Saison 15/16 - Février

Allemagne : Rassemblement du noyau dur du FC Cologne - 14/02/2016

Source : http://www.ksta.de/

Ce dimanche à 15h, sous un temps pluvieux, quelques 200 fans du noyau dur de Cologne, se sont rassemblés devant le parvis de la cathédrale pour faire une photo. C'était l'occasion pour eux d'afficher leur nouveau t-shirt "Kölsche Jungs". La police qui avait eu vent de cet évènement a déployé des dizaines d'hommes sur place, d'autant qu'une trentaine de "catégorie C" se trouvaient dans le lot a indiqué un porte-parole des forces de l'ordre. Les supporters se sont ensuite dispersés dans le calme.

Traduction Underground Fans

OGC Nice - O.Marseille - 14/02/2016

Source : http://www.leparisien.fr/

Nice-Marseille interrompu par des fumigènes

Le match entre Nice et l'Olympique de Marseille a été interrompu pendant neuf minutes peu après le coup d'envoi en raison des fumigènes allumés derrière le but de Steve Mandanda, dimanche, à l'Allianz Riviera.

L'arbitre Benoît Millot a arrêté à la deuxième minute la rencontre comptant pour la 26e journée de Ligue 1, la fumée gênant la visibilité.

L'arbitre, ballon sous le bras, a discuté avec le délégué de la Ligue de football professionnel( LFP) et les deux entraîneurs, Claude Puel (Nice) et Michel (Marseille), pendant que les joueurs échangeaient des passes avec plusieurs ballons sur le terrain. Le speaker a rappelé au public que les fumigènes étaient interdits.

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Source : www.nicematin.com

Plusieurs supporters interpellés lors du match Nice-Marseille à l'Allianz

Plusieurs supporters marseillais ont été interpellés pour avoir bravé l'arrêté préfectoral qui leur interdisait de venir à Nice. D'autres interpellations ont visé des supporters marseillais et niçois pour usage de fumigènes.

Les fumées avaient entraîné l'interruption du match durant une dizaine de minutes dès le début de la partie. Ces interpellations ont eu lieu au cours et à l'issue de la rencontre, a indiqué la direction départementale de la sécurité publique, qui s'est refusée à préciser leur nombre.



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Source : L'Equipe

Supporter bastiais blessé : "Tombé sur un poteau" selon le procureur - 15/02/2016

Source : http://www.corsematin.com/

Le procureur de la République à Reims, Fabrice Belargent, a tenu un point presse ce lundi en fin de matinée concernant les incidents d'après-match survenus samedi soir sur le cours Langlet, dans le centre-ville de Reims entre des supporters du SCB et les forces de police.

Le procureur de la République a expliqué qu'à l'issue du match, une quinzaine de personnes se sont rendues en centre-ville et auraient, selon le parquet, tiré des fumigènes et des bombes agricoles sur la police.

Fabrice Belargent confirme l'usage du flashball par les forces de l'ordre "à une seule reprise et sans constatation de blessure".

Selon le procureur, c'est lors d'une poursuite intervenue plus tard qu'un jeune supporter serait "tombé sur un poteau", évoquant une "blessure au visage" à la suite de cette chute.

Si une information judiciaire devrait être ouverte concernant la blessure du supporter, Maxime Beux, ses proches affirment qu'il a perdu l'usage d'un œil à la suite d'un tir de flashball qui l'aurait visé à "bout portant".

Pour l'heure, le jeune homme de 22 ans est toujours hospitalisé à Reims. En début d'après-midi, les huit supporters interpellés samedi soir par les forces de l'ordre (dont un mineur) devraient être présentés en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims pour des faits présumés de "rébellion, outrage à agent et menaces".

PAOK Salonique - Iraklis - 14/02/2016

Source : http://www.eurosport.co.uk/

Suite à la défaite du PAOK lors du derby, la police est intervenue contre les supporters qui lançaient des projectiles dans la direction des joueurs et des officiels qui quittaient le stade de la Toumba. La police anti-émeute a dispersé les fans.

Traduction Underground Fans

Incidents Reims/Bastia: "la défense va demander un délai" pour le jugement de supporters - 15/02/2016

Source : http://www.lechorepublicain.fr/



Sept supporters de Bastia, auteurs présumés de violences sur des policiers après un match de L1 contre Reims samedi, devaient être jugés en comparution immédiate lundi dans la cité champenoise pour ces incidents, mais "la défense va demander un délai", a affirmé l'avocat de l'un des prévenus.

