s'en sont pris au service de sécurité.
Alors que la mi-temps approchait de sa fin dans le match qui oppose le FC Bâle au FC Sion à Saint-Jacques, trois supporters bâlois ont traversé tout le stade pour rejoindre le secteur visiteur.

Ils ont nargué le kop valaisan avant de s'emparer d'une bâche, celle du groupe de supporters "Freaks" et de retourner dans leur secteur. Ils one ensuite brûlé cette bâche. 

Excédés, certains supporters du FC Sion ont escaladé les grillages et sont sortis de leur secteur. Ils se trouvent encore actuellement aux abords de la pelouse et s'en prennent aux stadiers.

Les deux équipes ne reviendront pas sur la pelouse tant que les Valaisans n'auront pas rejoint leur secteur.

Après la menace d'intervention des forces de l'ordre, qui encadraient le secteur sédunois, les supporters valaisans sont tous de retour derrière les grillages.

À noter qu'à la reprise de la seconde mi-temps, le secteur valaisan s'est quasiment vidé. La majorité des supporters sédunois ont quitté les gradins de Saint-Jacques.

À l'extérieur du stade, de nombreux pétards se font entendre depuis que les supporters valaisans ont quitté l'enceinte.

Linzer ASK - Rapid Vienne - 18/11/2017

Source : http://www.heute.at/

Une violente bagarre a impliqué environ 150 personnes, avant le match. La police a pu rapidement intervenir avec des chiens et l'aide d'hélicoptères.

Traduction Underground Fans

France: FC Lorient - Brest - 18/11/2017

Source : https://www.ouest-france.fr/

Ce samedi 18 novembre à 15 h, le FC Lorient reçoit le voisin brestois. Eu égard aux relations tendues entre deux clubs de supporters, des dispositions ont été prises.

Un différend, pour ne pas dire plus, oppose depuis 13 ans certains Ultras brestois aux Merlus Ultras. Une histoire de bâche volée, de noms d’animaux puis de coups échangés.
Dernier esclandre connu : une partie de cache-cache musclée le 3 septembre 2016 dans le centre de Lorient. Pas de blessé mais une interpellation à la clé.

Dispositions sécuritaires

En conséquence, différentes dispositions sécuritaires ont été prises : le parcage visiteurs a été limité à 600 places et, théoriquement, les supporters des deux clubs ne doivent pas se croiser dans l’enceinte du Moustoir.

En parallèle, une compagnie de CRS va venir renforcé le dispositif habituel.

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Source : https://www.ouest-france.fr/

A 11 h, les premiers supporters brestois se regroupent dans un bar du centre de Lorient. Ils sont près de 200.

En début d'après-midi ce samedi, les CRS ont encadré les Ultras brestois du centre de Lorient vers le stade du Moustoir.
Quelque 80 CRS encadrent pas à pas le cortège des Ultras finistériens du centre vers le parcage visiteurs.
35 policiers, de leur côté, font de même avec la soixantaine de Merlus Ultras.

Durant le trajet, l'un d'eux jette un pétard sur un policier. Un autre, alcoolisé, les insulte et les menaces : il est interpellé.
Cela ne plaît pas aux autres Ultras qui jettent des projectiles sur les policiers, qui usent de leur gaz lacrymogène.
Dans le cortège brestois, deux supporters manifestement ivres sont eux aussi conduits à l'hôtel de police.




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Source : http://rmcsport.bfmtv.com/

Un tifo "Nique le Stade Brestois" dans les tribunes

Des supporters du FC Lorient ont déployé un tifo "Nique le Stade Brestois" dans les tribunes du Moustoir, lors de ce match de la 15e journée de Ligue 2.
Les dirigeants du FC Lorient peuvent s’attendre à des sanctions.

Sécurité : le PSG a « perdu le contrôle » d'Auteuil - 17/11/2017

Source : https://www.lequipe.fr/

Les relations entre le PSG et ses ultras demeurent compliquées. Encore un peu plus depuis la réception de Nice, fin octobre.

«On a perdu le contrôle de la tribune.» La phrase est de Philippe Boindrieux, le directeur général adjoint en charge des finances mais aussi de la sécurité en attendant le recrutement d'un nouveau directeur sécurité. Le dirigeant l'a prononcée quelques minutes après le succès facile contre Nice (3-0) le 27 octobre, lors du débriefing avec les responsables des sociétés de sécurité privée travaillant au Parc des Princes.

