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Subject: Re: Saison 16/17 - Août Tue Aug 30, 2016 4:59 pm
FC Bruges - Standard de Liège - 28/08/2016
Source : http://www.sudinfo.be/
"Votre avenir est comme votre ville: gris, misérable et débile": la banderole polémique des fans brugeois destinée au Standard
Nouvelle polémique en vue dans le football belge ? Déjà lors des précédentes saisons, les fans de différents clubs s’étaient illustrés d’une manière parfois assez triste, avec des tifos, banderoles ou bagarres.
Ce dimanche, lors du choc entre le Club brugeois et le Standard, certains supporters des Blauw en Zwart ont déployé peu avant la rencontre une banderole avec un message destiné à leur adversaire du jour. : « Votre avenir est comme votre ville : gris, misérable et débile ».
Reste à voir s’il y aura des suites à cette affaire.
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Subject: Re: Saison 16/17 - Août Tue Aug 30, 2016 6:17 pm
AFC Sunderland - Middlesbrough - 21/08/2016
Source : http://www.jpost.com/
La police a interpellé sept supporters suite à divers faits de violence.
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Subject: Re: Saison 16/17 - Août Tue Aug 30, 2016 7:46 pm
Free-fight - ??/08/2016
Source : Mail
Coalition Hamburg SV/FC Copenhague vs BFC Dynamo
19x17
Victoire de Berlin
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Subject: Re: Saison 16/17 - Août Tue Aug 30, 2016 7:57 pm
Motor Lubawa - Widzew Lódz - 13/08/2016
Source : http://www.nastadionie.pl/
Sur la route de Lubawa, plus de 200 hooligans de Slask, de Lechia Gdańsk et de Stomil Olsztyn ont attaqué les bus transportant les fans de Widzew. La police est intervenue.
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Subject: Re: Saison 16/17 - Août Tue Aug 30, 2016 8:21 pm
Wisła Cracovie - Ruch Chorzów - 14/08/2016
Source : http://firsteleven.com/
Sur le trajet du retour, une centaine de hooligans de Ruch voyageant en train, ont fait une escale à Katowice après avoir tiré sur le signal d'alarme et se sont livrés à des scènes de saccages. La police est intervenue mais n'a pu procéder à aucune interpellation.
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Subject: Re: Saison 16/17 - Août Tue Aug 30, 2016 8:35 pm
Des incidents ont éclaté dans le stade après que les hooligans de Ruch ont tenté de pénétrer dans le bloc visiteurs. La police est intervenue à coups de gaz lacrymogène et a arrêté 14 hooligans dont 13 locaux. Après le match, la police est à nouveau intervenue du côté de la gare, où 150 hooligans de Ruch vouaient attaquer le train spécial transportant le 700 fans du Legia.
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Legia mob
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Subject: Re: Saison 16/17 - Août Tue Aug 30, 2016 8:50 pm
La rencontre a été interrompue au bout de 30 minutes. Une douzaine de hooligans locaux ont attaqué les supporters visiteurs dont certain ont été tabassés.
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Subject: Re: Saison 16/17 - Août Tue Aug 30, 2016 9:07 pm
La police est intervenue énergiquement contre les supporters de Rakow dont une douzaine ont été envoyés à l'hôpital.
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Subject: Re: Saison 16/17 - Août Wed Aug 31, 2016 11:10 am
France : Le supporter de Montpellier blessé à l'œil en 2012 aurait été victime d'une bavure policière - 30/08/2016
Source : https://www.francebleu.fr/
La justice a pu visionner la vidéo surveillance le soir où un supporter du club de foot de Montpellier a été blessé par un tir de flashball de policier. La thèse de la police ne tient plus, selon son avocat, qui affirme : "C'est une bavure policière".
Le supporter du MHSC de Montpellier grièvement blessé à l’œil en 2012 a peut-être été victime d'une bavure policière.
Ce mardi matin, la justice a enfin pu visionner officiellement les images de vidéo-surveillance de cette soirée du 21 septembre aux abords du stade de la Mosson. Des incidents avaient opposé les supporters et les forces de l'ordre en marge d'un match entre le MHSC et Saint-Etienne.
La thèse officielle était que Florent Castineira, 21 ans, avait été touché d'un tir de flashball pendant ces incidents. Et qu'il avait fallu faire usage de la force pour calmer la foule. Le policier avait été blanchi par l'IGPN. La thèse de la légitime défense était alors évoquée.