"La défense va demander un délai", a déclaré à la presse Me Mathieu Fabiani, l'avocat de l'un des prévenus. Son client, âgé de 28 ans, est "commissaire aux comptes, a un casier judiciaire vierge et présente un profil paisible", a affirmé l'avocat, s'exprimant à la volée au palais de justice de Reims.

Par ailleurs, la garde à vue du jeune homme de 17 ans qui devait être présenté à un juge des enfants a été levée et il comparaitra "dans un mois", a affirmé à la presse le secrétaire général du Sporting Club de Bastia, Antoine Agostini, également présent dans l'enceinte judiciaire rémoise.

L'audience de comparution immédiate n'avait pas encore commencé à 18H00, un retard dû à la durée de l'audition du mineur en garde à vue, a-t-on expliqué au palais de justice.

Enfin, le Stade de Reims a "condamné fermement" lundi dans un communiqué les "graves incidents" survenus entre les forces de l'ordre et les supporters bastiais samedi soir. Le club "n’accepte pas" qu’un match de football "puisse se conclure par toute forme de violence que ce soit, même en dehors de son enceinte", a affirmé le club de L1.

Reims espère "que toute la lumière sera faite sur ce triste événement" et réaffirme "dans sa ville et au-delà, son rejet le plus total de toute forme de violence", a ajouté le club champenois.

Samedi soir, après la rencontre entre les deux clubs, qui s'est conclue par la victoire de Bastia (1-0), des échauffourées ont éclaté dans le centre de Reims entre les supporters corses et la police au cours desquelles un supporter bastiais a été grièvement blessé.

Pendant la rencontre, les forces de l'ordre avaient été la cible d'insultes d'un tout petit nombre de supporters, selon le parquet.

Supporters corses : les gendarmes pris à partie à Corte - 15/02/2016

Source : http://www.leparisien.fr/

Les incidents ayant émaillé la fin du match de football entre Reims (Marne) et Bastia (Haute-Corse), samedi, dans le centre de Reims, continuent d'avoir des répercussions ce lundi en Corse.

Des incidents ont éclaté lundi soir dans cette ville de Haute-Corse entre manifestants et gendarmes mobiles, lors d'un rassemblement de quelque 500 personnes devant la gendarmerie de la ville pour dénoncer les poursuites judiciaires.

Quelques dizaines de jeunes manifestants cagoulés ou portant des capuches ont lancé divers projectiles en direction des gendarmes mobiles, en tenue anti-émeute, massés derrières les grilles de la gendarmerie, a constaté un journaliste de l'AFP. Les forces de l'ordre ont riposté en lançant des grenades lacrymogènes, faisant reculer les manifestants. Aucun blessé n'était à déplorer.




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Source : http://www.metronews.fr/

Procès des supporters du SC Bastia : des échauffourées et deux interpellations

Deux personnes ont été interpellées lundi 15 février après des affrontements entre manifestants et gendarmes à Corte, en Haute-Corse. Des tensions en marge du procès de huit supporters du SC Bastia, qui a été renvoyé au 22 mars.

Grilles enfoncées, vitres brisées et caméras de surveillance détruites. C'est le bilan d'une soirée de grosses tensions à Corte (Haute-Corse), où quelques dizaines de jeunes manifestants cagoulés ont affronté les gendarmes mobiles en marge d'un rassemblement de 500 personnes. Pierres, planches et gros pétard ont été lancés sur les forces de l'ordre, qui ont riposté avec des grenades lacrymogènes.

Procès reporté

Les manifestants, qui comprenaient des étudiants et des militants nationalistes, entendaient au départ apporter leur soutien à huit supporters du club de foot SC Bastia (L1), poursuivis à Reims pour des violences lors de heurts avec la police samedi soir après le match contre Reims. Lors de ces violences, un supporter bastiais avait perdu un œil.

Deux personnes ont été interpellées lundi soir. Les incidents ont pris fin peu avant 23 heures, au bénéfice d'une averse nourrie qui s'est abattue sur Corte. Des syndicats étudiants d'obédience nationalistes avaient appelé à la manifestation après une réunion publique à l'université de Corte décrétée "université morte".