Boindrieux n'avait pas digéré le spectacle donné par le virage Auteuil. Ce soir-là, une composante du Collectif Ultras Paris (CUP) fêtait ses dix ans. Pour l'occasion, ses membres avaient invité des supporters de Naples de la Curva Sud 1907 et annoncé leur désir d'allumer des fumigènes.

Une réunion est prévue au ministère de l'Intérieur

Ils ont tenu parole et en ont craqué soixante-douze, ce qui pose la question de la qualité des palpations à l'entrée du stade. La commission de discipline de la LFP a ouvert une enquête sur ces faits et le PSG risque une sanction. Peut-être plus grave encore pour la direction parisienne, des membres du CUP ont, en bloquant les accès, empêché les stadiers d'intervenir pour appréhender les fauteurs de trouble.

Au club et chez les pouvoirs publics on s'interroge encore pour savoir comment autant d'engins pyrotechniques ont pu entrer dans la tribune. Cette affaire témoigne des relations compliquées entre la direction du PSG et ses ultras qui, à terme, aimeraient gérer eux-mêmes le virage Auteuil. Une réunion au ministère de l'Intérieur est prévue pour aborder ces difficultés.

ASSE-OL : Le témoignage glaçant d'un stadier sur la violence du derby - 16/11/2017

Source : http://fr.blastingnews.com/

Le derby entre l'ASSE et l'Olympique lyonnais n'est pas passé loin de virer au chaos il y a dix jours. Un stadier raconte l'enfer qu'il a vécu.



Alors que le championnat de #Ligue 1 arrive bientôt à mi-parcours, quelques images fortes resterons dans les mémoires. C'est notamment le cas du match qui a le plus suscité le débat depuis le début des hostilités : le derby entre Saint-Etienne et l'Olympique lyonnais [VIDEO]le 5 novembre dernier. Au delà de la très large victoire des hommes de Bruno Génésio sur la pelouse de l'éternel rival (5-0), les scènes de violences qui ont émaillés la rencontre ont marqué les esprits. La horde de supporters qui par deux fois a souhaité exprimer son mécontentement en envahissant le terrain aurait pu être responsable de de dégâts bien plus importants que les dégradations matérielles recensées.

En première ligne ce jour là, un stadier a voulu témoigner de l'enfer qui a été le sien. Son témoignage glaçant aura peut-être le mérite d'en faire réfléchir certains.

Un derby qui dégénère

Si les rencontres entre l'ASSE et l'Olympique lyonnais [VIDEO] sont toujours considérées comme à haut risque, le derby du 5 novembre dernier nous démontre la nécessité de faire évoluer les mentalités et d'accorder plus de moyens à la sécurité dans les stades. Le scénario du match a jeté de l'huile sur le feu. Vainqueurs sur le score de 5 buts à 0, les joueurs de l'#OL ont chambré le public adverse notamment sur le dernier but et le fameux épisode du maillot de Nabil Fekir. L'attitude des joueurs n'est certes pas exempte de tout reproche mais rien ne saurait justifier les deux envahissement de terrain et la violence faite à autrui notamment au personnel du stade.

Le club comme les responsables des groupes de supporters et d'ultras risquent bien de devoir trouver les bons arguments au moment de se justifier. C'est une bien mauvaise publicité pour un club aux valeurs familiales comme l'est l'ASSE.

"On ne peut pas faire le boulot de CRS"

Pris au piège et dépassé par les événements, un stadier présent sur place à tenu à témoigner de l'enfer vécu par ses collègues et lui. "J'ai un ami qui était avec moi et qui m'a dit qu'il ne viendrait plus travailler. Il a été roué de coups, il est tombé dans un escalier en tentant d'arrêter un supporter. Il m'a dit "je vais rester avec ma famille plutôt que de prendre des coups inutilement". Je ne devrais pas risquer ma vie sur ces matchs", a t-il témoigné au micro de France Bleue Saint-Etienne Loire.

Un récit stupéfiant qui est encore malheureusement bien d'actualité dans les stades en 2017.La commission de disciple a ouvert une enquête concernant les incidents et devrait prochainement rendre son verdict. Au mieux les verts s'en tireront avec une simple amende, au pire, ils écoperont d'un ou de plusieurs matchs à huis-clos voire d'une délocalisation de stade pour l'une de leur future rencontre de Football.