Mais les images montrent que le jeune homme a été blessé avant ces incidents, poursuivi par un policier. C'est toujours ce qu'avait déclaré la victime qui n'avait jamais été prise au sérieux.
Michaël Corbier, l'avocat de Florent Castineira a raconté à France Bleu Hérault ce qu'on voit sur ces images.
"Les échauffourées interviennent 18 minutes après que Florent a été blessé."
"Les vidéos étaient au dossier depuis déjà un certain temps, mais ça fait quatre ans qu'on se bat pour les visionner. Ce qui a été fait ce mardi. Les images sont conformes à la chronologie donnée par Florent Castineira depuis le soir de sa blessure. On voit sur ces images des policiers à la poursuite d'un homme puis une interpellation au milieu de quelques supporters, mais il n'y a aucun mouvement de foule, aucune agitation à ce moment-là."
"Quelques secondes après, une minute au grand maximum, on voit Florent Castineira qui est exfiltré par quatre de ses camarades porté sur les épaules, il vient d'être blessé. On voit ensuite une attente interminable de 17 ou 18 minutes avant qu'il soit pris en charge par les pompiers alors qu'on est aux abords du stade de la Mosson et que les pompiers sont à 200 mètres. Et on voit enfin des échauffourées entre certains supporters et des policiers 25 minutes après que Florent Castinaira a été blessé."
"La version que nous donnons depuis le début - les échauffourées ont été des réactions à l'agression dont a été victime Florent Castineira - est confirmée par les images. Et la version des policiers - les tirs de flash ball étaient nécessaires pour faire cesser les exactions - est parfaitement contredite par les images."
"Nous savions ce que nous allons voir. On ne s'est pas battu pour rien parce qu'il y avait déjà un procès verbal dressé par un brigadier qui avait déjà eu accès aux images et qui retraçait exactement cette chronologie. Nous sommes dans la confirmation de ce que nous dénoncions depuis le début."
"Les images sont conformes à ce que nous disons depuis le début"
"Nous sommes clairement dans une bavure policière."
"On voit les policiers courir pour interpeller l'individu. Il ne m’appartient pas de contester ou de légitimer cette intervention policière, mais ce que je peux affirmer c'est que cette intervention a lieu au cœur d'un groupe de personnes calmes, personne ne bouge, personne ne court, il n'y a pas d'objets lancés de part et d'autres, il n'y a pas de policiers malmenés. Rien de ce qui a été annoncé depuis le début. C'est 25 minutes après la blessure de Florent alors que celui-ci a été exfiltré par ses camarades et alors qu'il se trouve entre deux camions de policiers, que en réaction à cette grave blessure, certains supporters ont voulu en découdre avec les forces de l'ordre.
"Aucun policier n'a été malmené"
"Une bavure c'est toujours possible, mais ce qui est inacceptable c'est le sort qu'on réserve à mon client."
"Chacun va devoir prendre ses responsabilités. Florent Castineira a été victime d'une bavure, ce qui est acceptable dans une société démocratique dans laquelle on a besoin de sa police. Ce qui est parfaitement inacceptable, c'est le sort qu'on lui réserve depuis quatre ans, les trois juges d'instruction qui se sont succédés, une bataille judiciaire de quatre années pour pouvoir accéder à ces images, c'est le sentiment d'être considéré comme un coupable, comme l'auteur d'une infraction et pas comme une victime. Ça c'est inacceptable."
"Pas un mot d'excuse, pas un mot de réconfort."
"Chacun doit donc prendre ses responsabilités. La justice d'abord, en continuant le travail à un rythme un peu plus rapide et puis peut-être que ce policier qui est l'auteur de ce tir de flashball prenne ses responsabilités. Florent Castineira n'a pas eu un mot d'excuse, une phrase de réconfort de la part de celui qui l'a blessé."
"Il a été traité comme un coupable"
"Aujourd'hui le policier affirme que ce n'est pas lui qui a tiré. Ça nous laisse pantois"
"Ce mardi matin dans le bureau du juge, le policier a dit que ce n'était pas lui qui avait tiré. Jusque-là, on avait la thèse de la légitime défense pour faire cesser les violences des supporters, le premier réquisitoire soutenait de cette thèse. Un tir volontaire mais qui avait atteint accidentellement Florent Castineira. Et ce mardi matin le policier nous sort comme ça qu'il n'est pas l'auteur du tir, ce qui nous a laissé complètement assis. Florent Castineira a bien été victime d'un tir direct de flashball, c'est le médecin légiste qui le dit.
