Saison 15/16 - Mars

Saint-Etienne-PSG : 300 Parisiens autorisés au quart de finale de Coupe de France - 01/03/2016

Source : www.leparisien.fr

La préfecture de la Loire a annoncé lundi soir que 300 supporteurs du PSG seront autorisés à assister au quart de finale de Coupe de France, opposant mercredi (21h05) au stade Geoffroy-Guichard leur équipe à l'AS Saint-Étienne.

Pour bénéficier de cette mesure, les intéressés devront être porteurs d'un bon d'échange délivré par le club du Paris Saint-Germain.

Les autorités ajoutent que cette décision résulte d'un échange constructif lors d'une réunion organisée vendredi dernier à la préfecture de la Loire avec les représentants de deux clubs sportifs, à l'occasion de ce quart de finale.

Hormis ces 300 privilégiés, l'accès à Geoffroy-Guichard et à ses abords sera interdit à toute personne démunie de billet et se prévalant de la qualité de supporteur du club parisien ou se comportant comme tel, précise-t-on de même source. Par ailleurs, 12 stadiers du club visiteur viendront renforcer le dispositif de sécurité mis en place dans «Le Chaudron».

Un arrêté établi par le préfet de la Loire Fabien Sudry avait interdit le déplacement des fans du PSG en raison de «l'antagonisme qui oppose les supporters respectifs de ces deux équipes, dont une frange apparaît déterminée et s'est traduit par plusieurs incidents graves au cours des années récentes».

Les dirigeants parisiens n'avaient guère pas apprécié les banderoles anti-Qatar déployées par les supporteurs de Saint-Etienne à Geoffroy-Guichard le 31 janvier.

France : Le PSG met fin au placement aléatoire dans les virages - 01/03/2016

Source : www.leparisien.fr

C'était l'une des mesures phares du «plan Leproux» : le placement aléatoire des abonnés dans les virages du Parc des Princes disparaît en vue de la saison 2016-2017, a annoncé le PSG dans le communiqué de presse qui lance ce mardi la prochaine campagne d'abonnements.

Cela signifie que les personnes déjà abonnées dans les quarts de virages et virages conserveront leur siège d'une saison à l'autre, une première depuis les réformes des abonnements mises en place en 2010. Le PSG annonce également que les abonnés en virages pourront prêter leur carte jusqu'à dix fois par an, contre cinq aujourd'hui.

«Fier de ses 36 000 abonnés, record historique, le club entend poursuivre sa marche en avant et capitaliser sur le succès de l’équipe sur tous les tableaux», explique le club de la capitale dans son communiqué, expliquant que «pour la première année, il n’y a pas d’augmentation des prix pour les fans se réabonnant en virage et quart de virage.»

Hannover 96 – Wolfsburg - 01/03/2016

Source : http://www.t-online.de/

Des supporters de Wolfsburg ont tiré des fusées traçantes sur le terrain et sur le banc des remplaçants d'Hanovre.

Traduction Underground Fans

Belgique : le Standard devra bel et bien jouer un match à huis clos après les incidents survenus lors du derby à Charleroi - 02/03/2016

Source : http://www.sudinfo.be/

129 jours après Charleroi-Standard du 25 octobre (2-3), la Commission des litiges de l’Union belge a remis sa décision : le Standard est sanctionné de deux matchs à huis clos dont un avec sursis qui court jusqu’au 1er mars 2017.

Attendue depuis longtemps, la décision de la Commission des litiges de l’Union Belge après les incidents lors de Charleroi-Standard du 25 octobre est tombée ce mercredi : le Standard écope de deux matchs à huis clos dont un avec sursis. Le sursis courra jusqu’au 1er mars 2017.

On ne sait pas encore quand le Standard, qui conserve les trois points de sa victoire au Mambourg, jouera sa rencontre sans ses supporters. Par ailleurs, le club liégeois devra payer trois quarts des frais alors que Charleroi devra s’acquitter du quart restant.