Lundi 15 février, le tribunal correctionnel de Reims a annoncé le renvoi au 22 mars du procès des supporters du SC Bastia.

NEC Nijmengen - PSV Eindhoven - 14/02/2016

Source : Mail

France : «Refus catégorique» de Bastia de jouer contre Nantes samedi à 14heures - 16/02/2016

Source : http://www.leprogres.fr

Le club de Bastia a opposé mardi un «refus catégorique» au «diktat» de la Ligue (LFP) d’avancer son match de Ligue 1 (27e j.) contre Nantes samedi à 14heures, et menace de maintenir «les portes du stade fermées à l’horaire décrété par les instances.

«N’ayant à aucun moment été consulté sur les raisons qui ont motivé cette décision unilatérale et trouvant de telles pratiques inadmissibles, le club vient de signifier à la LFP son refus catégorique de se conformer à ce diktat, écrit-il dans son communiqué. Les portes du stade demeureront donc fermées à l’horaire décrété par les instances».

Le communiqué de Bastia suivait celui de la LFP annonçant la reprogrammation, décidée «à la demande de la préfecture de Haute-Corse».

Le climat s’est singulièrement tendu en Corse depuis les incidents qui ont éclaté autour de Reims-Bastia (0-1) mettant en cause des supporters du club corse.
Avant le match, une vingtaine de supporters avaient lancé des engins incendiaires en ville, selon le procureur de la République. Après la rencontre, une dizaine de supporters bastiais ont lancé des fumigènes sur les forces de l’ordre. Les incidents se sont poursuivis au centre-ville, au cours desquels un manifestant de 22ans a été blessé grièvement à un œil.

Huit fans du SCB sont poursuivis pour «menaces, rébellion, outrage à personnes dépositaires d’une autorité publique». Sept d’entre eux, qui devaient passer lundi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Reims, seront finalement jugés le 22 mars. Le huitième, âgé de 17 ans, a également été remis en liberté et sera jugé dans un mois par une juridiction pour mineurs.

Incidents en série en Corse

Des incidents ont également éclaté en Corse. Dimanche soir, un rassemblement de soutien au supporter blessé devant le commissariat de Bastia avait dégénéré avec jets de projectiles et cocktails Molotov. Un CRS avait été légèrement blessé à la tête.

Le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve avait «condamné très fermement ces actes inadmissibles» et a appelé «les responsables du Sporting Club de Bastia à intensifier leur travail de lutte contre les dérives de certains de leurs supporters +ultras+».

Lundi soir, à Corte (Haute-Corse) , quelques 500 personnes s’étaient massées devant la gendarmerie, lançant divers projectiles en direction des gendarmes mobiles.

Une seconde journée «Université morte» a été organisée mardi par les syndicats étudiants pour protester contre l’interpellation lundi soir de deux personnes lors de ces derniers incidents. L’université avait été déjà bloquée lundi en signe de solidarité avec huit jeunes supporters bastiais interpellés à Reims.

L’affaire a pris une tournure politique avec notamment les déclarations du président de la Collectivité territoriale de Corse, Gilles Simeoni, qui a mis en doute la «version officielle» concernant la blessure du supporter bastiais, Maxime Beux.

Selon le procureur de Reims, il a été grièvement blessé en fuyant des policiers après qu’il eut, selon la version des autorités, dégradé l’une de leurs voitures. Ils «sont parvenus à le rattraper, l’ont fait chuter pour le neutraliser», et c’est en tombant la tête la première sur un poteau que l’homme se serait blessé, selon le procureur de Reims.

«La victime elle-même» dit avoir été blessée par un tir de flashball, et «c’est ce que disent un certain nombre de témoins» également, a de son côté souligné M. Simeoni mardi sur France Inter.

Incidents Reims-Bastia : le groupe des ultras rémois réagit et mettent en cause la police - 16/02/2016

Source : http://www.corsematin.com

Le groupe de supporters ultra de Reims a réagi ce lundi soir par voie de communiqué sur les événements survenus dans la nuit de samedi à dimanche dans la ville champenoise après le match Reims-Bastia.