"On le sait qu'il n'y a qu'un seul tireur, et que ce tireur a utilisé une seule munition, cela ressort des positions de l'armurier du commissariat central et là on est face à une nouvelle position du policier qui nous laisse pantois. Dire en fin de séance qu'il n'est pas l'auteur du tir, sans autre explication, j'avoue que c'est un peu court, cela mérite de la part de la justice des investigations supplémentaires."
"Il n'y a eu qu'un seul tireur, et une seule balle".
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Subject: Re: Saison 16/17 - Août Thu Sep 01, 2016 8:52 am
Des supporters de foot polonais brûlent des effigies juives - 30/08/2016
Source : http://fr.timesofisrael.com/
La police recherche plusieurs dizaines d’hommes photographiés lors d’une manifestation raciste
Plusieurs dizaines de fans de football polonais ont suspendu une bannière contenant des termes antisémites dans une gare de Lodz pendant une manifestation où des effigies juives ont également été brûlées.
Environ 50 hommes ont été photographiés sur un pont de la gare Kaliska de Lodz le 26 août avec une bannière disant : « 19/08, aujourd’hui les juifs ont un nom. Brûlons-les », suivi de vulgarités, a annoncé le journal Gazeta Wyborcza.
Le message faisait référence à l’équipe du ŁKS Łódź, qui a été fondée en 1908, et que beaucoup de Polonais associent aux juifs en raison de la riche histoire juive de Lodz. La ville, située dans le centre de la Pologne, comptait une importante population juive avant l’Holocauste, notamment parce qu’elle était la capitale de l’industrie textile locale.
Les supporters, dont certains portaient des masques de ski, ont mis le feu à trois marionnettes pendues au pont qui étaient censées symboliser des juifs en flamme.
La police recherchait les manifestants, qui sont suspectés d’incitation à la haine raciale et d’intimidation, a annoncé le quotidien.
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Subject: Re: Saison 16/17 - Août Fri Sep 02, 2016 8:53 am
Celtic, Beitar : deux drapeaux, deux mesures - 27/08/2016
Source : http://www.cahiersdufootball.net/
Le déploiement de drapeaux palestiniens par ses supporters a valu au club de Glasgow les foudres de l'UEFA. Un traitement bien plus radical que celui réservé aux ultras d'extrême-droite du Beitar Jerusalem et leur drapeau du Kach, autorisés à aller à Saint-Étienne.
Le 17 août dernier, le Celtic Glasgow recevait à Parkhead l'Hapoël Beer Sheva en Ligue des champions. Côté écossais, la Green Brigade est la section de supporters la plus impliquée politiquement. Connaissant ses affinités pour la cause palestinienne, la police locale et l'administration du club ont maladroitement prévenu qu'exhiber des drapeaux palestiniens pourrait faire encourir des sanctions pour le club. Raté: des dizaines de drapeaux verts blancs rouges et noirs ont fleuri lors du match.
Le Celtic, un club très politique
Le Celtic n'en est pas à ses premières amendes de la part de l'UEFA. Il en a quasiment chaque année, parfois pour usage de fumigènes, souvent pour des ilicit banners, c'est à dire des banderoles à message politique. Or "politique" est un gros mot à l'UEFA. Les instances qui gouvernent le football européen voient en cette idée ce qu'il faut bannir des stades, le contraire du spectacle familial et consommateur dont ils rêvent. Mais s'il y a bien une ville où football et politique sont liés dans le monde anglophone, c'est bien Glasgow. Glasgow, la plus grande ville d'Écosse, est le théâtre du "Old Firm", le plus vieux derby politique du monde. Paradoxalement, entre le Celtic, club de la communauté irlandaise, et les Rangers, club des loyalistes, l'antagonisme ne concerne pas du tout l'Écosse mais le conflit séculaire entre Irlandais et Anglais ou plus, violemment, entre sympathisants de l'IRA et extrémistes de la maison d'Orange.
Nier que le Old Firm est politique, et parfois violemment politique, c'est être aveugle et absolument personne à Glasgow ne le nierait. C'est d'autant plus exceptionnel qu'en Angleterre, tout près, et sous les projecteurs du championnat le plus riche et le plus médiatisé du monde, le rêve du spectacle familial et consommateur y est abouti. Là-bas, un abonné au stade peut être banni s'il se lève trop souvent de son siège. Au Celtic, la Green Brigade est un groupe ultra particulièrement politisé et revendicatif, aux jumelages (Sankt Pauli, Hambourg...) explicitement d'extrême gauche. En tant que représentant de la cause irlandaise, de nombreuses autres causes sont considérées comme "amies", et les démonstrations en faveur des Palestiniens ne sont pas rares. Pour ces supporters, revendiquer l'expression politique de leur tribune est plus important que les sanctions sportives ou financières que peut endurer le club.