Locht : « Je doute qu’un match à huis clos soit efficace »

Représentant du Standard de Liège, Pierre Locht a rapidement réagi à la sanction de l’Union Belge. « Je doute qu’un match à huis clos soit le plus efficace. Il serait plus efficace de trouver les auteurs des faits. Il faut mener une réflexion au sein des clubs avec cellule foot pour que cela s’arrête. » Mais, il n’est pas étonné de la décision.« On savait qu’un sursis planait sur nous donc je ne suis pas totalement surpris. Mais on espérait ne pas sanctionner tous les supporters du Standard. »

Le club liégeois décidera d’aller ou non en évocation cette semaine. « La décision sera prise dans la semaine. Mais sans doute pas aujourd’hui. On veut lire la justification avant de voir ce qu’on fera. Normal de regarder comment la sanction est prise et motivée. »

PAOK – Olympiakos - Coupe de Grèce - 02/03/2016

Source : http://www.lequipe.fr/

Scènes de chaos lors de PAOK - Olympiakos, arrêté pour violence

Des violences dans les tribunes ont poussé l'arbitre à arrêter mercredi la demi-finale de la Coupe de Grèce entre le PAOK Salonique et l'Olympiakos avant la fin de la rencontre. L'Olympiakos menait 2-1 à la 89e minute quand l'arbitre Andreas Pappas a renvoyé tout le monde aux vestiaires après l'envahissement du terrain par des supporters du PAOK tandis que des fusées éclairantes et fumigènes étaient jetées sur la pelouse.

Les forces de l'ordre ont été contraintes d'intervenir. Avant le match, déjà, trois supporters avaient été arrêtés quand les fans du club de Salonique se sont heurtés à la police à l'extérieur du stade Toumba. A la 59e minute de la rencontre, Marko Silva, l'entraîneur du club du Pirée, a été touché à l'arrière de la tête par un gobelet en plastique rempli d'eau lancé depuis les tribunes. L'Olympiakos, qui vient de décrocher son 43e titre de champion de Grèce, devrait remporter ce match sur tapis vert 3-0. De son côté, le PAOK pourrait écoper d'une forte amende et être forcé à jouer ses prochaines rencontres à huis clos.

Saint-Etienne - PSG - 02/03/2016

Source : www.leprogres.fr

Douze interpellations autour du match Saint Etienne-Paris

Ils n'étaient que 60 à 70 supporters parisiens pour assister à la rencontre de coupe de France ASSE-PSG mercredi soir. Alors que la préfecture de la Loire avait autorisé la venue de 300 personnes, munies d'un billet à échanger sur place. Mais interdiction était faite de manifester hors de l'enceinte.

Cinq personnes ont été interpellées pour non respect de cet arrêté préfectoral. Elles font l'objet d'une procédure simplifiée. Tout comme les six supporters de l'ASSE pris avec des produits stupéfiants. Enfin, un habitant de la Drôme a tenté d'introduire des pétards dans les gradins. Lui sera présenté au tribunal.

France : Le supporter bastiais blessé à Reims dénonce le «mensonge grotesque» des policiers - 03/03/2016

Source : http://www.20minutes.com/

Cet étudiant de 22 ans s'est confié pour la première fois depuis les incidents, ce jeudi sur RTL...

Le supporter de Bastia (L1) grièvement blessé le 13 février à Reims lors d’incidents avec la police, a affirmé jeudi avoir été victime d’un tir de flash-ball, dénonçant le « mensonge grotesque » des policiers qui assurent qu’il s’est blessé en tombant sur un poteau. « J’ai été victime d’un tir de Flash-Ball et le mensonge, derrière, est grotesque (…) on est tombé dans un guet-apens, les caméras de surveillance en attestent », a déclaré Maxime Beux sur RTL.

« Les lésions sont tellement importantes que ce ne sera pas vraiment compliqué de démontrer scientifiquement que c’est impossible que ce soit une simple chute sur un poteau qui a entraîné un tel choc », a-t-il aussi déclaré, dans ce premier entretien accordé depuis les incidents.