Les supporters rémois expliquent que "encore une fois un supporter perd un œil, après l'usage de cette arme de destruction qu'est le Flashball lorsque ce dernier est utilisé de manière abusive. On n'a encore jamais connu quelqu'un qui portait ces séquelles après avoir chuté ou tapé un poteau comme certains voudraient nous le faire croire. [...] L'histoire reste cependant floue, mais connaissant un peu la Police rémoise, et son comportement avec les supporters en général, nous ne sommes que trop peu étonnés. Alors oui, il y a une certaine animosité entre habitants de l'île de Beauté et Français du continent. Il n'en reste pas moins que le message "rivaux dans les tribunes, unis contre la répression" doit prendre plus que jamais un sens et éveiller les consciences. On veut une vraie police, pas des Cowboys".

Le frère du supporter corse éborgné à Reims affirme que Maxime est victime d’un tir de Flash-Ball - 16/02/2016

Source : http://www.mediaterranee.com/

Alors que le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve affirme que le jeune supporter ultra de 22 ans est tombé sur un "poteau", son frère Grégory a témoigné ce matin dans l’émission Bourdin Direct : il accuse une grave "bavure policière" et demande une "enquête impartiale" sur les incidents survenus à Reims.

« J’affirme totalement [que mon frère] a été blessé délibérément par un monsieur de la BAC de Reims, qui a visé son visage alors que mon frère était en train de fuir, c’est ça qu’il est important de souligner aujourd’hui : mon frère n’était pas armé, ne représentait pas une menace pour qui que ce soit et certainement pas pour des policiers en armes et avec des chiens et en très grand nombre ». C’est ce qu’a déclaré aujourd’hui Grégory, le frère de Maxime, dans l’émission Boudin direct.

Problème : depuis le début, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve affirme qu’il n’y a eu qu’un seul tir de flash-ball ce soir-là et qu’il n’a pas touché Maxime, mais un autre supporter dans l’abdomen. Dès le dimanche 14 février, dans un communiqué titré "Agression des forces de l'ordre à Reims et à Bastia", Bernard Cazeneuve faisait part de "son indignation alors que des pseudo-supporters ont agressé les forces de l'ordre hier soir à Reims et ce soir à Bastia" :

« Hier à Reims, à l'issue du match de Ligue 1 opposant Reims à Bastia, des voyous ont proféré des insultes et des menaces à l'encontre des policiers. Huit d'entre eux ont été placés en garde à vue, prolongée ce soir.

En réaction à ces interpellations, ce soir à Bastia une centaine d'individus ont lancé des projectiles et des cocktails molotov sur le commissariat de la ville. Ils ont été rapidement dispersés par les forces de l'ordre. Un CRS a été légèrement blessé à la tête.

Le Ministre de l'Intérieur condamne très fermement ces actes inadmissibles, et appelle les responsables du Sporting Club de Bastia à intensifier leur travail de lutte contre les dérives de certains de leurs supporters "ultras". Il rappelle la détermination totale du Gouvernement à lutter contre le hooliganisme. »

Au-delà du fait que les sociologues du supportérisme français tels que Nicolas Hourcade, ne cessent d’expliquer qu’il ne faut pas mélanger en France hooliganisme et mouvement ultra quitte, sinon, à comparer l’incomparable, rappellons qu’à Montpellier aussi, à l’époque du tir de Flash-Ball reçu par Casti, les forces de l’ordre tentaient d’affirmer que le supporter avait perdu son œil à cause d’une bombe agricole lancées par… un ultra ! Le rapport de l’expert medico-légal diligenté dans le cadre de l’affaire toujours en ours avait ensuite certifié qu’un tir de flash-ball était bien responsable de la perte de l’œil de Casti…

En Corse, un appel à manifestation a été lancé, ce samedi 20 février au Palais de Justice de Bastia, à 14h30. Juste avant que les supporters n’apprennent qu’à la demande de la Préfecture de Haute-Corse, la LFP avance le coup d’envoi du match Bastia-Nantes à 14h ce samedi, soit au même moment que le match à domicile de Bastia.

Corse : de nouveaux incidents entre manifestants et forces de l'ordre à Corte - 16/02/2016

Source : http://lci.tf1.fr/

Alors que la tension reste très vive en Corse depuis qu'un supporter bastiais a été grièvement blessé samedi à Reims, une cinquantaine de personnes ont pris à partie ce mardi les forces de l'ordre à Corte, en Haute-Corse.