Le Beitar, un autre club très politique
L'affaire a fait du bruit au Royaume-Uni, mais au même moment, il est passé inaperçu que l'AS Saint-Étienne jouait en Coupe d'Europe contre le Beitar Jérusalem. Le Beitar Jérusalem: voilà un autre club où les tribunes sont violemment politiques. En Israël, le Beitar, qui tire son nom du mouvement sioniste, représente le public de supporters les plus à droite de l'échiquier politique. Dans les tribunes, et même en dehors, le slogan "Mort aux Arabes" y est régulièrement chanté et aucun joueur arabe (y compris arabe israélien, qu'il soit musulman ou chrétien) ne peut jouer dans l'équipe. Le principal groupe ultra, La Familia, est violent: de nombreux membres ont été condamnés en Europe et en Israël pour violences et le drapeau du Kach, le parti d'extrême droite israélien interdit, flotte régulièrement dans les tribunes.
Le Kach est considéré en Israël et par l'Union Européenne comme une organisation terroriste. Cela ne l'empêche d'être visible au stade et cela ne choque pas plus que ça les supporters médiatiques du Beitar, comme Benjamin Netanyahou ou Avigdor Lieberman. Le football en Israël n'est pas partout comme cela. Le grand rival du Beitar, l'Hapoël Tel Aviv est même exactement le contraire. Ses ultras (comme les Red Workers) sont explicitement antifascistes, antiracistes et de gauche. C'est d'ailleurs le cas de la plupart des clubs Hapoël. Leur politique est même d'établir des relations avec les clubs arabes israéliens (comme Bnei Saknin).
À Saint-Étienne, une rivalité apolitique
Ce jeudi 25 août, en match retour, le Beitar Jérusalem se déplace à Saint-Étienne. Il y a un an, le club israélien s'est rendu à Charleroi et la rencontre s'était très mal passée puisque le Beitar a été sanctionné pour comportement violent de ses supporters. Mais cela ne veut pas dire que cela se passera mal ce jeudi. Les supporters stéphanois, contrairement à ceux du Celtic, se proclament apolitiques. Dans La Voix de la Nord, l'organe des Magic Fans, ceux-ci avertissent qu'"aucun drapeau palestinien ou israélien ne sera toléré en Kop Nord".
En d'autres termes, il y aura rivalité dans les chants, dans les tifos, voire dans les fumis ou dans les démonstrations de force, mais cette rivalité sera "apolitique". Par contre, les supporters du Beitar et les drapeaux qu'ils brandissent, eux, ne sont pas apolitiques. Mais, pour l'UEFA, il n'y a rien eu de choquant au match aller. Pour la préfecture de police de la Loire, il n'y a donc aucune raison d'interdire les déplacements de supporters du Beitar.
Des dizaines d'interdictions
D'un certain côté, qu'un match de football puisse avoir lieu en présence des supporters des deux camps est forcément une bonne nouvelle pour quelqu'un qui s'intéresse à la politique des tribunes. De l'autre, on ne peut pas s'empêcher de penser aux dizaines d'interdictions de déplacements de supporters qui ont frappé les matches en France ces deux dernières années, parfois pour des rencontres bénignes, parfois avec des justifications préfectorales complètement ubuesques. Selon ces standards, il est impressionnant que le curriculum vitae du Beitar ne fasse pas sourciller. Pendant ce temps, brandir un drapeau palestinien – le drapeau d'un pays internationalement reconnu – va être sanctionné par l'UEFA alors que des dizaines d'autres drapeaux nationaux, dont l'israélien, sont visibles dans tous les stades. Et au même moment sont brandis des drapeaux d'une organisation terroriste, sans susciter aucun commentaire, lors d'un match de la même compétition...
Comme le Celtic, le Beitar est parfois condamné par les instances européennes. Des amendes similaires dans les deux cas, pour des actions politiques dont la violence et l'extrémisme n'ont aucune commune mesure. La Green Brigade du Celtic a lancé un appel aux dons pour financer les amendes éventuelles. Ses membres ont, pour l'instant, reçu plus de cent mille livres (près de 117.000 euros) et projettent d'en profiter pour aider des associations humanitaires palestiniennes. C'est déjà ça...