Le jeune homme, par la voix de ses proches, a toujours assuré avoir été blessé par un tir de Flash-Ball des forces de l’ordre dans les incidents du 13 février. Le parquet de Reims affirme de son côté qu’il se serait blessé en tombant sur un poteau alors qu’il était poursuivi par des policiers. Une information judiciaire pour « violences volontaires » a été ouverte pour clarifier les circonstances des incidents et l’Inspection générale de la police nationale a été saisie.

La vue de l’œil gauche irrécupérable

L’étudiant de 22 ans a expliqué qu’il avait « définitivement perdu la vue de l’œil gauche, désormais irrécupérable », la phase de cicatrisation devant déterminer dans quelques semaines si l’œil lui-même sera perdu ou pas.

Il a assuré avoir été pris à partie avec un groupe de supporters, après le match, « par des forces de l’ordre en civil qui ont été très provocatrices toute la journée ». « On s’est fait interpeller de manière très, très, très musclée, violente », a ajouté Maxime Beux, défendu par l’avocat Eric Dupont-Moretti. Il assure aussi avoir entendu « des insultes racistes virulentes » de la part des policiers.

West Ham United - Tottenham - 02/03/2016

Source : http://www.standard.co.uk/

Un violent affrontement a opposé les hooligans des deux clubs, à la sortie de la station de métro Upton Park, à côté du stade de West Ham. Selon des témoins, la scène ressemblait à un flashback dans les 80's, à la grande époque des firmes de hooligans. D'autres personnes ont indiqué que ce sont ceux de Tottenham qui ont lancé les hostilités en jetant des bouteilles vers les fans de West Ham qui ont aussitôt répliqués en chargeant, tout en chantant des slogans hostiles aux "Yids". Il y a eu plusieurs blessés, tant au niveau des supporters que des forces de l'ordres. Ces dernières se sont déployées en nombre après les heurts. Il y a eu trois arrestations.

Traduction Underground Fans

Euro 2016 : L'hypothèse de matchs sans supporters n'est plus seulement un fantasme - 03/03/2016

Source : http://www.boursorama.com/

Depuis mercredi, l'hypothèse de matchs de l'Euro 2016 sans supporters dans les stades n'est plus seulement un fantasme. En effet, Marc Kallen, le directeur du tournoi, l'a clairement évoqué. " Ce n'est pas une option ", lui a sèchement répondu Jacques Lambert. Ambiance...

Depuis des mois, les plus réfractaires à la politique ultra-sécuritaire des autorités s’amusent à rappeler l’organisation imminente de l’Euro 2016 en France. Car avec les interdictions de déplacement qui se multiplient un peu partout dans le pays cette saison, les représentants des associations de supporters se disaient inquiets quant aux capacités des forces de l’ordre de gérer l’afflux massif de fans allemands, polonais, ukrainiens ou encore anglais dans quelques semaines. En France, c’est la menace représentée, aux yeux des autorités, par les Ultras, qui est pointée du doigt. Mais en juin et juillet, la menace terroriste sera également largement considérée par les forces de sécurité.

Alors, malgré un déploiement important de forces de l’ordre sur le territoire national, certaines voix n’hésitent plus à brandir la menace de match à huis-clos pendant l’Euro ! Ce fut le cas de Martin Kellen, le directeur du tournoi, mercredi, dans des propos rapportés par Bild. « Il est possible que des rencontres soient renvoyées, ou débutent à un horaire plus tardif. Il se pourrait aussi que des matchs soient déplacés à court terme dans un autre stade ou se déroulent sans public. Idéalement, cette décision devrait être prise trois heures avant le coup d'envoi de la rencontre concernée », a lâché l’Allemand, à la plus grande surprise des organisateurs français.

Lambert : « Ce n'est pas une option »

A 100 jours du coup d’envoi de la compétition, Jacques Lambert a tenu à dédramatiser ces annonces, mercredi en conférence de presse. « Ce n'est pas une option de jouer dans des stades vides. Cela me paraît tellement loin de ce que l'on souhaite que ce n'est pas envisagé », a répondu le directeur du comité d’organisation. A l’inverse, les autorités entendent renforcer au maximum les contrôles de sécurité aux abords des dix stades, plutôt que d’envisager des annulations ou des interdictions de déplacement. Mercredi, le monsieur sécurité de l’Euro a notamment détaillé la dernière mesure imaginée, à savoir la mise en place d’un deuxième anneau de sécurité, où débuteront les fouilles pour pénétrer dans les stades, mais à bonne distance des enceintes.