De nouveaux incidents entre manifestants et forces de l'ordre ont éclaté mardi soir à Corte, en Haute-Corse, où plusieurs dizaines de cocktails Molotov ont été lancés sur un mur anti-émeute déployé par les policiers et les gendarmes. Quelque 200 personnes étaient rassemblées dans le calme à proximité de la sous-préfecture de Haute-Corse quand une cinquantaine de personnes au visage dissimulé ont jeté des cocktails Molotov en direction des forces de l'ordre qui ont répliqué en lançant des grenades lacrymogènes. Le feu causé par les cocktails Molotov a été très rapidement éteint par les CRS et les gendarmes mobiles déployés en nombre.

La tension est très vive en Corse depuis qu'un supporter du SC Bastia a été grièvement blessé dans des heurts avec des policiers samedi à Reims. Dimanche et lundi, des incidents avaient déjà opposé manifestants et forces de l'ordre à Bastia et Corte. Avant le début des incidents de mardi, les manifestants réunis à l'appel de syndicats étudiants nationalistes, avaient notamment scandé "FLN! FLN!" ou "Etat français assassin!". "Nous sommes venus pour soutenir Maxime Beux", le supporter blessé à Reims, a déclaré avant le début des incidents Paul Salort, porte-parole du syndicat étudiant Ghjuventu Independantista qui a appelé au rassemblement.

Il a qualifié de "provocation" le déploiement des forces de l'ordre à Corte. "Nous ressentons un profond sentiment d'injustice et de colère après la décision de déplacer l'horaire du match de samedi sans consulter le SC Bastia et alors qu'une manifestation était prévue", a-t-il ajouté.

Fenerbahce FC - Lokomotiv Moscou - 16/02/2016

Source : http://tass.ru/

Le bus des supporters russes a été attaqué à coups de pierres à quelques encablures du stade par des fans de Fener. La police a chargé pour dégager le véhicule et a interpellé 4 supporters locaux.

Traduction Underground Fans

PSG - Chelsea FC - 16/02/2016

Source : http://www.leparisien.fr

Les fans des Blues montrent patte blanche

Depuis le début de la journée, les 1 400 fans de Chelsea se pressent à l'hôtel Pullman Montparnasse (Paris, XIVe) pour récupérer les tickets qui leur permettront d'accéder ce mardi soir au Parc des Princes.

C'est le nouveau système mis en place par le club anglais pour éviter les fraudes et le marché noir.

Les supporteurs des Blues doivent montrer patte blanche pour récupérer leur précieux sésame. Chacun doit ainsi présenter la contre-marque qui lui a été remise à Londres, ainsi que son passeport. En échange, ils reçoivent leur billet du match et un bracelet autour du poignet qu'ils doivent présenter à leur arrivée au stade. «C'est un bon système, cela évite que certains fans achètent le billet et le revendent à quelqu'un d'autre, explique Merlin un supporteur anglais venu assister à la rencontre avec quatre amis. C'est la première fois qu'on utilise ce système et c'est très sûr.»

Avec cette nouvelle procédure, les clubs - dont le PSG qui l'utilise aussi - veulent éliminer la possibilité pour les supporteurs indésirables de se procurer des billets de manière frauduleuse. La saison dernière, des fans des Blues avaient ainsi agressé verbalement et physiquement un voyageur noir dans le métro parisien en marge du huitième de finale aller de la Ligue des Champions PSG-Chelsea (1-1). Ce mardi, en fin d'après-midi, aucun incident notable imputable aux fans anglo-saxons n'était à déplorer.



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Source : www.20minutes.fr

Les supporters anglais calmés à coup de gaz lacrymogène

Sale soirée pour les supporters de Chelsea présents au Parc des Princes. En plus de voir leurs protégés se faire battre par le PSG en huitième de finale aller de Ligue des champions (2-1), certains ont été gazés par les forces de l’ordre durant la rencontre. Selon le Daily Mail, les CRS ont utilisé du gaz lacrymogène dans le parcage visiteurs en première période pour calmer des fans des Blues un peu trop remuants.

Selon le quotidien britannique, plusieurs supporters anglais trop incommodés auraient dû alors quitter leur siège. En 2014, une bagarre avait éclaté entre supporters parisiens et anglais dans le centre de la capitale française avant le quart de finale aller de C1.