Pour les fanzones, le comité organisateur n’envisage pas non plus de fermeture. « Lors d’une réunion présidée par les trois ministres concernés juste après les attentats, on a décidé que les fanzones seraient maintenues, a rappelé Jacques Lambert mercredi. Depuis, le projet continue de se développer à tous les niveaux, notamment au niveau de la sécurisation de ces fanzones. » Entré annonces médiatiques qui sortent du cadre et bataille sécuritaire pour que l’événement reste une fête, la dernière ligne droite de la préparation de l’Euro n’est pas de tout repos. Et les derniers billets ayant été distribués il y a quelques jours lors d’une deuxième salve de campagne, les heureux élus ne sont sans doute pas prêts à lâcher leur précieux sésame.

FC Sochaux - FC Nantes - Coupe de France - 02/03/2016

Source : http://www.estrepublicain.fr/

Trois supporters interpellés après Sochaux-Nantes

Le score de cette rencontre dont les prolongations furent, dit-on, « endiablées » ? 3 à 2 pour les Sochaux. Trois, c’est aussi le nombre de supporters qui ont découvert les charmes désuets d’une cellule dans un hôtel sans étoile. L’un pour avoir tenté d’introduire des engins pyrotechniques dans une enceinte sportive. Le second, « rond comme un boulon » et sans billet pour avoir tenté d’entrer en force au stade. Le troisième pour avoir fait sauter des pétards dans les tribunes. Chroniques d’une belle soirée sportive qui a eu, aussi, ses instants délictueux.

Avant match d’abord. Côté des tribunes Nord, les policiers de la section d’intervention rapide repèrent un Montbéliardais qu’ils connaissent bien pour son goût prononcé pour les engins qui font de la fumée et du bruit. Ils le contrôlent. Bingo. Lors de la fouille au corps, ils découvrent des pétards planqués dans ses chaussettes. Le supporter sochalien peut faire un trait sur le match de coupe de France. À défaut de pelouses vertes, il passe la nuit entre les quatre murs d’une cellule grise. À l’issue de sa garde à vue, il a été remis en liberté hier matin avec une convocation le 12 mai pour un plaider-coupable dans le bureau du procureur de Montbéliard.

Sur fond d'abus d'alcool

Avant match encore pendant l’entrée des spectateurs. Sans billet et totalement ivre, un Nantais de 23 ans prend son élan et tente de passer en force le contrôle. Ça passe ou ça casse. Et alors ? Ça a cassé. Il s’est fait illico intercepter par la police. Ce soir-là, le Nantais est arrivé avec des copains à Bonal. « J’avais tellement picolé que je savais que j’allais être refoulé à l’entrée », explique-t-il aux enquêteurs. Sagement, il décide de rester seul à l’extérieur du stade. Trop navrant d’avoir fait tant de kilomètres et de ne pas participer à la liesse sportive. Tant pis. Il tente le coup : le passage en force. La suite on la connaît. Enfin presque. Ramené au commissariat pour être placé en geôle de dégrisement, le Nantais, bien moins sage, se rebiffe et balance un coup de tête au chef de poste. Mauvaise pioche. Il s’expliquera le 13 mai en correctionnelle pour violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité.

Enfin, troisième interpellation après match. Pendant la rencontre, des pétards sont tirés depuis la tribune Nord. Un petit tour au PC surveillance vidéo et quelques petits zooms plus tard, l’utilisateur présumé est repéré : un supporter sochalien de 18 ans originaire de Bannans. Sa soirée s’est poursuivie en garde à vue. Épilogue par un plaider coupable le 12 mai.

Ses événements demeurent sans commune mesure avec les graves incidents qui avaient marqué la rencontre Sochaux-Nantes en juillet 2005. En avril prochain, Marseille sera peut-être le prochain adversaire du FCSM à Bonal. La sécurité est déjà sur les dents !