Wolverhampton Wanderers - Preston North End - 16/02/2016

Source : http://www.expressandstar.com

8 supporters dont 7 de North End ont été arrêtés par la police notamment pour avoir pénétré sur la pelouse.

Traduction Underground Fans

Violences Bastia/Reims: information judiciaire ouverte pour «violences volontaires» - 17/02/2016

Source : http://www.lefigaro.fr/

Le parquet de Reims a ouvert ce mercredi "une information judiciaire contre X pour violences volontaires" à la suite de la grave blessure à un œil d'un supporter corse après le match de L1 Reims-Bastia samedi, a indiqué une source judiciaire.

L'information a été ouverte précisément pour "violences volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail supérieure à huit jours", a précisé le parquet de Reims. Elle a été confiée au juge Pascal Préaubert, qui "a saisi l'Inspection générale de la Police nationale", selon la même source.

Brésil : SC Corinthians - São Paulo FC - 14/02/2016

Source : http://www.gazetaesportiva.com/

Les fans de SPFC ont chargé 2 bus de supporters de Corinthians sur la route 12. Ces derniers sont descendus des bus pour en découdre mais ont du fuir devant les supporters de Sao Paulo. 15 personnes ont été interpellées.

Traduction Underground Fans

France: Les supporters rennais ne pourront pas aller à Caen - 17/02/2016

Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/

Les supporters rennais seront interdits de déplacement à Caen le dimanche 21 février. C’est ce que précise un arrêté du préfet du Calvados, suite aux « caractères répétés d’événements susceptibles de troubler l’ordre public ».

Dans l’impossibilité de disposer de renforts de police et face à l’ "animosité constante" entre les supporters des deux équipes, le préfet du Calvados à interdit de déplacement les supporters rennais.

Selon le communiqué, des rixes et provocations collectives ont nécessité l’intervention des forces de l’ordre le 28 août 2011, le 14 janvier 2012, le 30 août 2014, le 3 décembre 2014 et le 25 janvier 2015.

France: Bastia-Nantes reporté au 9 mars "vu le contexte actuel" - 17/02/2016

Source : https://fr.sports.yahoo.com/

Le match Bastia-Nantes, dont la reprogrammation à 14h00 au lieu de 20h00 samedi était contestée par le club corse, a été reporté au 9 mars "vu le contexte actuel", a annoncé mercredi à l'AFP Frédéric Thiriez, président de la Ligue de football professionnel (LFP).

Cette décision a été prise "en accord avec le ministère de l'Intérieur et le préfet de Haute-Corse", a poursuivi M. Thiriez. "En tant que président de la LFP, je ne peux accepter que le football soit l'otage de batailles politiques. Je ne veux pas que le football devienne prétexte à des actes de violences", a encore ajouté M. Thiriez.

La LFP avait indiqué mardi qu'à la demande de la préfecture de Haute-Corse la rencontre Bastia-Nantes, prévue à 20H00, se jouerait à 14H00 samedi.

Le club corse avait immédiatement annoncé qu'il opposait un "refus catégorique" au "diktat" de la Ligue, menaçant de maintenir "les portes du stade fermées à l'horaire décrété par les instances".

Ce bras de fer entre le club de Bastia et les autorités du football s'inscrivait dans un contexte de grande tension alors que la Haute-Corse a connu trois jours de violents incidents depuis la blessure d'un supporteur bastiais en marge d'un match à Reims samedi.

Une information judiciaire destinée à éclaircir les circonstances dans lesquelles ce fan a été grièvement blessé dans des heurts avec la police samedi à Reims a été ouverte mercredi.

Fumigènes à l’Allianz : amende et interdiction de stade pour un supporter de l'OGC Nice - 17/02/2016

Source : http://france3-regions.francetvinfo.fr/

Un supporter de l'OGC Nice a été condamné pour l'utilisation de fumigène dimanche dans l'enceinte de l'Allianz Riviera. 500 euros d'amende et 1 an d'interdiction de stade pour ce jeune de 24 ans.

Un supporter de l'OGC Nice vient d'être condamné lors d'une procédure de comparution immédiate pour l'utilisation de fumigène dimanche dans l'enceinte de l'Allianz Riviera.
Cet homme de 24 ans est condamné à 500 euros d'amende et 1 an d'interdiction de stade. Il a été identifié par les caméras pour un fumigène allumé après l'égalisation de Nice face à Marseille, et non pas celui qui a nécessité l'interruption du match en début de rencontre.