Fin du match mercredi soir à Bonal. Les pelouses sont envahies par les supporters

La FFF a menacé l'AS Saint-Etienne - 03/03/2016

Source : http://www.francefootball.fr

«La Fédération nous a envoyé une lettre pour nous menacer qu’en cas de banderole, ils arrêtaient le match», a déclaré mercredi Bernard Caïazzo, président du comité de surveillance de l’AS Saint-Etienne, après la défaite (1-3) contre le PSG en quarts de finale de la Coupe de France. «Je trouve que ce n’est pas bien. On a le plus beau public de France. A toujours taper sur les Ultras on les transforme en opprimés», a poursuivi Caïazzo. Les supporters stéphanois avaient déployé des banderoles critiquant clairement la politique financière du club de la capitale ainsi que son attitude vis-à-vis de ses supporters, tout en apportant un soutien à ces derniers, lors de PSG - ASSE le 31 janvier. Saint-Etienne avait été convoqué par la Commission de discipline de la LFP.

SC Bastia – FC Nantes : Les supporters nantais interdits à Furiani - 03/03/2016

Source : http://www.foot-sur7.fr/

C’est par un communiqué que la préfecture de Haute-Corse annonce sa décision interdisant le déplacement des supporters du FC Nantes en Corse, pour y affronter le SC Bastia, le mercredi 9 mars, lors de la 27e journée en retard de L1 (à 18 h 30). L’arrêté préfectoral de Haute-Corse est même publié sur le site du club breton.

Notons que le match opposant le FCN au SCB devrait se jouer le 20 février dernier. Mais il avait été reporté au 9 mars par le LFP, pour des raisons de sécurité. Le président des Canaris, Waldemar Kita avait demandé un autre report au 16 mars, mais il n’a pas été entendu par la LFP qui a maintenu le match à la daté fixée.

La Coupe de Grèce annulée après les violents incidents de PAOK-Olympiakos - 03/03/2016

Source : http://www.metronews.fr/

En raison des incidents qui ont émaillé la demi-finale de Coupe de Grèce entre le PAOK Salonique et l'Olympiakos mercredi soir, le vice-ministre des sports a annoncé l'annulation de la compétition alors que l'autre demi-finale et la finale devaient encore se tenir.

Une nouvelle fois, le football grec a davantage fait parler de lui pour la violence des supporters que pour les résultats sportifs des clubs locaux. Mercredi soir, la demi-finale de Coupe de Grèce entre le PAOK Salonique et l'Olympiakos a été arrêtée en raison de multiples débordements sur la pelouse et dans les tribunes ce qui a entraîné ce jeudi l'annulation pure et dure de la Coupe de Grèce par le vice-ministre des sports. Il restait théoriquement quatre matches à disputer : le match retour entre l'Olympiakos et le PAOK, l'autre demi-finale entre Atromitos et l'AEK (aller et retour) ainsi que la finale, initialement prévue le 23 avril.

Le ministère envisage la suspension du Championnat grec

En raison des troubles "à l'ordre public et à la paix sociale" issus de la demi-finale aller, "j'ai décidé l'arrêt définitif des matches de la Coupe de Grèce, comme prévu par la loi", a annoncé jeudi soir M. Kontonis. Le vice-ministre a également remis en cause le choix des arbitres et a demandé à la Fédération de "donner des réponses significatives et d'arrêter de faire se semblant d'être affectée". "Le gouvernement observe avec attention les développements récents et ceux qui ne prendront pas sérieusement nos actions doivent savoir que nous n'hésiterons pas à aller plus loin", a ajouté Kontonis, ouvrant ainsi la porte à une suspension de la Super League, le championnat de première division local, si les violences se poursuivaient.

Mercredi soir, alors que l'Olympiakos menait 2-1 à la 89e minute, l'arbitre avait renvoyé tout le monde aux vestiaires après l'envahissement du terrain par des supporters du PAOK tandis que des fusées éclairantes et des fumigènes étaient jetés sur la pelouse. Avant ça, l'entraîneur de l'Olympiakos Marko Silva avait été atteint par un gobelet en plastique rempli d'eau lancé depuis les tribunes et les forces de l'ordre avaient procédé à trois arrestations après des heurts avec les supporters de Salonique. La violence est un mal récurrent dans le football grec. En mars, une loi a été adoptée pour lutter contre ce fléau. Elle prévoit notamment l'annulation de rencontres sportives en cas d'incidents violents. Visiblement, certains ne semblent toujours pas prendre au sérieux ces mesures.