La police nationale l’avait interpellé dimanche soir avec d’autres supporters, lors du match Nice-Marseille à l’Allianz Riviera.

France : Le président des ultras niçois en garde à vue pour un tifo à l'Allianz Riviera - 17/02/2016

Source : https://www.francebleu.fr/

Les supporters niçois de la Populaire Sud sont en colère : leur président Frédéric Braquet a été interpellé ce mercredi à cause du tifo "BSN" déployé dimanche dans le stade. La police a aussi perquisitionné la boutique des ultras, à la recherche d'objets à l'effigie de la ligue interdite.

Ultras remontés, les membres de la Populaire Sud ! Le président de ce club de supporters de l'OGCN a été arrêté mercredi matin à son restaurant à Nice. Frédéric Braquet a passé la journée en garde à vue pour "reconstitution d'une ligue dissoute".

En cause : le tifo "BSN" déployé dimanche à l'Allianz Riviera, lors du derby de l'OGC Nice contre l'Olympique de Marseille. Un tifo en principe interdit depuis la dissolution en 2014 du groupe de supporters Brigade Sud de Nice (BSN) pour actes répétés de violence.

Les enquêteurs de la sûreté départementale de Nice ont également mené mercredi après-midi des perquisitions à la boutique de la Populaire Sud, l'association de supporters héritée de la BSN, fondée pour permettre un dialogue avec les autorités. Ils cherchaient des objets à l'effigie de la BSN.

“Ils n'ont rien trouvé !" (Biba, le capo de la Populaire Sud)

Un président interdit de stade

Les ultras se sont rassemblés mercredi en début de soirée devant cette boutique de la rue Arson. Ils l'ont fermée, avant de se rassembler devant la caserne Auvare. La vingtaine de supporters réclame la libération du président. Leur chef a été relâché dans la soirée.

Selon eux, le tifo était "spontané". Ils assurent que Frédéric Braquet n'y est pour rien.

Le restaurateur est lui-même interdit de stade. Une mesure prise par la préfecture des Alpes-Maritimes après des violences en août, en marge du match amical Nice-Naples.

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Source : L'Equipe

France : Le SC Bastia appelle à manifester samedi - 18/02/2016

Source : http://sport24.lefigaro.fr/

Le SC Bastia a appelé jeudi à participer à la manifestation prévue samedi à 14H30 devant le palais de justice de Bastia à la suite des incidents qui ont suivi le match Reims-Bastia le 13 février. Dans un communiqué, le SC Bastia fait savoir qu'il serait représenté dans le cortège de cette manifestation organisée par les supporters bastiais et «appelle l'ensemble des supporters à venir participer, dans le calme et la dignité» afin d'apporter son «soutien à Maxime et aux supporters victimes de violences le week-end dernier à Reims».

Ce supporter du SC Bastia âgé de 22 ans a été grièvement blessé dans des incidents avec la police après le match Reims-Bastia, dans des circonstances encore floues. «Le club se mobilisera autant de fois que nécessaire tant que la vérité n'aura pas éclaté et qu'une justice sereine, impartiale et rapide ne sera pas rendue dans cette lamentable affaire», a ajouté le club.

Supporteurs corses : 5 mois ferme pour un manifestant de Corte, heurts à Bastia - 18/02/2016

Source : http://www.leparisien.fr/

Alors que la tension reste très vive en Corse depuis qu'un supporter bastiais a été grièvement blessé samedi à Reims, une cinquantaine de personnes ont pris à partie ce mardi les forces de l'ordre à Corte, en Haute-Corse.

Un jeune manifestant interpellé mardi soir lors d'un rassemblement qui a dégénéré à Corte (Haute-Corse), a été condamné ce jeudi à Bastia à dix mois de prison dont cinq ferme, avec mandat de dépôt, dans un contexte de tension depuis le week-end en Corse.

Après l'énoncé du jugement par le tribunal correctionnel, quelques échauffourées ont éclaté entre forces de sécurité et jeunes devant le palais de justice, au centre-ville de Bastia.