Supporter corse blessé: "Un policier me met en joue, je ressens instantanément la douleur" - 03/03/2016

Source : http://www.bfmtv.com/

Maxime Beux, 22 ans, a perdu l'usage de son oeil gauche dans des débordements après un match de football entre Reims et Bastia. Le supporter corse assure être tombé dans un "guet-apens".

Trois semaines après les faits, il livre sa version. Maxime Beux était à Reims le 13 février dernier pour assister à la rencontre sportive entre son équipe, Bastia, et l'équipe locale. Au terme du match, des affrontements se produisent entre forces de l'ordre et supporters corses. Grièvement blessé, le jeune homme a perdu l'usage de son oeil gauche.

"Ce qu'il s'est passé là-bas est incompréhensible, c'était d'une rare violence", témoigne Maxime.

Ce soir-là, Maxime et une dizaine de ses amis veulent aller fêter la victoire de son équipe. "La première à l'extérieur" de la saison, se rappelle-t-il pour BFMTV. Mais, selon lui, "toute la journée, la tension montait avec les policiers de la BAC (Brigade anti-criminalité, NDLR) de Reims". Il décrit alors des fonctionnaire "très provocateurs" qui leur adresse "beaucoup d'insultes par rapport au fait qu'ils soient corses".

"Véritable guet-apens"

Les supporters bastiais n'auront pas le temps de "boire un dernier verre avant de regagner Paris". Dans les rue de Reims, "on se fait prendre en chasse par plusieurs équipes de la BAC, raconte le jeune homme de 22 ans. Ils nous suivent de manière plus intense, se font de plus en plus virulents et décident de nous interpeller, sans raison apparente." La suite, Maxime l'a vécu comme un piège.

"Ils ont lancé une première charge, on a essayé de fuir. La deuxième était un véritable guet-apens. On est arrivé sur le cours Langlet, les voitures sortaient de tous les côtés. Il y avait beaucoup de voitures-béliers qui essayaient de faire tomber des gens", détaille-t-il avec précision.

Il décrit des policiers "armés jusqu'aux dents", munis de "matraques", de "Flash-Ball". Jusqu'au moment où il aperçoit un agent à sa gauche: "Un policier me met en joue, je n'ai pas le temps de réaliser, je ressens l’impact instantanément, souffle Maxime. Je me mets les mains au visage. Je crie de douleur." Il raconte avoir compris qu'il "perdait beaucoup de sang" puis s'être fait "passer à tabac", avoir reçu "des coups au sol" avant d'être "menotté de manière très musclée" et emmené au commissariat. Sur place, il sera pris en charge pour recevoir des soins qu'au bout de 40 minutes après avoir "perdu connaissance".

Une enquête de l'IGPN

Ce jeudi sur BFMTV, Maxime Beux explique être "en train de faire le deuil de sa [ma] vue". "Je suis en train de mener un autre combat pour garder l’œil physique pour éviter de mettre une prothèse en verre", détaille-t-il. Le jeune homme de 22 ans n'a pas pu reprendre ses études et a dû mettre "pas mal de choses entre parenthèses". Aujourd'hui, il réclame "que justice soit faite", "que la personne responsable de la perte de son [mon]oeil soit condamnée".

Une information judiciaire contre X "pour violences volontaires" a été ouverte par le parquet de Reims. De leurs côtés, les policiers ont décrit un jeune homme "menaçant" le soir du drame qui se serait blessé en tombant sur un poteau au moment de fuir. L'IGPN, l'Inspection générale de la police nationale, a été saisie.

France : Saint-Etienne mis à l'amende pour des banderoles et des fumigènes - 03/03/2016

Source : http://www.lequipe.fr/

L'AS Saint-Etienne a écopé d'amendes de 25.000 et 30.000 euros après le déploiement de banderoles hostiles à la direction du PSG et l'utilisation de fumigènes en tribunes lors du derby contre Lyon, en Ligue 1.

La commission de discipline de la LFP a infligé à l’AS Saint-Etienne deux amendes de 25.000 et 30.000 euros, respectivement pour les banderoles déployées lors du match de Ligue 1 contre le PSG et des «engins pyrotechniques» utilisés lors du derby contre Lyon.

Les banderoles avaient été sorties par les supporters stéphanois lors de la 23e journée de Championnat, avant le coup d’envoi et pendant le match, perdu 2-0 par les Verts. Portant des messages de soutien aux supporters du PSG, elles dénonçaient la politique financière des dirigeants du club parisien et leur attitude vis-à-vis du public historique du Parc.

Certaines mettaient aussi en cause le sort fait aux ultras, visés notamment par une proposition de loi devant permettre de faciliter les interdictions de stade.

L’ASSE a par ailleurs été condamnée pour les fumigènes utilisés deux semaines plus tôt, lors du derby contre Lyon (1-0).

Tottenham - Arsenal FC - 05/03/2016

Source : http://www.thesun.co.uk/

Les firmes renaissent de leurs cendres lâche dépité un policier du Nord londonien. Pas un week-end sans incident et ce à travers le pays. Cette fois-ci les firmes de Tottenham et d'Arsenal se sont affrontés avant le match. 10 supporters ont été interpellés. Le derby a un lourd passé de violences...

Traduction Underground Fans

Werder Bremen - Hannover 96 - 05/03/2016

Source : http://www.radiobremen.de/

La police a réussi a tenir à distance les fans des deux équipes. Les forces de l'orde ont contrôlés 240 fans visiteurs qui se trouvaient dans la vielle ville. 19 autres ont été interpellés pour avoir dégradé un bus. Ils ont été immédiatement renvoyés à Hanovre.

Traduction Underground Fans

Hertha BSC - Eintracht Frankfurt - 02/03/2016

Source : http://www.tagesspiegel.de/

A 23h40, des témoins téléphonent à la police pour indiquer que 150 personnes (NDLR : une autre source n'évoque que 50 personnes) sont impliqués dans des bagarres à Prenzlauer Berg, le quartier berlinois. A l'arrivée de la police locale, les protagonistes se sont envolés. Les forces de l'ordre en retrouveront une trentaine planqués dans un restaurant. Ils sont contrôlés et proviennent tous de la région de Francfort. Mais ils resteront muets sur les circonstances des incidents. La police a ouvert une enquête.

Traduction Underground Fans

Holstein Kiel - Energie Cottbus - 05/03/2016

Source : http://www.fanzeit.de/

A Berlin, le train transportant 53 fans de Cottbus est arrêté par la police. Au motif de soi-disant dégradations, les forces de l'ordre indiquent aux supporters que leur voyage s'arrête là. Les supporters, totalement abasourdis, sont renvoyés à Cottbus sans demander leur reste.

Traduction Underground Fans

Autriche : Wacker Innsbruck -  LASK Linz - 04/03/2016

Source : http://www.liferadio.at/

A la 12ème minute de jeu, les 200 fans de LASK ont allumé des fumigènes, lancés des pétards et autres objets sur la pelouse, obligeant l'arbitre a interrompre la partie durant 12 minutes. Il a également prévenu à la reprise du jeu, qu'au moindre jet de projectiles, il arrêté définitivement la rencontre.

Traduction Underground Fans

Fidelis Andria - US Foggia - 05/03/2016

Source : http://www.cosenzachannel.it/

Après la lourde défaite de Foggia à Fidelis Andria (3 à 0); un millier de tifosi ont attendu le retour des joueurs pour leur faire part de leur colère. Le bus transportant a été caillassé et plusieurs vitres ont volé en éclat. Devant la furie populaire, les joueurs ont dû fuir, sous bonne escorte policière.