Rémy Di Caro, 20 ans, qui était jugé pour violence en réunion, a nié devant le tribunal avoir participé à des actes de violence. Il a déclaré avoir participé pacifiquement à ce rassemblement de protestation contre des poursuites engagées à Reims (Marne) contre des supporteurs du club de football de Bastia. Il avait été interpellé en fin de soirée par des gendarmes mobiles au centre de Corte, théâtre de scènes de guérilla urbaine entre militaires et quelques dizaines de jeunes encagoulés et lançant des pierres et des cocktails Molotov.

L'annonce du jugement a provoqué des cris de colère dans la salle d'audience où des dizaines de jeunes étaient venus soutenir Rémy Di Caro, qui a aussitôt après été emmené en fourgon cellulaire à la maison d'arrêt de Borgo, au sud de Bastia. La police a fait rapidement évacuer la salle d'audience et le palais de justice a été bouclé par un important dispositif de policiers et de gendarmes en tenue anti-émeute.

Polémique sur l'usage d'un flashball

Les interpellations de huit supporteurs de Bastia samedi dernier à Reims, dont un a été grièvement blessé à l'œil gauche lors d'affrontements avec des policiers de la brigade anti-criminalité de la ville, ont été suivies de trois soirées de violences urbaines en Corse depuis dimanche, à Bastia d'abord, puis à Corte.

Le parquet de Reims avait affirmé lundi que Maxime Beux, un étudiant de 22 ans, aurait perdu l'usage d'un œil en tombant sur un poteau alors qu'il était poursuivi par la police. Mais selon certains témoignages, il aurait été atteint au visage par un tir de flashball. Une information judiciaire a été ouverte.

En dépit des appels à l'apaisement des dirigeants de la Collectivité territoriale de Corse, qui ont conduit à la réouverture de l'université bloquée depuis lundi par les syndicats étudiants, de nouveaux incidents on eu lieu jeudi près des deux lycées professionnels de la Cité Montesoro, au Sud de Bastia. Les établissements ont été fermés dès jeudi par le rectorat pour deux semaines, anticipant le début samedi des vacances d'hiver.

Une manifestation soutenue par le SC Bastia est organisée samedi dans la ville à l'appel du principal club de supporters.



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Source : www.metronews.fr/

Bastia : des manifestants tentent de bloquer l'escorte d'un condamné à la sortie du tribunal

Heurts devant le tribunal de Bastia (Haute-Corse) à la suite d'une décision judiciaire défavorable. Une trentaine d'individus ont tenté d'empêcher le transport d'un détenu depuis le tribunal jusqu'à sa maison d'arrêt, a appris metronews de source policière.

Le jugement provoque un fort mécontentement

Rémy Di Caro, 20 ans, avait dans l'après-midi été condamné à dix mois de prison, dont cinq ferme avec mandat de dépôt par le tribunal correctionnel de Bastia après avoir été interpellé mardi soir lors d'un rassemblement à Corte contre les poursuites engagées à Reims contre des supporters du club de football de Bastia.

Des dizaines de jeunes étaient venus soutenir Rémy Di Caro dans la salle d'audience et autour du palais de justice. L'énoncé du jugement a provoqué leur mécontentement. "Ils ont essayé d'empêcher la sortie de l'escorte qui devait acheminer le condamné jusqu'à sa maison d'arrêt. Mais les forces de l'ordre sont parvenues à les éviter", a précisé auprès de metronews une source policière.

Vers 19h, des gendarmes mobiles et des CRS étaient toujours déployés dans le quartier du palais de justice. Une autre source proche du dossier s'est dite "inquiète" des "suites de la soirée".

O.Marseille - Athletic Bilbao - 18/02/2016

Source : http://www.laprovence.com/ + mail

Incidents entre Marseillais et Basques

Une grosse bagarre entre supporters de l'OM et de l'Athletic Bilbao a éclaté un peu après 19h dans le secteur de l'avenue Cantini et de l'Avenue de Delphes, dans le 6e arrondissement. L'affrontement a duré cinq bonnes minutes avant que la situation ne rentre finalement dans l'ordre il y a quelques instants.

Croatie (basket) : KK Zadar - KK Cibona - 17/02/2016

Source : Mail

Austra Vienne - Rapid Vienne - 14/02/2016

Source : www.sportal.de

En marge du derby, la police est intervenue à plusieurs reprises afin d'éviter des confrontations entre fans rivaux. Il y a eu une centaine d'interpellations.

Traduction Underground Fans