Traduction Underground Fans

1. FC Magdeburg - FC Hansa Rostock - 05/03/2016

Source : www.mdr.de + turus.net

LE match de 3ème division classé par les autorités comme étant le plus à risques. Des centaines de policiers sont mobilisés, ainsi que six canons à eau, la police montée et un hélicoptère de la Police fédérale. Plus d'un millier de supporters sont considérés comme dangereux...

Finalement, très peu d'incidents seront constatés, à part quelques bagarres ci et là. La rencontre, elle, sera interrompue à deux reprises suite à l'utilisation de fumigènes.

Traduction Underground Fans

Hansa fans

Rennes - FC Nantes - 06/03/2016

Source : Mail

Veille du match, grosse fight 50 Rennes vs 80 Nantes. Victoire Nantes.

Rennes


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Source : Mail

Rennes : 55
Nantes : 60 - 65

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Source : http://www.ouest-france.fr

Un combat de rue entre supporters rennais et nantais

Dans la nuit de samedi à dimanche, veille du match Rennes-Nantes, des supporters ultras se sont livrés à un "fight" dans le quartier de la rue Paul-Bert.

Samedi soir, nntre 1h et 3h du matin, des supporters ultras rennais et nantais se sont affrontés, à la veille de la rencontre Rennes-Nantes, dans le secteur de la rue Paul-Bert. Il semblerait que le face-à-face ait été programmé, via Internet. Pas de revendication, ni de motif précis. Le but est de se cogner à mains nues. C'est censé être rapide et violent.

« Ils étaient au moins une centaine », raconte un riverain qui préfère garder l’anonymat. « Ils étaient tous habillés sobrement, sans aucun signe distinctif ou d’appartenance à un club. Aucune écharpe ou maillot de foot du FC Nantes ou du Stade Rennais ».

Les affrontements durent quelques minutes jusqu’à l’arrivée de la police qui les disperse. Jusqu’à 3 h du matin, les supporters se sont pris à partie dans le quartier. A chaque fois, mis en fuite à la vue des gyrophares.

A 3h du matin, les deux groupes se sont affrontés une dernière fois rue de Paris. Les policiers ont mis fin aux heurts.

France : SC Bastia - Lorient FC - 05/03/2016

Source : http://francefootball.fr

Le «combat pour la vérité» de Maxime Beux, le supporter bastiais blessé à Reims

Maxime Beux, le supporter bastiais gravement blessé à l'oeil lors d'affrontements avec la police à Reims, mi-février, a évoqué un «combat pour la vérité et la justice qui ne fait que commencer» samedi, avant le coup d'envoi de la rencontre entre Bastia et Lorient au Stade Armand-Cesari.

Maxime Beux, le jeune supporter bastiais (22 ans) grièvement blessé à l'oeil après des incidents avec la police dans le centre-ville de Reims, le mois dernier, s'est adressé aux supporters du club samedi, avant le coup d'envoi du match contre Lorient au Stade Armand-Cesari. Il a parlé d'un «combat pour la vérité et la justice qui ne fait que commencer», lançant par la même occasion un appel «au peuple et à sa solidarité».

Il y a deux jours, Beux avait dénoncé «un mensonge grotesque» des policiers reimois. «On est tombé dans un guet-apens, les caméras de surveillance en attestent», avait-il confié au micro de RTL, confirmant qu'il avait «définitivement perdu la vue de l'oeil gauche». Alors que huit supporters de Bastia doivent être jugés le 22 mars, toujours à Reims, il s'est de nouveau plaint samedi de l'attitude de ceux qui, selon lui, ont fait desdits supporters «des coupables parfaits, coupables d'être Corses».

Plusieurs manifestations et rassemblements, dont certains avaient dégénéré, avait eu lieu en Corse après les incidents du 13 février. Rémi Di Caro, vingt ans, a été condamné jeudi à cinq mois de prison ferme après son interpellation à Corte, mardi. Beux a terminé son intervention en réclamant «ghjustizià per tutti» (justice pour tous). Une collecte a été organisée par le groupe de supporters Bastia 1905 autour du stade dans le but de financer sa défense et celle des huit autres supporters concernés.

Sheffield Wednesday - Rotherham United - 05/03/2016

Source : Mail

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